Où ça chauffe encore pour Maxime.
Maxime éprouvait quelques
difficultés à marcher normalement. Sa mère attendait sa paire de bas nylon dont
il avait dû plier la pochette pour la faire rentrer dans sa poche. Ce n'était
pas la première fois qu'elle l'envoyait faire ce genre d'achat. Sa présence
dans une boutique de lingerie à l'univers exclusivement féminin le mettait dans
une situation intimidante qui contribuait à entretenir sa soumission.
La crainte de se prendre une
nouvelle fessée pour avoir mis trop de temps à faire l'aller et retour le
motivait à ne pas ralentir l'allure, malgré l'atroce cuisson de ses fesses
reculottées très serrées. Afin d'essayer
d'atténuer la douleur du frottement de l'une contre l'autre, il était obligé
d'avancer en tortiller des hanches, ajoutant le ridicule à la honte. Terrorisé,
à l'idée de rencontrer une connaissance et de devoir répondre à des questions
sur sa curieuse démarche, il progressait la tête basse pour laisser le moins de
possibilités à quelqu'un de le reconnaître. Ce serait tout de même une pénible
épreuve que de devoir avouer se balader, les fesses en feu au fond du slip,
après une cuisante fessée, administrée en public, par la propriétaire d'un
magasin de lingerie, amie de sa mère. Tout à fait surréaliste, et pourtant bien
réel,
La séance de fessées chez Madame de
Blagnac se révélait efficace à long terme et l'effet de cuisson semblait devoir
persister encore un bon moment. Elle avait la main lourde et une manière de
claquer les fesses avec tant d'énergie qu'il avait l'impression de sentir
encore sur le derrière, sa paume brûlante l'accompagnant jusque chez lui. La
forte femme distribuait des fessées qui pouvaient aisément soutenir la
comparaison avec celles que lui infligeait régulièrement sa mère Béatrice.
Stéphanie, la collaboratrice, n'était pas en reste avec un coup de poignet bien
nerveux et un solide un tour de main.
Béatrice disposait tout de même
d'une exceptionnelle puissance de feu qui suscitait à la fois sa crainte et
forçait malgré tout son admiration. Les cuisantes fessées de maman étaient
dures, mais inégalables. Il les dégustait, dans l'appréhension, la souffrance
et une docilité proche de la résignation. De toute manière elle ne lui laissait
pas le choix. Les fessées claquaient sans concession possible. Aucune
négociation envisageable des sentences qui étaient appliquées jusqu'à leur
terme, avec toute la sévérité requise, quel que soient l'état de ses fesses.
« Non mais Maxime, qu'est-ce que tu
m'as ramené là ? S'exclame Béatrice une pointe d'exaspération dans la
voix. La pochette est toute froissée, tu l'as pliée même... C'est fragile une
paire de bas nylon. Surtout ceux-là !
Maxime gêné aux entournures et même au-delà,
se dandine d'un pied sur l'autre.
« Mais maman je l'ai mise dans ma
poche pour ne pas la perdre. Ça glisse dans la main.
– La belle excuse ! Elle ouvre la pochette, sort un bas avec
précaution et passe sa main à l’intérieur pour en vérifier la couleur par
transparence. Mais ! Ce n'est pas ce que je t'avais demandé. Je t'avais dit
noir... c'est du gris foncé ! »
– Ah bon ! Je n'ai pas
fait attention, j'ai pris ce qu'on m'a donné Maman.
– Bien sûr !... Pour ce qui est
de ne pas faire attention, ça ne m'étonne pas ! Et il ne t’est même pas venu à
l'idée de vérifier ? Je ne peux décidément pas te faire
confiance !»
Maxime a fait deux pas en arrière.
Debout devant sa mère, assise dans le canapé du salon devant un thé parfumé, il
sent qu'il a fait une bêtise et qu'elle ne va pas le rater. L'occasion de sévir
est trop bonne.
« Mais maman, je ne pouvais pas me
douter que... C'est madame Stéphanie qui s'est occupée de la commande
– Oui, et bien moi, pour la peine,
c'est de tes fesses que je vais m'occuper ! Non seulement tu m'apportes
une pochette toute abîmée mais en plus, tu n'es pas capable de me ramener ce
que je te demande ! »
Elle se lève brusquement et
l'attrape par l'oreille. Avant qu'il ait pu esquisser le moindre geste de
défense, qui de toute manière aurait été très mal accepté, elle le traîne vers
le milieu de la pièce où trône, bien en vue, le tabouret sur lequel elle
démarre toujours ses corrections.
« Je vais t'en fiche moi, des ''
Mais maman je ne pouvais pas me douter …'' se moque-t-elle en oscillant la tête
de droite à gauche. Ce dont tu ne vas pas douter une seconde c'est de sentir ma
main sur tes fesses ! »
Le claquement sec, volontairement
appuyé, de ses talons aiguille sur le sol, annonçait l’arrivée de l'inévitable
fessée. Il résonnait comme une démonstration d'autorité et de pouvoir. Elle
s'ingéniait à faire monter la pression en rendant la menace de la correction
encore plus pesante.
Elle s'installa confortablement sur le
tabouret de discipline en faisant rebondir son opulent fessier pour bien le
caler sur le siège, à la recherche de la position la plus stable. Il lui
fallait la solide assise nécessaire à la préparation d'une grosse fessée. Elle
retroussa sa courte jupe jusqu'en haut de ses cuisses gainées de bas nylon
noir, brillant sous la lumière.
Maxime debout devant elle, sait ce
qui l'attend. Il serre si fort les fesses qu'on ne pourrait pas introduire un
thermomètre entre les deux. Béatrice est furieuse et, comme d'habitude, en
rajoute à plaisir pour mieux l'impressionner.
« Je veux t'entendre me demander toi-même
ta fessée, en signe d'approbation et d'acceptation de ta punition.
– Oh maman s'il te plaît... J'ai
déjà pris deux fessées chez madame de Blagnac, ça me cuit encore ! »
Béatrice s'amuse des arguments
dérisoires de son fils qu'elle écoute avec un sourire narquois. Elle aime le
sentir en son pouvoir, l'entendre supplier sous la menace de la fessée qu'elle
retarde à plaisir pour mieux lui faire comprendre qu'elle dispose de ses fesses
à volonté et au moment où elle le décide. Et tout cela, évidement, pour son
bien. Pour le corriger de ses travers et le préparer à sa vie d'homme... Comme
elle dit...
« Tu as déjà pris deux fessées...
mon pauvre chéri... Qu'est que c'est que deux malheureuses fessées quand on a
un derrière aussi bien entraîné que le tien ? Et entraîné par mes soins,
donc... performant, n'est-ce pas !
– Mais maman, c'est que madame de
Blagnac et madame Stéphanie fessent très fort !
– Et alors ? Ça ne peut que te
faire du bien. Je vais même t'en mettre une troisième pour faire bonne mesure. Tourne-toi
devant moi et baisse ton pantalon en réclamant ta fessée !
Exécution ! »!
Le malheureux sait qu'il est inutile
de tergiverser. Il déboucle sa ceinture et se déculotte lentement, le derrière
bien arrondi sous le regard ironique de sa mère qui adore ce petit jeu de mise
en condition. Elle définit les règles et les fait appliquer à la lettre. Il
obéit, le petit doigt sur l'élastique du slip.
« Maman, s'il te plaît, veux-tu bien
me donner une fessée ?
– Une fessée, mais bien sûr mon
chéri, avec plaisir ! Mais qu'est-ce
qu'il a encore fait comme bêtise, le vilain garçon, pour que je lui flanque une
fessée ?.
–
Je n'ai pas fait attention et je n'ai pas ramené le modèle de bas nylon
que tu voulais...
–
C'est tout ?
Elle boit tranquillement une gorgée
de thé et croise, très haut, les jambes en faisant crisser ses bas nylon sur
ses cuisses.
« Maxime, tu
m'écoutes ?... Je t'ai posé une question... C'est tout ?
– Euuuh non... Aussi... J'ai abîmé
la pochette... »
Sans le moindre état d'âme, Béatrice dirige,
l'humiliante séance de préparation à la punition. La leçon n'en sera que plus
marquante et plus efficace. L'air hautain, provocateur, elle recroise les
jambes dans l'autre sens, nouveau crissement de nylon, elle sait que la vue de
ses bas nylon et de ses jarretelles le trouble énormément et contribue à
alimenter sa soumission. Elle use sans modération de ce pouvoir de séduction un
peu pervers.
–
Bien ! Maintenant...Une fessée ça se demande à genoux... Alors mets-toi
à genoux et présente-moi tes fesses... slip aux cuisses, entièrement
déculottées. Il faut que tu me montres que tu as mérité ta fessée et que tu la
sollicites en me donnant envie de te l'administrer. »
Il s'exécute, à genoux, plié en deux
entre ses cuisses et se déculotte en s'appliquant à bien déployer ses fesses
pour les lui mettre à disposition. Libérées de l'étreinte du nylon, elles
s'épanouissent hors du slip, encore rouges des fessées précédentes. D'un geste
nonchalant, maman en prend possession. Elle les caresse d'une main presque
affectueuse pour en apprécier la chaleur.
« Hummm effectivement, encore bien
chaudes, jolie couleur... tenace en plus. Elles t’ont bien soigné le derrière
mon chéri ! Confirmation que les fessées de Claridge sont parfaitement
efficaces... Celles de Stéphanie aussi à ce que je vois!
– Arrête ! Maman s'il te plaît...
– Tu as raison, passons à la
fessée ! Maintenant qu'elles t'ont bien astiqué le derrière, je vais te le
faire reluire !
– Oooh maman, non, pitié !
– Mon cher, une paire de fesses
c'est comme une paire de chaussures... ça s'entretient !
Régulièrement... Pour assouplir le
cuir. »
Béatrice, ravie de sa formule,
regarde son grand garçon avec le sourire engageant qui accompagne généralement
l'annonce d'une bonne nouvelle.
« Aller, reculotte-toi et amène-moi
tes fesses que je te les fasse danser sur mes jarretelles ! S’exclame-t-elle en les faisant joyeusement
claquer sur ses cuisses. Rien de tel qu'un bon tour de chauffe à travers le
slip pour préparer une fessée déculottée. Le nylon, ça favorise la
cuisson et la fait monter plus vite !
– S'il te plaît maman, pas trop
fort... J'ai le derrière encore très sensible des dernières fessées !
« Justement mon chéri, tu vas
d'autant mieux sentir celle-là ! Et pour que tes fesses l’apprécient
pleinement, il faut que je te la mette très fort, tu comprends... et bien claquante.
– Oh maman pitié... Non !
– J'ai dit, très fort et bien
claquante ! Ça t'apprendra à faire attention quand je t'envoie acheter mes
bas nylon. La dernière fois déjà, tu t'étais trompé sur la taille. On vérifie
toujours avant d'acheter.
– Pitié maman, je ferai
attention... je te promets.
– Et bien moi je te promets une
grosse fessée, bien cuisante ! Tends-moi tes fesses correctement au lieu
de pleurnicher comme un gamin ! Aller !... Mieux que ça, pousse sur
les mains et cambre les reins. Je veux un derrière bien arrondi et ferme sous
la main pour que ça claque fort ! »
Tout en lui donnant ses consignes,
elle le stimule à grandes claques sur les fesses pour l'obliger à les lui
présenter dans la position exigée. Le volumineux fessier est à peine en place,
bien déployé, que la fessée commence à claquer immédiatement à plein rendement.
Béatrice, poitrine en avant, le
buste bien droit pour donner de la vitesse à sa frappe, fesse avec assurance et
autorité. Bien calé sur ses cuisses, le lourd fessier habitué à la raclée, il
en a déjà deux au compteur, donne du répondant et se met aussitôt en mouvement.
Moulé, serré, dans le nylon, il offre une surface ferme et résistante qui
incite à taper dur plutôt qu'à économiser l'énergie. C'est ce que fait Béatrice
avec une maîtrise acquise à l'expérience par une longue pratique régulièrement
actualisée. Sûre de sa force et de sa
légitimité à punir, les dents serrées pour concentrer son attention, elle
claque à pleine main, chaque fesse, l'une après l'autre. Tantôt à l'horizontale
en ajustant le centre bien charnu, là où ça cuit vraiment, tantôt à la
verticale pour les faire rebondir en rythme sur ses genoux. Puis elle recommence
inlassablement sans se priver d'exprimer le plaisir qu'elle y prend.
« Tu entends comme elle claque bien
ta fessée ! Que du bonheur ! Et tu sens surtout comme le nylon fait
monter la chaleur. Il n'y a rien de mieux comme matière pour bien chauffer les
fesses et les préparer à point avant la déculottée !
Maxime, commence à gémir en se
tortillant de douleur. La cuisson de ses fesses serrées dans son slip, remonte
rapidement à un niveau de température propre à déclencher un état d'alerte
incendie dans une maison sécurisée.
« Oh oui maman, je la sens...
ça cuit, ça cuit trop fort... C'est ma troisième fessée !
– Bien sûr que ça cuit... Et ce
n'est pas la dernière. Je te l'ai déjà dit Maxime. Tes fesses c'est comme un
diesel, il faut un long moment d'échauffement pour obtenir du
rendement ! »
Le pauvre garçon, très peu sensible
à la comparaison se met à brailler à pleins poumons.
« Ouaiiiiie maman, pitié !
S'il te plaît, arrête ! »
Béatrice, s'amuse ouvertement des
cris du malheureux et lui appuie encore un double aller et retour bien cuisant
sur chaque fesse avant d'interrompre la correction.
« Tu as raison, j’arrête.
– .…
–
Il est temps de passer à la fessée déculottée !
Maxime hurle en se démenant sur les
cuisses de sa mère. Il tape des mains par terre de désespoir et d'indignation.
« Ah non maman ! Pas la fessée
déculottée ! Tu m'as déjà bien puni... Pitié pas la déculottée, j'ai les
fesses en feu ! »
Béatrice est inflexible. Elle ne
cède jamais aux supplication de son fils. Il a beau essayer, implorer un tant
soit peu de clémence, elle applique toujours jusqu'au bout le tarif de la
punition qu'elle a décidé de lui infliger. Elle savoure sa propre sévérité en
annonçant la suite de la correction avec insistance.
« Si mon cher, maintenant que tes
fesses sont prêtes... c'est la fessée...Elle prend soin de bien articuler.
Dé-cu-lo-ttée ! Sans pause ! Et estime toi heureux que je ne te la
mette pas au martinet... pour cette fois seulement. Au moins tu te souviendras
qu'il faut être attentif quand je te demande d'aller faire une course. La
prochaine fois tu feras attention ! Aller... On reprend...Les fesses bien
en l'air que je te déculotte ! »
Maxime pousse un râle à fendre
l'âme, mis à part celle de sa mère, indifférente à son désarroi. Elle lui appuie sur les reins pour lui faire
arrondir les fesses afin de faciliter le glissement du slip, et le déculotte
d'une seule main avec dextérité. Le rutilant derrière, déjà bien enluminé,
soulagé de la pression du nylon, semble s'épanouir au-dessus de l'élastique
qu'elle descend lentement et fait claquer en haut des cuisses.
Maman est habituée à déculotter,
elle le fait en souplesse, enveloppant d'un regard gourmand la belle paire de
fesses qui s'étale à sa merci, frémissante, sur ses cuisses.
Plié en deux, la tête frôlant le
sol, maxime gémit faiblement, pétrit d'angoisse dans l'attente de sa fessée. Il
sent le mouvement du bras qui s'élève à la recherche de la prise d'élan
maximum.
« Tu es prêt mon chéri ?
Deuxième service ! Et une fessée déculottée ! Une ! Pour
t'apprendre à être attentif aux consignes quand je te demande quelque
chose. Ce n'est pas la première pour ce motif et, étourdi comme tu es,
certainement pas la dernière ! »
Le démarrage est particulièrement
cuisant sur un derrière déjà bien échauffé par les fessées précédentes, surtout
la dernière quelques minutes auparavant. Le souffle court, les dents serrées
par l'effort, sur une sourire carnassier, Béatrice fesse avec son énergie
habituelle. La main ferme, doigts et paume tendus elle distribue les claques
d'une fesse sur l'autre, stimulée par la chaleur irradiante qui s'en dégage et
les ruades de sa victime.
« Attention Maxime, on garde la
position pour bien profiter de sa fessée ! Voilà, comme ça … C'est
parfait, ça claque sec... Comme j'aime entendre claquer tes fesses quand
je les corrige! »
– Roaaaaah maman... pitié, s'il te
plaît moins... moins fort ! C'est … C'est trop dur !! »
Béatrice trouvait toujours amusant
d'entendre son fils persister à implorer sa clémence pendant ses fessées, alors
qu'elle ne la lui accordait jamais. Inflexible, elle allait au bout de ses
sentences qu'elle exécutait sans arrangement possible.
La fessée à travers le slip avait
déjà été difficile à encaisser mais celle-là, déculottée, sans transition ni
mise au coin, devenait pratiquement insupportable. Agrippé au pieds de la
chaise pour se maintenir à tout prix en position, Maxime résiste encore un
moment mais sa mère fesse tellement fort qu'il ne peut endiguer les sanglots
qui commencent à lui échapper et se transforment en une longue plainte
continue.
Dix minutes de fessée au claquage
intense, le laissent pantelant à bout de souffle sur les cuisses de sa mère,
rayonnante de satisfaction du devoir accompli. Le fessier tout entier irradie
d'un rouge velours écarlate uniformément réparti du bas des reins jusqu'en haut
des cuisses. L'écran total parfait ! Elle le tapote affectueusement, tout
au plaisir d'en sentir le feu continu.
« Félicitation mon cher, tu as bien
pris ta fessée ! Et je me suis appliquée pour que tu la sentes bien...
– …
Maxime, effondré en larmes sur les
genoux de sa mère, est plutôt concentré sur la cuisson de ses fesses. Il met un
temps avant de réagir. Il sait qu'il a obligation de répondre et de la
remercier de lui administrer encore ces corrections pour parfaire son
éducation... Comme elle dit, pour les justifier. Elle le relève en lui
caressant les fesses. Elles sont brûlantes, et pour cause. Il essuie ses larmes
mêlées de morve, d'un revers de la main.
« Merci... Mer... Merci maman pour
cette... cette fessée...
Elle lève un sourcil interrogateur. La formule
de politesse n'est pas complète.
« Merci maman pour cette bonne
fessée !
– Quand même ! C'est toujours
un plaisir mon chéri... Alors vivement la suivante ! En attendant... Un
quart d'heure de pénitence sous le bureau avec interdiction de te
reculotter ! Et tu retourneras demain chez madame de Blagnac pour échanger
ma paire de bas. »
Justine et Sandrine, les filles de
Claridge de Blagnac lui ressemblaient traits pour traits. Belles jeunes femmes,
opulentes, au physique avantageux et au caractère bien affirmé, elles avaient
hérité de la même propension à imposer leur forte personnalité en toutes
circonstances. Elevées surtout par leur mère, adepte de la manière forte en
matière d'éducations, elles avaient appris les bonnes manières et le sens des
responsabilités sous les cuisantes fessées systématiquement distribuées au
moindre écart de comportement. La redoutable maman, d'ailleurs, ne
s'embarrassait pas de scrupule et continuait à les déculotter et à leur en
flanquer encore maintenant, même à l’âge adulte. Conrad, le père, commercial
dans une compagnie d'assurance et souvent absent pour son travail, subissait le
même régime, soumis à l'autorité de sa femme dans le cadre d'une stricte
discipline domestique et plus particulièrement conjugale. Il lui arrivait
souvent de partir en tournée le matin les fesses rouges et cuisantes d'une
sévère fessée déculottée administrée par son épouse au petit déjeuner.
Il suffisait d'une simple petite
tache de café sur la nappe ou d'un peu de lait versé à côté, d'un bol mal lavé,
parfois à titre préventif, et ça claquait aussitôt. Elle le faisait venir
s'allonger sur ses genoux, le déculottait, et lui flanquait sa première fessée
de la journée.
« Un bon stimulant pour entamer, en
pleine forme, une longue journée de travail ! Disait-elle souvent en
lui reculottant le derrière chauffé au rouge. Tu vas sentir l'empreinte de ma
main sur tes fesses toute la matinée, ça te fera penser à moi ! »
Claridge de Blagnac avait rencontré
Gladys et Béatrice dans sa boutique de lingerie qu'elles fréquentaient souvent
pour leur goût immodéré des dessous chics. Partageant les mêmes théories sur
les valeurs éducatives de la fessée elles avaient très vite sympathisé et
échangeaient régulièrement sur le sujet. Les soirées de démonstration
organisées chez les unes et les autres, à tour de rôle, permettaient à ces
Dames de comparer leur méthode et d'affiner leur technique. Présence,
évidemment obligatoire, des maris, et parfois des fils, dont les fesses
passaient ainsi entre toutes les mains et sur toutes les cuisses, au cours de
savoureuses séances de fessées en public. Ces messieurs en ressortaient
épuisés, soumis et obéissants, les fesses cramoisies, lourdes et gonflées de
claques.
Telle mère telles filles, Justine et
Sandrine, initiées par leur mère à la méthode fessée, en avaient adopté la
pratique auprès de leur mari qui en subissaient quotidiennement les cuisants
effets. Ça filait droit dans les chaumières qui résonnaient régulièrement du
claquement des fessées, rythmé par les pleurs et les supplications. Ces jeunes
Dames à poigne savaient se faire respecter. Elles n'hésitaient jamais à
déculotter et rougir un derrière, lorsque le devoir de maintien d'une bonne
discipline l'exigeait. Et cela arrivait fréquemment.
Elles participaient, souvent avec
leur mère, aux séances de fessées, qu'organisait l'impérieuse Béatrice qui leur
donnait ainsi l'opportunité d'exercer leur talent au maniement du martinet sur
les fesses de son fils Maxime. Toutes les occasions étaient bonnes et la
maîtresse femme ne manquait pas d'imagination. C'était la fessée du jour de
l'an, les fessées des quatre saisons pour fêter l'arrivée de chacune d'elle, ou
encore celles de la journée de la femme. Le pauvre garçon n'avait alors pas
d'autre choix que de devoir tester d'autres cuisses gainées de bas nylon que
celles de sa mère. Ses joues en profitaient, largement autant que ses fesses.
En pénitence depuis dix minutes
après ses fessées, Maxime transpirait entre les jambes de sa mère, coincé dans
l'espace exigu de dessous son bureau. Elle avait ôté ses talons aiguille et il
devait respectueusement embrasser ses pieds, gainés de nylon, pour la remercier
de l'avoir aussi bien fessé. Il l'entendait au-dessus de lui, discuter tranquillement
au téléphone.
« Mais bien sûr Claridge, quelle
question !... Tu viens avec tes filles... Justine et Sandrine sont
toujours les bienvenues. A l'origine ça devait se faire chez Gladys mais elle
ne peut pas chez elle ce samedi... Alors ça sera donc ici, à la maison. »
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Le début : chapitre 1 de la saison 1
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 15
Il y a une suite, c'est le chapitre 17
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 15
Il y a une suite, c'est le chapitre 17
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre : ramina16@laposte.net
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerQuelle déculottées pour ces Messieurs !!!
Ces Dames s'amusent de leurs pouvoirs et des maladresses de leurs hommes dont elle mettent un point d'honneur à remettre dans le droit chemin. "Qu'est-ce qu'on dit à Maman ??" Imparable d'ironie !
Ces "Mater Furiosa" savent y faire avec leurs hommes ! Damned !
Superbe !
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerEh oui, quand l'ironie, ou le sarcasme, accompagne la fessée celle ci en est d'autant plus marquante ajoutant un peu plus à l'humiliation de se faire corriger déculotté.
Mater Furiosa, certes est aussi Mater Dolorosa ... et pas pour elle. Pouvoir matriarcal loin des mamas italiennes ( et pas qu'elles) confinées à la maison. C'est le Power Girl par la fessée, ou le renversement de situation dans une société toujours bien machiste!
Alors bien sûr elles ne se gênent pas pour en profiter, du moins dans nos petites histoires! Encore que, certaines dans la réalité...
Et ça n'arrête pas de chaufeeeeer !
Cordialement
Ramina