mardi 26 mars 2019

Ces dames aux mains fermes - S2 - Chapitre 16

Où ça chauffe encore pour Maxime.


Maxime éprouvait quelques difficultés à marcher normalement. Sa mère attendait sa paire de bas nylon dont il avait dû plier la pochette pour la faire rentrer dans sa poche. Ce n'était pas la première fois qu'elle l'envoyait faire ce genre d'achat. Sa présence dans une boutique de lingerie à l'univers exclusivement féminin le mettait dans une situation intimidante qui contribuait à entretenir sa soumission.

La crainte de se prendre une nouvelle fessée pour avoir mis trop de temps à faire l'aller et retour le motivait à ne pas ralentir l'allure, malgré l'atroce cuisson de ses fesses reculottées très serrées.  Afin d'essayer d'atténuer la douleur du frottement de l'une contre l'autre, il était obligé d'avancer en tortiller des hanches, ajoutant le ridicule à la honte. Terrorisé, à l'idée de rencontrer une connaissance et de devoir répondre à des questions sur sa curieuse démarche, il progressait la tête basse pour laisser le moins de possibilités à quelqu'un de le reconnaître. Ce serait tout de même une pénible épreuve que de devoir avouer se balader, les fesses en feu au fond du slip, après une cuisante fessée, administrée en public, par la propriétaire d'un magasin de lingerie, amie de sa mère. Tout à fait surréaliste, et pourtant bien réel,

La séance de fessées chez Madame de Blagnac se révélait efficace à long terme et l'effet de cuisson semblait devoir persister encore un bon moment. Elle avait la main lourde et une manière de claquer les fesses avec tant d'énergie qu'il avait l'impression de sentir encore sur le derrière, sa paume brûlante l'accompagnant jusque chez lui. La forte femme distribuait des fessées qui pouvaient aisément soutenir la comparaison avec celles que lui infligeait régulièrement sa mère Béatrice. Stéphanie, la collaboratrice, n'était pas en reste avec un coup de poignet bien nerveux et un solide un tour de main.
Béatrice disposait tout de même d'une exceptionnelle puissance de feu qui suscitait à la fois sa crainte et forçait malgré tout son admiration. Les cuisantes fessées de maman étaient dures, mais inégalables. Il les dégustait, dans l'appréhension, la souffrance et une docilité proche de la résignation. De toute manière elle ne lui laissait pas le choix. Les fessées claquaient sans concession possible. Aucune négociation envisageable des sentences qui étaient appliquées jusqu'à leur terme, avec toute la sévérité requise, quel que soient l'état de ses fesses.

« Non mais Maxime, qu'est-ce que tu m'as ramené là ? S'exclame Béatrice une pointe d'exaspération dans la voix. La pochette est toute froissée, tu l'as pliée même... C'est fragile une paire de bas nylon. Surtout ceux-là !
Maxime gêné aux entournures et même au-delà, se dandine d'un pied sur l'autre.
« Mais maman je l'ai mise dans ma poche pour ne pas la perdre. Ça glisse dans la main.
– La belle excuse !  Elle ouvre la pochette, sort un bas avec précaution et passe sa main à l’intérieur pour en vérifier la couleur par transparence. Mais ! Ce n'est pas ce que je t'avais demandé. Je t'avais dit noir... c'est du gris foncé ! » 
– Ah bon ! Je n'ai pas fait attention, j'ai pris ce qu'on m'a donné Maman.
– Bien sûr !... Pour ce qui est de ne pas faire attention, ça ne m'étonne pas ! Et il ne t’est même pas venu à l'idée de vérifier ? Je ne peux décidément pas te faire confiance !»
Maxime a fait deux pas en arrière. Debout devant sa mère, assise dans le canapé du salon devant un thé parfumé, il sent qu'il a fait une bêtise et qu'elle ne va pas le rater. L'occasion de sévir est trop bonne.
« Mais maman, je ne pouvais pas me douter que... C'est madame Stéphanie qui s'est occupée de la commande
– Oui, et bien moi, pour la peine, c'est de tes fesses que je vais m'occuper ! Non seulement tu m'apportes une pochette toute abîmée mais en plus, tu n'es pas capable de me ramener ce que je te demande ! »
Elle se lève brusquement et l'attrape par l'oreille. Avant qu'il ait pu esquisser le moindre geste de défense, qui de toute manière aurait été très mal accepté, elle le traîne vers le milieu de la pièce où trône, bien en vue, le tabouret sur lequel elle démarre toujours ses corrections.
« Je vais t'en fiche moi, des '' Mais maman je ne pouvais pas me douter …'' se moque-t-elle en oscillant la tête de droite à gauche. Ce dont tu ne vas pas douter une seconde c'est de sentir ma main sur tes fesses ! »  

Le claquement sec, volontairement appuyé, de ses talons aiguille sur le sol, annonçait l’arrivée de l'inévitable fessée. Il résonnait comme une démonstration d'autorité et de pouvoir. Elle s'ingéniait à faire monter la pression en rendant la menace de la correction encore plus pesante.
 Elle s'installa confortablement sur le tabouret de discipline en faisant rebondir son opulent fessier pour bien le caler sur le siège, à la recherche de la position la plus stable. Il lui fallait la solide assise nécessaire à la préparation d'une grosse fessée. Elle retroussa sa courte jupe jusqu'en haut de ses cuisses gainées de bas nylon noir, brillant sous la lumière.
Maxime debout devant elle, sait ce qui l'attend. Il serre si fort les fesses qu'on ne pourrait pas introduire un thermomètre entre les deux. Béatrice est furieuse et, comme d'habitude, en rajoute à plaisir pour mieux l'impressionner.

« Je veux t'entendre me demander toi-même ta fessée, en signe d'approbation et d'acceptation de ta punition.
– Oh maman s'il te plaît... J'ai déjà pris deux fessées chez madame de Blagnac, ça me cuit encore ! »

Béatrice s'amuse des arguments dérisoires de son fils qu'elle écoute avec un sourire narquois. Elle aime le sentir en son pouvoir, l'entendre supplier sous la menace de la fessée qu'elle retarde à plaisir pour mieux lui faire comprendre qu'elle dispose de ses fesses à volonté et au moment où elle le décide. Et tout cela, évidement, pour son bien. Pour le corriger de ses travers et le préparer à sa vie d'homme... Comme elle dit...

« Tu as déjà pris deux fessées... mon pauvre chéri... Qu'est que c'est que deux malheureuses fessées quand on a un derrière aussi bien entraîné que le tien ? Et entraîné par mes soins, donc... performant, n'est-ce pas !
– Mais maman, c'est que madame de Blagnac et madame Stéphanie fessent très fort !
– Et alors ? Ça ne peut que te faire du bien. Je vais même t'en mettre une troisième pour faire bonne mesure. Tourne-toi devant moi et baisse ton pantalon en réclamant ta fessée ! Exécution ! »!

Le malheureux sait qu'il est inutile de tergiverser. Il déboucle sa ceinture et se déculotte lentement, le derrière bien arrondi sous le regard ironique de sa mère qui adore ce petit jeu de mise en condition. Elle définit les règles et les fait appliquer à la lettre. Il obéit, le petit doigt sur l'élastique du slip.
« Maman, s'il te plaît, veux-tu bien me donner une fessée ?
– Une fessée, mais bien sûr mon chéri, avec plaisir !  Mais qu'est-ce qu'il a encore fait comme bêtise, le vilain garçon, pour que je lui flanque une fessée ?.
  Je n'ai pas fait attention et je n'ai pas ramené le modèle de bas nylon que tu voulais...
  C'est tout ?
Elle boit tranquillement une gorgée de thé et croise, très haut, les jambes en faisant crisser ses bas nylon sur ses cuisses.
« Maxime, tu m'écoutes ?... Je t'ai posé une question... C'est tout ?
– Euuuh non... Aussi... J'ai abîmé la pochette... »

 Sans le moindre état d'âme, Béatrice dirige, l'humiliante séance de préparation à la punition. La leçon n'en sera que plus marquante et plus efficace. L'air hautain, provocateur, elle recroise les jambes dans l'autre sens, nouveau crissement de nylon, elle sait que la vue de ses bas nylon et de ses jarretelles le trouble énormément et contribue à alimenter sa soumission. Elle use sans modération de ce pouvoir de séduction un peu pervers. 
  Bien ! Maintenant...Une fessée ça se demande à genoux... Alors mets-toi à genoux et présente-moi tes fesses... slip aux cuisses, entièrement déculottées. Il faut que tu me montres que tu as mérité ta fessée et que tu la sollicites en me donnant envie de te l'administrer. »

Il s'exécute, à genoux, plié en deux entre ses cuisses et se déculotte en s'appliquant à bien déployer ses fesses pour les lui mettre à disposition. Libérées de l'étreinte du nylon, elles s'épanouissent hors du slip, encore rouges des fessées précédentes. D'un geste nonchalant, maman en prend possession. Elle les caresse d'une main presque affectueuse pour en apprécier la chaleur. 
« Hummm effectivement, encore bien chaudes, jolie couleur... tenace en plus. Elles t’ont bien soigné le derrière mon chéri ! Confirmation que les fessées de Claridge sont parfaitement efficaces... Celles de Stéphanie aussi à ce que je vois!
– Arrête !  Maman s'il te plaît...
– Tu as raison, passons à la fessée ! Maintenant qu'elles t'ont bien astiqué le derrière, je vais te le faire reluire !
– Oooh maman, non, pitié !
– Mon cher, une paire de fesses c'est comme une paire de chaussures... ça s'entretient !
Régulièrement... Pour assouplir le cuir. »

Béatrice, ravie de sa formule, regarde son grand garçon avec le sourire engageant qui accompagne généralement l'annonce d'une bonne nouvelle.  
« Aller, reculotte-toi et amène-moi tes fesses que je te les fasse danser sur mes jarretelles !  S’exclame-t-elle en les faisant joyeusement claquer sur ses cuisses. Rien de tel qu'un bon tour de chauffe à travers le slip pour préparer une fessée déculottée.  Le nylon, ça favorise la cuisson et la fait monter plus vite !
– S'il te plaît maman, pas trop fort... J'ai le derrière encore très sensible des dernières fessées !
« Justement mon chéri, tu vas d'autant mieux sentir celle-là ! Et pour que tes fesses l’apprécient pleinement, il faut que je te la mette très fort, tu comprends...  et bien claquante.
– Oh maman pitié... Non !
– J'ai dit, très fort et bien claquante ! Ça t'apprendra à faire attention quand je t'envoie acheter mes bas nylon. La dernière fois déjà, tu t'étais trompé sur la taille. On vérifie toujours avant d'acheter.
­– Pitié maman, je ferai attention... je te promets.
– Et bien moi je te promets une grosse fessée, bien cuisante ! Tends-moi tes fesses correctement au lieu de pleurnicher comme un gamin ! Aller !... Mieux que ça, pousse sur les mains et cambre les reins. Je veux un derrière bien arrondi et ferme sous la main pour que ça claque fort ! »

Tout en lui donnant ses consignes, elle le stimule à grandes claques sur les fesses pour l'obliger à les lui présenter dans la position exigée. Le volumineux fessier est à peine en place, bien déployé, que la fessée commence à claquer immédiatement à plein rendement.
Béatrice, poitrine en avant, le buste bien droit pour donner de la vitesse à sa frappe, fesse avec assurance et autorité. Bien calé sur ses cuisses, le lourd fessier habitué à la raclée, il en a déjà deux au compteur, donne du répondant et se met aussitôt en mouvement. Moulé, serré, dans le nylon, il offre une surface ferme et résistante qui incite à taper dur plutôt qu'à économiser l'énergie. C'est ce que fait Béatrice avec une maîtrise acquise à l'expérience par une longue pratique régulièrement actualisée.  Sûre de sa force et de sa légitimité à punir, les dents serrées pour concentrer son attention, elle claque à pleine main, chaque fesse, l'une après l'autre. Tantôt à l'horizontale en ajustant le centre bien charnu, là où ça cuit vraiment, tantôt à la verticale pour les faire rebondir en rythme sur ses genoux. Puis elle recommence inlassablement sans se priver d'exprimer le plaisir qu'elle y prend.

« Tu entends comme elle claque bien ta fessée ! Que du bonheur ! Et tu sens surtout comme le nylon fait monter la chaleur. Il n'y a rien de mieux comme matière pour bien chauffer les fesses et les préparer à point avant la déculottée !


Fessée déculottée sur es genoux de Maman



Maxime, commence à gémir en se tortillant de douleur. La cuisson de ses fesses serrées dans son slip, remonte rapidement à un niveau de température propre à déclencher un état d'alerte incendie dans une maison sécurisée.
« Oh oui maman, je la sens... ça cuit, ça cuit trop fort... C'est ma troisième fessée !
– Bien sûr que ça cuit... Et ce n'est pas la dernière. Je te l'ai déjà dit Maxime. Tes fesses c'est comme un diesel, il faut un long moment d'échauffement pour obtenir du rendement ! »

Le pauvre garçon, très peu sensible à la comparaison se met à brailler à pleins poumons.

« Ouaiiiiie maman, pitié ! S'il te plaît, arrête ! »
Béatrice, s'amuse ouvertement des cris du malheureux et lui appuie encore un double aller et retour bien cuisant sur chaque fesse avant d'interrompre la correction.
« Tu as raison, j’arrête.
– .…
  Il est temps de passer à la fessée déculottée !

Maxime hurle en se démenant sur les cuisses de sa mère. Il tape des mains par terre de désespoir et d'indignation.
« Ah non maman ! Pas la fessée déculottée ! Tu m'as déjà bien puni... Pitié pas la déculottée, j'ai les fesses en feu ! »   

Béatrice est inflexible. Elle ne cède jamais aux supplication de son fils. Il a beau essayer, implorer un tant soit peu de clémence, elle applique toujours jusqu'au bout le tarif de la punition qu'elle a décidé de lui infliger. Elle savoure sa propre sévérité en annonçant la suite de la correction avec insistance.

« Si mon cher, maintenant que tes fesses sont prêtes... c'est la fessée...Elle prend soin de bien articuler. Dé-cu-lo-ttée ! Sans pause ! Et estime toi heureux que je ne te la mette pas au martinet... pour cette fois seulement. Au moins tu te souviendras qu'il faut être attentif quand je te demande d'aller faire une course. La prochaine fois tu feras attention ! Aller... On reprend...Les fesses bien en l'air que je te déculotte ! »

Maxime pousse un râle à fendre l'âme, mis à part celle de sa mère, indifférente à son désarroi.  Elle lui appuie sur les reins pour lui faire arrondir les fesses afin de faciliter le glissement du slip, et le déculotte d'une seule main avec dextérité. Le rutilant derrière, déjà bien enluminé, soulagé de la pression du nylon, semble s'épanouir au-dessus de l'élastique qu'elle descend lentement et fait claquer en haut des cuisses.
Maman est habituée à déculotter, elle le fait en souplesse, enveloppant d'un regard gourmand la belle paire de fesses qui s'étale à sa merci, frémissante, sur ses cuisses.
Plié en deux, la tête frôlant le sol, maxime gémit faiblement, pétrit d'angoisse dans l'attente de sa fessée. Il sent le mouvement du bras qui s'élève à la recherche de la prise d'élan maximum.
« Tu es prêt mon chéri ? Deuxième service ! Et une fessée déculottée ! Une ! Pour t'apprendre à être attentif aux consignes quand je te demande quelque chose. Ce n'est pas la première pour ce motif et, étourdi comme tu es, certainement pas la dernière ! »

Le démarrage est particulièrement cuisant sur un derrière déjà bien échauffé par les fessées précédentes, surtout la dernière quelques minutes auparavant. Le souffle court, les dents serrées par l'effort, sur une sourire carnassier, Béatrice fesse avec son énergie habituelle. La main ferme, doigts et paume tendus elle distribue les claques d'une fesse sur l'autre, stimulée par la chaleur irradiante qui s'en dégage et les ruades de sa victime. 

« Attention Maxime, on garde la position pour bien profiter de sa fessée ! Voilà, comme ça … C'est parfait, ça claque sec... Comme j'aime entendre claquer tes fesses quand je les corrige! »  
– Roaaaaah maman... pitié, s'il te plaît moins... moins fort ! C'est … C'est trop dur !! »
  
Béatrice trouvait toujours amusant d'entendre son fils persister à implorer sa clémence pendant ses fessées, alors qu'elle ne la lui accordait jamais. Inflexible, elle allait au bout de ses sentences qu'elle exécutait sans arrangement possible.

La fessée à travers le slip avait déjà été difficile à encaisser mais celle-là, déculottée, sans transition ni mise au coin, devenait pratiquement insupportable. Agrippé au pieds de la chaise pour se maintenir à tout prix en position, Maxime résiste encore un moment mais sa mère fesse tellement fort qu'il ne peut endiguer les sanglots qui commencent à lui échapper et se transforment en une longue plainte continue.

Dix minutes de fessée au claquage intense, le laissent pantelant à bout de souffle sur les cuisses de sa mère, rayonnante de satisfaction du devoir accompli. Le fessier tout entier irradie d'un rouge velours écarlate uniformément réparti du bas des reins jusqu'en haut des cuisses. L'écran total parfait ! Elle le tapote affectueusement, tout au plaisir d'en sentir le feu continu.

« Félicitation mon cher, tu as bien pris ta fessée ! Et je me suis appliquée pour que tu la sentes bien...
– …
– Alors...Qu'est ce qu 'on dit à maman ? »


Un grand merci pour la fessée



Maxime, effondré en larmes sur les genoux de sa mère, est plutôt concentré sur la cuisson de ses fesses. Il met un temps avant de réagir. Il sait qu'il a obligation de répondre et de la remercier de lui administrer encore ces corrections pour parfaire son éducation... Comme elle dit, pour les justifier. Elle le relève en lui caressant les fesses. Elles sont brûlantes, et pour cause. Il essuie ses larmes mêlées de morve, d'un revers de la main.

« Merci... Mer... Merci maman pour cette... cette fessée...
 Elle lève un sourcil interrogateur. La formule de politesse n'est pas complète.
« Merci maman pour cette bonne fessée !
– Quand même ! C'est toujours un plaisir mon chéri... Alors vivement la suivante ! En attendant... Un quart d'heure de pénitence sous le bureau avec interdiction de te reculotter ! Et tu retourneras demain chez madame de Blagnac pour échanger ma paire de bas. »


Justine et Sandrine, les filles de Claridge de Blagnac lui ressemblaient traits pour traits. Belles jeunes femmes, opulentes, au physique avantageux et au caractère bien affirmé, elles avaient hérité de la même propension à imposer leur forte personnalité en toutes circonstances. Elevées surtout par leur mère, adepte de la manière forte en matière d'éducations, elles avaient appris les bonnes manières et le sens des responsabilités sous les cuisantes fessées systématiquement distribuées au moindre écart de comportement. La redoutable maman, d'ailleurs, ne s'embarrassait pas de scrupule et continuait à les déculotter et à leur en flanquer encore maintenant, même à l’âge adulte. Conrad, le père, commercial dans une compagnie d'assurance et souvent absent pour son travail, subissait le même régime, soumis à l'autorité de sa femme dans le cadre d'une stricte discipline domestique et plus particulièrement conjugale. Il lui arrivait souvent de partir en tournée le matin les fesses rouges et cuisantes d'une sévère fessée déculottée administrée par son épouse au petit déjeuner.
Il suffisait d'une simple petite tache de café sur la nappe ou d'un peu de lait versé à côté, d'un bol mal lavé, parfois à titre préventif, et ça claquait aussitôt. Elle le faisait venir s'allonger sur ses genoux, le déculottait, et lui flanquait sa première fessée de la journée.
« Un bon stimulant pour entamer, en pleine forme, une longue journée de travail !  Disait-elle souvent en lui reculottant le derrière chauffé au rouge. Tu vas sentir l'empreinte de ma main sur tes fesses toute la matinée, ça te fera penser à moi ! »

Claridge de Blagnac avait rencontré Gladys et Béatrice dans sa boutique de lingerie qu'elles fréquentaient souvent pour leur goût immodéré des dessous chics. Partageant les mêmes théories sur les valeurs éducatives de la fessée elles avaient très vite sympathisé et échangeaient régulièrement sur le sujet. Les soirées de démonstration organisées chez les unes et les autres, à tour de rôle, permettaient à ces Dames de comparer leur méthode et d'affiner leur technique. Présence, évidemment obligatoire, des maris, et parfois des fils, dont les fesses passaient ainsi entre toutes les mains et sur toutes les cuisses, au cours de savoureuses séances de fessées en public. Ces messieurs en ressortaient épuisés, soumis et obéissants, les fesses cramoisies, lourdes et gonflées de claques.

Telle mère telles filles, Justine et Sandrine, initiées par leur mère à la méthode fessée, en avaient adopté la pratique auprès de leur mari qui en subissaient quotidiennement les cuisants effets. Ça filait droit dans les chaumières qui résonnaient régulièrement du claquement des fessées, rythmé par les pleurs et les supplications. Ces jeunes Dames à poigne savaient se faire respecter. Elles n'hésitaient jamais à déculotter et rougir un derrière, lorsque le devoir de maintien d'une bonne discipline l'exigeait. Et cela arrivait fréquemment.
Elles participaient, souvent avec leur mère, aux séances de fessées, qu'organisait l'impérieuse Béatrice qui leur donnait ainsi l'opportunité d'exercer leur talent au maniement du martinet sur les fesses de son fils Maxime. Toutes les occasions étaient bonnes et la maîtresse femme ne manquait pas d'imagination. C'était la fessée du jour de l'an, les fessées des quatre saisons pour fêter l'arrivée de chacune d'elle, ou encore celles de la journée de la femme. Le pauvre garçon n'avait alors pas d'autre choix que de devoir tester d'autres cuisses gainées de bas nylon que celles de sa mère. Ses joues en profitaient, largement autant que ses fesses.


En pénitence depuis dix minutes après ses fessées, Maxime transpirait entre les jambes de sa mère, coincé dans l'espace exigu de dessous son bureau. Elle avait ôté ses talons aiguille et il devait respectueusement embrasser ses pieds, gainés de nylon, pour la remercier de l'avoir aussi bien fessé. Il l'entendait au-dessus de lui, discuter tranquillement au téléphone.

« Mais bien sûr Claridge, quelle question !... Tu viens avec tes filles... Justine et Sandrine sont toujours les bienvenues. A l'origine ça devait se faire chez Gladys mais elle ne peut pas chez elle ce samedi... Alors ça sera donc ici, à la maison. »



Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...

Le début : chapitre 1 de la saison 1
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 15

Il y a une suite, c'est le chapitre 17

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre :  ramina16@laposte.net

2 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Quelle déculottées pour ces Messieurs !!!
    Ces Dames s'amusent de leurs pouvoirs et des maladresses de leurs hommes dont elle mettent un point d'honneur à remettre dans le droit chemin. "Qu'est-ce qu'on dit à Maman ??" Imparable d'ironie !
    Ces "Mater Furiosa" savent y faire avec leurs hommes ! Damned !
    Superbe !
    Amicalement. Peter.

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  2. Bonjour Peter,
    Eh oui, quand l'ironie, ou le sarcasme, accompagne la fessée celle ci en est d'autant plus marquante ajoutant un peu plus à l'humiliation de se faire corriger déculotté.
    Mater Furiosa, certes est aussi Mater Dolorosa ... et pas pour elle. Pouvoir matriarcal loin des mamas italiennes ( et pas qu'elles) confinées à la maison. C'est le Power Girl par la fessée, ou le renversement de situation dans une société toujours bien machiste!
    Alors bien sûr elles ne se gênent pas pour en profiter, du moins dans nos petites histoires! Encore que, certaines dans la réalité...
    Et ça n'arrête pas de chaufeeeeer !
    Cordialement
    Ramina

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