mercredi 16 janvier 2019

Recadrage en Provence - chapitre 1


La liste des auteurs contribuant au blog s'allonge et c'est une très bonne chose. Pour le début de cette nouvelle année, nous accueillons Paul OTK qui commence, cette semaine, un récit qui nous emmène en Provence.
Merci Paul pour ce récit. Vous vous doutez bien qu'il tient à savoir ce que vous, les lecteurs, en pensez. A vos commentaires !


Mon train était en approche, j'allais enfin découvrir mon nouveau lieu de vie. J'en voulais à ma mère de m'envoyer chez sa cousine Marthe mais je devais bien me rendre à l'évidence, je ne trouvais pas ma place à Paris, ma vie ne prenait pas le bon chemin. Sans réel objectif dans la vie je vaquais à des occupations sans avenir après avoir échoué dans plusieurs petits boulots comme serveur, livreur ou encore couvreur dans le bâtiment qui était initialement l'avenir que j'avais choisi. Mes parents ne supportaient plus de me voir passer mes journées à "geeker" sur l'ordinateur, la console de jeux et sortir le soir dans les bars parisiens n'hésitant pas à accumuler les flirts sans lendemain.


Du haut de mes 26 ans, je n'avais vu Marthe qu'une seule fois à Paris lorsque nous avions fêté le nouvel an il y a déjà une quinzaine d'années. Dans mes souvenirs, c'était une femme autoritaire, charismatique, intéressante et qui semblait être très heureuse en Provence où elle avait développé l'entreprise familiale, une ferme agricole de lavande dont les huiles avaient beaucoup de succès et se vendaient à très bon prix aux quatre coins du monde.

Mon train entrait en gare d'Aix en Provence, Anne, le bras droit de Marthe devait m'attendre et me conduire jusqu'à la ferme. J'étais curieux de découvrir cette ferme dont j'entendais parler depuis si longtemps mais je doutais que j'y trouverai ma place... J'espérais ne pas décevoir mes parents, il ne serait plus possible pour moi de retourner vivre comme un poids chez eux à Paris, mon père m'avait menacé de me couper définitivement les vivres. Il avait été clair : "Maxime nous ne pouvons plus te voir gâcher ta vie, travailler chez Marthe, la cousine de ta maman sera ta dernière chance à nos yeux, tu as suffisamment abusé de notre patience, nous ne pourrons plus te soutenir si tu échoues là-bas...".

A peine sorti du train, j'entendis une voix perçante :
" Maxime, Maxime par ici ! Enfin te voilà, il fait une chaleur à suffoquer suis-moi nous ferons les présentations lorsque nous serons arrivés à la ferme".
– Oui Madame fis-je, surpris par l'aisance que montrais cette inconnue pendue à son téléphone. "
Anna étais très féminine, une femme simple, propre sur elle. Ses longs cheveux noirs et sa peau dorée me faisaient penser à Flavia, une belle italienne pulpeuse que j'avais rencontrée dans un restaurant à Montmartre.
Sur le trajet menant à la ferme, Anna ne put m'adresser quelques mots, en permanence au téléphone, il me semblait avec des clients. Le travail devait bien occuper ses journées...

Quand nous arrivâmes à la ferme le crépuscule n'était plus très loin, la ferme était majestueuse dans la lumière tombante, les cigales avaient stoppé leur vacarme et un silence profond occupait la belle campagne environnante. Encore occupée au téléphone, Anna me montra du doigt la porte d'entrée de la ferme. Je m'y rendis, las, fatigué d'un voyage bien long et surtout après une nuit qui avait été bien courte, la tournée des bars pour saluer mes amis parisiens avait été arrosée.
Arrivé sur le perron Marthe me salua et me fit la bise précipitamment, elle paraissait agacée et je pus me rendre compte rapidement qu'il se passait quelque chose de particulier. 
"Je suis ravie de te revoir Maxime, j'espère que tu as fait bon voyage, excuse mon humeur mais ma fille Louise m'a donné du fil à retordre aujourd'hui. Ne fais pas attention, elle est punie au coin à ta droite, tu seras peut être surpris mais ici les règles doivent être respectées sinon la fessée déculottée est de rigueur. Je ne peux supporter des écarts sur la conduite, le respect, le travail et la propreté." 
Sans même comprendre, las de fatigue et sous l'effet de surprise, je rétorquais bêtement :
"Enchanté cousine Marthe, je comprends vous avez sûrement beaucoup à faire pour faire tourner une ferme telle que la vôtre"

C'est à ce moment-là que mon sang se glaça, ma surprise fût indescriptible et je me souviendrais toute ma vie de ce moment, de cette image qui m'a marquée pour toujours... Louise était debout dans le coin du salon, nez contre le mur. En chemise de nuit, pieds nus et les fesses à l'air. Ses mains soulevaient sa chemise de nuit et je décelai un léger sursaut quand elle apprit ma présence et entendit ma voix. Ses fesses étaient écarlates, sa silhouette était parfaite. Sa taille était si menue puis elle s'élargissait brusquement pour mettre en perspective une chute de reins et un derrière arrogant, rebondi et généreux. Je n'avais jamais ressenti un tel bonheur, la vue de ces globes ronds et parfaitement dessinés me hante encore si souvent...

"Louise je ne t'ai pas entendu saluer Maxime, ce n'est pas parce que tu es au coin les fesses à l'air que tu es devenue sourde et que tu dois te passer d'un minimum de politesse.
– Bon... Bonsoir Maxime, entendis-je d'une voix penaude.
– Bien... remonte donc mieux ta chemise de nuit pour que Maxime puisse bien voir tes fesses en train de cuire ! Vois-tu Maxime, Louise a cru bon de profiter de la pause de midi et de la sieste du personnel pour faire bronzette à l'arrière des champs de lavande dans le plus simple appareil ! Cette gourde s'est endormie et n'a pas retrouvé son poste de travail à 16h avec les autres. C'est Anna la chef du personnel qui l'a surprise plus d'une heure après ! Elle n'est pas capable de réussir son année d'étude et par-dessus le marché elle n'est pas capable de travailler correctement quelques semaines en été pour l'entreprise familiale ! Je ne sais pas ce que je vais faire d'elle ! Allez, monte donc déposer tes affaires dans la première chambre à gauche en haut de l'escalier et te débarbouiller, je t'attends dans 5 minutes pour te servir les restes du dîner de ce soir."

Je ne pus décoller mon regard du corps de Louise, ses jambes et son dos semblaient effectivement dorés par le soleil mais ses fesses rougies ressortaient et mettaient encore plus en perspective cet attribut charnel à la fois innocent et insolent que la nature lui avait donné...

"Maxime monte donc rapidement ! Relança Marthe. Il est déjà tard !"

A mon grand regret je dus lâcher du regard ce derrière envoûtant et je m'engageai dans l'escalier. Je déposai mes affaires très rapidement, me débarbouillai puis je redescendis en espérant retrouver cet ange aux fesses nues dans le coin du salon. 

En descendant l'escalier j'entendais des claquements secs, espacés de quelques secondes et suivis de près par des petits cris aigus. Ma surprise fut totale lorsque je retrouvais les deux femmes... Louise recevait la fessée, elle était allongée sur les genoux de Marthe, sa chemise de nuit était remontée jusqu'au-dessus de sa tête, tout son corps dénudé nous était exhibé, ses fesses arrondies au-dessus des genoux de sa mère étaient à ce moment le point culminant de son corps. Ses mains reposaient au sol mais ses pieds nus battaient dans l'air, on aurait dit une petite fille tentant de se dégager d'une fessée. Marthe marqua une petite pause, le temps de me demander de m'asseoir à table. 

"Assieds-toi Maxime et laisse-moi encore une petite minute, j'en ai bientôt fini avec le derrière de cette petite sotte"
Elle reprit la fessée de plus belle et lança à Louise :
"Cela t'apprendra à jouer à la nudiste à l'heure de la sieste, quelqu'un aurait pu te voir, mais bien sûr quand il s'agit de profiter du soleil en pleine nature ma petite chérie n'a plus aucune pudeur ! J'espère que tu as bien honte de te faire fesser cul nu devant Maxime que tu n'as encore jamais rencontré ! La punition sera encore plus mémorable et je compte bien sur cela pour que tu ne réitères pas !"

Louise restait sans voix, elle semblait plus préoccupée par la cuisson de ses fesses que par les remontrances de sa mère ou encore le spectacle qu'elle m'offrait. Elle émettait parfois des cris plus marqués lorsqu'une claque ou l'autre était plus appuyée ou plus sonore. 

"Cette petite peste a en plus le culot de venir dîner sans culotte sous sa chemise de nuit ! Je ne sais pas ce que je vais faire de cette petite, Maxime..."

Je sentais dans la voix de Marthe une réelle blessure. J'étais jusque-là plutôt choqué par ce que je découvrais des habitudes disciplinaires de Marthe, mais au fond de moi je ressentis à ce moment l'amour d'une mère pour sa fille, une mère qui souhaitait uniquement remettre sa progéniture dans le droit chemin. 

Les fesses de Louise se dandinaient de droite à gauche, me permettant à certains moments d'entrevoir son intimité, la petite tâche rosâtre de son anus au milieu de la raie de ses fesses apparaissait puis disparaissait. Ses mouvements continuaient à s'amplifier et ce fut donc jusqu'à ce qu'elle avait de plus intime qui m'était offert par moments, je crus voir un fil luisant y apparaître. Etait-il possible malgré la douleur, malgré la honte d'être fessée cul nu devant moi que Louise éprouve une certaine excitation ? Peut-être était-ce dû à ma présence ? Louise avait l'air d'aimer bronzer nue, de se balader sans petite culotte, peut-être qu'elle avait un certain penchant pour l'exhibition ? Cette situation, cette vision nouvelle pour moi, la beauté du corps et des fesses de Louise, sa probable excitation quant à ma présence... tout cela ne put que créer une réaction physiologique en moi, mon sexe gonflait... gonflait encore... 
Les mains de Marthe étaient puissantes et le rythme qu'elle mettait à la fessée était impressionnant, elle ne plaisantait pas. Je me mis à repenser à ses paroles lorsque j'étais entré :
"ici les règles doivent être respectées sinon la fessée déculotté est de rigueur".
Est-ce que d'autres personnes même adultes étaient soumises à cette humiliation dans ces murs ? Cette pensée me mortifia mais malgré tout mon sexe était en pleine érection, je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, je craignais d'être humilié comme l'était Louise en ce moment, je ressentais un nœud dans mon ventre, être soumis, exhibé aux yeux des inconnues de cette maison... Pourtant voir une de celles-ci recevoir la fessée m'excitait. La honte et l'excitation se mélangeaient en moi. Non ce n’est pas possible, ce châtiment ne me sera pas réservé à moi, je suis plus âgé que Louise et surtout la relation mère – fille justifiait une possible fessée, ce n’était pas mon cas.

C'est avec dépit que la fessée pris fin, enfin je veux dire de mon point de vue. Louise devait être plutôt soulagée, son derrière luisait carrément, la peau de ses fesses avait viré de rouge à écarlate. On avait l'impression que ce cul rond et rouge réchauffait toute la pièce. 

" Lève-toi Louise, fait moi le plaisir de monter dans ta chambre, d'enfiler une culotte et de te mettre au lit. Nathalie viendra vérifier que tu as bien exécuté mes ordres. Tu as de la chance pour ce soir, tu sais bien que tu aurais mérité le martinet en temps normal ! De mon côté il temps que je serve son dîner à Maxime."

Tout en laissant couler une larme sur sa joue, Louise supplia :

" Puis-je dormir nue maman s'il te plaît ? Ou en string ? Je crains de ne pas supporter l'élastique de la culotte sur mes fesses. "

Marthe ajouta quelques tapes bien appuyées sur le derrière de Louise :

" Je t'ai déjà dit de ne plus porter ces immondes dessous riquiqui, ces strings ficelle ! Ici on ne porte pas ces dessous sexy ! Et de plus le déculottage ne fait plus son effet en cas de fessée ! Tu peux dormir nue, rien ne te l'empêche ! Mais gare à toi si je te surprends un jour avec un de ces dessous obscène ma petite…"

Louise se releva en maintenant sa nuisette au-dessus de ses hanches, Marthe lui embrassa les deux joues, la jeune punie me jeta un petit regard en coin puis s'engagea dans l'escalier. Son postérieur rebondi, toujours aussi arrogant malgré les traces de la fessée, reflétait les lumières du lustre de la salle à manger. 

" Mets-toi donc à table Maxime, j'ai attendu ton arrivée pour dîner avec toi, je t'énoncerai ton programme quotidien ainsi que les quelques règles à suivre ici à la ferme. Tes parents ont été clairs, il est temps que tu deviennes un homme, tu n'auras aucun privilège ici et seras soumis aux mêmes règles que Louise et nos employées. Cela te fera je pense le plus grand bien mon garçon."

Par ces mots prononcés par cousine Marthe, le doute naissait en moi. Faudrait-il que je me soumette également à la fessée déculottée comme l'avait été Louise sous mes yeux ? Finalement la question se posait bien malgré nos statuts différents. Cette situation me paraissait ridicule, bien qu'excitante quand il s'agissait des fesses de Louise. Me serait-elle également réservée ? Devant d'autres personnes ? Comment pourrais-je l'accepter ? Toutes ces questions m'occupaient alors que Marthe mettait les restes de poulet et de ratatouille sur la table.

C'est le premier épisode. Il y en aura d'autres. RdV la semaine prochaine


Et si je me fendais d'un petit commentaire ?

C'est facile ! Quelques mots d'encouragement ou de réprobation... Paul OTK les attend avec impatience. Il vous répondra.
Vous pouvez également le contacter directement : Paul OTK



4 commentaires:

  1. Bonjour Paul OTK,

    Voilà un récit très champêtre... qui commence bien.
    Cadre estival. On entendrait presque les cigales "grillonner" !
    Notre héros va devoir compter avec la présence bienveillante mais ferme de la cousine maternelle. Et l'idylle qui se profile (?) devra s'accommoder de la présence de "tante" Marthe, une femme aux principes stricts.
    Comment le jeune Maxime va t-il pouvoir naviguer entre ces deux eaux ? Suspense... On devinerait la tournure mais bon.
    bonne journée. Peter.

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  2. Bonjour Paul,
    Amusant le pseudo "Over The Knee" OTK pour les intimes comme les "Spanking " dans cette position.

    Voici un cadre original ou le claquement des fessées fait écho au chant des cigales. Il ne faudra pas compter sur la température ambiante du midi pour atténuer la chaleur des derrières après les déculottées de rigueur à la ferme. Le goût du travail bien fait annonce des corrections du même genre.
    A l'allure ou vont les choses, le nouvel arrivant ne va pas se poser longtemps la question. En regard des talents de la cousine Martha, les tournées de fessées vont vite remplacer les tournées dans les bars.
    Louise "sans culotte" a l'air bien effrontée et ses belles fesses bien rebondies n'ont certainement pas fini de rougir à l'ombre comme au soleil. Cuisantes fessées en perspective!
    Le récit est plaisant avec des descriptions assez imagées et bien écrites.
    Comme le suggère Peter, aurons nous droit à une idylle Louise/Maxime nouée en duo de fessée sur les genoux de Tantine ? Tout est possible sous le soleil de Provence et le parfum de la lavande!
    Cordialement
    Ramina

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  3. P.S. Bonne remarque sur l'effet "Kiss Cool" du déculottage. Etape incontournable de la mise en condition avant la fessée!
    Ramina

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  4. Bonsoir messieurs,

    Ravi que ce premier épisode vous plaise. La lavande, les cigales et le soleil vont nous faire du bien en cette période hivernale ;-)
    En effet, Louise risque de ne pas nous décevoir, elle représente pour moi la jeune femme sensuelle, dévorée par sa libido naissante mais pas si naïve que cela malgré son jeune âge.
    Le nouvel arrivant vient d'arriver "au paradis" peut être ;-) en tout cas une de mes versions.

    Cordialement,
    Paul.

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