La liste des auteurs contribuant au blog s'allonge et c'est une très bonne chose. Pour le début de cette nouvelle année, nous accueillons Paul OTK qui commence, cette semaine, un récit qui nous emmène en Provence.
Merci Paul pour ce récit. Vous vous doutez bien qu'il tient à savoir ce que vous, les lecteurs, en pensez. A vos commentaires !
Mon train était en approche, j'allais enfin découvrir mon nouveau
lieu de vie. J'en voulais à ma mère de m'envoyer chez sa cousine Marthe mais je
devais bien me rendre à l'évidence, je ne trouvais pas ma place à Paris, ma vie
ne prenait pas le bon chemin. Sans réel objectif dans la vie je vaquais à des
occupations sans avenir après avoir échoué dans plusieurs petits boulots comme
serveur, livreur ou encore couvreur dans le bâtiment qui était initialement
l'avenir que j'avais choisi. Mes parents ne supportaient plus de me voir passer
mes journées à "geeker" sur l'ordinateur, la console de jeux et
sortir le soir dans les bars parisiens n'hésitant pas à accumuler les flirts
sans lendemain.
Du haut de mes 26 ans, je n'avais vu Marthe qu'une seule fois
à Paris lorsque nous avions fêté le nouvel an il y a déjà une quinzaine
d'années. Dans mes souvenirs, c'était une femme autoritaire, charismatique,
intéressante et qui semblait être très heureuse en Provence où elle avait
développé l'entreprise familiale, une ferme agricole de lavande dont les huiles
avaient beaucoup de succès et se vendaient à très bon prix aux quatre coins du
monde.
Mon train entrait en gare d'Aix en Provence, Anne, le bras droit
de Marthe devait m'attendre et me conduire jusqu'à la ferme. J'étais curieux de
découvrir cette ferme dont j'entendais parler depuis si longtemps mais je
doutais que j'y trouverai ma place... J'espérais ne pas décevoir mes parents,
il ne serait plus possible pour moi de retourner vivre comme un poids chez eux
à Paris, mon père m'avait menacé de me couper définitivement les vivres. Il
avait été clair : "Maxime nous ne pouvons plus te voir gâcher ta vie, travailler
chez Marthe, la cousine de ta maman sera ta dernière chance à nos yeux, tu as
suffisamment abusé de notre patience, nous ne pourrons plus te soutenir si tu
échoues là-bas...".
A peine sorti du train, j'entendis une voix perçante :
" Maxime, Maxime par ici ! Enfin te voilà, il fait une
chaleur à suffoquer suis-moi nous ferons les présentations lorsque nous serons
arrivés à la ferme".
– Oui Madame fis-je, surpris par l'aisance que montrais cette
inconnue pendue à son téléphone. "
Anna étais très féminine, une femme simple, propre sur elle. Ses
longs cheveux noirs et sa peau dorée me faisaient penser à Flavia, une belle
italienne pulpeuse que j'avais rencontrée dans un restaurant à Montmartre.
Sur le trajet menant à la ferme, Anna ne put m'adresser quelques
mots, en permanence au téléphone, il me semblait avec des clients. Le travail
devait bien occuper ses journées...
Quand nous arrivâmes à la ferme le crépuscule n'était plus très
loin, la ferme était majestueuse dans la lumière tombante, les cigales avaient
stoppé leur vacarme et un silence profond occupait la belle campagne
environnante. Encore occupée au téléphone, Anna me montra du doigt la porte
d'entrée de la ferme. Je m'y rendis, las, fatigué d'un voyage bien long et
surtout après une nuit qui avait été bien courte, la tournée des bars pour
saluer mes amis parisiens avait été arrosée.
Arrivé sur le perron Marthe me salua et me fit la bise
précipitamment, elle paraissait agacée et je pus me rendre compte rapidement
qu'il se passait quelque chose de particulier.
"Je suis ravie de te revoir Maxime, j'espère que tu as fait
bon voyage, excuse mon humeur mais ma fille Louise m'a donné du fil à retordre
aujourd'hui. Ne fais pas attention, elle est punie au coin à ta droite, tu
seras peut être surpris mais ici les règles doivent être respectées sinon la
fessée déculottée est de rigueur. Je ne peux supporter des écarts sur la
conduite, le respect, le travail et la propreté."
Sans même comprendre, las de fatigue et sous l'effet de surprise,
je rétorquais bêtement :
"Enchanté cousine Marthe, je comprends vous avez sûrement
beaucoup à faire pour faire tourner une ferme telle que la vôtre"
C'est à ce moment-là que mon sang se glaça, ma surprise fût
indescriptible et je me souviendrais toute ma vie de ce moment, de cette image
qui m'a marquée pour toujours... Louise était debout dans le coin du salon, nez
contre le mur. En chemise de nuit, pieds nus et les fesses à l'air. Ses mains
soulevaient sa chemise de nuit et je décelai un léger sursaut quand elle apprit
ma présence et entendit ma voix. Ses fesses étaient écarlates, sa silhouette
était parfaite. Sa taille était si menue puis elle s'élargissait
brusquement pour mettre en perspective une chute de reins et un derrière
arrogant, rebondi et généreux. Je n'avais jamais ressenti un tel bonheur, la
vue de ces globes ronds et parfaitement dessinés me hante encore si souvent...
"Louise je ne t'ai pas entendu saluer Maxime, ce n'est pas
parce que tu es au coin les fesses à l'air que tu es devenue sourde et que
tu dois te passer d'un minimum de politesse.
– Bon... Bonsoir Maxime, entendis-je d'une voix penaude.
– Bien... remonte donc mieux ta chemise de nuit pour que Maxime
puisse bien voir tes fesses en train de cuire ! Vois-tu Maxime, Louise a cru
bon de profiter de la pause de midi et de la sieste du personnel pour
faire bronzette à l'arrière des champs de lavande dans le plus simple appareil
! Cette gourde s'est endormie et n'a pas retrouvé son poste de travail à 16h
avec les autres. C'est Anna la chef du personnel qui l'a surprise plus d'une
heure après ! Elle n'est pas capable de réussir son année d'étude et
par-dessus le marché elle n'est pas capable de travailler correctement quelques
semaines en été pour l'entreprise familiale ! Je ne sais pas ce que je vais
faire d'elle ! Allez, monte donc déposer tes affaires dans la première chambre
à gauche en haut de l'escalier et te débarbouiller, je t'attends dans 5 minutes
pour te servir les restes du dîner de ce soir."
Je ne pus décoller mon regard du corps de Louise, ses jambes et
son dos semblaient effectivement dorés par le soleil mais ses fesses rougies
ressortaient et mettaient encore plus en perspective cet attribut charnel à la
fois innocent et insolent que la nature lui avait donné...
"Maxime monte donc rapidement ! Relança Marthe. Il est déjà
tard !"
A mon grand regret je dus lâcher du regard ce derrière
envoûtant et je m'engageai dans l'escalier. Je déposai mes affaires très
rapidement, me débarbouillai puis je redescendis en espérant retrouver cet
ange aux fesses nues dans le coin du salon.
En descendant l'escalier j'entendais des claquements secs,
espacés de quelques secondes et suivis de près par des petits cris aigus.
Ma surprise fut totale lorsque je retrouvais les deux femmes... Louise recevait
la fessée, elle était allongée sur les genoux de Marthe, sa chemise de nuit
était remontée jusqu'au-dessus de sa tête, tout son corps dénudé nous était
exhibé, ses fesses arrondies au-dessus des genoux de sa mère étaient à ce
moment le point culminant de son corps. Ses mains reposaient au sol mais
ses pieds nus battaient dans l'air, on aurait dit une petite fille tentant de
se dégager d'une fessée. Marthe marqua une petite pause, le temps de me
demander de m'asseoir à table.
"Assieds-toi Maxime et laisse-moi encore une petite minute,
j'en ai bientôt fini avec le derrière de cette petite sotte"
Elle reprit la fessée de plus belle et lança à Louise :
"Cela t'apprendra à jouer à la nudiste à l'heure de la
sieste, quelqu'un aurait pu te voir, mais bien sûr quand il s'agit de profiter
du soleil en pleine nature ma petite chérie n'a plus aucune pudeur ! J'espère
que tu as bien honte de te faire fesser cul nu devant Maxime que tu n'as encore
jamais rencontré ! La punition sera encore plus mémorable et je compte bien sur
cela pour que tu ne réitères pas !"
Louise restait sans voix, elle semblait plus préoccupée par la
cuisson de ses fesses que par les remontrances de sa mère ou encore le
spectacle qu'elle m'offrait. Elle émettait parfois des cris plus marqués
lorsqu'une claque ou l'autre était plus appuyée ou plus sonore.
"Cette petite peste a en plus le culot de venir dîner sans
culotte sous sa chemise de nuit ! Je ne sais pas ce que je vais faire de cette
petite, Maxime..."
Je sentais dans la voix de Marthe une réelle blessure. J'étais
jusque-là plutôt choqué par ce que je découvrais des habitudes disciplinaires
de Marthe, mais au fond de moi je ressentis à ce moment l'amour d'une
mère pour sa fille, une mère qui souhaitait uniquement remettre sa progéniture
dans le droit chemin.
Les fesses de Louise se dandinaient de droite à gauche, me
permettant à certains moments d'entrevoir son intimité, la petite tâche rosâtre
de son anus au milieu de la raie de ses fesses apparaissait puis
disparaissait. Ses mouvements continuaient à s'amplifier et ce fut donc jusqu'à
ce qu'elle avait de plus intime qui m'était offert par moments, je crus
voir un fil luisant y apparaître. Etait-il possible malgré la douleur, malgré
la honte d'être fessée cul nu devant moi que Louise éprouve une certaine
excitation ? Peut-être était-ce dû à ma présence ? Louise avait l'air d'aimer
bronzer nue, de se balader sans petite culotte, peut-être qu'elle avait un
certain penchant pour l'exhibition ? Cette situation, cette vision nouvelle
pour moi, la beauté du corps et des fesses de Louise, sa probable excitation
quant à ma présence... tout cela ne put que créer une réaction
physiologique en moi, mon sexe gonflait... gonflait encore...
Les mains de Marthe étaient puissantes et le rythme qu'elle
mettait à la fessée était impressionnant, elle ne plaisantait pas. Je me mis à
repenser à ses paroles lorsque j'étais entré :
"ici les règles doivent être respectées sinon la fessée
déculotté est de rigueur".
Est-ce que d'autres personnes même adultes étaient soumises à
cette humiliation dans ces murs ? Cette pensée me mortifia mais malgré tout mon
sexe était en pleine érection, je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, je
craignais d'être humilié comme l'était Louise en ce moment, je ressentais un
nœud dans mon ventre, être soumis, exhibé aux yeux des inconnues de
cette maison... Pourtant voir une de celles-ci recevoir la fessée m'excitait.
La honte et l'excitation se mélangeaient en moi. Non ce n’est pas possible, ce
châtiment ne me sera pas réservé à moi, je suis plus âgé que Louise et surtout
la relation mère – fille justifiait une possible fessée, ce n’était pas mon
cas.
C'est avec dépit que la fessée pris fin, enfin je veux dire de mon
point de vue. Louise devait être plutôt soulagée, son derrière luisait
carrément, la peau de ses fesses avait viré de rouge à écarlate. On avait
l'impression que ce cul rond et rouge réchauffait toute la pièce.
" Lève-toi Louise, fait moi le plaisir de monter dans ta
chambre, d'enfiler une culotte et de te mettre au lit. Nathalie viendra
vérifier que tu as bien exécuté mes ordres. Tu as de la chance pour ce soir, tu
sais bien que tu aurais mérité le martinet en temps normal ! De mon côté
il temps que je serve son dîner à Maxime."
Tout en laissant couler une larme sur sa joue, Louise supplia
:
" Puis-je dormir nue maman s'il te plaît ? Ou en string
? Je crains de ne pas supporter l'élastique de la culotte sur mes fesses.
"
Marthe ajouta quelques tapes bien appuyées sur le derrière de
Louise :
" Je t'ai déjà dit de ne plus porter ces immondes dessous
riquiqui, ces strings ficelle ! Ici on ne porte pas ces dessous sexy ! Et de
plus le déculottage ne fait plus son effet en cas de fessée ! Tu peux dormir
nue, rien ne te l'empêche ! Mais gare à toi si je te surprends un jour avec un
de ces dessous obscène ma petite…"
Louise se releva en maintenant sa nuisette au-dessus de ses
hanches, Marthe lui embrassa les deux joues, la jeune punie me jeta un petit
regard en coin puis s'engagea dans l'escalier. Son postérieur rebondi, toujours
aussi arrogant malgré les traces de la fessée, reflétait les lumières du lustre
de la salle à manger.
" Mets-toi donc à table Maxime, j'ai attendu ton arrivée
pour dîner avec toi, je t'énoncerai ton programme quotidien ainsi que les
quelques règles à suivre ici à la ferme. Tes parents ont été clairs, il est
temps que tu deviennes un homme, tu n'auras aucun privilège ici et seras soumis
aux mêmes règles que Louise et nos employées. Cela te fera je pense le
plus grand bien mon garçon."
Par ces mots prononcés par cousine Marthe, le doute naissait en
moi. Faudrait-il que je me soumette également à la fessée déculottée
comme l'avait été Louise sous mes yeux ? Finalement la question se posait bien
malgré nos statuts différents. Cette situation me paraissait ridicule,
bien qu'excitante quand il s'agissait des fesses de Louise. Me
serait-elle également réservée ? Devant d'autres personnes ? Comment
pourrais-je l'accepter ? Toutes ces questions m'occupaient alors que Marthe
mettait les restes de poulet et de ratatouille sur la table.
C'est le premier épisode. Il y en aura d'autres. RdV la semaine prochaine
Et si je me fendais d'un petit commentaire ?
C'est facile ! Quelques mots d'encouragement ou de réprobation... Paul OTK les attend avec impatience. Il vous répondra.
Vous pouvez également le contacter directement : Paul OTK
Bonjour Paul OTK,
RépondreSupprimerVoilà un récit très champêtre... qui commence bien.
Cadre estival. On entendrait presque les cigales "grillonner" !
Notre héros va devoir compter avec la présence bienveillante mais ferme de la cousine maternelle. Et l'idylle qui se profile (?) devra s'accommoder de la présence de "tante" Marthe, une femme aux principes stricts.
Comment le jeune Maxime va t-il pouvoir naviguer entre ces deux eaux ? Suspense... On devinerait la tournure mais bon.
bonne journée. Peter.
Bonjour Paul,
RépondreSupprimerAmusant le pseudo "Over The Knee" OTK pour les intimes comme les "Spanking " dans cette position.
Voici un cadre original ou le claquement des fessées fait écho au chant des cigales. Il ne faudra pas compter sur la température ambiante du midi pour atténuer la chaleur des derrières après les déculottées de rigueur à la ferme. Le goût du travail bien fait annonce des corrections du même genre.
A l'allure ou vont les choses, le nouvel arrivant ne va pas se poser longtemps la question. En regard des talents de la cousine Martha, les tournées de fessées vont vite remplacer les tournées dans les bars.
Louise "sans culotte" a l'air bien effrontée et ses belles fesses bien rebondies n'ont certainement pas fini de rougir à l'ombre comme au soleil. Cuisantes fessées en perspective!
Le récit est plaisant avec des descriptions assez imagées et bien écrites.
Comme le suggère Peter, aurons nous droit à une idylle Louise/Maxime nouée en duo de fessée sur les genoux de Tantine ? Tout est possible sous le soleil de Provence et le parfum de la lavande!
Cordialement
Ramina
P.S. Bonne remarque sur l'effet "Kiss Cool" du déculottage. Etape incontournable de la mise en condition avant la fessée!
RépondreSupprimerRamina
Bonsoir messieurs,
RépondreSupprimerRavi que ce premier épisode vous plaise. La lavande, les cigales et le soleil vont nous faire du bien en cette période hivernale ;-)
En effet, Louise risque de ne pas nous décevoir, elle représente pour moi la jeune femme sensuelle, dévorée par sa libido naissante mais pas si naïve que cela malgré son jeune âge.
Le nouvel arrivant vient d'arriver "au paradis" peut être ;-) en tout cas une de mes versions.
Cordialement,
Paul.