Edouard et les femmes du salon
Toute forme
d'activité est maintenant suspendue dans le salon de coiffure. Malgré les
rideaux et les tentures aux murs, tout l'espace de la boutique résonne du
formidable claquement de la fessée qu'administre Béatrice Klakerspank, la
patronne, avec force et conviction. Monsieur Edouard s'est montré plutôt
familier, voire irrespectueux, envers Catherine, une de ses employées
personnelles et mérite sans discussion possible, la correction exemplaire qu'il
est en train de recevoir.
Elle l’a courbé
en deux sur sa cuisse qu'elle a relevée à l'horizontale, le pied posé sur un
tabouret, disposant ainsi d'une paire de fesses parfaitement tendues et bien
exposée à sa main. Dans cette position difficile à tenir, la victime plutôt
préoccupée de maintenir son équilibre en s'agrippant au siège, ne peut
esquisser le moindre geste de protection. Béatrice officie face à l'assistance
qui peut tout à loisir profiter du réjouissant spectacle.
« Regardez-moi ça comme il la prend
bien sa fessée ! On voit que monsieur est habitué à s'en faire mettre des
sévères et que Madame prend soin de lui entretenir le derrière en
forme ! »
Catherine, la victime, Solange,
l'autre employée et Madame Duplessy la dernière cliente, suivent avec un
plaisir manifeste, le déroulement de la magistrale fessée qui tourne vite à la
démonstration. Madame Klakerspank
maîtrise à l'évidence son sujet. Sa main
bien enveloppante, se régale en cuisants allers et retour et semble s'emplir de
toute la surface des deux fesses chaque fois qu'elle en épouse la rondeur à
pleine paume.
« Allons mon cher, pas de
relâchement, on tient la position, les fesses relevées, bien tendues pour que
ça claque fort. Une fessée qui claque bien est une fessée efficace !»
– Ooooh madame Klakerspank, s'il
vous plait... pas si fort, ça fait mal ! »
Courbé en deux autour de la cuisse
de sa fesseuse, la tête dodelinant vers le sol, Edouard pousse des petits
gémissements de douleur et sent les larmes lui monter aux yeux. Ses bras et
jambes se balancent dans le vide, sous l'impulsion des claquées qui lui
secouent furieusement le postérieur dont il ne parvient plus à maîtriser les
soubresauts. Au rythme cadencé de la fessée, il se laisse glisser d'avant en
arrière sur la cuisse de sa fesseuse, s'irritant le ventre sur son bas nylon et
la boucle de sa jarretelle.
La
maîtresse femme est à son affaire. Elle fesse avec force et conviction, attentive
à sévèrement punir le mal élevé pour son geste irrespectueux. Fesser c'est bien, mais pas encore suffisant
pour satisfaire la maîtresse femme. Elle
y ajoute l'humiliation en rythmant sa fessée de commentaires graveleux sur la
fermeté, la souplesse et la bonne réceptivité de son derrière.
« Voyez-vous cher ami, je corrige
régulièrement mon fils, Maxime, depuis qu'il est en âge de recevoir des
fessées. Il a maintenant vint deux ans et je peux me vanter de lui avoir
formaté une paire de fesses solide et performante que je déculotte encore au
moindre écart de comportement. Et je vous prie de croire que je lui en mets des
sévères ! Je dois dire que la vôtre tient la comparaison et n'a rien à lui
envier. Elle encaisse merveilleusement bien !
« Et elle rougit vite aussi
! »
Ajoute Catherine qui suit avec
intérêt le déroulement des opérations en attendant sereinement son tour. Elle
prépare mentalement celle la raclée qu'elle va lui administrer pendant que la
maîtresse des lieux continue à lui claquer le derrière avec ardeur. Elle
s'applique à bien le faire rebondir sur sa cuisse, tout en poursuivant ses
commentaires.
– « Mesdames, je pense que vous
serez d'accord avec moi. Pour réussir une fessée, il faut des fesses endurantes
et bien rebondies. Je dois dire qu'avec celle de notre cher Edouard on est
servi, et très bien servi ! On peut dire qu'elles en mettent plein la
main. Elles claquent fort et bien tout de suite. On voit que monsieur à la
chance d'avoir une épouse qui s'en occupe régulièrement. »
Dans un ensemble parfait, les trois femmes
expriment leur accord avec enthousiasme, en haussant la voix pour se faire
entendre. Béatrice fesse de plus en plus fort. Le malheureux, éprouve les pires
difficultés à supporter la fessée qu'elle prolonge à plaisir. Pour Béatrice
Klakerspank, une fessée d'échauffement à travers le slip, pour compenser
l'absence de déculottage, doit durer longtemps. Edouard, a beau être habitué
aux longues et cuisantes fessées de Gladys, celle-ci lui paraît interminable,
alors qu'elle ne dure que depuis dix minutes. Mais cela paraît très long sous
une main claqueuse aussi féroce.
Son slip de nylon très fin, tendu à
craquer sur ses fesses par la chaleur et la transpiration, ne le protège
pratiquement plus des cuisantes claquées qui tombent en rafales serrées.
Imperturbables, ces Dames, surtout
Catherine, qui savoure le début de sa vengeance, assistent avec plaisir à
l'excitant spectacle. Elles s'amusent à en évaluer l'efficacité en commentant
la montée en rougeur du fessier, de plus en plus visible à travers le nylon
transparent. L'empiècement de cette nature, judicieusement placé en arrondi sur
toute la surface du postérieur a été conçu pour ça.
La plupart de ces Dames, ferventes
adeptes de la fessée comme méthode de discipline conjugale, faisaient porter à leur
mari ces « Spanking slip » ou « Slips à fessée ». La
transparence et l'élasticité du nylon bien moulant, un renfort de couture au
milieu pénétrant la raie des fesses pour en sculpter et mettre en valeur les
hémisphères, rendaient les derrières plus attractifs pendant les séances de
corrections. Elles se fournissaient chez Madame De Blagnac, la propriétaire de
la boutique de lingerie de la rue Aubagne, qui les faisait venir d'Angleterre.
Le succès de ces lingeries pour homme avait été immédiat. Les épouses les plus
sévères étaient invitées à venir en tester l'efficacité sur les fesses de leur
mari, au cours de séances privées dans l'arrière-boutique.
Assez rapidement, les rencontres
« Spanking slips » finirent par obtenir autant de succès, sinon plus,
que les fameuses réunions Tupperware !
Autant dire qu'à chaque nouvel arrivage les fessées claquaient en série
dans les cabines d'essayage, démonstration à l'appui de résistance et de
souplesse des élastiques au cours des déculottages et reculottages
successifs.
D'une puissante claquée sur les deux
fesses en même temps, la dimension de sa main lui en facilitant l’exécution, madame
Béatrice, se décide à mettre fin à la correction.
Elle contemple son œuvre avec le
sourire satisfait du travail bien fait. Sous l'effet de la fessée, le derrière
bien rouge, encore frémissant, est en feu continu sous le nylon. Un vrai
brasero !
Edouard, écoulé pantelant sur sa
cuisse, sanglote en essayant de reprendre sa respiration. Son postérieur vient
de faire la douloureuse connaissance avec la puissance des fessées de madame
Klakerspank. Et encore, à travers le slip ! Ce n'est pas encore la fessée
déculottée qu'elle doit lui mettre après celle de Catherine, mais la douce
créature tape déjà tellement fort qu'il en a le souffle coupé. Les larmes aux
yeux, il suffoque de douleur sur sa cuisse avec la cuisante impression qu'elle
l'avait déculotté dès le début. Il eut même, un moment, l'impression qu'elle
lui avait éclaté son slip sur les fesses et qu'il ne restait plus que les
élastiques autour de ses cuisses tant il entendait et sentait l'impact de sa
main brûlante sur sa peau. Quelle fessée ! Ce genre de femme était capable
de fesser si fort qu'elle aurait pu faire fondre un slip de nylon sur un
derrière !
Les mains sur les hanches, Béatrice le laisse
cuver sa raclée et commente avec ironie.
« Félicitations mon cher, on a bien
dégusté sa fessée ! Excellente d'ailleurs, aussi cuisante du début jusqu'à
la fin. N'est-ce pas Mesdames, vous avez remarqué aussi ?
– Pour ça oui ! S'exclame
Catherine avec assurance. Madame l'a bien corrigé ! »
Madame Duplessy, qui ne s'était pas
beaucoup exprimé jusque-là et s'était contentée de profiter de la belle
démonstration de madame Klakerspank fessant Edouard plié en deux sur sa cuisse,
répond à son tour avec enthousiasme,
« Bravo ma chère ! Vous avez le
tour de main efficace ... et un de ces coups de poignet ! Superbe !
J'ai rarement vu et entendu une fessée claquer aussi fort ! Et on voit que
monsieur est habitué à en recevoir. »
Solange enchaîne à son tour, après
avoir complimenté sa patronne pour sa performance.
« ... Et que son épouse lui a appris
à bien tenir ses fesses. Il les a gardées en position pendant toute la durée de sa
correction. »
Béatrice, en position dominante,
caresse d'une main nonchalante, le postérieur en feu resté prostré sur sa
cuisse toujours relevée.
« Et oui... Nous avons là un
derrière docile et obéissant, habitué à la fessée ! On a même parfois
l'impression qu'il se repositionne de lui-même sous la main après chaque rafale
pour mieux se prendre la suivante ! Comme s'il en redemandait sans arrêt,
alors on lui en remet encore, toujours avec plaisir ! C'est bien mon ami,
c'est bien ! »
Sur ces bonnes paroles elle passe la
main sous l'élastique du slip et la glisse à l’intérieur pour apprécier le
niveau de chaleur. Ses fesses sont tellement sensibles qu'il pousse un gémissement
plaintif lorsqu'elle s'amuse à les soupeser dans sa paume. Sans se préoccuper
de ses réactions, elle lève les yeux vers le plafond avec un petit sourire
ironique en lui maintenant la pression sur le derrière pour bien lui montrer
qu'elle en dispose encore à sa guise tant qu'elle ne l'a pas relâché.
« Hummm ... Alors, on les sent
comment ses fesses après ce délicieux hors d'œuvre ? Elles m'ont semblé
absorber cette fessée avec une certaine aisance. J'y ai pourtant mis du cœur à
l'ouvrage. »
Edouard ne répond rien évidemment.
Il est davantage préoccupé par cette main possessive qui alimente la douleur de
son arrière train toujours en feu dans son slip, devenu trop serré. Béatrice
poursuit avec détachement.
« La cuisson est à point, elles
sont à la bonne température. Prêtes à recevoir la fessée déculottée que
Catherine va maintenant vous administrer. Sa petite compensation bien légitime,
en quelque sorte. Vous comprenez n'est-ce pas ? »
Edouard gémit, Il tremble sur la
cuisse de sa fesseuse, sans pour autant espérer de meilleur sort s'il en
descend. Béatrice confirme d'un ton suave.
– « Catherine ma chère, il est à
vous, je vous ai préparé ses fesses, profitez en tant qu'elles sont encore
chaudes. Les fessées déculottées claquent beaucoup mieux sur des fesses
récemment corrigées. Elles sont plus souples et détendues. N'hésitez pas à
taper fort, il a des fesses très endurantes, vous allez pouvoir y aller de bon
cœur. Flanquez-lui la fessée qu'il a méritée, une longue et sévère !
– « Faites-moi confiance madame,
après ce qu'il a osé me faire je ne vais pas me gêner pour lui en mettre une
bonne ! »
Béatrice d'un ton complaisant,
presque affectueux, comme s'il s'agissait d'aller chercher un prix de bonne
conduite.
– « Edouard mon ami, si vous voulez
bien descendre... Vous n'allez quand même pas rester là à pleurnicher sur ma
cuisse alors que Catherine attend avec impatience que vous veniez bien
gentiment lui présenter vos fesses à déculotter ! Aller, on se dépêche
d'aller chercher sa nouvelle fessée... Vous êtes loin d'en avoir fini mon
cher. »
L'atmosphère dans le salon
s'alourdit de plus en plus. Un ange passe, le slip en travers des cuisses. Le séchoir
toujours à la main, Solange s'est assise dans le fauteuil près de madame
Duplessy. Toutes deux visiblement enchantées d'assister à une deuxième fessée,
déculottée cette fois ci et, par conséquent plus retentissante que la première,
pourtant déjà bien soignée. Catherine, bien calée dans son fauteuil, se prépare
en retroussant la manche de son chemisier pour bien dégager la main qu'elle va
utiliser pour fesser. La vengeance est un plat qui se déguste très chaud, Elle
bien décidée à taper fort. Madame Klakerspank, impériale près de la caisse
dirige les opérations.
Aucun état d'âme chez les quatre femmes et
aucune clémence. La correction est méritée. Il est important de sévir contre
ces gestes déplacés, exécutés trop souvent en toute impunité. Les fessées doivent être administrées sans
pitié, aussi longues et cuisantes que nécessaire pour servir de leçon au
malotru.
Edouard, encore sonné par sa raclée,
n'a pas la force de se redresser. Les fesses lourdes, gonflées de claques, il
se laisse glisser lentement vers le sol pour descendre de la cuisse gainée de
nylon de sa fesseuse. Au moment où ses pieds vont retrouver le carrelage après
son cuisant séjour en hauteur, la voix forte de Béatrice le stoppe net dans son
retour à la terre ferme.
« Et bien mon ami, on ne va pas
partir comme ça, sans remercier la Dame qui vient de vous administrer une si
belle fessée ! »
D'une claque formidable sur le
derrière encore tendu, elle le fait remonter sur sa cuisse en le tirant par les
cheveux d'une main, lui allongeant de l'autre un deuxième service encore plus
fort. Elle le gronde comme un petit garçon malpoli.
« Qu'est-ce qu'on dit à la Dame qui
vient de vous chauffer les fesses ? Hum, qu'est-ce qu'on dit quand on est un
garçon bien élevé ? Ce qui, d'ailleurs, n'a pas l'air d'être le
cas. »,
La main ferme de la belle femme
repart aussi sec en aller et retour sur les deux fesses dont le formidable
claquement, encore amplifié par la résonance du carrelage, envahit de nouveau
tout l'espace sonore du salon.
Edouard se tortille en poussant un
cri à chaque claque. La tête tirée en
arrière sous la poigne de la terrible femme, l'oblige à cambrer les reins pour
lui offrir son derrière tendu à sa main.
« Oui, oui ! Merci ... merci pour...
–
Merci qui d'abord ? Nouveau départ de claques qui lui font sauter
le derrière de plus belle. Hein, merci qui ?
– Ouaiiiie !!! Merci
maaaa-dame, mer... Et ça continue à claquer de plus en plus fort.
Raaaah !!!
Merci ma... a...dame pour cette bonne
fessée !
– « Et bien voilà... On finit
toujours par y arriver... avec quelques bonnes claques aux fesses ! Mais
on a encore des progrès à faire en ce qui concerne les formules de politesse.
Je vais en parler avec madame votre épouse qui saura remédier à
cela... Maintenant on va chercher sa deuxième fessée ! »
Elle le faire descendre de sa
cuisse, autour de laquelle il se laisse glisser de nouveau, jusqu'à ce que ses
pieds touchent le sol. Aussitôt debout, elle le propulse en avant d'une
nouvelle claque en plein milieu des fesses.
« Allez on se dépêche !
Catherine vous attend. Vous allez voir, elle fesse très bien aussi. Elle a une
main presque aussi cuisante que la mienne, un vrai plaisir ! »
– Merci du compliment madame. Vous
me flattez. »
Répond l'intéressée en
frottant ses paumes l'une contre l'autre pour les échauffer.
Edouard n'en même pas large. Devant
la détermination de ces femmes il a bien conscience d'avoir intérêt à obéir, et
vite. Les chevilles empêtrées dans son pantalon baissé il se précipite vers sa
fesseuse en se dandinant comme un pingouin. Avec un sourire triomphant, elle
retrousse sa jupe bien haut au-dessus de ses jarretelles et lève les bras pour
lui laisser la place. Il émet un petit couinement plaintif en s'allongeant sur
les cuisses brillantes de nylon et se soumet immédiatement aux consignes.
« On pose ses mains à plat par terre
et on arrondit bien ses fesses pour que je les déculotte ! Aller, exécution
! »
Tout le monde suit avec gourmandise
les préliminaires de la fessée.
Catherine ne boude pas son plaisir et d'un habile tour de main déculotte
prestement sa victime en lui faisant soulever le derrière pour faciliter le
passage du slip. Le fessier apparaît, bien déployé, entièrement rouge de la
fessée précédente qui, il y a à peine dix minutes, retentissait encore sous la
main de Madame Klakerspank. L’élastique vient tout juste de claquer en haut des
cuisses que la deuxième fessée démarre en fanfare, emplissant de nouveau
l'espace du salon d'un niveau sonore tout à fait satisfaisant.
Comme il fallait s'y attendre,
Catherine, imprégnée de son désir de punir sévèrement son harceleur, déploie
toute son énergie à lui flanquer la magistrale fessée déculottée qui doit lui
servir de leçon. Elle tape de toutes ses forces, insistant sur le milieu de
chaque fesse puis élargit la frappe sur toute la surface pour remonter la raie
et repartir en allers et retours fesse droite, fesse gauche, claquer par en
dessous pour les faire rebondir, et les reprendre à la volée du haut vers le
bas. Habituée à fesser son petit ami, la jeune femme fait preuve d'une facilité
d'exécution qui témoigne de son expérience en la matière. Il ne lui faut pas
plus de deux ou trois bonnes claquée pour trouver la distance nécessaire à la meilleure
prise d'élan et ajuster sa frappe en adaptant la courbe de sa main à celle des
fesses qu'elle corrige. Le résultat est là, d'une superbe efficacité. C'est la
fessée magnifique, triomphante et cuisante, menée d'une main rageuse par une
jeune femme en colère.
Edouard, malmené, est immédiatement
en souffrance. Regretter son attitude ne lui sert à rien, sinon pour s'en
repentir publiquement mais il est trop tard. Sa punition est en cours et ne se
terminera que lorsque la maîtresse des lieux en décidera. C'est elle qui mène
la danse. Sévèrement stimulé sous la cadence des claques imprimées par sa
nouvelle fesseuse, le gros derrière encore sensible de la précédente fessée,
s'est remis en mouvement. Docile, bien dressé, il suit le rythme imposé en se
tortillant frénétiquement, ajoutant à la montée en cuisson du postérieur,
l'irritation de son ventre frottant sur les cuisses gainées de nylon. Vaincu et
soumis, les fesses en feu sous les rafales, il ne peut s'empêcher de retenir
ses larmes et d'exprimer bruyamment sa douleur en vaine supplications.
« Aaaaaah … a... arrêtez
Catherine ! Pitié ! Je... je vous en supplie, ça suffit !
J'ai... J'ai compris ! je... je ne recommencerai plus ! »
Emportées par la brûlante atmosphère ces dames
manifestent leur enthousiasme à entendre claquer les fesses du puni et les voir
virer à l'écarlate sous la fessée.
« Oh le pauvre chéri !
S'exclame madame Duplessy. Il fait moins l'arrogant maintenant ! Le
monsieur qui se croit tout permis, avec ses mains baladeuses !
Solange renchérit en réclamant une
correction plus sévère,
« Oui, Catherine plus fort ! Il
faut qu'il comprenne ! Plus question d'accepter les mains aux
fesses ! Sers-toi bien de la tienne et flanque-lui la grosse fessée dont
il se souviendra ! »
Catherine exulte sous les
encouragements. Elle réajuste la position de son puni qui commence à glisser
sur ses cuisses, et reprend la fessée en redoublant d’énergie. Ça claque dur.
Edouard se met aussitôt à hurler en s'étranglant à moitié dans ses larmes,
« Ah ... Enfin ! C'est ce
que j'attendais ! S’exclame-t- elle.
Je savais bien que j'allais le faire craquer ! Il suffit de
mettre la bonne dose »
Stimulée par les cris et les pleurs
de sa victime, elle ralentit la cadence pour mieux ajuster les claques et en
agmenter la puissance.
« Voilaaaa ! C'est comme ça que
je veux l'entendre ! Quand on crie fort c'est que la fessée est
bonne ! En principe avec ce que je lui mets maintenant sur les
fesses, il devrait logiquement monter dans les aigües ! ».
Edouard répond présent et pousse des
cris stridents tant la fessée devient insupportable. Ses fesses durement claquées, rebondissent
dans tous les sens et irradient la pièce d'un splendide rouge cramoisi. Il en
bave sur le carrelage dans une mare de larmes. Catherine au sommet de sa forme
tient sa revanche. Elle se soulève au-dessus de son siège pour prendre la
hauteur nécessaire à une plus grande prise d'élan et conclut sa fessée en lui
abattant une formidable claque, pleine fesses, à faire vibrer en écho les
grandes glaces du salon. Les fesses cuisantes et fumantes au-dessus du slip,
empêtré dans son pantalon en accordéon sur les chevilles, le malheureux
s'écroule sur le carrelage dans un râle d'agonisant. Un petit soutire ironique
sur les lèvres, Catherine le laisse s'affaler par terre satisfaite de sa
prestation et de la couleur du flamboyant postérieur.
« Aaaaah, ça fait du bien ! Je
me sens beaucoup mieux maintenant. Rien ne vaut une bonne fessée déculottée
pour se détendre les nerfs ! C'est radical ! N'est-ce pas cher
ami ? »
Edouard, le slip encore baissé en
travers des cuisses, geint par terre en se tenant les fesses à pleines mains. A
la maison ça lui aurait valu immédiatement une nouvelle fessée. Mais Gladys n'est pas là pour appliquer la
règle. Pas pour l'instant. On se contente de peu, mais c'est toujours ça de
gagné. Il sanglote en bredouillant des plaintes incompréhensibles. Qu'est-ce
qu'il lui a pris de vouloir toucher le derrière de Catherine ! S'il avait
su...
Brève accalmie après la tempête. Un
ange passe dans le salon, les fesses en feu. C'est Solange la première qui
rompt le silence seulement perturbé par les sanglots et gémissements d'Edouard
dont le claquement de la fessée semble encore résonner dans la pièce.
– « Bravo Catherine ! Félicite-t-elle, en serrant les poings comme
pour souligner une victoire. Torride la fessée, géniale ! Quelle raclée tu
lui as mis ! Je n'en reviens pas comment tu lui as fait claquer le
derrière ! Ça va lui faire du bien,
au moins il va s'en souvenir ! »
Madame Duplessy ravie sur son
fauteuil, applaudit comme au spectacle. Elle était venue se faire coiffer, elle
n'est pas déçue du rendez-vous. Deux fessées en trois quarts d'heure dont une
magnifique déculottée.
– « Formidable Catherine !
Vraiment formidable ! On voit que vous avez du tempérament et que vous ne
vous laissez pas faire ! Je ne vous croyais pas capable de fesser aussi
bien et aussi fort. Après une telle
déculottée, j'espère qu'il ne sera pas prêt à recommencer ! »
Catherine savoure les compliments. Les mains
sur les hanches, elle contemple d'un air goguenard son puni au tapis. Allongé
sur le côté, il se balance d'avant en arrière en gémissant et se tenant les
fesses à pleines mains.
« Alors on les sent ses fesses là,
hein ? Elles chauffent bien n'est-ce pas ! La fessée c'est fait pour
ça mon ami. Il a compris maintenant ce que ça coûte de tripoter le derrière des
Dames... Mal élevé ! »
Edouard grimaçant, essaye de se
relever, une main sur les fesses l'autre en appui au sol.
« Oui Catherine, oui... je vous en
prie... je ne recommencerai plus, je vous assure.
– A la bonne heure ! C'est qu'on devient raisonnable quand on a
les fesses bien rouges !
– Pour ça oui, vous fessez fort.
– C'est vrai... Se rengorge
l'intéressée en frottant les paumes de ses mains encore chaudes, l'une contre
l'autre. Je sais, j'ai la réputation d'avoir la main ferme. C'est ce que me dit
toujours Antoine, mon petit ami. Je m'entraîne très souvent sur ses fesses.
– Et bien ça se sent ! »
Commente Edouard qui commence seulement à reprendre son souffle.
Béatrice, Solange et madame Duplessy
suivent l'échange de commentaires avec amusement. Catherine, en démonstration
d'autorité, ne lâche pas sa proie.
« Maintenant qu'est-ce qu'on dit à
la Dame qui vous a flanqué une si bonne fessée ? Hum ? »
Edouard, les yeux écarquillés,
balbutie en reniflant. Les fesses lui cuisent atrocement.
« Merc... merci pour cette...
fessée ! Euuuh... cette bonne fessée !
– Oui... et merci qui ?!
– Madame !... Merci madame pour
cette bonne fessée !
– Voilaaà ! C'est ce que je
voulais entendre. Il peut se relever et retourner voir madame Béatrice qui
l'attend pour la suite de sa correction. Personnellement j'estime avoir obtenu
réparation. »
Avec les dessins originaux de l'auteur !
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Le début : chapitre 1 de la saison 1
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 6
Il y a une suite, le chapitre 8
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 6
Il y a une suite, le chapitre 8
Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre : ramina16@laposte.net
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerQuel suspense !!!
Et à la conclusion, ce n'est pas fini pour Edouard ! l'arroseur arrosé , en somme !!
J'imagine bien le coup de fil de Madame Béatrice à sa redoutable épouse... Ca va chauffer !!!
On attend la suite avec impatience. Les dessins en NetB donnent une impression de souvenirs. Excellent.
Peter.
Re-bonjour Ramina,
RépondreSupprimerLe titre de votre récit sonne comme le titre d'une enquête du Commissaire Maigret (de l'époque où le rôle-titre était interprêté par Jean Richard ). Souvenirs, souvenirs...
Tenez : Madame Béatrice, la sculpturale patronne du salon est retrouvée sans vie par son employée, Catherine à l'ouverture. Qui pourrait être l'auteur d'un tel affreux forfait ? Une cliente mécontente ? Un ami éconduit ? Un concurrent jaloux ?
Hum... Je m'égare, je m'égare...
Bonne journée. Peter'.
Aaaaah, Peter,Peter ! Ou l'imagination au pouvoir.
RépondreSupprimerQuelle drôle d'idée et quelle idée drôle...
" Madame Béatrice Klakerspank retrouvée morte dans son salon de coiffure. D'abord assommée à coups de manche de martinet sur la tête, puis étranglée avec les lanières. Vengeance d'un homme trop sévèrement corrigé par une fervente adepte de la fessée ? Rivalité entre maîtresses femmes ?
La commissaire Planturet après enquête et interrogatoire rondement menés, fessées musclées à l'appui, fini par obtenir les aveux d'une certaine Jacky la Claqueuse dont les empreintes avaient été relevées sur les fesses de la victime, ainsi que des traces ADN sur son slip!
Vengeance de femme "
Bon... En attendant notre amie Béatrice est bien vivantes et ce ne sont pas les fesses de ses victimes qui prétendront le contraire.
Cordialement.
Ramina
Pourquoi un tel scénario dans lequel Madame Klakerspank morte ????
RépondreSupprimerJe serais ravie aussi bien d'être coiffé et corrige par Madame Klakerspank....que de pouvoir (réellement) devenir son époux...