samedi 19 janvier 2019

Axel au supermarché - chapitre 79


L’émoi qu’avait créé notre fessée déculottée reçue en public se calma assez vite. Chacun était rentré chez lui, nous étions les seuls, parmi les clients du magasin, à devoir rester sur place
Certains avaient pris des photos pour garder une trace de cette situation peu commune. Il fallait s’attendre à retrouver nos fesses sur internet. Heureusement, nos visages n’étaient pas visibles, nous avions donc peu de risque d’être reconnus, sauf par ceux qui avaient assisté à notre punition.

A chaque nouvelle personne qui entrait dans le magasin, l’étonnement se renouvelait. Nul ne pouvait passer à côté du petit attroupement qu’il y avait derrière Florence et moi. C’était, au début, de l’incompréhension. Personne ne s’attendait à trouver deux adultes, culotte baissé, au piquet dans l’entrée du magasin. Il y en avait quelques-uns pour s’indigner, mais cela ne durait pas dès qu’ils déchiffraient la pancarte dans notre dos.
Nous avions une utilité pédagogique certaine. Derrière nous, beaucoup de personnes nous utilisaient comme repoussoir ou comme confirmation de leurs théories.
« Vois-tu ce qui arrive à ceux qui volent dans les magasins ? Tu as de la chance que je n’aie pas fait pareil la dernière fois ! »
« Regarde bien ! Crois-tu que tu es trop vieux pour recevoir une fessée ? Je ne pense pas que tu aies l’âge du garçon qui est au piquet ! »
« Je sais ce qu’il me reste à faire la prochaine fois que tu feras un caprice ! »
Pas un ne compatissait à notre humiliation ou s’il y en avait, ils restaient silencieux. Sans doute étions-nous dans une situation où notre popularité était faible, ce qui se comprenait.
« Si cela arrivait plus souvent, il y aurait moins de délinquants ! »
« Dommage que je n’ai pas pu féliciter les parents de ces deux jeunes gens ! »
« J’espère qu’ils auront compris que voler dans les magasins est interdit. »
« C’est bien mieux que d’appeler la police. Là ils sont vraiment punis ! »
Je faisais mon possible pour bien coller mon nez au mur afin d’être le moins reconnaissable possible. A côté de moi, Florence y mettait encore plus d’énergie. Etant habitante de cette ville, la probabilité qu’elle soit reconnue était bien plus forte que la mienne.
Je ne savais plus où étaient Tatie Nathalie et Jeanne. Je doutais qu’elles nous aient attendus, compte tenu du temps que nous venions de passer au piquet. Elles nous avaient sans doute laissés là et je ne savais pas quand elles reviendraient nous chercher.

Dès qu’elles s’étaient éloignées, la directrice du magasin était venue nous prévenir.
« Je vous laisse sous la surveillance de Madame Archain. C’est la responsable de l’accueil du magasin. Elle vous tiendra à l’œil et si vous bougez, elle a pour consigne de me prévenir immédiatement. Vos parents m’ont donné l’autorisation de vous punir si vous ne vous tenez pas sages au coin. Ne me donnez pas de prétexte pour passer à l’acte, j’ai une envie folle de vous fesser ! »
Bien sûr, c’était assez normal qu’elle vienne nous faire sentir l’autorité qu’elle avait sur nous. Les vols dans son magasin devaient être monnaie courante. Cela l’exaspérait sûrement. Pour une fois qu’elle tenait deux de ces chapardeurs ! Et, atout supplémentaire, leurs parents étaient d’accord pour qu’ils servent d’exemple.
Elle ne devait pas être beaucoup plus âgée que moi, mais elle me tenait sous sa coupe. Elle pouvait, sans risque, se comporter avec moi comme si je n’étais qu’un petit garçon immature qu’il fallait remettre en place en lui mettant le nez sur ses bêtises. Imprudemment, je m’étais placé dans cette situation dont je ne pouvais plus sortir sans dommage.
Sa démonstration d’autorité était inutile. Elle ne savait pas que l’autorité de Tatie Nathalie suffisait amplement à nous maintenir au piquet, cul nu, le reste de la matinée, y compris dans un espace où passaient de nombreuses personnes.

Elle n’était pour rien dans notre obéissance, quoique je n’eusse aucune envie de goûter aux effets de sa main sur mes fesses nues. Je ne savais plus ce qui était le plus humiliant dans tout ce qui m’était arrivé ce matin. Rester un long moment en pénitence, en plus de ses vertus punitives, a un mérite certain. Ce moment peut être mis à profit pour revenir sur l’enchaînement d’événements qui l’a provoqué. Je ressassais les vexations successives de la matinée.
Mon interpellation et la discussion dans le bureau de la directrice avait souligné mon statut d’irresponsabilité. A aucun moment je n’avais eu à m’exprimer, même pas à présenter des excuses. J’aurais pu expliquer le défi idiot que nous nous étions donné. J’aurais pu plaider que ce n’était pas dans mes habitudes, mais on ne m’en avait pas laissé l’occasion. Mon sort avait été scellé entre Tatie Nathalie et la directrice.
Dès que la fessée avait commencé à produire ses effets, il n’y avait plus eu d’humiliation. L’obligation de ne pas gêner l’application de la correction, l’absorption de la douleur qui émane des fesses, l’attente désespérée de la fin de la correction, nécessitaient une énergie qui ne laissait pas place à d’autres sensations n à d’autres préoccupations. J’avais oublié tout ce qui m’entourait et que la fessée me soit donnée dans l’entrée du magasin devant autant de personnes ou dans l’espace privé de ma chambre, la fessée avait eu les mêmes effets. Je ne dirais pas que ça avait été le moment le plus facile, mais celui où je n’avais pas été soucieux de l’image que je donnais à la différence des autres moments de cet épisode punitif.
J’avais cru mourir quand Tatie Nathalie avait exposé ses intentions à la directrice. Je savais donc à quoi m’en tenir quand j’avais été ramené dans le magasin. Je ne pouvais m’empêcher de garder l’espoir que Tatie Nathalie n’irait pas au bout de ce qu’elle avait décidé. Peut-être renoncerait-elle à la fessée en public, se contentant de la peur que j’avais eu d’une telle humiliation ? Peut-être reviendrait-elle alors à  un cadre plus confidentiel, dans le bureau de la directrice, pourquoi pas en sa présence ? Peut-être se satisferait-elle de me fesser sur le fond du pantalon … ou en ne baissant que le pantalon, mais pas la culotte ? Je connaissais maintenant suffisamment Tatie Nathalie pour savoir qu’elle ne reculerait pas. Une fessée annoncée devait être administrée. Sévir dans un lieu public ne lui posait aucun problème.
Mon déculottage avait été un vrai supplice. Dès que Tatie Nathalie eût commencé à défaire mon pantalon, j’avais perdu tout espoir. Je ne sais pas ce qui est le pire : l’attente d’un déculottage public imminent et inéluctable ou le moment où les vêtements tombent un par un sans qu’on y puisse rien. Je n’avais pas osé y faire obstacle. Florence avait raison : l’ascendance psychologique de Tatie Nathalie sur moi était totale. Cela dit, sur ce point, Florence n’avait rien à m’envier. Elle s’était contentée de faibles protestations, tout comme moi.
Se retrouver au milieu d’une foule d’étrangers, la culotte baissée, nu de la taille aux chaussettes, dépasse en horreur tout ce que j’avais pu imaginer. Je sentais les regards sur ma peau. Ils me brûlaient. C’est quand Tatie Nathalie dévoila mon pénis et mes bourses épilés, en me baissant la culotte, que je pris complètement conscience de ce que je paraissais vraiment. Si j’avais été un adulte aux yeux des spectateurs, il aurait été question d’exhibitionnisme. Les protestations auraient fusé. Ça n’avait pas eu lieu. Nous déculotter en public, Florence et moi, n’avait causé aucun dommage, comme lorsque des petits enfants laissent entrevoir leurs fesses. La situation punitive qui s’annonçait gommait toute ambiguïté. Il était normal de déculotter ces deux jeunes adultes pour les corriger, fusse devant autant de monde.
Les premières minutes que j’avais passées au piquet, après la fessée, m’avaient laissé indifférent au spectacle que j’offrais. Respecter les règles de la station en pénitence avait été, comme à chaque fois, mon unique obsession afin de contenter ma correctrice. Il n’aurait pas s’agi de lui donner motif à reprendre la fessée là où l’avait interrompue.
C’est, la première dizaine de minutes passée, quand la douleur se fait moins cuisante, que les affres de mon exposition à la vue de tous ceux qui passaient, se firent de nouveau sentir. J’avais ravalé mes pleurs au plus vite. Florence avait mis un peu plus de temps. Il me semblait que sangloter m’aurait fait paraître encore plus juvénile que ce que je paraissais en pénitence dans cette tenue. Il y avait quelques rires, vite interrompus quand le sérieux de la situation était perçu. Dans l’ensemble les commentaires que j’entendais parlaient de nous comme des enfants surpris à faire une bêtise et qui avaient subi la justice parentale. Elle était jugée sévère, mais nécessaire pour l’édification de tous. La couleur et les marques sur nos fesses étaient sujet d’étonnement compte tenu de leur persistance.
J’entendais la directrice du magasin répondre obligeamment aux questions qui lui étaient posées quand elle était là. Elle n’hésitait pas à s’approcher et à toucher nos fesses pour en estimer la cuisson. Elle invitait les personnes qu’elle connaissait à l’imiter. Je sentis plusieurs mains venir se poser sur mes fesses qui devenaient un objet public qu’il était possible de tâter. A chaque fois, j’avais l’impression que la cuisson reprenait de plus bel.
Une mégère proposa que chaque arrivant puisse nous fesser trois ou quatre fois afin de nous montrer que nous étions l’objet de la désapprobation générale. Sa proposition fut relayée par quelques voix qui trouvaient l’idée intéressante. La directrice du magasin s’interposa et interdit formellement cette punition non justifiée.
Nous constituions un spectacle, l’attraction du moment et nous ne pouvions pas nous y soustraire.

Le passage incessant des clients du magasin qui marquaient un petit arrêt pour nous contempler m’empêchait de trouver le temps long. Toutefois, l’immobilité se fit inévitablement sentir. Le dos s’engourdit, les bras deviennent lourds, les cuisses se tétanisent. Il aurait fallu changer de position, mais ce n’est pas facile tout en respectant la posture que l’on attendait que je maintienne.
Je faisais jouer les muscles de mes jambes, je creusais un peu moins le dos, je remontais mes mains sur ma tête en nouant plus étroitement mes doigts. Il fallait se livrer à ces exercices sans donner l’impression de bouger. Tout cela devait se faire lentement, centimètre par centimètre. Alors que j’effectuais un mouvement des cuisses un peu plus prononcé, j’entendis une voix juvénile en faire la remarque.
« Regarde, maman, il bouge ! Il n’a pas le droit ! »
J’étais certain qu’au moindre relâchement, il se serait trouvé autant de personnes que nécessaire pour me dénoncer, autant par sentiment de faire son devoir que dans l’espoir de me voir soumis à une nouvelle fessée devant eux.
Il y avait alors un soulagement momentané, mais de courte durée. Rapidement, les courbatures reprenaient le dessus. La même tactique utilisée deux ou trois fois montrait ses limites. J’en étais à désespérer pouvoir tenir plus longtemps et je sentais aux soupirs de plus en plus fréquents de Florence, qu’elle n’arrivait pas plus à tenir la position que moi. Nous étions au bout de ce que nous pouvions supporter.
« Mes deux punis ont-ils été sages ? »
C’était la voix de Tatie Nathalie. Je ne l’avais plus entendue depuis qu’elle nous avait mis au piquet. C’était un réconfort de la savoir là de nouveau. Je sentis que mes larmes montaient et qu’elles étaient au bord de mes yeux, comme si j’avais la confirmation qu’elle ne m’avait finalement pas abandonné au milieu de toutes ces personnes que je ne connaissais pas. J’avais envie de me jeter dans ses bras pour lui demander pardon, même si pour cela il fallait en passer par une autre fessée.
J’étais convaincu que la séquence punition n’était pas achevée. Même si la fessée que Florence et moi avions reçue, avait été des plus sévères, je savais que Tatie Nathalie se ferait un point d’honneur à ce que, ni l’un ni l’autre, nous ne recommencions à voler dans un magasin. Le châtiment public avait été exemplaire, mais j’aurais été étonné qu’elle en reste là.
En commettant cette bêtise, nous avions rompu la confiance qu’elle avait placée en nous, en nous laissant libres de nos mouvements dans le supermarché. De plus, elle avait partagé notre humiliation publique lors de l’interpellation qui s’était déroulée devant l’ensemble des clients du magasin. Je savais que mes fesses et celles de Florence en paieraient le prix, mais j’y étais prêt. Je ne voyais pas ce qui pourrait me faire regagner l’estime de Tatie Nathalie, sauf à accepter courageusement les corrections nécessaires pour expier le défi que nous lui avions lancé en chapardant dans le magasin alors qu’elle était présente.
Je sentis Tatie Nathalie se rapprocher de nous.
« Alors, Axel, est-ce que ça fait réfléchir de se retrouver au piquet, la culotte baissée dans un lieu où passe tant de monde ? »
Elle me donna une petite claque sur les fesses. je compris qu’elle attendait une réponse.
« Oh oui, Tatie !
– Et toi Florence ? »
Florence eut également le droit à sa petite fessée.
« Oui, oui, Tatie Nathalie, répondit-elle. »
Elle posa sa main sur mes fesses et, comme elle le faisait souvent, elle testait l’état de la peau de mes fesses entre son pouce et son index. Cela donnait une caresse que j’aurais adorée si elle s’était pas déroulée en public et si je ne m’étais pas tenu le nez contre le mur et les mains sur la tête. Les contacts intimes qu’elle se permettait sans que je protestasse, montraient combien j’étais habitué à ce que mes fesses soient un territoire sur lequel elle avait la haute-main. Je n’étais que vaguement gêné que cela se fasse en public. C’était un décor que ne pénétrait pas vraiment dans la bulle dans laquelle j’étais. Je me comportais, en fait, comme un enfant obéissant, confiant dans les choix des adultes qui l’entouraient.
« Il est temps que nous réchauffions tout cela ! »
Ma gorge se serra. Nous y étions.
« Je vais faire tout ce qu’il faut pour que vous ne recommenciez plus jamais ce genre d’acte. »
Sa réaction correspondait à ce que j’attendais. Notre punition était loin d’être finie.
« Je veux que vous appreniez que voler dans les magasins présente des risques. Finir devant un tribunal n’est pas le pire d’entre eux. Vous fesser à la maison était insuffisant. Nécessaire, vous ne perdez rien à attendre, mais insuffisant. Je voulais que vous soyez corrigés comme des enfants, là où vous aviez fait cette grosse bêtise. Vous me raconterez plus tard comment vous en êtes arrivés là, mais je subodore une gaminerie irresponsable dans laquelle vous vous êtes entraînés l’un l’autre. »
La clairvoyance de Tatie Nathalie était surprenante.
« Jeanne et moi, en tant que parents, nous vous avons fessés devant tout le monde et vous venez de passer une bonne heure à exposer vos fesses au piquet pour que tous les monde sache que vous avez volé et que vous en avez été corrigés. Mais ce n’était que la première partie de votre punition. »
Je sentis grossir la boule qui était au fond de mon estomac.
« Il faut maintenant que vous répariez le dommage que vous avez causé dans ce magasin. Tout d’abord, vous allez demander pardon à la directrice. Je vais alors lui demander, avant de vous pardonner, de vous donner une bonne fessée chacun. »
Florence gémit faiblement. Je ne fis pas un bruit. Tatie Nathalie avait trouvé comment nous punir encore plus sévèrement que si elle nous avait fessé elle-même très sévèrement.
« Sachez qu’à partir d’aujourd’hui, je la prie de vous corriger, culotte baissée, à chaque fois qu’elle aura quelque chose à vous reprocher dans son magasin ou ailleurs. Je lui en donne l’autorisation. Soyons clair, ce ne sera pas seulement si vous osez, ce qui est assez improbable, de nouveau voler dans le supermarché, non, pas seulement. Je lui demande d’être aussi intransigeante que je le suis à la maison : impolitesse, insolence, gros-mots, caprices, bêtises, … tout cela vous vaudra la fessée. Madame la directrice pourra en prendre l’initiative dès qu’elle le jugera approprié y compris et surtout quand je ne serai pas présente. »
Le nombre de personnes autorisées à me déculotter et à me fesser quand elles le jugeaient utile, comment à grossir. J’en perdais le compte.
« De plus, vous viendrez travailler deux jours complets dans ce magasin, pour réparer le dérangement que vous avez provoqué. Vous serez alors totalement sous la responsabilité de la directrice et des personnes qu’elle désignera. Cela vaut aussi pour les punitions. »
A ce moment-là, je regrettais amèrement de m’être laissé entraîner par Florence. Lucidement, je constatais que tout cela ne serait pas arrivé si je n’avais pas voulu me moquer de la jeune femme.
« Retournez-vous et allez demander pardon à la directrice. Inutile de remonter votre culotte. J’espère bien qu’elle va vous fesser. »
Je fis face à Tatie Nathalie et aux clients qui nous regardaient. J’avais gardé les mais sur la tête et, en me voyant, Florence qui avait baissé les siennes, remis les siennes sur le haut de sa tête. Nous n’avions pas reçu l’autorisation de les baisser.
Quand j’étais au piquet, j’imaginais les regards qui se posaient sur mes fesses nues. Les spectateurs restaient virtuels. Je ne les voyais pas, je ne pouvais pas mettre un visage, un personnage concret sur les mots que j’entendais.
Maintenant, j’étais face aux témoins de ma punition. Ils étaient on ne peut plus tangibles. Je voyais là où leur regard se dirigeait : droit dans mes yeux pour jauger mes réactions, sur mon sexe épilé, sur mes mains juchées sur ma tête, …
Je pouvais lire leurs expressions. Elles étaient souvent amusées ou ironiques de voir deux adultes dont la punition les avait contraints à ignorer les règles de la pudeur. D’autres étaient indignés, mais ce n’étais pas à cause ne notre nudité, mais en raison du vol que nous avions commis. Si j’avais été entre leurs mains, ils m’auraient volontiers administré eux-mêmes la fessée.
Je ne voyais pas d’attitude qui aurait montré, envers nous, de la sympathie d’être si sévèrement et publiquement punis. Il y eut même une dame, entre deux âges, pour nous menacer, de sa main ouverte à hauteur de son visage, promesse d’une prochaine fessée si elle avait son mot à dire.
J’avais cru mourir de honte quand Tatie Nathalie m’avait déculotté devant tous ces gens. Il aurait fallu mourir une seconde fois pour décrire la honte que je ressentais en me déplaçant, culotte baissée, pour aller quémander une fessée à la directrice du magasin.
J’avais craint de devoir traverser tout le hall pour trouver la directrice. Heureusement, elle avait accompagné Tatie Nathalie et Florence et moi n’eûmes que quelques pas à faire pour se trouver planté devant elle. Elle nous attendait, les sourcils froncés et l’air préoccupé.
« Je vous demande pardon pour avoir volé dans votre magasin.
– Moi aussi, je vous demande pardon. »
La directrice nous examina, de la tête aux pieds.
« J’espère que cette punition vous apprendra à ne plus le faire. »
De concert nous hochâmes la tête.
« Dites-moi, poursuivit-elle en se tournant vers Tatie Nathalie, vous croyez vraiment que je peux leur donner une fessée. Ce ne serait pas un peu … intime ? Toucher leurs fesses, ma main à proximité de leur … sexe nu …
– Tout cela est de peu d’importance. Ne les voyez pas comme des adultes qui s’exhiberaient pour faire constater autour d’eux qu’ils ont un corps qu’il faut montrer à leurs voisins sous tous ses atours. Non, non ! S’ils sont pleinement responsables de ce qui les a amenés là, ils ne sont pour rien dans leur tenue. Il n’y a pas d’abus ni sexuel ni maltraitant, si c’est ce dont vous vouliez parler, à leur donner une fessée. Ils l’ont méritée tous les deux. »
Tatie Nathalie était convaincante. La vision de son rôle vis-à-vis de nous était très claire.
« La plupart des jeunes gens qui se livrent à des actes répréhensibles sont punis, mais pas de la bonne façon. S’ils éprouvent le besoin de passer à l’acte, c’est qu’ils sont encore immatures. C’est un appel à ce qu’on s’occupe d’eux. Il est fondamental d’y répondre sauf à prendre le risque que les désordres qui ne sont pas résolus deviennent des problèmes durables. Je pourrais vous en citer un nombre incalculable d’exemples. Voyez-vous, mon Axel a trente-deux ans, dit-elle en me désignant, il est temps de s’en occuper.
– Vous avez raison.
– Souvent, en réponse à ces bêtises de gamin, on leur oppose une réprobation muette et une mise à l’écart, le tout dans un cadre familial. Ils sentent bien le jugement négatif sur leurs actes, mais le message n’est pas assez clair. Les adultes qui les entourent ne les mettent pas explicitement devant leur erreur en les obligeant à la regarder en face. Cela pourrait fonctionner avec des adultes, mais pas avec ces enfants attardés. L’isolement qui en découle a bien souvent l’effet inverse de ce dont ils ont besoin. Il faut de la présence forte, autoritaire, rappelant sans ambiguïté les règles à respecter. »
La directrice était en pleine réflexion. Tatie Nathalie lui proposait une vision iconoclaste de situations qu’elle devait rencontre couramment.
« Vous savez, dans notre pays, la plupart des enfants reçoivent encore la fessée, mais uniquement dans le cadre familial. C’est une hypocrisie. Je crois plus pertinent, quand l’un des jeunes gens que j’ai sous ma responsabilité fait un écart, de le leur signifier tout de suite. Cela montre l’importance que j’accorde à leurs actes. Ils se sont permis de rompre les règles en public, ils doivent en être punis devant les personnes présentes. »
Tatie Nathalie parlait assez fort pour être entendue par les personnes qui s’étaient attroupées autour de nous. Elle attendit d’être approuvée par son auditoire pour continuer.
« Si cela mérite une fessée, ils doivent l’avoir tout de suite. Pour qu’elle soit efficace, il faut toujours baisser la culotte. Je vous assure qu’ils réfléchissent à deux fois avant de recommencer. Je parierais bien c’est la dernière fois de leur vie que nos deux écervelés volent dans un magasin.
– C’est, en effet, très dissuasif, reconnut la directrice. »
Il y eut un murmure général d’assentiment.
« Si à chaque voix qu’un voleur était pris dans un magasin, il recevait une fessée en public, le taux de chapardage diminuerait considérablement. »
Dans le petit groupe qui s’était formé, l’accord était unanime.
« En donnant, à votre tour une fessée à ces deux garnements, vous leur signifierez que ce n’est pas seulement moi, celle qui porte l’exigence quotidienne, qui réprouve leur acte, mais toutes les personnes qui en ont pris connaissance. Faites-vous leur ambassadrice. »
La directrice regarda Florence, puis moi. Son regard avait pris une nouvelle résolution. Elle hocha la tête en direction de Tatie Nathalie.
« Venez-ici, jeune fille ! »
Résignée, Florence approcha. La directrice lui prit la main et elles se dirigèrent vers un banc en bois qui était placé là pour l’usage des clients. Coucher Florence en travers de ses genoux ne posa aucune difficulté à la directrice. La directrice se pencha vers l’oreile de Florence et il y eut un court conciliabule dont je n’entendis rien.
Elle savait donner la fessée et j’étais certain qu’elle n’en était pas à son coup d’essai. Elle n’avait eu aucune hésitation et la fessée colora les fesses de Florence en très peu de temps. Celle-ci accusa la surprise d’une telle douleur en se débattant un peu, mais la directrice y mit fin en immobilisant le buste de sa punie de son bras posé en travers de son dos.
« Vous savez vous y prendre commenta Tatie Nathalie. »
La directrice suspendit l’administration de la punition, le temps de répondre à son interlocutrice. Elle posa sa main sur les fesses de Florence.
« J’ai eu quelques occasions de m’y exercer. Il y a plusieurs années avec une nièce qui pensait que ses dix-huit ans la dispensaient de respecter les règles que je lui imposais alors qu’elle vivait chez moi pendant ses études. Et tout récemment, avec un employé qui a préféré la fessée à un renvoi pur et simple. Avec lui, ça devient une habitude : quatre fois durant ce mois. Il sait qu’il sera encore puni de cette façon à la prochaine incartade. »
La fessée de Florence reprit. Les grimaces de la jeune femme se firent de plus en plus prononcées. Elle cherchait visiblement à rester stoïque sous la correction que lui administrait cette personne qu’elle ne connaissait pas le matin même. Cela ne dura pas. Les grimaces se finirent en petits cris de plus en plus prononcés, puis Florence eut un hoquet que la maintint en apnée pendant plusieurs secondes, puis, quand elle reprit sa respiration, elle laissa échapper le premier sanglot. Il ouvrit les vannes de pleurs qui ne cessèrent plus.
« C’est idiot de retenir ses cris et ses pleurs, pensais-je en moi-même, ça incite la fesseuse à y mettre plus d’énergie. Il vaut mieux crier et pleurer dès le début ! »
Visiblement, Florence n’avait plus le choix. Ses fesses avaient retrouvé leur couleur cramoisie d’autant plus vite qu’elles n’avaient récupéré qu’en apparence de la correction que sa mère lui avait administrée avec la règle, il y a finalement peu de temps. Elle montrait maintenant tous les signes d’une jeune fille à qui la fessée qu’on lui administre, apprend qu’il ne serait pas pertinent de recommencer la même bêtise que ce matin. On pouvait gager que la leçon serait intégrée profondément dans son cerveau après une matinée si difficile.
Le spectacle de la fessée de Florence m’avait fait perdre le fil des évènements. Je me comportais comme un spectateur alors que j’étais, la culotte baissée, au milieu d’une foule de personnes comme si être déculotté publiquement était une situation banale.
Je réalisais brusquement que j’étais le prochain à passer sur les genoux de la directrice et qu’il n’y avait aucune raison qu’elle ne m’épargnât. Mon angoisse monta d’un cran, mais je résolus de mettre de côté ma fierté et de montrer aussi vite que possible que ma repentance était acquise. Peut-être cela pouvait-il rendre la directrice plus indulgente ?
Je n’eus pas beaucoup de temps pour me poser la question. Le bruit de la main de la directrice sur les fesses de Florence, cessa. Les pleurs de la jeune femme continuèrent.
« Voilà qui devrait être suffisant pour cette petite voleuse. Je compte sur vous, Madame, pour mettre le point d’orgue dès votre retour à la maison. »
Elle n’attendit pas la réponse de Tatie Nathalie, comme si sa proposition allait de soi. J’avais bien peut qu’elle eût raison.
« Relève-toi, jeune fille, il faut que tu laisses la place à ton complice. »
Florence se redressa et un regard noir de Tatie Nathalie arrêta sa main qi s’apprêtait à frotter ses fesses.
 « A ton tour, mon garçon, viens prendre place ! »
Les genoux flageolants, je me rendis à l’appel de la directrice. Je ne voyais pas comment faire autrement. Un regard désespéré vers Tatie Nathalie n’eut aucun effet et il n’y avait aucune aide à attendre de la part des spectateurs. Je marchais vers mon imminente punition.
La directrice me désigna ses genoux de l’index, puis elle écarta les bras. Je m’allongeais à plat-ventre en travers de ses cuisses. Mon bassin était positionné sur sa cuisse droite et mon buste sur la gauche qu’elle avait un peu écartée pour m’offrir une assise confortable. Ma tête se retrouvait au-dessus du banc. J’avais placé mes bras en avant afin de les écarter. Elle me serra contre son ventre et posa son bras sur mon dos.
« Je suppose que tu as appris à ne pas te relever pendant une fessée, même si elle est vigoureuse ?
- Oui, Madame.
– Ça tombe bien ! Tu vas recevoir une magnifique fessée. J’ai bien l’intention de te faire comprendre qu’on ne vole pas dans mon magasin. Tu vas l’apprendre avec des fesses bien rouges, comme ta partenaire. Tu as vu quels sont les effets d’une fessée que je donne ?
– Oui Madame.
– Sois courageux ! »
Elle me laissa attendre un petit peu, puis sa main claqua sur mes fesses. Elle y avait mis toute sa conviction


fessée déculottée par la directrice


La directrice s’arrêta.
« Crois-tu que tu vas me jouer la comédie comme cela ? »
La fessée reprit de plus belle. Elle y mit, pendant un bon moment la même énergie qu’elle y avait mis pour la première claque. Je ne jouais plus aucun jeu. Mes cris et mes pleurs étaient provoqués par la rigueur de la correction que je prenais. Ma belle stratégie avait volé en éclat et la fessée que j’avais reçue n’était pas moins sévère que celle de Florence.

« Mettons-les au piquet le temps que nous convenions des conditions de leurs deux jours de travail. Quand pensez-vous que ce sera possible ? »
On nous laissa de nouveau seuls, Florence et moi, côte à côte, la culotte toujours à hauteur des genoux et les mains sur la tête. La cuisson de mes fesses était revenue à son maximum.


Et avec un nouveau dessin de Peter Pan.



Pour suivre le fil de cette histoire :

Comprendre le contexte : l'introduction

Le premier épisode : chapitre 1

L'épisode précédent : chapitre 78

Le prochain épisode ... c'est le chapitre 80

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C'est par ici

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18 commentaires:

  1. Bonjour,
    Ce Supermarché vient d'ouvrir un rayon fessée pour les petits chapardeurs pris sur le fait. La directrice mandatée par tatie Nathalie se fait un plaisir de claquer les fesses de deux punis en public. Nul doute que ce genre de prestation attire davantage la clientèle que les habituelles animations de magasin.

    " Dans cinq minutes opération promo fesses rouges: Démonstration de fessée déculottée par la Directrice du magasin en tète de gondole à la caisse numéro huit !"
    Ou comment faire diminuer les vols à l'étalage en rendant plus attractive la fréquentation du magasin!
    Cordialement
    Ramina.

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  2. certainement beaucoup plus efficace, moins administratif et moins onéreux que des frais de justice

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  3. A carrefour, la fessée positive.
    Chez Leclerc, la fessée est moins chère... Rires
    Ramina

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  4. Bonjour Ramina,

    Excellente promotion !
    Ne manquerait plus que:
    "In-ter-mar-ché, les mousquetaires de la bonne correctionnnn !"
    "Aux Galeries Lafayette, la fessée est en fête !!"...
    NB : Le format du dessin se rapproche de la planche de BD.
    Et l'original tient sur une demi-feuille (Format A5)!!!
    Châpeau, l'artiste !! Rires.
    Peter.

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  5. En promotion chez Super U, la fessée cul nu
    Ravi que cet épisode vous inspire. Et voilà que Juve Fandor propose que cela remplace la justice prud'homale. Bonne idée, sauf que cette dernière n'est pas paritaire. Qu'en serait-il de la fessée administrée aux employeurs quand c'est eux qui ont tort ?
    Au plaisir de vous lire,

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  6. Il y aurait foule. Il faudrait des tickets de réservation pour leur claquer le derrière! Et certainement pas de tickets de réduction : Fessées plein pot !

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  7. Bonjour Peter,
    Vous parlez de quels dessins ?

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    1. Bonjour Ramina,

      Je parlais simplement du dessin de cet épisode.
      J'ai travaillé sur une demi-feuille pour le faire.
      Peter.

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    2. Moi dans une petite épicerie de campagne ou avec mon copain Marc nous avions volé des paquets chewing-gums et on a été corrigés l’un après l’autre. L’épicière nous a donné la fessée. Elle nous a pris par une oreille et culotte baissée nous a basculé en travers de ses genoux pour nous fesser sévèrement. Nous sommes repartis en pleurant avec les fesses rouges brûlantes dans nos petits shorts . A13 ans on était des gamins . On ne s’est pas vanté de cette fessée à nos parents…sinon je crois qu’ils auraient décroché le martinet. Mes parents et ceux de Marc qui se connaissaient bien auraient approuvé l’épicière et peut-être nous auraient ils amenés à l’épicerie pour nous fesser devant l’épicière en nous demandant de lui dire pardon…

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    3. Lorsque nous étions ados on ne plaisantait pas avec l’ordre et la discipline. Il fallait obéir, travailler à l’école et se montrer respectueux envers les adultes. Et je ne parle même pas d’un vol. Là alors c’était une correction magistrale devant tout le monde dont on se souvenait longtemps. L’épicière qui nous connaissant et savait que nous étions de bons garçon mais très dissipés et parfois insolents. Elle savait que nos parents étaient très sévères comme elle l’était elle aussi avec ses enfants qui étaient aussi nos copains. Je ne sais pas quelle idée nous est passée en tête et comment nous en sommes venus a voler ces chewing-gums. En tout cas, je que je sais que dès qu’elle s’est aperçu de notre larcin, il n’y a pas eu d’avertissement. En nous grondant sévèrement elle nous à pris tous les deux de chaque côté par une oreille et je peux dire que nos oreilles ont du s’allonger de quelques centimètres tellement elle tirait fort. Et la suite ne s’est pas faite attendre. Nos jérémiades n’y ont rien changé. La dame m’a pris sous son bras et n’a eu aucun mal à baisser mon petit short en nylon qui n’a pas résisté longtemps. Et clac clac clac la fessée et après avoir pris place sur sa chaise pour être plus à l’aise, je me retrouvais en travers de ses genoux pour la suite de la fessée magistrale. J’étais en pleurs avec les fesses et les cuises rouges. Lorsqu’elle en a eu fini avec moi, ce fut le tour de mon copains. En pleurant, je le regardais en travers des genoux de la dame, je voyais ses fesses rougir et lui aussi s’était mis à pleurer. Je crois que sa fessée à duré plus longtemps que la mienne. Après une dernière admonestation, nous avions été autorisés à nous reculotter. Nos petits shorts laissaient les cuisses à l’air et les traces des doigts y étaient encore bien apparentes. Elles le resteront un bon moment. Nous sommes repartis en demandant pardon et sans nous faire prier. Nous nous sommes bien gardés d’en parler à nos parents.

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    4. À 13 ans on était encore des gamins et on pensait que rien ne pouvait nous arriver et surtout pas la fessée. Pourtant la fessée, avec mon copain, il nous arrivait souvent de la recevoir et même jusqu’à l’âge de 17 ans au moins. Dans nos familles on n’hésitait pas à nous punir lorsque nous en avions besoin. La maman de Marc donnait souvent le martinet et en disait le plus grand bien. Ça a donné des idées à papa qui, un jour où j’avais été particulièrement odieux et considérant que la fessée à la main n’était plus suffisante, m’a amené dans une droguerie pour acheter un martinet. Je n’étais pas fier, c’est sur, lorsque je suis rentré dans le magasin alors que papa me tirait fermement par l’oreille en me grondant. J’avais beau me hisser sur la pointe des pieds, papa tirait de plus en plus fort. La vendeuse n’a pas eu de mal à comprendre que le martinet c’était pour moi. Et la conversation à la suite avec la vendeuse qui faisait l’éloge de ses martinets dont elle reconnaissait faire usage avec ses gamins…

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  8. Avec mon copain Marc nous étions de vrais garnements, certes pas méchants mais très dissipés. On faisait ensemble les quatre cents coups. Au collège on pensait plus à jouer au ballon avec les camarades qu’à travailler. Cela nous valait souvent d’être punis. Le matin avec Marc nous partions au collège ensemble à pied et je le rejoignais devant sa maison. Un matin alors que j’arrivais devant chez lui j’ai été surpris par des éclats de voix. On ne pouvait pas s’y tromper, sa maman le grondait. « Petit paresseux, tu vas voir je vais l’apprendre à travailler tu vas voir, arrive ici et tout de suite… » et mon copain en pleurs : « Mais maman je travaille… non pas maintenant, pas le fessée, s’il te plait maman, pas la fessée… » Et en suivant : Aille, aille, ouille ouille… » et le gamin sortant de la maison, la culotte courte à mi cuisses, fesses à l’air poursuivi par sa maman qui le tient par le bras. De son bras libre la dame très en colère tenait le martinet et administrait la fouettée sur les fesses et les cuisses de son garnement. Il avait monté avant de partir au collège son carnet de notes à sa maman. Et ce qui devait arriver était arrivé. Marc avait reçu la fessée… Mon copain m’a ensuite rejoint au portail en pleurs et nous nous sommes dirigés vers le collège.

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  9. Après avoir été puni Marc, les larmes aux yeux, m’a rejoint et nous nous sommes dirigés vers le collège. Comme moi, il portait la culotte courte et les traces de la fessée étaient encore visibles. Je lui ai avoué, tout honteux, que de mon côté je n’avais pas encore montré mon carnet de notes à papa. Ce trimestre, j’avais été paresseux et très dissipé. Les observations des profs en faisait mention. Je savais que papa n’animait pas ça du tout. Je différais au maximum le moment où il me faudrait montrer le carnet et le faire signer. Marc me demande : «Tu n’as pas fait signer ton carnet… ?»
    « Non pas encore… »
    « Et bien moi je l’ai fait, et tu as vu, maman m’a baissé la culotte et donné la fessée au martinet… Et toi du crois que tu vas être corrigé…?
    «Ouais, ça j’en suis sûr et c’est pour ça que j’ai pas montré mon carnet… »
    « Oui mais il faudra bien que tu le montres pour le faire signer… »
    «Je sais, je le montrerai ce soir…de toute façon j’ai pas le choix tu sais et papa va sévir… Je vais pas y échapper.»
    «Tu vas recevoir la fessée… »
    « Ça c’est sur que je vais pas y couper, je vais m’en prendre une bonne moi aussi… »
    Arrivé au collège, nous sommes aller jouer au ballon avec les copains avant le début des cours. Marc avait encore un peu les cuisses rouges mais ça n’avait pas l’air de le gêner et personne n’y fais

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  10. Suite. Personnes n’y faisait attention. C’est vrai qu’il n’était pas rare de voir un gamin avec les cuisses rouges. Les cuisses striées au martinet ça faisait partie de la punition. Je dois reconnaître que j’ai passé une mauvaise journée en pensant au moment où il me faudrait montrer mon carnet notes et j’attendais ce moment avec appréhension. En gamin un peu crâneur je n’en laissais rien paraître aux copains. Le soir, arrivé à la maison avant même d’avoir posé mon sac, papa s’est dirigé vers moi. « Dis moi, tu n’a rien à me montrer…. » Avec aplomb je réponds :
    «Non, rien papa… »
    «Comment ça rien. Tu n’as pas de carnet de notes.?
    «Ah oui le carnet de notes… »
    Je fourrage dans mon sac et lui tends mon carnet de notes…mes joues deviennent toutes rouges. Papa regarde de carnet avec attention. Il a le visage des mauvais jours et je comprends pourquoi. « Dis moi petit paresseux, tu as vu ce carnet…tu l’as vi… »
    « Oui papa… »
    «Je vais t’apprendre moi petit chenapan, viens ici et tout la suite…plus vite que ça…» Je pleurniche déjà. «Tu vas voir tiens, je vais te donner une bonne raison de pleurer. »
    Papa me prend par l’oreille et je sais qu’il va me punir. « Non papa, pardon, non pardon… s’il te plaît. Pas la fessée, pas la fessssséeee. Pas cul nu… s’il te plait. »
    «La fessée et tout de suite mon garçon. Si tu préfères que je vienne te la donner demain au collège devant le monde, alors tu choisis… »
    « Non papa, pas au collège… »
    Papa prend une chaise et y prend place. Ma culotte courte et mon slip sont baissés je me retrouve fesses à l’air sur les genoux de papa. A la volée, une avalanche de claques atterrissent sur mes fesses et mes cuisses. Mes jérémiades sont sans effet. Cette fessée est interminable. J’ai des larmes plein les yeux. Lorsque je me relève les fesses bien rouges papa me prend par le bras et de sa mle martinet qui est bien en vue sur le buffet.

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    1. Je savais qu’il ne fallait obéir à papa et surtout ne pas lui mentir. En effet il était sévère et avait la main leste. Tout écart était immédiatement sanctionné d’une bonne fessée déculottée. A la maison le martinet était bien en vue et mes fesses en faisaient souvent les frais. Lorsque je repartais au collège avec les cuisses striées au martinet je n’étais pas fier. Je me consolais toutefois sachant que beaucoup de mes camarades étaient eux aussi punis de la même manière.

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  11. Papa me prend fermement par le bras et de sa main libre attrape le martinet posé sur le buffet. Le martinet…je n’avais pas vu que papa l’avait décroché…et ce n’est pas pour rien. Les lanières cinglent promptement mes fesses et mes cuisses. Après cette correction papa m’expédie dans ma chambre. Inutile de dire que je ne me fais pas prier. Demain je pourrais dire à mon copain Marc que moi aussi j’ai été puni.

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  12. Le lendemain du jour où j’ai été puni et comme d’habitude je suis allé rejoindre Marc pour partir ensemble au collège. Il m’attendait devant portail de sa maison et me souriait. «Dis-moi, tu es en retard ce matin. »
    «Oh non pas vraiment… »
    Et nous sommes partis vers le collège. Il m’a demandé si j’avais montré mon carnet de notes à mon père. Je lui ai dit d’en effet je l’avais montré. «Tu sais comment ça c’est passé pour toi hier. Et bien chez moi ça c’est passé de la même manière. Je me suis pris une sacré trempe je t’assure… »
    «Wouaou la fessée… »
    «Oui, et quelle fessée…avec le martinet en plus… »
    «Comme moi alors… »
    «Oui comme toi… Regarde mes cuises la fessée se voit encore. »
    « Moi aussi, regarde… »
    En effet la culotte de Marc laissait encore apparaître quelques traces roses.
    « Toi aussi on père t’a pas raté… »
    J’avais moi aussi une petite culotte très courte et mes cuisses étaient totalement nues. Les traces du martinet y étaient encore bien visibles. En l’espace d’une journée nous avions été corrigés tous les deux. Nous sommes arrivés ensemble au collège peu avant le début des cours et nous sommes mis en rang pour rentrer dans la classe. Nous arrivons assis coté à côte au même bureau. Il nous arrivait parfois de nous tortiller un peu sur notre banc. On se regardait et ça nous faisait rire. On évitait quant même d’être trop distraits car le prof surveillait. Il était sévère et pouvait interroger à l’improviste les élèves qui se dissipaient. Avec lui il me fallait pas broncher car il pouvait punir sévèrement les gamins dissipés ou paresseux. Et là c’était à coup sûr la fessée. Il venait chercher l’élève sur son banc le prenait par l’oreille et clac clac une bonne paire de claque sur les fesses encore protégées par la culotte courte pour le faire filer vers l’estrade. Là, le puni était interrogé pendant quelques minutes. Si le gamin s’avérait incapable de répondre, le maître prenait une chaise s’y installait et lui baissait la culotte. Ainsi l’élève se trouvait les fesses à l’air sur les genoux du prof et la fessée démarrait en trombe. Et les claques tombaient dru… On n’entrait pas une mouche voler dans la classe. La correction terminée, le puni regagnait sa place en se trémoussant. Après avoir prévu les autres élèves « À qui le tout maintenant… » le profs reprenait son cours reprenait comme si de rien n’était.

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  13. D’autres profs nous punissaient également, la prof de maths exemple. C’était une nouvelle prof et son autorité s’était vite manifestée. L’obéissance quelques questions sur s’imposait. Les leçons devaient être apprises et les devoirs rendus à temps. Gare à celui qui se dissipait où n’écoutait pas. Il était appelé au tableau et devait résumer ce qu’il avait retenu du cours. S’il restait sec, on passait à la suite. Quelques questions sur la leçon du jour. Une première erreur et pif paf sur une cuisse. Une nouvelle erreur et pif paf sur l’autre cuisse juste au dessous de la lisière de la culotte courte. Le puni sursautait un peu mais l’interrogation continuait. Et les cuisses s’ornaient peu à peu de la trace rouge des doigts. À la recré le puni restait dans un coin, pleurnichant, tirant en vain sur le fond de sa culotte courte, tout honteux à l’idée de montrer à ses camarades ses cuisses rougies montrant ainsi à tout le monde qu’il avait reçu la fessée. En fait c’était une cuissée mais c’était pareil, la même cuisson, la même honte. Et puis si l’élève récidivait ou se montrait paresseux ou a plus forte raison insolent, la prof considérait que s’en était assez, que le gamin avait été prévenu, elle se déplaçait et ce n’était pas pour rien. L’élève était pris par l’oreille et amené vers l’estrade et il fallait faire vite quelques claques sur le fond de la culotte pour aller plus vite. La culotte était baissée le gamin en travers des genoux et copieusement fessé.

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