mercredi 23 janvier 2019

Recadrage en Provence - chapitre 2

Première fessée  

Bizarrement je me sentais nerveux ce soir pendant ce dîner en compagnie de l’amie de mes parents. J’insiste sur le « bizarrement » parce que ce n’était pas dans mes habitudes de me sentir mal à l’aise et intimidé. La fatigue, les restes de gueule de bois, et la fessée à laquelle je venais d’assister me mettait dans l’inconfort. Les claques sur les fesses souples et rebondies de Louise résonnaient encore dans ma tête, et mon sexe était encore à demi érigé.
Je dois aussi avouer que Marthe était très impressionnante et charismatique, encore plus que dans mes vagues souvenirs d’il y a quinze ans. Ses beaux yeux perçants, légèrement maquillés, semblaient entrer et lire en vous. Cela me donnait l’impression qu’elle pouvait deviner mes pensées et j’avais du mal à la regarder dans les yeux. Je respirais un bon coup et repris un peu plus de confiance, je cherchais à me détendre tout en avalant mon dîner.
« Maxime, maintenant que tu es bien installé, que nous sommes tranquilles tous les deux je vais te faire part en quelques mots de ce que j’attends de toi ici à la ferme. Ton travail sera de désengorger les allées des champs de lavande lors de la cueillette, tu sais nos employées sont très efficaces, elles aiment leur travail ici, et elles ont besoin que leur panier soit rapidement déchargé.
Le principe est simple, la cueillette devrait durer environ 6 semaines, nous commençons par les rangées dont la floraison est à terme, à l’extrémité des rangées en cours de cueillette nous positionnons le tracteur et la remorque afin que tu puisses y décharger les paniers. Tu devras également aller décharger la remorque au niveau de la grange de stockage, à côté de la distillerie. Je te demanderai de bien t’organiser afin que le déchargement de la remorque se fasse pendant la pause des employées. Normalement cela s’organise bien, Serge notre ancien employé y arrivait sans peine.
- Très bien Marthe, je ferai de mon mieux
- Parfait, j’y compte bien, je t’accompagnerai demain matin pour te donner encore plus de détails, il faudra démarrer tôt pour se mettre en place avant que les employées démarrent la cueillette à 7h. Pour éviter de travailler lors des heures les plus chaudes, la cueillette se fait de 7h à 11h puis de 16h à 19h. »

Mon visage se décomposa légèrement, je faisais le calcul dans ma tête, il faudrait probablement être à pied d’œuvre dès 6h30 et donc se lever vers 5h30. Cela ne me réjouissait guère, je savais que j’avais beaucoup de difficultés le matin, j’avais beaucoup de mal à me lever et ensuite à me concentrer. Je ne sais pas pourquoi, je n’avais jamais pu être productif avant 9h environ, les professeurs qui nous donnaient cours de 8h à 9h au collège et au lycée avaient souvent pesté sur mon attitude et ma nonchalance en début de matinée.

Evidemment Marthe remarqua mon inquiétude, on ne pouvait décidément rien lui cacher…
« Je te préviens Maxime, je suis ravie de t’avoir ici, j’espère pouvoir t’aider et que ce séjour te fasse le plus grand bien, mais je n’aurai pas de temps à perdre avec tout manquement et tout écart. Tu as vu ce dont j’étais capable, et cela s’applique à toutes les personnes qui travaillent pour moi. Ici lorsqu’on fait un écart je n’hésite pas à sévir et à donner une sévère fessée déculottée sur le champ ! »

Mes yeux lâchèrent les siens une nouvelle fois, je me sentais vraiment penaud, voilà à quoi mes errances des années précédentes à Paris m’avaient amené. Etre un travailleur agricole en proie à des punitions comme un enfant de la manière la plus ridicule et honteuse qui soit. Et je ne croyais pas si bien dire, mes craintes allaient très rapidement s’avérer justifiées. Pendant ce temps Marthe continuait son monologue…
« Pour ne rien te cacher, je suis très fière de la réussite de notre exploitation, nous sommes les meilleures sur la région. Je ne prends que des femmes travailleuses, courageuses, et elles sont ravies d’être ici malgré la menace de la fessée qui plane en permanence. Toutes ont accepté ce fonctionnement, une exploitation comme la mienne doit marcher avec des règles bien établies, pour le bien être de tout le monde et un travail efficace.
Compte tenu de nos performances, la paie qui en découle est exceptionnelle par rapport aux autres exploitations, c’est pour cela que toutes acceptent le principe de la fessée, je pense même qu’elles y sont favorables. Es-tu prêt à te soumette à nos règles de propreté, de rangement, d’assiduité au travail, de politesse, de ponctualité et j’en passe ! Sois tu les acceptes là maintenant librement soit demain tu reprends le train pour Paris. »
J’avais du mal à trouver les mots, fatigué, impressionné, encore sous le choc de la fessée cul nu de Louise à laquelle j’avais assisté. J’y pensais à chaque fois que Marthe évoquait les règles, la fessée. J’étais toujours habité par ce nœud dans le ventre formé à la fois par la crainte d’être fessé et de ne pas pouvoir m’y soustraire et par l’excitation que cela arrive aux nombreuses autres femmes de la ferme en ma présence. J’arrivais d’ailleurs difficilement à terminer mon poulet, entre deux bouchées j’arrivais à lui répondre tout juste avant que Marthe ne s’énerve à cause de ma lenteur :
« J’accepte de rester avec vous Marthe et de me soumette aux règles de la ferme. Je suis fier d’être avec vous et je sais que j’ai beaucoup de chance d’être ici, je vous remercie de me donner ma chance…
- A la bonne heure, tu es le bienvenu mon garçon, je serai juste et bienveillante avec toi. Suivre des règles et être fessé lorsque tu ne les respecteras pas te fera beaucoup de bien et te permettra de devenir enfin un adulte responsable. Sache que je fais une exception pour toi et pour faire plaisir à ta maman puisque je n’emploie que des femmes, tu seras le seul homme ici à y travailler depuis le départ de Serge. Je ne te ferai aucune faveur et je te conseille également de bien écouter Anna mon bras doit. Elle n’hésitera pas, elle aussi, à te déculotter et te fesser quand elle le jugera nécessaire. »

Anna cette belle italienne, me fesser ? Je n’en revenais pas, j’étais arrivé depuis à peine une heure et voilà que deux femmes auraient dorénavant le droit de me déculotter, de mettre à leur vue mon postérieur, de me fesser. Comment pourrais-je supporter cela et rester moi-même, rester adulte et fier devant ces femmes ? Je n’en pouvais plus, toutes ces questions me tordaient le ventre.
« D’ailleurs si tu ne tiens pas ta chambre en ordre je n’hésiterai pas non plus à demander à Nathalie d’en venir également aux mains avec toi. Nathalie est notre femme de ménage, elle a toute autorité ici malgré son jeune âge lorsqu’il s’agit du rangement et de la propreté. D’ailleurs elle vit ici. Tu as dû voir à l’étage qu’il y avait 7 pièces, il y a ma chambre au fond à gauche, en face celle de Nathalie, puis à côté celle de Noémie. Noémie est une petite employée qui restera ici le soir, ses parents m’ont demandé de l’héberger, elle travaillera à la cueillette. En face de la chambre de Noémie, il y a une salle de bain que doivent utiliser Noémie, Louise et Nathalie, n’ayant pas de douche dans leur chambre. Ensuite il y a une chambre vide, puis celle de Louise en face de la tienne. Avec moi tu es le seul à posséder une salle de douche privée. J’espère que tu la maintiendras dans un bon état de propreté ! Tu sais dorénavant ce qu’il en couterait pour ton derrière… Et bien que Nathalie ait environ ton âge et qu’elle soit moins forte que moi elle n’hésitera pas à te rougir les fesses comme tu l’auras mérité ! Cette petite ne paye pas de mine avec son petit visage d’ange mais je te conseille de lui obéir sans réfléchir. »
Et voilà que la liste de mes punitrices potentielles s’allongeait encore ! Il y avait donc également Nathalie et en plus une jeune fille de mon âge ? C’en était trop ! Comment pourrais-je m’abaisser et accepter cela ?! Mais malheureusement je n’avais pas d’autre choix… Je m’imaginais dans le train du retour en direction de Paris, mon père aurait mis ses menaces à exécution sans hésiter une minute… Mon sort était scellé. Je ne trouvais pas mes mots, je me sentais incapable de réagir, de répondre à Marthe malgré l’énoncé de telles énormités, je ne comprenais pas ce qu’il était en train de se passer ici.
« Allons Maxime finis ton poulet et je t’accompagnerai dans ta chambre pour vérifier que tu es bien installé. »
Marthe me sourit et nous finissions notre dîner paisiblement.
Après avoir débarrassé la table et remplit le lave-vaisselle Marthe me demanda de la suivre à l’étage tout en m’expliquant qu’elle me présenterait demain à Noémie et Nathalie qui étaient montées dans leur chambre depuis un moment. Marthe entra dans ma chambre et inspecta les lieux, j’avais laissé ma valise en plan au milieu de la pièce, je l’avais ouverte pour en retirer une serviette que j’avais utilisée pour me débarbouiller tout à l’heure.
« Cela commence bien ! dit-elle ironiquement. Bien que tu n’aies pas eu le temps tout à l’heure tu aurais pu glisser cette valise dans un coin ou ici en dessous de l’armoire ! »
Elle entra dans la salle de bain et continua son inspection. Elle fut horrifiée lorsqu’elle découvrit une flaque d’eau au pied du lavabo et elle regarda ma serviette qui traînait par terre sur le seuil de la porte.
« Maxime c’est un vrai foutoire dans cette salle de bain ! Tu as réussi à mettre un tel désordre en te passant de l’eau sur le visage ?! Ce n’est pas une porcherie ici ! J’ai bien voulu laisser passer le désordre dans ta chambre. Mais je ne peux pas accepter cela ! Où te crois-tu ? L’eau laissée au sol va l’humidifier et laisser des traces de calcaire ! Viens ici ! Je pense que tu dois déjà comprendre que j’attends beaucoup plus de rigueur de ta part. »
Marthe mettait ses menaces à exécution ! Je restais figé, ici depuis à peine une bonne heure et j’allais déjà devoir faire face à une telle humiliation ?! Je ne pouvais sortir un mot de ma bouche, je m’en voulais d’avoir été si négligeant et je ne trouvais aucune excuse… J’avais été très troublé par la vision de Louise et je m’étais précipité pour pouvoir redescendre au salon rapidement et retrouver Louise exhibée presque nue dans le coin du salon, fesses offertes de manière si indécente à notre vue. Mais cela ne pouvait évidemment pas me servir d’excuse…
« Tu vas prendre une bonne fessée mon garçon ! La première et je te promets que tu t’en souviendras ! Baisse-moi ce pantalon !
- Mais… mais… Cousi…
- Ne discute pas ! Sinon dès demain matin je te donnerai une nouvelle fessée pour te sortir du lit ! »

Mes mains se mirent sur le bouton de mon pantalon mais la pudeur et la honte me paralysaient. Marthe fit les gros yeux et attrapa la ceinture de mon pantalon, elle la retira, déboutonna mon pantalon et l’abaissa jusqu’aux mollets. Elle m’encercla la taille du bras gauche, j’étais désormais prêt à recevoir ma première fessée, mes jambes étaient cotonneuses, je ressentais de la honte d’être ainsi recourbé sous le bras de Marthe. Elle me lança alors :
« Je te préviens Maxime que la prochaine fois que je te demanderai de baisser ton pantalon tu auras intérêt à obéir ! Sinon je n’hésiterai pas à multiplier les fessées mon garçon ! Je ne veux voir aucune hésitation ! La pudeur n’a pas lieu d’être ici et il en sera de même avec Anna et Nathalie j’y compte bien ! Nous n’avons peut-être pas l’habitude d’avoir des hommes ici sous notre toit mais ce n’est pas la vue de tes fesses ou de ton sexe qui nous choquera, pour moi tu n’es qu’un jeune garçon qui ne sait pas encore se comporter comme un adulte et qui sera donc traité comme tel ! »
Elle glissa sa main libre entre l’élastique de ma culotte et le bas de mon dos et la baissa d’un geste en passant la paume de sa main sur mes fesses. Je n’en revenais pas, je ressentais une telle humiliation ! Elle avait pris la liberté de me déculotter si facilement, si simplement ! Je n’avais pas esquissé le moindre geste pour l’en empêcher, pas eu le courage de m’opposer à mon déculottage, j’étais tétanisé, sous l’emprise de Marthe et si j’avais voulu m’y opposer les conséquences pour mon avenir auraient été désastreuses. Je n’avais plus qu’à me soumettre à cette autorité, à accepter d’offrir mes fesses nues à Marthe qui maintenant pouvait me fesser à sa guise, j’étais prêt pour recevoir ma première punition… Je sentais l’air frais sur ma peau et j’imaginais la vision que Marthe avait désormais sur mon derrière. Je sentais le sang me monter aux joues et la chair de poule gagner mes fesses et mes cuisses.
« Tu as la chair de poule ? ironisa Marthe. Je vais me charger de te réchauffer le postérieur mon cher ! Tes fesses seront bientôt aussi chaudes qu’un siège en cuir laissé au soleil ! Et ce n’est pas ce derrière masculin musclé qui viendra à bout de mon endurance tu peux le croire ! Le derrière de Noémie qui a déjà reçue sa fessée à table ce soir était tout aussi insolent que le tien, ce n’est pas ça qui me décourage bien au contraire ! »
C’est alors que sa main s’abattit violemment sur ma fesse droite, j’étais sous le choc, en une seule claque je ressentais déjà une douleur vive et intense. Je sentais la chaleur gagner mon fessier et ma peau. La deuxième claque atterrit sur ma fesse gauche, et les mêmes symptômes apparaissaient. Je pensais toujours au spectacle ridicule que j’offrais, je pensais à Noémie et à Louise qui avaient été humiliées de la même manière mais en public. L’idée que cela puisse m’arriver faisait grossir le nœud qui occupait mon ventre depuis mon arrivée.
Marthe accéléra le rythme des claques sur mes fesses, alternant gauche, droite, parfois au centre, parfois sur les côtés, deux sur l’une puis une sur l’autre, il n’y avait pas de logique, de rythme symétrique, j’avais l’impression qu’elle cherchait uniquement à uniformiser la cuisson sur tout mon postérieur. Mes fesses devenaient extrêmement douloureuses, mes muscles fessiers se raidissaient, mon sexe initialement légèrement érigé était maintenant complètement ramolli, les claques me brûlaient, je ne pouvais plus retenir mes plaintes, j’essayais de les retenir par fierté mais désormais la douleur était trop forte. Mes fesses et mes cuisses gigotaient de droite à gauche mais les claques de Marthe atterrissaient toujours là où elle le souhaitait. Je me demandais quelle couleur gagnait mon derrière.
« Tes fesses sont déjà bien rouges Maxime ! Mais malheureusement pour toi la punition n’est pas terminée ! »
Marthe fit une pause, non pour reprendre son souffle, mais pour que je reprenne le mien. Je commençais à cuire et à respirer de plus en plus fort. La main de Marthe posée sur mes fesses me faisait ressentir la cuisson, j’avais l’impression que mon cul rayonnait toute la chaleur de la fessée, des larmes commençaient à alourdir mes paupières.
Marthe me prit par l’oreille et m’entraîna vers mon lit dans la chambre, je me déplaçais comme je le pouvais avec mon pantalon et ma culotte aux chevilles. Je remarquai que la porte de ma chambre était ouverte ! J’apercevais la porte de la chambre de Louise en face ! Et si elle sortait de sa chambre ou si quelqu’un passait dans le couloir en ce moment ?
Marthe s’assis sur le bord de mon lit, ce qui m’obligea à baisser la tête, elle me tira l’oreille pour me coucher en travers de ses genoux, mes pieds ne touchaient plus le sol, j’étais totalement offert et en position, les fesses à la merci de ma punitrice. La fessée reprit de plus belle, le son de la main de Marthe sur mes fesses faisait écho dans le chambre, je craignais que l’une des filles l’entende depuis le couloir ou depuis sa chambre. Quelle honte ça serait pour moi ! Soumis, déculotté, fessé cul nu et exhibé en travers des genoux de Marthe.
A l’aide de ma main droite j’essayais de protéger mes fesses de la fessée et de les cacher. C’était stupide c’est vrai mais c’était comme un réflexe du fait d’être ainsi exposé à une femme qui passerait dans le couloir. Marthe attrapa mon poignet et me replia le bras entre mes omoplates. Mon postérieur rebondissait au rythme des claques, je ne supportais plus la douleur, je gémissais de manière plus sonore, je n’attendais plus qu’une chose c’est que Marthe mette fin à mon supplice.
« Voilà mon cher Maxime, je pense que tu te souviendras de celle-ci, tes fesses en tout cas en garderont les marques au moins jusqu’à demain. J’espère que cela te servira de leçon et que tu feras plus attention à l’ordre. Je chargerai Nathalie de vérifier que tout est en ordre dans ta chambre et que tu es prêt à te mettre au lit à 22h. Ici c’est l’heure où tout le monde doit être prêt à faire dodo. »
Après avoir caressé quelques minutes mon derrière, Marthe m’ôta mes vêtements et me fit enfiler mon caleçon et mon tee-shirt faisant office de pyjama. Elle ne ressentait aucune gêne à me déshabiller de la sorte, pourtant adulte. Elle passa délicatement l’élastique de mon caleçon au-dessus de mes fesses mais malgré tout la douleur de la cuisson était trop forte et me fit émettre un cri profond. Elle m’envoya dans la salle de bain me brosser les dents, vérifia leur propreté puis elle me mit au lit. Elle m’embrassa sur les deux joues et me glissa doucement dans l’oreille :
« Bonne nuit mon garçon à demain matin, 5h30 »
Après toute la fatigue accumulée, les émotions de la journée, les efforts pour encaisser la punition, je m’endormis après quelques secondes malgré la cuisson de mes fesses, allongé sur le ventre.



Il y  a une suite. RdV la semaine prochaine

Vous n'avez pas lu le début de l'histoire ? Le voici : chapitre 1


Et si je me fendais d'un petit commentaire ?

C'est facile ! Quelques mots d'encouragement ou de réprobation... Paul OTK les attend avec impatience. Il vous répondra.

Vous pouvez également le contacter directement : Paul OTK

3 commentaires:

  1. Bonjour Paul
    Bonnes descriptions de l'atmosphère de la ferme et du personnel féminin qui semble assez redoutable en fervent adepte de la fessée punitive.
    Et ça commence bien pour Maxime! Si la lavande est bien bleue, ses fesses sont déjà rouges pratiquement dès le premier jour! Bien rougies d'ailleurs sous la main de Marthe qui met les choses au point tout de suite en lui montrant ce ce qu'elle sait faire. Deux fessées déculottées consécutives pour l'inciter à mettre de l'ordre dans sa chambre. ça motive !
    On se doute que ce n'est qu'un début... prometteur. Car, s'il y de la main d'oeuvre pour récolter la lavande il y en a aussi pour s'occuper de ses fesses. M'est avis qu'elles ne vont pas chômer, avec trois jeunes femmes sur les rangs! Sûr, ça risque de chauffer dur !

    On a bien noté que la chambre de Maxime est juste en face de celle de Louise... On se demande bien pourquoi.(rions !)
    Cordialement.
    Ramina

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  2. Bonjour Paul,

    On entre à présent dans le vif du sujet. Cet épilogue pose ambiance et décor. Avec toutes ces femmes autour de lui (tout comme Gérome), il ne saura plus où donner de la tête. Ca promet des moments épiques... qui piquent !!!Excellent. Rires. Good luck, camarade.
    Peter.

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  3. Bonsoir,
    Merci pour vos commentaires, en effet charmant petit monde à l'étage, et situation intéressante des chambres des personnages ;-)
    La suite est déjà écrite mais vous imaginez déjà bien les possibles situations...

    Au plaisir,
    Paul

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