Edouard rend des comptes.
Gladys s'est levée du canapé pour se positionner debout face à son mari qui
s'approche docilement sans rien dire. Il n'a d'ailleurs rien à dire. Il a
mérité sa fessée. Elle a retroussé sa jupe jusqu'en haut des cuisses pour faciliter
l'opération.
« Viens par ici mon ami, je vais te corriger position fesses en
l'air ! Celle que tu détestes le plus, mais que je préfère. »
Un petit sourire satisfait sur les lèvres, elle le saisit
fermement par les cheveux, le tire vers le sol pour l'obliger à se courber en
deux et lui coince la tête entre ses cuisses qu'elle resserre autour de ses
joues. Le gémissement de honte du malheureux, humilié devant la visiteuse, est
à peine audible, étouffé dans l'étau charnu gainé de nylon de l'implacable
épouse. Elle prend son temps pour ajuster la position. Dans un mouvement, bien
rodé par une pratique régulière, elle passe les mains sous son ventre et pèse
lourdement sur sa nuque en l'écrasant sous ses fesses pour l'obliger à remonter
les siennes à la hauteur voulue.
Elle jette un clin d'œil à Edwige
qui suit la manœuvre avec intérêt.
« Tu vois comme il est tout d'un
coup obéissant mon petit chéri ! Combien de fois j'ai dû lui rougir les fesses
pour l'habituer à venir me les présenter comme je lui demande, quand je décide
de le corriger parce qu'il a fait une bêtise. Et là, il en a encore fait une
grosse... Deux grosses même !... Alors ça sera deux grosses fessées. Et... deux
grosses fessées déculottées ! Pas de surprise, c'est le tarif habituel !
N'est-ce pas trésor ? »
Le malheureux halète, la tête coincée entre
les cuisses serrées de sa femme, les joues frottant douloureusement contre le
nylon de ses bas. Celle-ci, tout en faisant ses commentaires, exécute des
fléchissements successifs sur les jambes pour lui faire creuser les reins et
arrondir son gros derrière à la bonne distance de sa main.
Edwige, ravie du spectacle et de la
méthode, se régale en suivant la montée vers le plafond de la volumineuse paire
de fesses, sous l'impulsion de madame, qui la fait progresser en hauteur par
à-coups. Un peu comme on monte une voiture sur un cric pour changer une roue !
Sauf que dans le cas présent il s'agit de positionner un derrière pour lui
flanquer une fessée !
– « Excellente position ! S'exclame la
visiteuse, débordante d'enthousiasme comme sa poitrine de son bustier. Voilà
une paire de fesses en parfaite posture, prête pour une fessée magistrale. Sur
un derrière aussi tendu ça devrait claquer très fort ! »
Ce disant, elle change de place pour s'installer plus près, sur le tabouret
à fessée. Elle bénéficie ainsi d'un meilleur angle de vue sur le postérieur en
pénitence et la proximité lui permet d'apprécier pleinement le dégagement de
chaleur du fessier sous les claques.
Patricia, pour une fois, se fait discrète dans son fauteuil. La cuisson de
ses fesses, reculottées très serrées, lui rend la position assise encore très
inconfortable. Le nylon rêche de son slip lui donne l'impression d'avoir le
derrière posé sur un paillasson. Ça calme ! Seul réconfort, mais pas négligeable,
assister à la nouvelle fessée de son beau-père.
Celui-ci est en mauvaise posture. Les pieds décollés du sol, il s'agrippe
désespérément au cuisses de sa femme pour ne pas tomber. Ses doigts, humides de
transpiration glissent sur les bas nylon. S'il a le malheur d'en faire filer
un, c'est l'obligation d'aller en racheter une nouvelle paire au magasin de
lingerie de madame De Blagnac qui a pour consigne de lui flanquer la fessée
prévue dans ce cas de figure. Bien entendu, à son retour, son derrière encore
rouge et cuisant, claque à nouveau sous le feu d'une nouvelle fessée en
supplément de celles initialement prévue au programme de sa punition. Évidement
le tarif est un peu lourd pour un bas nylon filé, mais, à la maison, les règles
d'éducation, le respect des choses et des personnes passent par une nécessaire
et stricte discipline. En clair, toutes les occasions sont bonnes pour lui
chauffer les fesses d'une bonne déculottée. Le cumul des mandales est pratique
courante et même vivement encouragé.
« Prêt Edouard ? Première fessée pour avoir oublié ce que je
t'avais demandé de faire ce matin »
Gladys n'attend pas nécessairement de réponse. La main très haut levée
au-dessus de sa tête elle prend une grande inspiration pour accompagner sa
prise d'élan. Le râle pitoyable d'Edouard émerge à peine d'entre ses cuisses
lorsque la première rafale de claques retentit sur ses fesses déculottées. Ça
commence très bien.
Stimulée par l'énergique correction qu'Edwige vient d'administrer à sa
fille, la sévère épouse, pour ne pas être en reste, est décidée à lui mettre la
grosse fessée. Elle aussi, tape très fort, immédiatement, sans préavis. Elle
fesse à la volée en s'appliquant à bien faire claquer l’une après l'autre, les
deux fesses qui se présentent généreusement tendues sous sa main par la
position qu'elle a choisie.
Edouard, pris à froid, ne résiste
pas longtemps à ce fulgurant démarrage. Avant de subir un traitement aussi
cuisant, il a souvent droit à une longue fessée d’échauffement à travers le
slip en guise de préparation aux fessées déculottées. Dans le cas présent, pas
de mise en condition progressive du postérieur, ça claque sec et serré dès le
départ.
Agrippé aux cuisses de sa femme, il essaye bien d'amortir un peu les
claques en fléchissant les jambes à chaque tombée, mais la tentative ne dure
pas longtemps.
Gladys le reprend immédiatement, la
main en attente, levée au-dessus du postérieur en mouvement.
« Mon pauvre chéri, tu es ridicule, ne pense pas une seconde essayer de te
dérober à ta fessée. Je te conseille de garder tes fesses bien en place... s'il
te plaît ! Et même si ça ne te plaît pas d'ailleurs ! »
Quelques allers et retours bien appuyés, suffisent à calmer le récalcitrant
qui stabilise ses fesses en bonne position pour faciliter le bon déroulement de
sa correction. Sûre de sa force et de son autorité, Gladys reprend aussitôt son
rythme de croisière.
– « Tu vois mon ami, ton petit manège n'a servi à rien, sinon à recevoir
une nouvelle fessée après dîner pour avoir tenté une manœuvre d'esquive pendant
ta correction. C'est tout ce que tu auras gagné ! »
Il
ne lui faut pas plus de cinq minutes d'une bonne série de claquées pour raviver
l'effet de la fessée précédente et lui faire reluire à nouveau les fesses qui
reprennent rapidement un niveau de coloration plus élevé. Le malheureux s'est
aussitôt remis à gémir, puis pleurer de plus en plus fort, sans aucun résultat.
L'inflexible épouse est totalement indifférente à ce qu'elle appelle ses
jérémiades, qui l'incitent plutôt à augmenter la cadence et l'intensité des
claques.
– « Oui, je sais, je fesse fort, ça fait mal... et c'est tout à fait normal, je fais ce qu'il
faut pour ça ! Une bonne fessée déculottée ça doit claquer dur pour être
efficace et bien rougir les fesses !
Alors prépare toi à souffrir mon petit chéri. Je te garantis que tu vas
avoir du mal à t'asseoir en passant à table tout à l'heure. »
Edwige n'est pas en reste et ne peut
s'empêcher de participer à sa manière.
– « Après une aussi belle fessée, à mon avis, il n'est pas près de poser le
derrière sur une chaise !
– Détrompe toi ma chérie... répond
Gladys, tout en continuant à pilonner le postérieur en feu qui se tortille en
cadence sous sa main. Quel que soit
l'état de ses fesses, il a pour obligation de se tenir toujours correctement à
table pendant les repas ! Et si ce n'est pas le cas : c'est
immédiatement la fessée ! Il n'y a que comme ça que ça marche, et c'est valable
pour tout le monde. !
– Rien à dire, c'est la bonne méthode ! Je ne supporte pas non plus
les mauvaises tenues à table ! Et je suis bien d'accord, les fessées
demeurent l’argument d'obéissance le plus convaincants.
–Tu entends Edouard ? Gare à tes fesses si tu n'es pas capable de
rester assis à ta place sans tortiller du derrière sur ta chaise. Tu es
prévenu ! ».
Gladys ponctue son avertissement
d'une formidable paire de claque sur chaque fesse qui met un terme à la fessée
en cours. Satisfaite de sa performance, elle contemple le resplendissant
fessier qu'elle vient de passer à l'écarlate. Toujours tendu en position, il
tressaille douloureusement, secoué par les sanglots de son propriétaire qui
demeure prostré entre ses jambes.
– « Tu peux continuer à gémir et pleurnicher autant que tu veux trésor.
C'est un bon signal. La preuve que la fessée a été efficace et qu'elle devrait
te servir de leçon. A l'avenir, si tu veux éviter de te faire autant rougir les
fesses tu essayeras de ne pas oublier les courses que je te demande de faire. »
Sur cet avertissement exprimé avec
autorité et un aller et retour supplémentaire bien claquant, elle consent à
desserrer les cuisses pour le libérer. Il s'écroule en larmes à genoux, les
joues brillantes, consciencieusement rougies par le frottement continue des bas
nylon sur la peau. Elle se penche vers lui et lui relève le visage d'un doigt
passé sous le menton.
– « Alors mon ami, qu'est-ce qu'on
dit à sa petite femme chérie qui prend si bien soin de ses fesses ? »
Le pauvre mari effondré, regarde son
épouse en reniflant les larmes qui dégoulinent sur ses joues. On dirait un
petit garçon qui vient de se faire corriger par sa mère. Il bafouille quelques
mots incompréhensibles. Gladys insiste.
– « Hein, qu'est-ce qu'on
dit Trésor ? On se dépêche de répondre, avant que je lui en remette une
autre ! »
– Mer... merci... ché... chérie pour
cette ... fessée...
– Oui, mais comment cela cette
fessée ?
– Pa... pardon chérie ! Mer...
Merci pour cette « bonne » fessée !
– Bieeeen ! Toujours important
de préciser. Et la fessée... Méritée ?
– Oui Gladys... une fessée méritée.
– Alors, on a ses fesses bien
rouges... et bien cuisantes ?
– Oh oui chérie, ça cuit ! Très
fort !
– Parfait ! Maintenant, au lieu
de passer au coin, tu vas aller mettre la table pour le dîner !
– Alors ... Je peux me
reculotter, s'il te plaît ? »
Implore le pauvre mari en se tenant les fesses
à deux mains.
« Te reculotter ? Pas pour
autant mon cher. Si je te dispense de pénitence au coin c'est pour mieux te
voir te trimballer déculotté, fesses rouges à l'air, pendant que tu t'affaires
à mettre le couvert ! Aller file, et dépêche-toi sinon je demande à
Patricia de t'en remettre une ! »
Patricia, se méfiant des sautes
d'humeur de sa mère avec ses rageurs retours de fessée possible, s'est bien
gardée de se manifester pendant la correction de son beau-père qu'elle a plutôt
appréciée. Les fesses détendues, redescendues à température supportable, elle
ne peut empêcher sa nature impétueuse de reprendre le dessus.
« Oui, c'est même moi qui m'en
chargerai ! S'exclame-t-elle, profitant du rétablissement de son
autorité domestique.
Gladys tempère aussitôt.
« Pour ça ma chérie ne
t’emballe pas, on verra, on verra... Je sais, que tu en as très envie,
mais tu vas attendre encore un peu avant de reprendre les fessées. Commence
déjà par digérer les tiennes. »
Edwige qui assistait amusée à la conversation, finit par se lever de son
fauteuil. Soucieuse de l'élégance de sa tenue elle lisse à nouveau sa jupe sur
ses cuisses et ses fesses pour éliminer les faux plis et ajuste son chapeau,
« Bon, mes chéries, je passe un moment très agréable avec vous, mais cette
fois ci, il faut que j'y aille. Dit-elle en renfilant ses gants. Je vais vous
laisser finir de régler vos petits problèmes en famille.
– C'est toujours comme ça. Acquiesce
Gladys en lui tendant son sac. Quand on fesse on ne voit pas le temps passer.
– Je ne te le fais pas dire. Il est dix neufs heures trente passées, on
m'attend à la maison. Stephen a dû faire comme Edouard et, cette fois ci,
rentrer directement du bureau.
– Certainement, les raclées du week-end leur ont fait du bien. Ils ont
besoin d'être recadrés régulièrement ! On est là pour ça.
– Sur ce point-là peut-être, mais pour le reste... On est encore loin du
compte ! Il est parti ce matin sans débarrasser la table de son petit
déjeuner... Malgré les fessées c'est la troisième fois en une semaine. A force, il doit s'y habituer, ce n'est pas
possible ! Il est In-co-rri-gible !
– Il n'y a pas à hésiter ma chère,
il faut taper plus fort, plus longtemps et plus souvent ! Il faudra que je
te présente Sylvie, une autre amie que tu ne connais pas. Quand son mari est
trop désobéissant et devient insupportable, elle le soumet à ce qu'elle appelle
« Une journée fesses rouges ». C'est fessées sur fessées toute la journée,
à intervalle régulier. Très efficace selon elle. J'appliquerais bien la même
méthode avec Edouard s'il continue comme ça...
– Ah oui... C'est une idée, pourquoi
pas. Stéphen en aurait bien besoin.
– Ton mari comme le mien !
– En attendant, je lui ai envoyé un SMS pour lui dire de préparer ses
fesses en rentrant. En ce moment il doit être en train d'attendre sa fessée.
J'adore le faire mariner avant de le corriger, ça lui met le derrière en
condition, et je te prie de croire qu'il va claquer sec !
– Pour ça je te fais confiance ! Flanque-lui-en une bonne, les fesses
bien rouges, il n'y a que comme ça qu'ils comprennent !
– Et encore... la plupart du temps une seule fessée ne suffit pas ! Mais ta
petite séance de recadrage m'a bien mise en forme. Je viens de me chauffer la main sur les fesses
de ta fille, je vais en faire profiter celles de Stephen. Je t'appelle demain
pour te donner des nouvelles de ses fesses ! Ne me raccompagne pas je connais
le chemin. »
D'un geste naturel, elle jette un œil par-dessus son épaule pour vérifier
la couture de ses bas, et, ondulant outrageusement des hanches sur ses talons
aiguille, la pétulante créature quitte le salon dans un grand éclat de rire.
Elle sort en claquant joyeusement la porte. Elle ne sait pas fermer une porte
autrement. C'est comme les fessées, il faut que ça claque...
« Patricia, s'il te plaît, tu débarrasses la table du salon ! »
Gladys posa bruyamment son couteau
et sa fourchette sur le bord de son assiette et poussa un soupir pour
manifester son exaspération.
« Edouard s'il te plaît, veux-tu te
tenir correctement à table et cesser de gigoter sur ta chaise ! Je ne te le dirai pas une deuxième
fois ! La prochaine c'est la fessée !
– Maman, à mon avis tu devrais lui
mettre tout de suite, il n'est même pas assis, ses fesses ne touchent pas sa
chaise « ! »
S'exclame Patricia, perfide, en quête de
revanche après ses trois fessées de l'après-midi.
Glapit Edouard qui essayait de
manger en appui sur les cuisses pour éviter à son postérieur encore brûlant, le
contact douloureux avec l'assise cannelée de son siège.
Le dîner en famille se passait
jusque-là dans un calme revenu, après le fracas de l'éclatante fessée
déculottée de fin de journée qui lui avait fait retentir les fesses d'un mur à
l'autre du salon. Gladys ne lui avait lâché le derrière qu'après le lui avoir
monté à l'écarlate pour bien lui faire comprendre les conséquences de ses actes
et de ses oublis.
Le pantalon aux chevilles, slip aux
cuisses, elle l'avait envoyé dresser la table comme elle avait fini par
l'habituer à le faire, au prix de quelques claquantes séances de fessées. Le
meilleur moyen de lui apprendre à partager les tâches domestiques.
Elle le voulait placé en face d'elle
à l'autre bout de la table, ce qui l'obligeait à en faire le tour pour venir
lui présenter ses fesses lorsqu'elle décidait de le corriger en urgence, pour
une bêtise ou une maladresse quelconque. Ce qui arrivait presque
systématiquement à chaque repas, et comme elle ne lui passait rien, plutôt deux
fois qu'une.
Il s'était mis à table avec
interdiction de remonter son pantalon qu'il devait laisser flottant autour de
ses chevilles, l'obligeant à se déplacer en se dandinant, les jambes
entravées. Les fesses, par contre, solidement
reculottées, étroitement serrées dans son slip pour entretenir l'effet de la
dernière fessée. Le nylon conserve parfaitement la chaleur.
Contrairement à ce que Gladys lui
avait annoncé, il se prit sa fessée à table et non pas après le dîner. Sur
dénonciation de Patricia, évidemment complice de sa mère. Laquelle, n’éprouvait
aucun scrupule à saisir la moindre occasion de lui coller une raclée. Elle
n'eut qu'à reculer sa chaise pour le saisir au vol par l'oreille alors qu'il
venait de faire le tour de la table en tenant son pantalon à deux mains, pour
répondre à son injonction de lui amener ses fesses.
L'allonger en travers de ses cuisses ne pris
qu'une seconde, pas beaucoup plus pour un déculottage en règle et lui flanquer
dans la foulée sa deuxième fessée de la soirée. Ses grosses fesses encore
rouges de la précédente n'en retentirent qu'un ton plus haut avec une qualité
sonore nettement supérieure. Il en couina tout du long en suppliant, demandant
une grâce qu'elle ne lui accorda évidemment pas, désireuse de lui faire profiter
jusqu'au bout de sa cuisante force de frappe.
– « Et voilà, monsieur est
servi ! Encore une bonne fessée ! Celle-là pour t'apprendre à ne pas
te moquer du monde en faisant semblant, je déteste les simulateurs !
Patricia a eu bien raison de me signaler ton comportement
lamentable ! Retourne à ta place et cette fois je veux te voir
correctement assis !»
Edouard en pleurs, les fesses
reluisantes, en pleine cuisson, se releva des cuisses de son épouse, comme mû
par un ressort. Le pantalon en travers des mollets, il se précipita à l'autre
bout de la table, en se reculottant, pour reprendre sa place, sous le regard
amusé des deux femmes. Patricia applaudit lorsqu'elle le vit étouffer un
hurlement au moment de s'asseoir, les fesses en feu, atrocement douloureuses,
étalées sur sa chaise. Son slip aux élastiques serrées dans la raie ne
constituait aucun rempart à l'agressivité mordante du siège cannelé qui tenait
parfaitement son rôle de stimulateur de chaleur.
Gladys le regarda avec un large
sourire satisfait et ironisa.
– « Tu vois mon chéri, rien de tel
qu'une bonne fessée bien cuisante pour trouver immédiatement la position qui
convient lorsque l'on est à table ! N'est-ce pas merveilleux ?
Edouard mugit en serrant les dents, résistant
à l'envie de soulever de son siège son éclatant fessier entièrement cuit,
alourdi et gonflé de claques.
– « Oh Gladys ça fait maaaaal...
Pourquoi tu fesses aussi fort ! C'est trop dur de rester assis !
– C'est pourtant ce que tu vas faire
mon chéri ! Rester bien gentiment
posé sur ton derrière bien cuit jusqu'à la fin du repas. Et à propos, j'y
pense... je t'ai pris rendez-vous chez Béatrice, ma coiffeuse. Demain, dix-huit
heures. Surtout, n'oublie pas. Sinon c'est la fessée en rentrant ! Si tu
n'en n’as pas pris de nouvelles d'ici là, tu devrais pouvoir rester assis à
rester sur un siège, sans difficulté, pendant une petite demie heure. »
Edouard resta un moment silencieux
puis toujours grimaçant, fit un signe de tête désabusé.
– « Mais Gladys, comment veux-tu que
j'y sois à dix-huit heures, c'est l 'heure à laquelle je finis. Si je ne
dois pas rester plus longtemps pour boucler un dossier.
Gladys s'en moquait comme de sa
première petite culotte.
– « Il n'y avait pas d'autre créneau
possible. Et puis ce n'est pas mon problème, à toi de te débrouiller pour être
à l'heure. Le salon de Béatrice est très prisé, elle a un planning serré. Tu ne
peux pas te permettre d'arriver en retard.
– Mais... Gladys, ce n'est pas
poss...
–
Il n'y a pas de « mais » Edouard... Tu cesses de discuter et
de contester mes décisions. A moins que tu ne préfères revenir faire un séjour
sur mes genoux pour une nouvelle fessée. Tu connais ma main, elle est
infatigable et elle adore tes fesses !»
Patricia bondit sur sa chaise, prête
à se lever pour intervenir.
« Oh non maman, laisse-le-moi !
C'est moi qui vais lui donner... S'il te plaît, cette fois ci c'est pour
moi !
– Ça suffit Patricia tu te
calmes ! Continue comme ça et c'est toi qui vas t'en reprendre une. Ici,
c'est moi qui décide des fessées à administrer, où, quand et
comment !
– Oh maman... S'il te plaît.
– Inutile d'insister, que ce soit
ton frère ou Edouard, tu ne t'occupes de leurs fesses que lorsque je t'y
autorise ! »
La jeune femme vexée se renfrogne en
serrant les dents. Sa mère s'en amuse ouvertement et ironise en affichant un
fatalisme de circonstance.
– « Eh oui ma chérie, c'est comme
ça ! Tu auras compris qu'aujourd'hui ce n'est pas ton jour. »
Edouard, le nez dans son assiette,
esquisse un petit sourire, pas mécontent que sa garce de belle fille soit
remise à sa place. Il en aurait même sauté de joie sur sa chaise si son
derrière ne lui faisait pas tant fait souffrir, même si le souffle d'une
nouvelle fessée n'en n'était tout de même pas passé très loin.
Satisfaite du déroulement de la
soirée, Gladys, estimant que chacun avait eu sa dose de fessées pour la
journée, clôt définitivement le débat qui n'avait d'ailleurs jamais vraiment eu
lieu.
– « C'est terminé ! Patricia tu
débarrasses la table. Edouard, tu fais la vaisselle, le pantalon baissé,
jusqu'à ce que je t'autorise à te reculotter. Et je veux que tu sois au salon
de coiffure demain à dix-huit heures précises, je passerai te chercher vers
dix-neuf heures ! Et je te préviens mon petit chéri, les fesses vont te
cuire si ça ne se passe pas comme prévu ! »
Elle se lève de table.
– « Quelque chose d'intéressant ce
soir à la télé ? »
Avec les dessins originaux de l'auteur !
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Le début : chapitre 1 de la saison 1
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 4
Il y a une suite, le chapitre 6
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 4
Il y a une suite, le chapitre 6
Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre : ramina16@laposte.net
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerMeilleurs vœux de bonne et heureuse fessée pour la famille Tapefort !
Wahou ! quel démarrage en trombe ! Ces dames se surpassent !!! "Les trois Grâces s'amusent ! " Rires. En quelque sorte le triomphe de la reine Omphale sur Hercule !!!
Miss Patricia en rajoute une couche et c'est une sacrée cafteuse, n'empêche.
"Tante" Edwige allie élégance, glamour et sévérité.
Superbe, les illustrations !!!
A côté, Mam'e Bellebourge et son fils font pâle figure...
Mais bon le dîner et le thé ne sont pas encore au programme.
Ah mais , j'ai tout compris : Edouard s'est goinfré de parts de galette et a généreusement abusé du cidre. Alors : hop, une bonne fessée pour bien digérer ! Un peu d'exercice est salutaire ! Rires.
Peter'.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerRetour de vos commentaires avec plaisir. Merci. Je me sentais un peu seul sur le blog pour commencer en fanfare cette nouvelle année de fessées.
Effectivement le thé n'est pas véritablement au programme. Ces Dames carburent au pur malt... ça donne de la vigueur.
Edouard n'aura pas le temps de se goinfrer de galette, il a rendez vous chez la coiffeuse de son épouse...Et ça va chauffeeeeeer! La patronne et les petites mains ne se laissent pas faire.
Ramina