vendredi 11 janvier 2019

La SFID - La formation d'Aurélie - chapitre 16


La formation d’Aurélie se poursuivait et celle-ci prenait de plus en plus d’autonomie. Elle prenait maintenant en charge la maintenance du site c’est-à-dire toutes les mises à jour quotidienne qui touchaient les produits, les prix, les informations etc… et les questions des visiteurs.
Un matin Madame Leroy déboula dans mon bureau un papier à la main visiblement furieuse.

« Georges, je reçois ce matin ce Mail de Monsieur Dubois Directeur de la pension de la Chauderaie qui a posé une question sur le site il y a 8 jours et qui n’a toujours pas de réponse ! Trouvez-vous cela normal ? En désespoir de cause il s’adresse à moi Présidente de la SFID pour savoir pourquoi on ne prend pas en considération sa demande. C’est inadmissible, pouvez-vous me donner des explications ?
La foudre me tombait sur la tête et je regardais dans la direction d’Aurélie qui derrière sa vitre se demandait ce qui se passait. Je lui fis un signe de venir et elle arriva prestement dans mon bureau, salua respectueusement Madame Leroy et attendit.
Après lui avoir expliqué de quoi il retournait je sentis Aurélie troublé et mal à l’aise. Car c’était de sa responsabilité dont il était question.
Elle retourna prestement devant son écran et après avoir examiné rapidement des fichiers revint penaude et toute rouge dans mon bureau.
« Effectivement j’ai zappé cette question qui m’est bien arrivé mais que j’ai malheureusement oublié de traiter. Je m’en excuse et je vais bien entendu immédiatement y répondre. Je vous prie de bien vouloir m’excuser Madame Leroy de cette erreur involontaire.
« Ma petite à la SFID toute erreur se paie comptant. Votre chef va donc vous corriger en conséquence. Je joindrai la photo de vos fesses corrigées à notre client afin qu’il voit que si vous ne vous êtes pas occupé de lui, la présidente a pris les mesures nécessaires pour que cela ne se reproduise pas. Quant à vous Georges ne croyez pas vous en tirer à si bon compte. Aurélie est encore en formation, par conséquent c’est sous votre entière responsabilité si elle a fait ce grave oubli.  C’est parce qu’elle a eu probablement des carences dans sa formation et que vous lui avez mal expliqué l’importance des réponses à faire à nos clients. Par conséquent vous serez également corrigé pour cela. Passez à mon bureau demain pour y recevoir votre fessée car j’ai déjà un planning chargé aujourd’hui. En attendant je vous laisse punir Aurélie comme il se doit et dire à Delphine qu’elle m’envoie prestement une belle photo des fesses d’Aurélie après sa fessée que je puisse la transmettre à notre client.
Ce faisant, les sentences étant prononcées, Madame Leroy impériale quitta mon bureau alors que nous baissions tous les deux la tête, honteux de notre faute.
Je devais donc et sans attendre corriger Aurélie pour son oubli. Mais n’ayant encore jamais eu à corriger quelqu’un à la SFID je ne savais pas ce que je devais appliquer. Dans le doute et la crainte de mal faire j’appelais Céline pour lui expliquer la situation. Celle-ci pragmatique comme d’habitude me rappela les clauses du contrat.
« Georges visiblement dans ce cas de figure on est dans la faute grave :

Faute grave
Retards répétés, erreur pouvant avoir des conséquences graves, insolence envers son supérieur ou les autres salariés, négligence grave.
10 à 30 coups de paddle, 10 à 20 coups de martinets medium ou sévère, 6 coups de canne anglaise.

C’est à toi de déterminer le nombre de coups à appliquer. Mais comme Madame Leroy t’a demandé la photo des fesses d’Aurélie pour l’envoyez comme preuve de punition à son client, je te conseille de faire le maximum de coup et de fesser avec le maximum de sévérité afin que le résultat se voit. Sinon c’est toi qui va essuyer sa colère demain.

Une fois de plus le raisonnement de Céline était juste et intelligent. Il allait falloir que je corrige Aurélie et sévèrement si je ne voulais pas énerver un peu plus Madame Leroy.
J’emmenais donc Aurélie en salle de correction et lui demandait de se déshabiller. Ce qu’elle fit non sans gêne. Elle pleurait déjà probablement plus de honte et de dépit d’avoir été pris en faute que du fait d’apparaître nue à mes yeux. D’ailleurs elle avait déjà eu l’occasion de se déshabiller devant moi lors du fameux test d’embauche. Elle s’allongea d’elle-même sur le banc de correction et je n’eus plus qu’à la sangler afin qu’elle ne puisse pas bouger durant la fessée. Ses petites fesses bien blanches se crispaient déjà de peur. J’attrapais le premier paddle qui me tombait sous la main et commençait la fessée en comptant jusqu’à 30. Je n’osais pas trop appuyer mes premiers coups mais me rappelant les conseils de Céline je claquais de plus en plus durement les fesses d’Aurélie. Ses cris de plus en plus forts me confirmèrent que j’allais dans la bonne direction. Puis je pris le martinet, le même que celui utilisé par Aurélie il y a quelques jours sur mes propres fesses à la maison. Et là je me souvins qu’Aurélie n’y était pas allée de main morte. J’avais l’occasion à mon tour de lui faire sentir que moi aussi je savais donner le fouet et je n’allais pas me gêner. A la fin des 20 coups de martinets les fesses d’Aurélie étaient striées du haut en bas. Même la naissance des cuisses avait été cinglée par les lanières. Cela allait faire une belle photo. Aurélie pleurait maintenant de douleur à chaude larme. Et dire qu’elle avait encore la cane anglaise à recevoir.
Justement j’attrapais la cane du diamètre le plus fin car je ne voulais pas abimer Aurélie lors de cette première punition disciplinaire à la SFID. Je me positionnais sur le côté et armai mon bras. Le premier coup atterrissait sur le séant d’Aurélie avec un sifflement caractéristique.   Un hurlement s’ensuivit et j’enchainais les 5 coups suivants en essayant de ne pas atterrir au même endroit que le précédent. Les hurlements s’enchainaient aussi au rythme des coups.       Six belles lignes rouges surlignées de blanc embellissaient les petites fesses martyrisées d’Aurélie. Je n’étais, ma foi, pas mécontent du résultat pour une première punition donnée.
Aurélie non plus ne fut pas déçue quand elle vit ses fesses, une fois détaché dans le miroir de la salle de correction. Et Madame Leroy put envoyer à son client une belle preuve que sa réclamation avait été prise en compte, que la responsable avait été châtiée comme il se devait, et que les instruments de la SFID étaient décidemment diablement efficaces.
Céline avait vu aussi la fameuse photo des fesses d’Aurélie corrigée par mes soins puisqu’elle l’avait archivée dans le dossier d’Aurélie.
« Tu l’a bien corrigé comme il se devait me dit ’elle. Madame Leroy a dû apprécier, plus qu’Aurélie je pense qui a du bien crier me dit-elle avec un ton d’énervement.
Cette affirmation était en fait plus une réflexion désobligeante à mon égard de la part de Céline. Car Céline était tourmenté par sa jalousie latente et le fait que j’ai pu corriger Aurélie en tête à tête ou plutôt en main à fesse la perturbait et l’énervait. Je l’avais bien sentie comme cela et la confirmation arriva le soir même.
A peine rentré à la maison Céline avait saisi le premier prétexte venu pour ajouter des lignes au registre de punition. Au motif il était inscrit : n’a pas nettoyé la lunette des toilettes après son passage.
« Vous serez corrigé au fouet à chien puisque vous en êtes à uriner à côté de la cuvette, me dit-elle aussitôt. Et c’est moi qui vous punirais en tant que maitresse de cette maison.
Rendez-vous dans 30 minutes au grenier en tenue.
Aurélie dont la porte de la chambre n’était pas close avait naturellement tout entendu.
Et passa une tête pour demander malicieusement si elle pouvait assister à la punition.
« Mais naturellement lui dit Céline. Vous verrez l’effet du fouet à chien. C’est radical pour ce genre de bêtise. Il ne recommencera pas de sitôt, croyez-moi.
Je n’avais pas encore gouté de cet instrument mais je ne doutais pas de son efficacité disciplinaire. A l’origine conçu pour dresser les chiens de chasse et conduire une meute, ce fouet court à manche en bois était doté d’une seule lanière d’un mètre environ mais en cuir tressé. Et sur des fesses humaines l’effet était garanti. J’allais crier c’est sûr. Et cette petite peste d’Aurélie qui avait certainement encore mal aux fesses de sa fessée du matin allait avoir une certaine forme de revanche par procuration. D’autant que le motif invoqué par Céline n’était que prétexte à mon avis pour passer sur mes fesses sa jalousie. Et j’allais sentir passer sur mes fesses l’intensité de sa jalousie.
Une demie heure après et déculotté par une Céline ravie de me baisser une fois de plus mon caleçon, j’eu droit à une sacrée correction au fouet à chien. Céline l’avait fait claquer plusieurs fois dans l’air avant de démarrer ma correction.
Le bruit était terrifiant car le claquement très impressionnant et propre à effrayer et retenir une meute de beagle avant la curée. Alors moi attaché à la croix de saint André vous imaginez !
Après les claquements dans l’air c’est sur ma peau que le cuir tressé claqua. Plus de 100 coups qui me zébrèrent les fesses et les cuisses sans toutefois aller au sang.
Nous n’étions pas dans la marine Anglaise et le fouet à chien n’est pas le chat à neuf queues que l’on voit en action dans les révoltés du Bounty par exemple. L’effet de ce terrible instrument de torture était précisément de provoquer des douleurs terribles et des dégâts immédiatement visibles par les spectateurs. Ce fouet était composé de neuf brins de cordes ou de cuir tressés avec des nœuds et parfois des billes de plomb insérées dans les nœuds pour lester les lanières et leurs donner plus de force. Au bout de quelques coups le puni hurlait et le sang apparaissait sur son dos. Le but était d’impressionner suffisamment l’équipage pour que celui-ci ne se risque pas à enfreindre le règlement du bord ou à se mutiner. Le dos ainsi flagellé gardait des cicatrices indélébiles et les durs à cuire et autres délinquants pouvait prouver leurs méfaits en exhibant leur dos marqué à vie par le fouet. On appelait cela la chemise à carreaux lorsque les cicatrices étaient telles qu’elle s’entrecroisait comme un motif sur le dos du marin.
Les instruments de la SFID n’entraient pas dans ce registre. C’était des instruments de discipline, certes mais de discipline moderne, destinés à la discipline conjugale, scolaire ou professionnelle comme à la SFID, destiné à corriger le puni pour lui faire prendre conscience de ses fautes. Le but n’était pas de provoquer des blessures mais bien de faire suffisamment mal afin que la correction porte ses fruits. Les marques ne duraient pas plus que quelques jours et les fessées pouvaient donc se reproduire aussi souvent que nécessaire en fonction de l’indiscipline du puni.
Et la correction que je recevais de Céline allait porter ses fruits. J’allais dorénavant inspecter minutieusement les toilettes avant d’en sortir et de ne pas risquer une nouvelle correction au fouet à chien.
Aurélie assistait à la punition pas fâché de me voir souffrir et crier à mon tour tandis que Céline faisait claquer le fouet sur mes fesses. Celles-ci étaient maintenant striées du passage de la lanière tressée et commençaient à enfler par endroit ou le cuir avait insisté.
La punition se poursuivit jusqu’à la centaine de coups car Céline était énervée.
A la fin de la punition et consciente qu’elle m’avait très sévèrement fouetté pour une faute malgré tout bénigne, Céline vint me caresser les fesses pour se faire pardonner sa sévérité jalouse. Même si ma peau était très sensible de par la fouettée reçue, et peut être aussi à cause de cela, cette main amoureuse me fit l’effet d’un nouveau coup de fouet, mais érotique celui-là, et une érection violente et incontrôlée me surprit.
« Allons mon chéri, qui aime bien châtie bien. Soyez plus propre à l’avenir et tout ira bien, me dit-elle en lorgnant mes attributs au garde à vous.
Avec cette fouettée, ce geste de tendresse et ses mots, Céline me prouvait son amour pour moi. Avec cette érection je lui prouvais mon attachement à sa personne et a sa méthode d’éducation. Elle me récompensa en caressant voluptueusement ma hampe en érection, ce qui eu pour effet de renforcer ma virilité presque douloureusement. Entre l’effet du fouet qui m’avait échauffé sérieusement toute la région du bassin et cette main qui caressait mon sexe dressé je risquais l’explosion de manière imminente.
Ayant aussi prouvé à Aurélie qui avait assisté non sans intérêt à la scène que c’était elle la patronne, elle me détacha satisfaite et me renvoya dans notre chambre ou elle ne tarda pas à me rejoindre pour me faire crier d’une autre façon. Elle-même se fit plaisir et s’arrangea pour qu’Aurélie l’entende bien exprimer sa jouissance.
Mais je n’en avais pas encore fini car j’avais encore rendez-vous avec Madame Leroy le lendemain. Et elle allait fatalement voir les traces du fouet à chien et me demander des explications.
J’avais bien senti dès l’embauche d’Aurélie que tout cela allait entraîner des complications et des ennuis. J’en avais maintenant la confirmation avec cette suite de fessée qui ne s’arrêtait plus.



Pour suivre le fil de ce récit


Le premier de la série :  chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 15
La suite au prochain chapitre... sans doute la semaine prochaine.

Des encouragements, des réactions, des appréciations ?

Vous pouvez rédiger un commentaire et le poster sur le site si vous souhaitez que la communauté des lecteurs en ait connaissance.


Vous pouvez, si vous le souhaitez, également joindre directement Georges T, par courriel  à l'adresse suivante : dyoni.gt69@gmail.com


3 commentaires:

  1. bonjours j'ai cette histoire mais que la punition après le reste c'est un peux sexuel parce que moi je recherche une punition fessée cul nue parce que je mérite sans la sexualité comme l’ancienne école mais je ne trouve pas si quelqu'un peux m'aidé merci

    RépondreSupprimer
  2. Bonjour,
    C'est vrai qu'on peut s'en passer, mais force est de reconnaître que la fessée procure souvent des "émotions", comme on dit, à caractère sexuel.
    Pourtant les descriptions détaillées des instruments de discipline et la cuisante efficacité des corrections, auraient plutôt tendance à vite annihiler ces pulsions naturelles. Parce qu'à la SFID on ne prive pas... ça claque fort ! Je ne suis pas sûr que le fouet à chien sur le derrière provoque une raideur durable...
    Mais bon... Dans le petit monde de la fessée punitive et joyeuse tout est possible.
    Et, désolé Gérard, mais perso, je n'ai pas la possibilité de vous aider dans votre recherche.
    Cordialement
    Ramina

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. merci quand même donc même si un adulte et mal élevais je ne peux pas trouvé une mère ou prof sévère tente pis

      Supprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.