La formation d’Aurélie se poursuivait et celle-ci prenait de
plus en plus d’autonomie. Elle prenait maintenant en charge la maintenance du
site c’est-à-dire toutes les mises à jour quotidienne qui touchaient les
produits, les prix, les informations etc… et les questions des visiteurs.
Un matin Madame Leroy déboula dans mon bureau un papier à la
main visiblement furieuse.
« Georges, je reçois ce matin ce Mail de Monsieur
Dubois Directeur de la pension de la Chauderaie qui a posé une question sur le
site il y a 8 jours et qui n’a toujours pas de réponse ! Trouvez-vous cela
normal ? En désespoir de cause il s’adresse à moi Présidente de la SFID
pour savoir pourquoi on ne prend pas en considération sa demande. C’est
inadmissible, pouvez-vous me donner des explications ?
La foudre me tombait sur la tête et je regardais dans la
direction d’Aurélie qui derrière sa vitre se demandait ce qui se passait. Je
lui fis un signe de venir et elle arriva prestement dans mon bureau, salua
respectueusement Madame Leroy et attendit.
Après lui avoir expliqué de quoi il retournait je sentis
Aurélie troublé et mal à l’aise. Car c’était de sa responsabilité dont il était
question.
Elle retourna prestement devant son écran et après avoir
examiné rapidement des fichiers revint penaude et toute rouge dans mon bureau.
« Effectivement j’ai zappé cette question qui m’est
bien arrivé mais que j’ai malheureusement oublié de traiter. Je m’en excuse et
je vais bien entendu immédiatement y répondre. Je vous prie de bien vouloir
m’excuser Madame Leroy de cette erreur involontaire.
« Ma petite à la SFID toute erreur se paie comptant.
Votre chef va donc vous corriger en conséquence. Je joindrai la photo de vos
fesses corrigées à notre client afin qu’il voit que si vous ne vous êtes pas
occupé de lui, la présidente a pris les mesures nécessaires pour que cela ne se
reproduise pas. Quant à vous Georges ne croyez pas vous en tirer à si bon
compte. Aurélie est encore en formation, par conséquent c’est sous votre
entière responsabilité si elle a fait ce grave oubli. C’est parce qu’elle a eu probablement des
carences dans sa formation et que vous lui avez mal expliqué l’importance des
réponses à faire à nos clients. Par conséquent vous serez également corrigé
pour cela. Passez à mon bureau demain pour y recevoir votre fessée car j’ai
déjà un planning chargé aujourd’hui. En attendant je vous laisse punir Aurélie
comme il se doit et dire à Delphine qu’elle m’envoie prestement une belle photo
des fesses d’Aurélie après sa fessée que je puisse la transmettre à notre
client.
Ce faisant, les sentences étant prononcées, Madame Leroy
impériale quitta mon bureau alors que nous baissions tous les deux la tête,
honteux de notre faute.
Je devais donc et sans attendre corriger Aurélie pour son oubli.
Mais n’ayant encore jamais eu à corriger quelqu’un à la SFID je ne savais pas
ce que je devais appliquer. Dans le doute et la crainte de mal faire j’appelais
Céline pour lui expliquer la situation. Celle-ci pragmatique comme d’habitude
me rappela les clauses du contrat.
« Georges
visiblement dans ce cas de figure on est dans la faute grave :
Faute
grave
Retards répétés, erreur pouvant avoir des
conséquences graves, insolence envers son supérieur ou les autres salariés,
négligence grave.
10 à 30 coups de paddle, 10 à 20 coups de
martinets medium ou sévère, 6 coups de canne anglaise.
C’est à toi de déterminer le
nombre de coups à appliquer. Mais comme Madame Leroy t’a demandé la photo des
fesses d’Aurélie pour l’envoyez comme preuve de punition à son client, je te
conseille de faire le maximum de coup et de fesser avec le maximum de sévérité
afin que le résultat se voit. Sinon c’est toi qui va essuyer sa colère demain.
Une fois de plus le raisonnement
de Céline était juste et intelligent. Il allait falloir que je corrige Aurélie
et sévèrement si je ne voulais pas énerver un peu plus Madame Leroy.
J’emmenais donc Aurélie en salle
de correction et lui demandait de se déshabiller. Ce qu’elle fit non sans gêne.
Elle pleurait déjà probablement plus de honte et de dépit d’avoir été pris en
faute que du fait d’apparaître nue à mes yeux. D’ailleurs elle avait déjà eu
l’occasion de se déshabiller devant moi lors du fameux test d’embauche. Elle s’allongea
d’elle-même sur le banc de correction et je n’eus plus qu’à la sangler afin
qu’elle ne puisse pas bouger durant la fessée. Ses petites fesses bien blanches
se crispaient déjà de peur. J’attrapais le premier paddle qui me tombait sous
la main et commençait la fessée en comptant jusqu’à 30. Je n’osais pas trop
appuyer mes premiers coups mais me rappelant les conseils de Céline je claquais
de plus en plus durement les fesses d’Aurélie. Ses cris de plus en plus forts
me confirmèrent que j’allais dans la bonne direction. Puis je pris le martinet,
le même que celui utilisé par Aurélie il y a quelques jours sur mes propres
fesses à la maison. Et là je me souvins qu’Aurélie n’y était pas allée de main
morte. J’avais l’occasion à mon tour de lui faire sentir que moi aussi je
savais donner le fouet et je n’allais pas me gêner. A la fin des 20 coups de
martinets les fesses d’Aurélie étaient striées du haut en bas. Même la
naissance des cuisses avait été cinglée par les lanières. Cela allait faire une
belle photo. Aurélie pleurait maintenant de douleur à chaude larme. Et dire
qu’elle avait encore la cane anglaise à recevoir.
Justement j’attrapais la cane du
diamètre le plus fin car je ne voulais pas abimer Aurélie lors de cette
première punition disciplinaire à la SFID. Je me positionnais sur le côté et
armai mon bras. Le premier coup atterrissait sur le séant d’Aurélie avec un
sifflement caractéristique. Un
hurlement s’ensuivit et j’enchainais les 5 coups suivants en essayant de ne pas
atterrir au même endroit que le précédent. Les hurlements s’enchainaient aussi
au rythme des coups. Six belles
lignes rouges surlignées de blanc embellissaient les petites fesses martyrisées
d’Aurélie. Je n’étais, ma foi, pas mécontent du résultat pour une première
punition donnée.
Aurélie non plus ne fut pas déçue
quand elle vit ses fesses, une fois détaché dans le miroir de la salle de
correction. Et Madame Leroy put envoyer à son client une belle preuve que sa
réclamation avait été prise en compte, que la responsable avait été châtiée
comme il se devait, et que les instruments de la SFID étaient décidemment
diablement efficaces.
Céline avait vu aussi la fameuse
photo des fesses d’Aurélie corrigée par mes soins puisqu’elle l’avait archivée
dans le dossier d’Aurélie.
« Tu l’a bien corrigé comme
il se devait me dit ’elle. Madame Leroy a dû apprécier, plus qu’Aurélie je
pense qui a du bien crier me dit-elle avec un ton d’énervement.
Cette affirmation était en fait
plus une réflexion désobligeante à mon égard de la part de Céline. Car Céline
était tourmenté par sa jalousie latente et le fait que j’ai pu corriger Aurélie
en tête à tête ou plutôt en main à fesse la perturbait et l’énervait. Je
l’avais bien sentie comme cela et la confirmation arriva le soir même.
A peine rentré à la maison Céline
avait saisi le premier prétexte venu pour ajouter des lignes au registre de
punition. Au motif il était inscrit : n’a pas nettoyé la lunette des
toilettes après son passage.
« Vous serez corrigé au
fouet à chien puisque vous en êtes à uriner à côté de la cuvette, me dit-elle
aussitôt. Et c’est moi qui vous punirais en tant que maitresse de cette maison.
Rendez-vous dans 30 minutes au
grenier en tenue.
Aurélie dont la porte de la
chambre n’était pas close avait naturellement tout entendu.
Et passa une tête pour demander malicieusement
si elle pouvait assister à la punition.
« Mais naturellement lui dit
Céline. Vous verrez l’effet du fouet à chien. C’est radical pour ce genre de
bêtise. Il ne recommencera pas de sitôt, croyez-moi.
Je n’avais pas encore gouté de
cet instrument mais je ne doutais pas de son efficacité disciplinaire. A
l’origine conçu pour dresser les chiens de chasse et conduire une meute, ce
fouet court à manche en bois était doté d’une seule lanière d’un mètre environ
mais en cuir tressé. Et sur des fesses humaines l’effet était garanti. J’allais
crier c’est sûr. Et cette petite peste d’Aurélie qui avait certainement encore
mal aux fesses de sa fessée du matin allait avoir une certaine forme de
revanche par procuration. D’autant que le motif invoqué par Céline n’était que prétexte
à mon avis pour passer sur mes fesses sa jalousie. Et j’allais sentir passer
sur mes fesses l’intensité de sa jalousie.
Une demie heure après et
déculotté par une Céline ravie de me baisser une fois de plus mon caleçon, j’eu
droit à une sacrée correction au fouet à chien. Céline l’avait fait claquer
plusieurs fois dans l’air avant de démarrer ma correction.
Le bruit était terrifiant car le claquement
très impressionnant et propre à effrayer et retenir une meute de beagle avant
la curée. Alors moi attaché à la croix de saint André vous imaginez !
Après les claquements dans l’air
c’est sur ma peau que le cuir tressé claqua. Plus de 100 coups qui me zébrèrent
les fesses et les cuisses sans toutefois aller au sang.
Nous n’étions pas dans la marine
Anglaise et le fouet à chien n’est pas le chat à neuf queues que l’on voit en
action dans les révoltés du Bounty par exemple. L’effet de ce terrible
instrument de torture était précisément de provoquer des douleurs terribles et
des dégâts immédiatement visibles par les spectateurs. Ce fouet était composé
de neuf brins de cordes ou de cuir tressés avec des nœuds et parfois des billes
de plomb insérées dans les nœuds pour lester les lanières et leurs donner plus
de force. Au bout de quelques coups le puni hurlait et le sang apparaissait sur
son dos. Le but était d’impressionner suffisamment l’équipage pour que celui-ci
ne se risque pas à enfreindre le règlement du bord ou à se mutiner. Le dos
ainsi flagellé gardait des cicatrices indélébiles et les durs à cuire et autres
délinquants pouvait prouver leurs méfaits en exhibant leur dos marqué à vie par
le fouet. On appelait cela la chemise à carreaux lorsque les cicatrices étaient
telles qu’elle s’entrecroisait comme un motif sur le dos du marin.
Les instruments de la SFID n’entraient
pas dans ce registre. C’était des instruments de discipline, certes mais de
discipline moderne, destinés à la discipline conjugale, scolaire ou
professionnelle comme à la SFID, destiné à corriger le puni pour lui faire
prendre conscience de ses fautes. Le but n’était pas de provoquer des blessures
mais bien de faire suffisamment mal afin que la correction porte ses fruits.
Les marques ne duraient pas plus que quelques jours et les fessées pouvaient
donc se reproduire aussi souvent que nécessaire en fonction de l’indiscipline
du puni.
Et la correction que je recevais
de Céline allait porter ses fruits. J’allais dorénavant inspecter
minutieusement les toilettes avant d’en sortir et de ne pas risquer une
nouvelle correction au fouet à chien.
Aurélie assistait à la punition
pas fâché de me voir souffrir et crier à mon tour tandis que Céline faisait
claquer le fouet sur mes fesses. Celles-ci étaient maintenant striées du
passage de la lanière tressée et commençaient à enfler par endroit ou le cuir
avait insisté.
La punition se poursuivit jusqu’à
la centaine de coups car Céline était énervée.
A la fin de la punition et
consciente qu’elle m’avait très sévèrement fouetté pour une faute malgré tout
bénigne, Céline vint me caresser les fesses pour se faire pardonner sa sévérité
jalouse. Même si ma peau était très sensible de par la fouettée reçue, et peut
être aussi à cause de cela, cette main amoureuse me fit l’effet d’un nouveau coup
de fouet, mais érotique celui-là, et une érection violente et incontrôlée me
surprit.
« Allons mon chéri, qui aime
bien châtie bien. Soyez plus propre à l’avenir et tout ira bien, me dit-elle en
lorgnant mes attributs au garde à vous.
Avec cette fouettée, ce geste de
tendresse et ses mots, Céline me prouvait son amour pour moi. Avec cette
érection je lui prouvais mon attachement à sa personne et a sa méthode
d’éducation. Elle me récompensa en caressant voluptueusement ma hampe en
érection, ce qui eu pour effet de renforcer ma virilité presque
douloureusement. Entre l’effet du fouet qui m’avait échauffé sérieusement toute
la région du bassin et cette main qui caressait mon sexe dressé je risquais
l’explosion de manière imminente.
Ayant aussi prouvé à Aurélie qui
avait assisté non sans intérêt à la scène que c’était elle la patronne, elle me
détacha satisfaite et me renvoya dans notre chambre ou elle ne tarda pas à me
rejoindre pour me faire crier d’une autre façon. Elle-même se fit plaisir et
s’arrangea pour qu’Aurélie l’entende bien exprimer sa jouissance.
Mais je n’en avais pas encore
fini car j’avais encore rendez-vous avec Madame Leroy le lendemain. Et elle
allait fatalement voir les traces du fouet à chien et me demander des
explications.
J’avais bien senti dès l’embauche
d’Aurélie que tout cela allait entraîner des complications et des ennuis. J’en
avais maintenant la confirmation avec cette suite de fessée qui ne s’arrêtait
plus.
Pour suivre le fil de ce récit
Le premier de la série : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 15
La suite au prochain chapitre... sans doute la semaine prochaine.
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bonjours j'ai cette histoire mais que la punition après le reste c'est un peux sexuel parce que moi je recherche une punition fessée cul nue parce que je mérite sans la sexualité comme l’ancienne école mais je ne trouve pas si quelqu'un peux m'aidé merci
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerC'est vrai qu'on peut s'en passer, mais force est de reconnaître que la fessée procure souvent des "émotions", comme on dit, à caractère sexuel.
Pourtant les descriptions détaillées des instruments de discipline et la cuisante efficacité des corrections, auraient plutôt tendance à vite annihiler ces pulsions naturelles. Parce qu'à la SFID on ne prive pas... ça claque fort ! Je ne suis pas sûr que le fouet à chien sur le derrière provoque une raideur durable...
Mais bon... Dans le petit monde de la fessée punitive et joyeuse tout est possible.
Et, désolé Gérard, mais perso, je n'ai pas la possibilité de vous aider dans votre recherche.
Cordialement
Ramina
merci quand même donc même si un adulte et mal élevais je ne peux pas trouvé une mère ou prof sévère tente pis
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