Une parfaite
éducation.
Béatrice ne répondit pas tout de
suite. Elle posa son sac sur la petite
commode de l'entrée et enleva ses gants un à un en toisant son fils avec un
petit sourire énigmatique. Elle ôta sa
veste de tailleur qu'elle accrocha dans la penderie. Maxime n'aimait pas du
tout cette attitude silencieuse, souvent annonciatrice de manifestations de
mauvaise humeur.
Dans ces moment-là, il pouvait
craindre pour ses fesses. Tout pouvait arriver.
Du haut de ses quinze centimètres de
talons aiguille, elle se planta devant lui en croisant les bras sous sa forte
poitrine qui en profita pour prendre quelques libertés avec son décolleté.
« Merci Maxime, c'est gentil de
prendre des nouvelles de ma journée ... Maman est très touchée de ton
attention. »
Maxime connaissait trop bien ce ton
aimable, teinté d'une subtile ironie, qui le mit aussitôt en éveil. Il ne se
détendit qu'à moitié, l'autre moitié restant plutôt sur la réserve. Aurait-elle
quelque chose à lui reprocher ? Il s'interrogeait mentalement. Un oubli,
une faute, une consigne non respectée... Quoi d’autre ?
Il était toujours content de
retrouver sa mère, chaque soir de la semaine, lorsqu'elle rentrait du salon de coiffure.
Mais, sachant son caractère pointilleux et son niveau élevé d'exigence sur le
respect de ce qu'elle appelait « sa discipline éducative », il
nourrissait souvent une petite pointe d'appréhension, lorsqu'il entendait s'ouvrir
et se refermer la porte d'entrée. Elle avait un talent pervers pour le faire
douter et entretenir chez lui un sentiment de culpabilité. Il lui arrivait même
de sursauter en percevant le bruit de ses clés de voiture tinter dans la
coupelle, suivi du claquement de ses talons aiguille jusqu'à ce qu'apparaisse
son imposante stature dans l'encadrement de la porte du salon.
Par goût et par provocation, elle
s'habillait toujours chic et audacieux, à la maison comme en ville ou à son
salon de coiffure. Elégante dans ses petits tailleurs très courts, bien
ajustés, provocante avec ses éternels bas nylon noir à couture et ses escarpins
vernis assortis. Il admirait sa prestance naturelle, fasciné par son
irrésistible pouvoir de séduction. Fier de sa mère, il n'en redoutait pas moins
l'extrême sévérité dont elle faisait preuve quand elle le corrigeait. Et elle s'y employait très souvent, parfois
pour des motifs insignifiants ou même sans raison particulière.
Le cœur battant, il alla à sa
rencontre lui souhaiter le bonsoir.
« Tu as l'air contrariée Maman, un
ennui au salon ?
– C'est bien de t'en inquiéter, mais
non, pas précisément. J'ai même passé un excellent fin d'après-midi. Mouvementé
mais bien agréable. J'en ai la main encore toute excitée, figure toi !
Maxime qui était bien placé pour
savoir que sa mère ne manquait jamais une occasion de faire la démonstration de
sa force de frappe, compris immédiatement l'allusion. Sourcil froncé, l'air
interrogateur, il fit semblant du contraire.
« Ah bon ? Qu'est-ce qu'il
s'est passé ?
– Oh trois fois rien... Une petite
altercation sans importance avec un client, mais il a fallu sévir pour le
remettre en place.
– Ah...
je le connais... c'est qui ?
– Je ne crois pas... C'est le mari
de Gladys. Elle le tient bien et le corrige régulièrement mais ça ne l'empêche
pas de se montre irrévérencieux. Il a mis une main aux fesses de Catherine.
Alors, pas besoin de te faire un dessin, tu devines la suite... Je me suis fait
plaisir.
– Oui maman, je me doute.
– Trois fessées, et des
belles ! Catherine s'est fait justice elle-même et personnellement je lui
en ai mis deux. Ça lui a fait le plus grand bien. A moi aussi d'ailleurs... ça
m'a mise en pleine forme. La fessée est décidément un excellent exercice
physique ! »
Elle le fixa avec insistance, le
regard lourd glissé sous les paupières. Il frémit. Sans savoir encore pourquoi,
il sentait monter la pression. Il resta debout devant elle lorsqu'elle s'assit
dans le canapé. Elle croisa haut les jambes en prenant bien soin de faire
crisser ses bas nylon sur ses cuisses, pianotant du bout des doigts sur les
accoudoirs. Signal annonciateur d'une perturbation passagère pour raison encore
indéterminée. Visiblement satisfaite,
elle sourit de son petit effet.
« Oui, les fessées ça me rend
euphorique. Ce qui m'amène à aborder un sujet te concernant, mon cher. » Dit-elle
en élevant légèrement la voix.
Maxime, inquiet, re-frémit en
serrant les fesses. C'était chez lui un réflexe conditionné. Dès que sa mère
montait d'un ton, il serrait les fesses, sachant qu'elle les avait déjà en
ligne de mire et qu'une fessée était en préparation.
« Dis-moi...Il ne t'est rien arrivé
de particulier récemment en prenant ta voiture ?
– Euuuuuh... Non maman, je ne me
souviens pas. Pourquoi ?
– Tu ne te souviens pas …
Vraiment ?
– Non maman... je t'assure !
– Alors comment se fait-il que je
vienne de recevoir une contravention pour excès de vitesse avec deux points de
retrait de permis ! Ta voiture et ton assurance sont à mon nom. C'est moi
qui reçois ce genre d'information ! Tu saisis ? »
Maxime est tétanisé. Il vient de
mentir bêtement et il sait que sa mère ne va pas le rater. Toutes les occasions
sont bonnes pour lui flanquer une raclée... indispensable à son éducation.
« Ah oui maman, je suis désolé j'ai
oublié de t'en parler... Je suis...
– Désolé... Oui, tu viens de le dire... tu as
oublié de m'en parler. Je pense que tu n'as pas oublié le tarif pour une faute,
doublée d'un mensonge !
– Oh maman... s'il te
plaît... »
La sévère maman semble se réjouir de
la situation. Elle se lève en lissant les faux plis sur sa jupe et toise son
fils du haut de son mètre quatre-vingt. Les reins cambrés par la hauteur de ses
talons aiguille, elle respire la force et l'autorité.
« Il n'y a pas de ''s'il te plaît maman''
Non seulement tu récoltes une amende, mais tu me caches ton infraction et tu
mens ensuite ! Les fesses vont te cuire mon cher !
Le malheureux pétrifié n'essaye pas
de discuter. Il sait que c'est parfaitement inutile. Sa mère est inflexible.
Quels que soient ses arguments, il n'obtiendra aucune clémence de sa part. Au
contraire, elle prendra même un malin plaisir à doubler sa correction s'il
insiste.
« Mon pauvre chéri, tu n'as vraiment
pas de chance. Ironise-t-elle. Je viens de me faire la main et d’assouplir ton
martinet sur les fesses du mari de Gladys. C'est l'occasion idéale d’en faire
profiter les tiennes. Tu ne crois pas ? »
Maxime ne répond pas. C'est le genre
de question à laquelle il n'y a rien à répondre. De toute manière sa mère se moque de ce qu'il
pourrait dire comme de sa première paire de talons aiguille.
« Tu m'attends ici dans le salon en
préparant tes fesses pour ta séance, pendant que je monte me mettre en tenue.
Et prépare-les soigneusement, parce que je vais t'en mettre une
bonne ! »
Quelques instants plus tard elle
réapparaît dans le salon. Elle a changé de jupe pour en enfiler une autre un
peu plus ajustée qui laisse aisément deviner la présence de son
porte-jarretelles ! Les attributs
vestimentaires et l'exhibition de sa lingerie de luxe font partie du cérémonial
de la fessée. Elle en joue sans vergogne.
Maxime était en effet subjugué par
la troublante personnalité de sa mère, l'expression permanente de sa féminité,
surtout, l'impressionnait. Elle n'en ignorait rien d'ailleurs, pour l'avoir
très vite "initié" malgré lui, aux charmes de sa lingerie. Il lui
était difficile de rester "indifférent" à sa façon provocante de
s'habiller.
Claquant des talons aiguille , elle
se dirige vers la chaise sur laquelle elle lui administre ses fessées à la
main. Elle prend le temps de s'y installer confortablement, et, pour fesser à
l'aise, retrousse haut sa jupe jusqu'à la lisière noire de ses bas nylon, à la
limite des jarretelles. Très froide, sûre d'elle, elle se montre particulièrement
hautaine et lui parle sur un ton visant à le rabaisser.
« Tu sais ce que tu as à faire.
Baisse ton pantalon et viens ici me présenter tes fesses !
Maxime obéit sans un mot. Il
déboucle sa ceinture, défait sa braguette et, les fesses bien tendues, se
déculotte devant sa mère, comme elle l'exige en geste de soumission avant
chaque fessée.
« Pas trop bas sur les jambes le
pantalon. Je veux tu puisses gigoter pendant que je te corrige. Ça me
permet de mesurer le niveau d'efficacité de la fessée. Je vais t'en mettre une
si bonne que tes fesses vont s'en souvenir ! »
Habitué aux caprices disciplinaires
de sa mère, Maxime respecte la consigne. Il sait depuis longtemps qu'il a tout
intérêt à faire preuve d'une extrême docilité. Se rebeller lui a parfois coûté
très cher.
Tout en le sermonnant, elle lui
ordonne de venir se mettre en position sur ses cuisses en les lui désignant
d'un index autoritaire.
« Puisque Monsieur se conduit comme
un gamin irresponsable, perd deux points sur son permis et raconte un gros
mensonge pour essayer de dissimuler la vérité, je vais le traiter comme un
gamin. Tu connais le tarif... c'est la fessée ! Longue et sévère, jusqu'à ce que ton derrière
soit plus rouge qu'un coucher de soleil !
– Maman je t'en prie... Ose
l'intéressé d'une toute petite voix. Il sait sa timide requête inutile, mais
essaye malgré tout à ses risques et périls.
– Ça suffit maxime, je ne veux pas
t'entendre ! J'ai dit le derrière plus rouge qu'un coucher de soleil. Et
quand tu auras dégusté ce petit hors d'œuvre, tu auras droit à la fessée au
martinet en plat de résistance »
– Ohhh maman... !
– Quoi ''Oh maman" ? Il
n'y a pas de ''oh maman » qui tienne ! Amène moi tes fesses, je vais les faire
claquer comme mes jarretelles ! »
Cela aussi faisait partie du rituel
pour l'impressionner. Avant de l'installer sur ses genoux elle aimait tirer sur
ses jarretelles pour les faire claquer sur ses cuisses en les relâchant...
Forcément, il savait alors à quoi s'attendre !
« La fessée déculottée, au martinet,
tu ne mérites que cela ! »
Maxime était plus ou moins conquis à l'idée
que cette méthode d'éducation ultra sévère ne pouvait que lui être bénéfique.
Il était persuadé que sa mère lui inculquait des valeurs fondamentales qui lui
permettraient ensuite de trouver sa place dans la société. Il devait pour cela
subir sa discipline, de fréquents châtiments corporels, parfois administrés à
titre préventif. Elle agissait pour son bien et il finissait par accepter avec
beaucoup de docilité, de se soumettre aux fessées déculottées et à l'usage du
martinet. A force de lui rougir régulièrement le derrière sous les raclées,
maman chérie avait fini par lui faire admettre que c'était le meilleur moyen de
lui apporter une bonne éducation. Ce qui lui permettait aussi d'assouvir son
besoin irrésistible de domination et d'humiliation.
« Aller Maxime, en position dépêche-toi !
La fessée ça n'attend pas ou je te la double ! »
Maxime vient s'allonger docilement
en travers des larges cuisses de sa mère qui le positionne penché en avant, la
tête en bas vers le sol, les fesses relevées à la bonne hauteur pour disposer
aisément de toute la surface, bien déployées à sa main.
« Mets tes mains bien à plat
parterre. Un bon appui au sol rend le derrière plus ferme. Ça permet de taper
plus fort. ».
Tout en lui donnant ses consignes,
elle saisit l’élastique de son slip et le déculotte d'un habile tour de main.
Elle descend le nylon au milieu des cuisses pour bien dégager la surface à
corriger, tapote nerveusement les deux fesses pour en prendre la mesure, et
enclenche aussitôt une formidable fessée dont l'éclat retentit jusque dans
l'entrée.
Le pauvre jeune homme, pourtant
habitué à s'en prendre des sévères, suffoque un peu en laissant échapper quelques
gémissements spasmodiques. Béatrice, bien entraînée et mise en forme par les
corrections administrées au salon de coiffure, utilise toute sa force physique
pour rendre la correction efficace. Elle fesse dur et sur un tempo déjà très
élevé pour une entrée en matière.
« Je t'avais prévenu que j'allais
taper fort. Je me suis tellement bien chauffé la main tout à l'heure au salon,
que c'est comme si j'entamais une troisième fessée ! – «
–
Ah oui maman ta... ta main... elle fait mal ! Tu fesses vraiment
fort ! Beaucoup plus fort que... que d'hab...que d'habitude !
– Et bien ce sont de mauvaises habitudes.
Plus la fessée est sévère meilleur c'est pour tes fesses. Ça ne peut que te
faire du bien ! La prochaine fois tu rouleras moins vite ou je te fesserai
encore plus fort, à raison d'une séance supplémentaire par point enlevé sur ton
permis ! En attendant tu vas me
déguster ça ! »
Sa main très ferme, compacte,
virevolte d'une fesse à l'autre en insistant d'abord sur le sommet bien charnu
puis en élargissant la frappe sur toute la surface autour. Aucune parcelle de
chaire n'échappe à ses puissantes claquées, allongée de toute sa hauteur, en
cuisants allers et retours.
Le fessier rapidement en feu du
malheureux, rebondit au même rythme sur les fortes cuisses gainées de nylon,
tandis que son ventre s'irrite douloureusement sur les boucles métalliques des
jarretelles.
Toujours insatisfaite et jamais à
court d'imagination pour pimenter les fessées, l'exigeante maman accentue le
mouvement en le faisant sauter sur ses genoux pour lui cueillir les fesses à la
volée au moment où elles prennent de la hauteur. Elle a les cuisses et les
mollets musclés ce qui lui permet d'exécuter la manœuvre sans aucune
difficulté. La fessée n'en est évidemment que meilleure. Elle est beaucoup plus
cuisante, et les fesses déjà bien rouges montent plus rapidement en cuisson
comme en coloration. La maman fesseuse se régale à voir le derrière de son fils
s'enluminer sous sa main d'un écarlate de plus en plus resplendissant.
Dix longues minutes à ce train
d'enfer, et Maxime, en larmes, est déjà épuisé. Il a rendu grâce et abandonne
ses fesses déculottées, à l'implacable sévérité de sa mère. Forte de sa
légitimité auto proclamée à corriger son fils, indifférente à la cuisson de son
postérieur, elle fait durer la fessée jusqu'au bout de sa capacité d'endurance.
Portée par cette frénésie punitive, elle tente à chaque fois de repousser un
peu plus loin les limites de ce qu'il peut supporter pour obtenir un fessier
toujours plus performant. Fesser plus souvent, plus fort et plus longtemps...
Le prix d'une parfaite éducation dans une perspective de réussite.
Encore quelques claques rageuses,
bien appuyées, pour parfaire la cuisson du derrière et la maîtresse femme
conclut brillamment la première partie de la correction. Satisfaite de sa
prestation, elle contemple la belle paire de fesses en train de chauffer sur
ses genoux.
« Excellente préparation ! Nous allons pouvoir passer à la fessée au
martinet. Elle est toujours meilleure sur des fesses bien rouges. Les tiennes
m'ont l'air tout à fait prêtes . »
Maxime, gémissant, est effondré
pantelant sur les cuisses de sa mère qui lui tapote affectueusement le
postérieur sans se soucier du surcroît de souffrance qu'elle lui inflige.
« Parfait ! Monsieur a bien
pris sa fessée parce qu'il a compris combien il la méritait. Comme la suivante
d'ailleurs qui ne va pas tarder à tomber.
– Oooh maman... pas trop fort le
martinet s'il te plaît...
– Comment ça pas trop fort ? Je
n'ai même pas encore commencé que tu te plains déjà ! Elle sera comme
d'habitude mon cher. Alors prépare toi ! »
Toujours parfaitement obéissant, il
se met aussitôt dans la position d'attente habituelle, devant elle, à genoux à
ses pieds. Nourrie d'un sentiment de puissance absolue, elle prononce alors la
phrase rituelle.
« Va chercher ton martinet et rapporte-moi
aussi mes bas '' Gio'' ! Et dépêche-toi, sinon je rajoute 25 coups...
Et remonte ton slip... pas le pantalon ! »
Maxime s'exécute immédiatement. Il
se reculotte en grimaçant et, le pantalon aux chevilles, traverse le salon en
trottinant pour aller chercher ce que sa mère lui demande.
Elle s'amuse de voir ses grosses
fesses rouges débordantes du slip, tressauter au rythme de la marche saccadée.
Béatrice Klakerspank organisait les
séances de fessées au martinet de son fils comme un véritable cérémonial qui se
déroulait selon une mise en scène parfaitement réglée. A la maison ou en public
devant ses amis, elle en faisait un véritable spectacle exhibition,
démonstration de fessées à l'appui. A
l'humiliation des fessées déculottées au martinet, elle ajoutait celle de les
lui administrer dans une position particulièrement avilissante qu'il subissait
comme une double peine. Elle lui flanquait ses raclées la tête coincée entre ses
cuisses, les joues soumises au frottement continu de ses bas nylon. Et elle ne
se gênait pas pour en accentuer le va et vient au rythme régulier des cinglées.
Maxime revient dans le salon son
martinet à la main. Il attend debout, après lui avoir donné la paire de bas
dans sa pochette. Sans se soucier de lui, elle s'est débarrassé de sa jupe et,
après avoir ôté le nylon, qu'elle porte enfile la nouvelle paire devant lui. La
jambe ostensiblement haut levée sous ses yeux, elle les déroule soigneusement
le long de ses cuisses et les attache un à un à ses jarretelles. Bien qu'elle
réitère son exhibition à chaque séance, elle se plaît à lui en rappeler
l'usage.
« Je préfère ceux-ci aux autres. Le
nylon est plus rêche... parfait pour mieux te chauffer les joues entre mes
cuisses pendant la fessée. Je vais te les rougir autant que tes fesses !
Maxime est transformé en statue de
sel. Il tremble un peu sur ses jambes et, son martinet toujours à la main,
attend sagement sa deuxième fessée. La plus douloureuse. Sa mère teste avec
satisfaction, le crissement de ses bas nylon en frottant ses cuisses l'une
contre l'autre.
« Et bien Maxime, s'exclame-t-elle
avec un sourire goguenard, qu'est-ce tu as à me regarder comme ça ? Ce
n'est pas la première fois que tu as l'occasion de reluquer mes jarretelles,
profite en, au lieu de faire cette tête ! »
Le pauvre garçon fait une grimace
douloureuse. Debout, devant elle, il attend qu'elle soit prête à l'accueillir.
Lorsqu'elle lui fait signe de se mettre en position, il lui tend le martinet
et, docile, vient encastrer sa tête entre ses fortes cuisses qu'elle resserre
comme un étau autour de son cou. Il sent aussitôt le contact irritant des bas
nylon qu'elle commence déjà à frotter sur ses joues pour assurer sa prise. Cambrée
sur ses talons aiguille, le mollet ferme, les jambes musclées bien tendues,
elle le tient fermement entre ses cuisses, la nuque ployée sous son opulent
fessier. Comme une fière cavalière maîtrisant sa monture au dressage, elle pèse
sur lui de tout son poids pour lui faire courber l'échine et cambrer les reins,
l'obligeant ainsi à se présenter les fesses hautes, bien tendues. Exigeante sur
les positions, elle finit toujours par obtenir ce qu'elle veut. Le derrière
rebondi est bien en place pour profiter à fond du martinet.
« C'est comme ça que je te veux
quand je fesse au martinet ! Depuis le temps que je t'en mets sur le
derrière tu devrais tout de même savoir comment le positionner !
Maxime est prêt à dire oui à
n’importe quoi pour abréger la séance. La position est très humiliante et déjà
difficile à tenir alors que la fessée n'a même pas encore commencé. Il respire
mal, coincé entre les cuisses puissantes qui lui broient les joues, la nuque
écrasée sous ses lourdes fesses dont il sent la douce tiédeur à travers le slip
de nylon.
Sans complexe, Béatrice a enlevé sa
jupe pour fesser à l'aise et va officier en slip, le bas du bustier flottant
par-dessus son porte jarretelles.
« Maintenant déculotte toi
entièrement, le slip au milieu des cuisses, pour que le martinet se
régale ! Je veux de la surface à cingler du bas des reins jusque sous
les fesses ! »
Le ton est ferme, empreint d'une
autorité qui n'admet aucune discussion.
« Oui... maman... »
Elle le regarde faire avec un petit
sourire. Satisfaite d'obtenir de son fils autant de respect et
d'obéissance.
Maxime se déculotte, avec
précaution, son postérieur, encore sensible de la fessée à la main, tressaille
douloureusement au frottement du nylon et des élastiques. La séance peut
commencer, son calvaire aussi. Il sait ce qui l'attend.
Béatrice, en petite tenue, toutes
jarretelles dehors, fesse avec force et conviction. Habituée à manier le
martinet, et connaissant par cœur le derrière de son fils, quelques allers et
retours lui suffisent pour trouver la bonne distance et ajuster sa frappe. Sa
correction doit être exemplaire. Elle s'y emploie avec dextérité et lui aligne
les cinglées en un cuisant balayage qui s'imprime alternativement sur chaque
fesse. Les belles lanières de cuir mat, claquent en cadence sur toute la
surface offerte qui se strie d'un superbe rouge foncé, zébrant progressivement
la chaire déjà écarlate de la fessée précédente.
Maxime ne résiste pas longtemps. Il
commence à geindre et pousser des plaintes plus fortes au rythme des coups de
martinet qui lui arrachent des hurlements à chaque fois que les lanières,
habilement dirigées de haut en bas, viennent lui cingler la raie des fesses.
Sa mère, en pleine action, se soucie
peu de ses gémissements. Elle continue à fesser sans ralentir la cadence,
seulement perturbée lorsqu'il s'agit de le remettre en place quand il commence
à gigoter un peu trop. Ce qu'elle fait naturellement, sans difficulté et
sans interrompre la fessée, tout juste en ralentissant le rythme pendant la
reprise de martinet à pleine puissance. Elle est beaucoup plus forte que lui et
capable de le repositionner plusieurs fois sur ses genoux ou entre ses cuisses
pendant une raclée sans lui lâcher le derrière une seconde.
Les cinglées continuent à claquer
sans relâche. La correction est difficile à supporter mais Béatrice ne tient
jamais compte de ses gémissements, bien au contraire ! Elle va toujours
jusqu'au bout de la sentence annoncée, durée, nombre de claques à la main, de
coups de martinet, et se plaindre ne lui vaudrait qu'une "ration"
supplémentaire...
Dix minutes de fessée au martinet,
déculotté, fesses en l'air, à se tortiller la tête coincée entre les cuisses de
sa mère... C'est très long et très douloureux.
Béatrice conclu la terrible raclée
par deux envolées de lanière en travers du fessier cramoisi et d’un dernier
bien appuyée entre les fesses. Ça fait très mal ! Maxime hurle. Elle
desserre les cuisses. Il s'écroule par terre à genoux. Durement éprouvé par le
frottement continu des bas nylon, ses joues sont écarlates et cuisantes.
Presque aussi luisantes que ses fesses.
Martinet en main, lanières brûlantes
pendant le long de sa cuisse, sa mère le regarde de toute sa hauteur.
« Tu as compris maintenant ? Inutile
de dissimuler et mentir. Je t'imprimerai la leçon à chaque fois sur les fesses.
Ça sert à ça la fessée !
– Oui maman, j'ai compris... mes
fesses aussi !
– On verra ça ! Maintenant tu
vas te mettre au coin ! En pénitence, sous mon bureau. Et dépêche-toi
ou je t'en remets une cinglée.
Avec les dessins originaux de l'auteur !
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Le début : chapitre 1 de la saison 1
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 8
Il y a une suite, le chapitre 10
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 8
Il y a une suite, le chapitre 10
Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre : ramina16@laposte.net
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerWahou ! On en aurait presque le souffle coupé pour ce pauvre Maxime.
Honnêteté et obéissance sont les deux plateaux de la balance maternelle en matière d'éducation. C'est David contre Goliath !!! Espérons que cette mémorable correction lui servira de leçon !
Les fessées maternelles renforçent-elles les relations Mère/Fils en matière de cohabitation ? A méditer...
(Un dessin aurait été le bienvenu. Dommage. Mais bon.)
Good luck, camarade ! Peter.
Les dessins sont arrivés avec un petit décalage... mais ça arrive...
RépondreSupprimerRamina.
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimerMerci d'avance,
Je me disais aussi. Un fâcheux contre-temps en somme. J'imagine déjà l'ambiance. Rires.
Peter.
Oui, un fâcheux contre-temps dont je suis à l'origine.
SupprimerJ'étais persuadé l'avoir fait ce week-end et je n'ai pas eu le temps mardi de vérifier, comme je le fais habituellement, un peu pris par mes activité professionnelles.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour JLG,
SupprimerVous êtes tout excusé. Concilier toutes les activités en même temps nous déborde un peu.
C'est comme en cuisine: savoir attendre pour savourer.
Rires. Peter.
Bonjour Peter, et à tous.
RépondreSupprimerEh oui, maman est très sévère, très... Glamour aussi... talons aiguille, bas nylon et martinet... ça a son charme Non ? Surtout quand on est du côté du manche. Mais elle ne déteste pas non plus le contact des bonnes fessées à la main !
Maxime, est fasciné par sa mère, et ne s'en plaint pas tant que ça, même si les fessées sont très cuisantes. De toute façon il n'a pas le choix. Il y a des mères possessives, comme maman Thérèz et des mères excessives... Comme Béatrice. Excessivement troublante. N'est ce pas ?
Tant que ce n'est pas les deux en même temps. Encore que!
Ah, la, la !.. ( gros soupir ) Les derrières de nos héros n'ont pas n'a pas une vie facile!
Cordialement.
Ramina
Cordialement.
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerJ'approuve tout à fait.
La jeunesse arrogante et la maturité triomphante !
Quel bel antagonisme. La fessée avec élégance, maintien et sévérité.
En effet, Maman Béatrice insiste bien sur le côté glamour de la fessée. Avec excès, il est vrai. Une bien belle leçon d'obéissance qu'elle donne à son fils Maxime.
Remarquez Madame Gladys n'est pas mal non plus dans son rôle de Maman excessivement autoritaire... pour le plus grand plaisir de tous...
Maxime, Robin, Gérome... n'ont pas fini de sautiller au grès du martinet maternel.
Rires. Peter.
Peter,
RépondreSupprimerJolies formules. "La jeunesse arrogante et la maturité triomphante"
"La fessée avec élégance" ... ça me convient tout à fait.
Rougir une paire de fesses avec sévérité et élégance... Un peu de classe en discipline.
Pour les illustrations, on excuse volontiers notre ami JLG. je m'aperçois que ces dessins sont devenus vraiment complémentaires de la lecture. Ils donnent du corps au récit... Ma foi c'est bien l'objectif.
Les vôtres, Peter, SONT eux même le récit .
Cordialement
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerEn effet, les illustrations sont en quelques sorte la "signature" du récit. Elles nourrissent l'imaginaire et c'est à chaque lecteur (et lectrice) de remplir les blancs pour visualiser l'ensemble. Une sorte de cinéma privé. Rires. Et, là, la tache s'avère riche et ardue.
Au début, je composais un récit autour de mes premières saynètes mais je ne trouvais pas de fil conducteur pour une histoire sur la durée. J'y ai donc renoncé pour ne garder que l'illustration en concentrant sur l'image le contenu du récit. C'est un choix.
Bonne journée. Peter.
Peter,
RépondreSupprimerPour une fois je serai bref...
C'est un choix qui nous convient.
Ramina