La classe est finie, nous
sortons pour aller déjeuner sur la grande terrasse en teck. Quel soulagement
cette pause repas après les multiples corrections. Après le déjeuner, nous
allons nous changer en tenue de ski. Tante Magda et Peter nous accompagnent en
voiture jusqu’à la station. Nous prenons le téléphérique qui nous emmène en
haut des pistes. Arrivés en haut, nous descendons à vive allure les pentes de
neige. C’est un bon moment de détente et nous profitons des magnifiques
paysages des Alpes. 16H30, nous arrivons en bas des pistes pour déchausser.
C’est fini la journée de ski et pas de fessée distribuée, à croire qu’elles
n’ont jamais eu lieu.
17h, retour au chalet
pour une collation bien méritée. Nous avons le droit d’aller nous reposer dans
la chambre. Tante Magda et Peter eux font une sieste dans leur suite parentale.
Des bruits de gémissements nous parviennent qui nous indique que la sieste est
en fait un prétexte au coït. Marie, Emilie et Henri sont montés faire une
partie de carte dans la salle de jeu. Charlène et moi sommes dans la chambre.
Quand Marie redescend dans la chambre 15 minutes plus tard, je suis allongé nu
sur mon lit, la belle Charlène est sur moi. J’ai les mains posées sur ses gros
seins et nous faisons l’amour. Marie nous surprend en plein acte et elle est si
choquée qu’elle part sans dire un mot. Surpris, nous nous rhabillons en vitesse
et sortons rejoindre les autres dans la salle de jeu. Marie a disparue.
Je ne vais pas prétendre
que je l’ai beaucoup cherché car j’étais en faute et je repoussais le moment où
je devrais m’expliquer. J’espérai qu’elle ne ferait pas un scandale devant nous
tous révélant mes infidélités. Dès que j’ai vu la belle Charlène, elle m’a
obsédée. Quand je l’ai vu se faire déculotter, j’ai admiré ses belles courbes,
ses jambes longues et fines. Je n’ai pas pu résister et elle a aussi bien
flashé sur moi et mon large torse velu, mes bras musclés, mes cheveux bruns,
mes yeux bleus. Bref cela devait arriver j’espérai que les conséquences ne
seraient pas trop lourdes. Le temps de pause est un formidable moment de
détente, en plus nous sommes entre nous pas de Miss Jane, Stick ou Crumble, ni
de tante Magda à portée. Nous passons deux heures à jouer aux cartes tous les
4. Il manque ma Marie. Mais que peux t’elle bien faire ? Je commence à
être inquiet, j’espère qu’elle n’a pas quitté le chalet seul dans la pénombre.
Je me mets à regretter mon flirt mal venu avec la belle Charlène. Elle semble
le remarquer. Depuis qu’on nous a surpris, elle me fait la tête. Peut-être
sent-elle que quelque chose de dramatique va arriver. Qu’arriverais-t-il à nous
deux si tante Magda était au courant. Je commence à me dire que cela explique peut-être
l’absence de Marie. Je sens une boule dans mon ventre. J’appréhende la fin de
la journée.
18H30, l’heure de la
toilette. Comme la veille, nous sommes entièrement pris en charge comme des
petits enfants par Miss Jane et Miss Stick qui veille à bien nous laver, nous
savonner, nous rincer sous la douche. Gare au retardataire, désobéissant, les
claques sur les fesses nues peuvent tomber à tout moment. Miss Stick s’occupe
des garçons et Miss Jane des filles. Toujours pas de nouvelles de Marie. En me
faisant frictionner énergiquement par Miss Stick, un sentiment de honte
m’envahi. Je suis à deux doigts d’aller en parler à tante Magda mais
connaissant sa sévérité, les conséquences pourraient être dramatiques pour mon
postérieur. Miss Stick nous met en pyjama, je le trouve toujours aussi petit et
serré. Miss Jane a dû sévir sur Emilie qui ne voulait pas mettre son pyjama
assez vite ; la pauvre elle a pris 30 coups de règles sur les fesses. On
l’entendait danser à chaque coup, poussant des « ail aïe, aïe, stop,
pardon, je vous en prie… »
20H l’heure du diner.
Nous sommes réunis dans la cuisine, attablé tous les six et soudain Marie
réapparait. Je suis soulagé d’apprendre qu’elle va bien. A la différence de
nous, elle porte toujours son survêt alors que nous sommes tous les quatre en
pyjama bleu et blanc. Tante Magda prend la parole
« Excusez Marie pour
son retard, elle était retenue dans ma chambre pour raisons personnelles. Bien
sur la petite chérie n’a pas pu prendre sa douche. Miss Jane s’occupera de sa
toilette après le repas. »
Je repense aux mots
prononcés par tante Magda « pour raisons personnelles ». Mon sang bat
dans mes tempes, tante Magda est probablement au courant. Que faire, lui en
parler ou attendre qu’elle m’en parle au risque d’aggraver la situation ?
J’avoue avoir passé un mauvais moment pendant ce diner. Tante Magda
s’inquiétant pour moi
« Mon petit Vincent,
tu n’as pas faim, es-tu malade ? »
« Non tante Magda,
tout va bien »
« C’est l’absence de
Marie qui t’inquiétait ? »
A cette phrase, je ne
peux m’empêcher de rougir. Je me sens en fautes, je serai prêt à tout avouer
sur le champ pour être débarrasser de ce poids. Mais je n’ai pas le courage,
repoussant les explications à plus tard. J’observe Charlène qui regarde son
assiette. Le repas terminé, nous avons droit à un temps libre jusqu’à 22H, au
moment où je m’apprête à quitter la cuisine tante Magda nous appelle
« Vincent, Marie et Charlène,
j’ai deux mots à vous dire venez avec moi dans ma chambre. Les autres, vous
pouvez aller dans la salle de jeu »
Mince, moi qui pensais
pouvoir me détendre avec les camarades, je suis convoqué avec Marie et Charlène,
Tout cela ne me dit rien qui vaille. On arrive dans la chambre. Tante Magda
ferme la porte. Elle se tient debout devant nous, nous sommes assis tous les
trois, Charlène et moi en pyjama, Marie en survêt.
« Je voudrais
éclaircir deux trois choses avec vous. J’ai trouvé Marie en pleurs dans le
salon. Elle était très contrariée. Je voudrais savoir ce qui l’a mise dans cet
état ? Vincent tu as une explication »
« Heu…non je ne vois
pas tante Magda, on la cherchait part.. » Je suis interrompu par une gifle
de tante Magda
« Tu mens jeune
homme, je sais pourquoi Marie pleurait, elle t’a surpris avec Charlène »
Je rougis, me tourne vers
Charline qui détourne le regard
« Continue à me
mentir et tu aggraveras ton cas, de toute les façons on m’a tout raconté »
« Non ce n’est pas
vrai, il ne faut pas croire ce que dit Marie elle… » Nouvelle claque sur
ma joue.
« Tu continues tes
mensonges, sache que ce n’est pas Marie qui m’a raconté, c’est Charlène »
Je me tourne vers Charlène,
je n’ose y croire, elle nous a dénoncé alors qu’elle connaissait le risque
encouru.
« Il a fallu lui
tirer les vers du nez mais quand j’ai menacé de la renvoyez, elle a tout dit
sur toi et elle »
Je me décompose, je
comprends à ce moment, la terrible erreur qui va me coûter cher.
« Mais je…je vous
assure que… »
« Tais-toi mon
enfant. Je t’avais dit pas de zizi pan pan chez moi, mais je n’imagine pas que
tu puisses désobéir en le faisant avec Charlène. Ta conduite est inqualifiable.
Tu as fait beaucoup de tort à Marie. Tu te conduis comme un gougeât, tu n’oses
pas me l’avouer et en plus tu me mens. Mon garçon tu dépasses les bornes.
Saches que j’étais au courant depuis 18h de tes agissements et que j’avais
prévu de te punir en espérant que tu oserais venir m’en parler. Et tu n’as rien
fait. Tout cela a de fâcheuses conséquences qui vont te coûter cher. Ton
postérieur va rougir en ma présence ! »
Je suis rouge de honte de
me faire sermonner de la sorte. Je crains la suite des événements que je devine
une terrible raclée fesses nues.
« Compte-tenu de la
gravité de la faute, et j’inclus Charlène dans le lot, vous allez être très
sévèrement corrigé dans le dortoir devant vos petits camarades et la fessée va
être exemplaire. Présentez-vous à 22h tapantes tous les deux dans le dortoir,
vous allez voir comment je corrige les vilains enfants, Allez ouste du balai.
Je ne veux plus vous voir »
Je repars bredouillant
des excuses que tante Magda n’écoute pas. Je monte dans la salle de jeu
retrouver mes camarades qui me demandent ce que faisions avec tante Magda. Je
ne réponds pas. Charlène est mutique et Marie me fait la gueule. Drôle
d’ambiance. Je repense aux menaces explicites de Tante Magda. Je connais sa
sévérité et je crains ses corrections qui font si mal. En plus je vais subir la
honte d’être puni avec Charlène devant mes camarades. Je passe un très mauvais
moment.
22h. C’est l’heure du
conseil familial dans le dortoir. Nous sommes tous les cinq assis bien sagement
en pyjama sur nos lits respectifs devant tante Magda, Miss Jane et miss Crumble.
Tante Magda a un regard très sévère. Personne n’ose la fixer, encore moins moi.
Charlène est recroquevillée sur elle-même, elle cherche à se cacher tellement
elle a peur.
« Mes enfants, c’est
un conseil de famille exceptionnel compte-tenu de l’incident regrettable qui
est arrivé. Je ne rentrerai pas dans les détails, mais sachez que Vincent et Charlène
ont eu une attitude inadmissible qu’il convient de sanctionner le plus
durement. Marie, Henri et Emilie, vous échappez au conseil de famille (ouf de
soulagement des trois enfants) je dois m’occuper des postérieurs de nos deux
fautifs. Vincent et Charlène levez-vous face à moi »
Deux jeunes adultes
régressés au stade d’enfant se lève.
« Charlène, ta
conduite est inqualifiable pour toi c’est la fessée déculottée et 50 coups de
martinet ! »
Charlène supplie
« oh non tante Magda, pas le martinet »
« Tais-toi ou je
double la correction et pour que cela fasse bien mal on commencera par la
fessée ! »
Il est vrai pour l’avoir
souvent testé que le martinet cingle les fesses et que la fessée qui suit est
un soulagement qui atténue la douleur, l’inverse est pire.
« Vincent, pour toi
je vais être très sévère. Tu as eu une conduite inacceptable, tu n’as pas eu le
courage de l’avouer et en plus tu m’as menti effrontément. Tu Mérite
une……triple……fessée et 50 coups de martinet. Crois-moi mon enfant je vais bien
m’appliquer tu dormiras sur le ventre et tes fesses font te chauffer pendant
toute la nuit ! »
J’en ai reçu des
corrections, j’en ai fait des allers retour sur les cuisses féminines mais je
redoute la prochaine car connaissant bien Tante Magda qui dit exemple dit
fessée longue, cuisante et insupportable. Je n’ai pas le choix et je me dis en
mon fort intérieur tu la bien cherché, tu la mérite.
« Charlène, viens
ici que je m’occupe de tes fesses ma chère enfant ! »
Tante Magda s’assoie sur
le lit de Charlène. A peine a sa portée, tante Magda la précipite en travers de
ses genoux et lui baisse le pyjama. Les jolies fesses de la belle anglaise sont
à la vue de tous. Elle lève la main bien haute et imprime un large cercle
claquant à toute volée le postérieur de Charlène. Elle lui donne une
retentissante fessée qui faut sautiller la pauvre fille.
Nous assistons en tant
que spectateur à une démonstration de correction familiale. La fessée cela fait
mal mais la fessée d’une femme d1,90 m, ancienne championne de basket, qui
frappe les deux fesses comme si c’était un ballon c’est encore pire. Une fessée
magistrale longue et progressive. Charlène supplie, se tortille, demande pardon
et pleure comme une enfant. Elle a laissé sa pudeur au vestiaire se faisant
corriger comme une petite fille. Après 15 minutes de correction la fessée est
finie et la pauvre Charlène est conduite au piquet mains sur la tête à genoux
sur son lit. Je crains l’épisode suivant.
« Mon cher Vincent,
à ton tour, je vais te corriger comme un enfant, viens que je te
déculotte »
Je fais quelques pas
hésitant. Je suis saisi par la poigne de tante Magda. Elle me couche en vitesse
sur son jeans moulant, je sens ses cuisses musclées sous mon ventre. Elle me
baisse le pyjama. J’ai les fesses à l’air devant toute la chambrée. Elle me
gronde, me menace de ses grandes mains. J’entends « la fessée va tomber
mon enfant » au moment où la première claque atterrie sur mon postérieur.
Pas le temps de souffler les claques enchaînent de plus en plus vite, de plus
en plus fort. C’est terrible de se faire corriger comme un enfant devant mes
camarades qui ne perdent pas une miette du spectacle. Je reçois une fessée
retentissante, interminable et cuisante. Je crie, je supplie, je demande pardon
et au bout de longues minutes, je suis en sanglots alors tante Magda accélère
le rythme de ses claques, la fessée devient plus forte, elle fait encore plus
mal. Elle fait une pause sans doute pour reposer sa main et constater la
couleur rouge de mes fesses.
Elle me bascule sur sa
cuisse gauche et m’emprisonne les jambes avec sa jambe droite. Elle me bloque
le bras droit dans le dos avec sa main gauche. C’est le signe que la prochaine
fessée va être mémorable. Position idéale pour ses mains et pour moi impossible
de me libérer. Mes fesses sont bien tendues, les claques font encore plus mal.
Elle m’annonce « deuxième fessée » et levant la main bien haut elle
me donne une centaine de claques alternant gauche, droite, en haut, en bas.
Elle sait bien viser et c’est une experte en correction. J’en ai souvent eu la
preuve ce week-end. La deuxième fessée donnée sur des fesses bien rouges c’est
encore plus douloureux. A la vingtième claque je pleure déjà à chaude larmes. A
la centième je crie, ‘stop, s'il vous plait, stop j’ai trop mal ». Alors
elle en rajoute 20 très fortes me demandant de les compter à haute voix.
Je me relève mes fesses
me brûlent, je rougis d'être puni de cette façon Jamais je n’avais reçu de
fessée aussi forte et longue, Je me sens honteux. Je n’attends pas qu’on me le
demande, je me rends au coin à genoux sur mon lit. Tante Magda ne m’autorise
pas à me reculotter. Je jette un coup d’œil dans le coin des filles pour
comparer les rougeurs de mon postérieur avec celui de Charlène, les miennes
sont beaucoup plus rouges.
« Je vous avais promis 50 coups de martinet, Miss
Jane va vous les administrer. Miss Jane ne soyez pas clémente »
Miss Jane revient avec le
martinet aux neuf lanières à bout carrés, celui qui fait le plus mal. Elle lève
la main brandissant l’instrument derrière les fesses de Charlène et lui cingle
les fesses en demandant de compter les coups. Après dix coups, la pauvre Charlène
a tellement mal qu’elle se trompe ce qui lui vaut 10 coups en plus. Après 60
coups, elle demande pardon en larmes. Quelle raclée elle a reçu. Elle finit par
une formidable fessée, courbé sous son bras et sa main se calme. Charlène se
couche sur le ventre fesses nues rouge tomate en pleurs. A mon tour.
« Vincent tend bien tes fesses que je te corrige
comme il faut »
Elle lève la main
brandissant l’instrument derrière mes fesses, je sens sa présence, mes fesses
rouges à sa portée. J’entends un sifflement d’air et les lanières du martinet
frappe mes fesses, je hurle c’est difficilement supportable, j’encaisse coup
après coup, fesse gauche qui brule, fesse droite qui démange. Miss Jane me
fesse en demandant de compter les coups. Après dix coups, je pleure, à 30 je
tremble comme une feuille. Après 50 coups, je demande pardon en larmes. J’ai
reçu une double fessée et le martinet la correction a durée 30 minutes. J’ai
les fesses en feu. Miss Jane stoppe sa raclée et me couche sur le ventre je
pleure dans mon oreiller. Quelle correction, quel week-end, je ne compte plus
les fessées reçues.
« Mon Vincent je
t’avais promis trois fessées mais vu l’état de tes fesses nous allons en finir
pour ce soir. Tu patienteras bien jusqu’à demain allez hop Miss Jane et Miss
Crumble je vous laisse les langer. Bonne nuit les enfants »
Je ne me souviens plus de
la fin de la soirée. J’avais les fesses tellement rouges que je suis laissé
sagement mettre en couche pour aller le plus vite retrouver mon lit. Mettre une
couche après de bonnes fessées c’est très cuisant tant les fesses sont
comprimées dans le plastique. J’ai passé une nuit assez agitée tentant de
soulager mon postérieur très chaud. De loin j’entendais les mêmes bruits de
claques sonores provenant de la chambre de tante Magda. Elle devait fesser son
petit mari. Décidemment infatigable correctrice tante Magda.
Le lendemain, le week-end
se termine, tante Magda nous raccompagne tous les quatre à la gare. Le trajet
dure une bonne heure. Oublié notre condition d’enfant à corriger, nous sommes à
nouveau des jeunes adultes. C’est soulageant du coup, dans la voiture nous
plaisantons, nous sommes devenus amis ; nous échangeons nos
impressions ; tante Magda est d’humeur joviale, nous la redécouvrons
beaucoup plus chaleureuse et cool comme à notre arrivée. Assez à l’aise pendant
le trajet, nous continuons à partager des bonnes blagues à l’arrière du
véhicule. Tante Magda nous remercie pour avoir bien joué le jeu.
Tante Magda s’arrête à
une station-service pour faire le plein.
« Descend Vincent,
toi aussi Marie »
Je ne comprends pas ce
qui se passe
« Je t’avais promis
une autre fessée n’est-ce pas mon cher ?»
« Oui mais bon c’est
fini le week-end, vous ne pouvez plus me fesser »
« Tu n’es pas encore à la gare… mais bon tu as
raison je n’ai plus envie »
Je sens un grand soulagement j’ai évité une probable
déculottée dans la station-service.
« En revanche j’en connais une qui en a très envie…
n’est-ce pas Marie ?»
« Oh oui Tante Magda, cela me démange depuis
hier. »
« Non Marie tu ne peux pas faire ça, pas
toi ! »
« Tu m’as trompé Vincent, je veux bien te
pardonner mais tu mérites une bonne fessée. Sache que je suis déjà entrainée
sur les fesses de Charlène, elle a dégusté n’est-ce pas ma chère ? »
Marie s’assoie sur un
banc devant les pompes à essence et me fait signe d’approcher. A peine arrivé,
elle me déboucle la ceinture et me baisse le jeans. Je me retrouve, avec mon
anorak bien chaud, en slip, pantalon au niveau des genoux, en pleine station-service.
Je sens tout de suite la température extérieure, il fait un froid de canard. Quelles
tapes sur le slip pour se faire la main et me voilà allongé en travers de ses
cuisses. Mon ventre frotte ses leggings noires. Me maintenant bien contre ses
cuisses avec son bras gauche, elle me baisse le slip avec la droite. A ce
moment la honte me saisit, je suis déculottée par ma copine et je vais prendre
une fessée comme un enfant. Je compte c’est ma douzième du week-end mais là
c’est le comble de l’humiliation. La fessée qui s’en suivit fut douloureuse. Marie,
quoique novice, s’applique à donner de grandes claques sous les encouragements
de tante Magda « Plus fort ma chérie, ce n’est pas un massage, c’est une
fessée et la fessée c’est fait pour faire mal ! » Alors Marie, en bonne élève, apprend vite et
ses claques deviennent plus cinglantes, données à toute volée.
« Bravo Marie,
quelle belle correction, il ne l’a pas volé sa bonne fessée, fesse-le, encore
plus fort et plus vite »
Marie est si en colère
après moi qu’elle y met beaucoup d’ardeur en me sermonnant A chaque claque sur
les fesses un commentaire :
« Tiens celle-là
c’est pour les seins de Charlène, celle-là pour ses fesses, et celle-là pour
les baisers échangés »
Je reçois une fessée
magistrale de la part de ma copine qui me fesse comme un petit garçon. Elle
termine par vingt claques que je dois compter à voix haute. Quand elle me relève
fesses rougies je constate qu’il y a sept personnes qui me dévisagent, ayant
assisté à ma fessée cul nu. Je rougis et tente de me cacher le visage. Tante
Magda renchérit.
« Mesdames,
Messieurs voilà ce qui arrive quand est volage et que l’on se comporte comme un
enfant désobéissant, c’est la fessée cul nu immédiate. Je pense que Vincent
avait mérité une bonne correction en public. Il réfléchira à deux fois avant de
recommencer. N’est-ce pas Vincent ? »
« Oui tante
Magda » (tout penaud)
« Tu vas demander
pardon à Marie et lui faire un bisou de réconciliation »
Demander pardon fut
pénible mais moins que le bisou exigé. Imaginez-vous avoir envie de faire un
bisou à celle qui vous a fessée cul nu devant un public d’inconnu ? La
réponse est non. Mais connaissant la sévérité de tante Magda, j’ai préféré lui
obéir. Nous avons quitté tante Magda pour prendre le train du retour. Dès mon
arrivée Marie m’a demandé d’envoyer un mail à Tante Magda.
Bonsoir
Madame ou devrais-je dire « Tante
Magda » au risque de me retrouver sur vos genoux.
Je suis parti de chez vous en étant un vrai gougeât avec Marie. Vous m’avez
bien sermonné, j’ai eu bien honte et vous avez proposé à Marie de me flanquer une
bonne fessée déculottée. J'ai les fesses encore rouges et me souvient avec appréhension
de mes multiples passages sur vos cuisses. Mes fessées étaient toutes méritées
et vous avez bien fait, je ne vous tiens pas rigueur et je vous prie de m’excusez
pour mon comportement déplacé.
J'espère revenir bientôt pour un prochain week-end de recadrage.
Bises
Vincent
PS : pour la petite
histoire sachez que suite au week-end Marie a repris mon éducation en main et
qu’elle a dû sévir de nombreuses fois sur mon postérieur.
Quelques minutes plus tard je reçois sa réponse :
Bonsoir mon cher
Vincent, merci pour ton mail. Tu es jeune homme charmant et intelligent mais tu
as besoin qu’on te fixe un cadre pour ne pas dériver. J’ai aimé te fesser c'est
très plaisant et tu sais mériter les bonnes corrections.
J’avoue que je me
doutais un peu pour Marie, Elle a bien appris à corriger et il est souhaitable
qu’elle continue à te punir pour que tu améliore ton comportement. Cela me
plairait bien de vous accueillir de nouveau à la maison, je vous recevrais en
toute intimité c'est-à-dire si en travers de mes genoux ! D’ici-là,
tiens-toi tranquille ou je me déplace pour te déculotter !
A bientôt Madame VanRieskem
Les épisodes précédents ...
Le début de ce récit : chapitre 1
Que s'est-il passé juste avant ? le chapitre 5
et la suite ? C'est le chapitre 7
Que s'est-il passé juste avant ? le chapitre 5
et la suite ? C'est le chapitre 7
A vos commentaires !
Qu'en pensez-vous ? Cela vous évoque d'autres situations ? Qui vous sont arrivées à vous ou dont vous avez rêvé ? Faites-nous en part !
Bonjour à tous,
RépondreSupprimerVoilà ce qu'on peut appeler un recadrage, piste noire, catégorie poids lourd !
Week End de chaleur à la neige. De descentes à ski, en descentes de slip, les claque -fesses succèdent aux tire- fesses sur un rythme infernal!
Tante Magda, infatigable à la manoeuvre et parfaitement secondée par ses deux miss aux mains claqueuses n'a pas son pareil pour réchauffer les derrières tombés dans la neige. Les postérieurs slalooment entre les fessées et les tempêtes de claques, plus fréquentes que les tempêtes de neige, éclatent à longueur de paragraphes.
Belles descriptions,très imagées. Vincent remporte, haut la main, le tournoi de déculottées en payant le prix de ses galipettes avec Charlène. Le vilain goujât! Marie se venge avec une belle fessée en public, stimulée par les conseils avisés de tantine qui trouve qu'elle n'y met pas assez d'entrain... Tout le monde n'a pas sa force de frappe !
Bref, les corrections dégringolent à un rythme d'enfer...ce n'est plus du recadrage, c'est de l'abattage! Personne ne s'en plaint !
Merci pour cette brûlante lecture.
Cordialement,
Ramina
Tante Magda,auriez Vous l'amabilité de me contacter à l'adresse suivante laeticiatcoiffeuse@gmail.com
RépondreSupprimerJe ressens le besoin d'être réellement recadrée comme il se doit.
Au plaisir de pouvoir Vous lire Tante Magda