Retour au chalet
17h, nous sommes de
retour au chalet pour prendre une collation qui est plus un goûter vu qu’il est
composé de tartines de confitures et de chocolat chaud. Nous finissons de
manger et nous nous rendons dans la salle de jeu ou Tante Magda a sorti des
boites de jeux de société. Nous profitons de ce temps calme pour nous détendre
en jouant aux dames, aux échecs et pour finir au Trivial-Pursuit. 18h30 l’heure
de la toilette.
Je redoute ce moment car nous sommes intégralement pris en
charge comme des petits par miss Stick et Miss Jane qui prennent soin de nous
déshabiller entièrement. Miss Jane s’occupe des garçons et Miss Stick des
filles. Chacun notre tour, nous sommes savonnés, frottés et rincés sous la
douche dans le moindre recoin (on a laissé notre pudeur au vestiaire). Douche
fini, les deux miss nous conduisent dans le dortoir pour nous enfiler nos
pyjamas. Miss Jane vient de finir de mettre le pyjama à Henri et s’occupe
maintenant de moi pendant que miss Stick finit d’habiller Charlène et Emilie.
Mais où est passé Marie ? Elle n’est pas dans le dortoir. Miss Stick
l’appelle deux fois pas de réponse. Au bout de dix minutes, Marie en collant et
chaussettes arrive avec un livre à la main.
« Ou étiez-vous
passée jeune fille ? »
« J’étais en haut en
train de lire »
« Et la douche, vous
compter la prendre quand, vos camarades sont déjà en pyjama !»
« Heu j’y cours Miss
Stick »
« Oui je viens avec
vous »
Elle saisit Marie par le
poignet et se dirige vers la salle de bain en lui claquant les fesses.
J’entends la pauvre Marie qui crie « aïe, aïe, aïe, pardon je me
dépêche » sous les claques insistantes de miss Stick données à chaque pas
jusqu’à la salle de bain. Cinq minutes plus tard, elle revient avec Marie
enrobée dans une grande serviette. Nous sommes assis sagement en pyjama deux
pièces bleu et blanc. Miss Stick frictionne Marie et lui met son pyjama. A ce
moment on se dit que quelque chose va arriver. Miss Jane a placé deux coussins
en travers du lit de Marie et l’invite à coucher son ventre dessus. Cela permet
de surélever la partie postérieure de Marie qui comprend à ce moment ce qui
l’attend. Elle tourne son visage vers miss Jane en l’implorant
« Non je vous en
prie Miss Jane, pas la fessée »
« Oh si Marie, la
fessée cul nu pour avoir oublié la douche et pour ton retard »
« S’il vous plait
Miss Jane, non, je promets de ne plus recomme… »
Pas le temps de finir sa
phrase, Miss Jane bien positionnée à côté du lit à commencer à distribuer les
claques sur les fesses de la pauvre Marie. Cinq à gauche, cinq à droite puis
alternativement une dizaine sur chaque fesse. Marie est en pleurs quand deux
mains expertes se saisissent de son bas de pyjama et le font glisser sous les
cuisses révélant le très beau postérieur de Marie.
J’apprécie le spectacle
d’autant que je connais bien ce fessier « l’un des plus beaux culs de
Lyon » que j’ai vu rougi plus d’une fois. La pauvre marie se prend une
fessée déculottée des plus salée, Miss Jane est une sacrée fesseuse et elle y
met toute son expertise. La correction dure dix minutes, Marie a reçue plus de
200 claques, ses fesses sont rouge tomate, elle pleure à chaude larme tapant
des pieds sur le lit. Et bien voilà chacun son tour me dis-je en mon fort
intérieur. Marie seule rescapée de la fessée sur les pistes s’est pris une
bonne raclée devant nous tous.
La correction de Marie
est finie, elle est conduite fesses nue au coin de la chambre pour réfléchir à
sa faute, les bras au-dessus de la tête. Ce fut comme d’habitude une fessée
spectaculaire et humiliante pour Marie mais un beau spectacle pour nous, ne
nous le cachons pas. Tante Magda a choisi exprès pour nous des pyjamas d’enfant
une taille en dessous de notre taille. Ainsi moi qui porte du M me retrouve
avec une taille S ce qui fait que mon pyjama est trop petit et il me colle au
corps. Tante Magda nous a interdit de porter des culottes sous le pyjama pour
deux raisons. La première c’est pour nous déculotter plus vite, les fesses
étant rapidement accessibles. La deuxième c’est qu’avant de se coucher nous
allons être proprement langés dans la nurserie. Cela offre l’avantage de
souligner les courbes et en particulier celles de mes amies. Ainsi difficile de
cacher la poitrine en forme d’obus de Charlène, celle plus petite et resserré
d’Emilie et la courbe des hanches et des fesses de la belle Marie. Pas beaucoup
de pudeur entre nous, après toutes les multiples fessées reçues nous on permit
de dévoiler une partie de nos anatomies respectives. Assis sur le lit, je me
dis que décidément on nous traite comme des petits enfants et que nous sommes
sous la coupe d’un personnel féminin qui sait sévir pour punir les vilains
petits garçons et filles. Tante Magda nous appelle.
« Les enfants il est l’heure de dîner. Descendez en silence, je vous attends dans la
cuisine. »
Cinq jeunes adultes
réduits au statut d’enfants bien sages dans leur pyjama ajusté se présentent
devant tante Magda. Miss Crumble a préparé un bon repas montagnard composé de
lard, de choux, de saucisses et d’un assortiment de légumes. Nous dinons tous
les 7 avec Peter et Magda pendant que les trois miss s’affairent pour le
service. Pendant le repas, seul Peter et Magda parlent. Peter, bien que témoin
de nos fessées reçues, n’en parlent jamais, comme s’il était neutre et laisser
la tache de punir les mauvais comportements à sa chère épouse. Un époux fidèle
et légèrement soumis ? Tante Magda
porte une tenue composée d’un jeans serré avec une large ceinture en cuir, d’un
chemisier en soie beige déboutonné de deux boutons laissant apparaître le haut
magnifique de ses beaux seins. Elle revient sur les divers épisodes de la journée
en précisant que l’on ferait un point précis lors du conseil familial prévu
avant de dormir. Conseil familial, je frémis devant ce mot, j’avais oublié ce
rendez-vous prévu dans le planning. Qui dit conseil familial dit reproches et
explications et surement punition des enfants.
Tante Magda nous propose
de projeter un film dans la salle de jeu. Enfin un peu de détente nous fera du
bien après cette journée riche en exposition de lunes pourpres. Nous sommes
confortablement installés tous les cinq sur le canapé. Tante Magda nous lance
le film « Un bon petit diable » un film dans la thématique du
week-end avec une Folcoche en mère fouettarde. Je ne peux m’empêcher de faire
le parallèle avec tante Magda qui sait sévir et punir les mauvais
comportements. J’aurai préféré un autre film car il nous rappelle des épisodes
cuisants du week-end comme si tante Magda ne voulait pas qu’on échappe au thème
« week-end d’éducation et de recadrage ».
22h, heure du conseil de famille. Nous avons regagné le dortoir. Nous sommes
alignés bien sagement devant nos lits respectifs devant Tante Magda, Miss Jane
et Miss Crumble. Tante Magda prend la parole.
« Mes chers enfants, c’est l’heure du conseil
familial, moment propice à passer en revue la journée et de revenir sur les divers
incidents. Dans l’ensemble, vous n’avez pas été sages, c’est un euphémisme et
j’ai dû vous flanquer de bonnes fessées pour sanctionner vos mauvais
agissements. A l’appel de votre prénom, vous devez vous présenter en vitesse
devant moi afin que je fasse le point. Si c’est moi qui doit aller vous chercher….
Non il ne vaut mieux pas que cela arrive »
« Emilie, tu es la première »
Emilie s’avance toute hésitante devant tante Magda.
« Ma chère enfant, si l’on fait le bilan de la
journée, je note deux fessées reçues. Cela vous donne droit à une fessée de
Miss Crumble et 40 coups de martinet avant d’aller dormir. Au suivant… »
« Mon cher Vincent, deux fessées, mais celle
donnée sur les pistes compte double. Voyons cela donne une double fessée de la
part de Miss Jane et moi-même et 40 coups de martinet. Au suivant… »
Et ainsi de suite à tour de rôle défilent les trois
autres enfants. Tante Magda annonce les punitions respectives de Marie (2
fessées), Charlène (une fessée) et Henri (deux fessées).
L’heure des sanctions a sonné. Nous sommes debout alignés
face au mur, nous tournons le dos à tante Magda et aux deux miss. Miss Jane,
nous baisse à tour de rôle en le retournant au niveau des cuisses, notre bas de
pyjama. Apparaissent cinq paires de fesses bien blanches. Se faire déculotter
c’est assez honteux mais le fait de voir mes camarades se faire baisser la
culotte de pyjama provoque en moi un sentiment très fort. Nous sommes tous des
sales gosses attendant une bonne correction maternelle.
« Miss Crumble et Miss Jane, je compte sur vous
pour sévir, ils méritent tous les cinq de bonnes fessées »
Tante Magda s’assoie sur
une chaise, en face de nous pendant que Miss Crumble couche Marie sur ses
genoux. A l’autre bout du canapé, Miss Jane a couché Emilie sur ses cuisses. A
ce moment je détaille la tenue des deux miss qui portent une nuisette en coton
et soie sous une robe de chambre en laine légère. Impossible de ne pas
apercevoir la jolie poitrine de Miss Jane et les très gros seins de la
charpentée miss Crumble. Cela provoque quelques raideurs chez les garçons.
Elles commencent leur fessée. J’entends le bruit de leurs mains qui claquent
des fesses. Un concert de claques en mode fessée. Marie et Emilie trépignent et
encaissent les claques les unes après les autres ne sachant pas quand la fessée
s’arrête, si elle va être plus rapide, plus forte, plus appuyée. Elles fessent
pendant de longues minutes. Cette fessée avant d’aller dormir est très
cuisante. Je constate que les deux Miss sont de sacrées fesseuses, elle gronde
les deux filles en leur filant leur raclée. La fessée se termine pas 30 grosses
claques pour lesquelles elles demandent de compter. Les deux filles sont
conduites au coin fesses nues pour faire pénitence. Cela va être mon tour. Je
ne me fais pas d’illusion sur le moment qui m’attend. Miss Jane me fait signe
d’approcher.
« A ton
tour Vincent »
Pendant que je m’exécute
j’entends Miss Crumble qui appelle à son tour Henri. Je n’ai qu’une hâte, que
la correction se termine. Miss Jane me saisit par le bras debout et avec
beaucoup de fermeté elle m’allonge en travers de sa cuisse gauche et rajuste bien
la culotte de pyjama retournée sous mon séant. J’attends fesses nues ma raclée.
J’observe Henri dans la même position, allongé sur les genoux de Miss Crumble.
Les Deux Miss se regardent et se font un signe. Que la fessée commence. Et
quelle fessée, une fessée longue, appuyée sur des fesses bien rouges. La fessée
a durée cinq minutes, je n’ai pas compté les claques mais j’ai très mal aux
fesses. Je rejoins mes trois camarades au coin en punition mains sur la tête,
bien collé au mur.
Nous devons méditer en silence
et subir un sermon des deux jeunes femmes. Nous devons présenter des excuses
pour toutes les fautes commises pendant la journée. Pendant que nous sommes
debout au coin, tour à tour tante Magda nous donne à chacun les 40 coups de
martinet prévus. Une fessée avec le terrible instrument suffisamment forte pour
nous punir. Bien sûr Charlène a aussi reçu sa fessée réglementaire ainsi que
les 40 coups de martinet. Quant à moi comme promis, ma deuxième fessée je l’ai
prise allongé en travers des cuisses de tante Magda. Une correction méthodique,
longue et marquante à tout point de vue. La correction finie, nous sommes
autorisés à nous reculotter en massant nos fessiers endoloris assis bien
sagement sur nos lits. Nous avons les joues bien rouges d’avoir tant pleurés
comme des petits enfants. Quelles corrections nous avons reçue. Plus d’une
dizaine de fessées distribuées sans compter les coups de martinet qui cingle le
postérieur. Tante Magda nous prend tour à tour dans ses bras pour nous
consoler. J’avoue que ce moment est bien réconfortant après la double
correction reçue.
« Mes chers enfants, Tante Magda vous aiment et
c’est pour votre bien qu’elle doit se fâcher. Voilà c’est fini, oublié. Miss
Jane et Miss Crumble je vous charge de les langer dans la nursery »
Elles nous accompagnent
Henri et moi dans la pièce attenante à la salle de bain, la nursery. En
arrivant nous distinguons deux tables à langer de taille adulte recouverte
d’alèses jetables avec sur le côté un bac contenant crème, savon, gant et
lingettes. Je n’en reviens pas, une salle aménagée comme pour changer les bébés
sauf que tout est adapté pour des grands enfants. Miss Jane a disposé une large
couche en plastique sur chaque table à langer, je me tourne vers Henri. Il a
compris comme moi la deuxième raison pour laquelle nous ne portons pas de
culotte sous nos petits pyjamas c’est parce que nous allons porter des couches,
quelle honte. En nous tapotant légèrement les fesses, Miss Jane et Miss Crumble
nous prennent en charge comme de petits enfants, Miss Jane me fait gravir
l’échelle qui permet d’accéder au plateau de la table à langer.
« Mais Miss Jane, on ne va pas porter de
couche » une terrible gifle me cingle la joue.
« Tais-toi Vincent,
tante Magda insiste pour que je vous mette en couche avant d’aller dormir, cela
vous évitera de mouiller votre lit, les toilettes sont en bas, le plancher
grince et tante Magda ne veux pas d’aller et venus pendant la nuit pour aller
faire pipi. »
Pas de résistance
possible, le suis allongé dos sur le plateau, Miss Jane avec une grande maîtrise fait glisser mon bas de pyjama révélant mon sexe en érection. Une tape
sur la cuisse me fait tout de suite débander. Elle me soulève les jambes,
glisse le plastique sous mes fesses et rabat la couche qu’elle ferme avec les attaches
en scratch. Miss Crumble a fait de même avec mon copain Henri. Miss Crumble
prend la suite dans la nursery pour s’occuper des trois filles. Dix minutes
plus tard, nous sommes tous les cinq en couche sous nos pyjamas serrés. Si la
couche est confortable et enveloppante, elle est si épaisse que le pyjama a du
mal à la recouvrir. De dos, pas de doute
on voit bien qu’on porte des couches. Le sentiment de honte est partagé par
nous tous. Hier, Marie et moi étions en train de boire un verre de vin conversant
entre adulte responsables et ce soir je suis en couche sous mon pyjama
d’enfant, les fesses encore chaudes de mes fessées reçues. Quelle régression
nous avons subie. Tante Magda ferme la séparation entre garçons et filles et
nous dépose à chacun un baiser sur le front et nous fait un câlin qui
réconforte après les terribles déculottées données.
« Avant de dormir je
vous ai promis que la fessée serait doublée au moment du coucher c’est le
règlement familial qui l’impose. Vous êtes fatigués après cette journée de ski
et avez besoin de bien dormir. Je vous fais un câlin à chacun en vous bordant
et je vous dis bonne nuit mes enfants »
« Bonne nuit tante Magda »
« Je ne veux pas
d’aller et retour dans les couloirs. Vous dormez. Le premier que je choppe à
quitter son lit sera puni d’une double fessée au petit déjeuner. Les planchers
grincent, j’entends tout de ma chambre donc ne jouez pas avec moi ou gare à vos
jolies petites fesses. Demain réveil à 8h et petit déjeuner à 8h15, nous
vérifierons l’état de propreté de vos couches gare à vous si elles sont
mouillées ! Dormez bien »
Tante Magda s’approche de
mon lit et me murmure à l’oreille « Et pas d’indiscrétion dans ma chambre
Vincent, souviens toi ce que cela t’as coûté mon cher enfant ». Comment ne
pas oublier la sévère correction reçue pour voir oser mater Magda en petite
tenue dans sa chambre. Résultat : une déculotté des plus cinglantes qui
m’a chauffé le postérieur pendant plusieurs heures.
Pendant la nuit, à demi
endormi, j’ai entendu des bruits provenant de la chambre de Peter et Magda, des
éclats de voix, des coups, à rythme régulier mais soutenu. Le bruit
caractéristique d’une main qui claque et d’un derrière qui reçoit. Je n’osais
quitter ma chambre de peur de subir le même sort. Je m’endormis assez tard un
peu perturbé par ce que j’avais entendu. Ce peut-il que Tante Magda soit fessé
par son Peter de mari ? Plus tard, j’apprendrais que Peter le gentil mari se
faisait corriger comme un enfant, cul nu, sur les genoux de sa gentille femme
qui terminait la longue correction par une fessée à la strappe. La fessée
donnée à son mari servait d’excitant et de préliminaires à leurs ébats
amoureux. Peter se vengeait en prenant avec beaucoup d’insistance sa femme par
derrière. La fessée servit d’accélérateur pour la raideur de son membre. Tout
le monde était satisfait. J’avais ma réponse à la question qui tient la culotte
dans le couple.
Le lendemain, Miss Jane
nous tire du lit l’un après l’autre pendant que Miss Crumble réveille les
filles. Elles soulèvent complètement les draps pour vérifier leur état. Miss
Jane se tourne vers nous.
« Les garçons ont
les draps bien secs, ce n’est pas le cas de Charlène et Emilie qui ont le
pyjama trempé. Je suppose, les filles, que votre couche l’est aussi, je vais
vérifier ».
Miss Jane et Miss Crumble
allonge sur le dos les deux jeunes filles et défont les scratchs. Pas de doute
les couches sont bien humides. La logique fut respectée, Miss Jane et Miss
Crumble soulèvent bien haut les jambes des 2 grandes filles pour leur
administrer la fessée jambes tendues, en position diaper. La fessée est très
humiliante et très douloureuse car les fesses sont bien tendues et chaque
claque fait mal. Après une retentissante fessée de 10 minutes les deux pauvres
filles sont rhabillées en pyjama et sont conduites dans la cuisine ou nous
avons déjà pris place autour de la table de petit déjeuner. Tante Magda prend
la parole.
« Mes petites Emilie
et Charlène, je suis au regret de vous annoncer que pipi au lit égale une
grosse fessée au martinet de la part de tante Magda »
Tante Magda dans sa belle
nuisette qui met en valeur son imposante poitrine revient brandissant le
martinet, l’instrument familial de correction si redouté par les enfants. Tante
Magda brandit le martinet et après avoir couché Charlène toute nue sur ses
genoux et lui cingle les fesses, Elle crie, supplie, les lanières fouettent ses
fesses nues. Elle doit compter à voix haute les coups, 40 en tout. Vient le
tour d’Emilie, elle la fesse cul nu comme pour Charlène, devant ses petits
camarades, une fessée retentissante au martinet. Les deux pleureuses sont
conduites en pénitence à nouveau mains sur la tête dans le coin de la cuisine
près de Miss Crumble qui avec un mouchoir essuie leurs larmes de petite fille.
Comme après chaque fessée, tante Magda devient tout à coup beaucoup plus
aimante, elle assoie sur ses genoux la pauvre Emilie et Charlène et les prend
dans ses bras pour les consoler. Quel spectacle que cette cajolerie après la
fessée, un câlin si tendre et si familial.
« Mes petites chéries, tante Magda est douce
et sévère à la fois. Vous devriez avoir honte de mouiller vos lits mes enfants,
cela ne me plait pas de devoir vous corriger si durement mais je dois respecter
les règles familiales sinon vous ne progresserez jamais dans votre éducation.
C’est bien compris les filles ?
« Oui tante Magda » (en cœur)
« Allez ouste tout le monde dans le
dortoir pour l’inspection des chambres, Miss Jane vous pouvez changer les draps
svp »
Nous sommes habillés avec
nos survêtement de la veille debout devant nos lits respectifs.je repense à ce
matin au moment de me lever. Ais je bien tout rangé dans mon armoire. Tante
Magda inspecte chaque coin du dortoir, relevant la une chaussette sale qui
traine d’Henri, une culotte négligemment posée d’Emilie, un drap mal fait de Charlène,
un oreiller défait pour Marie et une armoire très mal rangée pour moi. Hum ça
va barder, on se dirige vers une fessée collective.
« Bravo je vous
félicite pour votre rangement très approximatif. Il est clair que vous méritez
tous une bonne fessée pour votre désordre. Miss Crumble et Miss Stick nous ne serons
pas trop de trois pour corriger les cinq petits derrières. Mesdames à vos mains !»
Que dire de cette fessée
collective. Elle fut longue, intense et très cuisante. De mon côté, j’ai senti
passer les claques. J’ai reçu dans la foulée la fessée sur les genoux de Miss
Jane, la fessée allongée sur la cuisse de Miss Stick et pour finir une
formidable fessée déculottée courbée sous le bras de tante Magda debout, sous
son bras légèrement penché. Trois fessées déculottées de suite après le petit
déjeuner. Je suis sur mon lit, les fesses brulantes pendant que mes autres
camarades subissaient le même sort. Il me reste en mémoire l’image de la
dernière fessée celle d’Henri allongé de tout son long sur les genoux de Miss
Crumble pendant que Charlène avait la même position tête bèche en travers des
genoux de tante Magda. Deux fessées cul nu spectaculaires, claques en cadence,
à gauche, à droite, la main qui se lève et s’abat, les bustes qui font des
soubresauts après chaque claque et les pleurs des deux pauvres victimes.
Après cette punition collective, nous sommes
convoqués pour la deuxième matinée de classe. Nous sommes sagement assis à nos
pupitres respectifs, Aujourd’hui nos professeurs sont Miss Jane et Miss Stick,
tante Magda a dû s’absenter pour régler des affaires urgentes. Miss Jane nous
interroge sur les verbes irréguliers en anglais à tour de rôle. A chaque faute
ou mauvaise prononciation on reçoit deux coups de règles sur les doigts. Et les
coups pleuvent car nous avons des lacunes. Pour ma part, je m’en tire bien avec
2 coups seulement alors que la pauvre Emilie en a reçu 8 et Henri 7. Charlène
d’origine anglaise a bien sur répondu juste à toutes les questions. Je suis
convoqué au tableau pour résoudre un problème d’algèbre. Au bout de cinq
minutes, je n’ai toujours pas avancé, la craie en main devant le tableau noir,
je vois Miss Jane me faire les gros yeux.
« Alors Vincent, tu n’as pas appris ta leçon on
dirait, sais-tu ce que cela mérite mon enfant ? »
« La fessée Miss Jane, vous m’avez promise la
fessée déculottée »
Elle me conduit devant
son grand bureau et me couche en travers les mains bien posées sur le bureau le
ventre collé, le reste du corps debout. La belle Miss Jane me gronde et me
claque les fesses par-dessus mon survêt. Puis elle procède à un déculottage
expéditif. Je sens un léger courant d’air sur mes fesses. Elle me donne une
fessée rapide et appuyée. Mais une fessée reste une correction cuisante et la
chaleur qui irradie mon postérieur est là pour me le rappeler. Vient l’heure de
la dictée. On la redoute cette dictée avec son barème si sévère. Illusoire de
croire qu’on puisse faire moins de quatre fautes.
Le verdict tombe et il
est assez équitable : 10 fautes par élève. Nouvelle séance de fessées
déculottées collective au programme. Honneur aux trois filles, tour à tour
couchée à plat ventre contre le bureau, elles reçoivent leur fessée cul nu et
le martinet. Charlène, Marie et Emilie sont en pleurs, fesses rougies collé au
coin dans la position des punis. Au tour des deux garçons dont je fais partie.
Dans la même position que les filles, j’attends ma correction promise. Miss
Jane prend beaucoup d’élan pour frapper ma croupe. A chaque claque, je fais des
bonds. Surtout que c’est ma deuxième fessée de suite et mes fesses sont encore
bien rouges, cela fait doublement mal, aïe, aïe, aïe… Mon camarade Henri subit
le même sort. Il a eu tellement peur en attendant sa raclée en voyant les
filles se faire corriger qu’il a mouillé son pantalon, honte suprême. Le pauvre
a dû aller se changer en vitesse dans la chambre se prenant au passage une
deuxième fessée de Miss Stick.
Les épisodes précédents ...
Le début de ce récit : chapitre 1
Que s'est-il passé juste avant ? le chapitre 4
Et la suite chapitre 6
Que s'est-il passé juste avant ? le chapitre 4
Et la suite chapitre 6
Une autre fiction de Vincent :
A vos commentaires !
Qu'en pensez-vous ? Cela vous évoque d'autres situations ? Qui vous sont arrivées à vous ou dont vous avez rêvé ? Faites-nous en part !
Oula la!Spectaculaires et passionnantes séances de fessées!
RépondreSupprimerLe séjour avec tante Magda et son personnel de sévices, se déroule sous une météo cataclysmique! Trombes de punitions en tous genres. Rafales de fessées déculottées à la main dès le lever, brève éclaircie pendant la matinée et retour aux orages sur les fesses en début d'après midi! Rafales de claques en soirée, temps lourd, très orageux avec un brutal pic de chaleur dans les culottes .
Après une accalmie nocturne et un retour aux températures normales des postérieurs, nouveaux orages dès le matin avec tombées de grêle de claques aux fesses.
Après la pluie, à quand le beau temps ? ça dépendra de l'humeur de l'impitoyable tante Magda, fesseuse acharnée et redoutable!!
Cordialement
Ramina.