L’invitation (un récit de Vincent)
Six mois se sont écoulés depuis le fameux
séjour chez tante Magda. Nous sommes en janvier, il neige. Je suis en couple
avec Marie qui est une femme charmante et aimante. Nous sommes en train de dîner et Marie est partie chercher le courrier. Bien installé dans notre joli
studio, nous buvons un verre de vin et Marie ouvre l’enveloppe c’est un carton
d’invitation envoyé par tante Magda. Elle me lit la carte :
Bonjour Vincent et Marie, j’espère que
vous allez bien tous les deux. J’organise un week-end de reprise en main à la
montagne, je vous invite le week-end prochain dans mon grand chalet à Chamonix.
Vous pourrez faire du ski et d’autres activités, vous verrez le cadre est
magnifique, de la terrasse de mon chalet on aperçoit le Mont Blanc.
Je me tourne vers ma copine, pour avoir
son avis. J’avoue que le séjour chez tante Magda fut à la fois agréable car
c’est un hôte très amical, mais il fut aussi mémorable pour nos postérieurs.
Marie n’a jamais fait de ski et elle est assez tenté, moi j’hésite mais ne
voulant pas la décevoir je lui dis ok pour le week-end mais je vais négocier
avec tante Magda qu’elle ne soit pas trop sévère. La connaissant, cela me
parait peu jouable.
Je téléphone à tante Magda qui se montre
réjoui de nous accueillir. Vous verrez dit-elle, le domaine skiable est immense
et mon mari et moi connaissons bien la station. Je viendrais vous chercher à la
gare, appelez-moi 10 minutes avant votre arrivée.
Le week-end arrive, nous sommes vendredi
soir, nous achetons des billets de train couchette et nous prenons le train
direction Chamonix. Le trajet est un peu long mais nous avons dormi donc nous
arrivons à 8h30 samedi assez en forme.
Tante Magda nous accueille à bras
ouverts :
« Bonjour tante Magda »
« Mes chers enfants, je suis ravi de
vous voir. Vous avez l’air en pleine forme, vous verrez l’air de la montagne
cela fait du bien »
Tante Magda est toujours aussi belle. Elle
porte un pantalon moulant, des bottes en fourrure, un pull col roulé en mohair
sous une doudoune bleu argenté. Sa tête est coiffée d’un bonnet de laine bleu.
Elle est toujours aussi grande, 1m90, toute élancée avec une poitrine
volumineuse que l’on devine sous son pull cintré.
Marie lui dit toute confuse « Nous sommes
bien embêtés, nous n’avons pas de tenue de ski »
Réponse de tante Magda :
« Ne vous en faites pas les enfants,
j’ai tout ce qu’il faut pour vous habiller ».
Je retiens les derniers mots « vous
habiller ». Dans ma tête je comprends que nous avons perdu notre
autonomie. Nous serons pris en charge en
intégralité y compris pour notre toilette, notre habillage. Je me souviens
surtout des fameux déculottages et reculottages pré et post correction, la
honte de s’exhiber, de montrer ses fesses devant tout le monde et la fessée qui
suivait.
En montant dans son break 4*4, elle nous
donne à chacun une petite claque sur les fesses. Nous comprenons que cela sert
d’avertissement. Désormais, nous sommes sous sa coupe et nous avons intérêt à
nous tenir bien tranquille. Toute faute sera sanctionnée d’un aller et retour
sur ses genoux. Pendant le trajet, j’ai des papillons dans le ventre, une
certaine appréhension me guette je regarde Marie, elle semble aussi troublée.
« Mes chers petits, inutile de vous rappeler le
but de ce week-end, c’est une reprise en main. Je vais reprendre votre
éducation là ou je l’ai laissé. Dans mon souvenir, j’ai dû beaucoup sévir et je
considère que le temps du week-end vous avez perdu vos privilèges d’adulte.
Vous êtes un peu comme mes enfants, des tendres chérubins qui ont parfois
besoin d’une bonne fessée pour mieux obéir. Vous connaissez mes règles de
discipline et vous savez que je ne transige jamais sur les punitions en cas de
désobéissance. Si je dois sévir c’est la fessée immédiate et le déculottage
assuré. Nous allons passer deux jours au cours desquels je vais surveiller
votre comportement. Signer cette feuille
qui précisent mes règles familiales et les sanctions qui en découlent, pas la
peine de lire, vous les connaissez déjà »
Nous sommes là en
connaissance de cause donc nous n’avons pas le choix, Marie et moi signons la
feuille. Je me souviens de la première fois ou j’ai m'imaginé Madame VanRieskem
me punissant dans son joli tailleur, moulant sa belle poitrine, ses longues
jambes gainées de bas avec ses bottes en cuir beige. Je détaillais ses mains,
immenses et larges propre à corriger les vilains derrières.
Nous roulons depuis 10
minutes. Nous quittons Chamonix, empruntant une petite route serpentée qui
domine les montagnes et arrivons au pied d’un magnifique chalet en bois.
Pendant tout le trajet nous ne disons pas un mot c’est tante Magda qui fait la
conversation. Elle nous apprend qu’elle et son mari Peter sont d’excellent
skieurs et qu’ils nous serviront de professeur et de guide pendant le séjour.
Nous sommes devant la terrasse, au loin j’aperçois le Mont-Blanc. Le chalet est
immense, sur trois niveaux. Au rez de chaussée, un immense living room avec une
grande cheminée, une grande cuisine avec un ilot central, une buanderie et une
salle de classe et les toilettes. A l’étage, la suite parentale de Monsieur et
Madame VanRieskem , le dortoir garçon/fille séparé par une cloison, les
chambres du personnel, la salle de bain et la nursery. Au deuxième étage on
trouve une salle de jeu avec un grand home cinéma et une immense bibliothèque
remplie de livres sur l’éducation et le savoir vivre. Madame VanRieskem
s’est changée. Elle porte une élégante robe noire ceinturée sur la taille
par-dessus de jolis bas en coton noir, des bottes en cuir verte hautes et
raffinées. Sa haute stature est relevée par un chignon. Qu’elle est ravissante
cette belle quarantenaire, Je suis secrètement amoureux. Elle se montre fort
accueillante, elle nous fait des gros câlins comme le ferait une mère avec ses
enfants. Elle me présente les autres pensionnaires. En dehors de Marie et moi
il y a 3 jeunes adultes. Henri, 18 ans, à peine sorti de l’âge pubère avec ses
3 poils au menton, 1,70 m tout mince, il ressemble à un ado. Emilie, 22 ans une
petite brune 1,65 m avec des formes, brillante étudiante en médecine et Charlène,
une étudiante anglaise de 20 ans, grande blonde 1,75 m avec des seins en obus,
un vrai canon de beauté. Ce qui me frappe au premier abord c’est que ces jeunes
adultes portent des survêtements moulants unis, gris pour les garçons, roses pour
les filles. Ils ne portent pas de chaussures. Le règlement imposant aux enfants
d’être en chaussettes pour ne pas abîmer les beaux sols en parquet. Sont
présents à coté de nous, Miss Crumble, Miss Stick et Miss Jane, qui me font un
petit signe de la main. Ce geste amical n’est pas sans rappeler les terribles
déculottées administrées par ces trois jeunes femmes. Tante Magda prend la
parole.
« Mes chers enfants, bienvenu à un
week-end de recadrage familial. Vous allez apprendre à vous connaître,
partager les joies de la vie en communauté tous les cinq. Le temps d’un
week-end je vous considère comme mes enfants, j’en ai eu quatre qui sont tous
majeurs et indépendants. Vous devrez m’appeler "Tante Magda », me dire
« vous » et de me répondre
poliment par « oui Tante Magda» ou « Non Tante Magda »
Chaque manquement sera
puni d’une gifle, c’est bien compris ?
« Oui
tante Magda » (tous en cœur)
« Je suis disposé à
ce que vous passiez un bon séjour sur les pistes de ski et au chalet. Je peux
être très cool mais je suis stricte et intransigeante en ce qui concerne
l’éducation et le savoir-vivre Je vous
préviens mes chers petits, toutes les mauvaises habitudes que vous avez
prises, vont devoir disparaître. Il n'est plus question de désobéir »,
Elle s’avance vers Emilie qui n’écoutait pas son
discours et lui décoche une volée de claques sur les deux joues. Son
effronterie est stoppée net par la gifle reçue.
« As-tu bien compris Emilie, ou tu en veux une
autre ?»
« Oui
Tante Magda »
« C’est bien, tu vois que tu peux écouter les
grandes personnes »
Nous sommes réunis tous
les quatre dans le living room, assis sagement et confortablement dans le large
sofa en cuir daim marron. Je me suis changé, je porte le même survêt
réglementaire que mes camarades, je me sens si mal à l’aise dans cette tenue
imposée. Madame VanRieskem (que nous appellerons Tante Magda pour plus de
facilité) se tient debout et nous fixe avec son regard sévère, personne n’ose
bouger, ni prononcer le moindre mot sous
peine d’être puni. Il faut dire qu’assis dans le canapé, cette grande femme
nous impressionne physiquement, elle dépasse chacun de nous de dix cm et elle
est entourée de trois redoutables fesseuses les Miss brandissant chacune un
instrument de correction.
« Mes chers petits,
je vous présente Peter, mon mari. C’est le cerveau du couple, brillant
ingénieur informaticien c’est la tête et moi les jambes. Nous avons une
situation financière qui nous permet d’avoir des revenus très confortables.
Nous avons en permanence avec nous trois employés : Miss Jane, la
gouvernante (1,72,57 kg), Miss Crumble, notre bonne cuisinière (1,80 m 75 kg)
et Miss Stick (1m62, 50 kg) chargée du ménage, repassage et intendance de la
maison, tous de sexe féminin. Je dirige cette maison et je suis intransigeante
sur les règles familiales à suivre. Je dois faire attention à ce que votre
comportement corresponde à mes exigences. Avec moi pas de discours, pas de
plaintes, je n’élève jamais la voix, je ne crie pas non plus. Pas besoin je sais
me faire respecter.si vous désobéissez, pas d’avertissement, c’est la sanction
qui tombe. Pour être plus clair, c’est la fessée immédiate quel que soit
l’endroit et les personnes présentes. Sachez mes enfants que je baisse
toujours la culotte avant de la donner, j’ai un très beau coup droit, je sais
aussi smatcher et quelques secondes me suffisent pour vous allonger fesses nues
sur mes genoux, mes mains sont larges et redoutables et je ne me fatigue jamais
quand je claque vos derrières c’est bien
compris? »
« Oui Tante Magda » nous répondîmes tous en
cœur.
Pendant son discours je détaille son mari Peter. Il
est assez Petit (1m70) avec quelques rondeurs, des épaules larges, un torse
puissant. Il ressemble à un demi de mêlée de rugby. Il a une petite barbe de
trois jours. Il est assez séduisant dans son jeans de marque, son polo de rugby
et ses beaux mocassins en daim. Il paraît si petit à côté de sa femme, je me
demande qui porte la culotte dans le couple ? Tante Magda poursuit son
discours
« Pour moi, la fessée,
est un châtiment qui est réservé aux enfants ou adolescents. Donc si je dois
vous fesser, cela vous ramène au statut d’enfant. La personne punie que je
déculotte perd son intimité devant moi comme pour la petite fille ou le petit
garçon que l’on déculotte pour le punir de ses bêtises. Je suis sûre que la
honte qui en découle fait partie de la chimie d'une bonne fessée peut être même
plus que la chaleur des fesses bien rougies. Le degré de sévérité doit être
adapté à la faute. Si la personne punie doit subir par exemple une
cuisante fessée manuelle pour que la fessée ait du sens, elle doit être
appliquée jusqu'au bout »
« Je suis une tante
Magda aimante mais sévère. Je vous emmènerai faire du ski. Je ski très bien et
je connais bien le domaine. A la maison, vous pouvez profiter pleinement des
activités de loisirs, que ce soit la salle de jeu, le home cinéma ou le sauna
au sous-sol. Et vous passerez un séjour très agréable. Je vous conseille d’être
bien sages. Vous avez tous signés le formulaire qui fait de vous des enfants à
recadrer. En ce qui me concerne (elle sort une carte de son sac à main et nous
la montre) j’ai un permis de « FESSER » et comme promis je peux vous
flanquer de bonnes déculottées. J’ai habitude de corriger à tout moment de la
journée. Une fessée donnée dans la journée est doublée au moment d’aller au
lit. Je délègue parfois aussi au
personnel féminin la tâche de vous claquer les fesses et de vous mettre au
coin fesses nues pour réfléchir »
« Nous avons un
planning chargé je vous distribue la feuille, je tiens à ce qu’on le respecte à
la lettre »
Je lis :
planning familial des enfants
8h :
réveil, on fait son lit, on range ses affaires
8h30 :
petit déjeuner, on descend en pyjama
8h
50 : les dents, on s’habille en tenue de jogging
9h :
inspection des chambres et punitions
10h-12H :
classe dictée, récitations, interrogation et punitions
13
h : déjeuner rapide
13h20 :
habillement en tenue de ski
13h30/17 :
ski
17h30
collation
Temps
libre jusqu’à 19h
19h :
douche, toilette et inspection et punitions
19h30
: mise en pyjama
20h :
diner
Temps
libre jusqu’à 22 H
22h
: conseil familial dans le dortoir et punitions
22h30 :
coucher !
Nous seulement le
programme me parait chargé mais en plus il y de multiples occasions de
sanctions. Nous avons la désagréable surprise d’apprendre qu’il y a classe 2h
tous les matins. Moi qui croyais que j’allais skier toute la journée.
« A propos de
bêtise, je dois punir Vincent qui a jeté ses affaires en vrac au milieu du
dortoir ! ça commence bien, à peine arrivé et déjà une bêtise. La sanction
est claire, la fessée va tomber mon cher Vincent ».
Quelle surprise, je ne
m’attendais pas à recevoir la fessée dès mon arrivée et en plus devant mes
nouveaux camarades. Je me sens tout honteux, je baisse les yeux, je regarde mes
chaussettes. Tante Magda me conduit vers le fauteuil en cuir beige et me baisse
à la volée le survêt et la culotte. Je suis tout honteux de montrer mon sexe
légèrement raidi. Elle s’assoie confortablement dans le fauteuil et relève sa
manche d’un geste rapide elle me couche en travers de sa cuisse gauche, et me
maintient le bras doit bien immobiliser dans le dos.
« Première fessée de
la journée, je suis sûre que cela ne sera pas la dernière »
Ses mains sont si larges
qu’elle peut claquer les deux fesses en même temps, terribles claques qui
tombent sur mon séant. La fessée fait vite mal, tante Magda est une grande
fesseuse, elle alterne les petites et les grandes claques prolongeant la
correction. Elle sait doser, ralentir puis accélérer. Moi je ne fais
qu’encaisser en me trémoussant sur sa cuisse, je sens la chaleur qui monte.
Tante Magda m’a donnée une fessée déculottée devant mes camarades et le
personnel féminin. Je suis mort de honte. Que madame fesse bien, elle sait
doser et prolonger la longue fessée qui se termine par de fortes claques sur
mes fesses qui sont rouges tomate. Je
suis conduit en punition au coin culotte baissée, fesses rouges, je tourne le
dos à mes camarades et j’ai tellement honte de cette situation. Elle enchaine
le refrain que j’ai déjà entendu lors de séjour précédent.
« Si la faute est plus grave, je fesse
avec mon martinet familial. Quand j'annonce la correction, vous devez vous
présenter debout devant moi, je vous déculotte et ma raclée est immédiate sans
possibilité de l'éviter. Cela ne vous servira à rien de supplier, te tortiller,
ni vos pleurs, ni vos supplications ne m’arrêterons. Quand je fesse c’est moi
qui décide quand la FESSEE démarre et quand la FESSEE s’arrête. »
Je baisse les yeux honteux collé au mur quand
j’entends tante Magda qui sermonne la petite Emilie
« Je constate Emilie
que tu sens la cigarette, tu as fumé avant de venir. C’est strictement interdit
chez moi. C’est une faute qui mérite punition ! Ma petite je dois sévir et la correction que je vais
t'administrer va te faire regretter ta bêtise. Approche peu que je m’occupe de
ce joli fessier ».
Emilie se tient toute
timide devant tante Magda. Elle a l’air d’une enfant devant cette femme
athlétique qui la dépasse de 20 cm. Sans ménagement, elle la couche en travers
de sa cuisse gauche relevée en prenant appui sur une chaise. Elle la déculotte
en même temps qu’elle baisse le survêtement. Les spectateurs que nous sommes
ont une vue plongeante sur les jolies fesses en forme d’amande de la punie.
Tante Magda donne une petite fessée à Emilie qui pousse déjà quelques cris.
« Mon cher enfant cela ne sert à rien de te débattre,
cela risque de doubler la fessée »
Après une vingtaine de claques, elle stoppe la
correction
« Qu’arrive-t-il quand Tante Magda te prend en
faute ma chérie ?»
« Une…une…fessée »
répond une Emilie en pleurs
« Oui ma fille tu mérites une bonne fessée cul nu
» lui répond tante Magda d’un ton autoritaire.
Dans cette position pas
de doute, nous assistons à une correction maternelle méthodique et expéditive.
Tante Magda fessant avec application une gamine en pleurs, la culotte baissée,
à plat ventre, en équilibre sur sa cuisse. Madame lève la main si haute qu’elle
donne plus d’amplitude à la volée. Ses mains si larges claquent les deux fesses
en même temps provoquant des soubresauts chez la punie qui se tortille,
gesticule pour essayer d’encaisser les claques. Emilie essaye de se dégager
alors tante Magda pour la mater fesse encore plus fort. Nous assistons à une
correction maternelle méthodique et très cuisante. Après dix minutes, elle
relève Emilie, lui remonte sa culotte et lui rajuste le survêtement. Emilie me
rejoins au coin mains sur la tête face au mur, la culotte à nouveau baissée.
J’observe les fesses rouges de ma voisine qui sont plus marqués que les
miennes. Tante Magda nous gronde et nous demande de réfléchir à notre punition
en silence. J’ai les fesses toutes rouges et j'ai honte d'être traité ainsi.
« Pas de zizi panpan
entre vous. C’est particulièrement valable pour Marie et Vincent, vous n’êtes
pas en couple chez moi. Le premier que je surprends à flirter ou plus c’est
direct le martinet sur les fesses et je fesse fort, vous êtes prévenus. »
Les épisodes précédents ...
Le chapitre 1Une autre fiction de Vincent :
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Bonjour,
RépondreSupprimerBon on aura compris. Qui aime bien châtie bien... Tante Magda aime très fort et fesse encore plus fort!
Si on compte bien, quatre séances de punitions sont prévues dans l'emploi du temps d'une journée... Si on y ajoute les corrections de circonstances non prévues au programme, et elles "tombent" à la moindre occasion, les fesses des pensionnaires ne risquent pas de chômer!
Au plus petit manquement aux bonnes manières, la plantureuse Tante Magda aux mains de fer sans gant de velours, fait usage de sa formidable force de frappe. Elle distribue les fessées avec une sévérité augmentée d'un plaisir manifeste à claquer des derrières dont, belle aubaine, elle dispose à volonté par un judicieux "Permis de fesser". Tout porte à croire que même sans permis...
Pas besoin de se demander qui porte la culotte dans le ménage. Tantine se charge de descendre celle de ses victimes, déculotte à tour de bras pour flanquer de splendides fessées dans toutes les positions.
A se demander si monsieur ne fait pas, lui non plus, quelques séjours entre les "mains battoirs" de sa femme pour s'en prendre aussi des sévères! L'avenir proche nous le dira!
Cordialement.
Ramina
OUi tante Magda est à lafois prévenante, acceuillante mais aussi très stricte, très à cheval sur les principes. Elle ne déroge jamais à l'administration d'une fessée meritée. Je suis content que cela vous plaise, la suite bientôt.
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