jeudi 13 décembre 2018

Permis de fesser - chapitre 3


L’invitation (un récit de Vincent)


Six mois se sont écoulés depuis le fameux séjour chez tante Magda. Nous sommes en janvier, il neige. Je suis en couple avec Marie qui est une femme charmante et aimante. Nous sommes en train de dîner et Marie est partie chercher le courrier. Bien installé dans notre joli studio, nous buvons un verre de vin et Marie ouvre l’enveloppe c’est un carton d’invitation envoyé par tante Magda. Elle me lit la carte :

Bonjour Vincent et Marie, j’espère que vous allez bien tous les deux. J’organise un week-end de reprise en main à la montagne, je vous invite le week-end prochain dans mon grand chalet à Chamonix. Vous pourrez faire du ski et d’autres activités, vous verrez le cadre est magnifique, de la terrasse de mon chalet on aperçoit le Mont Blanc.
Elle termine sa carte par « Si mes bonnes fessées vous manquent, vous êtes les bienvenus ».

Je me tourne vers ma copine, pour avoir son avis. J’avoue que le séjour chez tante Magda fut à la fois agréable car c’est un hôte très amical, mais il fut aussi mémorable pour nos postérieurs. Marie n’a jamais fait de ski et elle est assez tenté, moi j’hésite mais ne voulant pas la décevoir je lui dis ok pour le week-end mais je vais négocier avec tante Magda qu’elle ne soit pas trop sévère. La connaissant, cela me parait peu jouable.

Je téléphone à tante Magda qui se montre réjoui de nous accueillir. Vous verrez dit-elle, le domaine skiable est immense et mon mari et moi connaissons bien la station. Je viendrais vous chercher à la gare, appelez-moi 10 minutes avant votre arrivée.
 
Le week-end arrive, nous sommes vendredi soir, nous achetons des billets de train couchette et nous prenons le train direction Chamonix. Le trajet est un peu long mais nous avons dormi donc nous arrivons à 8h30 samedi assez en forme.
Tante Magda nous accueille à bras ouverts :
« Bonjour tante Magda »

« Mes chers enfants, je suis ravi de vous voir. Vous avez l’air en pleine forme, vous verrez l’air de la montagne cela fait du bien »

Tante Magda est toujours aussi belle. Elle porte un pantalon moulant, des bottes en fourrure, un pull col roulé en mohair sous une doudoune bleu argenté. Sa tête est coiffée d’un bonnet de laine bleu. Elle est toujours aussi grande, 1m90, toute élancée avec une poitrine volumineuse que l’on devine sous son pull cintré.

Marie lui dit toute confuse « Nous sommes bien embêtés, nous n’avons pas de tenue de ski »

Réponse de tante Magda :
« Ne vous en faites pas les enfants, j’ai tout ce qu’il faut pour vous habiller ».
Je retiens les derniers mots « vous habiller ». Dans ma tête je comprends que nous avons perdu notre autonomie.  Nous serons pris en charge en intégralité y compris pour notre toilette, notre habillage. Je me souviens surtout des fameux déculottages et reculottages pré et post correction, la honte de s’exhiber, de montrer ses fesses devant tout le monde et la fessée qui suivait.

En montant dans son break 4*4, elle nous donne à chacun une petite claque sur les fesses. Nous comprenons que cela sert d’avertissement. Désormais, nous sommes sous sa coupe et nous avons intérêt à nous tenir bien tranquille. Toute faute sera sanctionnée d’un aller et retour sur ses genoux. Pendant le trajet, j’ai des papillons dans le ventre, une certaine appréhension me guette je regarde Marie, elle semble aussi troublée.

« Mes chers petits, inutile de vous rappeler le but de ce week-end, c’est une reprise en main. Je vais reprendre votre éducation là ou je l’ai laissé. Dans mon souvenir, j’ai dû beaucoup sévir et je considère que le temps du week-end vous avez perdu vos privilèges d’adulte. Vous êtes un peu comme mes enfants, des tendres chérubins qui ont parfois besoin d’une bonne fessée pour mieux obéir. Vous connaissez mes règles de discipline et vous savez que je ne transige jamais sur les punitions en cas de désobéissance. Si je dois sévir c’est la fessée immédiate et le déculottage assuré. Nous allons passer deux jours au cours desquels je vais surveiller votre comportement.  Signer cette feuille qui précisent mes règles familiales et les sanctions qui en découlent, pas la peine de lire, vous les connaissez déjà »

Nous sommes là en connaissance de cause donc nous n’avons pas le choix, Marie et moi signons la feuille. Je me souviens de la première fois ou j’ai m'imaginé Madame VanRieskem me punissant dans son joli tailleur, moulant sa belle poitrine, ses longues jambes gainées de bas avec ses bottes en cuir beige. Je détaillais ses mains, immenses et larges propre à corriger les vilains derrières.
Nous roulons depuis 10 minutes. Nous quittons Chamonix, empruntant une petite route serpentée qui domine les montagnes et arrivons au pied d’un magnifique chalet en bois. Pendant tout le trajet nous ne disons pas un mot c’est tante Magda qui fait la conversation. Elle nous apprend qu’elle et son mari Peter sont d’excellent skieurs et qu’ils nous serviront de professeur et de guide pendant le séjour. Nous sommes devant la terrasse, au loin j’aperçois le Mont-Blanc. Le chalet est immense, sur trois niveaux. Au rez de chaussée, un immense living room avec une grande cheminée, une grande cuisine avec un ilot central, une buanderie et une salle de classe et les toilettes. A l’étage, la suite parentale de Monsieur et Madame VanRieskem , le dortoir garçon/fille séparé par une cloison, les chambres du personnel, la salle de bain et la nursery. Au deuxième étage on trouve une salle de jeu avec un grand home cinéma et une immense bibliothèque remplie de livres sur l’éducation et le savoir vivre. Madame VanRieskem s’est changée. Elle porte une élégante robe noire ceinturée sur la taille par-dessus de jolis bas en coton noir, des bottes en cuir verte hautes et raffinées. Sa haute stature est relevée par un chignon. Qu’elle est ravissante cette belle quarantenaire, Je suis secrètement amoureux. Elle se montre fort accueillante, elle nous fait des gros câlins comme le ferait une mère avec ses enfants. Elle me présente les autres pensionnaires. En dehors de Marie et moi il y a 3 jeunes adultes. Henri, 18 ans, à peine sorti de l’âge pubère avec ses 3 poils au menton, 1,70 m tout mince, il ressemble à un ado. Emilie, 22 ans une petite brune 1,65 m avec des formes, brillante étudiante en médecine et Charlène, une étudiante anglaise de 20 ans, grande blonde 1,75 m avec des seins en obus, un vrai canon de beauté. Ce qui me frappe au premier abord c’est que ces jeunes adultes portent des survêtements moulants unis, gris pour les garçons, roses pour les filles. Ils ne portent pas de chaussures. Le règlement imposant aux enfants d’être en chaussettes pour ne pas abîmer les beaux sols en parquet. Sont présents à coté de nous, Miss Crumble, Miss Stick et Miss Jane, qui me font un petit signe de la main. Ce geste amical n’est pas sans rappeler les terribles déculottées administrées par ces trois jeunes femmes. Tante Magda prend la parole.
 « Mes chers enfants, bienvenu à un week-end de recadrage familial. Vous allez apprendre à vous connaître, partager les joies de la vie en communauté tous les cinq. Le temps d’un week-end je vous considère comme mes enfants, j’en ai eu quatre qui sont tous majeurs et indépendants. Vous devrez m’appeler "Tante Magda », me dire « vous »  et de me répondre poliment par « oui Tante Magda» ou « Non Tante Magda »
Chaque manquement sera puni d’une gifle, c’est bien compris ?
 « Oui tante Magda » (tous en cœur)
« Je suis disposé à ce que vous passiez un bon séjour sur les pistes de ski et au chalet. Je peux être très cool mais je suis stricte et intransigeante en ce qui concerne l’éducation et le savoir-vivre Je vous  préviens mes chers petits, toutes les mauvaises habitudes que vous avez prises, vont devoir disparaître. Il n'est plus question de désobéir »,
Elle s’avance vers Emilie qui n’écoutait pas son discours et lui décoche une volée de claques sur les deux joues. Son effronterie est stoppée net par la gifle reçue.
« As-tu bien compris Emilie, ou tu en veux une autre ?»
 « Oui Tante Magda »
« C’est bien, tu vois que tu peux écouter les grandes personnes »
Nous sommes réunis tous les quatre dans le living room, assis sagement et confortablement dans le large sofa en cuir daim marron. Je me suis changé, je porte le même survêt réglementaire que mes camarades, je me sens si mal à l’aise dans cette tenue imposée. Madame VanRieskem (que nous appellerons Tante Magda pour plus de facilité) se tient debout et nous fixe avec son regard sévère, personne n’ose bouger, ni prononcer le moindre mot  sous peine d’être puni. Il faut dire qu’assis dans le canapé, cette grande femme nous impressionne physiquement, elle dépasse chacun de nous de dix cm et elle est entourée de trois redoutables fesseuses les Miss brandissant chacune un instrument de correction.
« Mes chers petits, je vous présente Peter, mon mari. C’est le cerveau du couple, brillant ingénieur informaticien c’est la tête et moi les jambes. Nous avons une situation financière qui nous permet d’avoir des revenus très confortables. Nous avons en permanence avec nous trois employés : Miss Jane, la gouvernante (1,72,57 kg), Miss Crumble, notre bonne cuisinière (1,80 m 75 kg) et Miss Stick (1m62, 50 kg) chargée du ménage, repassage et intendance de la maison, tous de sexe féminin. Je dirige cette maison et je suis intransigeante sur les règles familiales à suivre. Je dois faire attention à ce que votre comportement corresponde à mes exigences. Avec moi pas de discours, pas de plaintes, je n’élève jamais la voix, je ne crie pas non plus. Pas besoin je sais me faire respecter.si vous désobéissez, pas d’avertissement, c’est la sanction qui tombe. Pour être plus clair, c’est la fessée immédiate quel que soit l’endroit et les personnes présentes. Sachez mes enfants que je baisse toujours la culotte avant de la donner, j’ai un très beau coup droit, je sais aussi smatcher et quelques secondes me suffisent pour vous allonger fesses nues sur mes genoux, mes mains sont larges et redoutables et je ne me fatigue jamais quand je claque vos  derrières c’est bien compris? »
« Oui Tante Magda » nous répondîmes tous en cœur.
Pendant son discours je détaille son mari Peter. Il est assez Petit (1m70) avec quelques rondeurs, des épaules larges, un torse puissant. Il ressemble à un demi de mêlée de rugby. Il a une petite barbe de trois jours. Il est assez séduisant dans son jeans de marque, son polo de rugby et ses beaux mocassins en daim. Il paraît si petit à côté de sa femme, je me demande qui porte la culotte dans le couple ? Tante Magda poursuit son discours
« Pour moi, la fessée, est un châtiment qui est réservé aux enfants ou adolescents. Donc si je dois vous fesser, cela vous ramène au statut d’enfant. La personne punie que je déculotte perd son intimité devant moi comme pour la petite fille ou le petit garçon que l’on déculotte pour le punir de ses bêtises. Je suis sûre que la honte qui en découle fait partie de la chimie d'une bonne fessée peut être même plus que la chaleur des fesses bien rougies. Le degré de sévérité doit être adapté à la faute. Si la personne punie doit subir par exemple une cuisante fessée manuelle pour que la fessée ait du sens, elle doit être appliquée jusqu'au bout »
« Je suis une tante Magda aimante mais sévère. Je vous emmènerai faire du ski. Je ski très bien et je connais bien le domaine. A la maison, vous pouvez profiter pleinement des activités de loisirs, que ce soit la salle de jeu, le home cinéma ou le sauna au sous-sol. Et vous passerez un séjour très agréable. Je vous conseille d’être bien sages. Vous avez tous signés le formulaire qui fait de vous des enfants à recadrer. En ce qui me concerne (elle sort une carte de son sac à main et nous la montre) j’ai un permis de « FESSER » et comme promis je peux vous flanquer de bonnes déculottées. J’ai habitude de corriger à tout moment de la journée. Une fessée donnée dans la journée est doublée au moment d’aller au lit.  Je délègue parfois aussi au personnel féminin la tâche de vous claquer les fesses et de vous mettre au coin  fesses nues pour réfléchir »
« Nous avons un planning chargé je vous distribue la feuille, je tiens à ce qu’on le respecte à la lettre »
Je lis : planning familial des enfants
8h : réveil, on fait son lit, on range ses affaires
8h30 : petit déjeuner, on descend en pyjama
8h 50 : les dents, on s’habille en tenue de jogging
9h : inspection des chambres et punitions
10h-12H : classe dictée, récitations, interrogation et punitions
13 h : déjeuner rapide
13h20 : habillement en tenue de ski
13h30/17 : ski
17h30 collation
Temps libre jusqu’à 19h
19h : douche, toilette et inspection et punitions
19h30 : mise en pyjama
20h : diner
Temps libre jusqu’à 22 H
22h : conseil familial dans le dortoir et punitions
22h30 : coucher !

Nous seulement le programme me parait chargé mais en plus il y de multiples occasions de sanctions. Nous avons la désagréable surprise d’apprendre qu’il y a classe 2h tous les matins. Moi qui croyais que j’allais skier toute la journée.
« A propos de bêtise, je dois punir Vincent qui a jeté ses affaires en vrac au milieu du dortoir ! ça commence bien, à peine arrivé et déjà une bêtise. La sanction est claire, la fessée va tomber mon cher Vincent ».
Quelle surprise, je ne m’attendais pas à recevoir la fessée dès mon arrivée et en plus devant mes nouveaux camarades. Je me sens tout honteux, je baisse les yeux, je regarde mes chaussettes. Tante Magda me conduit vers le fauteuil en cuir beige et me baisse à la volée le survêt et la culotte. Je suis tout honteux de montrer mon sexe légèrement raidi. Elle s’assoie confortablement dans le fauteuil et relève sa manche d’un geste rapide elle me couche en travers de sa cuisse gauche, et me maintient le bras doit bien immobiliser dans le dos.
« Première fessée de la journée, je suis sûre que cela ne sera pas la dernière »
Ses mains sont si larges qu’elle peut claquer les deux fesses en même temps, terribles claques qui tombent sur mon séant. La fessée fait vite mal, tante Magda est une grande fesseuse, elle alterne les petites et les grandes claques prolongeant la correction. Elle sait doser, ralentir puis accélérer. Moi je ne fais qu’encaisser en me trémoussant sur sa cuisse, je sens la chaleur qui monte. Tante Magda m’a donnée une fessée déculottée devant mes camarades et le personnel féminin. Je suis mort de honte. Que madame fesse bien, elle sait doser et prolonger la longue fessée qui se termine par de fortes claques sur mes fesses qui sont rouges tomate.  Je suis conduit en punition au coin culotte baissée, fesses rouges, je tourne le dos à mes camarades et j’ai tellement honte de cette situation. Elle enchaine le refrain que j’ai déjà entendu lors de séjour précédent.
 « Si la faute est plus grave, je fesse avec mon martinet familial. Quand j'annonce la correction, vous devez vous présenter debout devant moi, je vous déculotte et ma raclée est immédiate sans possibilité de l'éviter. Cela ne vous servira à rien de supplier, te tortiller, ni vos pleurs, ni vos supplications ne m’arrêterons. Quand je fesse c’est moi qui décide quand la FESSEE démarre et quand la FESSEE s’arrête. »
Je baisse les yeux honteux collé au mur quand j’entends tante Magda qui sermonne la petite Emilie
« Je constate Emilie que tu sens la cigarette, tu as fumé avant de venir. C’est strictement interdit chez moi. C’est une faute qui mérite punition ! Ma petite je dois sévir et la correction que je vais t'administrer va te faire regretter ta bêtise. Approche peu que je m’occupe de ce joli fessier ».
Emilie se tient toute timide devant tante Magda. Elle a l’air d’une enfant devant cette femme athlétique qui la dépasse de 20 cm. Sans ménagement, elle la couche en travers de sa cuisse gauche relevée en prenant appui sur une chaise. Elle la déculotte en même temps qu’elle baisse le survêtement. Les spectateurs que nous sommes ont une vue plongeante sur les jolies fesses en forme d’amande de la punie. Tante Magda donne une petite fessée à Emilie qui pousse déjà quelques cris.
« Mon cher enfant cela ne sert à rien de te débattre, cela risque de doubler la fessée »
Après une vingtaine de claques, elle stoppe la correction
« Qu’arrive-t-il quand Tante Magda te prend en faute ma chérie ?»
 « Une…une…fessée » répond une Emilie en pleurs
« Oui ma fille tu mérites une bonne fessée cul nu » lui répond tante Magda d’un ton autoritaire.
Dans cette position pas de doute, nous assistons à une correction maternelle méthodique et expéditive. Tante Magda fessant avec application une gamine en pleurs, la culotte baissée, à plat ventre, en équilibre sur sa cuisse. Madame lève la main si haute qu’elle donne plus d’amplitude à la volée. Ses mains si larges claquent les deux fesses en même temps provoquant des soubresauts chez la punie qui se tortille, gesticule pour essayer d’encaisser les claques. Emilie essaye de se dégager alors tante Magda pour la mater fesse encore plus fort. Nous assistons à une correction maternelle méthodique et très cuisante. Après dix minutes, elle relève Emilie, lui remonte sa culotte et lui rajuste le survêtement. Emilie me rejoins au coin mains sur la tête face au mur, la culotte à nouveau baissée. J’observe les fesses rouges de ma voisine qui sont plus marqués que les miennes. Tante Magda nous gronde et nous demande de réfléchir à notre punition en silence. J’ai les fesses toutes rouges et j'ai honte d'être traité ainsi.
« Pas de zizi panpan entre vous. C’est particulièrement valable pour Marie et Vincent, vous n’êtes pas en couple chez moi. Le premier que je surprends à flirter ou plus c’est direct le martinet sur les fesses et je fesse fort, vous êtes prévenus. »

Les épisodes précédents ...

Le chapitre 1
Le chapitre 2

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2 commentaires:

  1. Bonjour,
    Bon on aura compris. Qui aime bien châtie bien... Tante Magda aime très fort et fesse encore plus fort!
    Si on compte bien, quatre séances de punitions sont prévues dans l'emploi du temps d'une journée... Si on y ajoute les corrections de circonstances non prévues au programme, et elles "tombent" à la moindre occasion, les fesses des pensionnaires ne risquent pas de chômer!
    Au plus petit manquement aux bonnes manières, la plantureuse Tante Magda aux mains de fer sans gant de velours, fait usage de sa formidable force de frappe. Elle distribue les fessées avec une sévérité augmentée d'un plaisir manifeste à claquer des derrières dont, belle aubaine, elle dispose à volonté par un judicieux "Permis de fesser". Tout porte à croire que même sans permis...

    Pas besoin de se demander qui porte la culotte dans le ménage. Tantine se charge de descendre celle de ses victimes, déculotte à tour de bras pour flanquer de splendides fessées dans toutes les positions.
    A se demander si monsieur ne fait pas, lui non plus, quelques séjours entre les "mains battoirs" de sa femme pour s'en prendre aussi des sévères! L'avenir proche nous le dira!
    Cordialement.
    Ramina

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  2. OUi tante Magda est à lafois prévenante, acceuillante mais aussi très stricte, très à cheval sur les principes. Elle ne déroge jamais à l'administration d'une fessée meritée. Je suis content que cela vous plaise, la suite bientôt.

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