Cette fessée donnée par une Dame que je ne connaissais pas,
m’avait fait réfléchir. Cela avait grandement été facilité par les conséquences
de mon tour dans le bas du jardin, comme disait Madame Tolbois.
Le papier laissé au sol derrière moi n’avait pas provoqué
d’émotion excessive chez ma logeuse. S’il n’y avait que cela, elle se serait certainement
contentée d’une banale fessée déculottée. Sans doute aurais-je passé une partie
de la soirée au coin, mais nous en serions restés-là.
Elle avait, par contre, fait grand cas de ma tentative pour
me soustraire à la fessée. C’était pour cette raison que j’avais dû aller
cueillir une bonne poignée d’orties dont elle m’avait longuement caressé les
fesses nues. J’avais trépigné sur place alors que je me rendais au coin, tant la
brûlure dépassait ce que je croyais pouvoir endurer. L’immobilité requise quand
j’étais au coin ne m’avait pas permis d’extérioriser plus longtemps la douleur
qui emportait mes fesses. J’avais cru que les vagues urticantes ne cesseraient
jamais et j’avais dû attendre le lendemain pour les sentir quelque peu refluer.
« Si une Dame, même si tu ne la connais pas,
m’expliqua-t-elle le lendemain, estime que tu as mérité une fessée, j’attends
de toi que tu la laisses te punir comme elle le désire. Si j’apprends que tu as
recommencé à te rebeller, je saurai te donner une fessée bien plus mémorable
que celle d’hier soir. »
Elle m’avait pris sur ces genoux et elle massait doucement
mes fesses encore bien sensibles. Son ton était à mi-chemin entre la douceur et
la gronderie, mais je ne m’y trompais pas. La menace était réelle et elle
n’aurait aucun scrupule à la mettre en application.
Quelques minutes plus tard, sur le chemin du travail, et
bien que le frottement du tissu de ma culotte irritât encore mes fesses, je ne
savais pas comment je me comporterais la prochaine fois que je serai placé dans
une situation analogue. La vie me procura la réponse quelques jours plus tard.
Madame Tolbois m’avait envoyé porter un paquet à l’une de
ses amies. J’en revenais, satisfait d’avoir mené à bien la tâche qui m’avait
été confiée. J’avais été poli avec elle, patient quand la Dame m’avait demandé
d’attendre, je n’avais pris la parole que pour répondre à ses questions, …
j’avais été un garçon parfait et elle m’en avait félicité me promettant de la
faire savoir à Madame Tolbois. Pas de doute que cela me vaudrait un câlin pour
mon comportement irréprochable.
Je n’avais reçu aucune fessée ni ce jour-là ni la veille,
que ce soit à la maison ou au travail. J’entrevoyais la possibilité de vivre
désormais sans qu’il soit besoin qu’on me fesse ou alors seulement très
épisodiquement. Je m’imaginais alors ce que pourrait être ma vie. Cette rêverie
éveillée ne me rendait pas très attentif à ce qui se passait dans mon
environnement. En passant près d’une zone de travaux, je me cognais le bout du
pied dans un plot de béton qui avait été laissé là par les ouvriers.
La douleur fut vive, intense et elle me fit monter les
larmes aux yeux. Je poussais un cri.
« Quel con ! Bordel ! Ah putain que ça fait
mal ! »
Je m’étais sans doute cassé l’orteil. Je n’eus pas le temps de
me lamenter plus avant sur mon sort.
« Quel langage ! Personne ne vous a jamais appris
à parler correctement ? Comment voulez-vous que j’explique à ma fille
qu’elle ne peut pas se laisser aller à de la vulgarité si les adultes dans la
rue n’ont pas plus de maîtrise des mots qu’ils emploient ? »
Elle montrait une grande fille à côté d’elle qui devait
avoir dix, douze ans.
« Venez-ici ! »
Je faillis argumenter de la douleur fulgurante que j’avais
ressentie et qui m’avait fait perdre ma maîtrise habituelle, mais une image
s’imposa alors à moi : celle du carré d’orties au fond du jardin de Madame
Tolbois. Il était impossible de me faire taxer de rébellion ou de désobéissance
de quelque manière que ce soit. Je marchais vers elle.
« Le bel exemple que vous donnez aux enfants ! Si
c’était Sidonie qui avait proféré les horreurs que vous avez dites, elle aurait
pris une fessée. »
Elle me prit par le bras et elle le secouait au rythme de
ses paroles.
« Il n’y a aucune raison pour que vous ne soyez pas
puni de la même façon ! Ainsi, vous serez deux à comprendre que les
gros-mots sont interdits !
– Mais… mais… je…
– Je vous conseille de vous taire et de prendre votre fessée
comme une punition que vous avez amplement méritée. »
Elle me fit faire encore un pas pour me placer juste devant
elle, puis elle s’attaqua à ma ceinture. J’étais tétanisé. Encore une fessée
déculottée en public, mais je ne pouvais rien faire. Mes protestations
mourraient sur mes lèvres au fur et à mesure que je les formulais dans ma tête.
Le bas du jardin de Madame Tolbois.
Avant que je réalise complètement ce qui m’arrivait, mon
pantalon était baissé sur mes mollets.
« Attention ! »
Ce simple mot, prononcé sur un ton menaçant, suffit pour
stopper l’esquisse de recul que j’eus quand ses doigts, en prenant le bas de ma
culotte, effleurèrent ma peau nue. Elle tira vers le bas, mettant mes fesses à
nu.
Elle regarda autour d’elle.
« Voilà qui fera l’affaire ! »
Elle me prit alors par la main et je dus la suivre jusqu’au
plot contre lequel je m’étais heurté. Elle marchait un peu vite et j’avais du
mal à la suivre avec mon pantalon baissé. A deux reprises, elle me soutint pour
m’éviter de tomber. Elle posa alors son pied sur le plot et en me laissant à
peine le temps de retrouver mon équilibre, elle me coucha sur son genou.
« Sidonie, viens voir ce qui arrive à ceux qui disent
des gros-mots »
La fillette vint se placer à côté de moi et je voyais sa
surprise dans son regard. Ses yeux croisaient mon regard, puis ils
contemplaient mes fesses et je sentais qu’elle était intriguée par mon sexe qui
pendait entre mes jambes.
Le début de la fessée me surprit. Ma préoccupation première
était de dissimuler mes attributs sexuels à cette petite fille qui observait
mon anatomie avec curiosité. Sa mère savait ce que donner une fessée voulait
dire. Il ne lui fallut pas longtemps avant que je regrette de me trouver à
plat-ventre, courbé sur sa cuisse.
Sa main ne cessait d’augmenter la cuisson de ses fesses et
elle ne semblait pas faiblir alors que je sentais que j’atteignais déjà les
limites de ma résistance. Je ne voulais pas craquer devant Sidonie. Quelle
opinion aurait-elle de moi et des garçons qu’elle fréquenterait plus
tard ? C’était de ces réflexes de virilité dont je croyais pourtant que
Madame Tolbois m’avait débarrassé. Il n’en était rien. Ancré au plus profond de
moi, ils réapparaissaient à la moindre occasion.
Je n’eus pourtant pas le choix quand sa mère accéléra la
cadence. Je n’avais plus le temps d’absorber la brûlure d’une claque que la
suivante tombait déjà sur mes fesses. Je cessais de résister après une longue
série de claques qui avaient atterri au même endroit, avant que la même chose
ne se reproduise de l’autre côté.
La peur de choir de cet endroit où j’avais été perché
disparut et je laissais mes jambes s’agiter à leur rythme sans m’inquiéter de
l’équilibre précaire dans lequel j’avais été placé. Il ne devait pas l’être
autant que cela puisqu’il tint jusqu’au bout de la fessée.
« Diras-tu encore des gros-mots ?
– Non… Madame… réussis-je à articuler entre deux sanglots.
Je le promets.
– Vois-tu Sidonie… »
J’avais oublié la présence de la fillette. Je songeais à
couvrir mon sexe de mes mains, mais je ne savais pas comment ce serait pris par
ma fesseuse. Je voulais, à tout prix, éviter de lui donner un motif pour
poursuivre la fessée.
« … c’est comme cela qu’il faut punir les vilains
garçons. J’espère que tu t’en souviendras !
– Oh oui, j’en suis sûre ! Est-ce que je peux lui
donner la fessée à mon tour ? »
Mon cœur se serra. Une fessé donnée par cette gamine ?
Impossible ! Et portant, si sa mère disait oui, comment l’éviter ?
« Non, ma chérie, tu es encore trop petite. Il te
faudra attendre encore quelques années. »
Puis, de tournant vers moi.
« Reculotte-toi, mon garçon. Si je te reprends à dire
des gros-mots… »
La fessée en présence de cette gamine avait été humiliante,
mais finalement je m’en sortais à bon compte : pas de visite dans le fond
du jardin. C’était l’essentiel.
Je ne sais pas si ce fut l’arrivée des beaux jours, mais les
fessées dans l’espace public se multiplièrent. D’inexistantes au début de mon
séjour chez Madame Tolbois, elles prirent leur place sans qu’on s’en aperçût
vraiment. Progressivement, il devint de plus en plus courant de voir dans un
magasin, dans la rue ou sur un parking, une dame déculottant et fessant un
adulte après l’avoir copieusement grondé.
Au début, alors qu’elles étaient encore rares, ces saynètes
attirèrent l’attention. Elles étaient commentées et disséquées par tout le
monde. Il en était question devant la machine à café ou au restaurant pendant
plusieurs jours. Il n’y eut pas de protestation, ou si peu que cela ne vaut pas
la peine d’en parler, devant ces situations qui en d’autres lieux auraient pu
passer pour de l’exhibitionnisme. Les plus prompts à, d’habitude, condamner
l’apparition du moindre centimètre carré de peau nue, trouvaient ces
déculottages publics acceptables puisqu’il s’agissait de maintenir des
délinquants en puissance dans le droit chemin.
« C’est l’intention qui compte,
proclamaient-ils ! »
S’il n’y avait eu tous ces encouragements tacites ou
explicites, peut-être serait-on retourné à plus de confidentialité dans
l’administration de la fessée. Les quelques contradicteurs furent rapidement
ramenés au silence, parfois avec une bonne fessée quand il s’agissait de
controverses dont les auteurs y étaient eux-mêmes soumis. Ils se firent
rapidement discrets suite à la mésaventure qui arriva à l’un deux.
C’était un samedi après-midi, sur la place de la mairie.
L’administration de fessées à des adultes en place publique ne s’était pas
encore généralisée. Ce n’était que des cas isolés. Deux dames d’âge mûr se
disputaient. Il est plus exact de dire que l’une d’elle se faisait gronder par
l’autre. La dissymétrie de la situation sautait aux yeux. La première, celle
qui grondait la seconde, était habillée comme on pouvait l’attendre d’une dame
d’un âge respectable.
L’autre ressemblait à une écolière portant l’uniforme d’une
école où les tenues exigées étaient des plus classiques : jupe plissée
bleu marine, chemisier blanc, socquettes blanches et chaussures noires vernies
à talon plat. L’impression d’avoir affaire à une petite fille était renforcée
par la queue de cheval dont elle était coiffée qui lui remontait les cheveux
haut au-dessus de la nuque et tenue par une barrette rose. Cela paraissait très
décalé, au regard de son âge, mais il fallait y regarder à deux fois avant de
s’en rendre compte.
La dispute prit fin brusquement.
« Puisque, Dorothée, il faut en arriver, encore une
fois, à ces extrémités… »
Elle attrapa sa compagne et elle la courba sous son bras en
lui enserrant la taille. Comprenant alors qu’elle avait dépassé les limites
admises et prenant conscience de ce qui allait arriver, Dorothée tenta de faire
marche arrière.
« Non
Tatie Jacqueline, non ! Je vais être sage, je vais obéir !
–
Je n’en ai aucun doute, mais ce sera après la fessée !
–
Non, pardon, pas ici, pas ici ! »
C’était
trop tard. D’un revers de la main, Tatie Jacqueline, puisque c’est ainsi
qu’elle était appelée, releva la jupe et, d’un geste dont elle avait
l’habitude, elle baissa la culotte. Pour aucune des deux femmes, cette
situation punitive n’était une nouveauté. Cela se voyait dans l’ajustement
réciproque auquel elles se livraient toutes les deux.
Pas
une seconde, à part ses inutiles supplications, la seconde ne tenta d’empêcher
la première d’arriver à ses fins. Elles tenaient ses mains écartées de ses
fesses alors que celles-ci, manifestement, étaient la prochaine cible de celles
de Tatie Jacqueline. Sans doute cela ne se déroulait pas, habituellement, sur
une place où se retrouvait une bonne partie de la ville, mais elles étaient
visiblement, l’une et l’autre, coutumières de la position dans laquelle elles
se retrouvaient.
La
fessée crépita bientôt sur les fesses nues. A part le fait qu’elle se déroulait
devant quelques dizaines de personnes, cette punition n’avait rien de
remarquable. Tatie Jacqueline appuyait ses coups afin que Dorothée en ressente
la cuisson, mais la bêtise n’avait certainement pas été assez grave pour
justifier un châtiment exceptionnel. Les fesses rougissaient progressivement et
les cris de Dorothée indiquaient qu’elle ressentait les effets de la punition. Somme
toute, une fessée banale.
C’est
alors que des protestations arrivèrent du dernier rang des personnes qui
s’étaient posées pour regarder cette démonstration d’autorité.
« Arrêtez
ça tout de suite, c’est honteux ! »
Tatie
Jacqueline, indifférente à cette interpellation, continuait son ouvrage.
« Vous
n’avez pas entendu ce que je viens de dire ? De quel droit battez-vous
cette femme ? Faut-il que j’intervienne pour que vous cessiez ? »
L’homme
avait fait un pas en avant. Il était sorti du cercle des badauds qui
entouraient l’endroit où Dorothée recevait la fessée. Il devait avoir une
quarantaine d’années bien sonnées et semblait furieux. Il était de grande
taille ce qui rendait ses menaces crédibles.
« C’est
de l’exhibitionnisme ! »
Tatie
Jacqueline avait interrompu la fessée pour regarder l’importun, mais elle
gardait Dorothée dans la position disciplinaire.
« Jeune
homme, Dorothée sait parfaitement pourquoi elle reçoit une fessée. Elle l’a
méritée et elle n’oserait pas s’y opposer. Il me semble que vous vous mêlez de
ce qui ne vous regarde pas !
–
Ça, c’est moi qui en décide. Ce dont je suis sûr, c’est que cette scène
scandaleuse va cesser tout de suite. Relâchez cette femme où je vous y
oblige ! »
Il
y eut un murmure dans le cercle des spectateurs, mais personne n’intervint. La
légitimité à fesser des adultes dans des espaces publics étaient encore
incertaine. Il aurait suffi d’une vague d’indignation pour en fragiliser la
pratique. En était-ce, aujourd’hui sur cette place, le début ? Nous ne le
saurons jamais. Un petit bout de femme se planta devant le contradicteur.
« Thobias !
Ça suffit ! Je t’avais prévenu ! »
Thobias
écarquilla les eux et le mélange d’étonnement et de peur y fut clairement
visible.
–
Léa ! Mais Léa, que fais-tu là ? Oh, non…
–
Comme tu dis ! Tu ne t’attendais pas à me voir ?
–
Et bien… non… effectivement. Comment ?
– Cela
ne te regarde pas. Moi, par contre, je suis bien contente d’être arrivée assez
tôt pour mettre fin à ton petit numéro. »
Toute
l’arrogance du Monsieur sûr de lui qu’il était quelques secondes auparavant,
avait disparu.
« Encore
à faire l’important et à te mêler de ce qui ne te regarde pas ! Que
t’avais-je dit si je t’y reprenais ?
–
Oh non, s'il te plait !
–
Que t’avais-je dit ? »
Elle
prit l’oreille de Thobias alors qu’elle lui rendait une bonne tête et qu’elle
ne devait pas peser beaucoup plus de la moitié de son poids. La colère qui
suintait par tous ses pores lui donnait, par contre, une stature qu’était loin
d’avoir le garçon dont elle secouait l’oreille.
« Alors ?
J’attends ta réponse !
–
Mais… mais… »
Il
se tenait maintenant courbé en deux, la tête à hauteur de la poitrine de Léa,
le visage tourné vers elle.
« Je
ne te lâcherai pas avant que tu ne m’aies répondu ! Est-ce compris ?
–
Oui Léa, oui ! Une fessée, une fessée !
–
C’est bien ce que je t’avais promis. Une fessée ! Tu vas l’avoir tout de
suite !
–
Non la, non, pas ici !
–
Oh que si ! Sur le lieu de tes exploits ! C’est l’endroit
parfait ! »
Toujours
tenu par l’oreille, Thobias dut emboîter le pas de Léa qui s’assit sur le banc
le plus proche. Dorothée se tordais le cou pour tenter d’apercevoir les
protagonistes de cette scène qui avait interrompu sa punition. Elle reçut une
grosse claque sur les fesses.
« Tiens-toi
tranquille, exigea Tatie Jacqueline. Je n’en ai pas fini avec toi ! »
Dorothée
se contenta d’un petit cri, mais elle resta immobile.
« Comment
disais-tu ? Exhibitionnisme ? Voyons voir cela ! »
Une
de ses mains était occupée. Elle y conservait le lobe de l’oreille de Thobias.
De l’autre, elle déboucla la ceinture. Une longue habitude. Ce n’était pas la
première fois qu’elle faisait ce geste. La suite le confirma. Le bouton du pantalon
sauta. La taille du pantalon était assez large pour que Léa le fasse glisser
sans en déboutonner la braguette. Il lui fallait ses deux mains. Elle lâcha
l’oreille, mais Thobias n’essaya pas d’en profiter. Il se redressa mais son
pantalon était déjà sur ses chevilles. Il esquissa un geste des mains quand sa
culotte commença à glisser sous l’impulsion de Léa, mais il n’alla plus loin.
Il ferma les yeux. Sa culotte était maintenant à hauteur de ses genoux.
« Effectivement,
tu as raison. Si nous en restions là ce serait de l’exhibitionnisme :
montrer ses fesses nues en public quand on a ton âge. Mais tout change quand tu
te retrouves dans cette position. »
Léa
l’avait fait basculer à plat-ventre en travers de ses genoux. Elle prit le
temps de le replacer correctement.
« Je
crois que vous pouvez reprendre, Madame, dit Léa en direction de Tatie
Jacqueline. Je suis prête et je ne crois pas que ce garnement vous créera de
nouveaux ennuis. »
Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?
Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 61
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 61
Il y a une suite ... le chapitre 63.
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Bonjour à tous,
RépondreSupprimerBon, si on a bien suivi... Après la mémorable "Journée Fesses Rouges" de Sylvie, La SFID (Société de Fabrication des Instruments de Discipline), notre ami JLG applique son programme de discipline citoyenne avec la Société des " Fesses à Claques " ou les journées permanentes des femmes régulatrices de l'ordre public par la fessée.
Fini les contraventions pour non respect des règles de vie en communauté , terminé les condamnations pour incivilités ! Mieux que l'agent de la force publique, plus séduisant que la compagnie de CRS, Mesdames et Mesdemoiselles sont prêtes à sévir là où il faut quand il le faut.
Une seule méthode, la meilleure, la fessée déculottée ! De préférence en public pour mieux marquer les contrevenants! On s'attend à des policières avec des martinets à la place de carnets de contravention pour sanctionner, sur place, les infractions au stationnement ou au non respect du code de la route.
Infraction au stationnement: Autant de fessées que de minutes de dépassement d'horaire... ça calme. Mesure préventive contre la récidive! Le maintien de l'ordre assuré par une politique dissuasive de la claques aux fesses menées par de fortes femmes sévères et incorruptibles ! Moins cher et plus efficace!
Alors ces Dames déculottent et flanquent des fessées sur le trottoir, aux coins de rue, sur les places. Les perturbateurs ( trices ) après leur raclée, en pénitence, fesses rouges slip aux cuisses, devant les troncs d'arbre, les panneaux de signalisation ou les horodateurs.(Rires ?!!!)
Les épisodes s'enchaînent, drôles, réjouissants et provocants. Salutaires, alors que le pouvoir politique met l'interdiction de la fessée en discussion à l'assemblée ! De quoi se mêle-t on ? Si ne peut plus fesser tranquille !!!
Cordialement.
Ramina