Après un dîner fort copieux au cours duquel Jean et Sara ont reçu le martinet par tante Magda pour ne pas avoir fini leurs assiettes, nous sommes conduits dans la chambre pour la mise en pyjama. Tante Magda a mis la cloison pour protéger l’intimité entre garçons et filles. J’aperçois, honte à moi, posé sur le lit des garçons deux couches intégrales en plastique. Je suis saisi de stupeur, je ne comprends pas. Je questionne Miss Jane pendant qu’elle me déshabille, m’ôtant à la volée le bas et le haut du survêtement me laissant avec ma seule culotte comme mon camarade Jean.
« Mais Miss Jane, on ne va pas porter
de couche » une terrible gifle me cingle la joue.
« Tais-toi Vincent,
tante Magda insiste pour que je vous mette en couche avant d’aller dormir, cela
vous évitera de mouiller votre lit, les toilettes sont en bas, le plancher
grince et je ne veux pas d’aller et venu pendant la nuit pour aller faire
pipi. »
Pas de résistance
possible, miss Jane avec une grande maîtrise me soulève les jambes, glisse le
plastique sous mes fesses et rabat la couche qu’elle ferme avec les attaches en
scratch. Miss Crumble a fait de même avec mon copain Jean après lui avoir
flanqué une fessée pour désobéissance. Tante Magda s’occupe des filles pendant
ce temps-là. Elle ouvre la séparation et je constate que Marie et Sara portent
la même couche que nous. Nous sommes assis en couche sur nos lits respectifs
avec un sentiment de honte que nous avons du mal à dissimuler.
« Avant de
dormir je vous ai promis que la fessée serait doublée au moment du coucher mais
je veux bien faire une exception car vous êtes fatigués et avez besoin de bien
dormir. Je vous fais un câlin à chacun en vous bordant et je vous dis bonne
nuit mes enfants »
« Bonne nuit tante Magda »
« Demain
réveil à 8h et petit déjeuner à 8h15, nous vérifierons l’état de propreté de
vos couches gare à vous si elles sont mouillées ! Dormez bien »
Pendant la nuit, à
demi endormi, j’ai entendu des bruits provenant de la chambre de Miss Stick,
des éclats de voix, des pleurs et des coups, à rythme régulier mais soutenu. Le
bruit caractéristique d’une main qui claque et d’un derrière qui reçoit. Je
n’osais quitter ma chambre de peur de subir le même sort. Je m’endormis assez
tard un peu perturbé par ce que j’avais entendu. Ce peut-il que Tante Magda
soit en train de fesser Miss Stick ?
Le lendemain, Miss
Jane nous tire du lit l’un après l’autre pendant que Miss Crumble réveille les
filles. Elles soulèvent complètement les draps pour vérifier leur état. Miss
Jane se tourne vers nous.
« Trois draps
bien propres et un drap bien mouillé, celui de Vincent, je suppose mon garçon
que votre couche l’est aussi, je vais vérifier ».
Elle m’allonge sur
le dos et défait les scratchs. Pas de doute la couche est mouillée et bien
pleine, Je suis confus car j’ai compris qu’il y a dû avoir une fuite pendant la
nuit.
« Mon cher
petit je suis au regret de vous annoncer que pipi au lit égal grosse fessée au
martinet de la part de tante Magda »
Tante Magda dans sa
belle nuisette qui met en valeur son imposante poitrine revient brandissant le
martinet, l’instrument familial de correction si redouté par les enfants. Tante
Magda brandit le martinet et après m’avoir couché tout nu sur ses genoux me
cingle les fesses, je crie de douleur, les lanières fouettent mes fesses nues.
Je dois compter à voix haute les coups, 40 en tout. Elle me fesse devant mes
petits camarades, une fessée retentissante et expéditive qui après le martinet soulage
presque. Me revoilà fébrile les fesses nues en pénitence à nouveau mains sur la
tête assis sur le bord du lit. Tante Magda devient tout à coup beaucoup plus
aimante m’attirant contre elle, elle m’assoie sur ses genoux et me prend dans
ses bras pour me consoler. Cela me fait bizarre cette cajolerie après la
fessée, un câlin si tendre assis sur les genoux de tante Magda. Quelle
sensation agréable d’être consolé par tante Magda qui vient de me flanquer une
bonne correction si méritée. Dans ma tête je l’entends me dire « mon
enfant, je fesse et je câline à la fois. Je t’aime comme mes enfants et je dois
aussi sévir quand tu n’es pas sage, tante Magda est stricte mais juste, elle t’a
donné une bonne fessée car tu l’as mérité ». Elle poursuit son câlin avec
de tendres paroles.
« Tu vois mon Vincent, tante Magda est douce
et sévère à la fois. Tu devrais avoir honte de mouiller ton lit mon enfant, je
n’ai pas d’autre choix que de te corriger pour que tu ne recommences pas c’est
tout simple, compris mon Vincent ?
« Oui tante Magda »
« Pour votre
information, Miss Stick a essayé de me voler un bracelet dans mon tiroir, je
l’ai surprise en flag. Miss Stick a reçu une fessée carabinée longue et
méritée. Je crois qu’elle a compris »
« Allez ouste
tout le monde dans la cuisine pour le petit déjeuner, Miss Jane vous pouvez
changer les draps s'il vous plait. »
Tante Magda revient
dans sa tenue de cavalière, portant pantalon noir en stretch et bottes en cuir
montantes la cravache à la main. Nous sommes attablés au petit déjeuner
dégustant un assortiment de viennoiseries et buvant notre chocolat chaud quand tante
Magda se lève et nous questionne
« Qui a
utilisé la selle de course dans l’écurie hier après-midi ? »
On se regarde tous,
sans comprendre. Une main se lève celle de Sara.
« C’est moi tante
Magda, je voulais faire une balade à cheval, je ne savais pas… »
« Je vous ai
pourtant interdit de la prendre non ? »
« Heu oui
mais »
« Mais quoi,
tu as volontairement désobéi à tante Magda, regarde dans quel état elle est, je
vais devoir sévir ma petite Sara »
« Oh non
pardon tante Magda, je ne recommencerai plus »
« File
t’habiller dans ta chambre, nous allons régler ça, Miss Jane, apportez-moi la
strappe en cuir rouge »
Sara revient, c’est
Miss Stick qui lui a passé une jolie robe de petite fille, elle lui a noué les
cheveux avec un beau ruban. C’est une Sara ravissante, apeurée et bien calme
qui se présente devant tante Magda. Nous sommes tous spectateur de la scène
dans la cuisine. Tante Magda se dirige vers le large banc ou elle s’assoie.
Elle propulse la pauvre Sara en travers de ses cuisses. C’est sans doute la
position la plus humiliante quand on reçoit une correction en public. Elle
prend son temps tante Magda, pour bien dégager la robe et baisser la petite
culotte en coton blanche. Sara sens monter en elle une certaine angoisse :
quand la fessée va-t-elle tomber ? Combien de claques ? Tante Magda a
saisi la strappe par le manche et lève la main au-dessus des fesses de Sara
« Ma
Sara tu es ravissante dans ta jolie robe de petite fille sage sauf que tu dois
être puni, c’est la fessée de tante Magda »
Et la raclée
commence, terrible volée, une main très énergique claque ses fesses rendant la
cuisson tout de suite difficilement supportable. Tante Magda a décidé de faire
un exemple et donne à la fille une fessée retentissante aussi forte que
possible en tapant avec la strappe . C’est très douloureux. Elle lui bloque le
bras dans le dos et la fait pivoter sur sa cuisse gauche emprisonnant ses
cuisses avec son autre jambe. Sara reçoit une fessée exemplaire devant nous
tous, Tante Magda est furieuse et cela décuple son énergie. La fessée de Sara
est la plus grosse correction que nous ayons reçue, une double fessée manuelle
et avec la strappe qui frappe avec souplesse et provoque les cris, les pleurs
de la pauvre Sara.
Après une mise au
coin réglementaire, Miss Jane consigne Sara dans sa chambre qui pleure à
chaudes larmes.
Vient mon tour. Tante Magda a remarqué que
mes affaires sales trainaient par terre au pied du lit.
« Mon petit Vincent qu’est-ce que tante
Magda t’a promise en cas de grosse bêtise ? »
« Heu, non pas… »
« Non pas quoi mon
enfant ? »
« La fessée tante Magda, vous m’avez
promise la fessée déculottée »
Elle me conduit
dans le salon et me couche en travers de l’accoudoir du canapé. Elle me gronde
et me donne la plus grosse fessée jamais reçue sur mon pyjama, sur ma culotte
puis déculottée. Une fessée retentissante, interminable et cuisante. Je crie,
je supplie, je demande pardon et au bout de longues minutes, je suis en
sanglots alors tante Magda ralenti le rythme de ses claques, la fessée devient
plus légère, elle soulage presque. Elle fait une pause sans doute pour reposer
sa main et constater la couleur rouge de mes fesses. Je me relève les fesses me
brûlent, je rougis d'être puni de cette façon Jamais je n’avais reçu de fessée
aussi forte et longue, Je me sens honteux. Je n’attends pas qu’on me le demande,
je me rends au coin, empêtré dans mon bas de pyjama. Tante Magda m’autorise
heureusement à me reculotter. C’est une pause bienvenue pour mes fesses si
rouges et brûlantes.
« Toi aussi tu es puni dans ta
chambre et ne t’avise pas de déranger Sara sinon je te fesse avec ma
cravache !»
Me revoilà assis
sur mon lit massant mes fesses endolories. Je relis le formulaire détaillant
les règles familiales. C’est décidé je ne sors plus de la chambre, je préfère
rester allongé et attendre que la cuisson passe. Au bout de quelques temps, cela
fait moins mal mais je sens quand même la chaleur qui irradie mon séant. Je me
concentre sur ma feuille, il s’agit de bien comprendre les règles de tante
Magda et d’être conscient de ce qui peut arriver en cas de désobéissance. La
deuxième journée est plus apaisante. Finalement au bout d’une heure j’ai été
autorisé à rejoindre les autres qui ont entamé une partie de basket coachée par
une ex pro, tante Magda. On plaisante, on rit et on oublie bien vite notre
statut d’enfant. Une après-midi joyeuse et détendue sans fessée.
Jean a emprunté la
belle moto pour aller faire un tour en ville avec Marie. Nous sommes dans le
jardin quand le téléphone sonne. C’est la gendarmerie qui signale que Jean a
commis un excès de vitesse. Tante Magda négocie avec eux de ne pas avoir de
retrait de permis en échange d’une punition exemplaire Jean et Marie arrivent
en poussant la moto, tout honteux de s’être fait arrêter et sermonner par les
gendarmes.
« Approchez
tous les deux, vous avez encore fait une grosse bêtise, tante Magda sais ce
qu’il vous attend »
« Une petite
fessée pour Marie et une grosse fessée pour le conducteur, mon petit Jean »
Tante Magda cale la
moto sur sa béquille et prenant de l’élan bascule Marie en travers de la selle.
Elle cale bien le ventre de Marie en l’appuyant de sa main gauche. Avec la
droite elle baisse à la volée le leggings et la culotte de la petite, juste ce
qu’il faut pour exposer ses fesses nues. Et la fessée commence, pas plus d’une
vingtaine de claques. Elle libère Marie qui se reculotte pendant que Tante
Magda cale Jean dans la même position. Cette fois ci nous assistons à une
fessée déculottée longue et très intense le pauvre Jean sursaute en travers de
la selle pendant que tante Magda lui claque les fesses imprimant à chaque fois
une marque rouge sur ses hémisphères. C’est encore pire car tante Magda revient
avec le martinet. Elle lève la main brandissant le martinet à larges lanières
et lui cingle les fesses en demandant de compter les coups. Après 60 coups, Jean
demande pardon en larmes. Quelle raclée il a reçu. Elle finit par une
formidable fessée courbée sous son bras. Je compte au moins cent claques et sa
main se calme. Jean est conduit au coin du jardin pour réfléchir à sa bêtise. A
qui le tour pour le prochain, la prochaine ?
Les deux punis sont
consignés dans leur chambre. Marie m’entraîne dans une partie de cache-cache
fort amusante. Vers 19h, tante Magda, nous annonce que ce soir elle va se
changer pour mettre une tenue plus festive. Elle nous invite à remettre notre
belle tenue d’écolier pour être plus présentables devant elle. Etant de nature
curieuse, et étant le premier habillé, je décide de flâner et je passe devant
la chambre ouverte de tante Magda et là je reste subjugué devant la
scène : ma tante en train d’ajuster son soutien-gorge en dentelle bleu,
les deux mains en train de remonter ses beaux seins (poitrine 95C au moins) en
culotte de type tanga assorti au soutien-gorge, dévoilant ses longues et belles
jambes sur lesquelles elles comptent enfiler de beaux bas nylon. Je reste
bouche bée, sentant une forte érection dans mon pantalon. Tante Magda me voit
dans le reflet de son miroir, elle me fait signe d’approcher, je ne peux
qu’obtempérer, la logique voulant que je prenne mes jambes à mon coup mais je
suis pris à mon propre piège fasciné et en émoi devant la beauté féminine. Elle
me saisit par l’oreille et me dirige vers son fauteuil devant sa coiffeuse me
tenant légèrement penché elle murmure à mon oreille
« Le spectacle
t’a plu petit vicieux ? »
Evidemment je n’ose
répondre
« Si j’en juge
par la raideur dans ton pantalon, il semblerait que oui, tu devrais avoir honte
d’espionner Tante Magda en train de s’habiller, pris en flagrant délit en plus,
qu’as-tu à dire pour ta défense ? »
Je sais que je suis
en faute, que c’est impardonnable alors résigné je lui réponds
« Ma tante je
vous demande pardon, je n’ai aucune excuse, je comprendrais que vous vouliez me
corriger »
« Tu ne crois
pas si bien dire, bien sûr tu mérites une correction mais j’hésite entre te la
donner sur le champ en privé ou d’attendre et de le faire en public après le
diner »
« Oh non s’il
vous plait la fessée ici dans votre chambre »
« Très bien
jeune homme, alors cela restera entre nous, d’ailleurs je ferme la chambre pour
plus d’intimité »
Elle se lève pour
enfiler ses bas nylons. Elle est splendide en soutien-gorge, tanga et bas gris
perle. Elle me met à genoux, l’occasion pour moi de mater de plus près ses
jolis seins. Elle me baisse à la volée pantalon et culotte et me couche sur ses
cuisses. Elle me donne une petite fessée qui ne fait pas trop mal, vu sa tenue
on dirait presque une fessée érotique mais elle est de courte durée. Elle se
lève et dispose deux gros coussins en travers de son lit.
« Couche toi
en travers du lit, le ventre bien collé aux cousins et ne bouge pas »
Me voilà étendu en
travers du lit les fesses relevées par rapport au matelas, la culotte retournée
à mi cuisses, le pantalon qui boudine à mes pieds. Tante Magda s’approche et
mesure la portée qu’elle doit avoir pour me fesser correctement. Elle lève la
main bien haute et la fessée commence. J’ai reçu 200 claques par série de 10.
Les dernières de plus en plus fort. Je mesure à cet instant que tante Magda est
une fesseuse exceptionnelle, elle a l’endurance, la vitesse, la technique et
l’expérience. Plus tard en aparté elle me confiera qu’elle donne chaque
week-end plus de 20 fessées, une sacrée bonne fesseuse.
Tante Magda me
reculotte et me conduit dans la cuisine ou nous attendent mes camarades Jean, Sara
et Marie ainsi que Miss Crumble et Miss Stick. Seule Miss Jane manque à
l’appel. Nous dinons en silence. Aucun des convives n’osent parler vu le
palmarès de fessées reçues depuis le début du séjour. Miss Jane arrive. Oh
surprise elle a changé de tenue et porte une robe à smoke et un chemisier blanc
qui ne la distingue pas de nos tenues d’écolier. Elle semble tout intimidée, un
silence de mort règne. Tante Magda se lève
« Approche Heater
Jane, car je dois dire ton prénom maintenant que tu ressembles à une petite
fille. J’ai téléphoné à Madame Leblanc, ton précédent employeur et quelle ne
fut pas ma surprise quand elle m’a dit qu’elle t’avait renvoyé pour avoir
manqué à ton rôle de nounou. Tu m’as menti quand tu m’as dit que tu étais
partie pour raisons personnelles. Je devrais te renvoyer mais comme je suis
compréhensive je veux bien te laisser une chance. Tu vas rejoindre les quatre
camarades et tu finiras le week-end sous ma coupe. Il est évident que tu perds tes
privilèges d’adulte et que je te considère désormais comme une petite fille,
d’où ta nouvelle tenue d’écolière modèle. Pas si modèle en fait. Il faut que je
te corrige pour ton mensonge »
Elle saisit la
pauvre Heather et lui relève la jupe qu’elle coince en la roulant contre son
buste révélant à tous sa petite culotte blanche et ses belles jambes profilées.
Heather est si honteuse de montrer ses dessous, elle réalise ce qui lui attend.
« Pardon
Madame VanRieskem »
une claque lui atterri sur la croupe
« Pour toi je
suis tante Magda compris jeune fille » en lui assenant deux autres claques sur
les cuisses.
« Ah ma
petite, tu continues à me provoquer et bien tu vas le regretter ! Tante Magda
va te donner une de ces fessées, tu vas t’en souvenir longtemps, tes fesses
vont te cuire longtemps mon cher enfant ! »
Elle pose sa jambe
en appui sur la chaise de cuisine légèrement en hauteur et l’attire penché vers
sa cuisse. Elle lui baisse promptement la culotte. Heather Jane réalise qu’elle
va payer cher son insolence. Nous allons assister à la fessée de Miss Jane,
elle qui nous a si souvent déculotté et corrigé est maintenant à notre place,
c’est une agréable surprise. C’est la position idéale pour tante Magda qui de par
sa stature n’a aucun mal à placer Heather en équilibre sur sa cuisse. Ses bras
tendus sont agrippés à la table, ses jambes battent dans le vide comme un
pantin. Faisant preuve d’une grande maîtrise tante Magda lui enroule le ventre
et l’emprisonne pour la maintenir en position, les fesses bien tendues et
offertes à la correction.
« Mes chers
enfants, tante Magda doit punir Heather qui en mentant prouve qu’elle mérite la
fessée déculottée devant vous »
Elle annonce la
bonne fessée, la fessée parentale exemplaire. Elle lève la main bien haute et
lui claque rapidement les fesses. Elle reçoit plusieurs séries de claques, par
dizaine, des claques de plus en plus fortes et rapides. Tante Magda a décidé de
faire un exemple donc elle s’applique à bien rougir le postérieur. C’est une
fessée disciplinaire elle doit faire mal. Elle fesse la petite Heather pendant
vingt minutes. Quelle correction et quelle endurance. Heather a beau pleurer et
demander pardon, tante Magda ne l’écoute pas et continue à lever sa main. Sa
fessée est retentissante, mémorables et très cuisante, dans le silence de la
cuisine, on entend les faibles gémissements de la fillette et le bruit
assourdissant des mains de tante Magda qui fesse, fesse et re fesse avec
énergie et rythme. On en est à 300 claques et la fessée continue, Heather a
beau supplier et demander pardon. Rien n'y fait quand Tante Magda fesse, elle
déculotte et elle fesse longtemps et avec une grande maîtrise. Elle ne s'arrête
que quand elle le juge nécessaire. Elle termine sa formidable fessée déculottée
par 30 claques retentissantes que nous devons compter en cœur « 1,2,
3…10…15…28,29 et 30 » Ah que tante Magda fesse fort, je me dis en mon for
intérieur. Tante Magda du haut de son 1,90 m fesse la pauvre Heather comme une
sale gamine, ce qui montre que Tante Magda a l’habitude de flanquer de bonnes
raclées aux enfants pas sages. La correction se termine, Heather finit au coin,
vu la couleur rouge tomate, elle va dormir sur le ventre. Tante Magda lui
remonte sa culotte et lui baisse la jupe.
« Tu as vraiment
mérité cette grosse fessée ma petite Heather ? »
« Oui ma tante,
j’ai les fesses toutes rouges, ça me brûle » (en sautillant sur place)
« Tu as eu ce que tu mérites, file dans
ta chambre, Miss Crimson vous la mettez en pyjama et n’hésitez pas lui donnée
la fessée si elle ne vous obéi pas »
« Oui Madame, viens
Heather que je m’occupe de toi, fillette »
"Il est
l’heure d’aller au dodo, tout le monde en pyjama, les dents, pipi et au lit ».
Nous montons en
silence et en vitesse dans la chambre. Quand nous arrivons Miss Crimson est en
train de flanquer une terrible fessée à la pauvre Heather qui n’a pas du obéir
assez vite. Cela nous conforte dans l’idée qu’il ne vaut mieux pas traîner si
on ne veut pas être le prochain. En cinq minutes nous avons lavé nos dents, fait
pipi et sommes en train de nous mettre en pyjama. Miss Crimson et Miss Stick
sont là pour surveiller nos moindres
faits et gestes et gare à celui ou celle qui traîne, quelques claques sur les
fesses vous remettent vite à l’œuvre. Nous sommes tous en pyjama, allongés sur
nos lits respectifs. Miss Crumbe a rajouté un lit d’appoint dans le coin des
filles pour Heather. Tante Magda arrive, elle porte une belle robe, une belle
pièce de soie et de broderie avec de la dentelle.
« Fessée du
matin câlin, fessée du soir bonsoir. Je ne vais pas tergiverser, ni reprendre
les nombreuses bêtises et fautes commises aujourd’hui mais il est clair que
vous méritez tous une bonne fessée pour votre comportement. Miss Crumble et
Miss Stick nous ne serons pas trop de trois pour corriger les petits derrières.
Mesdames à vos mains !»
Que dire de cette
fessée collective. Elle fut brève, intense et très cuisante. Pour ma part, j’ai
dégusté. J’ai reçu dans la foulée la fessée sur les genoux de Miss Crimson, la
fessée allongée sur le lit de Miss Stick et pour finir une formidable fessée de
tante Magda debout, sous son bras légèrement penché. Trois fessées déculottées
de suite avant d’aller au lit les fesses bien au chaud pendant que mes autres
camarades subissaient le même sort. Il me reste en mémoire l’image que dans mes
draps je me consolais en frottant mes fesses endolories en assistant à la
dernière fessée, celle de Jean allongé de tout son long sur les genoux de Miss
Crimson pendant que Sara avait la même position tête bèche en travers des
genoux de tante Magda. Deux fessées cul nu spectaculaires, claques en cadence,
à gauche, à droite, la main qui se lève et s’abat, les bustes qui font des
soubresauts après chaque claque et les pleurs des deux pauvres victimes.
« Bonne nuit mes petits
diables et diablesse, que cette fessée vous serve de leçon, Tante Magda vous
aime et vous pardonne, un câlin à chacun et dormez bien »
Le lendemain, le
week-end se termine, tante Magda nous raccompagne tous les quatre à la gare.
Dans la voiture nous plaisantons, nous sommes devenus amis ; nous
échangeons nos impressions ; tante Magda est d’humeur joviale, nous la
découvrons beaucoup plus chaleureuse et cool que nous le pensions. Assez à
l’aise pendant le trajet, nous continuons à nous titiller et quelques objets
volent à l’arrière du véhicule. Tante Magda nous demande de stopper nos
enfantillages quand soudain Marie crie
« Oh ça va c’est fini le week-end lâche nous
un peu la grappe ! »
Les pneus crissent,
tante Magda a brusquement pris la sortie d’autoroute. Elle freine fort et
arrête son 4*4. Elle se tourne vers Marie en lui lançant un regard sévère.
« Descend tout
de suite jeune fille, je vais t’apprendre la politesse »
« Oh non
pardon Madame, je ne voulais pas dire ça »
« Et pourtant
tu l’as dit, trop tard pour tes fesses mon enfant »
Tante Magda ne laisse pas le temps à Marie
de sortir de la voiture, elle l’empoigne, la soulevant de terre. Elle enroule
son bras sous son ventre et avec sa main droite lui baisse le pantalon à mi cuisse
puis vient le tour de sa petite culotte rose. De la voiture nous assistons à la
scène surréaliste, tante Magda qui porte la pauvre Marie qui se débat fesses
nues tentant d’échapper à la prise de sa correctrice.
« Le week-end n’est pas terminé et je
peux encore sévir, tu n’as pas encore récupéré ton statut d’adulte donc je vais
te corriger comme une sale gamine pour ton impertinence »
La fessée qui s’en suivit fut douloureuse
pour Marie. A son retour elle dut envoyer un mail pour s’excuser
Bonsoir
Madame ou devrais-je dire « Tante
Magda » au risque de me retrouver sur vos genoux.
Je suis partie de chez vous en étant insolente sur le chemin du retour. Vous
m’avez bien sermonné en me sortant de la voiture, j’ai eu bien honte et vous m’avez
flanqué une bonne fessée déculottée. J'ai les fesses encore rouges et me
souvient avec appréhension de mes multiples passages sur vos cuisses. Mes
fessées étaient toutes méritées et vous a bien fait, je ne vous tiens pas
rigueur et je vous prie de m’excusez pour mon comportement déplacé.
J'espère revenir bientôt pour un prochain week-end de recadrage.
Bises
Marie
PS : pour la petite
histoire sachez que suite au week-end Vincent et moi sommes en couple et que
nous aimerions revenir tous les deux
Quelques minutes plus tard Marie reçoit sa
réponse :
Bonsoir Marie, merci
pour ton mail. Tu es une jeune femme intelligente et charmante mais tu as
besoin qu’on te fixe un cadre pour ne pas dériver. J’ai aimé te fesser c'est
très plaisant et tu sais mériter les bonnes corrections.
J’avoue que je me
doutais un peu pour toi et Vincent, je vous ai souvent vu vous jeter des
regards complices (y compris pendant vos corrections respectives) cela me
plairait bien de vous accueillir de nouveau à la maison, je vous recevrais en
toute intimité c'est-à-dire si en travers de mes genoux !
A bientôt Madame
VanRieskem Le premier épisode ...
C'était la semaine dernière
Une autre fiction de Vincent :
A vos commentaires !
Qu'en pensez-vous ? Cela vous évoque d'autres situations ? Faites-nous en part !
Bonjour Vincent,
RépondreSupprimerExcellent récit. Ambiance très réaliste. On imagine bien la silhouette athlétique de la tante Magda et celle des autres personnages..
"Quatre bons petits diables" pourrait-on intituler le récit en paraphrasant le célèbre roman de la Comtesse de Ségur.
"Tante Magda" est aussi sévère que mam'e Gladys, figure emblématique des récits de notre ami Ramina. Elles formeraient un redoutable duo. Rires. Peter'.
quelle série de correction pour Vincent qui va jusqu'à espionner la belle Magda. La suite ?
RépondreSupprimerBonjour à tous,
RépondreSupprimerEt bien, il ne fait pas bon tomber entre les mains de Tante Magda ! Avec elle c'est le 14 juillet tous le jours, avec feux d'artifices de claques à volonté sur les paires de fesses désobéissantes! Unis vers l'uni, ni bleu, ni blanc... monochrome sur le rouge... écarlate. .
Ouawww quel cuisant Week End, avec des pics de chaleur féroces à faire fondre les culottes sur les derrières. Heureusement Tante Magda prend la précaution de fesser déculotté!
Aussi sévère que Mam's Gladys, dit Peter, à la différence que les fessées tombent de plus haut. A partir d'un bon mètre quatre vingt dix d'envergure, ça vous allonge de sacrées claquées!
Merci Vincent, le récit est vivement écrit sur un rythme aussi trépident que les fessées. Et Marie en redemande... nous aussi bien sûr. Même si à ce stade ça frise la gourmandise! Pas raisonnable avant les goinfreries de Noël .
Cordialement
Ramina.