samedi 15 décembre 2018

Axel en famille - chapitre 74


Florence poussa un gros soupir, puis elle cessa de pleurer. Elle n’émettait plus qu’un reniflement désagréable de temps en temps. Tatie Nathalie l’écarta de son épaule, sortit un mouchoir de sa poche et présenta devant le nez de la jeune femme.
« Souffle, ordonna-t-elle ! »
Florence obéit. Tatie Nathalie moucha l’autre narine, puis elle souleva le menton de la jeune femme qu’elle avait sur les genoux.
« Il reste encore une chose importante à faire avant que cette punition soit définitivement de la vieille histoire. Que doit faire une petite fille, et même une grande, après s’être aussi mal comportée que toi et après en avoir été punie ? »
Florence ne savait pas quoi répondre. Son regard fit le tour des personnes qui l’entouraient, cherchant un indice. Tatie Nathalie vint à son secours. Elle souleva un peu la jeune femme, laissant un espace pour atteindre le centre de ses fesses.
« Une … jeune … fille … qui … a été … punie … de son … insolence … doit … demander … pardon… »
A chaque mot, Tatie Nathalie donnait une petite claque sur les fesses qu’elle venait de dégager.
« Allons ! C’est le moment ! »
Florence voulut se nicher de nouveau sur l’épaule de Tatie Nathalie, mais celle-ci la repoussa.
« Non, non, non, non ! Je veux que tout le monde entende ! »
Florence soupira,
« Je vous demande pardon, Tatie Nathalie, pour avoir été insolente ce matin. »
Florence baissa la tête, ce que Tatie Nathalie ne lui laissa pas faire. Elle prit le menton de la jeune femme et le releva afin que Florence la regardât droit dans les yeux.
« Recommenceras-tu ?
– Oh non, plus jamais !
– C’est donc que la fessée t’a fait du bien !
– Oh, je …
– Alors, j’attends !
– Oui, Tatie Nathalie !
– C’est bien mon avis. Sois bien certaine qu’il y en aura d’autres, car tu en auras encore besoin plus d’une fois, n’est-ce pas ?
– Oui, Tatie Nathalie. »
Il n’y avait plus rien de l’arrogance de la jeune femme quand elle était arrivée chez Tatie Nathalie la veille au soir. Les trois fessées reçues dans la journée, s’ajoutant aux deux d’hier, l’avaient totalement transformée. C’était maintenant une petite fille qui cherchait l’approbation des adultes.
« Bon, je te pardonne ! La prochaine fois je ne serai pas aussi indulgente. »
Florence émit un petit gémissement. Elle n’avait probablement pas remarqué la clémence de Tatie Nathalie. Elle se demandait, au contraire, comment elle aurait pu recevoir une punition plus sévère. Sur ce point, elle avait tort. Tatie Nathalie pouvait donner des fessées bien pires que celle qu’elle avait reçue.
Florence se colla de nouveau contre la poitrine de Tatie Nathalie et nicha son visage au creux de son épaule. Tatie Nathalie la laissa là quelques instants, le temps d’une caresse sur les fesses.
« Il faut que tu me montres tes fesses. Il me semble qu’elles doivent avoir des marques en plus d’un endroit. La brosse est assez redoutable de ce côté-là. Laisse-moi faire ! »
C’était une recommandation inutile. Florence n’avait aucune envie de s’opposer à la volonté de Tatie Nathalie. Elle sentit qu’un bras entourait sa taille, tandis qu’un autre se glissait en ses jambes et une main se poser sur son ventre. Tatie Nathalie la souleva et la coucha à plat ventre en travers de ses genoux. Elle releva la jupe et put contempler son œuvre.
« Incontestablement, c’est une belle fessée que tu as reçue. Je vois sans difficulté la forme de la brosse dessinée sur tes fesses à plusieurs endroits. Une bonne fessée, exactement comme il t’en fallait une ! »
Tatie Nathalie appuyait avec son pouce là où les marques de la brosse étaient les plus sombres. A chaque fois, Florence émettait un bruit de succion et elle crispait ses fesses montrant que la sensibilité de la peau de son postérieur était loin d’avoir disparu.
« Il va falloir faire quelque chose. Autrement, si je laisse les choses en état et que tu as besoin d’une fessée demain, je ne pourrais pas te la donner. Tes fesses ne le supporteront pas. Nous allons, encore une fois, utiliser le remède des Sœurs de St Marie. Julie, peux-tu me le rapporter ? »
Sur les fesses de Florence, Tatie Nathalie répandit une petite couche de la pommade dont j’avais appris à connaître l’efficacité. Elle s’appliqua à en recouvrir toutes les fesses de la jeune femme étendue sur ses genoux. Puis, elle entreprit un massage en douceur, insistant jusqu’à ce que le produit pénètre dans la peau.
Quand ses doigts passaient entre les cuisses de Florence, elle effleurait les lèvres du vagin, ce que la jeune femme signala, la première fois, par un geste un peu brusque.
« Sage, lui intima Tatie Nathalie. »
Florence se le tint pour dit et les autres passages de la main de Tatie Nathalie près de sa vulve, à la toucher, ne provoquèrent aucune réaction. Le massage se poursuivit.
« Comme Axel, tu vas attendre que le produit ait séché. Tu ne bouges pas ! »
Le massage se transforma en une lente caresse distraite pendant que Tatie Nathalie se lassait accaparer par l’émission de télévision. Florence, le haut du buste posé sur le canapé, trouva une position qui lui convenait. Elle posa sa joue sur un coussin et ses doigts jouaient avec ses cheveux, les entortillant autour de son index, puis les déroulant en tirant jusqu’au bout de la mèche. Enfin, elle ferma les yeux et on aurait pu la croire endormie, s’il n’y avait eu ce mouvement machinal de son doigt dans ses cheveux.

« Il est temps d’aller se coucher. »
Il n’y avait pas de discussion possible, il n’y en eut pas.
« Mamie, veux-tu te charger de mettre Julie et Axel au lit ? Je vais m’occuper des enfants de la maison d’en face. »
D’une petite claque sur les fesses, Tatie Nathalie ordonna à Florence de se lever. Elle s’empara de la culotte de la jeune femme.
« Allons, jeune fille, je te ramène chez toi ! Je prends la pommade, je risque d’en avaoir besoin. »
Florence fit deux ou trois pas vers la sortie, puis elle s’arrêta.
« Je … je … ma … ma culotte, il faut que je la mette !
– Tu n’en as pas besoin juste pour traverser la rue.
– Mais je, … je ne peux pas …
– Tu ne peux pas quoi ? Tu vas rentrer chez toi les fesses nues sous ta jupe. Qu’est-ce que c’est que ce nouveau caprice ? Encore une désobéissance ? Es-tu disposée à obéir ? Si tu préfères, je peux t’ôter la jupe, te mettre une fessée sur le trottoir et te faire traverser la rue comme cela. »
Tatie Nathalie souleva la jupe de Florence, puis elle lui donna une bonne claque sur chaque fesse.
« En route ! »
Florence ne trouva plus rien à dire, ce qui était préférable.
« Les enfants, vous allez faire pipi. »
Je lorgnais vers ma culotte de pyjama, mais Mamie s’en saisit et la posa en travers de son avant-bras. Elle surprit mon regard.
« Je te la mettrai après que tu sois passé aux toilettes. File ! »
C’est cul nu que je montais les escaliers. L’heure n’était pas aux protestations.


Les fesses nues pour aller se coucher



Dans la maison d’en face, l’arrivée de Tatie Nathalie fit monter la tension. Chacun s’efforçait d’identifier ce qui pourrait lui valoir une fessée afin d’éviter de recevoir une correction avant de se coucher. Tatie Nathalie bénéficiait d’une écoute très attentive des quatre membres de la famille Moreau.
«  Les trois enfants, allez chercher votre pyjama. Jeanne et moi, nous vous attendons ici ! »
Ils se regardèrent tous les quatre. Jeanne ne comprenait pas plus que les autres ce que Tatie Nathalie avait planifié. Leur hésitation fut à peine visible avant que Florence, la première, ne prenne la direction de sa chambre. Anthony et Raoul lui emboîtèrent le pas.
Florence ramena une chemise de nuit que Mamie lui prit des mains, puis elle lui ôta sa robe, ses bas et enfin son soutien –gorge. Florence était nue dans le milieu de la pièce quand son père et son frère revinrent. Elle esquissa le geste de se couvrir mais Tatie Nathalie ne lui en laissa pas le loisir.
« Lève tes bras que je te passe ta chemise de nuit ! »
Dès que le vêtement fut passé, chacun put se rendre compte que cela n’allait pas. C’était plus une nuisette qu’une chemise de nuit. Elle ne descendait qu’au ras des fesses et le tissu en dentelle très ajourée laissait voir les mamelons des seins. Tatie Nathalie recula d’un pas. Elle contempla Florence qui ne savait plus comment se comporter.
« Jeanne, viens-ici. Que penses-tu de cette chemise de nuit ?
– Je ne sais pas. Elle est trop … osée, peut-être ? »
Jeanne n’avait pas encore appris à identifier du premier coup les signaux de mécontentement qu’envoyait Tatie Nathalie. Elle aurait dû être plus attentive au ton et à la mine fermée de son autoritaire voisine qui souleva sa robe et lui administra une volée de claque sur le fond de la culotte.
« Et c’est tout ce que tu trouves à dire ! Trop osée ! C’est une tenue provocante et je ne veux plus que tu laisses tes enfants s’attifer de bouts de chiffons qui ne cachent absolument rien de leur corps. Dès demain, tu vas faire le tri dans les affaires de cette demoiselle et te débarrasser de tout ce qui n’est pas mettable ! »
Elle se tourna vers Florence et repassa la nuisette par-dessus sa tête. Puis, elle claqua les fesses nues parfaitement disposées pour ce faire.
« Quant à toi, je ne veux plus te voir dans de telles tenues. La prochaine fois, ce sera une réelle fessée. »
Florence n’osa par répliquer, mais bien que n’ayant reçu qu’une « fausse » fessée, elle finissait avec la marque de la main de Tatie Nathalie sur les fesses.
« Va me chercher un pyjama correct ! »
Florence ne demanda pas son reste. Elle disparut de la pièce en un clin d’œil. Tatie Nathalie haussa les épaule en un court geste d’exaspération. Puis, elle se tourna vers les garçons.
« Jeanne, tu vas mettre en pyjama l’un des garçons et moi l’autre. Lequel choisis-tu ? »
Jeanne la regarda, bouche ouverte, sans répondre.
« Jeanne, te faut-il une fessée pour obéir ?
– Non, non, mais je ne sais pas …
– Jeanne ! »
La voix de Tatie Nathalie était descendue d’un ton. Elle était maintenant menaçante.
« Anthony, je prends Anthony !
« Tu as entendu, Anthony, va voir ta Maman qu’elle te mette en pyjama. Raoul, viens-ici ! »
Les garçons n’hésitèrent pas. Le souvenir de la ceinture sur leurs fesses était encore bien trop présent.
« Jeanne, si, quand j’aurai fini de déshabiller Raoul, tu es très en retard avec Anthony, je considérerai que tu y mets de la mauvaise volonté. Alors ce sera la fessée ! As-tu bien compris ?
– Oui, Tatie Nathalie.
– C’est bon, allons-y ! »
Jeanne réussit à déshabiller Anthony aussi vite que Tatie Nathalie qui avait pris son temps.
« Quand tu mets un enfant en pyjama, tu en profites pour examiner s’il n’y a pas quelque bobo qu’il faudrait soigner. Regarde bien là où les irritations se cachent souvent : entre les doigts de pied … sous les aisselles … l’aine … l’intérieur des cuisses … bref tous les endroits un peu cachés. »
A chaque fois qu’elle évoquait une partie du corps, elle montrait à Jeanne où il fallait regarder en soulevant le bras de Raoul ou en lui écartant les jambes. Elle attendait que Jeanne ait effectué le même geste qu’elle pour passer au suivant.
« Bien évidemment, tu jettes un œil à l’état des fesses, surtout si tu as donné la fessée dans la journée. »
Elle tourna les fesses de Raoul vers la lumière venant de l’applique.
« Regarde, ce sont les traces laissées par la ceinture. »
Elle suivait, de son doigt posé sur les fesses de Raoul, des marques sombres qui tournaient, à leur bord, au violet.
« Je suis sûre qu’elles sont encore sensibles. »
Tatie Nathalie appuya un peu plus fort et Raoul émit un petit gémissement.
« Je parie que pour Raoul comme pour Anthony la position assise commençaient à être pénible. Si on ne faire rien, elle le sera encore plus demain. Vérifie la sensibilité des fesses d’Anthony ! »
Jeanna passa son doigt sur les fesses d’Anthony et le garçon réagit de la même façon que venait de la faire son père.
« Je laisserai bien les choses suivre leur cours. Il y en aurait pour deux ou trois jours avant que disparaisse la douleur. Mais, d’ici là, il serait difficile de les fesser de nouveau sans provoquer un traumatisme durable. Si j’en juge par leur comportement d’aujourd’hui, je suis quasi certaine que dès demain, ils auront besoin de nouvelles fessées, Ce serait dommage de les en priver. Il suffit de voir comment ils sont, tous les deux, devenus obéissants. N’est-ce pas mon garçon ? »
L’obéissance des deux adultes dénudés, debout devant ces deux femmes et les laissant manipuler leurs fesses à leur guise comme s’ils avaient été des petits garçons, ne faisait aucun doute. Raoul avait d’ailleurs parfaitement compris que suite à une question directe, il fallait répondre, sauf à commettre une impolitesse.
« Oui, Tatie Nathalie. »
Une journée de discipline cornaquée par Tatie Nathalie avait suffi pour qu’il accepte le rapport d’autorité qu’elle imposait, y compris quand cela lui promettait d’autres fessées.
« Nous allons donc prendre soin de ces petits désagréments. Je me suis déjà occupé des fesses de Florence, une pause dose de pommade sur celles de ces deux garçons et ils seront prêts à se mettre au lit. Mais auparavant, passons-leur le haut de leur pyjama. Le bas attendra. »
Tenu par la main, Raoul dut suivre Tatie Nathalie vers le canapé. Jeanne se dépêcha d’imiter sa voisine. Elle avait compris ce qu’il lui coûterait d’être, encore une fois, taxée de négligence. Les deux garçons se retrouvèrent à plat ventre sur les genoux féminins. Tatie Nathalie laissa couler de la crème sur les fesses de Raoul, puis passa le flacon à sa voisine. Jeanne en fit autant sur le postérieur de son fils.


a plat-ventre sur les genoux


Au contact du liquide visqueux et froid, puis des mains qui l’étalaient, Raoul et Anthony eurent tous deux un petit moment où ils se contractèrent, puis, la caresse aidant, ils relâchèrent leurs muscles et laissèrent la pommade produire son effet apaisant.
Florence était revenue. Elle tenait à la main son pyjama, bouchonné contre sa poitrine. Elle attendait, dans la tenue d’Eve, que l’on veuille bien s’occuper d’elle.
« Il reste de la crème juste dans le pli de l’aine. Etale-la bien ! »
Tatie Nathalie surveillait étroitement que Jeanne fasse correctement son travail. Finalement, elle fut satisfaite de son travail.
« C’est bon, les garçons, vous êtes prêts pour la nuit ! Jeanne, tu vérifieras demain matin s’il faut une nouvelle application de ce baume. »
Elle tapota doucement les fesses qu’elle avait sous la main.
« Les garçons, nous allons laisser ces fesses sécher à l’air libre. Nous vous mettrons votre culotte de pyjama juste avant de vous coucher. Jeanne, tu mets Florence en pyjama. Anthony, lève-toi ! »
Tout le monde avait maintenant pris l’habitude d’obéir aux consignes de Tatie Nathalie. Cela ne se discutait plus. Vêtu seulement de son haut de pyjama, Anthony ne savait pas quoi faire de ses mains. Il savait qu’il n’avait pas l’autorisation de dissimuler ses organes génitaux. Il cherchait à croiser les regards des femmes qui l’entouraient, mais il dut se rendre à l’évidence. Ses attributs sexuels n’intéressaient personne.
Pendant ce temps-là Jeanne avait mis Florence en pyjama. Les nouvelles tâches qu’elle avait à faire impliquaient un contact intime avec le corps de ses enfants et de son mari. Cela la mettait mal à l’aise, mais Tatie Nathalie ne lui laissait pas le choix. Elle s’efforçait donc de s’exécuter, mais le plus rapidement possible et avec le moins possible de contact avec la peau nue des personnes dont elle devait s’occuper. Cela ne pouvait satisfaire Tatie Nathalie.
« Jeanne, je crois que tu n’as pas fait les vérifications d’usage avant de mettre le pyjama. Tu recommences et nous en reparlerons une fois les enfants mis au lit. »
Jeanne pâlit mais elle baissa la culotte de pyjama de Florence et, après une courte hésitation, elle passa ses doigts sur les fesses de la jeune femme.
« Je me suis déjà occupée de pommader les fesses de Florence. C’est donc inutile de vérifier l’état de ses fesses. Je pensais plutôt à une inspection pour vérifier qu’il n’y a pas de boutons suspects sur la peau. »
Jeanne posa sa main sur le haut de la cuisse de sa fille, puis elle poursuivit son geste jusque dans sa toison pubienne. Florence émit un petit cri de surprise, mais elle se laissa faire. Jeanne inséra sa main dans le pli de l’aine de sa fille qui serra les jambes.
« Oh, fit Jeanne en retirant sa main. »
Elle resta les bras ballants sans oser insister. Cela eut le don d’horripiler Tatie Nathalie.
« Jeanne, tu lui mets une fessée et tu finis ton inspections ! »
Jeanne hésita. Elle regarda sa fille, puis, comme en se résignant, elle lui claqua les fesses une bonne dizaine de fois.
« Ecarte tes jambes ! »
Florence fit ce qu’on lui demandait. Jeanne glissa sa main entre les cuisses de sa fille, éprouvant de ses doigts la texture de la peau. Elle insista, afin de bien montrer qu’elle faisait son travail consciencieusement.
« Il n’y a rien, conclut-elle.
« Reculotte-la, alors et nous allons coucher tout ce petit monde. Debout Raoul ! »

C’était une étrange procession qui monta l’escalier. Florence venait en tête. Elle était suivie par Jeanne qui portait une culotte de pyjama sur son avant-bras. Les deux garçons suivaient, les fesses nues encore luisantes de la crème dont elles avaient été enduites. Tatie Nathalie fermait la marche, portant le deuxième bas de pyjama qui manquait aux garçons.
« Jeanne, c’est toi qui les couches tous les trois ! »
Cette consigne ne signifiait pas que Tatie Nathalie se désintéressait de ce qui se passait. Au contraire ! Elle indiquait pas à pas à Jeanne ce qu’elle attendait d’elle : superviser le passage aux toilette, vérifier la propreté des fesses à l’issue des mictions, enfiler les pantalons de pyjama aux deux garçons, mettre chacun dans son lit, un bisou de bonne nuit et éteindre la lumière. Ce coucher se déroula à merveille. Chaque enfant obéissait avec diligence. Il régna rapidement le calme nécessaire pour dormir. La dernière menace proférée par Jeanne, sous l’injonction de Tatie Nathalie, n’y était pas pour rien. Chacun savait que s’il faisait autre chose que dormir, ce serait la fessée.

Avec un dessin original de Peter Pan.


Grand merci pour cette illustration qui agrémente le récit.

Pour suivre le fil de cette histoire :

Comprendre le contexte : l'introduction

Le premier épisode : chapitre 1

L'épisode précédent : chapitre 73
Le prochain épisode ... c'est le chapitre 75
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5 commentaires:

  1. Et voilà! Contrôle technique des ponts arrière trop souvent sollicités!
    Après la vigilance sur les comportements avec les fessées qui vont avec, ces dames, prévoyantes appliquent le principe de précaution. On pointe du doigt les zones sensibles et on entretien soigneusement les fessiers, champs d'application des corrections pour une meilleure utilisation lors des séances à venir.
    " Corriger c'est prévoir" et " Qui prend soin, châtie bien !"
    ( Proverbes anglais d'auteur inconnu du 6è siècle)
    Et puis à défaut de pommade, on peut aussi huiler le derrière. C'est bien connu, la cuisson à l'huile est une des meilleures.
    Ramina.

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    1. Bonjour Ramina,

      J'apporte ma modeste pierre à l'édifice. Rires.
      Vous connaissez certainement cette expression de nos voisins d'Outre-Manche: "Une pomme chaque matin éloigne le médecin".
      Alors "Mangez des pommes !".
      Peter'.

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  2. Bonjour Messieurs,

    Petit détail : j'ai esquissé les bas résilles de Jeaaaanne.
    On peut être maman et n'en pas moins être une femme soucieuse de son élégance. En toutes circonstances.
    Peter'.

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  3. Ramina,
    Quelle culture ! Je suis impressionné ! Il est capable de citer les dits d'un auteur anglais dont l'Histoire (vous aurez noté le H majuscule) a oublié le nom.
    Quant au conseil en diététique, je ne suis pas certain que Ramina fasse autorité en la matière, mais soyons indulgent.
    Si vos commentaires n'existaient pas, Ramina, il faudrait les inventer.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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  4. Merci, Sir... je profite de l'espace d'expression que vous avez ouvert. En espérant qu'un plus grand nombre en saisisse aussi l'occasion.
    Ramina.

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