Elle
entama la fessée et Tatie Jacqueline la suivit. Ce fut Thobias qui reçut la
correction la plus sévère. Tatie Jacqueline en avait fini depuis longtemps et
elle avait reculotté Dorothée quand Léa cessa de rougir le postérieur de
Thobias.
« Tu
vas aller présenter tes excuses à la dame envers laquelle tu as été impoli et
insolent. »
Thobias
n’eut pas vraiment le temps de saisir sa culotte pour la remonter avant qu’il
fût arrêté par Léa.
« Non,
non ! Tu y vas comme cela ! La culotte baissée »
Un
regard à droite, un autre à gauche … il n’y avait pas d’échappatoire possible.
Tout le monde le regardait. La tentation était forte de cacher ses organes
génitaux, mais c’était absolument interdit. Léa voulait, dans ces moments,
qu’il se sente comme un petit garçon puni ? Il devait avancer sous le
regard de toutes ces personnes. S’il ne le faisait pas, il savait que cela se
terminerait par une nouvelle fessée. Elle serait inévitable, il n’y tenait pas.
« Je
m’excuse, Madame. »
Il
ne s’attendait pas à la claque sur les fesses que lui donna Tatie Jacqueline.
« Ce
n’est pas comme cela qu’on doit dire. Présente tes excuses et je verrai si je
les accepte.
–
Je… je vous présente mes excuses, Madame.
–
C’est bien mieux ! Est-ce que tu recommenceras ?
–
Non Madame, plus jamais !
–
C’est préférable pour toi. J’aurais dû te donner cette fessée
moi-même ! »
Saisissant
Thobias par le bras, elle le rapprocha d’elle et elle le plaça de profil. De sa
main elle claque les fesses à sa disposition.
« Ce
n’est qu’un aperçu que ce qui se passera la prochaine fois que je te prends à
faire une bêtise ou à être insolent envers quiconque. Je te donnerai une
véritable fessée. Est-ce bien compris ?
–
Oui Madame.
–
Retourne voir Léa ! »
Cette
démonstration d’autorité gagna nombre de personnes à la cause des punitions
publiques. Les mésaventures de Thobias firent le tour de la ville et ceux qui
avaient envie de le défendre se firent discrets tant la vague de soutien à Léa
et à Tatie Jacqueline fut forte. Leur sort fut scellé deux jours plus tard.
J’avais
été mis en retenue pour recommencer un travail bâclé. Je rentrais donc à la
maison avec la certitude d’y recevoir une fessée. Je n’étais pas d’humeur à
musarder, mais je fus tout de même attiré par un petit attroupement qui s’était
fait sur le trottoir.
Une
jeune femme d’une trentaine d’années se tenait debout. Des larmes coulaient sur
ses joues et des sanglots soulevaient sa poitrine. Elle tenait sa jupe relevée
au-dessus de sa taille et sa culotte pendait entre ses jambes, un peu
en-dessous de ses genoux. Ses fesses étaient rouges. Elle avait reçu une
fessée.
Tout
à côté, on achevait de déculotter un garçon.
« Non,
Maman, non, s'il te plait, pas ici, s'il te plait, pas ici ! »
Il
était emprisonné sous le bras d’une femme que je reconnus dans l’instant.
C’était Madame Gorevski. Elle achevait de lui baisser le pantalon, quand une
voix féminine couvrit le léger brouhaha qui émanait de l’assistance.
« Espèce
de harpie ! Vous n’avez pas le droit de faire ça ! »
Dans
un premier temps, Madame Gorevski ne fit pas attention. Elle était concentrée
sur sa tâche. Elle baissa la culotte de son garçon. Elle s’apprêtait à
commencer la fessée quand on s’accrocha à son bras.
« Arrêtez,
cria la femme d’une voix aigüe. Ça suffit toutes ces fessées ! »
Elle
n’avait pas plus de trente ans, autant qu’on puisse en juger. On voyait à sa
tenue qu’elle n’y portait qu’un soin relatif. Deux grosses tâches sur le devant
du chemisier en témoignaient. Sa coiffure était approximative. Ses cheveux
semblaient un peu gras. Elle semblait désespérée par la situation qu’elle avait
sous les yeux. Madame Gorevski dont le bras était tenu la regarda.
« Mais
qu’est-ce que c’est ?
–
Non, non, s'il vous plait. »
Il
ne fallut pas plus de temps pour qu’elle se ressaisisse.
« Il
n’y a donc personne ici pour me débarrasser de cette furie ? »
A
croire que plusieurs personnes dans l’assistance n’attendaient que cette
invitation à intervenir. Quatre femmes se saisirent de l’importune et elles
l’entraînaient en arrière.
« Non !
Attendez ! »
C’était
Madame Gorevski.
« Gardez-la-moi !
Je veux lui faire passer l’envie d’interrompre une fessée ! »
La
femme bouscula les deux personnes qui lui tenaient les bras, elle ne put faire
qu’un pas avant de tomber dans les bras de deux autres femmes qui la
ceinturèrent. Ce furent alors trois autres matrones qui lui saisirent les bras.
Elles les retournèrent dans le dos de la fuyarde qui fut obligée de tomber à
genoux pour amortir la douleur dans son épaule.
L’une
des femmes qui avait retenu la fuyarde lui releva le menton.
« Eh,
mais je te connais, toi ! Nous étions ensemble au lycée ! Dis donc,
tu as bien changé ! »
Elle
avait peine à reconnaitre, en cette femme que son habillement n’avantageait
pas, mais elle avait été tellement courtisée par tous les garçons, surtout en
classe de terminale, que son visage ne s’oubliait pas si facilement. Il aurait
fallu qu’elle bénéficie d’une douche et de vêtements propres pour savoir ce qui
restait de sa beauté.
« Ludivine
Gérard ! Comme tu as changé ! »
Interpellée
par son nom, elle regarda celle qui l’avait reconnue.
« Oh
non, Laura Marchand ! »
Les
deux filles avaient souvent été en concurrence auprès des garçons. Ludivine
avait remporté toutes les manches. Elle avait alors montré beaucoup de mépris
envers sa rivale malheureuse qui avait dû en rabattre beaucoup face aux
moqueries générales. Tout le monde s’était mis du côté de la gagnante et Laura
s’était retrouvée souvent seule.
« Dis-moi,
tu as connu des jours meilleurs. Une bonne douche et des vêtements propres te
feraient du bien. »
Ludivine
baissa la tête. Elle savait que Laura avait raison et elle avait envie d’accepter
sa proposition. Ces dernières semaines avaient été difficiles et elle avait
découvert combien il était difficile de vivre décemment dans domicile fixe.
Laura perçut cette lueur d’espoir dans les yeux de son ancienne rivale.
Madame
Gorevski, maintenant que sa contradictrice était neutralisée, reprenait la
direction des opérations.
« Tenez-la
bien ! Dès que j’en ai fini avec Igor, je lui administre la fessée de sa
vie ! »
Ludivine,
les bras tordus dans le dos par deux femmes à qui elle rendait une bonne
dizaine de kilos, ne risquait plus de bouger. Elle y avait renoncé. Laura
s’accroupit devant elle.
« Une
bonne douche, des vêtements propres et un lit pour la nuit, ça te
dit ? »
Ludivine
n’en pouvait plus de cette vie d’errance sans but. Elle ne savait plus où aller
depuis qu’elle avait été expulsée de son logement. C’était il y a deux mois. Elle
n’avait pas pris de douche depuis et elle portait toujours les mêmes vêtements.
Elle regarda Laura. Celle-ci avait toujours eu la réputation de tenir ce
qu’elle promettait. Ludivine se raccrocha à cet espoir inattendu.
« Oh
oui, s'il te plait !
–
Bon, c’est d’accord. A condition que tu sois sage et obéissante. »
Ludivine
ouvrit de grands yeux. De quoi s’agissait-il ?
« Tu
dois avoir une fessée. C’est moi qui vais te la donner. Elle va être sévère,
mais tu me laisseras te punir jusqu'au bout. Si c’est le cas, je te ramène chez
moi et tu auras tout ce que je t’ai promis. Tu pourras y rester tant que tu
m’obéiras. »
Une
fessée contre une nuit de vrai repos dans de vrais draps d’un vrai lit. Se
sentir de nouveau propre ! Elle avait l’impression qu’elle avait touché le
gros lot. Une fessée en contrepartie, c’était peu de chose.
« Oui,
je suis d’accord. Je serai sage et je t’obéirai. »
Laura
se redressa. Elle regarda la jeune femme agenouillée à ses pieds. Elle savait
qu’elle tenait sa revanche sur la jeune fille imbue d’elle-même que Ludivine
avait été. Elle allait lui apprendre l’humilité. Mais en même temps, elle lui
faisait pitié. Elle semblait avoir vécu des moments difficiles et Laura se
promit qu’elle lui offrirait un refuge, le temps de reprendre pied. Pour cela,
elle avait une tâche à faire.
« C’est
moi qui vais fesser Ludivine. Je la prends sous ma responsabilité. »
Personne
ne protesta.
« Comme
vous voulez, conforma Madame Gorevski. Du moment où elle reçoit ce qu’elle a
mérité. »
Le
petit arbuste buissonnant qui poussait dans l’angle de la place ferait
l’affaire. Il n’avait pas encore de feuille et Laura voyait quelques fines
branches bien droites qui convenaient à l’usage qu’elle voulait en faire. Elle
en cassa une. Elle fit siffler la badine dans l’air pour en éprouver la
souplesse. Exactement ce qu’il fallait.
Elle
s’assit sur le banc le plus proche de l’endroit où Ludivine attendait de subir
sa punition.
« Ludivine !
–
Oui Laura ?
–
Les dames qui te tiennent vont te libérer. Toute seule, tu vas venir ici pour y
recevoir ta fessée. Tu as bien compris que si tu veux avoir tout ce que je t’ai
promis, c’est à condition que tu acceptes d’être punie ?
–
Oui Laura.
–
Si tu tentes quoi que ce soit pour t’enfuir, nous te rattraperons, tu auras
alors ta fessée, mais ma proposition ne tient plus. Viens ici ! »
Les
deux femmes qui tenaient les bras de Ludivine la relâchèrent. Lentement
Ludivine se releva. Elle regarda autour d’elle. Il avait au moins cinq ou six
personnes prêtes à fondre sur elle si elle faisait mine de chercher à fuir.
Elle n’en avait pas l’intention.
Elle
regarda Laura qui tapota sur ses genoux. C’était une invitation à venir s’y
allonger. Ludivine avait peu de la correction que lui préparait Laura. Elle
avait vu la baguette dont Laura s’était munie et il n’était pas difficile d’en
imaginer l’usage. L’attrait de la récompense qui suivrait sa punition était la plus
forte. Elle avait confiance en Laura. Elle marcha vers elle.
Sans
aucune cérémonie, comme si c’était un geste banal, Laura passa ses mains sous
la jupe de Ludivine et elle baissa la culotte. Ludivine grimaça. Elle serra les
jambes, mais c’était trop tard, sa culotte était déjà à mi-cuisses. Laura
souleva le bord de la jupe et donna une claque sur la cuisse nue à sa portée.
« Pas
de ça Ludivine, je veux que tu me laisse faire »
Ludivine
sentait un léger échauffement, là où la main de Laura avait porté. Il faudrait
en supporter bien plus. Elle écarta insensiblement les cuisses. Laura baissa sa
culotte sur ses mollets.
« Mets-toi
à genoux, là ! »
Laura
lui désignait le sol entre ses pieds. Entre les jambes écartées juste assez
pour qu’elle s’y glisse, c’était une petite niche qui lui avait été préparée.
Quand elle y eut pris place, Laura pesa sur sa nuque, lui indiquant de se
courber sur la cuisse gauche. Laura fit passer les deux bras de Ludivine en
avant. Alors elle se pencha, souleva l’arrière de la jupe et Ludivine sentit un
petit souffle d’air frais qui caressait ses
fesses. Elle frissonna. C’était le moment où son intimité devait être
exposée à tous les spectateurs. Ludivine serra les dents. Ce n’était pas aussi
simple qu’elle l’avait pensé. Elle songea à la douche qui l’attendait. Elle ne
voyait plus ce que Laura faisait. Tout se passait désormais dans son dos. Il
fallait laisser Laura la positionner à sa guise.
Ce
fut un réflexe malheureux que Ludivine ne put contrôler. Quand elle sentit une
main se glisser entre ses jambes, elle resserra ses cuisses, aussi fort qu’elle
le pouvait. Cet attouchement était tellement intrusif ! A part dans
l’intimité de relations sexuelles, personne depuis sa mère, mais cela faisait
si longtemps, n’avait touché cette zone intime et certainement pas dans un lieu
public en présence de tant de gens.
La
réaction de Laura ne tarda pas. Elle releva un peu plus la jupe, la rabattant
dans le dos de Ludivine qui sentit qu’on l’immobilisait sur la cuisse sur
laquelle elle était à moitié courbée. La première claque la surprit, la
laissant sans voix. La deuxième lui arracha un cri. Elle ne put les retenir à
chaque fois que la main de Laura claquait ses fesses. Elle n’avait jamais pensé
qu’une fessée puisse être aussi douloureuse. Heureusement, l’avalanche de
claques prit rapidement fin.
« Vas-tu
me laisser faire, petite effrontée désobéissante ? »
Sans
attendre la réponse, la main de Laura se glissa de nouveau entre ses cuisses.
Elle ne résista qu’une fraction de seconde avant de la laisser se glisser dans
son entrejambe. Cette première fessée avait suffi. Elle maîtrisa sa réaction
instinctive. Inutile d’aggraver son cas en montrant une vaine résistance.
Laura
remonta Ludivine sur sa cuisse, l’obligeant à basculer en avant, la tête pendant
dans le vide. Les fesses nues, juchées sur le haut de la cuisse de Laura,
étaient maintenant le point prééminent du corps de Ludivine. Elle fut plaquée
contre le flanc de son ancienne condisciple par un bras qui entourait sa taille.
Son bras gauche était passé derrière le dos de Laura. Il ne pouvait plus servir
à rien pour protéger ses fesses si l’envie lui en prenait. Le bras de Laura se
posa sur son dos. Elle se sentait immobilisée. Elle n’était plus certaine de
pouvoir se libérer s’il le fallait.
Ses
sensations changèrent du tout au tout dès que la fessée commença. La
préoccupation de sa nudité en public disparut en un instant. Tout ce qui
l’entourait s’évanouit. Elle ne sentait plus les regards posées sur son
intimité, seule la cuisson qui embrasait ses fesses avait encore une réalité.
Encore une claque, encore une brûlure. Une autre. Encore… et encore… Elle
perdit le compte du nombre de fois où la main de Laura vint en rajouter au
brasier de ses fesses.
Sans
le vouloir, elle tentait d’éviter la main de Laura. Elle ne pouvait pas la voir
arriver, même en tordant son cou au maximum de ce qu’elle pouvait. Le bras de
Laura l’en empêchait. Elle basculait son bassin de droite à gauche, après
chaque fessée, sans qu’il change vraiment de place, coincé entre les deux
cuisses de sa correctrice. Elle prit conscience que ses pieds battaient inutilement
dans le vide.
La
main de Laura claqua sur la peau, jusque-là épargnée, à la jonction des fesses
et des cuisses. Le hurlement qui suivit était un réel cri de désespoir. Quand
Laura recommença de l’autre côté, la main de Ludivine vint s’interposer.
« Non,
arrête ! Ça suffit ! »
A
son grand soulagement la fessée s’arrêta.
« Comment
oses-tu me donner des ordres ! Cette fessée est loin d’être terminée. Si
je m’arrêtais là, tu l’aurais oubliée dès demain. Je veux que tu saches ce
qu’il t’en coûtera désormais de désobéir : des fesses brûlantes. Ecarte
cette main ! Elle me gêne pour poursuivre ta punition ! »
Comme
Ludivine ne réagissait pas assez vite, la fessée reprit sur le haut des
cuisses. C’était encore plus douloureux que sur les fesses. Quand Ludivine
enleva sa main, la fessée reprit sur l’espace que sa main avait protégée.
« Si
je revois ta main à protéger tes fesses, tu auras une deuxième fessée ce
soir ! »
Il
fallut un véritable effort de volonté à Ludivine pour conserver sa main devant
elle. Quelques instants plus tard, son soulagement était immense quand la
fessée cessa. Ce ne fut, hélas, que pour quelques secondes. C’est la badine qui
traça un sillon de feu en travers de ses fesses. La ruade de Ludivine fut
contenue par Laura qui s’y était préparée et qui en administra une deuxième
juste en-dessous de la première. Le cri de Ludivine n’arriva pas à franchir ses
lèvres.
Elle
n’arriva à crier qu’après que la baguette eut tracé quatre ou cinq sillons sur
ses fesses. Elle poussa un long cri prolongé, puis, elle remit sa main, étalée
sur ses fesses, doigts écartés, pour éviter que la badine ne retombe encore une
fois. Laura remonta le bras de Ludivine dans le milieu de son dos.
« Je
t’avais prévenue. Ce sera une autre fessée à la badine ce soir ! »
La
badine retomba sur les fesses maintenant disponibles. Ludivine essaya de se
dégager, mais la prise de Laura était solide. Impossible de bouger autre chose
que les pieds, mais cela n’aidait en rien à faire cesser la correction.
« Je
continuerai cette fessée tant que tu te débattras, l’avertit Laura. »
Ludivine
finit par renoncer. Elle contractait tous ses muscles quand la baguette
frappait ses fesses, mais elle laissait Laura aller au bout de la punition.
Quand elle se rendit compte qu’elle avait cessé, elle souffla tout l’air
qu’elle avait dans les poumons et qu’elle avait l’impression d’avoir retenu
pendant tout ce temps.
Laura,
de sa main tapotait doucement les fesses striées des marques laissées par la
badine.
« Là,
là, c’est fini… pour le moment. »
Maintenant
que la fessée était terminée, Ludivine ne voulait plus bouger de là où elle
était. Cela faisait tellement longtemps qu’elle n’avait pas eu un contact aussi
prolongé sur les genoux d’une personne qui faisait attention à elle.
Malheureusement, cette affection s’était traduite par une fessée.
Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?
Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 62
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 62
Il y a une suite ... c'est le chapitre 64.
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Donnez votre avis, postez un commentaire, faites part de vos expériences, de vos protestations, racontez ce que vous avez vécu, laissez libre cours à votre imagination, dites-nous ce que vous avez ressenti, soyez créatif, n'hésitez pas.
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Bonjour,à tous
RépondreSupprimerEt bien voilà ! Amis de la poésie et de la claque aux fesses ce soixante troisième épisode confirme bien ce dont on pouvait se douter qu'il arriva !
C'était fatal, la pratique de la fessée citoyenne se municipalise et se répand dans toute la ville! Notre ami JLG nous en donne à coeur joie et à fesses rebattues! C'est bientôt l'hiver il faut bien trouver des moyen de se réchauffer, au moins les mains et les fesses... Les derrières déculottés commencent à claquer sur les trottoirs et au coin des rues sous les mains de femmes qui se chargent volontiers de mettre de l'ordre dans le public.
Et quand Laura Marchand retrouve Ludivine Gérard, sa rivale en séduction à l'école, ça fait des étincelles. La vengeance est un plat qui se déguste brûlant sur les fesses! Mais on fait dans le commerce équitable, et on troque une fessée contre une douche et un lit propre.
Ludivine en résistance essaye bien de se protéger des mains, mais, jeu de mains, jeu de vilaine, elle ne fait que récolter une deuxième fessée. Après les grandes manoeuvres pour positionner le derrière de sa victime, Laura, badine à tour de bras.
Notre auteur manie les descriptions avec tant d'habileté et de précision, qu'on en a presque mal au derrière... Mais jusqu'où va t'il s'arrêter?
Ramina