mardi 11 décembre 2018

Ces dames aux mains fermes - S2 - chapitre 2

SAISON 2 : GLADYS ET SES AMIES
CHAPITRE 2 : Patricia, relation tendue avec maman

Calme et déterminée Gladys continue à fesser sans s’émouvoir.
« Ma pauvre chérie, tu as tort de défier mon autorité en persistant dans cette attitude de refus. J’aime quand on résiste, c’est stimulant. Ça me donne envie de te claquer les fesses encore plus fort ! »


 Joignant le geste à la parole, la sévère maman alourdit sa frappe en accélérant le rythme. Sévèrement malmené, le volumineux postérieur rougissant, tressaute de plus belle, contre la volonté de sa propriétaire qui ne peut plus en maîtriser les furieuses ruades. Gladys en savoure les vibrations et la chaleur montante, qui imprègne la paume de sa main à travers le nylon. Les belles fesses charnues offrent une surface solidement culottée, ferme, et serrée, dans un slip tendu à craquer dont la finesse enveloppante n‘offre pratiquement aucune protection. La fessée se révèle même plus cuisante à travers le nylon qui présente aussi l‘avantage d’entretenir la chaleur.

« Finalement la fessée en slip est une excellente idée ! »
S'exclame Gladys avec enthousiasme. Elle appuie encore les claques. Les deux fesses retentissent avec un nouvel éclat.
« Et ça claque fort ! Qu’en penses-tu ma chérie ? Tu la sens bien ma main claquer sur tes fesses ? Et comme elle te chauffe bien le derrière ! »


fessée pour une grande fille


L’ironie est aussi cinglante que les claques. Patricia refuse de répondre. Les yeux emplis de larmes elle subit sa fessée en se mordant les lèvres pour ne pas crier. Gladys la fait durer encore un moment pour bien lui chauffer le derrière et en profite pour la sermonner.

« Je vois que mademoiselle fait la tête… mademoiselle n’accepte pas sa fessée pourtant amplement méritée ! Elle ne supporte pas que je la fesse pour son mauvais comportement !
La jeune femme émet un grognement entre ses dents et serre les fesses en guise de réponse pour les rendre plus dures sous les claques. Pour couper court, Gladys suspend la fessée.
« Très bien ma chère, relève-toi ! Nous allons changer de position pour la fessée suivante. Et cette fois, ce sera la fessée déculottée ! La bonne fessée, la vraie ! »

Patricia se redresse péniblement, le visage fermé, humides de larmes qui ont coulé sur ses joues en laissant des traces sombres de rimmel. Elle connaît les règles, qu‘elle impose elle-même à son frère quand elle le corrige et se retient de se frotter les fesses pourtant douloureuses.  Maman a bien travaillé, elles sont déjà d’une belle couleur nettement visible à travers la transparence de son slip et surtout sur la surface qui déborde des élastiques. Elle tient sa courte courte jupe plissée relevée et regarde par-dessus son épaule la couleur de ses fesses et du haut de ses cuisses, entièrement rouges d‘une jarretelle à l‘autre.  Elle en soulève une pour comparer avec la marque blanche imprimée en dessous sur la peau.

« Aaaah maman, qu’est-ce que tu tapes fort ! Même à travers mon slip, j’ai les fesses en feu ! Tu ne vas pas me mettre une fessée déculottée en plus! Qu’est-ce que j’ai fait pour ça ?
– Une fessée ? Une seule, tu plaisantes ma chérie. Tu devrais pourtant connaître le tarif par cœur. Tu l‘appliques régulièrement quand tu fesses.  Alors ? »

Patricia, cette fois est prise de court. Debout devant sa mère, elle se dandine d’un pied sur l’autre en se mordant les lèvres. Ses fesses lui cuisent atrocement. Elle résiste à l’impulsion de se les prendre à pleine mains sous sa jupe pour les soulager. Elle n’a plus le choix, elle doit répondre.  Gladys la relance.
« Alors ? J’attends !  C’est quoi le tarif des punitions ?
– Euuuh oui maman… euh...c’est…
– C‘est quoi ?
– La fessée maman… la fessée !
–  Bien sûr la fessée, mais encore ?
– Euuuuh… Une faute, une fessée, maman !
– Nous sommes d’accord ! Donc, trois fautes ?
– Trois fessées maman !
Cinq fautes ?
– Cinq fessées maman...
– Bien ! Alors, mauvaise tenue, Insolence, contestation, ça fait... ?
– Euuuh, trois fautes maman…
– Donc ? …
– Trois fessées maman…
– Voilà !! Tu vois quand tu veux, on y arrive. Et comment les fessées ?
– Déculottées maman…
– Exactement, déculottées. Toujours déculottées ! La fessée que tu viens de recevoir était-elle déculottée ?
– N... non maman …
– Parfait ! Tu seras donc d’accord avec moi pour considérer qu’elle ne compte pas. Ta punition ne fait donc que commencer.  Maintenant pour respecter le déroulement des corrections, tu vas aller te mettre au coin, la jupe retroussée, fesses bien exposées, le temps qu’elles récupèrent pour la fessée suivante. Selon la règle, là aussi c’est culotte baissée. » 
Patricia n’a pas le temps d’ouvrir la bouche pour émettre un commentaire, sa mère pointe un doigt autoritaire   vers le sol entre ses jambes écartées.
« Mets-toi à genoux ici, et tends tes fesses pour que je te déculotte ! »
Le ton est sec. N’admet pas de réplique. Patricia obéit sans discuter cette fois. Elle vient se prosterner, le derrière haut levé devant sa mère qui fait voltiger sa jupe sur son dos et saisit l’élastique de son slip en glissant ses doigts sous le nylon.
« Voilà une excellente position pour un déculottage comme j'aime, bien humiliant, n'est-ce pas ? J’adore ! »

Le regard brillant, un peu comme si elle déballait un paquet cadeau, elle descend lentement le slip sous les fesses en l’enroulant autour de l’élastique. Libéré de l’étreinte du nylon, le resplendissant fessier déploie ses belles rondeurs charnues, tout enluminées de la cuisante fessée qu’il vient de recevoir. 

L’élastique du slip claque sur le haut des cuisses. Patricia pliée en deux, en appui au sol sur le haut du crâne, lâche un petit gémissement de honte. Indifférente à l’humiliation qu’elle lui inflige, Gladys ironise sur la généreuse anatomie complaisamment étalée sous ses yeux.

« Une aussi formidable paire de fesses mérite les honneurs de fessées exemplaires. En attendant tu vas me faire vingt minutes de coin, le temps qu’elles reprennent de la souplesse pour les fessées suivantes ! »


Une fessée déculottée sur les genoux



D’une claque vigoureuse sur chaque fesse elle la fait se relever et l’envoie vers l’angle du mur près de la télévision où elle est invitée à faire pénitence. Au passage elle s’amuse à la voir s’y diriger à petits pas maladroits, les cuisses entravées par son slip, obligée de se déplacer en tortillant des fesses. Le spectacle est excitant à les voir tressauter en rythme au contact de ses hauts talons sur le carrelage.
Un petit sourire satisfait sur les lèvres, elle se lève du canapé, lisse sa jupe sur ses cuisses et saisit son portable posé sur un accoudoir.

« J’ai un appel à passer. Tu m’attends sans bouger, en gardant ta jupe relevée pour bien dégager tes fesses, les reins cambrés pour les faire ressortir. Aucun relâchement, sinon c‘est le supplément fessée gratuit dès que je reviens. Je n‘aurai pas besoin de te déculotter, tu l‘es déjà! »

Le nez au mur, Patricia, en position, serre et desserre convulsivement les fesses pour essayer d‘en atténuer la cuisson. Elle entend le claquement des talons aiguille de sa mère s’éloigner vers le bureau. Elle peut entendre le son de sa voix mais sans vraiment comprendre la conversation.
Gladys s'assied d'une fesse nonchalante posée sur le bord de son bureau et compose son numéro d’appel. Elle a laissé la porte ouverte pour garder Patricia dans son champ de vision,

« Oui, Béatrice... bonjour… Dites-moi, je vous ai laissé un message ce matin... Oui… je voudrai vous envoyer mon mari demain... En fin d’après-midi après ses heures de bureau… Si c'est possible... Shampoing, coupe, c’est ça... Bien sûr, je vous laisse consulter votre planning… j'attends …
Tout en patientant pour obtenir l‘heure du rendez-vous, Gladys porte son regard vers sa fille, qui digère sa fessée au coin, en pénitence, le slip au milieu des cuisses. Les belles fesses bien rouges fraîchement corrigées témoignent de l’efficacité de la déculottée qu’elle vient de lui administrer. Tout juste remarque-t-elle la base d’une fesse un peu moins colorée que l’autre à l‘endroit où les dernières claques ont peut-être été un peu moins appuyées. Simple retouche à faire au cours de la fessée suivante. On est sévère ou on ne l’est pas. Au terme d'une bonne fessée déculottée, un derrière bien claqué doit rayonner d’un éclatant rouge écarlate uniformément réparti sur toute la surface,

La voix de Béatrice se fait entendre sur le fond sonore de la bruyante activité du salon de coiffure. Des voix de femmes, un bruit de séchoir. Gladys sort de la contemplation des fesses de sa fille et reprend la conversation,
« Oui, je vous écoute… Dix-huit heures, demain, c‘est parfait ! Je vous remercie... »
Elle allait couper quand son interlocutrice prolonge la conversation en évoquant le comportement d‘Edouard lors de son dernier passage au salon.
« Oui, je sais il a parfois une fâcheuse tendance à la main baladeuse … Mais bien sûr, dans ce Cas n’hésitez pas … Je vous fais confiance, vous avez carte blanche…  Je passerai le chercher vers dix-neuf heures. Oui, à demain, merci ! »

Elle éteint son portable, et retourne dans le salon le reposer sur le bras du canapé où elle, prend le temps de s'installer confortablement pour préparer la deuxième fessée de sa fille. D'un geste devenu habituel, elle retrousse sa jupe sur ses cuisses pour ne pas la froisser pendant la correction.
« Patricia, reviens-ici... tout de suite !  J'aimerais en finir avec tes fesses avant le retour d’Edouard. »

Patricia, toujours au coin, n'est pas du tout pressée de retourner s'allonger sur les genoux de sa mère pour recevoir les deux fessées déculottées qu'elle doit encore lui administrer.  Alors que ses fesses sont encore cuisantes de la récente correction, elle est un peu fébrile à l’idée de devoir les exposer à en supporter davantage. Leur capacité d'endurance a beau être assez élevée, difficile d'échapper à l'angoisse au moment d'affronter la méthode Gladys selon laquelle chaque nouvelle fessée doit être plus sévère que la précédente. L'objectif étant de bien marquer la différence en fonction de la gravité des fautes.
« Je t'attends ma chérie ! Tu te reculottes et tu me ramènes tes fesses s'il te plaît ! »

Patricia ne comprend pas. Elle obéit quand même et, dans un bruissement de nylon, remonte difficilement son slip en tortillant des hanches. Ses fesses ont gonflé sous les claques, elle a maintenant du mal à les faire rentre dedans. Le frottement de la matière rêche sur sa peau sensible lui arrache une grimace, qu'elle renouvelle, en exagérant, au claquement des élastiques sur ses fesses. Malgré la menace des fessées, elle ne peut s'empêcher de manifester son mécontentement par des gestes d'humeur.

« Mais enfin maman, pourquoi veux-tu que je me reculotte puisque tu vas me mettre une fessée déculottée ?
– Parce que je préfère te déculotter moi-même. C'est un des meilleurs moments de la fessée, Chaque descente de slip est une petite touche d'humiliation supplémentaire. Je ne vais tout de même pas m'en priver !  Remets-toi en position comme tout à l'heure. »

Patricia, les ardeurs revendicatives un peu calmées par la fessée qu'elle vient d'encaisser, s'agenouille docilement entre les jambes de sa mère. En appui sur les avant-bras, une joue plaquée au sol, elle cambre les reins et s'applique à bien arrondir son postérieur pour faciliter son déculottage.

Gladys n'a pas besoin de relever la jupe qui s'est retroussée toute seule. Elle saisit à nouveau l'élastique du slip et, tout en déculottant, parle à sa fille comme si de rien était.

« Edouard a besoin d'une coupe de cheveux, Dit-elle en étirant les élastiques sur les hanches pour leur faire passer la courbe du derrière... Dis donc, c'est la fessée qui fait gonfler tes fesses comme ça ! »
Elle doit s'y prendre à plusieurs fois pour dégager le volumineux postérieur du nylon tout en continuant sa conversation,
« Je viens de lui prendre un rendez-vous chez Claridge. »

Patricia, beaucoup plus soucieuse de la fessée qui l'attend, se moque éperdument de la longueur de cheveux de son beau-père. Il lui faut garder l'humiliante position pendant que sa mère la déculotte en poursuivant son monologue,
« Patricia, tu m'écoutes ? … Décidément ce slip est trop serré ! Si ça continue il va finir par craquer ! »
Gladys n'aime pas qu'on lui résiste. Elle réussit enfin à faire glisser la petite culotte sur les hanches et à la descendre le long des jarretelles sans accrocher les boucles métalliques, Le nylon crisse sur la dentelle.
« Je te dis ça parce que, connaissant Edouard, il serait bien capable d'oublier. On ne sera pas trop de deux pour lui rafraîchir la mémoire, en lui chauffant les fesses par la même occasion. ! … Le slip vient de franchir avec succès le délicat passage des jarretelles et glisse sur la lisière noire des bas nylons,
« Ah ça y est !  Quand même ! On va pouvoir commencer ! »

Le bruit sec de l'élastique sur les cuisses donne le signal. Gladys resserre les siennes autour des hanches de sa victime pour l'immobiliser et maintenir le fessier bien en place, et la fessée commence immédiatement.
Cette fois ci, c'est la grosse fessée. La fessée déculottée, cuisante et sévère lancée à plein régime. Les deux fesses tendues à bloc par la position très relevée, claquent en cadence l'une après l'autre et opèrent un mouvement de balancier de gauche à droite sous l'impulsion des allers et retours allongés à toute volée. Patricia, les fesses, encore sensibles de la fessée précédente, sent immédiatement remonter la cuisson comme un feu continu embrasant toute la surface disponible. Elle ne résiste pas longtemps au cuisant assaut de ses fesses et commence à rythmer la fessée de petits gémissements saccadés,
 Gladys, bien calée sur le canapé, le bras haut levé au-dessus de sa tête, remplit sa mission punitive avec la consciencieuse sévérité qui rend ses corrections si redoutables et redoutées. Le regard fixé sur la cible charnue pleinement épanouie entre ses cuisses, elle fesse à plein régime en attisant les braises qui ravage le derrière de la malheureuse jusqu'au fond de la raie. Patricia commence à passer des gémissements aux larmes et finit par craquer à la plus grande satisfaction de sa mère venue enfin à bout de sa résistance.
« A la bonne heure ! S'exclame-t-elle en persistant sur le même rythme soutenu. Je savais bien que j'allais finir par te mâter le derrière !  Aucune paire de fesses ne me résiste bien longtemps. Les tiennes comme les autres. Quel plaisir de les retrouver en aussi bonne forme, elles claquent et rougissent toujours aussi bien ! »
Patricia sous la tourmente des cuisantes rafales qui s'abattent sur ses fesses a maintenant du mal à tenir la position en appui sur les avant-bras. Elle ne parle pas, elle hoquette d'une voix entrecoupée par les sanglots.
« Oh... ma...maman, je t'en prie, tu... tu fe...e.. esses tro...o..op...  f... Fort, ça... a... fait vrai...ment mal !
– Ce n'est pas à toi que je vais apprendre qu'une bonne fessée bien appliquée, doit cuire les fesses ma chérie. C'est une punition dont il faut se souvenir pour éviter de reproduire les mêmes erreurs.


Une bonne fessée déculottée pour Patricia


– Raaaaah ! Oui maman... mais tu... tu... Aaaaaaaïiiie ! Tu pourrais quand même ne pas taper au... aussi fort … J'ai compris ! 
– je n'en suis pas si sûre. Mais j'espère que cette fessée va te servir de leçon et te réapprendre à te tenir convenablement. Celle-ci c'est pour les pieds sur la table ! »

Indifférente aux supplications de plus en plus manifestes de sa fille Gladys, sans sourciller, fait durer la fessée jusqu'à obtenir ce beau rouge velouté profondément réparti sur toute la surface du rutilant fessier qui semble s'épanouir sous les claques. Patricia finit par noyer sa souffrance dans les larmes mêlées de rimmel qu'elle répand généreusement sur le carrelage aux pieds de sa mère. Celle-ci, s'arrête une seconde pour reprendre de l'élan et   lui fait rebondir les fesses sous une triomphante paire de claque en guise de conclusion provisoire. Patricia, s'écroule en hurlant sous les sarcasmes de sa mère qui secoue sa main, endolorie d'avoir tapé si fort.

« C'est bien ma chérie, j'aime qu'on s'exprime comme ça quand je fesse !  C'est un peu la récompense de l'énergie déployée à rendre la fessée efficace. ».
Patricia complètement sonnée par sa fessée ne réagit pas, elle reste larmoyant, prosternée au sol, le slip en travers des cuisses, les fesses en l'air, rouges écarlates, 
« Oooh maman, Pourquoi es-tu aussi sévère avec moi ? Trop dure la fessée !
– Pas plus que celles que tu infliges à ton frère ma chérie. C'est bien de temps en temps de se prendre une bonne séance de fessées bien cuisantes pour mesurer l'effet que ça fait quand on les administre »

Gladys savoure la situation. Satisfaite de ce petit exercice d'autorité sur sa fille qui commençait à se prendre un peu trop au sérieux au prétexte de leur complicité à faire respecter la discipline dans la maison. Elle la reculotte sans ménagement, en s'appliquant à lui ajuster son slip au plus serré sur les fesses afin d'en entretenir la cuisson. Patricia pousse un gémissement au douloureux contact de l'étreinte du nylon.

« Relève-toi maintenant ! Dit Gladys d'un ton sec accompagné d'une nouvelle claque sur les fesses. Dix minutes de coin, la jupe retroussée, et tu reviens me voir pour ta troisième fessée ! Pour m'avoir mal parlé tout à l'heure... Exécution !
– Mais maman... 
– Il n'y a pas de mais maman ! Ouvre encore la bouche... je te redéculotte tout de suite pour une nouvelle fessée et je double la suivante ! Je vais t'apprendre à obéir moi ! File au coin... en vitesse ! »

Cette fois ci Patricia sent qu'elle n'a plus intérêt à protester. Elle s'est remise debout péniblement, reniflant ses larmes, tenant sa jupe relevée sur ses reins. Ses fesses en feu, solidement reculottées, débordent des élastiques tendus qui mordent douloureusement dans sa chaire brûlante.
Deux solides fessées bien cuisantes ont suffi à Gladys pour recadrer sa fille en la corrigeant de son insolence. Des fesses rouges et brûlantes amènent naturellement à l'humilité, comme la menace des fessées conduit à la docilité. C'est une jeune femme maintenant obéissante qui retourne se positionner nez au mur attendre la fessée suivante sans geste d'humeur ou murmure de protestation.
Gladys ne lâche rien pour autant. Elle n'a pas apprécié du tout la remise en cause de son autorité qu'elle entend rétablir une bonne fois pour toute. Patricia aura sa troisième fessée, longue et cuisante, jusqu'au bout, Et, selon l'excellente méthode de la montée en puissance, encore plus sévère que les précédentes. C'est la dure loi de la fessée. Impitoyable, elle maintient la pression.

« Tiens-toi droite, cambre les reins ! Tu bouges un doigt ... tes fesses claquent immédiatement ! »

Gladys debout devant le canapé n'eut qu'à tendre la main pour saisir son portable qui arrosait le salon d'un signal sonore hystérique, genre chevauchée des Walkyries. Elle aimait beaucoup la musique de Wagner, aussi impétueuse et puissante que les fessées qu'elle administrait. Elle gardait d'ailleurs en réserve, l'idée d'organiser un jour une furieuse séance de fessées sur une de ses œuvres, bien rythmée.

« Edwige ma chérie, comment vas-tu depuis hier ? Oui, moi aussi merci... Euh non pas vraiment, vois-tu, je suis en train de corriger Patricia...  C'est sûr, une bonne fessée de temps en temps ça lui fait du bien à elle aussi... Il n'y a pas de raison ! Non, tu ne me dérange pas, je suis juste entre deux fessées ... »
Tout en discutant Gladys, assise d'une fesse sur le bras du canapé surveille sa fille du coin de l'œil.
« Patricia, tu es en train de plier les jambes... attention à tes fesses ! »
Elle reprend sa conversation avec son amie.
« Oui tu dis... une bague ? … Aaah, Je n'ai pas fait attention... Oui, peut être sous un fauteuil... je vais regarder.  Bien sûr tu peux passer... Maintenant ? Oui, si tu veux... Tu es juste à côté... Dans deux minutes, parfait, à tout de suite ! »

Patricia qui a évidemment entendu la conversation, blêmit dans son coin en étouffant un soupir de protestation. La visite d'Edwige, ne la rassure pas du tout. La pétulante créature comme toutes les amies de sa mère, est une fervente adepte de la fessée disciplinaire et ardente pratiquante en toutes circonstances. Elle fesse comme elle respire à la moindre occasion ! Elle n'a pas eu le loisir de montrer ses talents lorsqu'elle est passée la veille, Edouard et Robin avaient déjà pratiquement fait le plein avec quatre fessées consécutives,

Gladys éteint son portable et se dirige vers sa fille en claquant des talons. Le bruit sec sur le carrelage résonne comme une menace. Elle aime se déplacer ainsi pour annoncer l'arrivée de la fessée.



Avec les dessins originaux de l'auteur !


Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...

Le début : chapitre 1 de la saison 1
et l'épisode précédent : chapitre 1. C'est le début de la saison 2

Il y a une suite, c'est le chapitre 3 

Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre :  ramina16@laposte.net

2 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Wahou ! Quelle santé !!! "le combat des Chefs" !!! Rires.
    Tel est pris qui croyait prendre !
    Miss Patricia s'imaginait exemptée des fessées maternelles. On en a mal presque mal aux fesses pour elle !!
    Quant à Edouard, la fessée de 18 heures sera comprise dans le tarif... "à prix d'ami/e".
    Ben, Gérome risque de souper avec un coussin pour les prochaines vacances de Printemps chez... "Tata" Gladys !!! Ca va chauffeeeer !!
    Bonne journée. Peter.

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  2. Bonjour, Peter

    Eh oui, personne n'y échappe. Quand on donne des leçons et qu'on applique la discipline on se doit d'être exemplaire non ? Miss Patricia comme tout le monde ! Maman se charge du recadrage!!! Mais sans doute pas qu'elle ...
    Après les corrections du Week end, Edouard voyons voir si Edouard saura se montrer plus ponctuel en sortant du bureau.
    Quant à Gérôme... Il faut savoir qu'au printemps, la sève monte, à coup sûr, le rouge aux fesses aussi !
    Comme promis une illustration couleur pour le chapitre 3 la semaine prochaine.
    Cordialement.
    Ramina

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