Le retour de Ramina... comme auteur de récits. Il s'agit de la suite des aventures de Gladys, est-il besoin d'en dire plus ?
SAISON 2 : GLADYS ET SES AMIES
Chapitre 1 : Chacun son tour.
Le
nuage de lait se dispersa lentement en volutes blanches qui éclaircirent la
surface brune du thé. La petite cuillère tinta contre la tasse en porcelaine
lorsque Patricia la saisit pour la porter à ses lèvres. Elle but une gorgée
avec précaution. Le liquide était encore un peu trop chaud. Elle reposa la
tasse sur la table basse avec un petit soupire, pris un biscuit pour patienter,
et croqua dedans en se renfonçant dans son fauteuil.
Assise
dans le canapé en face d’elle, Gladys, sa tasse dans une main, son portable
dans l’autre consultait ses rendez-vous de la semaine.
Tout
était tranquille en ce lundi après-midi. Ces Dames profitaient d’un moment de
détente bien mérité après un week-end mouvementé, rythmé par les fessées, les
cris, les pleurs et les supplications d‘Edouard et Robin. Le calme était
provisoirement revenu dans la maison, à peine troublé par la diffusion, en
sourdine, d’une musique jazz swing entraînante. Ce silence relatif était
presque pesant dans un salon qui semblait encore raisonner du claquement des
fessées de la veille et des clameurs de souffrance des punis. La pièce tout
entière, fréquemment utilisée pour l’administration des corrections, baignait
dans un climat de transition entre le retour à l’apaisement et la perspective
des fessées à venir.
Gladys
estimait comme une évidence la nécessité de maintenir une stricte discipline
domestique et conjugale par une pratique régulière de la fessée. Elle en
vantait les bienfaits, affirmant que c’était la méthode la plus efficace pour
inculquer les règles de savoir vivre aux messieurs dont l’éducation n’était pas
terminée. Pour ne citer que l’entourage proche, son fils, passe encore malgré
ses vingt-et-un ans, mais aussi son deuxième mari dont les comportements
souvent immatures nécessitaient l’emploi de fréquentes mesures disciplinaires.
Elle
y avait initié sa fille, Patricia, qui avait très vite appris à administrer les
fessées. Notamment à l’encontre de Robin, son incorrigible frère, dont les
écarts de conduite, l’insolence et le manque de travail, justifiaient un régime
de fessées adapté, particulièrement sévère. Par son aptitude à fesser elle
commençait même à rivaliser avec sa mère, experte en la matière qui avait fini
par lui laisser prendre l’initiative de corriger Edouard, son beau-père,
lorsque les circonstances l’exigeaient. Le malheureux n‘en demandait pas tant,
qui de ce fait, bénéficiait d’un complément de service aux cuisantes
déculottées que son épouse lui administrait déjà régulièrement.
La
vie de famille se déroulait dans un harmonieux équilibre entre l’acceptation du
devoir de respect et l’obligation d’obéissance en toutes circonstances. Sous
l’autorité des femmes de la maison, l’utilisation systématique de la fessée
facilitait grandement l’adhésion aux règles de comportement. Gladys se plaisait
à souligner qu’une paire de fesses rouges et cuisantes au fond d’un slip était
l’argument le plus convaincant pour imposer une bonne discipline domestique.
Les fessées claquaient tous les jours, voire plusieurs fois par pour, selon les
nécessités et surtout l’humeur de ces dames. A ces raclées quotidiennes
s’ajoutait le cérémonial tant redouté du bilan de week end, régulièrement soldé
par une généreuse distribution de fessées. Chaque faute répertoriée, chaque négligence
ou désobéissance commise pendant la semaine était sanctionnée par un nombre
équivalent de fessées.
Ces
dernières journées de samedi et dimanche s’était déroulées dans un climat caniculaire
pour les fesses d’Edouard et Robin contraints de multiplier les allers et
retours sur les genoux des deux femmes pour se les faire rougir à maintes
reprises. Aucune clémence, aucune échappatoire possible. Entre les fessées
déculottées et les séjours d’exposition au coin culotte baissée, ils avaient
passé plus de temps le slip en travers des cuisses plutôt que les fesses
dedans.
Selon
une des expressions favorites de Gladys selon laquelle :
« Rien
de tel qu’une bonne fessée déculottée pour bien commencer une journée ! »
Edouard
et Robin, s’étaient pris chacun leur fessée déculottée, côte à côte dans
l’entrée dès le matin, avant de partir, l’un au bureau, l’autre de retourner à
l’institut. Mesure de prévention sous forme de « fessée d’entretien »
en rappel aux règles de bonne conduite qu’ils sont censés respecter durant la
journée. Il faut croire que ces Dames estimaient insuffisante leur ration de
fessées du week-end, pourtant généreusement fournies. Preuve, s’il en était,
ces fessées matinales avaient été administrées sur des derrières encore rouges
de celles de la veille. Les malheureux s’étaient retrouvés dehors, les fesses
en feu, fraîchement reculottées, empressés de s’essuyer les yeux pour essayer
de dissimuler leurs larmes aux passants.
Comme
à chaque fois, Gladys avait toujours le bon argument pour justifier la première
fessée de la journée.
« Un fessier chauffé au rouge, stimule l’activité et incite à un meilleur
comportement au travail ! »
Avait-elle
lancé avec un sourire satisfait en reculottant son mari. D’une claque aux
fesses à travers le pantalon, elle l’avait envoyé vers la porte en ajoutant
« Pour Robin, je ne me fais pas de souci, il y a une bonne discipline à
l‘institut. Mais pour toi, Edouard, il faudrait que je vois du côté de tes
secrétaires. Je devrais bien en trouver au moins une qui serait ravie de
s’occuper de tes fesses quand je le lui demanderais. »
Patricia
s’en était amusée avec son ironie habituelle
« Ça doit être assez réjouissant de pouvoir déculotter et fesser son
supérieur hiérarchique sans risquer son poste. »
Claquant
des talons-aiguille, la main chaude encore emplie de la rondeur charnue des
paires de fesses, les deux femmes étaient parties se resservir un café au salon
en se félicitant mutuellement de la qualité de leur prestation sur les
derrières de ces messieurs.
Patricia
finit par déguster son thé à petites gorgées. Elle reposa sa tasse avec la
trace de son rouge à lèvre sur le bord. Elle l’effaça d’un doigt.
« Je voudrais bien voir la tête de la sœur qui va découvrir la couleur des
fesses de Robin quand elle va le déculotter pour lui mettre sa première fessée.
Elles étaient bien rouges en partant. J’espère qu’elles le sont resté au moins
jusqu’à la fessée suivante. Gladys avec un petit sourire en coin.
–
De toute façon, il a sûrement dû s’en prendre une pendant le contrôle des
carnets de correspondance ce matin.
–
Ah bon, tu crois… pourquoi ?
–
Parce qu’il a encore oublié le sien ici !
–
Non, c’est pas vrai ! S’exclame Patricia l’air étonné et amusé à la fois.
–
Si ! Il est resté sur la commode de l’entrée. Il l’a posé là ce matin quand tu
l’as déculotté pour lui mettre sa fessée. Il devait être tellement occupé par
la cuisson de ses fesses qu’il l’a oublié en partant. Le pauvre chéri !
–
Incroyable ! Ce n’est pourtant pas faute de lui flanquer des fessées ! Et des
bonnes !
Gladys
cette fois relève la tête de l’écran de son portable et réplique avec une
logique implacable.
–
« Et bien tu vois, pas encore assez ! Il lui en faudrait même des plus
sévères ! A ce propos, il faut qu’on pense à préparer la soirée de
samedi. »
Patricia
hoche la tête en soupirant, ce qui eut pour effet de soulever son opulente
poitrine qui s’extériorisa un peu plus en dehors de son bustier. Elle étend ses
jambes, enlève ses escarpins en les poussant du bout des doigts de pieds et
pose ses talons sur la table basse. Elle en profite pour ajuster la couture de
ses bas nylon qui souligne le galbe de ses mollets. Les avant-bras pendants
négligemment sur les bras du fauteuil, le dos des mains relevé, elle jette un
coup d’œil distrait à son vernis à ongles.
« Tout
à fait d’accord avec toi maman. Il ne faut pas lésiner sur les fessées si on
veut obtenir des résultats. Tu sais, maintenant que tu m’y as fait prendre
goût, plus je fesse, plus j’aime ça et plus j’ai envie de fesser !
–
Oui, j’ai remarqué ça. Répond Gladys en éteignant son portable. Et tu fesses de
mieux en mieux. »
Patricia,
réceptive au compliment, esquisse un petit sourire de contentement.
« En
attendant, reprend-elle, si les leçons du week-end ont été retenues, j’en
connais un qui ne devrait pas traîner en rentrant du bureau ce soir pour éviter
une nouvelle fessée!
–
Oh tu sais, Edouard est capable de tout. Malgré le recadrage de ce week-end ça ne m’étonnerait pas qu’il nous
donne encore une raison de lui flanquer une raclée ce soir. Avec lui, comme
avec ton frère d’ailleurs, il n’y a pas besoin de chercher longtemps... les
motifs de fessées arrivent tout seuls ou on finit bien par en trouver.»
Gladys
s’adossa plus profondément au canapé, croisa haut les jambes, et, changeant
brusquement d’attitude regarda fixement sa fille.
« Dis-moi,
ma chérie, je ne voudrais pas paraître désagréable, mais peux-tu m’expliquer,
s’il te plaît, à quoi rime cette nouvelle façon de se tenir ? »
Patricia,
surprise, quitte ses ongles des yeux et, un petit frisson dans le dos, regarde
sa mère d’un air méfiant.
Celle-ci
poursuit sur le même ton neutre, posé... Le calme avant la tempête.
« Depuis
quand, maintenant, tu t’amuses à mettre les pieds sur la table ? »
Le
visage de la jeune femme change instantanément de couleur. Elle pâlit et, comme
piquée par une guêpe, réagit aussitôt en reposant ses pieds parterre. Nouveau
frisson. Elle bredouille.
« Mais
maman… euh… je… c’est...c’est que…
–
C’est que quoi ? L’interrompt sèchement sa mère d’un ton presque menaçant. Je
t’ai posé une question… C’est quoi cette manière de se tenir ?
–
Je me détends les jambes maman. J’ai les
chevilles un peu douloureuses en ce moment.
–
C’est ça oui… Façon peu élégante de se détendre les jambes. Et puis si tu
portais des talons moins hauts, tu n’aurais peut-être moins mal aux chevilles.
–
Maman… ça te vas bien de dire ça, tu as pratiquement les mêmes !
–
Et alors, je ne vois pas le rapport. Je les supporte très bien et je ne me
plains pas. »
Gladys
commence à montrer quelques signes d’agacement. Son niveau de tolérance à la
contestation n’est pas plus élevé que la température d’un derrière en manque de
fessée depuis une journée.
–
« Patricia, il va falloir que tu changes de ton ma petite. D'ailleurs, je
te trouve bien insolente depuis un certain temps ! »
Patricia
perdait peu à peu de sa superbe et sentait que les choses pouvaient rapidement
mal tourner si elle persistait à répondre.
Elevée à la fessée, comme son frère, elle se méfiait du caractère
impétueux de sa mère et de ses réactions lorsqu’elle sentait son autorité
remise en cause. Elle essaya maladroitement de faire redescendre la tension en
évitant, cependant, d’avoir l’air de faire des concessions. Question d’amour
propre.
–
« C’est bon maman, c’est bon ! Dit-elle en remettant ses pieds dans ses
chaussures. Ce n’est pas grave. Pas la peine de t’énerver pour ça ! »
Elle
lisse à nouveau ses bas sur ses cuisses, rajuste une jarretelle et se rassied
correctement en soupirant, pour bien montrer qu’elle obéit de son plein gré et
non sous la contrainte.
–
« Voilà, ça te convient mieux comme ça ? »
La
phrase de trop qu’il ne fallait pas prononcer et l’attitude provocante qu’il
valait mieux éviter. Gladys maîtrisant de moins en moins sa colère montante,
lui lance un regard noir en pointant un doigt menaçant dans sa direction. Il y
a de la fessée dans l’air et elle l’aura bien cherchée.
–
« Cette fois ma chère, tu dépasses les bornes, ça fait plusieurs fois que
ça arrive et que je te préviens. Ce n’est pas parce que je te laisse mettre des
fessées à ton frère et maintenant ton beau-père qu’il faut te croire à l’abri
de t’en prendre, toi aussi. Je peux encore t’allonger sur mes genoux, te
déculotter et t’en flanquer des sévères tu sais !
Patricia
réalise un peu tard qu’elle est allée trop loin. Son statut de seconde main
pour faire respecter la discipline dans la maison vient de changer en un rien
de temps. Elle vient de manquer ouvertement de respect à sa mère et tel qu’elle
la connaît, elle sait que ça va chauffer pour ses fesses. Maline, elle se fait
suppliante comme une gamine prise en défaut.
–
« Oh maman, je t’en prie. Je suis désolée. Pas la fessée s’il te plaît !
Pas la fessée ! »
Gladys
est ravie d’avoir trouvé l’occasion de remettre sa fille à sa place, sous son
autorité. Elle s’amuse intérieurement à l’entendre implorer sa clémence pendant
qu’elle savoure à l’avance la correction qu’elle lui prépare.
« Mais bien sûr que si ma chérie, la fessée ! Mademoiselle se croit tout permis ! Elle
s’imagine que je n’oserais pas la mettre en travers de mes cuisses, la
déculotter et lui rougir les fesses comme elle le mérite... et bien
mademoiselle se trompe lourdement !
–
Non maman, pas la fessée ! S’il te plaît, pas la fessée déculottée ! … je te
demande pardon ! Plus à mon âge, la fessée !
–
Tiens donc ! C’est une question d’âge maintenant ! Ça ne te gène pourtant pas
de déculotter et fesser régulièrement ton frère qui n’a que trois ans de moins
que toi et encore moins de claquer les fesses de ton beau-père qui en a presque
cinquante ! »
L'argument est imparable, Patricia, pour une
fois, ne trouve rien à répondre et sent déjà le courant d'air de la déculottée
sous sa jupe. Gladys a pris le dessus et continue sur sa lancée.
« Que ça te plaise ou non ma fille, tu as encore besoin de fessées ! De
bonnes fessées ! Et je suis là pour ça ! Le respect et l’obéissance c’est
valable pour tout le monde, les fessées aussi ! Tu n’en es pas dispensée, au
moins tant que tu vivras dans cette maison ! »
Très
remontée elle enchaîne direct sur un ton qui ôte toute idée de contestation.
« Amène moi tes fesses, et
dépêche-toi ! Tu sais que plus on me fait attendre plus les fessées sont
longues et sévères ! »
Patricia
enrage. Les lèvres pincées, elle se lève de son fauteuil sans rien dire, et se
retient de ne pas trépigner sur place. Elle sait que le moindre signe de
rébellion ou la plus petite manifestation d’humeur sera prétexte à une fessée
supplémentaire. Ses tentatives d’apitoiement n’ont servi à rien. Sa mère est
inflexible, aucun argument ne peut la faire changer d’avis lorsqu’elle a décidé
de flanquer une fessée. Insister, c’est lui donner l’occasion d’en mettre une
deuxième.
Gladys
s’est redressée dans le canapé et s’installe confortablement pour fesser à son
aise. D’un geste élégant elle retrousse la jupe de son tailleur sur le haut de
ses cuisses qu‘elle tapote du plat de la main pour indiquer l’emplacement du
derrière.
« Et bien qu’est-ce que tu attends ? Tes fesses devraient déjà être en
place. Ça te vaudra une fessée supplémentaire, pour mettre autant de temps à
venir les mettre en position. »
Patricia
se retient de crier au scandale ou à l’abus d’autorité. Elle ferait la même
chose avec son frère. Elle se tient droit debout, les bras le long du corps,
poings serrés, au bord de sa jupe plissée qui ondule en haut de ses cuisses.
Furieuse du traitement que lui inflige sa mère, elle s’avance avec dignité,
pour montrer qu’elle ne se soumet pas à sa fessée mais qu'elle la sollicite. Ce
qui est loin d’être le cas. Gladys n’est pas dupe. Elle s’en moque comme de sa
première paire de bas nylon et s‘amuse même du comportement puéril de sa fille.
« Ma pauvre chérie, tu as l’air contrarié… Dit-elle sur un ton
faussement navré. Evidemment, on est moins fière d’être obligée de venir se
faire déculotter pour recevoir une fessée alors qu’habituellement on la donne.
Mais ça va te faire le plus grand bien en te rappelant l‘effet que ça fait et
comment s‘y prendre pour bien fesser. Rien ne vaut les leçons de fessées de
maman ! »
Patricia
est à sa portée. Elle la saisit par le poignet et la force à s’allonger sur ses
genoux. Elle résiste un court instant pour la forme, mais sa mère a de la
poigne et l’allonge de force sur ses genoux. Emportée par l’élan elle bascule
complètement en avant et se retrouve la tête en bas, les mains plaquées au sol,
le derrière en l’air, en bonne position. Sa jupe courte s’est retroussée
d’elle-même sur ses reins, découvrant une plantureuse paire de fesses rebondissante,
étroitement moulée dans un petit slip de nylon noir du meilleur effet. Il est
si étroit qu’il protège à peine la moitié des fesses, le reste débordant
généreusement des élastiques.
« Quelle
bonne idée de mettre des jupes aussi courtes ! Très pratique pour la fessée !
Pas de perte de temps, elles se retroussent toutes seules et les fesses sont
immédiatement à portée de main ! »
Patricia
recommence à s’agiter en ruant du derrière.
« Maman,
non, s’il te plaît, pas la fessée ! Pas moi ! Pas moi ! Pas la fessée ! Je te
promets de ne pas recommencer ! Je… je…
–
Trop tard ma chérie, trop tard ! Dit presque joyeusement Gladys en positionnant
le derrière à sa main. Il fallait y penser plus tôt ! Tu auras tout le temps
d’y réfléchir pendant ta fessée que je vais faire durer aussi longtemps que
nécessaire. »
Tout
en parlant Gladys a pris possession du postérieur en pénitence. D’une paume
enveloppante elle caresse les belles rondeurs fermes et élastiques qui
tressaillent nerveusement au contact de la main qui va les claquer.
Simultanément de son autre main, elle pèse sur les reins de l’arrogante pour la
maintenir en place. Le derrière, obéissant, s’arrondit naturellement rendant le
déculottage plus aisé.
Au
moment où sa mère saisit l’élastique de son slip, Patricia se met à se
tortiller sur ses genoux et à battre des jambes en criant
« Non maman, non ! Pas la fessée déculottée ! Pitié, s’il te plaît ! Pas
la déculottée ! Raaaaaah non !
Gladys
amusée, la laisse se contorsionner quelques secondes, lâche l’élastique du
slip, et la calme d’un seul coup d’une claque magistrale sur chaque fesse. Une
belle empreinte rouge apparaît en plein milieu à travers la transparence du
nylon. Elle vient de marquer son territoire avec autorité. Patricia rugit.
« Ouaiiiiie! Maman ! Qu’est-ce que tu tapes fort ! Ça fait déjà mal sur le slip, alors s’il te
plaît, pas la fessée déculottée ! »
Gladys
sourit, elle a la situation et le derrière de sa fille bien en main.
«
De toute manière il ne protège pas grand-chose… Mais bon, puisque tu insistes…
C’est d’accord, pas la fessée déculottée...
–
Aaaaaah maman merci ! Oui… merci… je…
–
J’ai dit, pas la fessée déculottée... Mais seulement pour commencer.
Patricia
se tord le cou pour regarder sa mère par-dessus son épaule.
« Comment
ça seulement pour commencer ?
–
Mais enfin qu’est-ce que tu crois ? Tu
auras une première fessée sur le slip, pour te chauffer le derrière, et ensuite
la fessée déculottée comme prévu. Finalement tu as bien fait de réclamer, ça te
fait deux fessées au lieu d’une ! »
Patricia
humiliée par le cynisme de sa mère, tape des mains par terre en vociférant et
faisant tressauter son derrière en même temps.
–« Ah non maman, ce n’est pas juste ! Pas juste !
–
Mais ma chérie je ne fais qu’accéder à ta demande. Tu ne sais décidément pas ce
que tu veux ! Et puis les pleurnicheries et les caprices ça suffit ! Je
vois bien que tu essayes de gagner du temps ! Tends tes fesses ! »
Elle
tire sur l‘élastique du slip pour bien le lui ajuster sur le derrière et la
fessée commence aussitôt à grandes claques cuisantes qui retentissent dans
toute la pièce.
Agacée
par le comportement de sa fille Gladys fesse fort dès le début. Elle claque à
pleine main le large fessier récalcitrant qu’elle fait tressauter en cadence
sur ses cuisses. Elle fesse bien, avec méthode, passant d’une fesse à l’autre à
un rythme régulier, s’appliquant, dans un premier temps, à bien en rougir les
rondeurs débordant du slip. Puis, un fois obtenu la couleur désirée, elle
élargit progressivement la surface de cuisson et remonte ensuite le long de la
raie pour revenir fesser plein centre, là où la partie la plus charnue est
agréable à travailler à travers le nylon.
Le
fessier, bien déployé, commence à chauffer sous les cuisantes rafales, et
s’enlumine d’un magnifique halo rougeoyant qui témoigne de l’intensité de la
fessée. Tout en claquant l'opulent fessier, Gladys interpelle la punie. Le
souffle court, le front au ras du sol, elle émet un gémissement étouffé,
saccadé par le tempo des claquées qui lui secouent durement l'arrière train. Maman est tout simplement en train
de rétablir les cadences infernales sur ses fesses,
« Dis-moi chérie, j’y pense en voyant rougir tes fesses, et je peux te
dire qu’elles rougissent vraiment bien… Simple curiosité, à quand remonte ta
dernière fessée ? Tu t’en souviens au moins ? »
Pas
de réponse. Patricia est occupée. En appui sur les mains, bras tendus, elle met
un point d’honneur à maintenir ses fesses en position malgré la force des
claques qui les font rebondir dans tous les sens. Elle est furieuse et humiliée
de se faire corriger comme une adolescente attardée. Portée par sa colère
contenue, elle parvient encore à retenir ses larmes pour ne pas donner à sa
mère le plaisir d’entendre les cris et les pleurs qui accompagnent
habituellement les claquements d'une aussi cuisante fessée.
Avec les dessins originaux de l'auteur !
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Le début : chapitre 1
et l'épisode précédent : chapitre 12. C'était la fin de la saison 1
Il y a une suite, le chapitre 2
et l'épisode précédent : chapitre 12. C'était la fin de la saison 1
Il y a une suite, le chapitre 2
Et pour ceux qui chercheraient un chapitre en particulier...
... vous trouverez tout ce que vous cherchez sur la page "Les auteurs invités"
Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre : ramina16@laposte.net
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerExcellente joute. Retour tant attendu...
"Gladys II : le retour de la Force ". Talaam !
Et oui, ce sont des choses qui arrivent. L'élève est recadrée par la maitresse. Gladys garde la haute main sur sa cour.
Et elle a de la chance, miss Patricia, de ne pas subir la honte d'une fessée devant témoins. La punition restera "entre filles"! Rires.
Bonne journée. Peter'.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerEh oui, Gladys reprend la main sur les affaires courantes. Les fesses de Patricia en font partie et n'y échappent pas. Les postérieurs de la maison sont égaux devant la fessée.
C'est curieux comme les commentaires sont souvent prémonitoires ou annonciateurs, sans le savoir, de suites probables. J'en commet moi même souvent qui vont dans se sens là. J'en recueille aussi en retour.
Patricia va t elle avoir la chance d'éviter la honte d'une fessée devant témoin...
Zat iz ze kouestione !
Cordialement
Ramina
Oui, bon, le texte, c'est plutôt convenu ici, ils se ressemblrnt tous les uns et les autres de jours en jours, sans différences essentielles. Mais, j'applaudis aux dessins qui illustrrent, vraiment originaux et interessants. Bravo.
RépondreSupprimerPatience... Laissez le temps aux situations pour évoluer avec d'autres personnages entrant en scène... Merci pour le commentaire sur les dessins.
RépondreSupprimerRamina