mardi 4 décembre 2018

Ces dames aux mains fermes - S2 - chapitre 1


Le retour de Ramina... comme auteur de récits. Il s'agit de la suite des aventures de Gladys, est-il besoin d'en dire plus ?

SAISON 2 : GLADYS ET SES AMIES

Chapitre 1 : Chacun son tour.


Le nuage de lait se dispersa lentement en volutes blanches qui éclaircirent la surface brune du thé. La petite cuillère tinta contre la tasse en porcelaine lorsque Patricia la saisit pour la porter à ses lèvres. Elle but une gorgée avec précaution. Le liquide était encore un peu trop chaud. Elle reposa la tasse sur la table basse avec un petit soupire, pris un biscuit pour patienter, et croqua dedans en se renfonçant dans son fauteuil.
Assise dans le canapé en face d’elle, Gladys, sa tasse dans une main, son portable dans l’autre consultait ses rendez-vous de la semaine.




Tout était tranquille en ce lundi après-midi. Ces Dames profitaient d’un moment de détente bien mérité après un week-end mouvementé, rythmé par les fessées, les cris, les pleurs et les supplications d‘Edouard et Robin. Le calme était provisoirement revenu dans la maison, à peine troublé par la diffusion, en sourdine, d’une musique jazz swing entraînante. Ce silence relatif était presque pesant dans un salon qui semblait encore raisonner du claquement des fessées de la veille et des clameurs de souffrance des punis. La pièce tout entière, fréquemment utilisée pour l’administration des corrections, baignait dans un climat de transition entre le retour à l’apaisement et la perspective des fessées à venir.

Gladys estimait comme une évidence la nécessité de maintenir une stricte discipline domestique et conjugale par une pratique régulière de la fessée. Elle en vantait les bienfaits, affirmant que c’était la méthode la plus efficace pour inculquer les règles de savoir vivre aux messieurs dont l’éducation n’était pas terminée. Pour ne citer que l’entourage proche, son fils, passe encore malgré ses vingt-et-un ans, mais aussi son deuxième mari dont les comportements souvent immatures nécessitaient l’emploi de fréquentes mesures disciplinaires.

Elle y avait initié sa fille, Patricia, qui avait très vite appris à administrer les fessées. Notamment à l’encontre de Robin, son incorrigible frère, dont les écarts de conduite, l’insolence et le manque de travail, justifiaient un régime de fessées adapté, particulièrement sévère. Par son aptitude à fesser elle commençait même à rivaliser avec sa mère, experte en la matière qui avait fini par lui laisser prendre l’initiative de corriger Edouard, son beau-père, lorsque les circonstances l’exigeaient. Le malheureux n‘en demandait pas tant, qui de ce fait, bénéficiait d’un complément de service aux cuisantes déculottées que son épouse lui administrait déjà régulièrement.

La vie de famille se déroulait dans un harmonieux équilibre entre l’acceptation du devoir de respect et l’obligation d’obéissance en toutes circonstances. Sous l’autorité des femmes de la maison, l’utilisation systématique de la fessée facilitait grandement l’adhésion aux règles de comportement. Gladys se plaisait à souligner qu’une paire de fesses rouges et cuisantes au fond d’un slip était l’argument le plus convaincant pour imposer une bonne discipline domestique. Les fessées claquaient tous les jours, voire plusieurs fois par pour, selon les nécessités et surtout l’humeur de ces dames. A ces raclées quotidiennes s’ajoutait le cérémonial tant redouté du bilan de week end, régulièrement soldé par une généreuse distribution de fessées. Chaque faute répertoriée, chaque négligence ou désobéissance commise pendant la semaine était sanctionnée par un nombre équivalent de fessées.

Ces dernières journées de samedi et dimanche s’était déroulées dans un climat caniculaire pour les fesses d’Edouard et Robin contraints de multiplier les allers et retours sur les genoux des deux femmes pour se les faire rougir à maintes reprises. Aucune clémence, aucune échappatoire possible. Entre les fessées déculottées et les séjours d’exposition au coin culotte baissée, ils avaient passé plus de temps le slip en travers des cuisses plutôt que les fesses dedans.

Selon une des expressions favorites de Gladys selon laquelle :
« Rien de tel qu’une bonne fessée déculottée pour bien commencer une journée ! »
Edouard et Robin, s’étaient pris chacun leur fessée déculottée, côte à côte dans l’entrée dès le matin, avant de partir, l’un au bureau, l’autre de retourner à l’institut. Mesure de prévention sous forme de « fessée d’entretien » en rappel aux règles de bonne conduite qu’ils sont censés respecter durant la journée. Il faut croire que ces Dames estimaient insuffisante leur ration de fessées du week-end, pourtant généreusement fournies. Preuve, s’il en était, ces fessées matinales avaient été administrées sur des derrières encore rouges de celles de la veille. Les malheureux s’étaient retrouvés dehors, les fesses en feu, fraîchement reculottées, empressés de s’essuyer les yeux pour essayer de dissimuler leurs larmes aux passants.

Comme à chaque fois, Gladys avait toujours le bon argument pour justifier la première fessée de la journée.
« Un fessier chauffé au rouge, stimule l’activité et incite à un meilleur comportement au travail ! »
Avait-elle lancé avec un sourire satisfait en reculottant son mari. D’une claque aux fesses à travers le pantalon, elle l’avait envoyé vers la porte en ajoutant
« Pour Robin, je ne me fais pas de souci, il y a une bonne discipline à l‘institut. Mais pour toi, Edouard, il faudrait que je vois du côté de tes secrétaires. Je devrais bien en trouver au moins une qui serait ravie de s’occuper de tes fesses quand je le lui demanderais. »
Patricia s’en était amusée avec son ironie habituelle
« Ça doit être assez réjouissant de pouvoir déculotter et fesser son supérieur hiérarchique sans risquer son poste. »
Claquant des talons-aiguille, la main chaude encore emplie de la rondeur charnue des paires de fesses, les deux femmes étaient parties se resservir un café au salon en se félicitant mutuellement de la qualité de leur prestation sur les derrières de ces messieurs.


Patricia finit par déguster son thé à petites gorgées. Elle reposa sa tasse avec la trace de son rouge à lèvre sur le bord. Elle l’effaça d’un doigt.
« Je voudrais bien voir la tête de la sœur qui va découvrir la couleur des fesses de Robin quand elle va le déculotter pour lui mettre sa première fessée. Elles étaient bien rouges en partant. J’espère qu’elles le sont resté au moins jusqu’à la fessée suivante. Gladys avec un petit sourire en coin.
– De toute façon, il a sûrement dû s’en prendre une pendant le contrôle des carnets de correspondance ce matin.
– Ah bon, tu crois… pourquoi ?
– Parce qu’il a encore oublié le sien ici !
– Non, c’est pas vrai ! S’exclame Patricia l’air étonné et amusé à la fois.
– Si ! Il est resté sur la commode de l’entrée. Il l’a posé là ce matin quand tu l’as déculotté pour lui mettre sa fessée. Il devait être tellement occupé par la cuisson de ses fesses qu’il l’a oublié en partant. Le pauvre chéri !
– Incroyable ! Ce n’est pourtant pas faute de lui flanquer des fessées ! Et des bonnes !
Gladys cette fois relève la tête de l’écran de son portable et réplique avec une logique implacable.
– « Et bien tu vois, pas encore assez ! Il lui en faudrait même des plus sévères ! A ce propos, il faut qu’on pense à préparer la soirée de samedi. »

Patricia hoche la tête en soupirant, ce qui eut pour effet de soulever son opulente poitrine qui s’extériorisa un peu plus en dehors de son bustier. Elle étend ses jambes, enlève ses escarpins en les poussant du bout des doigts de pieds et pose ses talons sur la table basse. Elle en profite pour ajuster la couture de ses bas nylon qui souligne le galbe de ses mollets. Les avant-bras pendants négligemment sur les bras du fauteuil, le dos des mains relevé, elle jette un coup d’œil distrait à son vernis à ongles.
« Tout à fait d’accord avec toi maman. Il ne faut pas lésiner sur les fessées si on veut obtenir des résultats. Tu sais, maintenant que tu m’y as fait prendre goût, plus je fesse, plus j’aime ça et plus j’ai envie de fesser !
– Oui, j’ai remarqué ça. Répond Gladys en éteignant son portable. Et tu fesses de mieux en mieux. »
Patricia, réceptive au compliment, esquisse un petit sourire de contentement.
« En attendant, reprend-elle, si les leçons du week-end ont été retenues, j’en connais un qui ne devrait pas traîner en rentrant du bureau ce soir pour éviter une nouvelle fessée!
– Oh tu sais, Edouard est capable de tout. Malgré le recadrage de ce week-end  ça ne m’étonnerait pas qu’il nous donne encore une raison de lui flanquer une raclée ce soir. Avec lui, comme avec ton frère d’ailleurs, il n’y a pas besoin de chercher longtemps... les motifs de fessées arrivent tout seuls ou on finit bien par en trouver.» 

Gladys s’adossa plus profondément au canapé, croisa haut les jambes, et, changeant brusquement d’attitude regarda fixement sa fille.
« Dis-moi, ma chérie, je ne voudrais pas paraître désagréable, mais peux-tu m’expliquer, s’il te plaît, à quoi rime cette nouvelle façon de se tenir ? »
Patricia, surprise, quitte ses ongles des yeux et, un petit frisson dans le dos, regarde sa mère d’un air méfiant.
Celle-ci poursuit sur le même ton neutre, posé... Le calme avant la tempête. 
« Depuis quand, maintenant, tu t’amuses à mettre les pieds sur la table ? »
Le visage de la jeune femme change instantanément de couleur. Elle pâlit et, comme piquée par une guêpe, réagit aussitôt en reposant ses pieds parterre. Nouveau frisson. Elle bredouille.
« Mais maman… euh… je… c’est...c’est que…
– C’est que quoi ? L’interrompt sèchement sa mère d’un ton presque menaçant. Je t’ai posé une question… C’est quoi cette manière de se tenir ?
– Je me détends les jambes maman.  J’ai les chevilles un peu douloureuses en ce moment.
– C’est ça oui… Façon peu élégante de se détendre les jambes. Et puis si tu portais des talons moins hauts, tu n’aurais peut-être moins mal aux chevilles.
– Maman… ça te vas bien de dire ça, tu as pratiquement les mêmes !
– Et alors, je ne vois pas le rapport. Je les supporte très bien et je ne me plains pas. »

Gladys commence à montrer quelques signes d’agacement. Son niveau de tolérance à la contestation n’est pas plus élevé que la température d’un derrière en manque de fessée depuis une journée.
– « Patricia, il va falloir que tu changes de ton ma petite. D'ailleurs, je te trouve bien insolente depuis un certain temps ! »
Patricia perdait peu à peu de sa superbe et sentait que les choses pouvaient rapidement mal tourner si elle persistait à répondre.  Elevée à la fessée, comme son frère, elle se méfiait du caractère impétueux de sa mère et de ses réactions lorsqu’elle sentait son autorité remise en cause. Elle essaya maladroitement de faire redescendre la tension en évitant, cependant, d’avoir l’air de faire des concessions. Question d’amour propre.
– « C’est bon maman, c’est bon ! Dit-elle en remettant ses pieds dans ses chaussures. Ce n’est pas grave. Pas la peine de t’énerver pour ça ! »
Elle lisse à nouveau ses bas sur ses cuisses, rajuste une jarretelle et se rassied correctement en soupirant, pour bien montrer qu’elle obéit de son plein gré et non sous la contrainte.
– « Voilà, ça te convient mieux comme ça ? »

La phrase de trop qu’il ne fallait pas prononcer et l’attitude provocante qu’il valait mieux éviter. Gladys maîtrisant de moins en moins sa colère montante, lui lance un regard noir en pointant un doigt menaçant dans sa direction. Il y a de la fessée dans l’air et elle l’aura bien cherchée.
– « Cette fois ma chère, tu dépasses les bornes, ça fait plusieurs fois que ça arrive et que je te préviens. Ce n’est pas parce que je te laisse mettre des fessées à ton frère et maintenant ton beau-père qu’il faut te croire à l’abri de t’en prendre, toi aussi. Je peux encore t’allonger sur mes genoux, te déculotter et t’en flanquer des sévères tu sais !

Patricia réalise un peu tard qu’elle est allée trop loin. Son statut de seconde main pour faire respecter la discipline dans la maison vient de changer en un rien de temps. Elle vient de manquer ouvertement de respect à sa mère et tel qu’elle la connaît, elle sait que ça va chauffer pour ses fesses. Maline, elle se fait suppliante comme une gamine prise en défaut.
– « Oh maman, je t’en prie. Je suis désolée. Pas la fessée s’il te plaît ! Pas la fessée ! »

Gladys est ravie d’avoir trouvé l’occasion de remettre sa fille à sa place, sous son autorité. Elle s’amuse intérieurement à l’entendre implorer sa clémence pendant qu’elle savoure à l’avance la correction qu’elle lui prépare.

« Mais bien sûr que si ma chérie, la fessée !  Mademoiselle se croit tout permis ! Elle s’imagine que je n’oserais pas la mettre en travers de mes cuisses, la déculotter et lui rougir les fesses comme elle le mérite... et bien mademoiselle se trompe lourdement !
– Non maman, pas la fessée ! S’il te plaît, pas la fessée déculottée ! … je te demande pardon ! Plus à mon âge, la fessée !
– Tiens donc ! C’est une question d’âge maintenant ! Ça ne te gène pourtant pas de déculotter et fesser régulièrement ton frère qui n’a que trois ans de moins que toi et encore moins de claquer les fesses de ton beau-père qui en a presque cinquante ! » 

  L'argument est imparable, Patricia, pour une fois, ne trouve rien à répondre et sent déjà le courant d'air de la déculottée sous sa jupe. Gladys a pris le dessus et continue sur sa lancée.
« Que ça te plaise ou non ma fille, tu as encore besoin de fessées ! De bonnes fessées ! Et je suis là pour ça ! Le respect et l’obéissance c’est valable pour tout le monde, les fessées aussi ! Tu n’en es pas dispensée, au moins tant que tu vivras dans cette maison ! »
Très remontée elle enchaîne direct sur un ton qui ôte toute idée de contestation.
­ « Amène moi tes fesses, et dépêche-toi ! Tu sais que plus on me fait attendre plus les fessées sont longues et sévères ! »

Patricia enrage. Les lèvres pincées, elle se lève de son fauteuil sans rien dire, et se retient de ne pas trépigner sur place. Elle sait que le moindre signe de rébellion ou la plus petite manifestation d’humeur sera prétexte à une fessée supplémentaire. Ses tentatives d’apitoiement n’ont servi à rien. Sa mère est inflexible, aucun argument ne peut la faire changer d’avis lorsqu’elle a décidé de flanquer une fessée. Insister, c’est lui donner l’occasion d’en mettre une deuxième.  

Gladys s’est redressée dans le canapé et s’installe confortablement pour fesser à son aise. D’un geste élégant elle retrousse la jupe de son tailleur sur le haut de ses cuisses qu‘elle tapote du plat de la main pour indiquer l’emplacement du derrière.
« Et bien qu’est-ce que tu attends ? Tes fesses devraient déjà être en place. Ça te vaudra une fessée supplémentaire, pour mettre autant de temps à venir les mettre en position. »

Patricia se retient de crier au scandale ou à l’abus d’autorité. Elle ferait la même chose avec son frère. Elle se tient droit debout, les bras le long du corps, poings serrés, au bord de sa jupe plissée qui ondule en haut de ses cuisses. Furieuse du traitement que lui inflige sa mère, elle s’avance avec dignité, pour montrer qu’elle ne se soumet pas à sa fessée mais qu'elle la sollicite. Ce qui est loin d’être le cas. Gladys n’est pas dupe. Elle s’en moque comme de sa première paire de bas nylon et s‘amuse même du comportement puéril de sa fille.

« Ma pauvre chérie, tu as l’air contrarié… Dit-elle sur un ton faussement navré. Evidemment, on est moins fière d’être obligée de venir se faire déculotter pour recevoir une fessée alors qu’habituellement on la donne. Mais ça va te faire le plus grand bien en te rappelant l‘effet que ça fait et comment s‘y prendre pour bien fesser. Rien ne vaut les leçons de fessées de maman ! »

Patricia est à sa portée. Elle la saisit par le poignet et la force à s’allonger sur ses genoux. Elle résiste un court instant pour la forme, mais sa mère a de la poigne et l’allonge de force sur ses genoux. Emportée par l’élan elle bascule complètement en avant et se retrouve la tête en bas, les mains plaquées au sol, le derrière en l’air, en bonne position. Sa jupe courte s’est retroussée d’elle-même sur ses reins, découvrant une plantureuse paire de fesses rebondissante, étroitement moulée dans un petit slip de nylon noir du meilleur effet. Il est si étroit qu’il protège à peine la moitié des fesses, le reste débordant généreusement des élastiques.
« Quelle bonne idée de mettre des jupes aussi courtes ! Très pratique pour la fessée ! Pas de perte de temps, elles se retroussent toutes seules et les fesses sont immédiatement à portée de main ! »
Patricia recommence à s’agiter en ruant du derrière.
« Maman, non, s’il te plaît, pas la fessée ! Pas moi ! Pas moi ! Pas la fessée ! Je te promets de ne pas recommencer ! Je… je…


La fessées déculottée sur les genoux de Maman


– Trop tard ma chérie, trop tard ! Dit presque joyeusement Gladys en positionnant le derrière à sa main. Il fallait y penser plus tôt ! Tu auras tout le temps d’y réfléchir pendant ta fessée que je vais faire durer aussi longtemps que nécessaire. »
Tout en parlant Gladys a pris possession du postérieur en pénitence. D’une paume enveloppante elle caresse les belles rondeurs fermes et élastiques qui tressaillent nerveusement au contact de la main qui va les claquer. Simultanément de son autre main, elle pèse sur les reins de l’arrogante pour la maintenir en place. Le derrière, obéissant, s’arrondit naturellement rendant le déculottage plus aisé.
Au moment où sa mère saisit l’élastique de son slip, Patricia se met à se tortiller sur ses genoux et à battre des jambes en criant
« Non maman, non ! Pas la fessée déculottée ! Pitié, s’il te plaît ! Pas la déculottée ! Raaaaaah non !

Gladys amusée, la laisse se contorsionner quelques secondes, lâche l’élastique du slip, et la calme d’un seul coup d’une claque magistrale sur chaque fesse. Une belle empreinte rouge apparaît en plein milieu à travers la transparence du nylon. Elle vient de marquer son territoire avec autorité. Patricia rugit.
« Ouaiiiiie! Maman ! Qu’est-ce que tu tapes fort !  Ça fait déjà mal sur le slip, alors s’il te plaît, pas la fessée déculottée ! »
Gladys sourit, elle a la situation et le derrière de sa fille bien en main.
« De toute manière il ne protège pas grand-chose… Mais bon, puisque tu insistes… C’est d’accord, pas la fessée déculottée...
– Aaaaaah maman merci !  Oui… merci… je…
– J’ai dit, pas la fessée déculottée... Mais seulement pour commencer.
Patricia se tord le cou pour regarder sa mère par-dessus son épaule.
« Comment ça seulement pour commencer ?
– Mais enfin qu’est-ce que tu crois ?  Tu auras une première fessée sur le slip, pour te chauffer le derrière, et ensuite la fessée déculottée comme prévu. Finalement tu as bien fait de réclamer, ça te fait deux fessées au lieu d’une ! »
Patricia humiliée par le cynisme de sa mère, tape des mains par terre en vociférant et faisant tressauter son derrière en même temps.
–« Ah non maman, ce n’est pas juste ! Pas juste ! 
– Mais ma chérie je ne fais qu’accéder à ta demande. Tu ne sais décidément pas ce que tu veux ! Et puis les pleurnicheries et les caprices ça suffit ! Je vois bien que tu essayes de gagner du temps ! Tends tes fesses ! »

Elle tire sur l‘élastique du slip pour bien le lui ajuster sur le derrière et la fessée commence aussitôt à grandes claques cuisantes qui retentissent dans toute la pièce.
Agacée par le comportement de sa fille Gladys fesse fort dès le début. Elle claque à pleine main le large fessier récalcitrant qu’elle fait tressauter en cadence sur ses cuisses. Elle fesse bien, avec méthode, passant d’une fesse à l’autre à un rythme régulier, s’appliquant, dans un premier temps, à bien en rougir les rondeurs débordant du slip. Puis, un fois obtenu la couleur désirée, elle élargit progressivement la surface de cuisson et remonte ensuite le long de la raie pour revenir fesser plein centre, là où la partie la plus charnue est agréable à travailler à travers le nylon.
Le fessier, bien déployé, commence à chauffer sous les cuisantes rafales, et s’enlumine d’un magnifique halo rougeoyant qui témoigne de l’intensité de la fessée. Tout en claquant l'opulent fessier, Gladys interpelle la punie. Le souffle court, le front au ras du sol, elle émet un gémissement étouffé, saccadé par le tempo des claquées qui lui secouent durement l'arrière train. Maman est tout simplement en train de rétablir les cadences infernales sur ses fesses,

« Dis-moi chérie, j’y pense en voyant rougir tes fesses, et je peux te dire qu’elles rougissent vraiment bien… Simple curiosité, à quand remonte ta dernière fessée ? Tu t’en souviens au moins ? » 


La fessée déculottée pour Patricia


Pas de réponse. Patricia est occupée. En appui sur les mains, bras tendus, elle met un point d’honneur à maintenir ses fesses en position malgré la force des claques qui les font rebondir dans tous les sens. Elle est furieuse et humiliée de se faire corriger comme une adolescente attardée. Portée par sa colère contenue, elle parvient encore à retenir ses larmes pour ne pas donner à sa mère le plaisir d’entendre les cris et les pleurs qui accompagnent habituellement les claquements d'une aussi cuisante fessée.



Avec les dessins originaux de l'auteur !


Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...

Le début : chapitre 1
et l'épisode précédent : chapitre 12. C'était la fin de la saison 1

Il y a une suite, le chapitre 2

Et pour ceux qui chercheraient un chapitre en particulier...


... vous trouverez tout ce que vous cherchez sur la page "Les auteurs invités"

Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.

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4 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Excellente joute. Retour tant attendu...
    "Gladys II : le retour de la Force ". Talaam !
    Et oui, ce sont des choses qui arrivent. L'élève est recadrée par la maitresse. Gladys garde la haute main sur sa cour.
    Et elle a de la chance, miss Patricia, de ne pas subir la honte d'une fessée devant témoins. La punition restera "entre filles"! Rires.
    Bonne journée. Peter'.

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  2. Bonjour Peter,
    Eh oui, Gladys reprend la main sur les affaires courantes. Les fesses de Patricia en font partie et n'y échappent pas. Les postérieurs de la maison sont égaux devant la fessée.
    C'est curieux comme les commentaires sont souvent prémonitoires ou annonciateurs, sans le savoir, de suites probables. J'en commet moi même souvent qui vont dans se sens là. J'en recueille aussi en retour.
    Patricia va t elle avoir la chance d'éviter la honte d'une fessée devant témoin...
    Zat iz ze kouestione !
    Cordialement
    Ramina

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  3. Oui, bon, le texte, c'est plutôt convenu ici, ils se ressemblrnt tous les uns et les autres de jours en jours, sans différences essentielles. Mais, j'applaudis aux dessins qui illustrrent, vraiment originaux et interessants. Bravo.

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  4. Patience... Laissez le temps aux situations pour évoluer avec d'autres personnages entrant en scène... Merci pour le commentaire sur les dessins.
    Ramina

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