Une semaine s’était écoulée depuis ma correction mémorable
reçue des mains de Madame Leroy dans son bureau. Cinquante coups de canne
anglaise, extrêmement cinglants, qui m’avaient laissées les fesses zébrées et
douloureuses pendant plusieurs jours. Les dernières traces d’hématome
commençaient à peine à s’estomper et je pouvais à nouveau m’asseoir sans faire
des grimaces de douleur.
La vie quotidienne à la SFID avait repris son cours et
l’incident du recrutement d’Aurélie aussi. C’était comme cela avec Madame
Leroy, une fois la faute corrigée on n’en parlait plus et on passait à autre
chose. Certes le règlement de discipline de la SFID était particulier mais il
avait l’avantage d’être simple et clair. Les produits fabriqués par la SFID y
étaient évidemment pour quelque chose et la philosophie de l’entreprise aussi « la
discipline par l’instrument depuis 1869 ». Tous ceux qui intégraient la
SFID étaient prévenus et à partir du moment où il signait le règlement
intérieur c’était en toute connaissance de cause. De ce fait le personnel de la
SFID était soudé autour de cette philosophie particulière et cela ne posait de
problème à personne de savoir qu’un tel ou un tel était passé en salle de
correction pour se faire rougir les fesses par son chef.
Cela faisait partie du
quotidien. D’ailleurs cette philosophie se retrouvait également dans les
familles ou les instruments de la SFID régnaient pour maintenir la discipline
domestique aussi bien pour les enfants que pour les parents d’ailleurs si l’un
des deux fautait par son comportement. La SFID fabriquait des instruments de
discipline, il fallait bien les utiliser pour ce pourquoi ils étaient faits !
A chaque faute son châtiment corporel avec les instruments
de l’entreprise donné par le supérieur hiérarchique. Ainsi tout le monde savait
à quoi s’attendre en cas de dérapage, le fautif comme le chef et les relations
humaines s’en trouvaient simplifiées. Pas besoin d’avertissement, de
convocation, de lettre recommandée, de mise à pied et j’en passe tant notre
code du travail est complexe.
A la SFID, à l’énoncé de la sanction le puni se
déshabillait, se mettait en position, et la correction pouvait commencer. Une photo des fesses corrigées et un compte
rendu dans le dossier de l’employé, telle était la procédure simple et rapide
pour toutes fautes professionnelles. Bien sûr le degré de sévérité et le nombre
de coups appliqués dépendait de la gravité de la faute. Dans mon cas je n’avais
pris que cinquante coups mais quel coup ! La cane anglaise bien appliquée
est l’instrument le plus redoutable que j’avais eu l’occasion de goûter jusqu’à
présent. Et surtout il se rappelle à vous longtemps après l’application.
Madame Leroy avait décidé d’embaucher Aurélie pour me
suppléer dans la gestion du web marketing et il allait donc falloir que je la
forme. Et éventuellement aussi que je la punisse en cas de faute.
Et là plus question d’aller chercher Céline pour ce faire,
il allait falloir que j’assume mes responsabilités.
Céline qui voyait d’un très mauvais œil cette charmante
jeune fille intégrée mon service. Elle qui m’en voulait depuis ce fameux test d’embauche qui
nous avait conduit tous les deux à être sévèrement châtiés par Madame Leroy
pour chacun à notre niveau n’avoir pas eu le discernement nécessaire dans nos
fonctions.
Si je n’avais pas eu encore la réplique domestique de la
correction reçue à la SFID, c’est uniquement à cause de l’état de mes fesses
bien abîmées par la cannée qui n’avait raisonnablement pas permis à Céline de
sévir et de se venger de son humiliation dans le bureau de Madame Leroy. Non seulement elle
avait reçu une correction magistrale mais en plus c’est sa victime elle-même
qui, à l’invitation de Madame Leroy, l’avait fouettée avec un martinet
particulièrement sévère de la collection SFID.
Mais cette situation n’allait pas durer et Céline qui chaque
soir au coucher inspectait l’état de mes fesses, n’allait pas tarder à les
déclarer à nouveau bonnes pour le service. Et si Madame Leroy avait été sévère,
je n’imaginais pas que Céline puisse l’être moins. Bien au contraire la
situation dans laquelle je l’avais mise ne pouvait que déclencher une discipline
domestique exemplaire que je redoutais déjà.
Si le motif était déjà consigné dans le registre de
punitions la sanction correspondante n’était pas encore inscrite. Cela allait
bientôt l’être. En effet le soir même alors que j’allais me mettre au lit
Céline me baissa mon pantalon de pyjama comme elle avait pris l’habitude de le
faire depuis la fameuse cannée. Elle me fit positionner mes fesses devant la
lampe de chevet et les caressa longuement vérifiant qu’il ne restait plus de
traces de boursouflures laissée par la cane en rotin.
Ces caresses sur un endroit aussi sensible que les fesses
eurent pour effet de réveiller et donc redresser ma virilité sur le devant de
ma personne. Même si elle s’en aperçut Céline n’avait pas d’intention érotique
pour le moment mais plutôt technique. Elle se faisait son avis sur quand elle
allait pouvoir m’appliquer la fessée domestique promise. A priori satisfaite de
ce qu’elle avait palper et vu, Céline me dit avec le vouvoiement qu’elle
employait pour tout ce qui avait trait au règlement de discipline domestique
qu’elle m’avait fait signé :
« Georges, vos fesses sont à nouveau prêtes pour la
correction en attente et que je vous appliquerai demain. Préparez-vous car vous
risquez de crier fort. Je vous punirai aux verges que je vais mettre à tremper
de suite. Tenez-vous prêt en tenue à 19h30 précises en salle de punition.
Ce qu’elle venait d’énoncer fermement mis un frein à mes
ardeurs du moment et je me reculottais prestement. Les verges, bigre je n’avais
encore pas été corrigé avec cet instrument mais pour avoir en tête les
commentaires du catalogue de la SFID et vu des photos des résultats obtenus
j’étais déjà convaincu qu’il s’agissait d’un instrument redoutable.
Employé dès l’antiquité, les verges formées d’un faisceau de
badines souples, généralement de bouleau, liées entre elles, étaient appliquées
sur les fesses nues des esclaves du temps des Romains. Plus tard elles furent
appliquées pour punir les élèves inattentifs, les enfants désobéissants, les
domestiques paresseux, les militaires indisciplinés. Cet instrument assez
rustiques mais très ancien avait retrouvé sa place dans le catalogue de la SFID
comme un grand classique mais redevenant à la mode par son caractère de produit
cent pour cent naturel.
Les verges de la SFID étaient confectionnées soit avec du
bouleau importés de Sibérie pour sa qualité de souplesse et résistance, soit
avec du noisetier de Turquie dont les branches plus droite et moins noueuses
n’en sont pas moins cinglante au contraire. Elles étaient liées entre elle par
une cordelette de chanvre et livrées par paquet de 10. Car les verges sont un
instrument à usage unique. On peut être amené à en utiliser plusieurs bouquets
pour une même fessée suivant la sévérité que l’on veut donner à celle-ci. Et c’est
des milliers de paquets de verge que la SFID vendait chaque année.
Il était conseillé de les faire tremper dans l’eau pour les
ramollir un peu afin qu’elles ne se cassent pas trop vite lors de la
flagellation.
J’eu du mal à m’endormir ce soir-là sachant ce qui
m’attendais le lendemain.
Toute la journée j’eu la boule au ventre et j’eu du mal à me
concentrer sur mon travail en pensant à la séance du soir.
Céline m’avait convoqué en « tenue », autrement
dit en tenue de puni. C’est-à-dire que je devais me changer pour enfiler une
tenue de petit garçon. Petit garçon qui allait se faire corriger pour la grosse
bêtise qu’il avait faîtes 8 jours auparavant. Après avoir enfilé mon slip
kangourou blanc, et boutonné ma chemisette, je fixai les bretelles de ma culotte
de peau tyrolienne, déroulai mes socquettes blanches sur mes chevilles et enfin
je fermais la boucle de mes sandalettes, transformé e en gamin prêt à être
fessé.
Je n’en menai pas large en montant les escaliers de notre
salle de correction. C’est Céline qui dès notre de vie de couple entamé avait
tenu à faite aménager le grenier de notre maison de curé en salle d’application
de la discipline domestique qu’elle imposait à sa maisonnée. Mais c’est
essentiellement moi qui l’avait inauguré et qui assurait l’occupation de cette
pièce à intervalle régulier selon le remplissage du registre de punition relié
cuir, posé sur le bureau de l’entrée et dont beaucoup de pages avaient déjà été
soigneusement calligraphiée par Céline au stylo plume.
Elle y inscrivait la date du motif, le motif de la punition,
la correction envisagée avec les instruments utilisés. En passant devant le bureau
en rentrant du travail j’avais vu le registre ouvert et je n’avais pas pu
m’empêcher d’y jeter un œil pour ne pas dire deux. Et ce que je lu me fit froid
dans le dos. Je vous passe le motif que vous connaissez comme moi mais la suite
dont j’avais une idée, me confirma que j’allais passer un sale quart d’heure. A
instruments il était indiqué : verges de noisetiers puis de bouleau, 100
coups !
Arrivé devant la porte du grenier je frappais. Céline vint
m’ouvrir la porte et lorsqu’elle me découvrit en tenue, un sourire de
satisfaction maligne apparu sur son visage.
« C’est bien Georges, je vous que vous avez respecté
mes consignes. Mais je constate que votre tenue est encore une fois négligée.
Vous n’avez pas boutonné votre braguette ! Vous êtes incorrigible. Vous
aurez donc 10 coups de verges en plus pour vous apprendre à vous habiller
correctement.
Pris en faute je baissais mes yeux sur le devant de la
culotte qui effectivement baillait au niveau de la braguette. Je piquais un
fard et baissais la tête, honteux comme un gamin pris en faute et boutonnait
prestement ma culotte.
Céline était très élégante dans un pantalon de cuir moulant
qui mettait merveilleusement ses formes en valeur, ainsi qu’un joli chemisier
blanc qui laissait entrevoir un soutien-gorge à balconnet qui moulait
merveilleusement le galbe de ses seins. J’en oubliai presque pourquoi j’étais
là, habillé en petit garçon devant cette belle femme. Mais elle me ramena bien
vite à la réalité.
« Vous allez recevoir 50 coups de verges de noisetiers, puis
50 coups de verges de bouleau et donc 10 coups de plus pour n’avoir pas
boutonné votre braguette, nigaud que vous êtes ! Mettez-vous en slip pour
recevoir votre fessée. »
Je m’exécutais prestement pour ne pas risquer un tarif plus
élevé encore et je me redressai au garde en vous dans mon slip d’autrefois.
« Je ne vous attacherai pas cette fois ci sauf si vous
deviez trop bouger. Mais dans ce cas nous redémarrerions la punition à zéro.
Aussi tenez-vous tranquille si vous ne voulez pas finir les fesses en sang.
Posez les mains sur le banc, relevez vos fesses.
Pendant que je me mettais en position, j’aperçu à côté du
banc un vase en terre cuite duquel dépassait les manches de plusieurs faisceaux de verges. Céline en attrapa un et
le secoua pour faire tomber l’eau qui gouttait des branches de noisetier. Elle
répéta plusieurs fois son geste pour bien essorer les verges qui trempait depuis
la veille dans ce vase.
Puis elle attrapa le bord de mon slip et le descendit d’un
coup sur mes chevilles.
Je sentis le courant d’air sur mes fesses comme à chaque
fois qu’on me déculottait pour me fesser et instinctivement je resserrai mes 2
lunes de peur de ce qui allait m’arriver.
La première cinglée me confirma ce qui m’attendait. Cinglé
est bien le terme qui convient aux verges de noisetier. Cela cingle et cingle
beaucoup. Mes fesses furent rapidement couvertes de fines lignes rouges enchevêtrées
au gré des impacts tandis que je commençais à couiner de douleur. Une furieuse
envie de démarrer une danse de Saint Guy avec les mains aux fesses me prit tant
la douleur était aigue, mais les menaces de Céline me revinrent en mémoire et
je serrais fort le bord du banc pour ne pas partir en courant. Je pleurais
maintenant tandis qu’inlassablement les branches me fouaillait la peau déjà
bien rouge de mes fesses.
La cuisson était déjà forte arrivée à 50 coups. Céline avait
dû changer de verges au vingtième coups car les branches des premières partait
déjà en morceaux.
Elle fit une pause avant de m’annoncer le changement
d’essence de bois. Nous allions passer au boulot, avec des branches plus
touffues plus torsadées que le noisetier. Mais surtout avec des petits nœuds à
la naissance des bourgeons. Car après ces explications sylvicoles, je pu
rapidement sentir la différence avec le noisetier.
Car ces petits nœuds étaient autant d’impacts qui venaient
frapper mes fesses déjà cuisantes des cinquante premiers coups. Des centaines
d’étoiles rouges apparurent alors déclenchant la sensation que des aiguilles
venaient me transpercer la peau, rendant mes fesses granuleuses ce dont je me
rendis compte plus tard. Ma plainte se fit continu car je ne sentais presque
plus les coups. Mon fessier n’était qu’un vaste champ en feu dont la
température avoisinait celle d’une coulée de lave en fusion. Quand cela allait’
il finir ? Céline comptait méthodiquement et ne se laissa pas fléchir par
mes plaintes. Elle changea consciencieusement ses verges de bouleau quand elle
estima qu’elles n’étaient plus assez efficaces. Et reprit avec la même ardeur
la fustigation de mes pauvres fesses. Arrivée au 110ème coup, des
gouttes de sang telle une rosée du matin commençaient à suinter des étoiles rouges
et il était temps que cela s’arrête.
Je crois que je n’avais jamais reçu pareille fessée, aussi
cuisante. Même la cane anglaise à côté me paraissait plus supportable et c’est
peu dire.
Pour une première avec les verges, elle était réussie et
j’allais me souvenir longtemps de l’effet du noisetier et du bouleau.
La correction finie Céline m’invita à me relever et
m’accompagna au coin du grenier, le slip kangourou entravant mes chevilles et
me plaça main sur la tête face à une poutre.
« Vous resterez au coin jusqu’à nouvel ordre Georges,
et ne vous avisez pas de bouger sans quoi vous risqueriez de le
regretter !
Ou que non je ne bougerai pas. Pour ce soir j’avais eu mon
compte et je ne voulais surtout pas risquer un retour de discipline supplémentaire.
Pourtant l’envie de frotter mes fesses était insupportable et je sautais d’un
pied sur l’autre pour évacuer la chaleur et le picotement incessant de mes
fesses cramoisies.
Pourquoi avais-je appelé Céline pour le recrutement
d’Aurélie. Quelle mauvaise idée j’avais eu qui avaient entraîné un enchaînement d’événements tous aussi cuisant les uns que les autres.
Et dire qu’il allait falloir maintenant former Aurélie.
J’allais être pris entre Madame Leroy et Céline et j’allais devoir faire preuve
de diplomatie pour ne fâcher ni l’une ni l’autre.
Pour suivre le fil de ce récit
Le premier de la série : chapitre 1L'épisode précédent : chapitre 13
La suite au prochain chapitre... sans doute la semaine prochaine.
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Super récit comme d'habitude :)
RépondreSupprimerJ'ai moi même ouvert mon blog sur la fessée : https://fessees-cuisantes.blogspot.com/ si jamais il t'intéresse :)
Lucienlana,
RépondreSupprimerJ'ai été voir le blog qui en est à ses débuts. Il y a un récit. Intéressant. Signalez-nous les prochains articles quand ils seront publiés.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Oui le blog en est à ses débuts, d'autres récits verront le jour. Merci à vous pour le contenu que vous produisez.
RépondreSupprimerCordialement, Lucien.
Lucien,
SupprimerQue les choses soient claires, tous les contenus ne sont pas de moi. Ce blog est une production collective et je tiens à ce qu'il le demeure. C'est ce qui permet de le mettre à jour aussi souvent.
Le récit ci-dessus, par exemple, n'est pas de moi. C'est Georges T qui en est l'auteur.
Je renouvelle ma demande de signalement du prochain article que vous publierez.
S'il vous prenait l'envie, un jour, de rejoindre les contributeurs à ce blog, ce serait avec joie.
Au plaisir de vous lire,
JLG.