La correction de Céline
Nous étions sortis depuis 1 heure du bureau de Madame Leroy
Céline et moi et le moins que l’on puisse dire est que nous étions dans nos
petits souliers.
J’avais regagné mon bureau et Céline le sien la tête basse
en se demandant quelle allait être la suite de cette histoire. Enfin nous en
connaissions déjà une partie puisque Madame Leroy nous avait annoncé pour
chacun d’entre nous une correction mémorable.
Céline qui avait en horreur d’être pris en faute m’avait
violemment reproché en me quittant de l’avoir entraînée là-dedans. « Et
puis tu n’avais qu’a te débrouiller avec ta pouffiasse de candidate, à croire
que tu l’as fait exprès pour me faire corriger ! » me lâcha t-elle
furieuse.
Incapable de travailler tant je repassais dans ma tête cette
scène surréaliste de Madame Leroy surgissant dans son bureau tandis que Céline
s’acharnait sur les fesses de la candidate déjà bien abîmées, c’est à ce moment
que le téléphone sonna. Je décrochai prestement et Madame Leroy à l’autre boit
du fil me demanda de venir la rejoindre prestement dans son bureau.
Soucieux de ne pas l’énerver davantage je me précipitais
dans le couloir pour quelques mètres plus loin frapper à la porte de la
directrice.
Je vis arriver au même moment Céline qui descendait de
l’étage au dessus pour aller au même endroit que moi visiblement. Elle était
toute blanche signe chez elle d’une grande angoisse.
Un « Entrez » sonore nous invita à pousser la
porte et nous présenter devant Madame Leroy qui derrière son bureau nous
attendait debout. Assis dans le fauteuil en face d’elle, Aurélie se tenait
respectueusement droite, les genoux serrés, muette mais observatrice curieuse
de ce qui allait se passer. Visiblement elle avait repris du poil de la bête et
séché ses larmes. Sa posture en biais sur le bord du fauteuil démontrait que
ses fesses devaient lui faire mal après la sévère fouettée de Céline.
Madame Leroy s’adressa alors à moi
« Tout d’abord Georges je voulais vous dire que vous
aviez bien fait de sélectionner Aurélie pour cet entretien. Elle répond
parfaitement au profil du poste et nous venons de passer un grand moment à
discuter. Elle est très intéressée par ce que nous lui proposons et par notre
entreprise.
Le mauvais moment passé dans les mains de Céline n’aura pas
de conséquences néfastes pour la suite si nous lui proposons ce poste. Je lui
ai bien expliqué à nouveau la philosophie de l’entreprise et elle y adhère.
Elle a accepté le test bien que complètement disproportionné par votre faute et
celle de Céline. Aussi nous allons réparer cela immédiatement. Je m’occuperai
sérieusement de vous Georges, mais plus tard en tête à tête si je puis dire,
pour avoir délégué à Céline le soin d’effectuer le test correctif sur Aurélie à
votre place et avoir ainsi fui vos responsabilités.
Dans l’immédiat nous allons corriger comme il se doit Céline
en présence et avec la participation d’Aurélie pour n’avoir pas eu le
discernement de refuser de participer à ce test. Et surtout pour avoir fait
passer son instinct et ses sentiments avant l’intérêt de l’entreprise.
Déshabillez-vous Céline et allez vous allonger sur le banc
de fessée !
Rouge de honte Céline s’exécuta, sachant qu’il ne servait à
rien de discuter avec Madame Leroy, tout en me jetant un regard noir qui
voulait dire « tu ne perds rien pour attendre, tu va voir à la maison
comment je vais te faire payer ce moment »
Pour l’instant c’est elle qui allait se faire corriger et de quelle façon. Céline
une fois déshabiller alla s’allonger sagement sur le banc, sachant qu’il valait
mieux filer doux à partir du moment où la sentence était tombée de la bouche de
Madame Leroy.
« Aurélie attachez là comme elle vous a attachée tout à
l’heure » dit à nouveau Madame Leroy.
Et Aurélie s’exécuta serrant bien fort les sangles afin que
Céline ne puisse plus bouger.
Puis elle se releva et attendit sagement la suite.
Voyez-vous Aurélie, comme je vous l’ai expliqué, ici tout se
règle avec nos instruments et ce pourquoi ils sont faits. Céline a fait une
grosse faute professionnelle. Pas besoin d’avertissement, de mise à pied, de
sanctions ou d’autres choses inutiles. Chez nous toute faute mérite fessée. Et
fessée avec nos produits n’est-ce pas Céline au cas où vous l’auriez
oublié ! En disant cela Madame Leroy faisait allusion à une fessée que
m’avait donnée Céline au démarrage de notre amour l’année dernière. Céline m’avait
fessé chez elle mais à la main. Erreur fatale lorsque on travaille à la Société
Française d’Instrument de Discipline ! Lorsque Madame Leroy s’en était
aperçue elle était rentrée dans une colère épouvantable et Céline avait reçu une fouettée de 200 coups qui l’avait empêché de s’assoir
pendant plusieurs jours.
« Donc pour vous Céline aujourd’hui ce sera à nouveau
une correction magistrale. 150 coups seront un minimum que j’appliquerai
moi-même. Mais Aurélie mérite réparation et c’est elle qui aura l’honneur de
conclure par 50 coups donnés avec le même martinet que vous avez utilisé pour
son test. Ainsi vous pourrez juger par vous-même ma chère Céline des effets de
celui-ci sur vos fesses.
Aurélie avait rougi à ses mots mais son attitude traduisait
une certaine approbation timide.
Madame Leroy alla ouvrir son tiroir aux instruments et en
ressortit un solide padlle en cuir épais, une tawse à 3 doigts et le fameux
martinet noir à longues lanières qui avait servi sur les fesses d’aurélie.
Elle remit le martinet dans les mains d’Aurélie et alla se
positionner derrière le banc à fessée.
« Vous allez compter Céline et à voix haute afin que je
vous entende et vous me direz merci après chaque coup. Est-ce
clair ? »
« Oui Madame » dit Céline d’une voix qui se voulait
ferme
Et la correction commença. Le paddle claquait, Céline
comptait, remerciait et le paddle claquait de nouveau. Céline qui avait reçu un
grand nombre de châtiments corporelles au cours de sa scolarité chez les sœurs
et à la SFID avait acquis une certaine endurance. Aussi elle s’efforça de faire
bonne figure et sa fierté lui interdisait de montrer des signes de faiblesse.
Tout au moins pour le moment.
Madame Leroy qui n’en était pas à sa première fessée non
plus savait à quoi s’en tenir. Et attendait le moment ou Céline ne pourrait
plus retenir ses cris quand la cuisson de son postérieur serait à son apogée.
Cela arriva vers le soixantième coup. Madame Leroy appuya alors plus
franchement ses coups. Le bruit du paddle se fit plus fort et le merci de Céline
fut suivi d’une plainte sourde qui se reproduisit de plus en plus fort jusqu’au
150 ème coup. Entre temps Madame Leroy avait troqué le padlle pour la Tawse à 3
doigts dont le bruit à l’impact était moins important que le padlle, mais le
cri de Céline plus fort. Ses fesses étaient maintenant d’un rouge vermillon qui
débordait sur le haut et le bord des cuisses. Et la tawse faisait enfler les
fesses comme un soufflé au four.
Aurélie regardait la correction, hypnotisée par les fesses
de Céline qui rougissait et enflait de plus en plus.
Cela va être à vous Aurélie. Vous allez passer à nouveau un
test. Mais cette fois ci de fesseuse.
Alors montrez-moi si comment vous savez vous servir de nos
instruments. Je vous rappelle qu’ils sont faits pour corriger. Donc pour
marquer la personne punie aussi bien physiquement que moralement.
Vous devez donc être efficace et manier l’instrument pour
lui faire exprimer le maximum de ce que pourquoi il a été conçu.
Et joignant le geste à la parole Madame Leroy pris le fouet
des mains d’Aurélie pour lui faire une démonstration. Elle arma son bras assez
loin et le faisceau de lanières s’abattit sur le derrière de Céline qui se
cabra sur le banc sans pouvoir bouger pour autant tant elle était serrée. Un
vrai cri s’échappa alors de sa bouche sans qu’elle ne puisse le contrôler.
« Voila vous voyez c’est aussi simple que cela »
dit Madame Leroy satisfaite de sa démonstration.
« Celui-ci ne compte pas bien entendu. Je vous laisse
opérer pour les 50 coups suivants. Et n’oubliez pas ce qu’elle vous a fait tout
à l’heure si cela peut vous aider. »
A ces mots Aurélie se saisit du martinet et ses lèvres se
pincèrent probablement en relation avec ses fesses qui devaient lui cuire
encore. Elle se positionna sur le côté du banc légèrement décalé par rapport à
sa cible
Comme elle avait vu faire Madame Leroy, elle arma son bras
et abattit les 12 lanières sur les fesses déjà bien abimées de Céline. Si le
coup n’eu pas la même force physique que celui de Madame Leroy il eu un impact
psychologique certain sur Céline qui brisée par Madame Leroy se voyait
maintenant humiliée par sa victime et rivale supposée. Céline se mit à
sangloter de honte tandis qu’Aurélie armait son bras pour la deuxième fois et
que les lanières claquaient joyeusement sur les deux globes exposés.
Au fur et a mesure de la correction Aurélie s’échauffa,
s’enhardit et laissa échapper sa rage de se venger de cette harpie qui lui
avait déchiré les fesses il y a une heure. Elle termina en nage tandis que
Céline hurlait sa douleur qu’elle ne pouvait plus retenir.
« Et bien félicitations Aurélie ! Vous ferez une
excellente fesseuse et nous ne manquerons pas de faire appel à vous à nouveau
si nous vous embauchons » lui déclara Madame Leroy visiblement enchantée
par ce qu’elle venait de voir.
Vous pouvez la détacher maintenant. Céline vous irez vous
faire photographiez et vous m’amènerez le registre de punition que je le
remplisse vous concernant.
Céline méconnaissable, son maquillage ayant coulé, décoiffé
et nu ramassa ses vêtements, se rhabilla le plus rapidement qu’elle pu et
quitta précipitamment le bureau sans regarder personne.
J’avais mal pour elle car je l’aimais et je m’en voulais
terriblement de l’avoir entraîné dans cette histoire. J’avais assisté
impuissant à cette terrible correction. Cela allait être mon tour de payer mon
erreur et doublement. Car si madame Leroy n’allait pas me louper même si ce
serait sans témoin comme elle me l’avait dit je n’en recevrai pas moins que
Céline et peut être même plus.
Quand à Céline elle allait me faire payer très cher le
moment qu’elle venait de vivre. Et elle allait m’en faire vivre d’autre dans
notre salle de correction au sommet de notre maison. Heureusement que
l’isolation phonique du grenier avait été renforcé car je risquais de hurler
très fort sous ses coups de fouet, attaché à la croix de Saint André. A moins
qu’elle ne me bâillonne pour ne pas m’entendre crier.
Mais ceci est une autre histoire et Madame Leroy était en
train de prendre congés d’Aurélie en lui disant que nous lui donnerions très
prochainement des nouvelles pour la suite à donner à sa candidature.
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