jeudi 20 décembre 2018

Permis de fesser - chapitre 4


Après cette double fessée, nous sommes conduits dans la salle de classe. Tante Magda a disposé cinq bureaux d’écolier devant un large bureau et un tableau noir. Cela ressemble à une salle de classe traditionnelle d’antan. Nous commençons par quelques équations du niveau 6ème. Nous sommes interrogés chacun à notre tour au tableau par tante Magda et Miss Jane qui prend son rôle de professeur très à cœur. Ce n’est pas trop dur à résoudre mais on oublie vite les maths élémentaires. Du coup, cela donne l’occasion à Miss Jane de corriger quelques postérieurs avec sa longue règle plate. Nous avons chacun de reçu notre dose réglementaire de 6 coups sur les fesses, par-dessus le survêt cela fait à peine mal, pas de quoi s’inquiéter.

« Les enfants nous allons faire une dictée assez difficile donc appliquer vous je vous annonce le barème de correction :
En dessous de 4 fautes : un encouragement à continuer
De 4 à 8 fautes ; quelques tapes sur les fesses
De 9 à 15 fautes :la fessée déculottée
De 15 à 20  fautes : fessée déculottée et 20 coups de règle
Plus de 20 fautes : fessée déculottée et 50 coups de martinet

Nous nous regardons tous d’un air hébété. C’est vraiment un barème très sévère. Je suis un peu inquiet.
Miss Jane nous parle avec douceur
« Mes chers petits, je vous sens stressé, tout va bien se passer. C’est normal le stress permet de mieux se concentrer. Vous allez vous appliquez et vous ferez ce que vous pouvez…. Vu la difficulté de la dictée, j’ai bien peur qu’aucune de vos fesses ne soit épargnée »
La dictée se termine nous posons nos stylos. Nous devons nous présenter avec notre copie debout devant Miss Jane qui corrige en direct les fautes et annonce le résultat.
« Voyons Marie, c’est très bien, 5 fautes ce qui donne quelques tapes sur les fesses.
Et aussitôt dit aussitôt fait. Miss Jane donne 6 petites claques sur les fesses de Marie et finit par 4 grosses claques. Rien de très impressionnant mais Marie s’est quand même faite corrigée.
« Emilie, voyons, 9 fautes, c’est la fessée cul nu, venez par la »
Miss Jane penche la punie lui intimant de reposer son ventre sur le bureau, elle lui baisse le jogging laissant apparaître une culotte en coton blanche et des jambes bien musclées. Sans perdre de temps, elle la déculotte et commence sa fessée. Emilie reçoit 80 claques sur les fesses assez pour lui irradier le postérieur et la faire danser sur une jambe en poussant des aïe, aïe, aïe.
« Au tour de Charlène, voyons 12 fautes, ce n’est pas brillant, pour vous aussi la fessée cul nu »
Miss Jane positionne Charlène dans la même position qu’Emiie .elle doit lui reculer les jambes vu sa taille. Elle lui baisse le jogging laissant apparaître une culotte en coton blanche et de longues jambes profilées. Nous admirons les courbes sensuelles de la belle anglaise. Sans perdre de temps, elle la déculotte et commence sa fessée. Emilie reçoit 120 claques sur les fesses. C’est plus qu’Emilie et la fessée dure bien 5 minutes. La pauvre fille a les fesses toutes rouges, des larmes ont coulées sur ses joues.
Vient mon tour, je ne suis pas rassuré
« Vincent, seulement 3 fautes, bravo je vous encourage à continuer ainsi »
Quel soulagement pour mon postérieur, je ne pensais pas échapper à la correction. Cela me vaut une bise de tante Magda.
« Henri, vous avez fait fort : 22 fautes et encore je n’ai pas compté les erreurs de ponctuation. Quelle raclée vous allez prendre mon cher.  Je pense que Tante Magda va vouloir sévir sur votre postérieur avec son martinet flambant neuf, mais nous allons procéder dans l’ordre, vous connaissez la position contre le bureau »
Le pauvre Henri tremble si fort que Miss Jane le déculotte directement pour ne pas perdre de temps. Elle s’applique pour sa fessée. 80 coups sur les fesses. Petite pause pour constater la coloration des fesses puis les 20 coups de règles prévus. Chaque coup cingle les petites fesses d’Henri qui a beau supplier en pleurs d’arrêter à chaque coup Miss Jane ne compte pas s’arrêter avant d’avoir le compte. 17,18,19 et 20 les dix derniers coups ont été frappés plus fort. Une nouvelle fessée de Miss Jane histoire d’en rajouter quelques dizaines. On ne peut que constater le résultat, les fesses d’Henri sont rouge carmin et marquées, le pauvre est si honteux qu’il s’est assis par terre jambes recroquevillés. Ce n’est pas fini pour le pauvre Henri car tante Magda agite son nouvel instrument à 12 lanières à bout rond en crin de cheval, le martinet qui zèbre les fesses. Pour le corriger proprement, Tante Magda l’a installé sur les genoux de Miss Jane, fesses offertes bien tendues le survet et la culotte au bas des jambes.
Tante Magda dans sa belle robe noire ajustée à la taille qui met en valeur son imposante poitrine brandit le martinet, l’instrument familial de correction si redouté par les enfants. Tante Magda lui cingle les fesses, Henri hurle de douleur, les lanières fouettent ses petites fesses nues. Miss Jane nous invite à compter à voix haute les coups jusqu’à 50. Tante Magda fesse Henri devant ses petits camarades, une fessée retentissante et expéditive qui après le martinet soulage presque. Le pauvre Henri se sent comme un petit enfant bien corrigé par maman. Tante Magda le console assis sur ses genoux, fesses brulantes, la tête contre la poitrine bombée de Tante Magda.
Le cours se termine avec quatre paires de lunes pourpres alignées face au mur mains sur la tête. Je suis le seul épargné mais je dis qu’à la prochaine dictée j’y aurais droit. Ouf temps de pause avant d’aller déjeuner. J’en profite pour faire un câlin discret avec Marie. Juste quelques bisous et mains sur les seins. Pas si discret en fait car Nous sommes surpris par Emilie. Comptant sur la solidarité féminine, Marie lui supplie de ne rien dire.
Tante Magda tente de consoler le petit Henri qui pleure à chaudes larmes assis sur ses genoux. Après une bonne raclée, on a besoin de pardon et de réconfort et pour ça Tante Magda peut être tendre. Miss Stick et Miss Jane nous surveillent pendant que nous jouons à des jeux de sociétés. Vient l’heure du repas, nous déjeunons autour d’une grande table ovale tous les cinq avec Peter et Magda. Peter nous parle des super pistes noires qui traversent le domaine. Il a promis de nous emmener cet après midi et de descendre les meilleures pistes de la vallée. Il ne parle que de ski, de vitesse, de technique de dérapage alors que Magda ne parle que d’éducation, de savoir vivre. Elle rabroue plusieurs fois l’un de nous qui ne tient pas correctement sa fourchette ou qui pose les coudes sur la table.
Le repas se termine. Nous montons nous changer. Tante Magda nous a acheté à chacun tout un set pour le ski. Il est composé d’une combinaison intégrale moulante et matelassée avec un zip dans le dos qui descend jusqu’au-dessous des fesses, d’une paire de collant en laine, de chaussettes en laine, d’un bonnet et d’une paire de gant. Nous enfilons notre tenue de ski qui est vraiment chaude et près du corps. Miss Jane et Miss Stick nous aide à nous habiller et surveille chacun de nos mouvements. Il ne s’agit pas de trainer sinon quelques tapes sur les fesses nous rappellent à l’ordre. Nous sommes debout devant Miss Jane qui à tour de rôle nous remonte le zip dans le dos pour bien nous couvrir. Tante Magda et Peter ont mis leur tenue de ski composé d’un fuseau à large bretelles et d’un anorak qui ressemble à celui des professeurs de ski. Nous allons dans le garage pour récupérer chacun une paire de ski et des chaussures à notre taille.
Il est 14h nous sommes au pied des pistes. Nous prenons le téléphérique qui nous amène en haut des pistes. A la sortie, nous suivons Peter et Magda qui nous montrent les pistes que l’on va descendre jusqu’à la station. Tout le monde se débrouille à peu près en ski mais nous constatons que Magda et Peter ont un excellent niveau de ski. Magda ouvre les pistes avec son super style de virage serré, Elle va très vite et nous avons du mal à suivre. C’est un vrai plaisir cette après-midi de ski. Nous avons oublié notre condition d’enfant et skions avec deux grands champions qui nous donne des conseils, qui nous relève quand nous chutons et qui nous encouragent pour qu’on progresse. Vers 16h, nous devons rejoindre le dernier télésiège qui doit nous ramener en haut des pistes. Je fais un peu de zèle dans la queue bousculant une dame pas très douée sur ses skis qui bloque le passage.
« Poussez-vous, un peu vous ne voyez pas que vous gênez ! »
« Vous êtes vraiment mal élevé jeune homme, on ne pousse pas comme ça dans la queue »
« Je vous emmerde, madame, quand on ne sait pas skier on reste chez soi »
Je me tourne vers mes camarades, pas de tante Magda à l’horizon, ouf si elle avait entendu, j’aurai passé un mauvais quart d’heure. Tante Magda et Peter sont déjà en haut, ils nous attendent. La dame monte dans le télésiège en criant après moi. Je laisse passer quelques sièges et je monte avec ma copine Marie ainsi que Charlène. Henri et Emilie nous suivent dans le télésiège suivant. Pendant la montée, je repense à l’incident pas fier de m’être emporté. Charlène et Marie trouve mon comportement déplacé. Charlène m’engueule
« Qu’est ce qui t’as pris de pousser cette dame, tu as vu comme elle était furieuse et en plus tu l’as injurié. Heureusement que tante Magda n’était pas là pour assister à la scène sinon elle t’aurait grondé »
Et Marie rajoute « et tu aurais eu droit à une belle raclée devant tous ces inconnus, tu l’aurais bien mérité »
« Oh ça va on ne va pas en faire un plat, c’est vrai que j’ai été un malpoli »
« Malpoli, tu plaisante, tu nous as fait honte mon cher »
Nous arrivons à la fin du télésiège au moment où je remonte la protection pour nous libérer, je vois Tante Magda qui me fait un signe de la main pas très amical. Quand j’arrive près d’elle, elle me tire par l’oreille.
« Mon Vincent, il paraît que tu as été très malpoli avec la dame en combinaison verte que je vois la bas »
« Heu, non mais… c’est qu’elle bloquait la queue et on ne pouvait pas passer »
« Et c’est une raison suffisante pour l’injurier, la traiter d’emmerdeuse ? »
Je rougis, j’ai compris que ma bêtise va me couter cher.
« Mon garçon tu me fais honte. Je ne pensais pas que tu te comporterais comme ça, tu mérites une bonne raclée »
Et joignant le geste à la parole elle me donne quelques bonnes claques sur les fesses. Par-dessus la combi cela ne me fait pas grand-chose mais c’est honteux devant tous les skieurs présents.
« Tu va aller présenter tes excuses à la dame et tu lui dis bien ce que tu mérites et tu reviens immédiatement devant moi après et vas prendre une de ces corrections qui vont te recadrer j’espère »
Je pose mes skis et me dirige vers la dame, tout penaud. Elle me fixe d’un air sévère.
« Madame je vous prie de bien vouloir excuser ma conduite inappropriée »
« Effectivement jeune homme, je vous trouve bien malpoli et quand j’en ai parlé à votre tante, elle était du même avis que moi »
« Madame… heu… je dois vous dire que ma tante est très sévère et que je vais être bien puni »
« J’espère bien, et de quelle punition parle-t-on ? »
« Heu, c’est délicat, en fait pour ce genre de faute, elle donne la fessée »
« La fessée, c’est tout à fait approprié pour un sale gosse comme vous, et j’espère qu’elle sera longue et sévère »
« Heu oui madame d’ailleurs je dois aller la rejoindre »
« Et bien je viens avec vous jeune homme, j’ai bien envie de voir ça »
« Heu non ce n’est pas la peine »
« Si au contraire, je trouve que c’est la peine vu votre comportement »
Je réalise à ce moment que je suis coincé. Je vais prendre une raclée et comble de tous cela devant la dame inconnue.
J’arrive devant Tante Magda qui a enlevé ses gants et remonter sa manche droite signe que la fessée va tomber.
« Viens ici mon Vincent »
Elle me tourne vers la dame et elle dézzipe ma combinaison dans le dos qui s’ouvre jusqu’au bas du dos. Je comprends maintenant l’utilité du zip qui permet d’accéder facilement à mon fessier pour corriger en vitesse. Tante Magda a croisé deux paires de ski qui lui permette de poser sa jambe gauche légèrement en hauteur. Elle me fait basculer en travers de sa cuisse gauche, bien en appui à califourchon, mes jambes battent dans le vide, mes bras en avant servent de balancier. Je suis dans une position humiliante courbée devant un public qui n’en revient pas d’assister à une correction. J’ai légèrement froid dans le dos, je sens le vent frais (il doit faire -5 degrés). Tante Magda a commencé a me claquer les fesses sur ma culotte quand elle s’adresse à la dame offensée.
« Chère Madame, je suis désolé pour l’épisode en bas des pistes. Vincent s’est comporté comme un enfant malpoli et injurieux et avec moi cela ne passe pas. Je lui ai promis une bonne fessée et il va regretter son mauvais comportement »
Elle me baisse la culotte qui descend dans ma combinaison laissant apparaitre devant un public ébahi mes fesses légèrement colorées. Elle poursuit
« Vincent, tu mérites une bonne déculottée et je vais m’appliquer à te fesser proprement, tu vas la sentir passer »
Clac,clac,clac,pan,pan,clac Et la raclée commence, terrible volée, une main très énergique claque ses fesses rendant la cuisson tout de suite difficilement supportable. Tante Magda a décidé de faire un exemple et me donne une fessée retentissante aussi forte que possible en tapant de plus en plus vite. C’est très douloureux. Elle me bloque le bras dans le dos et me fesse avec beaucoup d’énergie, de vitesse et d’endurance. J’entends les commentaires des spectateurs « quelle fessée, il l’a pas volé, quelle correction parentale, Madame fesse fort etc… » Je me concentre sur la douleur, mes premières larmes coulent sur mes joues, je bats des jambes, je supplie, je crie pardon, pardon ma tante. Mes fesses sont brulantes, tante Magda continue sa fessée, elle ne veut rien savoir, ni entendre. Je reçois une fessée exemplaire devant près de trente skieurs qui admirent le spectacle, Tante Magda est hors d’elle et cela décuple son énergie. Sa fessée fait vraiment mal, c’est une correction magistrale. Je reçois près de 300 claques. Pour finir, elle me demande de compter les 20 dernières claques et comble de tout ça, j’entends le public qui compte avec moi « 1,2, 3…8,9…15,16,17,18,19,20 ». Que dire des 10 dernières claques, elles sont données avec beaucoup d’élan donc elles font encore plus mal que les précédentes.
La fessée se termine, elle me remet debout, je montre à tout le monde mes fesses rouges vives. Elle me fait assoir cul nu dans la neige. Imaginez ce que l’on ressent quand on pose des fesses brulantes sur une surface gelée, cela décuple la douleur et je pousse un cri tellement c’est dur à supporter.  C’est ma deuxième fessée du week-end et j’ai été corrigé comme un enfant pas sage en public la honte totale. Je n’ose pas affronter les regards de tous ces gens qui me dévisagent et je vois le sourire de satisfaction de la dame et je devine un « c’est bien fait pour toi jeune homme ». Comble de tout ça c’est tante Magda qui m’a reculotté et remonté le zip de ma combinaison devant le public signe qu’elle me traitait comme un petit garçon. Je suis reparti skier avec un mal aux fesses qui ne m’a pas quitté de l’après-midi.
Bien sûr vous vous doutez que je ne fus pas le seul à être grondé, Charlène qui avait fait le pitre sur le téléski avait perdu ses battons et cela lui a valu une fessée cul nu debout après la pause au restaurant d’altitude. La pauvre sautillait à chaque claque donnée par tante Magda. Quant à Jean, honteux de s’être perdu en empruntant la mauvaise piste, arrivant avec 30 minutes de retard, il a carrément réclamé sa fessée à tante Magda qui n’a pas hésité à sévir. Elle l’a allongé en travers de ses cuisses assise sur les marches du restaurant, l’a rapidement dézippé et déculotté et lui a flanqué une terrible fessée. Seule Marie a échappé à la correction sur les pistes mais quelque chose me dit qu’elle pourrait y avoir droit de retour au chalet.

Les épisodes précédents ...

Le chapitre 1
Le chapitre 3
et le suivant le chapitre 5

Une autre fiction de Vincent :


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2 commentaires:

  1. Bonjour,
    Ah les grosses fessées bien cuisantes de la "douce" et "affectueuse" tante Magda! La belle créature et ses techniciennes de surfaces fessières ont la main lourde et le martinet cinglant. Avec un tel barème de punitions, les progrès en orthographe devraient être proportionnels à la rougeur des derrières.
    Quant au stage de ski, les descentes de piste sont accompagnées de descentes de fessées plutôt noires que vertes!
    Tante Magda au sommet de la sévérité, anticipe la fonte des neiges en obligeant les punis à s'asseoir dedans après une fessée déculottée de compétition, plutôt incendiaire.
    Encore une contribution au réchauffement de la planète!

    Le récit et toujours aussi trépident. Pas une minute de répit, les fessiers n'ont pas le temps de refroidir que ça repart pour une nouvelle tournée. On arrive trop vite à la fin de l'épisode!
    Cordialement.
    Ramina

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  2. J'oubliais le super bonne idée.
    Tante Magda pense à tout pour ne pas manquer l'occasion d'administrer la fessée en tout lieu et toutes circonstances. Ces combinaisons à zip permettent de dégager rapidement un derrière en cas d'urgence. Accès aux fesses faciles et immédiat pour fessée express.
    Avec tante Magda, ça claque dans tous les cas!
    Ramina.

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