vendredi 7 décembre 2018

SFID - le recrutement - chapitre 11

Le retour de la SFID ! Vous en rappelez-vous ? Georges T nous a fais languir presque toute l'année, mais nous y sommes. Je peux vous le dire en toute discrétion : il y a une suite. Pour combien d'épisode ? Moi je ne sais pas. JLG.

Cela faisait maintenant près d’un an que j’étais arrivé à la SFID. Ma mission de mise en ligne d’un site marchand des produits avait abouti avec succès. Professionnels comme particuliers pouvaient dorénavant en se connectant au site de la SFID retrouver tout le catalogue des produits classés par thème (padlle, martinets, cravaches, fouets, cane anglaise, accessoires).
Chaque produit était photographié en détail avec ses caractéristiques, son degré de sévérité, des photos des marques qu’ils produisaient sur les fesses et les cuisses des punies. Des tutoriels vidéo permettaient de montrer leur utilisation en situation réelle. De nombreuses séances avaient été nécessaires avec la participation du personnel, punies ou volontaires sous la caméra de Delphine. Mais le résultat était là et madame Leroy m’avait chaudement félicité quand je lui avais montré les maquettes finales avant la mise en ligne.
La SFID était maintenant une société moderne et en ligne ou tout un chacun pouvait commander ses instruments de correction et être livrés dans les 8 jours à domicile. Les commandes en ligne avaient démarrés doucement mais chaque jour qui passait augmentait le nombre de commande arrivées par ce biais. De nouveaux clients inconnus jusque là s’inscrivaient sur le site et passait commande. Madame Leroy se félicitait tous les jours d’avoir fait appel à moi et venait chaque matin me demander les résultats des commandes en ligne de la veille. J’avais été augmenté et promu Directeur web marketing. Madame Leroy m’avait demandé de structurer mon service et je devais donc recruter un assistant ou une assistante pour assurer la maintenance du site au quotidien.
J’avais donc passé une annonce mais sur des sites de recrutement en ligne comme il se doit aujourd’hui. J’avais reçu quelques CV et il me fallait maintenant voir les candidats qui s’approchaient le plus du profil recherché.
Mais selon la procédure d’embauche propre à la SFID, et comme pour mon entretien d’embauche lorsque Madame Leroy m’avait recruté, il allait falloir à un moment de l’entretien que je leur demande leur approbation pour passer le fameux test aux instruments. Et donc de se déshabiller et s’allonger sur le banc à fessée pour recevoir un échantillonnage des effets des instruments de la SFID. J’avoue que ce passage obligatoire qui clôturait l’entretien que j’allais devoir mener me paralysait un peu car je me demandais quelle allait être mon attitude face aux candidats et qu’elles allaient leurs réactions.
Pour moi qui était maintenant au régime des punitions corporelles régulières avec ma compagne Céline et qui baignait dans l’univers disciplinaire de la SFID depuis un an, cela ne posait plus de problème depuis longtemps. Le registre des punitions domestiques appliquées par Céline dans notre salle de correction domestique se remplissait au gré des semaines et de ma propension à ne pas toujours suivre les règles de vie qu’elle m’imposait. Mes fesses gardaient pratiquement en permanence des marques des fessées aux instruments que m’appliquaient consciencieusement et sans faiblir Céline « pour votre bien » me disait ’elle.
Quand au règlement de la SFID je me faisais à intervalle régulier corriger par Madame Leroy dans son bureau attaché sur le chevalet. Essentiellement pour des questions de retard le matin car j’avais parfois du mal à m’extraire à temps du lit pour arriver avant Madame Leroy dans mon bureau.
Mais pour des gens extérieurs qui venaient pour la première fois à la SFID chercher du travail cela risquait de les surprendre.
Le mardi suivant ou j’avais convoqué 2 candidats, enfin un candidat et une candidate, arriva.
Madame Leroy en déplacement professionnel m’avait bien naturellement proposé son bureau pour les entretiens. Cela sera plus facile pour les tests aux instruments m’avait ’elle lancé !

Aurélie se présenta à 10 heures comme prévue. C’était une jolie blondinette de 23 ans qui cherchait son premier emploi en CDI après avoir fait de multiples stages divers et variés ainsi que des petits boulots alimentaires. Sa formation et sa courte expérience convenait parfaitement au poste.
Mais le fait qu’elle fut une femme, jolie de surcroit me posait un problème. Comment allais réagir Céline lorsqu’elle découvrirait ma nouvelle collaboratrice. Je risquais une scène de ménage mémorable avec un final attaché aux poutres du grenier et une flagellation de jalousie en règle pour le principe.
Mais nous n’en étions pas encore là. Après avoir présenté la société et le poste, Aurélie en vint à détailler son curriculum vitae et ses motivations. Elle semblait intéressée bien que sur la réserve.
Lorsque je lui demandais s’il y avait quelque chose qui posait problème elle me répondit un peu gênée que l’activité de la société la surprenait quelque peu. Que malgré tout elle était venue pour voir car très intéressée par la fonction. Nous y étions. Il allait falloir que je me lance pour lui annoncer le test aux instruments, incontournable, imposé par la direction pour toute embauche.
Et j’y allais en racontant l’histoire de la SFID, la tradition des châtiments corporels, le règlement intérieur, les punitions et donc le test d’embauche préalable et marqueur de l’adhésion du candidat à la philosophie de l’entreprise.
Au fur et à mesure que je parlais je voyais Aurélie rougir et s’enfoncer sur sa chaise. Lorsque je lui posais la question fatidique : « alors Aurélie acceptez vous de passer ce test ? pour cela vous devez vous déshabiller et vous allongez sur le banc à fesser ici présent pour y être corrigée. »
Mais Monsieur, me répondis t’elle, ce n’est pas possible, on ne m’a jamais demandé une chose pareille !
Sa réaction ne me surprit pas outre mesure. A dire vrai je m’y attendais un peu. Mais en tant que futur éventuel patron d’Aurélie je ne pouvais laisser une telle situation perdurer. Je me devais de prendre l’ascendant sur elle et la mater immédiatement sans quoi l’entretien s’arrêtait là purement et simplement.

Je pris donc mon ton le plus autoritaire possible et lui signifiais que ce qu’elle avait fait ou pas fait avant n’avait aucune importance mais que si elle voulait ce poste elle devait s’exécuter promptement ou quitter le bureau sur le champ. La situation ajoutée à mon ton dominateur la fragilisa alors et elle se mit à sangloter. Mais elle se leva et me dit courageusement qu’elle voulait vraiment ce poste et qu’elle était prête à tout pour cela. Je n’en revenais pas !
Mais j’eu soudain un gros doute et une grosse hésitation et je me dis qu’il était impossible que je réalise ce test moi-même. Et ceci pour 2 raisons évidentes qui me vinrent à l’esprit simultanément. La première c’est que moi, seul avec une femme nue dans ce bureau fermé, pouvait conduire, si les choses se passaient mal, à des poursuites à mon encontre par cette jeune femme que je ne connaissais pas à priori.
La deuxième et à mes yeux la plus importante, c’est que ma compagne Céline risquait de très mal prendre que je me trouve seul pour un test disciplinaire avec une jeune femme somme toute fort jolie et en tenue d’Eve même si c’était la procédure normale à la SFID. Céline était d’un naturel plutôt jaloux. J’eu soudain une idée de génie et je décrochais mon téléphone pour l’appeler.
En temps que Directrice des ressources humaines elle ne verrait aucun inconvénient bien au contraire à procéder par elle-même à ce test. Et je l’associais du même coup au recrutement en désamorçant sa jalousie latente.
Quelques minutes plus tard Céline pénétra dans le bureau de Madame Leroy. Elle toisa immédiatement et curieusement Aurélie debout qui essuyait ses larmes de crainte et de honte.  Les yeux de Céline mitraillèrent du regard Aurélie, la jugeant immédiatement comme un danger potentiel.
« Déshabillez-vous » intima Céline à Aurélie sans attendre. Celle-ci s’exécuta en pleurant de plus belle et quitta son chemisier et sa jupe pour apparaitre en charmant sous vêtement blanc.
« Continuez » dit Céline sévèrement et arrêtez de pleurer. Gardez vos larmes pour la correction que je vais vous appliquez pour tester vos aptitudes à être fessée et votre adhésion à nos valeurs.
Aurélie terrorisée s’exécuta et Céline la fit s’allonger sans ménagement sur le banc à fessée et la sangla bien serrée de manière à ne ce qu’elle puisse plus bouger.
Puis elle alla ouvrir le grand tiroir coulissant de Madame Leroy ou se trouvait toute la collection d’instrument de flagellation tous plus impressionnant les uns que les autres.
Se saisissant d’un grand martinet orné de 12 longues lanières noires qu’elle caressa voluptueusement elle s’approcha de sa victime dont les yeux écarquillés traduisaient sa panique.
« Tu devrais peut-être commencer par un instrument plus léger » tentais je timidement devant une Céline très déterminée. Mais celle-ci ne m’entendis même pas et commença à claquer sans retenue les belles fesses blanches d’Aurélie. Celles-ci ne tardèrent pas à se trier de longues trainées rouges tandis que son corps se convulsait entre les sangles pourtant serrées. Un cri long et douloureux commençait à monter dans le bureau tandis que le bras de Céline tel un métronome donnait toujours plus d’ampleur au faisceau de lanières qui dessinaient leurs empreintes rougissantes sur le fessier mis a nu.
Céline ne s’arrêtait plus et augmentait encore la force de ses coups déchainée par un accès de jalousie. Aurélie hurlait maintenant de douleur. Les fesses d’Aurélie viraient maintenant au rouge écarlate et des boursouflures commençaient à apparaître au sommet le plus rebondi, ce relief que les lanières venaient percuter avec toute l’énergie jalouse de la flagellatrice.
Et cet à cet instant que la porte du bureau s’ouvrit et que Madame Leroy entra !
« Que se passe-t-il ici ? » cria-t-elle de surprise ? Mon rendez vous a été annulé, je reviens et j’entends d’en bas des hurlements. Mais qui est cette personne que vous fouettez comme une criminelle ?
Je dus expliquer à Madame Leroy qu’il s’agissait du test d’embauche d’Aurélie et que j’avais pensé que Céline en tant que Directrice des ressources humaines était la bonne personne pour effectuer ce test.
Commençant à comprendre la situation Madame Leroy entra dans une colère noire.
« Non seulement vous n’assumez pas vos responsabilités de recruteur en n’effectuant pas ce test vous-même, s’agissant d’un simple test et non d’une correction disciplinaire, mais en plus vous déléguez ce travail à Céline, votre compagne qui est en train de massacrer les fesses de cette pauvre fille qui n’a rien fait et qui n’est certainement plus prête à rentrer chez nous après ce que vous lui avez mis !
Vous allez me payer cela, et cher, je vous prie de le croire. Quant à vous Céline je vous croyais plus intelligente et capable de réfléchir au-delà de vos instincts primaires. Régler vos problèmes de jalousie sur les fesses d’une candidate va également vous couter très cher. Préparez vous pour une correction magistrale dont vous vous souviendrez.
Détachez Aurélie et quittez ce bureau tous les 2. Je vais terminer moi-même ce recrutement avec la candidate à qui vous venez de donner une bien piètre image de notre entreprise. Nous nous reverrons plus tard pour l’exécution de vos corrections. Préparez vous car je vais être d’une sévérité sans faille. »
C’est la tête basse que nous quittâmes le bureau de Madame Leroy après que Céline, rouge comme une gamine s’étant fait prendre le doigt dans le pot de confiture, eu détaché Aurélie de son banc de douleur. Les conséquences de cette situation allaient être lourdes pour nous. Outre la correction qui nous attendait et qui s’annonçait mémorable, il allait falloir reconquérir la confiance de Madame Leroy que nous venions sérieusement d’ébranler. Une lourde tache en perspective à commencer par nos fesses qui allaient devoir supporter sa rage et son intransigeance quant à la discipline qu’elle entendait maintenir dans son entreprise.


Pour suivre le fil de ce récit

Le premier de la série :  chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 10
La suite au  chapitre 12.

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Vous pouvez, si vous le souhaitez, également joindre directement Georges T, par courriel  à l'adresse suivante : dyoni.gt69@gmail.com

2 commentaires:

  1. il est à penser, que vous allez subir, un moment, fort difficcile..Mais peut être , le souhaitez vous

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  2. Ah! le retour de la SFID.
    Une série comme je les aimes. Et qui démarre fort en plus.
    Merci pour votre retour.

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