mercredi 15 août 2018

Ces dames aux mains fermes - chapitre 12


Les bienfaits de la fessée.

Sans attendre qu’on le lui propose, Edwige  pose son sac par terre près du fauteuil et s’y installe en croisant haut les jambes. Ses bas nylon, bruissent sur ses cuisses qu‘elle découvre davantage pour se mettre à l’aise en retroussant sa jupe jusqu’aux boucles de ses jarretelles. La pétulante créature est sans aucun complexe, à l’aise partout, en toutes circonstances, avec n’importe qui. La mine réjouie, son regard passe successivement de Gladys à Patricia.
« Et bien mes chéries, on dirait que j’arrive au bon moment ! »
Elle soulève son opulente poitrine d‘un soupir de satisfaction. Son bustier en dentelle semble avoir des difficultés à la contenir.
 « Hummm, ça sent la fessée ici ! »

 – Oui, et aussi les fesses chaudes ! Plaisante Patricia, qui n’a rien à lui rendre en matière d’impertinence.

 Gladys est restée debout les bras croisés. Elle ne perd pas de vue la punition en cours d’Edouard et Robin.
« C’est bon Edouard, tu vas te mettre au coin à côté de Robin. Baisse ton slip plus bas sur les cuisses et tiens ta chemise relevée pour bien dégager tes fesses. On doit les voir entièrement. Le premier qui bouge, c’est la fessée ! Déculottée... devant Edwige !
– Bravo ma chère, voilà comment on doit parler aux hommes désobéissants ou mal élevés!  J’adore ! Evidement comme vous le savez, ça se passe comme ça aussi à la maison. Je fais pareil avec le mien ! »
Elle se penche en avant dans un grand éclat de rire puis ajoute sur le ton de la confidence. 
 « Il faut leur serrer la visse pour se faire obéir. Les faire marcher à la fessée. Il n’y a rien de meilleur. De bonnes fessées déculottées bien cuisantes. A la maison c’est systématique, ça claque à la moindre incartade. J’adore leur rougir les fesses! C’est stimulant et excellent pour la santé! Il paraît que ça fait circuler le sang. Et bien pour circuler, le leur, je le fais circuler ! 


quelques échanges sur la fessée


 Gladys hochant la tête avec un sourire d‘approbation.
 « Justement ma chérie, puisque nous sommes au cœur du sujet, qu’est-ce qu’il nous vaut le plaisir de ta visite ? 
– Et bien figurez-vous que… On entend souvent dire, j’ai vu de la lumière alors je suis rentrée. Moi c’est plutôt : J’ai entendu claquer une fessée au téléphone, ça m’a donné envie de venir voir de plus près... et me voilà ! »
Les trois femmes éclatent de rire en même temps.
 « Oui, répond Gladys, en essuyant du petit doigt une larme de rire. Patricia tenait le portable au-dessus des fesses d’Edouard pendant que je le corrigeais. J’ai eu cette idée pour ne pas interrompre la fessée.
Patricia toujours pleine de bon sens.
 « Tu le sais Edwige, on n’arrête jamais une fessée en cours. Tu entendais bien au moins ?
– Parfaitement bien ! Ça claquait sec. C’était vraiment amusant, mais un peu frustrant en même temps. J’ai cru un moment que c’était les fesses de Robin, mais j’ai finalement reconnu la sonorité de celles de ton beau-père que ta mère m’a donné plusieurs fois l’occasion de corriger.
Gladys poursuit :
 «  C’est vrai que chaque paire de fesses à sa sonorité particulière. Je reconnaîtrais celle d’Edouard ou de Robin les yeux fermés. Ceci dit, c’est toujours intéressant de claquer un autre derrière lorsque l’occasion se présente.
– Si j’ai bien compris dit Patricia, en regardant tour à tour Edwige et sa mère, c’est ce que vous avez  prévu samedi prochain.
Edwige se tortille d’aise dans son fauteuil. Sa jupe se retrousse un peu plus sur ses cuisses. Elle s’en moque complètement et explique à Patricia qui n’a pas encore eu l’occasion de rencontrer toute sa petite famille.
 « Oui ! Nous avons arrangé ça, ta mère et moi. Je viens dîner avec Stephen… mon mari que vous connaissez. Du moins Gladys, qui l‘a déjà fessé plusieurs fois à la maison. Sébastien aussi, mon fils de vingt et un an, un sacré loustic celui-là. Incorrigible, un vrai gamin. Il lui faut sa fessée tous les jours, voire plusieurs fois par jour... Un peu comme Robin. »  
– A peu de choses près, les mêmes ! Confirma Gladys. Il a régulièrement ses fessées à Ste Marie et je fais le complément à la maison pendant les week-ends avec Patricia.
– D‘ailleurs tu vois ce que ça donne, dit cette dernière en désignant du menton les fesses rouges de Robin toujours au coin. On était en pleine distribution. »


Edwige, qui savoure la conversation :
– Oui, et j’ai aussi entendu ça au téléphone. Et c’est bien d’aider ta mère ma chérie. Moi  j’ai Clarisse, mon aînée de vingt-cinq ans qui commence à avoir, elle aussi, une belle expérience de la fessée. Elle a un joli coup de poignet qui fait très mal. Les fesses de son frère en savent quelque chose. Celles de son père aussi d’ailleurs, on adore les fesser en même temps en s'amusant à échanger les paires de fesses, c‘est très stimulant.
Gladys confirme d’un hochement de tête.
 – Oui, c’est ce qu’on s’apprêtait à faire avec Edouard et Robin au moment où tu es arrivée.
Edwige s’enthousiasme dans son fauteuil. Elle décroise les jambes et les recroise dans l‘autre sens. Nouveau crissement de nylon. Sa jupe retroussée au-dessus de la lisière de ses bas ne peut pas remonter plus haut. Elle n’y prête aucune attention.
– Oh mais, il ne faut pas vous gêner pour moi mes chéries ! Rien ne me ravit d’avantage que d’assister à l’administration d’une bonne fessée... sinon de l’administrer moi-même.
– Dans ce cas tu as bien fait de venir, dit Gladys, tu ne vas pas être déçue. C’est leur quatrième fessée de la journée et comme tu peux le constater leurs fesses sont dans un état de cuisson déjà bien avancé !
– Oui, c’est toujours un plaisir à regarder. Et une double fessée en plus ! Deux derrières en même temps, et pas n’importent lesquels, du grand format ! »  
Patricia en profite pour faire allusion à l’invitation du week-end  suivant.
– C’est un peu un avant-goût de la soirée fessée de Samedi. Si j’ai bien compris, nous allons corriger en même temps Edouard, Stephen et les garçons. »
 Gladys reprend d‘un ton ferme.
 « C‘est prévu comme ça oui ! Mais pas seulement pour varier les plaisirs, c’est aussi, et surtout, pour les motifs de punitions qui ne manqueront pas pour justifier un recadrage collectif. N’oublions pas l’aspect préventif de la fessée. »
Edwige, l‘air goguenard  lance un clin d’œil complice à Patricia souligné d’un sourire débordant de sous-entendus. Elle prend un ton grandiloquent.
« Aaaah Gladys et sa pédagogie de la fessée! Elle rit encore. Mais, bien sûr ma chérie, nous sommes entièrement d‘accord la dessus. Mais tu ne peux pas nier que c’est aussi pour le plaisir de claquer les belles paires de fesses de nos chers et tendres dont nous avons la chance de disposer, à volonté, pour les punitions. 
– C’est vrai, je serais de mauvaise foi à prétendre le contraire. Mais tout de même… La fessée  est avant tout une punition éducative.
– Bien sûr, et c‘est pour cela que Stephen et Sébastien ont systématiquement leur fessée au moindre écart de conduite. Je vous le garantis, ça tombe pratiquement tous les jours, voire plusieurs fois par jour. Et ça leur fait le plus grand bien, les petits chameaux ! »
 Patricia conclue sous le regard approbateur de sa mère.
– Mêmes causes, mêmes effets. Les fessées ici, ça claque aussi souvent, sinon plus. »

L’arrivée inattendue d’Edwige avec son tempérament autoritaire et son enthousiasme communicatif à souligner les bienfaits de la fessée, apporte, s’il en était besoin, un élan supplémentaire à l’action disciplinaire des deux femmes.
.
Mais c’est l’heure de l’apéritif. Petite pause avant la reprise en main. Patricia sert trois pur Malt sans glaçon. Ces Dames au salon, carburent au Whisky et grignotent des amuses gueules en papotant devant les paires de fesses déculottées des deux punis. Sans se préoccuper d’eux le moins du monde, elles discutent à voix bien haute, des bienfaits de la fessée avec autant de naturel que s’il s’agissait d’un banal sujet de conversation. Elles partagent notamment le constat d’efficacité des fessées en public, tout à fait adaptées, selon elles, à inciter les multirécidivistes à cesser de reproduire les fautes qui ont justifié leur punition. 
 « A ce propos, dit Gladys en s’adressant à Edwige. Tu n’es pas venue avec ton mari ?
Edwige sourit, prend une gorgée de Whisky et repose son verre sur la table basse. Elle se renfonce dans son fauteuil en croisant les bras sur sa forte poitrine.
 « Bien sûr que non ! Stephen est puni toute la journée. Et tu dois certainement te douter pourquoi.
– Oh je vois très bien. C‘est la virée d’hier soir avec Edouard.
– Exactement! Il est rentré à une heure du matin, je suppose, dans le même état que ton mari ! Ça, pour arroser sa promotion, ils l’ont arrosée. Par contre c’est moi qui lui ai arrosé les fesses quand je l’ai cueilli en haut de l’escalier, les chaussures à la main ! Je lui ai tellement chauffé le derrière qu’il a dormi à plat ventre sur la couette!
Eclat de rire général. Gladys à son tour.
 « Moi c’est dans l’entrée... Direct !  Il n’a pas eu le temps de dire un mot, fessée déculottée sur place. Il était tellement ivre que j’ai dû taper deux fois plus fort pour qu’elle soit efficace. Je l’ai envoyé au lit les fesses écarlates. Et bien il a fini par s’endormir sur la carpette le pyjama au milieu des cuisses ! 
– Et il en est à sa quatrième aujourd’hui ! Dit Patricia. Pour faire bonne mesure, on applique le tarif, quatre Pubs quatre fessées ! »
– Ah c’est une excellente idée ça. Imparable, je n’y avais pas pensé.
Gladys en complément d’information.
– Patricia est très fière, je viens de lui laisser flanquer sa première fessée à son beau-père. Tu vois le résultat, qu‘est-ce qu‘elle lui a mis !  Elle fesse de mieux en mieux, un peu comme ta fille.
Edwige contemple le fessier flamboyant d’Edouard qui commence à avoir des difficultés à garder la position au coin. Robin à côté de lui n‘est pas en meilleure forme. Ils attendent, inquiets de leur sort.
Edwige commente en experte.
 « Effectivement. Elle fesse bien. Les deux fesses son bien cuites, pas une marque de doigt, la couleur est parfaitement répartie, uniformément rouge sur toute la surface. Excellente fessée, elle promet !
– Son futur mari aura intérêt à bien se tenir... Et, au fait, le tiens... alors ?
– Stephen ? Il a encore les fesses au chaud celui-là!  Je viens de lui flanquer une troisième déculottée juste avant de partir. J’ai tapé tellement fort de colère que j’en ai encore la main tremblante. Il cuve au coin en attendant mon retour. Il n’a pas intérêt à bouger, je le saurai.
– Ah bon, comment ça? Demande Patricia.
– Je l’ai laissé sous la surveillance de Clarisse. Et je peux lui faire confiance. Au moindre relâchement, c’est la fessée ! Elle n’attend que ça pour lui en mettre une ! Nos deux filles ont le même tempérament et la main leste. Nous les avons bien éduquées, toujours prêtes à sévir. Elles ont du caractère, c’est bien. »
Patricia rosit de plaisir sous le compliment et le regard encourageant de sa mère.

Les trois femmes terminent leur Whisky en reprenant leur conversation sur la fessée, cette fois sur la manière la plus efficace de commencer une correction.  Edwige pratique beaucoup la fessée d’échauffement à travers le slip pour préparer le derrière aux fessées déculottées, Gladys, et Patricia à la même école, préfèrent commencer directement par la fessée déculottée. Autant qu‘elle soit bien cuisante dès le début. Elles sont, par contre, unanimes sur le principe d’augmenter la sévérité de chaque nouvelle fessée sanctionnant une récidive malgré des avertissements. Certaines attitudes justifiant ces fessées supplémentaires sont facilement répertoriées. Tentative d’entrave à un déculottage, résistance à une mise en position humiliante, ou simple excès de lenteur à mettre ses fesses à disposition. La rigueur des sanctions s‘impose à tous les niveaux pour faire respecter la discipline.

Le temps passe, l’heure tourne. Ces dames papotent avec désinvolture, totalement indifférentes à l’humiliation qu’elles infligent aux deux hommes, debout au coin depuis une bonne demi-heure à exhiber leurs fesses déculottées. C’est la règle, appliquée sans pitié, dans la douleur. A la cuisson lancinante des  fesses, viennent progressivement s’ajouter  les crampes aux mollets, puis les cuisses, le dos, les bras, jusqu’à éprouver les pires difficultés à se tenir immobile dans la position exigée.  Même si la présence d’Edwige constitue, finalement, un moment de répit au milieu de leur séance de correction, ils ne doutent pas une seconde que leur postérieur ne va pas tarder à remonter très vite en température sous le feu de la fessée au martinet qui les attend après le dîner. 
Encore redoutent-ils, qu’il vienne à l’idée de Gladys de proposer à l’impétueuse d’administrer, à chacun, avant de partir, une de ces éprouvantes fessées de démonstration dont elle est coutumière. Edouard sait, pour en avoir déjà vécu la cuisante expérience, qu’elle s’en s’acquitterait, sans aucun doute, avec le plus grand plaisir. Heureusement pour eux, les événements ne semblent pas prendre cette tournure.

La belle femme finit par se lever du canapé. Elle rajuste sa jupe qu’elle lisse avec soin sur ses cuisses et ses fesses pour éliminer les faux plis et ramasse son sac.
  « Mes chéries, je ne vais pas tarder ! Il est temps que je rentre, j’étais passée pour simplement vous dire un petit bonjour et papoter un peu avec vous. »
Gladys se lève aussi par politesse.
– Tu ne veux pas rester encore un peu, tu vas rater la fessée au martinet. En principe c’était pour l’après dîner mais… Patricia termine la phrase,
 « On peut l’avancer si tu veux !
– Non, non, c’est très aimable de votre part mais ne changez pas votre organisation pour moi ! On m’attend à la maison. Je dois encore m’occuper des fesses de Stephen. Sa punition n’est pas terminée, je lui ai promis une nouvelle fessée en rentrant, alors… vous savez ce que c’est !
– Fessée promise, jamais remise ! »
 Continue Patricia avec humour. Edwige rit de bon cœur.
 « Excellent, je retiens ça ! »
  Elle se dirige vers la porte du salon puis, fait volteface. Les mains sur les hanches, elle fixe ses deux amies et pousse un soupir d‘exaspération qui provoque un fort tremblement de poitrine. Le sac accompagne le mouvement en se balançant autour de son poignet.

« Franchement Gladys, tu peux me dire ce qu’ils ont dans le crâne ces deux-là ? Ah on n’est pas gâtées avec des maris pareils! Non mais dans quel état ils sont rentrés hier soir ! On n’a pas mérité ça !
– Et oui, que veux-tu, toute leur éducation est à refaire ! On s’y emploie mais ça demande du temps, de la persévérance et une sévérité à toute épreuve.
– Il faut les corriger sans arrêt !  Fessées sur fessées, il n’y a que ça qui marche. Et encore, ils se tiennent bien un moment et recommencent ensuite à faire n‘importe quoi. Ils ont des comportements d’adolescents attardés.

Patricia s‘est levée à son tour et tout en commençant à débarrasser la table des verres vides ne peut s‘empêcher de commenter.
 «  En même temps, c’est tout de même assez plaisant d’avoir à s’occuper régulièrement de leurs fesses. Personne ici ne s‘en plaindra, bien au contraire. »
Gladys confirme.
 « Nous serions de mauvaise foi à ne pas le reconnaître. Mais comme je le dis souvent, c’est finalement joindre l’utile à l’agréable. »
Edwige qui a esquissé un nouveau démarrage vers la sortie fait encore demi-tour en claquant des talons.
– Et bien Gladys c’est toi qui a le dernier mot, ma chère. Aller... Cette fois ci, je m’en vais pour de bon.  J’ai encore une fessée à administrer à mon tendre époux. Il ne m’attend certainement pas avec impatience mais j‘ai la main qui commence à s‘énerver !
– A bientôt Edwige, merci de ta visite et bonne fessée ! » Dit Gladys en l’accompagnant vers le vestibule. Les deux femmes éclatent de rire.
 «  Pour ça fais-moi confiance, ça va chauffeeeeer !!... comme dit une de mes connaissances. A Samedi mes chéries ! »
 C‘est comme un ouragan qui se déplace. Les talons aiguille résonnent de nouveau bruyamment sur le carrelage de l’entrée, la porte claque… Edwige est partie.

 Bref moment de silence, à peine troublé par d‘imperceptibles murmures venant du coin où séjournent toujours Edouard et Robin. Ils n’ont évidemment pas perdu un mot de la conversation qui s’est déroulée dans leur dos et ne sont pas particulièrement rassurés sur les projets concernant l’avenir immédiat de leur derrière respectif. Le  moment inattendu de récupération ne se révélera probablement pas suffisant pour endurer la cinglante fessée au martinet qui les attend. Feu d’artifice final destiné à clore ce charmant week-end de recadrage disciplinaire.

Cette discrète manifestation de présence masculine, n’a pas échappé à la vigilance de Patricia, Suivie de sa mère, qui revient de la cuisine, elle s’est plantées, bras croisés, derrière les deux hommes.
 « Alors ? Ces messieurs profitent que nous avons le dos tourné pour discuter. Et si j’ai bien vu, Robin, tu as baissé les bras tout à l‘heure. Répond ! »
Vivement interpellé par sa sœur le pauvre Robin n’ose pas se retourner et balbutie dans son coin quelques mots à peine compréhensibles.
 « Euh… Ou...oui... Pat...Patricial !
La réponse cinglante fuse immédiatement.
– Alors, tu connais le tarif ! C’est la fessée, tout de suite !
Gladys intervient.
– Attends ma chérie, ne sois pas si impatiente. Nous allons d’abord dîner. Pendant ce temps leurs fesses vont récupérer et seront ensuite pleinement opérationnelles pour la fessée au martinet. »
La jeune femme contrariée, hoche la tête en signe de désapprobation mais ne se permet pas de contredire sa mère qui change de ton aussitôt.
 « Edouard, Robin, on se reculotte ! Le slip seulement ! Bien tendu sur les fesses pour entretenir encore la cuisson. Ensuite, vous filez préparer la table, le pantalon aux chevilles. Le premier qui fait tomber quelque chose c’est la fessée ! Patricia tu surveilles, tu déculottes et tu fesses immédiatement si nécessaire. Et pas de quartier; tu fesses fort, je veux entendre les fesses claquer de la cuisine! »
Elle regarde sa fille avec un sourire interrogateur.
 « Contente, ça te va comme ça ?
– Oui maman, merci maman ! Tu es un amour !
– C’est bon n’en fais pas trop. Tu sais que je n’aime pas ça. Messieurs on se dépêche ! » 

Abstraction faite des mines un peu crispées d’Edouard et Robin qui éprouvent tout de même quelques difficultés à tenir la position assise trop longtemps, le repas se passe dans une atmosphère plutôt calme et détendue. . Faute de temps pour cuisiner, les restes du rôti sont servis froids avec des petits légumes. Du coup, personne ne trouve rien à redire à la cuisson. La fessée prise par Robin la veille au soir à ce sujet a ôté toute envie de commentaires. Ils se seraient, d‘ailleurs, révélés bien inappropriés, étant donné la qualité de la mayonnaise faite par Edouard en accompagnement. Quelques solides fessées incitatives distribuées à bon escient par sa charmante épouse, ont fini par lui faire découvrir un intérêt croissant pour la cuisine.

 La relative quiétude du dîner est soudain troublée par le ton sec de Gladys qui fait sursauter tout le monde.
 « Robin, amène-moi tes fesses ! »
Robin, éberlué regarde sa mère avec inquiétude. Il comprend tout de suite et essaye d’éponger les gouttes de vin qu’il vient de faire tomber sur la nappe en voulant se servir. Il n’a pas le temps de finir.
 « Qu’est-ce que je viens de te dire Robin ? Tu te déculottes et tu m‘amène tes fesses !
– Mais maman... Je n’ai pas fait exprès… C’est … »
Gladys a déjà posé sa serviette et reculé sa chaise. Elle a besoin d'espace pour fesser à son aise.
 « Oh mais je sais que tu ne fais pas exprès. Et c’est là le problème, tu ne fais seulement jamais attention ! »
Elle le regarde avec un léger sourire de satisfaction à lui annoncer la sentence.
 « Une nappe tachée… »
 Elle n’a pas le temps de finir. Patricia, d’un ton guilleret, le fait à sa place.
 « C’est la fessée ! 
– Exactement, la fessée, une de plus !  Alors qu’est-ce que tu attends ? Tu te déculottes et tu viens immédiatement la chercher ! »
Le malheureux sent qu’il doit obéir et, tout en se déculottant, il fait le tour de la table pour se précipiter en pleurnichant sur les genoux de sa mère.
 « Oh maman, pas la fessée, s’il te plaît, pas la fessée. J’en ai déjà reçu quatre aujourd’hui. »
Maman n’est jamais à court de mauvaise foi pour justifier une correction. Elle s‘amuse de ses supplications qu’elle tourne en dérision avec un cynisme assumé.
 « Je sais trésor, je sais... mais ça ne compte plus. Les punitions de cet après-midi sanctionnaient ton comportement et ton manque de travail à l’institut, alors que la fessée que tu viens de mériter concerne ta mauvaise tenue à table. Tu vois ce n’est pas du tout la même chose. J’espère même que tes fesses sont encore bien sensibles pour qu’elles en profitent davantage. C’est exactement le genre de fessée qu’il te faut pour apprendre à te servir proprement à table mon chéri! ! »

Robin n’a pas le choix, selon le rituel de soumission habituel, il pose ses mains à plat sur le sol, pousse sur les bras en creusant les reins et arrondit docilement ses fesses pour les offrir bien tendues, prêtes à recevoir sa fessée. L’appétissant derrière bien développé est encore rouge des raclées de la journée. Il n’a pas longtemps à attendre. Gladys le claque aussitôt vigoureusement pour bien marquer la sévérité de la correction. Sa main ferme, expérimentée, passe d’une fesse à l’autre et fait rapidement preuve d’une redoutable efficacité à raviver la cuisson des fessées précédentes. Après un bref semblant de résistance, le malheureux très vite mené à son point de rupture, finit par capituler sous les claques. Ce sont d‘abord des plaintes sourdes au rythme des allers et retours, puis les pleurs jaillissants, suivis d’une explosion de cris et de supplications à mettre un terme à la punition. La maman impitoyable, n’y prête aucune attention et continue à fesser, poussant Robin à s’égosiller en tortillant des fesses sur ses cuisses.

 Edouard, recroquevillé sur sa chaise, se fait le plus discret possible. Patricia a les mains libres. Il sait qu’il peut s’en prendre une pour n’importe quel prétexte et à n’importe quel moment. Il se glisserait volontiers sous la table s’il le pouvait.  D’une violente paire de claque bien rebondissante sur chaque fesse, Gladys met fin à la correction, laissant Robin en larmes, pantelant en travers de ses cuisses. La fessée n’a pas duré aussi longtemps que d’habitude mais administrée avec une implacable intensité.

Maman contemple le résultat de son travail d’un regard satisfait. Le fessier tout entier est redevenu écarlate.
 « Maintenant, relève toi et retourne à ta place. Tu t‘assieds correctement, sans pleurnicher ni gigoter, les fesses déculottées, bien étalées sur ta chaise. Je veux que tu ressentes l’effet de ta fessée jusqu’à la fin du repas. Tu as encore ton assiette à finir et ton dessert. Une fessée est bien plus efficace qu‘une privation de dessert. »
Patricia recule sa chaise. Un petit sourire narquois sur les lèvres, elle regarde son frère terminer son repas en grimaçant.
 « Et attention à la suivante si tu en mets encore à côté. »

Après ce spectaculaire intermède, chacun reprend sa place et le dîner s’achève comme s’il ne s’était rien passé, sans autre dommage pour les postérieurs de ces messieurs. Du moins pour celui de Robin. Edouard, quant à lui, transis d’angoisse pendant  la nouvelle démonstration d’autorité de sa femme, décompresse devant sa salade de fruits. Le souffle de la fessée ne lui est pas passé loin du derrière. Pour ces Dames c’est simplement reculer pour mieux fesser. Il reste l’inauguration du martinet.

La table débarrassée, devient un accessoire très pratique pour administrer une fessée au martinet. Edouard et Robin sont mis en position, à genoux côte à côte sur leur chaise, le buste courbé sur le dossier tourné vers la table en question, allongés à plat ventre, les mains agrippées au bord opposé. Le moment est venu de finaliser l’enrichissant Week-end de corrections. Gladys, à la manœuvre dirige encore les opérations.
 « On cambre bien les reins pour déployer ses fesses au maximum. Les lanières ont besoin de cingler toute la surface pour bien s’exprimer et faire ressentir leur efficacité. »
Le ton est péremptoire.  Elle se tourne vers sa fille.
 « Veux-tu bien aller chercher le nouveau martinet ma chérie. Il est à tremper dans la salle de bain pour rendre les lanières plus cinglantes.

 Tout de suite maman, tout de suite ! »
Elle part pratiquement en courant et revient avec l’instrument de discipline bien mouillé et l’autre martinet mainte fois utilisé, mais encore redoutable lorsqu‘il est bien manié.
 « Tu as bien fait de prendre les deux. » Dit Gladys avec un sourire.
– Ben oui maman,  je ne vais pas rester à te regarder sans rien faire, il y a quand même deux paires à corriger là ! »
La maîtresse de maison s’empare du nouveau martinet et se place derrière les deux fessiers, légèrement de côté et à la distance nécessaire pour une bonne prise d’élan. Patricia fait de même de l’autre côté.
 « Bien ! Ma chérie, tu prends les fesses de ton frère, je m’occupe de celles d’Edouard. Nous échangerons en cours de route. Mais avant de commencer… »
Tout en maintenant leurs fesses dans la position exigée, déployées, bien tendues, les punis se tortillent sur leur chaise en poussant des petits gémissements craintifs. Beaucoup trop préoccupés par ce qui les attend, ils ne prêtent que peu d’attention au sermon de Gladys. Celle-ci poursuit sur un ton aux accents faussement affectueux.
 « Mes chéris, nous voici au terme de cette belle journée de recadrage. Nous nous sommes appliquées à vous administrer les fessées que vous avez méritées pour sanctionner vos écarts de conduite. Ton insolence et ton manque de travail Robin, Edouard ton comportement irresponsable. Vos fesses portent encore les traces rouges des belles fessées à la main que vous avez reçues. La fessée au martinet qui va suivre devrait vous faire prendre conscience que toute récidive sera punie de la même manière, voire plus sévèrement encore, et autant de fois que nous le jugerons nécessaire.
– Moi je prends l'option, plus sévèrement encore ! Ajoute Patricia en faisant tourner son martinet dans sa main d‘un geste menaçant.
 « Messieurs ? Un commentaire ? »
Un murmure inaudible émane de la table tandis que les deux hommes se dandinent sur leur chaise en attente craintive de leur fessée.
 Gladys triomphante, prend son élan le bras haut levé au-dessus du postérieur d‘Edouard.
 « Je prends ça comme un accord ! Fessée ! »
Lancé à toute volée, les lanières s’enroulent en claquant autour du fessier qui bondit sous la morsure. Les fesses soumises toute la journée à rude épreuve son extrêmement sensibles. La douleur est fulgurante. Edouard pousse un rugissement, aussitôt suivi du hurlement de Robin, dont le postérieur empourpré de la récente fessée, vient de subir le même traitement par sa sœur. Les stries rouges foncé apparaissent distinctement imprimées sur la courbure écarlate des hémisphères.
 « Excellent ce martinet ! S’exclame Gladys en assurant sa prise sur le manche pour fesser plus ferme. Il cingle à merveille !  Il va falloir que j’en achète un deuxième !
Patricia a déjà pris son rythme de croisière et étrille le derrière de son frère à grand coup de lanières qui claquent dessus avec un bruit mat plaisant à l‘oreille.
– Oui, ça me plairait bien. Celui-là n’est pas mal mais à force de servir, un peu moins performant. »


une double fessée au martient


Les deux femmes manient le martinet, sans pitié ni retenue avec la dextérité que confère une pratique régulière. Les lanières bien enveloppantes font leur cinglant travail sous les cris et les pleurs des punis qui ne tiennent plus sur leur chaise. Après un changement de partenaire et une fulgurante reprise, ils finissent en trépignant, debout à côté de leur siège accrochés à la table comme à une bouée de sauvetage.
 « Cette fois, je crois qu‘ils ont leur compte ! »
Conclue Gladys sur une dernière cinglée sèchement allongée en travers des fesses cramoisies de Robin, traversées de magnifiques marques écarlates sur toute la largeur.
Edouard à bout de résistance, sommé de remonter sur sa chaise pour reprendre la position, fini par en retomber sous une ultime cinglée de martinet que Patricia lui ajuste entre les fesses.
 « S’ils n’ont pas compris avec ça...On n’a plus qu’à recommencer la semaine prochaine! » dit-elle en l’enjambant sans un regard pour aller poser le martinet brûlant sur la table.

A peins relevés, épuisés en larmes, ils se font expédier au lit d’une dernière claque aux fesses totalement insupportable. Ils grimpent les escaliers, en sanglotant, les fesses tenues à pleines mains pour les empêcher de tressauter douloureusement à chaque fois qu'ils lèvent une jambe pour gravir les marches. Les deux femmes s’en amusent ouvertement.
 « Je suis certaine qu’ils vont bien dormir ! Dit Patricia, aussitôt reprise par sa mère, plus réaliste.
 « Pas si sûr… ça m’étonnerait même. Avec ce qu’on vient de leur mettre sur les fesses, et une cuisson pareille… »

Le lendemain matin, mal dormi, encore fatigués Edouard et Robin, après un petit déjeuner sans appétit, se retrouvent dans l’entrée pour partir, l’un au bureau, l’autre retourner à  Ste marie. Gladys et Patricia, toute pimpantes, les apostrophent au moment de sortir.

 « Attendez, s’exclame Gladys,  vous n’allez pas partir comme ça… On vous a préparé une petite gâterie pour vous aider à bien commencer la journée et vous montrer performant au travail ! » 
Avant qu'il ait pu réagir, elle saisit son mari par le bras et lui fait faire un demi-tour sur lui-même pour le placer face à elle. Elle lui appuie sur la nuque, le courbe en deux de force et lui coince la tête entre ses cuisses, l‘obligeant à lui présenter ses fesses parfaitement positionnées pour recevoir une fessée. Patricia fait la même chose avec Robin qui se retrouve instantanément dans la même posture.
Elles se regardent, échangent un sourire complice et dans un même mouvement, passent leurs mains sous les ventres, débouclent les ceinture et font tomber les pantalons sur les chevilles. D’un signe de tête entendu, elles les déculottent, le slip au milieu des cuisses et, aussitôt prêt, chacun prend sa fessée.
Brève mais vigoureuse, elle suffit à leur rallumer le feu aux fesses avec d’autant plus de facilité qu’elles n’ont pas encore complètement récupéré du régime de la veille.

Ils n’ont même pas le temps de s’interroger ni de protester. Dix minutes de claquage intensif et ils se retrouvent  en larmes, à piétiner sur place, la tête serrée entre les cuisses de leur fesseuse.  Edouard encaisse sa fessée en suppliant. Robin le cartable à la main, se fait mettre la sienne en trépignant. Vite fait, bien fait, la raclée est terminée. Elles s’amusent à les reculotter sans ménagement en faisant bruyamment claquer les élastiques.

 « Et voilà mon cher ami ! dit Gladys en exprimant un taux de satisfaction maximum. Comme je le dis souvent, rien de tel qu’une bonne fessée déculottée pour bien démarrer la journée. Tes fesses vont se souvenir de ma main au bureau et te rappeler que tu dois te conduire correctement. N’est-ce pas ? »
Patricia n’est pas en reste avec son frère et lui fait aussi la leçon.
 « Tu vois Robin, nous faisons bien les choses, tu repars à Ste Marie avec les fesses dans le même état qu’elles étaient en arrivant. Lorsque tu vas te faire déculotter pour ta première fessée, on va pouvoir constater, à l’institut, que les recommandations de la directrice ont été suivies à la lettre. »
Gladys conclue avec naturel, comme s’il ne s’était rien passé de particulier.
  « Aller ! Filez maintenant ! Edouard mon chéri, à ce soir !... A vendredi Robin. Essaye de ne pas être en retard cette fois ci trésor,  sinon, tu sais ce qui attend tes fesses ! »  

FIN DE LA PREMIÈRE SAISON.



Avec les dessins originaux de l'auteur !


Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...

Le début : chapitre 1
et l'épisode précédent : chapitre 11

Il y a une suite, mais il faut attendre pour la lire ! Sans doute un peu plus longtemps que d'habitude, sauf si vos protestations, vos prières, vos injonctions, vos menaces, vos promesses...
Elles ont fini par être efficaces. Voici la saison 2 : chapitre 1

Et pour ceux qui chercheraient un chapitre en particulier...

... vous trouverez tout ce que vous cherchez sur la page "Les auteurs invités"

Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre :  ramina16@laposte.net

12 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Wahou ! La première saison s'achève sur les chapeaux de roues ! On laisse de la gomme sur l'asphalte ! Quel championnat !
    Qu'est ce que va nous réserver la seconde saison comme surprises.Ces dames rivalisent d'adresse. Dessins très réalistes. Excellent.
    Excellente chute et prometteuse d'une suite cuisante.
    Match : avantages : Gladys/Patricia 40 - Edouard/Robin 0
    Rires. Peter'.

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  2. Bonjour Peter,
    Toujours aussi drôle !
    Yes, ça laisse peut-être de la gomme sur l'asphalte mais surtout des traces de cuir sur les fesses!
    Il va falloir attendre pour une deuxième saison. Nous somme vers la fin d'un été de fessées, caniculaire, avec alerte rouge sur les paires de fesses à portée de main..
    L'automne s'annonce plutôt fraîche. Ces "Dames aux mains fermes" vont sans doute se les réchauffer en prenant soin de maintenir les derrières de ces messieurs désobéissants à bonne température. Economies de chauffage, mais pas d'énergie!
    Le cercle des amies, adeptes de la méthode forte pour maintenir une stricte discipline domestique, pourrait bien s'élargir, avec les fessiers à corriger qui vont avec.
    La discipline fait sans doute la force des armées, dit-on (!) mais la fessée fait aussi celle des bonnes et sévère épouses! Eh oui! Re-rires.
    Cordialement
    Ramina

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    1. je ne me lasse pas de vos récits .
      Je les relis avec toujours autant de plaisir,.
      D'autant u'ils sont fort bien écrits.

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  3. Très juste, Ramina.
    Avec Septembre qui se profile à l'horizon, s'annonce le retour tant redouté au pensionnat des deux grands garnements.
    Maman Térèze va encore accomplir des prouesses avec son Gérome chéri. Naturellement, ses chères tantes, sœurs et cousines ne manqueront pas de mettre la main à la pâte !!! Et question obéissance et travail, ces dames se surpassent... Car au fond, il aime bien recevoir la fessée ce p'tit cachottier de Gérome. "Avec les fesses bien rouges, mon p'tit poussin est plus concentré sur son travail" martèle sa bonne maman. Ah quelle famille... Rires.
    Peter'.

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  4. bonjour à vous,

    comme je me trouve en phase avec votre récit!
    dommage que cette saison s'arrete!
    une mère et une sœur ainée pour s'occuper de mon éducation et avec martinet si besoin!
    ma mère avait demandé à ma sœur de veiller sur moi en son absence et ceci assorti bien sur du droit,voire du devoir de me corriger,ce que faisait mon ainée avec joie et application!
    merci pour vos récits

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  5. Bonjour Jean,

    Oui, souvent, dans certaines familles, la présence d'une sœur ainée permet à la maman d'être secondée voire remplacée en cas d'absence. Rôle que nos "grandes sœurs" comme l'on dit, remplissent avec beaucoup de conviction et de sérieux. Avec parfois à la clé le droit de nous "recadrer" s'il le faut. Avec zèle parfois.
    Mon père avait un travail en horaires décalés et en l'absence de ma mère, c'est ma sœur ainée qui dirigeait la maisonnée.
    Question fessée, seule ma mère s'en donnait le droit et savait doser sa colère. Ma sœur pouvait nous gronder mais pas plus.
    Une autre époque...
    Peter'.

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    1. bonjour Peter Pan,vous avez eu de la chance!
      pour moi ma sœur,presque cinq ans de plus,avait le droit de punition,et pour ma mère punition=fessée!
      ma sœur ayant bien connu elle aussi ces corrections ne se privait pas de me les donner,et souvent avec le martinet,plus facile a utiliser surtout avec mes culottes courtes!
      et parfois c'était devant des amies à elle que j'étais puni,et même un jour devant son petit flirt,notre voisin, qui en profita après pour me fesser d'importance à la moindre occasion,donc pour moi mère ou sœur mes cuisses finissaient rouges et striées!

      merci pour votre blog si sympa

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  6. Merci Jean,
    Ce sont des témoignages comme le vôtre qui incite à poursuivre l'écriture de ce qui n'est à l'origine qu'une fiction, rejointe ici par une réalité vécue, bien tangible, cette fois. La vôtre, en l'occurrence, que j'ai pu évoquer sans le savoir à travers ce récit dont je proposerai bientôt une deuxième saison. Propre je l'espère à vous satisfaire de nouveau.
    Cordialement
    Ramina.

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  7. Bonjour Ramina,je pense bien que ce n'est qu'une fiction!
    voir une femme fesser son fils et son mari pourquoi pas?mais pas dans la même séquence,pas l'un devant l'autre par contre une fille fesser le mari de sa mère donc son père là c'est plus que douteux!
    mais une fille fessant son frère cela peut arriver chez des gens très bien;à la maison j'avais une sœur mon ainée de cinq ans qui était éduquée très sévèrement par notre mère avec fessée et martinet si besoin,bien sur ce fut pareil pour moi!quand j'ai eu dix ans environ,donc ma sœur quinze,ma mère lui donna la consigne de ma recadrer si besoin lors de ses absences,et ma sœur prit son rôle d'éducatrice très au sérieux!elle était encore plus sévére et exigeante que maman et je recevais régulièrement des claques sur les cuisses,je devais toujours sur ordre de maman être en culottes courtes ou short à la maison(c'est plus pratique pour le martinet disait elle)et même de plus en plus souvent le martinet et ma sœur devint vite une experte dans son maniement,bien sur si une de ses copines était là cela n'empêchait rien!même un jour ce fut devant son copain!
    cordialement à vous de Jean

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  8. Bonjour Jean,
    Merci pour la sincérité de vos commentaires.
    Notre ami JLG, gestionnaire avisé de ce blog,( qui je pense, ne m'en voudra pas de m'en faire ponctuellement porte parole ) vous dirait : "Prenez la plume et faites en un récit. Votre vécu devrait intéresser les lecteurs de ce blog."

    Pour répondre à votre remarque, dans la fiction " Ces dames aux mains fermes ", j'ai pris la peine d'éviter le "plus que douteux". Patricia, la fille, ne fesse pas son père, mais son beau père... Encore que... Des belles mères fessent bien leur gendre ou leur brue, des filles fessent bien leur frère... Vous semblez être bien placé pour le savoir.
    Nous sommes dans un récit fantasmatique ou tout est possible hors contexte de réalité.
    La vôtre semble assez troublante, avec une mère particulièrement sévère,( vous faire porter des shorts pour une pratique efficace du martinet) et une soeur quelque peu pernicieuse au point de vous fesser devant ses amies et son petit ami, qui, si j'ai bien compris, vous corrigeait aussi!
    A ce stade qu'elle que soit les paire de fesses en pénitence, c'est parfois la fiction qui s'inspire de la réalité!
    Cordialement
    Ramina

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  9. Bonjour à tous,
    On peut dire que c'est un final en apothéose, un feu d'artifice sous un soleil rougeoyant ! Oui, certains martinets cinglaient mieux que d'autres et comme il est dit "à force de servir, ils peuvent devenir moins performants". Les droguistes, quincailliers, cordonniers, qui vendaient les martinets conseillaient d'en changer régulièrement, notamment en cas d'usage régulier et fréquent, car du cuir neuf cingle mieux. Je peux en témoigner car de 11 à 18 ans passés j'en ai connus six différents. Mon expérience est assez proche de celle de Jean, dans les années soixante pour moi, élevé par ma mère seule, et l'année du BAC confié souvent aux mains d'une répétitrice sévère et exigeante. Je vais essayer de faire un récit "entrant" comme me le demande JLG.
    Oliver Twist

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  10. Bonjour,
    Merci Oliver pour l'apothéose.
    C'est bien ce que je suggérai. Quand la fiction réveille la réalité, cette dernière en devient plus intense. A lire comme, sans doute, à raconter.La fiction s'en trouve alors, plus ou moins banalisée.
    Cordialement
    Ramina.

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