Les bienfaits de la fessée.
Sans
attendre qu’on le lui propose, Edwige
pose son sac par terre près du fauteuil et s’y installe en croisant haut
les jambes. Ses bas nylon, bruissent sur ses cuisses qu‘elle découvre davantage
pour se mettre à l’aise en retroussant sa jupe jusqu’aux boucles de ses
jarretelles. La pétulante créature est sans aucun complexe, à l’aise partout,
en toutes circonstances, avec n’importe qui. La mine réjouie, son regard passe
successivement de Gladys à Patricia.
« Et
bien mes chéries, on dirait que j’arrive au bon moment ! »
Elle
soulève son opulente poitrine d‘un soupir de satisfaction. Son bustier en
dentelle semble avoir des difficultés à la contenir.
« Hummm, ça sent la fessée ici ! »
– Oui, et aussi les fesses chaudes ! Plaisante
Patricia, qui n’a rien à lui rendre en matière d’impertinence.
Gladys est restée debout les bras croisés.
Elle ne perd pas de vue la punition en cours d’Edouard et Robin.
«
C’est bon Edouard, tu vas te mettre au coin à côté de Robin. Baisse ton slip
plus bas sur les cuisses et tiens ta chemise relevée pour bien dégager tes
fesses. On doit les voir entièrement. Le premier qui bouge, c’est la fessée !
Déculottée... devant Edwige !
–
Bravo ma chère, voilà comment on doit parler aux hommes désobéissants ou mal
élevés! J’adore ! Evidement comme vous
le savez, ça se passe comme ça aussi à la maison. Je fais pareil avec le mien
! »
Elle
se penche en avant dans un grand éclat de rire puis ajoute sur le ton de la
confidence.
« Il faut leur serrer la visse pour se
faire obéir. Les faire marcher à la fessée. Il n’y a rien de meilleur. De
bonnes fessées déculottées bien cuisantes. A la maison c’est systématique, ça
claque à la moindre incartade. J’adore leur rougir les fesses! C’est stimulant
et excellent pour la santé! Il paraît que ça fait circuler le sang. Et bien
pour circuler, le leur, je le fais circuler !
Gladys
hochant la tête avec un sourire d‘approbation.
« Justement ma chérie, puisque nous
sommes au cœur du sujet, qu’est-ce qu’il nous vaut le plaisir de ta visite
?
–
Et bien figurez-vous que… On entend souvent dire, j’ai vu de la lumière alors
je suis rentrée. Moi c’est plutôt : J’ai entendu claquer une fessée au
téléphone, ça m’a donné envie de venir voir de plus près... et me voilà ! »
Les
trois femmes éclatent de rire en même temps.
« Oui, répond Gladys, en essuyant du
petit doigt une larme de rire. Patricia tenait le portable au-dessus des fesses
d’Edouard pendant que je le corrigeais. J’ai eu cette idée pour ne pas
interrompre la fessée.
Patricia
toujours pleine de bon sens.
« Tu le sais Edwige, on n’arrête jamais
une fessée en cours. Tu entendais bien au moins ?
–
Parfaitement bien ! Ça claquait sec. C’était vraiment amusant, mais un peu frustrant
en même temps. J’ai cru un moment que c’était les fesses de Robin, mais j’ai
finalement reconnu la sonorité de celles de ton beau-père que ta mère m’a donné
plusieurs fois l’occasion de corriger.
Gladys
poursuit :
« C’est vrai que chaque paire de fesses
à sa sonorité particulière. Je reconnaîtrais celle d’Edouard ou de Robin les
yeux fermés. Ceci dit, c’est toujours intéressant de claquer un autre derrière
lorsque l’occasion se présente.
–
Si j’ai bien compris dit Patricia, en regardant tour à tour Edwige et sa mère,
c’est ce que vous avez prévu samedi
prochain.
Edwige
se tortille d’aise dans son fauteuil. Sa jupe se retrousse un peu plus sur ses
cuisses. Elle s’en moque complètement et explique à Patricia qui n’a pas encore
eu l’occasion de rencontrer toute sa petite famille.
« Oui ! Nous avons arrangé ça, ta mère et
moi. Je viens dîner avec Stephen… mon mari que vous connaissez. Du moins
Gladys, qui l‘a déjà fessé plusieurs fois à la maison. Sébastien aussi, mon
fils de vingt et un an, un sacré loustic celui-là. Incorrigible, un vrai gamin.
Il lui faut sa fessée tous les jours, voire plusieurs fois par jour... Un peu
comme Robin. »
–
A peu de choses près, les mêmes ! Confirma Gladys. Il a régulièrement ses
fessées à Ste Marie et je fais le complément à la maison pendant les week-ends
avec Patricia.
–
D‘ailleurs tu vois ce que ça donne, dit cette dernière en désignant du menton
les fesses rouges de Robin toujours au coin. On était en pleine distribution. »
Edwige,
qui savoure la conversation :
–
Oui, et j’ai aussi entendu ça au téléphone. Et c’est bien d’aider ta mère ma
chérie. Moi j’ai Clarisse, mon aînée de vingt-cinq
ans qui commence à avoir, elle aussi, une belle expérience de la fessée. Elle a
un joli coup de poignet qui fait très mal. Les fesses de son frère en savent
quelque chose. Celles de son père aussi d’ailleurs, on adore les fesser en même
temps en s'amusant à échanger les paires de fesses, c‘est très stimulant.
Gladys
confirme d’un hochement de tête.
– Oui, c’est ce qu’on s’apprêtait à faire avec
Edouard et Robin au moment où tu es arrivée.
Edwige
s’enthousiasme dans son fauteuil. Elle décroise les jambes et les recroise dans
l‘autre sens. Nouveau crissement de nylon. Sa jupe retroussée au-dessus de la
lisière de ses bas ne peut pas remonter plus haut. Elle n’y prête aucune
attention.
–
Oh mais, il ne faut pas vous gêner pour moi mes chéries ! Rien ne me ravit
d’avantage que d’assister à l’administration d’une bonne fessée... sinon de
l’administrer moi-même.
–
Dans ce cas tu as bien fait de venir, dit Gladys, tu ne vas pas être déçue.
C’est leur quatrième fessée de la journée et comme tu peux le constater leurs
fesses sont dans un état de cuisson déjà bien avancé !
–
Oui, c’est toujours un plaisir à regarder. Et une double fessée en plus ! Deux
derrières en même temps, et pas n’importent lesquels, du grand format !
»
Patricia
en profite pour faire allusion à l’invitation du week-end suivant.
–
C’est un peu un avant-goût de la soirée fessée de Samedi. Si j’ai bien compris,
nous allons corriger en même temps Edouard, Stephen et les garçons. »
Gladys reprend d‘un ton ferme.
« C‘est prévu comme ça oui ! Mais pas
seulement pour varier les plaisirs, c’est aussi, et surtout, pour les motifs de
punitions qui ne manqueront pas pour justifier un recadrage collectif.
N’oublions pas l’aspect préventif de la fessée. »
Edwige,
l‘air goguenard lance un clin d’œil
complice à Patricia souligné d’un sourire débordant de sous-entendus. Elle
prend un ton grandiloquent.
« Aaaah
Gladys et sa pédagogie de la fessée! Elle rit encore. Mais, bien sûr ma chérie,
nous sommes entièrement d‘accord la dessus. Mais tu ne peux pas nier que c’est
aussi pour le plaisir de claquer les belles paires de fesses de nos chers et
tendres dont nous avons la chance de disposer, à volonté, pour les
punitions.
–
C’est vrai, je serais de mauvaise foi à prétendre le contraire. Mais tout de
même… La fessée est avant tout une
punition éducative.
–
Bien sûr, et c‘est pour cela que Stephen et Sébastien ont systématiquement leur
fessée au moindre écart de conduite. Je vous le garantis, ça tombe pratiquement
tous les jours, voire plusieurs fois par jour. Et ça leur fait le plus grand
bien, les petits chameaux ! »
Patricia conclue sous le regard approbateur de
sa mère.
–
Mêmes causes, mêmes effets. Les fessées ici, ça claque aussi souvent, sinon
plus. »
L’arrivée
inattendue d’Edwige avec son tempérament autoritaire et son enthousiasme
communicatif à souligner les bienfaits de la fessée, apporte, s’il en était
besoin, un élan supplémentaire à l’action disciplinaire des deux femmes.
.
Mais
c’est l’heure de l’apéritif. Petite pause avant la reprise en main. Patricia
sert trois pur Malt sans glaçon. Ces Dames au salon, carburent au Whisky et
grignotent des amuses gueules en papotant devant les paires de fesses
déculottées des deux punis. Sans se préoccuper d’eux le moins du monde, elles
discutent à voix bien haute, des bienfaits de la fessée avec autant de naturel
que s’il s’agissait d’un banal sujet de conversation. Elles partagent notamment
le constat d’efficacité des fessées en public, tout à fait adaptées, selon
elles, à inciter les multirécidivistes à cesser de reproduire les fautes qui
ont justifié leur punition.
« A ce propos, dit Gladys en s’adressant
à Edwige. Tu n’es pas venue avec ton mari ?
Edwige
sourit, prend une gorgée de Whisky et repose son verre sur la table basse. Elle
se renfonce dans son fauteuil en croisant les bras sur sa forte poitrine.
« Bien sûr que non ! Stephen est
puni toute la journée. Et tu dois certainement te douter pourquoi.
–
Oh je vois très bien. C‘est la virée d’hier soir avec Edouard.
–
Exactement! Il est rentré à une heure du matin, je suppose, dans le même état
que ton mari ! Ça, pour arroser sa promotion, ils l’ont arrosée. Par contre
c’est moi qui lui ai arrosé les fesses quand je l’ai cueilli en haut de
l’escalier, les chaussures à la main ! Je lui ai tellement chauffé le derrière
qu’il a dormi à plat ventre sur la couette!
Eclat
de rire général. Gladys à son tour.
« Moi c’est dans l’entrée... Direct
! Il n’a pas eu le temps de dire un mot,
fessée déculottée sur place. Il était tellement ivre que j’ai dû taper deux
fois plus fort pour qu’elle soit efficace. Je l’ai envoyé au lit les fesses
écarlates. Et bien il a fini par s’endormir sur la carpette le pyjama au milieu
des cuisses !
–
Et il en est à sa quatrième aujourd’hui ! Dit Patricia. Pour faire bonne
mesure, on applique le tarif, quatre Pubs quatre fessées ! »
–
Ah c’est une excellente idée ça. Imparable, je n’y avais pas pensé.
Gladys
en complément d’information.
–
Patricia est très fière, je viens de lui laisser flanquer sa première fessée à
son beau-père. Tu vois le résultat, qu‘est-ce qu‘elle lui a mis ! Elle fesse de mieux en mieux, un peu comme ta
fille.
Edwige
contemple le fessier flamboyant d’Edouard qui commence à avoir des difficultés
à garder la position au coin. Robin à côté de lui n‘est pas en meilleure forme.
Ils attendent, inquiets de leur sort.
Edwige
commente en experte.
« Effectivement. Elle fesse bien. Les
deux fesses son bien cuites, pas une marque de doigt, la couleur est
parfaitement répartie, uniformément rouge sur toute la surface. Excellente
fessée, elle promet !
–
Son futur mari aura intérêt à bien se tenir... Et, au fait, le tiens... alors ?
–
Stephen ? Il a encore les fesses au chaud celui-là! Je viens de lui flanquer une troisième
déculottée juste avant de partir. J’ai tapé tellement fort de colère que j’en
ai encore la main tremblante. Il cuve au coin en attendant mon retour. Il n’a
pas intérêt à bouger, je le saurai.
–
Ah bon, comment ça? Demande Patricia.
–
Je l’ai laissé sous la surveillance de Clarisse. Et je peux lui faire
confiance. Au moindre relâchement, c’est la fessée ! Elle n’attend que ça pour
lui en mettre une ! Nos deux filles ont le même tempérament et la main leste.
Nous les avons bien éduquées, toujours prêtes à sévir. Elles ont du caractère,
c’est bien. »
Patricia
rosit de plaisir sous le compliment et le regard encourageant de sa mère.
Les
trois femmes terminent leur Whisky en reprenant leur conversation sur la
fessée, cette fois sur la manière la plus efficace de commencer une
correction. Edwige pratique beaucoup la
fessée d’échauffement à travers le slip pour préparer le derrière aux fessées
déculottées, Gladys, et Patricia à la même école, préfèrent commencer
directement par la fessée déculottée. Autant qu‘elle soit bien cuisante dès le
début. Elles sont, par contre, unanimes sur le principe d’augmenter la sévérité
de chaque nouvelle fessée sanctionnant une récidive malgré des avertissements.
Certaines attitudes justifiant ces fessées supplémentaires sont facilement
répertoriées. Tentative d’entrave à un déculottage, résistance à une mise en
position humiliante, ou simple excès de lenteur à mettre ses fesses à disposition.
La rigueur des sanctions s‘impose à tous les niveaux pour faire respecter la discipline.
Le
temps passe, l’heure tourne. Ces dames papotent avec désinvolture, totalement
indifférentes à l’humiliation qu’elles infligent aux deux hommes, debout au coin
depuis une bonne demi-heure à exhiber leurs fesses déculottées. C’est la règle,
appliquée sans pitié, dans la douleur. A la cuisson lancinante des fesses, viennent progressivement
s’ajouter les crampes aux mollets, puis
les cuisses, le dos, les bras, jusqu’à éprouver les pires difficultés à se
tenir immobile dans la position exigée.
Même si la présence d’Edwige constitue, finalement, un moment de répit
au milieu de leur séance de correction, ils ne doutent pas une seconde que leur
postérieur ne va pas tarder à remonter très vite en température sous le feu de
la fessée au martinet qui les attend après le dîner.
Encore
redoutent-ils, qu’il vienne à l’idée de Gladys de proposer à l’impétueuse
d’administrer, à chacun, avant de partir, une de ces éprouvantes fessées de
démonstration dont elle est coutumière. Edouard sait, pour en avoir déjà vécu
la cuisante expérience, qu’elle s’en s’acquitterait, sans aucun doute, avec le
plus grand plaisir. Heureusement pour eux, les événements ne semblent pas
prendre cette tournure.
La
belle femme finit par se lever du canapé. Elle rajuste sa jupe qu’elle lisse
avec soin sur ses cuisses et ses fesses pour éliminer les faux plis et ramasse
son sac.
« Mes chéries, je ne vais pas tarder !
Il est temps que je rentre, j’étais passée pour simplement vous dire un petit
bonjour et papoter un peu avec vous. »
Gladys
se lève aussi par politesse.
–
Tu ne veux pas rester encore un peu, tu vas rater la fessée au martinet. En
principe c’était pour l’après dîner mais… Patricia termine la phrase,
« On peut l’avancer si tu veux !
–
Non, non, c’est très aimable de votre part mais ne changez pas votre
organisation pour moi ! On m’attend à la maison. Je dois encore m’occuper des
fesses de Stephen. Sa punition n’est pas terminée, je lui ai promis une
nouvelle fessée en rentrant, alors… vous savez ce que c’est !
–
Fessée promise, jamais remise ! »
Continue
Patricia avec humour. Edwige rit de bon cœur.
« Excellent, je retiens ça ! »
Elle se dirige vers la porte du salon puis, fait volteface. Les mains sur les
hanches, elle fixe ses deux amies et pousse un soupir d‘exaspération qui
provoque un fort tremblement de poitrine. Le sac accompagne le mouvement en se
balançant autour de son poignet.
« Franchement
Gladys, tu peux me dire ce qu’ils ont dans le crâne ces deux-là ? Ah on n’est
pas gâtées avec des maris pareils! Non mais dans quel état ils sont rentrés
hier soir ! On n’a pas mérité ça !
–
Et oui, que veux-tu, toute leur éducation est à refaire ! On s’y emploie mais
ça demande du temps, de la persévérance et une sévérité à toute épreuve.
–
Il faut les corriger sans arrêt !
Fessées sur fessées, il n’y a que ça qui marche. Et encore, ils se
tiennent bien un moment et recommencent ensuite à faire n‘importe quoi. Ils ont
des comportements d’adolescents attardés.
Patricia
s‘est levée à son tour et tout en commençant à débarrasser la table des verres
vides ne peut s‘empêcher de commenter.
« En même temps, c’est tout de même
assez plaisant d’avoir à s’occuper régulièrement de leurs fesses. Personne ici
ne s‘en plaindra, bien au contraire. »
Gladys
confirme.
« Nous serions de mauvaise foi à ne pas
le reconnaître. Mais comme je le dis souvent, c’est finalement joindre l’utile
à l’agréable. »
Edwige
qui a esquissé un nouveau démarrage vers la sortie fait encore demi-tour en
claquant des talons.
–
Et bien Gladys c’est toi qui a le dernier mot, ma chère. Aller... Cette fois
ci, je m’en vais pour de bon. J’ai
encore une fessée à administrer à mon tendre époux. Il ne m’attend certainement
pas avec impatience mais j‘ai la main qui commence à s‘énerver !
–
A bientôt Edwige, merci de ta visite et bonne fessée ! » Dit Gladys en
l’accompagnant vers le vestibule. Les deux femmes éclatent de rire.
« Pour ça fais-moi confiance, ça va
chauffeeeeer !!... comme dit une de mes connaissances. A Samedi mes
chéries ! »
C‘est comme un ouragan qui se déplace. Les
talons aiguille résonnent de nouveau bruyamment sur le carrelage de l’entrée,
la porte claque… Edwige est partie.
Bref moment de silence, à peine troublé par
d‘imperceptibles murmures venant du coin où séjournent toujours Edouard et
Robin. Ils n’ont évidemment pas perdu un mot de la conversation qui s’est
déroulée dans leur dos et ne sont pas particulièrement rassurés sur les projets
concernant l’avenir immédiat de leur derrière respectif. Le moment inattendu de récupération ne se
révélera probablement pas suffisant pour endurer la cinglante fessée au
martinet qui les attend. Feu d’artifice final destiné à clore ce charmant
week-end de recadrage disciplinaire.
Cette
discrète manifestation de présence masculine, n’a pas échappé à la vigilance de
Patricia, Suivie de sa mère, qui revient de la cuisine, elle s’est plantées,
bras croisés, derrière les deux hommes.
« Alors ? Ces messieurs profitent que
nous avons le dos tourné pour discuter. Et si j’ai bien vu, Robin, tu as baissé
les bras tout à l‘heure. Répond ! »
Vivement
interpellé par sa sœur le pauvre Robin n’ose pas se retourner et balbutie dans
son coin quelques mots à peine compréhensibles.
« Euh… Ou...oui... Pat...Patricial !
La
réponse cinglante fuse immédiatement.
–
Alors, tu connais le tarif ! C’est la fessée, tout de suite !
Gladys
intervient.
–
Attends ma chérie, ne sois pas si impatiente. Nous allons d’abord dîner.
Pendant ce temps leurs fesses vont récupérer et seront ensuite pleinement
opérationnelles pour la fessée au martinet. »
La
jeune femme contrariée, hoche la tête en signe de désapprobation mais ne se
permet pas de contredire sa mère qui change de ton aussitôt.
« Edouard, Robin, on se reculotte ! Le
slip seulement ! Bien tendu sur les fesses pour entretenir encore la cuisson.
Ensuite, vous filez préparer la table, le pantalon aux chevilles. Le premier
qui fait tomber quelque chose c’est la fessée ! Patricia tu surveilles, tu
déculottes et tu fesses immédiatement si nécessaire. Et pas de quartier; tu
fesses fort, je veux entendre les fesses claquer de la cuisine! »
Elle
regarde sa fille avec un sourire interrogateur.
« Contente, ça te va comme ça ?
–
Oui maman, merci maman ! Tu es un amour !
–
C’est bon n’en fais pas trop. Tu sais que je n’aime pas ça. Messieurs on se
dépêche ! »
Abstraction
faite des mines un peu crispées d’Edouard et Robin qui éprouvent tout de même
quelques difficultés à tenir la position assise trop longtemps, le repas se
passe dans une atmosphère plutôt calme et détendue. . Faute de temps pour
cuisiner, les restes du rôti sont servis froids avec des petits légumes. Du
coup, personne ne trouve rien à redire à la cuisson. La fessée prise par Robin
la veille au soir à ce sujet a ôté toute envie de commentaires. Ils se
seraient, d‘ailleurs, révélés bien inappropriés, étant donné la qualité de la
mayonnaise faite par Edouard en accompagnement. Quelques solides fessées
incitatives distribuées à bon escient par sa charmante épouse, ont fini par lui
faire découvrir un intérêt croissant pour la cuisine.
La relative quiétude du dîner est soudain
troublée par le ton sec de Gladys qui fait sursauter tout le monde.
« Robin, amène-moi tes fesses ! »
Robin,
éberlué regarde sa mère avec inquiétude. Il comprend tout de suite et essaye
d’éponger les gouttes de vin qu’il vient de faire tomber sur la nappe en
voulant se servir. Il n’a pas le temps de finir.
« Qu’est-ce que je viens de te dire Robin
? Tu te déculottes et tu m‘amène tes fesses !
–
Mais maman... Je n’ai pas fait exprès… C’est … »
Gladys
a déjà posé sa serviette et reculé sa chaise. Elle a besoin d'espace pour
fesser à son aise.
« Oh mais je sais que tu ne fais pas
exprès. Et c’est là le problème, tu ne fais seulement jamais attention ! »
Elle
le regarde avec un léger sourire de satisfaction à lui annoncer la sentence.
« Une nappe tachée… »
Elle n’a pas le temps de finir. Patricia, d’un
ton guilleret, le fait à sa place.
« C’est la fessée !
–
Exactement, la fessée, une de plus !
Alors qu’est-ce que tu attends ? Tu te déculottes et tu viens
immédiatement la chercher ! »
Le
malheureux sent qu’il doit obéir et, tout en se déculottant, il fait le tour de
la table pour se précipiter en pleurnichant sur les genoux de sa mère.
« Oh maman, pas la fessée, s’il te plaît,
pas la fessée. J’en ai déjà reçu quatre aujourd’hui. »
Maman
n’est jamais à court de mauvaise foi pour justifier une correction. Elle
s‘amuse de ses supplications qu’elle tourne en dérision avec un cynisme assumé.
« Je sais trésor, je sais... mais ça ne
compte plus. Les punitions de cet après-midi sanctionnaient ton comportement et
ton manque de travail à l’institut, alors que la fessée que tu viens de mériter
concerne ta mauvaise tenue à table. Tu vois ce n’est pas du tout la même chose.
J’espère même que tes fesses sont encore bien sensibles pour qu’elles en
profitent davantage. C’est exactement le genre de fessée qu’il te faut pour
apprendre à te servir proprement à table mon chéri! ! »
Robin
n’a pas le choix, selon le rituel de soumission habituel, il pose ses mains à
plat sur le sol, pousse sur les bras en creusant les reins et arrondit
docilement ses fesses pour les offrir bien tendues, prêtes à recevoir sa
fessée. L’appétissant derrière bien développé est encore rouge des raclées de
la journée. Il n’a pas longtemps à attendre. Gladys le claque aussitôt
vigoureusement pour bien marquer la sévérité de la correction. Sa main ferme,
expérimentée, passe d’une fesse à l’autre et fait rapidement preuve d’une
redoutable efficacité à raviver la cuisson des fessées précédentes. Après un
bref semblant de résistance, le malheureux très vite mené à son point de
rupture, finit par capituler sous les claques. Ce sont d‘abord des plaintes
sourdes au rythme des allers et retours, puis les pleurs jaillissants, suivis
d’une explosion de cris et de supplications à mettre un terme à la punition. La
maman impitoyable, n’y prête aucune attention et continue à fesser, poussant
Robin à s’égosiller en tortillant des fesses sur ses cuisses.
Edouard, recroquevillé sur sa chaise, se fait
le plus discret possible. Patricia a les mains libres. Il sait qu’il peut s’en
prendre une pour n’importe quel prétexte et à n’importe quel moment. Il se
glisserait volontiers sous la table s’il le pouvait. D’une violente paire de claque bien
rebondissante sur chaque fesse, Gladys met fin à la correction, laissant Robin
en larmes, pantelant en travers de ses cuisses. La fessée n’a pas duré aussi
longtemps que d’habitude mais administrée avec une implacable intensité.
Maman
contemple le résultat de son travail d’un regard satisfait. Le fessier tout
entier est redevenu écarlate.
« Maintenant, relève toi et retourne à ta
place. Tu t‘assieds correctement, sans pleurnicher ni gigoter, les fesses
déculottées, bien étalées sur ta chaise. Je veux que tu ressentes l’effet de ta
fessée jusqu’à la fin du repas. Tu as encore ton assiette à finir et ton dessert.
Une fessée est bien plus efficace qu‘une privation de dessert. »
Patricia
recule sa chaise. Un petit sourire narquois sur les lèvres, elle regarde son
frère terminer son repas en grimaçant.
« Et attention à la suivante si tu en
mets encore à côté. »
Après
ce spectaculaire intermède, chacun reprend sa place et le dîner s’achève comme
s’il ne s’était rien passé, sans autre dommage pour les postérieurs de ces
messieurs. Du moins pour celui de Robin. Edouard, quant à lui, transis
d’angoisse pendant la nouvelle
démonstration d’autorité de sa femme, décompresse devant sa salade de fruits.
Le souffle de la fessée ne lui est pas passé loin du derrière. Pour ces Dames
c’est simplement reculer pour mieux fesser. Il reste l’inauguration du
martinet.
La
table débarrassée, devient un accessoire très pratique pour administrer une
fessée au martinet. Edouard et Robin sont mis en position, à genoux côte à côte
sur leur chaise, le buste courbé sur le dossier tourné vers la table en
question, allongés à plat ventre, les mains agrippées au bord opposé. Le moment
est venu de finaliser l’enrichissant Week-end de corrections. Gladys, à la
manœuvre dirige encore les opérations.
« On cambre bien les reins pour déployer
ses fesses au maximum. Les lanières ont besoin de cingler toute la surface pour
bien s’exprimer et faire ressentir leur efficacité. »
Le
ton est péremptoire. Elle se tourne vers
sa fille.
« Veux-tu bien aller chercher le nouveau
martinet ma chérie. Il est à tremper dans la salle de bain pour rendre les
lanières plus cinglantes.
– Tout de suite maman, tout de suite ! »
Elle
part pratiquement en courant et revient avec l’instrument de discipline bien
mouillé et l’autre martinet mainte fois utilisé, mais encore redoutable
lorsqu‘il est bien manié.
« Tu as bien fait de prendre les deux. »
Dit Gladys avec un sourire.
–
Ben oui maman, je ne vais pas rester à
te regarder sans rien faire, il y a quand même deux paires à corriger là
! »
La
maîtresse de maison s’empare du nouveau martinet et se place derrière les deux
fessiers, légèrement de côté et à la distance nécessaire pour une bonne prise
d’élan. Patricia fait de même de l’autre côté.
« Bien ! Ma chérie, tu prends les fesses
de ton frère, je m’occupe de celles d’Edouard. Nous échangerons en cours de
route. Mais avant de commencer… »
Tout
en maintenant leurs fesses dans la position exigée, déployées, bien tendues,
les punis se tortillent sur leur chaise en poussant des petits gémissements
craintifs. Beaucoup trop préoccupés par ce qui les attend, ils ne prêtent que
peu d’attention au sermon de Gladys. Celle-ci poursuit sur un ton aux accents
faussement affectueux.
« Mes chéris, nous voici au terme de
cette belle journée de recadrage. Nous nous sommes appliquées à vous
administrer les fessées que vous avez méritées pour sanctionner vos écarts de
conduite. Ton insolence et ton manque de travail Robin, Edouard ton
comportement irresponsable. Vos fesses portent encore les traces rouges des
belles fessées à la main que vous avez reçues. La fessée au martinet qui va
suivre devrait vous faire prendre conscience que toute récidive sera punie de la
même manière, voire plus sévèrement encore, et autant de fois que nous le
jugerons nécessaire.
–
Moi je prends l'option, plus sévèrement encore ! Ajoute Patricia en faisant
tourner son martinet dans sa main d‘un geste menaçant.
« Messieurs ? Un commentaire ? »
Un
murmure inaudible émane de la table tandis que les deux hommes se dandinent sur
leur chaise en attente craintive de leur fessée.
Gladys triomphante, prend son élan le bras
haut levé au-dessus du postérieur d‘Edouard.
« Je prends ça comme un accord ! Fessée
! »
Lancé
à toute volée, les lanières s’enroulent en claquant autour du fessier qui
bondit sous la morsure. Les fesses soumises toute la journée à rude épreuve son
extrêmement sensibles. La douleur est fulgurante. Edouard pousse un rugissement,
aussitôt suivi du hurlement de Robin, dont le postérieur empourpré de la
récente fessée, vient de subir le même traitement par sa sœur. Les stries
rouges foncé apparaissent distinctement imprimées sur la courbure écarlate des
hémisphères.
« Excellent ce martinet ! S’exclame
Gladys en assurant sa prise sur le manche pour fesser plus ferme. Il cingle à
merveille ! Il va falloir que j’en
achète un deuxième !
Patricia
a déjà pris son rythme de croisière et étrille le derrière de son frère à grand
coup de lanières qui claquent dessus avec un bruit mat plaisant à l‘oreille.
–
Oui, ça me plairait bien. Celui-là n’est pas mal mais à force de servir, un peu
moins performant. »
Les
deux femmes manient le martinet, sans pitié ni retenue avec la dextérité que confère
une pratique régulière. Les lanières bien enveloppantes font leur cinglant
travail sous les cris et les pleurs des punis qui ne tiennent plus sur leur
chaise. Après un changement de partenaire et une fulgurante reprise, ils
finissent en trépignant, debout à côté de leur siège accrochés à la table comme
à une bouée de sauvetage.
« Cette fois, je crois qu‘ils ont leur
compte ! »
Conclue
Gladys sur une dernière cinglée sèchement allongée en travers des fesses
cramoisies de Robin, traversées de magnifiques marques écarlates sur toute la
largeur.
Edouard
à bout de résistance, sommé de remonter sur sa chaise pour reprendre la
position, fini par en retomber sous une ultime cinglée de martinet que Patricia
lui ajuste entre les fesses.
« S’ils n’ont pas compris avec ça...On
n’a plus qu’à recommencer la semaine prochaine! » dit-elle en l’enjambant
sans un regard pour aller poser le martinet brûlant sur la table.
A
peins relevés, épuisés en larmes, ils se font expédier au lit d’une dernière
claque aux fesses totalement insupportable. Ils grimpent les escaliers, en
sanglotant, les fesses tenues à pleines mains pour les empêcher de tressauter
douloureusement à chaque fois qu'ils lèvent une jambe pour gravir les marches.
Les deux femmes s’en amusent ouvertement.
« Je suis certaine qu’ils vont bien
dormir ! Dit Patricia, aussitôt reprise par sa mère, plus réaliste.
« Pas si sûr… ça m’étonnerait même. Avec
ce qu’on vient de leur mettre sur les fesses, et une cuisson pareille… »
Le
lendemain matin, mal dormi, encore fatigués Edouard et Robin, après un petit
déjeuner sans appétit, se retrouvent dans l’entrée pour partir, l’un au bureau,
l’autre retourner à Ste marie. Gladys et
Patricia, toute pimpantes, les apostrophent au moment de sortir.
« Attendez, s’exclame Gladys, vous n’allez pas partir comme ça… On vous a
préparé une petite gâterie pour vous aider à bien commencer la journée et vous
montrer performant au travail ! »
Avant
qu'il ait pu réagir, elle saisit son mari par le bras et lui fait faire un demi-tour
sur lui-même pour le placer face à elle. Elle lui appuie sur la nuque, le
courbe en deux de force et lui coince la tête entre ses cuisses, l‘obligeant à
lui présenter ses fesses parfaitement positionnées pour recevoir une fessée.
Patricia fait la même chose avec Robin qui se retrouve instantanément dans la
même posture.
Elles
se regardent, échangent un sourire complice et dans un même mouvement, passent
leurs mains sous les ventres, débouclent les ceinture et font tomber les
pantalons sur les chevilles. D’un signe de tête entendu, elles les déculottent,
le slip au milieu des cuisses et, aussitôt prêt, chacun prend sa fessée.
Brève
mais vigoureuse, elle suffit à leur rallumer le feu aux fesses avec d’autant
plus de facilité qu’elles n’ont pas encore complètement récupéré du régime de
la veille.
Ils
n’ont même pas le temps de s’interroger ni de protester. Dix minutes de
claquage intensif et ils se retrouvent
en larmes, à piétiner sur place, la tête serrée entre les cuisses de
leur fesseuse. Edouard encaisse sa
fessée en suppliant. Robin le cartable à la main, se fait mettre la sienne en
trépignant. Vite fait, bien fait, la raclée est terminée. Elles s’amusent à les
reculotter sans ménagement en faisant bruyamment claquer les élastiques.
« Et voilà mon cher ami ! dit Gladys en
exprimant un taux de satisfaction maximum. Comme je le dis souvent, rien de tel
qu’une bonne fessée déculottée pour bien démarrer la journée. Tes fesses vont
se souvenir de ma main au bureau et te rappeler que tu dois te conduire correctement.
N’est-ce pas ? »
Patricia
n’est pas en reste avec son frère et lui fait aussi la leçon.
« Tu vois Robin, nous faisons bien les
choses, tu repars à Ste Marie avec les fesses dans le même état qu’elles
étaient en arrivant. Lorsque tu vas te faire déculotter pour ta première
fessée, on va pouvoir constater, à l’institut, que les recommandations de la
directrice ont été suivies à la lettre. »
Gladys
conclue avec naturel, comme s’il ne s’était rien passé de particulier.
« Aller ! Filez maintenant ! Edouard mon
chéri, à ce soir !... A vendredi Robin. Essaye de ne pas être en retard cette
fois ci trésor, sinon, tu sais ce qui
attend tes fesses ! »
FIN
DE LA PREMIÈRE SAISON.
Avec les dessins originaux de l'auteur !
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Le début : chapitre 1
et l'épisode précédent : chapitre 11
Il y a une suite, mais il faut attendre pour la lire ! Sans doute un peu plus longtemps que d'habitude, sauf si vos protestations, vos prières, vos injonctions, vos menaces, vos promesses...
Elles ont fini par être efficaces. Voici la saison 2 : chapitre 1
et l'épisode précédent : chapitre 11
Il y a une suite, mais il faut attendre pour la lire ! Sans doute un peu plus longtemps que d'habitude, sauf si vos protestations, vos prières, vos injonctions, vos menaces, vos promesses...
Elles ont fini par être efficaces. Voici la saison 2 : chapitre 1
Et pour ceux qui chercheraient un chapitre en particulier...
... vous trouverez tout ce que vous cherchez sur la page "Les auteurs invités"
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Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerWahou ! La première saison s'achève sur les chapeaux de roues ! On laisse de la gomme sur l'asphalte ! Quel championnat !
Qu'est ce que va nous réserver la seconde saison comme surprises.Ces dames rivalisent d'adresse. Dessins très réalistes. Excellent.
Excellente chute et prometteuse d'une suite cuisante.
Match : avantages : Gladys/Patricia 40 - Edouard/Robin 0
Rires. Peter'.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerToujours aussi drôle !
Yes, ça laisse peut-être de la gomme sur l'asphalte mais surtout des traces de cuir sur les fesses!
Il va falloir attendre pour une deuxième saison. Nous somme vers la fin d'un été de fessées, caniculaire, avec alerte rouge sur les paires de fesses à portée de main..
L'automne s'annonce plutôt fraîche. Ces "Dames aux mains fermes" vont sans doute se les réchauffer en prenant soin de maintenir les derrières de ces messieurs désobéissants à bonne température. Economies de chauffage, mais pas d'énergie!
Le cercle des amies, adeptes de la méthode forte pour maintenir une stricte discipline domestique, pourrait bien s'élargir, avec les fessiers à corriger qui vont avec.
La discipline fait sans doute la force des armées, dit-on (!) mais la fessée fait aussi celle des bonnes et sévère épouses! Eh oui! Re-rires.
Cordialement
Ramina
je ne me lasse pas de vos récits .
SupprimerJe les relis avec toujours autant de plaisir,.
D'autant u'ils sont fort bien écrits.
Très juste, Ramina.
RépondreSupprimerAvec Septembre qui se profile à l'horizon, s'annonce le retour tant redouté au pensionnat des deux grands garnements.
Maman Térèze va encore accomplir des prouesses avec son Gérome chéri. Naturellement, ses chères tantes, sœurs et cousines ne manqueront pas de mettre la main à la pâte !!! Et question obéissance et travail, ces dames se surpassent... Car au fond, il aime bien recevoir la fessée ce p'tit cachottier de Gérome. "Avec les fesses bien rouges, mon p'tit poussin est plus concentré sur son travail" martèle sa bonne maman. Ah quelle famille... Rires.
Peter'.
bonjour à vous,
RépondreSupprimercomme je me trouve en phase avec votre récit!
dommage que cette saison s'arrete!
une mère et une sœur ainée pour s'occuper de mon éducation et avec martinet si besoin!
ma mère avait demandé à ma sœur de veiller sur moi en son absence et ceci assorti bien sur du droit,voire du devoir de me corriger,ce que faisait mon ainée avec joie et application!
merci pour vos récits
Bonjour Jean,
RépondreSupprimerOui, souvent, dans certaines familles, la présence d'une sœur ainée permet à la maman d'être secondée voire remplacée en cas d'absence. Rôle que nos "grandes sœurs" comme l'on dit, remplissent avec beaucoup de conviction et de sérieux. Avec parfois à la clé le droit de nous "recadrer" s'il le faut. Avec zèle parfois.
Mon père avait un travail en horaires décalés et en l'absence de ma mère, c'est ma sœur ainée qui dirigeait la maisonnée.
Question fessée, seule ma mère s'en donnait le droit et savait doser sa colère. Ma sœur pouvait nous gronder mais pas plus.
Une autre époque...
Peter'.
bonjour Peter Pan,vous avez eu de la chance!
Supprimerpour moi ma sœur,presque cinq ans de plus,avait le droit de punition,et pour ma mère punition=fessée!
ma sœur ayant bien connu elle aussi ces corrections ne se privait pas de me les donner,et souvent avec le martinet,plus facile a utiliser surtout avec mes culottes courtes!
et parfois c'était devant des amies à elle que j'étais puni,et même un jour devant son petit flirt,notre voisin, qui en profita après pour me fesser d'importance à la moindre occasion,donc pour moi mère ou sœur mes cuisses finissaient rouges et striées!
merci pour votre blog si sympa
Merci Jean,
RépondreSupprimerCe sont des témoignages comme le vôtre qui incite à poursuivre l'écriture de ce qui n'est à l'origine qu'une fiction, rejointe ici par une réalité vécue, bien tangible, cette fois. La vôtre, en l'occurrence, que j'ai pu évoquer sans le savoir à travers ce récit dont je proposerai bientôt une deuxième saison. Propre je l'espère à vous satisfaire de nouveau.
Cordialement
Ramina.
Bonjour Ramina,je pense bien que ce n'est qu'une fiction!
RépondreSupprimervoir une femme fesser son fils et son mari pourquoi pas?mais pas dans la même séquence,pas l'un devant l'autre par contre une fille fesser le mari de sa mère donc son père là c'est plus que douteux!
mais une fille fessant son frère cela peut arriver chez des gens très bien;à la maison j'avais une sœur mon ainée de cinq ans qui était éduquée très sévèrement par notre mère avec fessée et martinet si besoin,bien sur ce fut pareil pour moi!quand j'ai eu dix ans environ,donc ma sœur quinze,ma mère lui donna la consigne de ma recadrer si besoin lors de ses absences,et ma sœur prit son rôle d'éducatrice très au sérieux!elle était encore plus sévére et exigeante que maman et je recevais régulièrement des claques sur les cuisses,je devais toujours sur ordre de maman être en culottes courtes ou short à la maison(c'est plus pratique pour le martinet disait elle)et même de plus en plus souvent le martinet et ma sœur devint vite une experte dans son maniement,bien sur si une de ses copines était là cela n'empêchait rien!même un jour ce fut devant son copain!
cordialement à vous de Jean
Bonjour Jean,
RépondreSupprimerMerci pour la sincérité de vos commentaires.
Notre ami JLG, gestionnaire avisé de ce blog,( qui je pense, ne m'en voudra pas de m'en faire ponctuellement porte parole ) vous dirait : "Prenez la plume et faites en un récit. Votre vécu devrait intéresser les lecteurs de ce blog."
Pour répondre à votre remarque, dans la fiction " Ces dames aux mains fermes ", j'ai pris la peine d'éviter le "plus que douteux". Patricia, la fille, ne fesse pas son père, mais son beau père... Encore que... Des belles mères fessent bien leur gendre ou leur brue, des filles fessent bien leur frère... Vous semblez être bien placé pour le savoir.
Nous sommes dans un récit fantasmatique ou tout est possible hors contexte de réalité.
La vôtre semble assez troublante, avec une mère particulièrement sévère,( vous faire porter des shorts pour une pratique efficace du martinet) et une soeur quelque peu pernicieuse au point de vous fesser devant ses amies et son petit ami, qui, si j'ai bien compris, vous corrigeait aussi!
A ce stade qu'elle que soit les paire de fesses en pénitence, c'est parfois la fiction qui s'inspire de la réalité!
Cordialement
Ramina
Bonjour à tous,
RépondreSupprimerOn peut dire que c'est un final en apothéose, un feu d'artifice sous un soleil rougeoyant ! Oui, certains martinets cinglaient mieux que d'autres et comme il est dit "à force de servir, ils peuvent devenir moins performants". Les droguistes, quincailliers, cordonniers, qui vendaient les martinets conseillaient d'en changer régulièrement, notamment en cas d'usage régulier et fréquent, car du cuir neuf cingle mieux. Je peux en témoigner car de 11 à 18 ans passés j'en ai connus six différents. Mon expérience est assez proche de celle de Jean, dans les années soixante pour moi, élevé par ma mère seule, et l'année du BAC confié souvent aux mains d'une répétitrice sévère et exigeante. Je vais essayer de faire un récit "entrant" comme me le demande JLG.
Oliver Twist
Bonjour,
RépondreSupprimerMerci Oliver pour l'apothéose.
C'est bien ce que je suggérai. Quand la fiction réveille la réalité, cette dernière en devient plus intense. A lire comme, sans doute, à raconter.La fiction s'en trouve alors, plus ou moins banalisée.
Cordialement
Ramina.