jeudi 16 août 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 45


La règle claqua sur mes fesses. Tous les muscles de mon corps tressaillirent. Un cri. Madame Raveneau avait gardé le rythme et la force qu’elle avait mis dans la fin de la fessée qu’elle avait administrée à Catherine. Elle n’avait pourtant pas besoin d’insister autant pour que j’extériorise mon repentir. Je n’avais aucune prétention à feindre l’indifférence pour garder un zeste de fierté. Cela faisait longtemps que je savais que c’était inutile.
« Aïe ! »
La règle continuait son implacable travail sur mon postérieur. Courbé sous son bras, je ne voyais pas ce qu’elle faisait, mais je n’en avais pas besoin. Il n’était attendu de moi que de laisser mes fesses à disposition de ma directrice afin qu’elle puisse y appliquer la règle aussi longtemps et aussi fermement que nécessitait l’expiation de mon mensonge.
« Aïe ! »


J’avais, une fois encore, fait le mauvais choix. Si j’avais avoué le moment de distraction interdit pendant mon temps de travail, et j’en avais accepté les conséquences, je n’aurais plus eu qu’à attendre une fessée que m’aurait donnée Madame Tolbois à mon retour à la maison. Elle aurait su en faire un moment désagréable, mais rien de comparable avec ce qui m’attendait maintenant.
« Aïe ! »
La danse de la règle sur mes fesses était loin d’être terminée. L’idée même du contraire était risible. Madame Raveneau ne se contenterait pas d’une légère correction. J’avais porté atteinte à son autorité en lui mentant effrontément et à son intelligence en pensant qu’elle ne s’en apercevrait pas. Il fallait en payer le prix. Si mes cris, mes pleurs et mes demandes de pardon avaient dû la satisfaire, la rougeur de mes fesses n’était certainement pas arrivée à un niveau satisfaisant.
« Aïe ! »
J’espérais qu’elle n’avait pas l’intention d’y imprimer les marques provoquées par le bord de la règle quand on l’inclinait légèrement. Celles-là persistaient pendant plusieurs jours et nécessitaient que Madame Tolbois y étende de la pommade afin qu’elles ne se transforment pas en longs traits qui passaient, au fil des jours, du rouge au bleu puis à une couleur jaunâtre pour finir par le noir, avant de s’estomper peu à peu.
« Aïe ! »
Dès ce soir, la double fessée que me donnerait Madame Tolbois n’aurait à envier à celle-ci. Je pouvais compter sur l’amour du travail bien fait de Madame Tolbois. Elle ne cesserait pas avant que j’aie compris ma leçon. Aux yeux de ma logeuse, cela nécessitait d’insister longuement.
« Aïe, aïe, aïe ! »
Madame Raveneau avait appliqué la règle à la jonction de mes fesses et de mes cuisses. C’était un terrain qu’elle n’avait pas encore exploré et qui était particulièrement sensible. Mon obéissance pendant mon châtiment n’y changerait rien. C’était bien le minimum qu’on attendait de moi. La fessée irait à son terme.
« Aïe ! »
Je m’étais rendu à elle dès qu’elle m’en avait donné l’ordre. Il ne s’agissait pas d’en rajouter par une obéissance hésitante, cela aurait décuplé sa colère. A peine étais-je à sa portée, qu’elle avait baissé mon pantalon. Cela s’était fait d’un geste sûr. Elle en avait l’habitude, c’était une routine qui ne demandait plus de réfléchir à son mode opératoire.
« Aïe ! »
Elle m’avait alors placé sous son bras, resserrant son emprise sur ma taille de son bras gauche. Baisser ma culotte s’était fait tout simplement. C’était dans l’ordre des choses, même si je continuais, intérieurement, à m’en offusquer.
« Aïe ! »
La position dans laquelle Madame Raveneau m’avais mis, offrait mes fesses à la vue des deux spectatrices. Je ne comptais pas ni Catherine, ni Béatrice qui, le nez dans le coin, ne pouvaient rien voir de la scène que j’offrais à Magali et à Madame Colas.
« Aïe ! »
Si la partie postérieure de ce qui était, en principe, mes parties intimes, était bien visibles, cela dissimulait un peu les parties antérieures. Ce n’était pas par volonté de ménager ma pudeur que ma directrice s’y était prise de cette façon. C’était par commodité pour elle. Mon avis ne comptait pas. Chacun savait, moi y compris, que je n’aurais pas fait un geste pour m’opposer à mon déculottage.
« Aïe ! »
La punition devait être exemplaire. Il s’agissait de rétablir l’autorité que j’avais bafouée. Elle devait donc se tenir en public, devant ceux qui avaient été témoins de mon impudence. Elle devait me mener au point où je ne pourrais pas en supporter plus, tout en laissant ma correctrice décider de sa poursuite ou de son achèvement.
« Aïe ! »
L’acceptation de la punition, sous peine d’une autre encore plus sévère, quelles qu’en soient sa rigueur et la honte qui en découlaient, constituait une étape essentielle du repentir. Je devais démontrer que je l’avais méritée et que j’en avais besoin pour revenir dans les bonnes grâces de ma correctrice.
« Aïe ! »
Si j’avais pu l’éviter ou l’écourter, je l’aurais volontiers fait, mais Madame Raveneau en avait déterminé la sévérité. Cet arrêt avait force de loi.
« Aïe ! »
Je devais m’y soumettre.
« Aïe ! »
Le rythme de la fessée avait considérablement augmenté.
« Aïe ! »
Il ne me laissait plus le temps de me rendre compte de ce qui m’arrivait.
« Aïe ! »
C’était le point de rupture que je craignais …
« Aïe ! »
… je ne contrôlais plus ce que je faisais …
« Aïe ! »
Je me mis à battre des pieds frénétiquement.
« Aïe ! Aïe ! Aïe ! …»
Au-delà, je ne me rappelle plus jusqu’à ce que je reprenne mes esprits, constatant avec stupeur que la fessée avait pris fin. Je fus alors submergé par la brûlure qui rayonnait depuis mes fesses et gagnait mes cuisses et mon dos.

Madame Raveneau passa sa main sur mes fesses.
« Brûlant à souhait, commenta-t-elle ! J’espère que tu as compris que c’était le dernier mensonge que tu proférais ici. »
Après m’avoir relâché, elle m’obligea à me redresser.
« Madame Tolbois te fera un rappel ce soir de l’urgence que tu as à cesser de mentir. Je pense qu’elle te savonnera la bouche également. C’est ce qu’elle fait habituellement si je ne me trompe pas. »
J’étais trop hébété pour avoir saisi qu’elle attendait une réponse de ma part. Mal m’en prit. Une claque sonore me rappela au respect que je devais à ma directrice.
« Alors ?
– Oui Madame, le savon.
– Ce sera donc parfait pour accompagner une bonne fessée, ne crois-tu pas ? »
Je n’allais pas me laisser prendre une autre fois.
« Oui Madame, oui !
– Il n’y a plus de place dans les coins, mais tu dois pouvoir te mettre au piquet entre tes deux collègues. »
Elle me désignait un espace disponible à côté d’une armoire. Je m’y rendis aussitôt.
« Les mains sur la tête ! »
Je pris bien soin de rendre une position adéquate, tout à fait immobile, le nez touchant le mur. Je savais que si elle avait une remarque à me faire, elle augmenterait aussi sec la cuisson sur mes fesses de quelques claques bien senties.
« Madame Colas, vous l’y laisserez au moins une demi-heure, plus si vous le jugez nécessaire. Je vous en laisse l’appréciation. Vous verrez également si vous le gardez en retenue pour récupérer le temps passé au coin. Mettez-vous donc au travail, Magali ! A moins que vous ne teniez à partager le sort de votre collègue ? »
J’imaginais l’interpellée plongeant aussitôt le nez dans son travail afin d’avoir l’air le plus occupé possible.
« Vous réglerez toutes les écrits nécessaires pour informer les tuteurs de toutes ces personnes des punitions qu’elles ont subies. Je dois repartir dans quelques minutes pour un rendez-vous. Je vous laisse maîtresse de la situation. »
Madame Colas approuva. C’était effectivement tout à fait dans ses cordes.
« Je serai de retour pour accueillir les tutrices de ces dames. Gardez-les-moi jusque-là. »
Je me dis que l’avenir de Catherine et de Béatrice s’assombrissait. Qui pouvaient être ces tutrices ?

Madame Colas m’avait remis au travail après la demi-heure passée à contempler le mur blanc de très près. J’avais eu le droit de me reculotter après la promesse d’une nouvelle punition en cas de récidive. Catherine et Béatrice n’avaient pas bougé de leur coin. Il leur restait encore une autre demi-heure à y passer avant la fin de la journée de travail.
Pour une première punition, du moins dans leur cadre professionnel, elles avaient eu le droit au grand jeu. Une double fessée dont une en public devant les collègues et renforcée par l’utilisation de la règle, une bonne heure immobile au coin en exposant ses fesses nues et la promesse d’une soirée difficile sous la houlette d’une toute nouvelle tutrice.
Si j’avais bien compris, ni l’une ni l’autre n’avait été mise au courant de l’identité de la personne qui viendrait la chercher. Elle trouverait sa nouvelle pupille la culotte baissée, encore sous le coup d’une punition qui préfigurait le régime auquel elle serait dorénavant soumise. Madame Raveneau avait été très claire sur ce sujet.
Après avoir reçu une première fessée déculottée par une personne et, par son attitude, en avoir reconnu le bien-fondé, il était extrêmement difficile de s’opposer à la deuxième, puis à la troisième. Surtout dans un environnement où la fessée était monnaie courante, cela devenait vite la normalité. Cela avait fonctionné de cette façon pour toutes les personnes que je connaissais qui étaient soumises à ce traitement, à commencer par moi et Magali, mais aussi Maria ou les enfants de Madame Mercier. Comment Catherine et Béatrice pourraient-elles y échapper ?
L’arrivée de leur tutrice les mettrait dans une situation délicate. La situation les positionnerait d’emblée dans une relation dissymétrique que ne manquerait pas de renforcer Madame Raveneau. La fessée serait une des composantes de leur nouvelle relation. Une première en entraînant une autre …
Les quelques conversations que j’avais pu saisir au vol ne m’avaient donné que peu d’indication sur l’entourage proche de mes deux collègues. Béatrice vivait seule et elle n’avait pas de famille dans une zone géographique proche. Elle avait atterri ici pour couper les ponts avec des relations envahissantes qui l’avaient conduite au bord de la dépression. Cela faisait deux ans qu’elle tentait de reconstruire une nouvelle vie. Elle ne parlait jamais de ses relations extra professionnelles et j’en avais conclu que sa vie sociale était assez limitée. Qui pouvait être assez proche d’elle pour faire office de tutrice ?
Catherine était mariée. Elle habitait la région d’où sa belle-famille était originaire loin de cette où elle avait grandi et dans laquelle demeurait encore sa propre parentèle. Sans que j’en connusse le nombre et leurs relations familiales, il y avait des beaux-frères et des belles-sœurs, et une belle-mère à propos de laquelle Catherine se faisait discrète. Qui serait la tutrice ? Son mari ? Madame Raveneau avait parlé d’une tutrice, cela ne semblait pas coller. Une belle-sœur, sa belle-mère ? Peut-être une autre personne dont je n’avais pas idée.
Je ne sais si ces questions tournaient également dans la tête des deux punies, probablement. Elles semblaient de plus en plus nerveuses alors que le moment de leur confrontation avec leur tutrice se rapprochait.

Le retour de Madame Raveneau concrétisa encore un peu plus ce rendez-vous. Elle refit son apparition quelques minutes avant dix-sept heures. Elle ne se priva pas d’annoncer la suite.
« C’est bientôt l’heure de rencontrer les tutrices de ces dames. Vos fesses vont bientôt faire connaissance de la rigueur de leur main. »
Etourdiment, Béatrice réagit à cette annonce par un petit gloussement. Une claque sur les fesses lui rappela les règles de tenue au coin.
« Avez-vous préparé les carnets de correspondance, Madame Colas ?
– Bien sûr ! J’ai complété ceux de Magali et de Daniel et j’en ai ouvert deux nouveaux pour ces dames.
– Je savais que je pouvais compter sur vous. J’ai de la chance de vous avoir comme bras droit. Vous pensez toujours à régler les petites choses qui font que cette entreprise tourne agréablement.
– Je vous dois beaucoup, Madame Raveneau, vous avez organisé cette entreprise de main de maître. Sans doute devrais-je dire de maîtresse. »
Il y eut quelques minutes de congratulation mutuelle. Ces deux-là se complétaient à merveille et leur alliance faisait tourner harmonieusement la petite société qu’avait fondé Madame Raveneau.
« Je règle deux ou trois choses avant l’arrivée des tutrices de ces dames. Vous me préviendrez ? »
Elle disparut dans son bureau.
La tension était à son comble pour Béatrice et Catherine. Bien qu’elles restassent immobiles au coin, je voyais leurs fesses et leurs cuisses parcourues de tressaillements qui devenaient des tremblements à chaque bruit inhabituel. Cette attente était insupportable pour elles.
Ce fut presque un soulagement quand une dame entra. Il était pile dix-sept heures.
« Bonjour, je suis Madame Caroni. »
Elle fit trois pas dans le bureau et tomba en arrêt devant les deux femmes, fesses nues dans leur coin. Au son de la voix, Béatrice avait rentré la tête dans les épaules, ses poings s’étaient fermés, puis rouverts, pour se fermer de nouveau. Elle avait bougé ses pieds comme si elle avait eu l’intention de partir. C’en était trop pour Madame Colas qui se leva.
« Béatrice, depuis quand se permet-on ces fantaisies quand on est au coin ? »
Une sérieuse claque sur chaque fesse souligna la réprimande mieux que tout autre mot. Un double « aïe » indiqua qu’il ne s’agissait pas d’une fessée pour la forme. La main de Madame Colas laissa une marque rouge qui se diffusa lentement sur le postérieur de Béatrice.
« Recommencez à montrer votre mauvaise humeur et je vous fais goûter de nouveau de la règle. »
Béatrice reprit la pause attendue. Ses poings restaient serrés, preuve que la tension n’avait pas disparu.
« Je vois, fit Madame Caroni, éloquent !
– Bonjour Madame. Excusez-moi de répondre tardivement à votre salutation, mais il fallait que je punisse au plus tôt ce manquement aux règles.
– Je vous en prie, c’est bien normal.
– Je vous appelle la directrice. »
Après les salutations d’usage, on en vint au fait.
« Je vous remercie, Madame Caroni, de vous être dérangée à ma demande.
– Je vous en prie, ce n’est rien. Du moment où ma petite voisine, elle eut un geste du menton en direction de Béatrice, a quelques soucis, je ne pouvais pas faire moins. »
Elle parlait avec un léger accent italien.
« Des soucis, c’est bien le mot ! Elle nous en cause et j’ai bien peur que, sous peu, ce sera à vous également.
– Expliquez-moi cela. Je dois avouer que j’ai été surprise d’être contactée, surtout après avoir compris le motif de votre appel.
– Je vous dois, en effet, quelques explications. Mais auparavant, permettez que je règle rapidement quelques nécessités d’organisation.
– Prenez votre temps.
– Cela ne sera pas long. Madame Colas, n’est-il pas temps de libérer Magali ? Je crois que nous avons dépassé l’heure de fin de la journée de travail.
– Vous avez raison, Madame Raveneau ! Magali, il est l’heure rentrer chez vous. N’oubliez pas de faire signer votre carnet par votre Maman. Dites-lui que je compte sur elle pour vous fesser sévèrement.
– Oui Madame, répondit Magali qui ne demanda pas son reste. »
Elle enfila son manteau, mit le carnet dans la poche et s’enfuit en ayant esquissé un bonsoir discret.
« Ces jeunes gens, gronda Madame Raveneau, toujours à la limite de la politesse. »
Puis elle me désigna de la main.
« Daniel est en retenue. Il doit finir son travail de la journée. Cela arrivera certainement à Béatrice également. Je ne voudrais pas que vous en soyez surprise. Venons-en à ce qui nous occupe … »


Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?

Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :

  • Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
  • L'épisode précédent : chapitre 44
Il y a une suite ... le chapitre 46.

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12 commentaires:

  1. Bonjour,
    le prochain épisode , les tutrices en action ?
    Mais qui va être la tutrice de Catherine , je crois que cela va rester en famille , la belle sœur pour mettre Catherine au niveau de ses nièces neveux ,
    ou la belle mère si en plus mauvaise entente entre elles , les 2 choix sont sympas en plus les futures réunions familiale devraient être intéressantes
    Sinon Bravo cet épisode est super , vivement la suite ...!!!

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    1. Bonjour cher lecteur (trice ?) anonyme,
      Dans les prochains épisodes, nous allons faire plus ample connaissance avec les tutrices. Celle de Béatrice, mais elle semble moins intéresser que celle de Catherine, et pourtant, il y a un potentiel intéressant dans cette Mme Caroni.
      Quant à celle de Catherine, ce sera évidemment... mais il faut attendre le prochain épisode pour, peut-être, avoir la réponse.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Bonjour JLG,
      C'est vrai , j'ai un peu plus d’intérêt sur Catherine qui est pour moi la plus coupable , mais Mme Caroni doit avoir des envies et des griefs personnelles pour punir Béatrice et cela surement très interessant
      Pour Catherine qui est surement dans sa vie privée , autoritaire et plus, sa tutrice aura elle aussi envie de la corriger.
      En voyant ces nouveaux profils de fesseuses vous nous annoncez des nouvelles séries de récits
      PS: vous donnez les ages des tutrices et de Béatrice et Catherine dans l’épisode suivant ?
      Un lecteur assidu

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    3. Bonjour à tous,

      J'ai relu l'ensemble du feuilleton ; du suspense, de l'intrigue, des surprises, de l'humour, on n'est pas déçu ! Les deux derniers chapitres nous présentent des punitions à la règle. C'était une pratique assez répandue dans les années "cinquante-soixante" dans les écoles notamment lorsqu'on était envoyé au tableau. Les erreurs et les hésitations pouvaient être sanctionnées par la morsure de la règle sur les cuisses. Plus tard, lors de ma terminale, à 18 ans, la répétitrice qui supervisait mon travail ne manquait pas de l'appliquer sur mes cuisses nues pour des fautes, des étourderies, des négligences, tout cela selon une gradation qui débutait par les claques à la main, passait par les coups de règle et se terminait par le très redouté martinet qui avait tant de fois démontré son efficacité.
      Oliver Twist

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    4. Oliver,
      Commet se fait-il que vous ne nous ayez pas encore gratifié d'un récit de votre cru issu de votre expérience ? Vous ne faites que des allusions rapides à des situations que vous devriez nous faire partager.
      Tenez, ces épisodes avec la répétitrice que vous évoquez ci-dessus, cela ferait un récit entrant tout à fait dans la ligne éditoriale de ce blog (à la différence des fessées reçues de la part de votre sœur. Elles concernent un enfant).
      A quand votre première publication sur ce site ? N'oubliez pas que l'intérêt de ce blog réside, au-delà de son contenu, dans son caractère collaboratif.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    5. Cher lecteur anonyme,
      Je ne suis pas certain que Mme Caroni ait des griefs personnels vis à vis de Béatrice. Peut-être a-t-elle simplement le sens des responsabilités vis à vis de cette jeune femme qui a besoin d'être recadrée ?
      J'envisage effectivement de baser de nouvelles séries de récits sur les expériences vécues par nos protagonistes avec leur tutrice. Cela fait tellement de scénarios possibles que j'en ai, j'ai bien peur, pour plusieurs années d'écriture.
      Il faudrait que d'autres prennent le relais, mais en respectant des liens que j'ai déjà écrits (c'est le cas pour la tutrice de Catherine, par exemple, mais également pour Mme Caroni). Si cela vous dit...
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Rebjr JLG,
    A vous lire je crois comprendre qu'il va avoir bientôt des récits sur la tutrice de Catherine dans son environnement familiale et peut être Catherine héroïne
    PS: je n'ai pas votre talent pour développer des récits , juste peut être des situations variées

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    1. Re-bonjour,
      Dites, faites-vous un pseudonyme pour signer vos commentaires. Ce sera plus simple.
      En ce qui concerne le talent, ce n'est pas un don, mais la résultante d'un travail. On ne sait donc pas ce qu'il en est avant d'avoir essayé, recommencé, remis le métier sur l'ouvrage... bref, après l'avoir construit. La balle est dans votre camp. Vous ne seriez pas le premier à faire vos premiers pas sur ce blog.
      Pour ce qui est de la tutrice de Catherine, elle fera son apparition de manière allusive au chapitre 96 des aventures d'Axel (vous voyez, il y a un peu de temps encore avant sa publication. Je vous laisse faire le calcul) puis dans le récit ad hoc dans lequel Catherine ne fera son entrée que plus tard. Sa tutrice n'ayant pas qu'elle à s'occuper.
      Je ne suis donc pas certain que le terme "bientôt" soit adapté.
      Au plaisir de vous lire;
      JLLG.

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  3. Bonjour JLG ,
    J'ai hâte de découvrir le profil de la tutrice , Catherine doit être plutôt inquiète et surprise et honteuse du choix , il y aura peut être une réplique de sa fessée devant la famille une honte totale ?
    JJP

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    Réponses
    1. Bonjour JJP,
      Il faudra attendre le chapitre 46, voire le 47...
      Soyez patient,
      JLG.

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    2. Bonjour JLG ,
      Vivement Jeudi prochain
      je sens Catherine encore rétive , pour la soumettre la tutrice pourrait demander qu'elle se mettre nue devant tout le monde pour la rabaisser encore plus (une première au boulot) mais tu avais pensé a autre chose
      A+
      JJP

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    3. Désolé JPP,
      La suite est déjà écrite depuis quelques temps. Elle ne changera pas, quoique vous suggériez.
      Il n'y a pas d'autre solution que d'attendre...
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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