La règle claqua sur mes fesses. Tous les muscles de mon
corps tressaillirent. Un cri. Madame Raveneau avait gardé le rythme et la force
qu’elle avait mis dans la fin de la fessée qu’elle avait administrée à
Catherine. Elle n’avait pourtant pas besoin d’insister autant pour que
j’extériorise mon repentir. Je n’avais aucune prétention à feindre
l’indifférence pour garder un zeste de fierté. Cela faisait longtemps que je
savais que c’était inutile.
« Aïe ! »
La règle continuait son implacable travail sur mon
postérieur. Courbé sous son bras, je ne voyais pas ce qu’elle faisait, mais je
n’en avais pas besoin. Il n’était attendu de moi que de laisser mes fesses à
disposition de ma directrice afin qu’elle puisse y appliquer la règle aussi
longtemps et aussi fermement que nécessitait l’expiation de mon mensonge.
« Aïe ! »
J’avais, une fois encore, fait le mauvais choix. Si j’avais
avoué le moment de distraction interdit pendant mon temps de travail, et j’en
avais accepté les conséquences, je n’aurais plus eu qu’à attendre une fessée
que m’aurait donnée Madame Tolbois à mon retour à la maison. Elle aurait su en
faire un moment désagréable, mais rien de comparable avec ce qui m’attendait
maintenant.
« Aïe ! »
La danse de la règle sur mes fesses était loin d’être
terminée. L’idée même du contraire était risible. Madame Raveneau ne se
contenterait pas d’une légère correction. J’avais porté atteinte à son autorité
en lui mentant effrontément et à son intelligence en pensant qu’elle ne s’en
apercevrait pas. Il fallait en payer le prix. Si mes cris, mes pleurs et mes
demandes de pardon avaient dû la satisfaire, la rougeur de mes fesses n’était
certainement pas arrivée à un niveau satisfaisant.
« Aïe ! »
J’espérais qu’elle n’avait pas l’intention d’y imprimer les
marques provoquées par le bord de la règle quand on l’inclinait légèrement.
Celles-là persistaient pendant plusieurs jours et nécessitaient que Madame
Tolbois y étende de la pommade afin qu’elles ne se transforment pas en longs
traits qui passaient, au fil des jours, du rouge au bleu puis à une couleur
jaunâtre pour finir par le noir, avant de s’estomper peu à peu.
« Aïe ! »
Dès ce soir, la double fessée que me donnerait Madame
Tolbois n’aurait à envier à celle-ci. Je pouvais compter sur l’amour du travail
bien fait de Madame Tolbois. Elle ne cesserait pas avant que j’aie compris ma
leçon. Aux yeux de ma logeuse, cela nécessitait d’insister longuement.
« Aïe, aïe, aïe ! »
Madame Raveneau avait appliqué la règle à la jonction de mes
fesses et de mes cuisses. C’était un terrain qu’elle n’avait pas encore exploré
et qui était particulièrement sensible. Mon obéissance pendant mon châtiment
n’y changerait rien. C’était bien le minimum qu’on attendait de moi. La fessée
irait à son terme.
« Aïe ! »
Je m’étais rendu à elle dès qu’elle m’en avait donné
l’ordre. Il ne s’agissait pas d’en rajouter par une obéissance hésitante, cela
aurait décuplé sa colère. A peine étais-je à sa portée, qu’elle avait baissé
mon pantalon. Cela s’était fait d’un geste sûr. Elle en avait l’habitude,
c’était une routine qui ne demandait plus de réfléchir à son mode opératoire.
« Aïe ! »
Elle m’avait alors placé sous son bras, resserrant son
emprise sur ma taille de son bras gauche. Baisser ma culotte s’était fait tout
simplement. C’était dans l’ordre des choses, même si je continuais,
intérieurement, à m’en offusquer.
« Aïe ! »
La position dans laquelle Madame Raveneau m’avais mis,
offrait mes fesses à la vue des deux spectatrices. Je ne comptais pas ni
Catherine, ni Béatrice qui, le nez dans le coin, ne pouvaient rien voir de la
scène que j’offrais à Magali et à Madame Colas.
« Aïe ! »
Si la partie postérieure de ce qui était, en principe, mes
parties intimes, était bien visibles, cela dissimulait un peu les parties
antérieures. Ce n’était pas par volonté de ménager ma pudeur que ma directrice
s’y était prise de cette façon. C’était par commodité pour elle. Mon avis ne
comptait pas. Chacun savait, moi y compris, que je n’aurais pas fait un geste
pour m’opposer à mon déculottage.
« Aïe ! »
La punition devait être exemplaire. Il s’agissait de
rétablir l’autorité que j’avais bafouée. Elle devait donc se tenir en public,
devant ceux qui avaient été témoins de mon impudence. Elle devait me mener au
point où je ne pourrais pas en supporter plus, tout en laissant ma correctrice
décider de sa poursuite ou de son achèvement.
« Aïe ! »
L’acceptation de la punition, sous peine d’une autre encore
plus sévère, quelles qu’en soient sa rigueur et la honte qui en découlaient,
constituait une étape essentielle du repentir. Je devais démontrer que je
l’avais méritée et que j’en avais besoin pour revenir dans les bonnes grâces de
ma correctrice.
« Aïe ! »
Si j’avais pu l’éviter ou l’écourter, je l’aurais volontiers
fait, mais Madame Raveneau en avait déterminé la sévérité. Cet arrêt avait
force de loi.
« Aïe ! »
Je devais m’y soumettre.
« Aïe ! »
Le rythme de la fessée avait considérablement augmenté.
« Aïe ! »
Il ne me laissait plus le temps de me rendre compte de ce
qui m’arrivait.
« Aïe ! »
C’était le point de rupture que je craignais …
« Aïe ! »
… je ne contrôlais plus ce que je faisais …
« Aïe ! »
Je me mis à battre des pieds frénétiquement.
« Aïe ! Aïe ! Aïe ! …»
Au-delà, je ne me rappelle plus jusqu’à ce que je reprenne
mes esprits, constatant avec stupeur que la fessée avait pris fin. Je fus alors
submergé par la brûlure qui rayonnait depuis mes fesses et gagnait mes cuisses
et mon dos.
Madame Raveneau passa sa main sur mes fesses.
« Brûlant à souhait, commenta-t-elle ! J’espère
que tu as compris que c’était le dernier mensonge que tu proférais ici. »
Après m’avoir relâché, elle m’obligea à me redresser.
« Madame Tolbois te fera un rappel ce soir de l’urgence
que tu as à cesser de mentir. Je pense qu’elle te savonnera la bouche
également. C’est ce qu’elle fait habituellement si je ne me trompe pas. »
J’étais trop hébété pour avoir saisi qu’elle attendait une
réponse de ma part. Mal m’en prit. Une claque sonore me rappela au respect que
je devais à ma directrice.
« Alors ?
– Oui Madame, le savon.
– Ce sera donc parfait pour accompagner une bonne fessée, ne
crois-tu pas ? »
Je n’allais pas me laisser prendre une autre fois.
« Oui Madame, oui !
– Il n’y a plus de place dans les coins, mais tu dois
pouvoir te mettre au piquet entre tes deux collègues. »
Elle me désignait un espace disponible à côté d’une armoire.
Je m’y rendis aussitôt.
« Les mains sur la tête ! »
Je pris bien soin de rendre une position adéquate, tout à
fait immobile, le nez touchant le mur. Je savais que si elle avait une remarque
à me faire, elle augmenterait aussi sec la cuisson sur mes fesses de quelques
claques bien senties.
« Madame Colas, vous l’y laisserez au moins une
demi-heure, plus si vous le jugez nécessaire. Je vous en laisse l’appréciation.
Vous verrez également si vous le gardez en retenue pour récupérer le temps
passé au coin. Mettez-vous donc au travail, Magali ! A moins que vous ne
teniez à partager le sort de votre collègue ? »
J’imaginais l’interpellée plongeant aussitôt le nez dans son
travail afin d’avoir l’air le plus occupé possible.
« Vous réglerez toutes les écrits nécessaires pour
informer les tuteurs de toutes ces personnes des punitions qu’elles ont subies.
Je dois repartir dans quelques minutes pour un rendez-vous. Je vous laisse
maîtresse de la situation. »
Madame Colas approuva. C’était effectivement tout à fait
dans ses cordes.
« Je serai de retour pour accueillir les tutrices de
ces dames. Gardez-les-moi jusque-là. »
Je me dis que l’avenir de Catherine et de Béatrice
s’assombrissait. Qui pouvaient être ces tutrices ?
Madame Colas m’avait remis au travail après la demi-heure
passée à contempler le mur blanc de très près. J’avais eu le droit de me
reculotter après la promesse d’une nouvelle punition en cas de récidive.
Catherine et Béatrice n’avaient pas bougé de leur coin. Il leur restait encore
une autre demi-heure à y passer avant la fin de la journée de travail.
Pour une première punition, du moins dans leur cadre
professionnel, elles avaient eu le droit au grand jeu. Une double fessée dont
une en public devant les collègues et renforcée par l’utilisation de la règle,
une bonne heure immobile au coin en exposant ses fesses nues et la promesse
d’une soirée difficile sous la houlette d’une toute nouvelle tutrice.
Si j’avais bien compris, ni l’une ni l’autre n’avait été
mise au courant de l’identité de la personne qui viendrait la chercher. Elle
trouverait sa nouvelle pupille la culotte baissée, encore sous le coup d’une
punition qui préfigurait le régime auquel elle serait dorénavant soumise.
Madame Raveneau avait été très claire sur ce sujet.
Après avoir reçu une première fessée déculottée par une
personne et, par son attitude, en avoir reconnu le bien-fondé, il était
extrêmement difficile de s’opposer à la deuxième, puis à la troisième. Surtout
dans un environnement où la fessée était monnaie courante, cela devenait vite
la normalité. Cela avait fonctionné de cette façon pour toutes les personnes
que je connaissais qui étaient soumises à ce traitement, à commencer par moi et
Magali, mais aussi Maria ou les enfants de Madame Mercier. Comment Catherine et
Béatrice pourraient-elles y échapper ?
L’arrivée de leur tutrice les mettrait dans une situation
délicate. La situation les positionnerait d’emblée dans une relation
dissymétrique que ne manquerait pas de renforcer Madame Raveneau. La fessée
serait une des composantes de leur nouvelle relation. Une première en
entraînant une autre …
Les quelques conversations que j’avais pu saisir au vol ne
m’avaient donné que peu d’indication sur l’entourage proche de mes deux
collègues. Béatrice vivait seule et elle n’avait pas de famille dans une zone
géographique proche. Elle avait atterri ici pour couper les ponts avec des
relations envahissantes qui l’avaient conduite au bord de la dépression. Cela
faisait deux ans qu’elle tentait de reconstruire une nouvelle vie. Elle ne
parlait jamais de ses relations extra professionnelles et j’en avais conclu que
sa vie sociale était assez limitée. Qui pouvait être assez proche d’elle pour
faire office de tutrice ?
Catherine était mariée. Elle habitait la région d’où sa
belle-famille était originaire loin de cette où elle avait grandi et dans
laquelle demeurait encore sa propre parentèle. Sans que j’en connusse le nombre
et leurs relations familiales, il y avait des beaux-frères et des belles-sœurs,
et une belle-mère à propos de laquelle Catherine se faisait discrète. Qui
serait la tutrice ? Son mari ? Madame Raveneau avait parlé d’une
tutrice, cela ne semblait pas coller. Une belle-sœur, sa belle-mère ?
Peut-être une autre personne dont je n’avais pas idée.
Je ne sais si ces questions tournaient également dans la
tête des deux punies, probablement. Elles semblaient de plus en plus nerveuses
alors que le moment de leur confrontation avec leur tutrice se rapprochait.
Le retour de Madame Raveneau concrétisa encore un peu plus
ce rendez-vous. Elle refit son apparition quelques minutes avant dix-sept
heures. Elle ne se priva pas d’annoncer la suite.
« C’est bientôt l’heure de rencontrer les tutrices de
ces dames. Vos fesses vont bientôt faire connaissance de la rigueur de leur
main. »
Etourdiment, Béatrice réagit à cette annonce par un petit
gloussement. Une claque sur les fesses lui rappela les règles de tenue au coin.
« Avez-vous préparé les carnets de correspondance,
Madame Colas ?
– Bien sûr ! J’ai complété ceux de Magali et de Daniel
et j’en ai ouvert deux nouveaux pour ces dames.
– Je savais que je pouvais compter sur vous. J’ai de la
chance de vous avoir comme bras droit. Vous pensez toujours à régler les
petites choses qui font que cette entreprise tourne agréablement.
– Je vous dois beaucoup, Madame Raveneau, vous avez organisé
cette entreprise de main de maître. Sans doute devrais-je dire de maîtresse. »
Il y eut quelques minutes de congratulation mutuelle. Ces
deux-là se complétaient à merveille et leur alliance faisait tourner
harmonieusement la petite société qu’avait fondé Madame Raveneau.
« Je règle deux ou trois choses avant l’arrivée des
tutrices de ces dames. Vous me préviendrez ? »
Elle disparut dans son bureau.
La tension était à son comble pour Béatrice et Catherine.
Bien qu’elles restassent immobiles au coin, je voyais leurs fesses et leurs
cuisses parcourues de tressaillements qui devenaient des tremblements à chaque
bruit inhabituel. Cette attente était insupportable pour elles.
Ce fut presque un soulagement quand une dame entra. Il était
pile dix-sept heures.
« Bonjour, je suis Madame Caroni. »
Elle fit trois pas dans le bureau et tomba en arrêt devant
les deux femmes, fesses nues dans leur coin. Au son de la voix, Béatrice avait
rentré la tête dans les épaules, ses poings s’étaient fermés, puis rouverts,
pour se fermer de nouveau. Elle avait bougé ses pieds comme si elle avait eu
l’intention de partir. C’en était trop pour Madame Colas qui se leva.
« Béatrice, depuis quand se permet-on ces fantaisies
quand on est au coin ? »
Une sérieuse claque sur chaque fesse souligna la réprimande
mieux que tout autre mot. Un double « aïe » indiqua qu’il ne
s’agissait pas d’une fessée pour la forme. La main de Madame Colas laissa une
marque rouge qui se diffusa lentement sur le postérieur de Béatrice.
« Recommencez à montrer votre mauvaise humeur et je
vous fais goûter de nouveau de la règle. »
Béatrice reprit la pause attendue. Ses poings restaient
serrés, preuve que la tension n’avait pas disparu.
« Je vois, fit Madame Caroni, éloquent !
– Bonjour Madame. Excusez-moi de répondre tardivement à
votre salutation, mais il fallait que je punisse au plus tôt ce manquement aux
règles.
– Je vous en prie, c’est bien normal.
– Je vous appelle la directrice. »
Après les salutations d’usage, on en vint au fait.
« Je vous remercie, Madame Caroni, de vous être
dérangée à ma demande.
– Je vous en prie, ce n’est rien. Du moment où ma petite
voisine, elle eut un geste du menton en direction de Béatrice, a quelques
soucis, je ne pouvais pas faire moins. »
Elle parlait avec un léger accent italien.
« Des soucis, c’est bien le mot ! Elle nous en
cause et j’ai bien peur que, sous peu, ce sera à vous également.
– Expliquez-moi cela. Je dois avouer que j’ai été surprise
d’être contactée, surtout après avoir compris le motif de votre appel.
– Je vous dois, en effet, quelques explications. Mais
auparavant, permettez que je règle rapidement quelques nécessités
d’organisation.
– Prenez votre temps.
– Cela ne sera pas long. Madame Colas, n’est-il pas temps de
libérer Magali ? Je crois que nous avons dépassé l’heure de fin de la
journée de travail.
– Vous avez raison, Madame Raveneau ! Magali, il est
l’heure rentrer chez vous. N’oubliez pas de faire signer votre carnet par votre
Maman. Dites-lui que je compte sur elle pour vous fesser sévèrement.
– Oui Madame, répondit Magali qui ne demanda pas son
reste. »
Elle enfila son manteau, mit le carnet dans la poche et
s’enfuit en ayant esquissé un bonsoir discret.
« Ces jeunes gens, gronda Madame Raveneau, toujours à
la limite de la politesse. »
Puis elle me désigna de la main.
« Daniel est en retenue. Il doit finir son travail de
la journée. Cela arrivera certainement à Béatrice également. Je ne voudrais pas
que vous en soyez surprise. Venons-en à ce qui nous occupe … »
Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?
Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 44
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 44
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Donnez votre avis, postez un commentaire, faites part de vos expériences, de vos protestations, racontez ce que vous avez vécu, laissez libre cours à votre imagination, dites-nous ce que vous avez ressenti, soyez créatif, n'hésitez pas...
Donnez votre avis, postez un commentaire, faites part de vos expériences, de vos protestations, racontez ce que vous avez vécu, laissez libre cours à votre imagination, dites-nous ce que vous avez ressenti, soyez créatif, n'hésitez pas...
Bonjour,
RépondreSupprimerle prochain épisode , les tutrices en action ?
Mais qui va être la tutrice de Catherine , je crois que cela va rester en famille , la belle sœur pour mettre Catherine au niveau de ses nièces neveux ,
ou la belle mère si en plus mauvaise entente entre elles , les 2 choix sont sympas en plus les futures réunions familiale devraient être intéressantes
Sinon Bravo cet épisode est super , vivement la suite ...!!!
Bonjour cher lecteur (trice ?) anonyme,
SupprimerDans les prochains épisodes, nous allons faire plus ample connaissance avec les tutrices. Celle de Béatrice, mais elle semble moins intéresser que celle de Catherine, et pourtant, il y a un potentiel intéressant dans cette Mme Caroni.
Quant à celle de Catherine, ce sera évidemment... mais il faut attendre le prochain épisode pour, peut-être, avoir la réponse.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour JLG,
SupprimerC'est vrai , j'ai un peu plus d’intérêt sur Catherine qui est pour moi la plus coupable , mais Mme Caroni doit avoir des envies et des griefs personnelles pour punir Béatrice et cela surement très interessant
Pour Catherine qui est surement dans sa vie privée , autoritaire et plus, sa tutrice aura elle aussi envie de la corriger.
En voyant ces nouveaux profils de fesseuses vous nous annoncez des nouvelles séries de récits
PS: vous donnez les ages des tutrices et de Béatrice et Catherine dans l’épisode suivant ?
Un lecteur assidu
Bonjour à tous,
SupprimerJ'ai relu l'ensemble du feuilleton ; du suspense, de l'intrigue, des surprises, de l'humour, on n'est pas déçu ! Les deux derniers chapitres nous présentent des punitions à la règle. C'était une pratique assez répandue dans les années "cinquante-soixante" dans les écoles notamment lorsqu'on était envoyé au tableau. Les erreurs et les hésitations pouvaient être sanctionnées par la morsure de la règle sur les cuisses. Plus tard, lors de ma terminale, à 18 ans, la répétitrice qui supervisait mon travail ne manquait pas de l'appliquer sur mes cuisses nues pour des fautes, des étourderies, des négligences, tout cela selon une gradation qui débutait par les claques à la main, passait par les coups de règle et se terminait par le très redouté martinet qui avait tant de fois démontré son efficacité.
Oliver Twist
Oliver,
SupprimerCommet se fait-il que vous ne nous ayez pas encore gratifié d'un récit de votre cru issu de votre expérience ? Vous ne faites que des allusions rapides à des situations que vous devriez nous faire partager.
Tenez, ces épisodes avec la répétitrice que vous évoquez ci-dessus, cela ferait un récit entrant tout à fait dans la ligne éditoriale de ce blog (à la différence des fessées reçues de la part de votre sœur. Elles concernent un enfant).
A quand votre première publication sur ce site ? N'oubliez pas que l'intérêt de ce blog réside, au-delà de son contenu, dans son caractère collaboratif.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Cher lecteur anonyme,
SupprimerJe ne suis pas certain que Mme Caroni ait des griefs personnels vis à vis de Béatrice. Peut-être a-t-elle simplement le sens des responsabilités vis à vis de cette jeune femme qui a besoin d'être recadrée ?
J'envisage effectivement de baser de nouvelles séries de récits sur les expériences vécues par nos protagonistes avec leur tutrice. Cela fait tellement de scénarios possibles que j'en ai, j'ai bien peur, pour plusieurs années d'écriture.
Il faudrait que d'autres prennent le relais, mais en respectant des liens que j'ai déjà écrits (c'est le cas pour la tutrice de Catherine, par exemple, mais également pour Mme Caroni). Si cela vous dit...
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Rebjr JLG,
RépondreSupprimerA vous lire je crois comprendre qu'il va avoir bientôt des récits sur la tutrice de Catherine dans son environnement familiale et peut être Catherine héroïne
PS: je n'ai pas votre talent pour développer des récits , juste peut être des situations variées
Re-bonjour,
SupprimerDites, faites-vous un pseudonyme pour signer vos commentaires. Ce sera plus simple.
En ce qui concerne le talent, ce n'est pas un don, mais la résultante d'un travail. On ne sait donc pas ce qu'il en est avant d'avoir essayé, recommencé, remis le métier sur l'ouvrage... bref, après l'avoir construit. La balle est dans votre camp. Vous ne seriez pas le premier à faire vos premiers pas sur ce blog.
Pour ce qui est de la tutrice de Catherine, elle fera son apparition de manière allusive au chapitre 96 des aventures d'Axel (vous voyez, il y a un peu de temps encore avant sa publication. Je vous laisse faire le calcul) puis dans le récit ad hoc dans lequel Catherine ne fera son entrée que plus tard. Sa tutrice n'ayant pas qu'elle à s'occuper.
Je ne suis donc pas certain que le terme "bientôt" soit adapté.
Au plaisir de vous lire;
JLLG.
Bonjour JLG ,
RépondreSupprimerJ'ai hâte de découvrir le profil de la tutrice , Catherine doit être plutôt inquiète et surprise et honteuse du choix , il y aura peut être une réplique de sa fessée devant la famille une honte totale ?
JJP
Bonjour JJP,
SupprimerIl faudra attendre le chapitre 46, voire le 47...
Soyez patient,
JLG.
Bonjour JLG ,
SupprimerVivement Jeudi prochain
je sens Catherine encore rétive , pour la soumettre la tutrice pourrait demander qu'elle se mettre nue devant tout le monde pour la rabaisser encore plus (une première au boulot) mais tu avais pensé a autre chose
A+
JJP
Désolé JPP,
SupprimerLa suite est déjà écrite depuis quelques temps. Elle ne changera pas, quoique vous suggériez.
Il n'y a pas d'autre solution que d'attendre...
Au plaisir de vous lire,
JLG.