lundi 13 août 2018

A nouvelle demeure, nouvelles règles familiales.

Et bien, non, décidément, je ne vois pas ce que vous y trouvez d'étonnant, mon garçon. étant mon gendre, vous faites partie de la famille. Je vous considère donc comme mon propre fils. depuis que vous vivez avec ma fille c'est bien normal.
Vous ne voudriez tout de même pas que je n'ai pas les mêmes attentions avec vous que celles que j'ai avec mes autres enfants ? Il est normal que je vous traite de la même façon qu'eux. Votre avenir m'importe tout autant que celui de mes propres enfants.
Toutes les mauvaises habitudes que vous avez prises, depuis les cinq ans que vous vivez ensemble, avec ma fille, vont devoir disparaître. Il n'est plus question que vous viviez au-dessus de vos moyens. J'ai accepté d'éponger les dettes que vous aviez faites, mais cela suppose que j'aie la haute main sur ce que vous faites. C'est pour cela que j'ai exigé que vous veniez vivre ici.
Puisque j'ai décidé que vous viendriez habiter chez moi, je dois faire attention à ce que votre comportement corresponde à mes exigences. Il en a toujours été ainsi. Demandez à ma fille. Elle sait à quoi s'en tenir. sous mon toit, ce sont mes règles qui s'appliquent et ce ne sont pas vos trente ans passés qui vont y changer quoi que ce soit.
Les choses sont simples : quand je l'estimerais nécessaire, ma fille comme vous aurez la fessée. Je baisse toujours la culotte avant de la donner. 

Une fessée pour tous les deux

Bien évidemment, cela m'amènera à voir vos fesses nues, le derrière, comme le devant. Il est inévitable que je voie votre zizi. Ce serait compliqué de faire autrement lorsque je vous baisse la culotte. Ne vous inquiétez pas pour cela. J'en ai vu d'autres ! Si j'en juge par ce que je viens de voir, le votre n'a rien d’exceptionnel. Un pénis comme la plupart de ceux que portent les jeunes gens de votre âge.
Ne croyez pas que votre petite érection m'ait indisposée. C'est habituel avec les garçons quand on les déculotte. Je me fais fort de la faire disparaître quelques instants après que j'ai commencé à vous fesser. Je pense qu'il ne doit actuellement plus en rester grand chose.

Voyez-vous, mon gendre; le mensonge que vous m'avez servi quant à votre situation financière, vous l'avez conçu en complicité avec ma fille. Elle en a été punie de la façon à laquelle j'avais l'habitude de recourir jusqu'à ce qu'elle habite avec vous. Cinq années, cela ne fait pas une différence considérable. Vingt-six ans lorsque je lui ai donné sa dernière fessée, tente-et-un pour celle-ci, mais il y aura beaucoup moins de temps 'ici la suivante. Quelques heures peut-être ?
Quelle raison pourrait-il y avoir qui vous épargnerait le même traitement ? Je ne vois vraiment pas. Vous savez que je suis une chaude partisane de l'égalité entre les sexes. Vous aurez donc la fessée à chaque fois que je penserai que vous en avez besoin. Ce n'est que la première d'une longue série.
Vous avez sans doute remarqué que ma fille n'a que faiblement protesté que je lui ai annoncé qu'elle serait fessée. Elle n'a fait aucun geste pour m'empêcher de la déculotter.  Elle savait qu'elle l'avait mérité.
J'ai eu le déplaisir de constater qu'il n'en a pas été de même pour vous. Non seulement vous avez refusé de recevoir ce qui vous était dû, mes de plus vous m'avez résisté quand j'ai entrepris de vous baisser le pantalon. Bien inutilement d'ailleurs.Croyez-vous que je vais attendre votre autorisation ? Vous n'avez pas voie au chapitre dans ce domaine. Désormais, c'est moi qui en déciderai.
J'ai d'ailleurs le regret de vous informer que, dans cette maison, quand on tente d'éviter une correction, on reçoit une deuxième fessée. Vous la recevrez donc une fois votre temps au coin terminé. J'utiliserai ma brosse. Vous verrez comme elle aide à apprendre à obéir.

J'espère que c'est la dernière fois que j'aurais à vous le dire. Comprenez bien que quand j'aurai décidé de vous administrer une fessée déculottée, rien ne me fera revenir sur ma décision. Vous serez corrigé quand je le déciderai. Il faudra donc vous habituer à ce que ce soit en présence d'autres personnes. Cela ne m'arrêtera pas.


Encore un dessinateur anonyme que je remercie malgré tout

Il s'agit du dessin de couverture d'une revue diffusée par Scarlett Hill , No-nonsense ladys n° 61 (voir lien ci-contre, vers le site, dans la rubrique "à suivre également" dans la colonne de droite).

Quand les bêtises se font à deux, elles se payent à deux

     Une fesse de son épouse                                              Un lendemain difficile


Laisser un commentaire, un témoignage ? C'est ci-dessous !

2 commentaires:

  1. Bonjour JLG,

    Encore un beau duel Maman/fille/gendre !!! Trio gagnant !
    Eh oui, Belle-Maman, telle l'araignée, tisse sa toile en secret autour du jeune couple. Et parfois, l'un des deux tombe dans les filets de Belle-mam' !! Qui accourt "dévorer" sa proie ! Rires.
    Peter'.
    (l'auteur est soit "Funbun" ou "Endart", me semble t-il. A vérifier.)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Peter Pan,
      il y a tellement de variations sur le trio mère fille gendre, que c'en est facile d'inventer des commentaires à partir de dessins. La figure tutélaire de la belle-mère autoritaire prenant le pas sur sa fille et son gendre, n'est pas prête à disparaître.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

      Supprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.