Une désobéissance à deux, une fessée pour deux

" Vois-tu, j'ai promis à ta femme de lui montrer comment je maintiens la discipline dans mon foyer.

Elle a bien remarqué que mon mari était particulièrement obéissant, particulièrement attentif à ce que je lui dis de faire. On ne peut pas dire que cela fait partie de tes qualités.

Quand était-ce la dernière fois où tu as fait ta part de ménage dans votre appartement ? Combien de fois es-tu rentré fort tard la semaine dernière, après avoir passé une soirée entière au café avec des copains ? As-tu respecté ton engagement de réparer la porte de placard que tu as abîmée alors que tu étais énervé sans motif réel ? J'ai cru comprendre que ta dernière colère, suite à la frustration de ne pas avoir gagné au loto, date d'hier.

En ai-je oublié ? Tu vois je suis bien au courant de tes turpitudes.

Tu viens de voir ce qui arrive à ton ami d'enfance quand il désobéit. Et crois-moi je n'hésite pas une seconde à le déculotter et à le fesser. Bien qu'il ait compris, depuis longtemps, qu'avec moi, il est préférable de se comporter comme un grand garçon sage et obéissant, il reçoit tout de même la fessée plusieurs fois par semaine.

Je suis plutôt exigeante depuis le début de notre mariage, au moins autant que l'était sa mère. Aux dires de ma belle-mère, ce ne sera pas la première fois que vous recevez la fessée déculottée conjointement. Si j'ai bien compris, ta mère et la sienne recouraient à cette méthode dès que c'était nécessaire. Vos après-midi de vacances se sont souvent terminées au coin, les fesses toutes rouges.

Je crois qu'il est inutile de te plaindre. Il était bien clair que nous ne vous avons laissé aller voir le match de foot que si vous étiez de retour à dix-neuf heures au plus tard. Dix-neuf heures trente : personne ! Dix-neuf heures quarante-cinq : toujours rien. Ces messieurs se pointent en souriant à presque vingt heures. Avec une heure de retard ! Je veux bien parier qui si vous aviez été contrôlés au volant de votre voiture, nous aurions dû aller vous chercher au commissariat après un alcootest positif.

Je ne sais pas lequel des deux a entraîné l'autre dans cette désobéissance et je ne veux pas le savoir. Je considère que vous êtes tout aussi responsable l'un que l'autre. Vous avez désobéis en même temps et de la même façon, il est logique que vous soyez punis de la même façon.

Tu ne voudrais pas que ton copain soit corrigé et que toi, tu passes à côté du châtiment que tu as également mérité ! Ce serait tout à fait injuste ! Il a reçu la fessée déculottée devant toi et en présence de ta femme, il est normal qu'il t'arrive la même chose. Tu peux voir combien la brosse fait un travail de qualité sur les fesses des garçons désobéissants.

Dès que nous avons compris que vous ne seriez pas à l'heure, ta femme et moi avons pris la décision de vous punir tous les deux. Je lui ai expliqué comment une bonne fessée déculottée remet dans le droit chemin les garnements désobéissants comme toi.
En ce qui concerne mon mari, cela n'a pais aucune difficulté. Il m'a laissé le déculotter et le fesser sans faire d'histoire. Question d'habitude ! Ta femme et moi avons dû, par contre, nous employer pour te baisser la culotte. Ta résistance te vaudra une nouvelle fessée avant de partir ce soir.
Tu n'as pas à t'inquiéter pour ton sexe dressé. C'est normal, cela arrive à tous les garçons dont on a baissé la culotte pour les fesser.  J'en ai vu d'autres. Cela ne dure pas. Quelques caresses de ma brosse après que tu te sois allongé sur mes genoux et tout cela sera tout mou. Nous n'en parlerons plus avant un bon moment.

Tu as bien entendu compris que ce régime de punition sera celui auquel tu seras soumis désormais. Si tu ne laisses pas ta femme te déculotter et te fesser la prochaine fois qu'elle jugera que tu l'as mérité, je viendrai lui donner un coup de main. Je me fais fort, alors, de te faire regretter mon déplacement.

Allez, laisse-moi faire, le plus dure a été de te faire déculotter pour la première fois, quoiqu'avec ma brosse, je pense que tu as encore quelques minutes douloureuses à venir. Maintenant que tu es prêt  à recevoir la fessée, il vaut mieux qu'on en finisse sans que tu aggraves ton cas.
Viens-ici que je te couche sur mes genoux !"

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