mardi 24 novembre 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 1

QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

LA BONNE SURPRISE

 Géraldine marchait dans la rue d’un pas rapide et décidé. Contrairement à son habitude de prendre son temps à flâner une peu en ville après une journée passée à aider sa tante Astrid à sa boutique d'instruments de discipline, (voir saison 3) elle était impatiente d'arriver chez elle. Et elle avait une bonne raison pour ça.

Ce matin-là, Margaret, sa mère, lui avait annoncé, d'un ton enjoué, plein de sous-entendus, qu'une surprise... une bonne surprise, l'attendrait, lorsqu'elle rentrerait. Sans rien dévoiler, elle avait simplement ajouté qu'il s'agissait d'un événement susceptible d'apporter quelques changements notoires dans la vie à la maison.

Les mots ''pimenter '' ou ''corser'', qu'elle avait employés pour justifier son initiative, avaient fourni à Géraldine quelques indices d'interprétation sur la nature de cette nouveauté. Sans avoir vraiment trouvé de quoi il s'agissait, elle se doutait un peu dans quelle direction s'orientait la surprise annoncée. Cela ne la satisfaisait pas pour autant. Un tantinet capricieuse, Géraldine supportait mal de ne pas obtenir de réponse immédiate aux questions qu'elle posait. Les petits jeux de devinettes, c'était très peu pour elle. Elle détestait sentir que la maîtrise des situations lui échappait . Elle voulait savoir, avant de partir rejoindre sa tante au magasin. Tapant du talon aiguille sur le carrelage de l'entrée, la mine boudeuse, elle insistait avec de l'impatience dans la voix.

 – Aller maman, dis-moi ! C'est quoi la surprise ? Hein... C'est quoi ?


 Margaret était la cadette des Delaniaires. Comme sa sœur Astrid, elle avait décidé de garder son nom de famille, considérant qu'il n'y avait aucune raison d'abandonner le sien pour se faire imposer celui de son mari. Les sœurs Delaniaires avait une réputation de maîtresses femmes qui ne s'en laissaient pas compter.

 Margaret était une de ces femmes de caractère, dans la force de l'âge, qui affichait avec prestance une cinquantaine épanouie, parfaitement assumée . Avec un sens naturel de l'autorité, elle perpétuait avec Astrid, les principes d'éducation hérités de la famille, basés sur la pratique systématique de la fessée.

Consciente que l'affirmation de la personnalité passait par le pouvoir de séduction, Madame en usait sans modération, en s'exhibant, sans complexe, dans des tenues délibérément provocantes. Petits tailleurs ajustés, jupes moulantes, scandaleusement courtes, bas nylon à coutures, avec jarretelles aussi apparentes que les poutres au plafond d'une résidence secondaire. Elle aimait sentir les regards envieux ou admiratifs, glisser sur elle. Capter l'attention, pour mieux dominer et soumettre ensuite. Une sulfureuse créature, fascinante et redoutable, à l'image de sa sœur Astrid. Il valait mieux ne pas laisser traîner son derrière à portée de leur main.

 Le personnel de la compagnie d'assurance où elle exerçait au poste de DRH, en savait quelque chose. Sa méthode de direction des Ressources Humaines s'appuyait sur l'exercice d'une stricte discipline et une gestion rigoureuse des derrières des salariés,   quel que soit leur niveau de responsabilité. Son expérience de la fessée avait une influence directe sur le bon fonctionnement de l'entreprise.  Elle avait la haute main, et quelle main,  sur tous les postérieurs de la maison. Tout le monde y passait à un moment ou un autre. Chaque membre du personnel convoqué dans son bureau, savait qu'il allait en ressortir les fesses rouges et cuisantes au fond de son slip.

 C'est dans cet environnement de domination féminine, que Géraldine s'était épanouie et forgé le caractère, sous l'autorité de ces femmes, adeptes inconditionnelles de la fessée. La méthode la plus efficace, pour entretenir au sein du couple et de la famille en général, des relations saines et harmonieuses.  Sébastien, son frère, et Arnold, l'actuel compagnon de sa mère, n'avaient d'autre choix que de se soumettre à ces règles de discipline domestique. Au moindre écart, c'était la fessée, et le derrière monté à l'écarlate.

 

Assise du bout des fesses posées sur le rebord de la commode du vestibule, les bras croisés sous sa volumineuse poitrine, Margaret, goguenarde, regarde sa fille au bord de la crise de nerf... Et tout ça, à cause d'une banale histoire de surprise, pense-t-elle . Ça l'amusait toujours de la mettre dans cet état, qui lui fournissait l'excellent prétexte à lui flanquer une fessée. Les fessées les plus marquantes, étant, selon elle, celles qu'on administre pour un motif insignifiant. Elle appelait ça aussi des fessées ''d'entretien'' ou d'avertissement, un peu aussi pour le plaisir. 

 Les théories sur la manière d'exercer l'autorité alimentait la grande majorité des conversations de ces Dames. Notamment, la dernière à l'occasion d'une dégustation de Whisky chez Gladys avec Edwige et Margaret. Gladys y vantait l'efficacité de ce qu'elle appelait les ''fessées surprises'', qu'elle administrait à son mari sans avertissement préalable, ni véritable motif.

– Je vous garantis que ça fait énormément d'effet sur le comportement d'Edouard.  Dans ces moments-là, comme il ne sait jamais quand je vais lui en claquer une, il est docile et obéissant toute la journée... Vous ne pouvez pas savoir... J'en fait ce que je veux !

– Amusant, avait confirmé Edwige avec un petit rire. Je fais parfois comme ça aussi à la maison avec Stephen. Il n'a pas mieux pour renforcer son l'autorité que de leur maintenir constamment le derrière sous la menace d'une fessée...

Margaret encore plus radicale.

– Tout à fait ! La perspective de s'en prendre une à n'importe quel moment, est presque aussi dissuasive que la fessée elle-même !!  Ça fait bien longtemps que j'utilise ce moyen de pression sur Arnold et mon turbulent garçon. La menace permanente de la fessée les rend parfaitement dociles.

 

Géraldine, bien que déjà très en retard ne se décide pas à partir. L'annonce de sa mère a atteint son but, celui d'aiguillonner sa curiosité sans la satisfaire. Elle veut maintenant   en savoir plus avant de sortir. La main sur la poignée de la porte, elle insiste encore en se trémoussant sur ses talons aiguille qui résonnent sur le carrelage de l'entrée. Ravie de son petit effet, Margaret la regarde s'énerver avec un sourire perfide.

– Mais enfin ma chérie, soit raisonnable...pour une fois,  dit-elle d'un ton calme en rajustant négligemment ses bracelets autour de son poignet. Si je te le dis maintenant ce ne sera plus une surprise.

– Ouiiii maman, je sais... tu me sors ça à chaque fois ! Tu commences par annoncer quelque chose, et puis après, hop, terminé, silence radio ! Ça t'amuse de me faire attendre ?

– Enfin Géraldine !... D'abord tu me parles sur un autre ton...s'il te plaît ! Pas la peine de t'exciter comme ça. Avec toi c'est toujours pareil,  tu veux tout, tout de suite. Ce n'est pas faute de te le dire : l'attente est le piment de la vie ma chère. C'est ça qui rend les choses plus savoureuses quand elles finissent par se produire .

– Oui, tu m'as déjà dit ça cent fois...  La patience... savoir attendre...et gna, gna, gna...

Le ton de Margaret se fait soudain menaçant.

   Exactement ! Il faut savoir faire attendre une fessée pour la rendre plus savoureuse   après. Comme celle que je vais te claquer au derrière, avant de partir, si tu continues à faire ta petite insolente !

– Non, maman, je disais ça comme ça...  pas déjà la fessée, s'il te plaît... Je vais en prendre assez comme ça chez tantine !

– Ah oui , et pourquoi pas ?... Tu arriverais avec des fesses bien préparées, prêtes à l'emploi. Je suis sûre qu'Astrid apprécierait. Gain de temps et d'efficacité.

 Géraldine a beau ne pas rechigner à la fessée, et même ne se cache pas d'y prendre un certain plaisir, elle n'apprécie pas trop la menace de sa mère et se remet à protester vigoureusement.  Deux caractères explosifs qui s'affrontent régulièrement et au final c'est toujours la fessée qui s'impose sur le derrière de Géraldine.

 Margaret, est plutôt de bonne d'humeur, le calme avant la tempête... de claques. Elle observe Géraldine faire son caprice en trépignant comme une gamine parce qu'elle n'obtient pas ce qu'elle veut. Connaissant par cœur le caractère impulsif de la demoiselle – les fesses de son frère en savent quelque chose – elle adore la provoquer,  sachant qu'elle va réagir en essayant de lui tenir tête. Elle obtient alors ce qu'elle cherche. A savoir, l'excellent prétexte à lui flanquer d'une bonne fessée pour cause d'insolence envers maman. Délicieusement pervers mais remarquablement efficace.

 Un peu calmée par la vive réaction de sa mère, Géraldine baisse le ton, mais s'obstine,     en suppliant, comme un enfant réclamant une friandise.

 – Oh maman chérie, pardon, je suis désolée... Pas la fessée maintenant, je vais être en retard chez tantine, qui n'en mettrait une autre, aussitôt en arrivant... Plutôt ce soir, si tu penses que je l'ai méritée, obstinée, elle revient à la charge. Mais s'il te plaît, dis-moi... C'est quoi la surprise ? 

 Margaret, petit sourire en coin, glisse un regard condescendant sous ses paupières fardées. Pour une fois, et c'est rare, elle fait preuve de magnanimité.

Elle soupire en soulevant sa poitrine, qui en profite pour prendre des libertés avec le décolleté de son bustier

– Tu ne lâches rien toi, hein ! ... Sacré caractère !  Ce n'est pas pour me déplaire... Alors bon, je vais satisfaire, en partie, ta curiosité... Mais ça devient, chez toi, une véritable obsession.

Géraldine a senti le souffle de la fessée lui effleurer le derrière. La mine réjouie, elle ouvre grand les yeux et écarquille les oreilles. A moins que ce soit l'inverse.

– Oui maman, merci maman ! Alors... c'est quoi la surprise ?

Margaret ménage son effet pour donner de l'importance à son annonce.

– Et bien... après de longues recherches dont je ne t'avais pas parlé, j'ai fini par trouver l'oiseau rare... Un jeune homme au pair qui doit arriver ce soir. 

 Géraldine ne réagit pas tout de suite. Elle reste en suspens quelques secondes. Le mot ''pair'' lui fait instantanément penser à une paire de fesses. Puis son visage s'éclaire. Pour un peu, elle en battrait des mains. Comme une petite file à qui on promet d'offrir le cadeau qu'elle attend depuis longtemps .

– Non... c'est vrai ? Ça alors ! Et c'est qui ? Comment il est ? Comment il s'appelle, Elle ne peut s'en empêcher. Est ce qu'il a un beau derrière ?

– Là ma chérie, tu en demandes trop... Tu sauras tout ça ce soir. La seule chose que je peux te dire c'est qu'il est anglais... Il vient ici apprendre le français. Ce qui est assez rare. Les anglais s'intéressent peu aux langues étrangères. Ils partent du principe que ça ne sert à rien puisque tout le monde parle la leur...

 

Géraldine, plantée dans l'entrée, son sac, à la main, plisse les yeux de plaisir.

– Et bien il ne pouvait pas mieux tomber... Il va être servi le garçon !

Elle ironise, lèvres pincées, et balance la tête de gauche à droite en prenant une grosse voix faussement menaçante, marquée d'un lourd accent germanique.

– Ach, gut... izi, sévèreu disciblineu ! Nous affons les moyens, dé fous faire barler... franzais !

Elle se retient un court instant, puis éclate d'un rire sonore.  La menace de fessée s'est déplacée vers un autre postérieur que le sien.  Elle vient de comprendre le sens des mots '' pimenter'' et corser'‘ que sa mère a employé auparavant. Le rapprochement est vite fait avec l'usage intensif de la fessée à la maison.

 Margaret a vu la lueur de plaisir passer dans le regard de sa fille. Elle devine aussitôt sa pensée avec un soupir faussement désolé qui envoie, une deuxième fois, son envahissante poitrine par-dessus la ligne de flottaison de son bustier. Elle minaude à son tour.

– Eh oui, chérie, je ne te le fais pas dire... Nous ne sommes pas au bout de nos peines . Nous allons avoir du pain sur la planche avec l'arrivée de ce jeune homme. .

Géraldine ne résiste pas. 

– Tu veux dire de la planche à pain, sur les fesses de ce jeune homme !

 Habituée à l'humour sarcastique de sa fille, Margaret ne relève pas et poursuit d'ailleurs sur le même mode.

  Et oui ! Il va nous falloir assurer l'entretien d'une nouvelle paire de fesses, en plus de celles de ton beau-père et de ton frère qui nécessitent déjà beaucoup de soins et d'attention.

Elle passe délicatement sa main dans ses cheveux pour relever une mèche rebelle, et, la bouche en cœur, murmure avec un parfait cynisme.

– Mais...On ne va tout de même pas s'en plaindre … Il faut bien renouveler de temps en temps la ''matière première''. Un bon fessier supplémentaire à la maison, ce ne sera pas de trop pour satisfaire nos petits plaisirs disciplinaires. Sans compter que sans l'application d'une stricte discipline, je ne vois pas comment on pourra lui faire apprendre correctement le français.

 Géraldine ne cache pas sa joie. Elle se voit déjà en train de rougir le derrière du garçon dans sa position préférée, calé fesses en l'air, la tête entre ses cuisses.


fessée déculottée



– C'est bien connu, on apprend mieux et plus vite, les fesses rouges et cuisantes. Ça stimule la mémoire ! Je suis bien placée pour le savoir, n'est-ce pas maman ? C'est aux cuisantes fessées que tu m'as administrées que je dois toute mon éducation.

– Je ne te le fais pas dire ma chérie. Mais quand je vois parfois ton comportement, j'ai l'impression de ne pas t'en avoir mis encore assez. C'est pour ça que ta tante et moi continuons à nous occuper de tes fesses. Et comme on dirait que tu y as pris goût, on n'est pas prêtes à s'en priver.

 Géraldine fait semblant de ne pas avoir entendu. Elle se dandine d'un pied sur l'autre en balançant son sac à main. Sa petite jupe courte bat le haut de ses cuisses sur le revers noir de ses bas nylon. On entend le léger claquement de ses talons aiguille qui s'entrechoquent sur le carrelage du vestibule. Elle est déjà en retard mais, ne se décide pas encore à partir et continue à fantasmer sur les fesses de l'inconnu qu'elle espère,  bien développées. Pour ça, elle fait confiance à sa mère qui a certainement dû en choisir un avec une paire de fesses adaptées aux méthodes disciplinaires de la maison, stimulant indispensable pour progresser rapidement dans la pratique du français. Il faut avouer aussi, pour le plaisir d'en avoir une nouvelle, bien rebondie, sous la main. L'abondance de biens ne nuit pas !

 – Un derrière anglais... en plus !  Dit-elle songeuse. Il doit être déjà sacrément entraîné !  Les '' good spanking'' et ''hard spanking » », ça y va à fond là-bas ! C'est tout de même le pays de la claque aux fesses !

Elle se dirige cette fois, vers la porte en tortillant joyeusement du derrière. 

– Maman, tu es géniale ! Je signe des deux mains !...

Margaret se redresse d'un coup de rein du bord de la commode, et répond en tirant sur sa jupe pour essayer de la faire descendre par-dessus de ses jarretelles. En vain, elle est trop courte.

– Garde en une, quand même pour les fesses de notre petit nouveau.

– Oui... Au fait, il s'appelle comment ?

– Trop curieuse ma chérie... Je te dirai ça ce soir.

– Bon d'accord !... Maintenant il faut que je file. Astrid doit déjà avoir ouvert la boutique, Elle a un petit rire nerveux. J'ai trois démonstration de fessée au martinet qui attendent mon derrière aujourd'hui.

– Et bien, telle que je connais ta tante, avec le retard que tu viens de prendre, tu vas déjà t'en prendre une bonne avant d'avoir commencé ta journée ! 

– Oui, surtout que c'est pour des clientes exigeantes. Tu les connais, Gladys, Béatrice Klakerspank la propriétaire du salon de coiffure et Claridge de la boutique de lingerie. Ce ne sont pas des tendres. Ça tape dur !

Margaret, avec un rictus amusé, lui glisse un regard faussement compatissant

 – Ma pauvre chérie, que veux-tu, il faut les comprendre. Quand on leur met sous la main une aussi belle paire de fesses que les tiennes, il faut bien s'attendre à ce qu’elles en collent des sévères. C'est une façon de leur rendre hommage. Et puis, ça ne te déplaît pas d'aller te faire claquer le derrière devant les clientes du magasin de ta tante. Hein ? Tu aimes ça sentir ton gros derrière tâter du martinet... Hein... Petite vicieuse !

– Oui maman, mais quand même, elle fesse vraiment fort tantine.

  Ça, ma petite, c'est la marque de fabrique de la famille. Une fessée ça doit toujours claquer fort. Quand on fesse on ne fesse pas à moitié... Toi non plus d'ailleurs, ne fais pas ta mijaurée. En général tu n'y vas pas de main morte.  Il suffit de voir la couleur des fesses de ton frère après un passage sur tes genoux.

  Géraldine plutôt flattée, sait que sa mère à raison. Un large sourire aux lèvres, elle sort dans un joyeux claquement de talons aiguille, balançant son opulent fessier de manière provocante. Les effluves délicates de son parfum répandent leur trace invisible derrière elle.

 

Elle est en retard, et Astrid, très stricte sur la ponctualité, comme sur beaucoup d'autres choses, ne va certainement pas apprécier. Habituée aux exigences de sa tante, c'est sans trop d'appréhension qu'elle se prépare à recevoir la fessée à laquelle elle a échappé à la maison, dès son arrivée au magasin. Ça ne sera guère qu'une séance d'échauffement avant les cinglantes fessées de démonstration au martinet.

 Sa mère et sa tante lui avaient conjointement transmis, leur goût immodéré pour les châtiments corporels. En l'y soumettant, d'abord, pour lui inculquer les valeurs d'une bonne éducation, puis en la faisant progressivement passer à la pratique. Lui enseigner, l'art et la manière de fesser, et surtout de bien fesser, fort et longtemps... Elle apprit vite, avec enthousiasme et montra, rapidement, une belle disposition à administrer des fessées, mais aussi à en recevoir. La dimension de plaisir pris progressivement le pas sur les préceptes éducatifs mis en œuvre au départ. Comme quoi, l'administration d'une bonne déculottée, finalement assez banale de prime abord, peut aussi répondre à d'autres aspirations. Comblée par la nature d'une magnifique paire de fesses, endurcie et développée sous les innombrables corrections qu'elle reçut pour parfaire son éducation, elle en profitait, sans modération et sans complexe, comme une inépuisable source de jouissance. Cuisante et douloureuse certes, mais ô combien exaltante.

 C'est ainsi que Géraldine, n'avait pas hésité longtemps à accepter la proposition de sa tante de la seconder au magasin. Astrid Delaniaires, avait un sens inné des affaires. Elle estimait pouvoir augmenter ses ventes en testant sur place la qualité de ses instruments de discipline. D'où l'idée de les mettre en démonstration sur l'endurant postérieur de sa nièce, au cours de spectaculaires séances de fessées devant les clientes. Pendant que Géraldine prenait plaisir à se faire reluire les fesses en public sous les cuisantes cinglées de martinets, sa tante vantait les vertus éducatives et punitives de la fessée, grâce à l'efficacité de ses instruments de discipline. Et de préciser, avec emphase, le menton fièrement levé au-dessus d'un derrière flamboyant d'une cuisante cinglée de lanières.

 – Des martinets, Mesdames, en cuir véritable, entièrement fabriqués à la main... par mon mari !

 Tout le monde était ravi. Astrid ne cessait de rendre hommage au derrière de sa nièce, d'en souligner l'attractivité et les merveilleuses dispositions à encaisser les fessées, grâce à quoi son chiffre d'affaire ne cessait d'augmenter. Sans compter que la charmante demoiselle manifestait autant d'aptitude et de plaisir à les administrer.

 Ce n'était donc pas par hasard si la tante Astrid, auto désignée dépositaire des traditions disciplinaires familiales, avait pris la succession du grand père, créateur de la maison Delaniaires. Exploitant habilement le savoir-faire de Norbert son époux, artisan du cuir à l'origine, elle avait eu l'heureuse idée de spécialiser la boutique dans la fabrication et la vente d'instruments de correction sur mesure. Dans cette partie de la ville où l'usage systématique de la fessée constituait le fondement naturel d'un bonne discipline domestique, ce commerce ne pouvait que prospérer.

 La culture de la fessée était, en quelque sorte, l'ADN de la famille Delaniaires qui en vantait ouvertement les avantages en toutes circonstances. La réputation d'efficacité de la méthode s'était progressivement répandue dans les ménages où la pratique de la fessée avait été très vite adoptée. Elle s'était naturellement développée, et utilisée sans modération ni soucis de nuire à la santé des derrières de l'entourage, par toutes les mères et épouses du quartier. Ces Dames, pratiquement toutes voisines : Gladys, Clarisse, Edwige, Thérez et autres Bettina, Claridge, Béatrice, étaient connues pour avoir la main ferme. Ça déculottait et claquait sec dans les chaumières où le moindre écart de comportement était sévèrement sanctionné. Le petit doigt sur l'élastique du slip, ces Messieurs avaient intérêt à filer doux, et à obéir sans discuter. Il fallait montrer respect et obéissance, devant Madame qui se chargeait de leur en rappeler les principes, le derrière rouge et cuisant sous les fessées.

 

Ce jour-là,  Géraldine arriva au magasin des Delanaires, pas loin de vingt minutes après l'ouverture. Pensive, elle resta quelques secondes devant la porte avant d'entrer, en soupesant ses fesses sous sa jupe comme pour s'assurer de leur fermeté et de leur capacité à encaisser les séances de fessées qui l'attendaient. Ça ne l'impressionnait pas pour autant , en dépit de la fessée supplémentaire qui l'attendait à cause de son retard important.

 


Et après la saison 3... vient la saison 4!

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.

Que s'est-il passé précédemment ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave vous retrouverez ici la saison, précédente le chapitre 1, et le dernier en date de la saison 4, c'est le chapitre 0

La suite, c'est très bientôt.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.

7 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,


    Voilà une nouvelle saison qui fleure bon le cuir bien huilé ! Ca démarre sur les chapeaux de roues.
    Un nouveau "pensionnaire" chez les Deslaniaires. Tante Astrid et sa chère nièce vont encore frapper. Le jeune homme risque de chanter l'hymne anglais... en français ! Rires. Déjà retenons quelques mots : spanking, caning, tawse and birch. Ce qui nous donne :fessée, cannée, tawse et verges. Manquerait plus qu'il porte le kilt comme Gérome. Des frères ennemis, en somme. Good luck, my firend. Rires.
    Question dessin : le visage de miss Géraldine (la coquine) est très réussi !
    Amicalement. Peter.

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  2. Tankiou Peter,

    My god !! Moi qui ignore tout de l'anglais ( parce que je ne l'ai jamais appris), me voilà lancé dans une aventure d'écriture véry dangerousse ! Heureusement que tu es là pour m'apporter quelques éléments de langage technique.
    Plutôt que frère ennemis, Gérôme et le jeune homme au pair ( son nom dans le prochain chapitre! hi hi!) risquent de se retrouver frères de fessées... De quoi passer de cuisants moments ensembles. God save the butt! rires
    Amicalement.
    Ramina

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  3. Hello Ramina,

    - Ja, das ist richtig : Mein Gott ! Die strenge Tante und seine Nichte !! Aber Kein Probleme ! Ich bin hier, mein Freund !
    - Oh, my God ! Auntie Astrid is very angry (coléreuse) this morning !
    She goes to give an O-T-K spanking ! My poor butt !
    La leçon de LV1 ou 2... commence bien. Ca me donne l'occasion de réviser. Mais j'y pense : il va certainement offrir à son "aimable" hôtesse une bonne bouteille de pur Malt des Highlands !!! C'est Tante Gladys qui va être contente... avec modération !!! Of course !! Rires.
    Comme dans le film "le Tatoué" (Gabin-De Funès/ 1968) : "Le Calva dissout les graisses, l'estomac se creuse et c'est reparti ! " Dixit Gabin.
    Je suppute pour le prénom du futur héros. Voyons : Paul ? John ? George ? Ringo ? Tom ? Mike ? Brian ? Peter ? Richard ? Rod ? Elton ?
    Ben... langue au chat ! Grrrr ! Ca m'énerrrrrrrve !
    Mam'e Térèze se réjouit déjà de ce nouvel arrivant dans ma saynète de Dimanche.
    Amicalement. Peter.

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  4. Yes Peter,

    Comment qu'il a deviné le bougre! Au moins visionnaire sur une chose, le Pur Malt 12 ans!!! Etonning not ? Tante Gladys en oubliera la modération... mais bon, d'ici là...
    Amicalement
    Ramina

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  5. Bonsoir Ramina,

    Je m'étonne moi-même ! Peut-être aurons nous droit à un beau concert en "live" de cornemuses (rires). Tante Gladys nous interprètera peut-être "le Lac des Cygnes" en english, toute de tartan vêtue ? Je m'égare... Sait-on jamais. Ces dames vont glousser de curiosité sous peu...
    Amicalement. Peter.

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  6. Hello Ramina,

    You avoir raison ! This morning, je suis very déchained ! Rires. Je wait the suite with impatience...
    Amicalement. Peter.

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