Sévères mais justes.
Le salon de
Béatrice Klakerspank résonnait encore du claquement retentissant des nombreuses
fessées administrées de concert par ses invitées. (voir les chapitres 21 et 22
de la saison 2). Elle avait envoyé son fils Maxime dans sa chambre, cuver sa
dernière correction, à plat ventre sur son lit, après l'avoir obligé à
débarrasser la table et la desserte, le pantalon sur les chevilles, déculotté,
slip aux cuisses. Elle entendait bien profiter jusqu'au bout du spectacle de
ses fesses écarlates et cuisantes avant le coucher.
Sereines et
détendues, les femmes conduisent, les mains encore délicieusement emplies de la
chaleur des rondeurs sévèrement claquées.
Il ne fallait
pas plus de cinq minutes en voiture à Gladys, pour faire le trajet entre la
maison de Béatrice et chez elle. Elle
attendait au dernier carrefour que le feu passe au vert. Un coup d'œil réflexe
au rétroviseur, elle aperçut Edwige stopper juste derrière elle, au volant de
son Austin. Elle semblait visiblement encore en train de copieusement sermonner
son mari, assis à côté d'elle et agitait une main menaçante au-dessus de sa
tête. Il en suivait les mouvements du regard en levant fébrilement son coude
pour se protéger d'un possible départ de claques. Quand ses fesses n'étaient
pas accessibles, ce qui n'arrivait pratiquement jamais sauf lorsqu'il était
assis, la douce épouse se chauffait la main sur ses joues en attendant d'avoir
son derrière à disposition.
La soirée
recadrage de ces messieurs s'était révélée particulièrement efficace. Elle s'était terminée en apothéose avec les
fessées en simultané d'Edouard et Stephen, les maris respectifs de Gladys et
Edwige. Elles avaient quitté leur hôtesse pratiquement en même temps, que
madame Bellebourge, la mère de Gérôme. Tout ce petit monde habitait en
proximité, dans le même quartier et se retrouvait sur le chemin du retour,
arrêté au même carrefour. Patricia, un peu plus loin derrière, suivait aussi
dans sa propre voiture, son frère assis côté passager. Le feu passé au vert,
Gladys enclencha la première en souriant. Stephen venait de se prendre une
claque magistrale. Elle quitta des yeux le rétroviseur et redémarra en pensant
tout haut.
« On dirait bien qu'Edwige n'en a
pas encore terminé avec son mari. Et pourtant il s'en est pris des sévères
pendant la soirée. Telle que je la connais, j'ai comme l'impression que ça va
encore chauffer pour ses fesses à la maison... »
Elle jeta un regard furtif en
direction d'Edouard, son époux, resté silencieux à côté d'elle depuis le départ
de chez Béatrice.
« C'est d'ailleurs bien ce qui
pourrait aussi t'arriver mon chéri ! »
Edouard ne répondit pas vraiment,
sinon par un faible murmure d'inquiétude. Beaucoup plus préoccupé par la
cuisson persistante de ses fesses qui lui rendait la position assise très
douloureuse. Il essayait de se soulager en les soulevant l'une après l'autre de
son siège. Cela finit par agacer son épouse qui, avec une parfaite mauvaise
foi, fit semblant d'en ignorer la raison.
« Enfin Edouard, vas-tu te tenir
convenablement deux minutes. Qu'est-ce que tu as à gigoter comme ça sans arrêt
sur ton siège ?
« Mais chéri... Tu le sais bien
quand même... Comment veux-tu que je reste correctement assis, j'ai les fesses
en feu ! En plus de ça, elles ont tellement gonflé que mon slip est devenu
trop serré ! Trop durs ces slips à fessées !
Gladys sourit une nouvelle fois en
passant la troisième,
« Ces slips à fessées son justement
parfaits pour ça ! Et ce n'est pas
une raison pour me répondre sur ce ton... Elle prit un air détaché qui cachait
à peine le plaisir de l'annonce,
« On dirait que la séance de
corrections d'aujourd'hui n'a pas suffi à t'apprendre le respect ? Tu es
en train de mériter une nouvelle fessée mon petit chéri ! »
Edouard en sursaute d'horreur sur
son siège, ce qui lui arrache un couinement de douleur,
« Et tu continues à mal te
tenir ! Continue Gladys imperturbable. De toute manière, cette nouvelle
fessée, elle te pendait au-dessus du derrière ! »
Le malheureux effaré, roule des yeux
grands comme des roues de tracteur, de dimension tout aussi importante que son
indignation.
« Co... Comment ça une...une
nouvelle fessée ? Mais pourquoi ? Ça suffit, j'en ai déjà pris trois
aujourd'hui ?
– Et alors, la belle
affaire ! Je n'ai pas souvenir de
t'avoir entendu remercier et saluer ces Dames lorsque nous avons pris congé
après avoir été si bien reçu. Tu es parti sans dire au revoir à personne, comme
un vilain garçon mal élevé. Ce qui tendrait à prouver que ton éducation est
loin d'être satisfaisante... Première raison d'une fessée supplémentaire que tu
vas recevoir dès notre retour à la maison ! »
Edouard anéanti s 'écroule sur son
siège en gémissant et, du coup, repousse un cri de douleur.
« Mais enfin chérie, je n'avais pas
la tête à... »
Gladys intraitable, ne fait aucune concession.
Elle ne lui laisse même pas le temps de finir sa phrase.
« Ce n'est pas une excuse pour
négliger les règles de politesse mon ami. Prépare plutôt tes fesses au lieu de
pleurnicher comme un gamin, on arrive bientôt. Dans quelques minutes elles
seront encore en train de claquer sur mes genoux. Et ça ne fera jamais que ta
quatrième fessée de la soirée... Une bonne mesure non, en regard de tes
nombreuses fautes et négligences? »
Ulcéré, Edouard finit le trajet
assis sur les mains comme pour se protéger le derrière, à l'avance, de la
nouvelle déculottée qui l'attend. Malgré la série de fessées qu'il a dû
encaisser chez Béatrice, il sait de toute manière, que son intransigeante
épouse, fidèle à ses habitudes, le corrigera sans états d'âme quel que soit
l’état de son postérieur encore cuisant. Comme elle dit, sans états d'âme, dans
ce cas de figure assez fréquent.
« Une fessée est encore plus
efficace sur un derrière déjà bien corrigé. »
La mine réjouie, un léger
sourire satisfait sur les lèvres, elle se gare tranquillement devant la maison
le long du trottoir. Elle coupe le contact et, les doigts frémissants
d'impatience, tire le frein à main d'une poigne solide. Claquements de
portière, ils descendent de voiture lorsque Patricia arrive à son tour et
stoppe juste derrière. Edwige qui suivait de près s'est arrêtée au milieu de la
rue, à leur hauteur, moteur en marche. Le bras à la portière, elle s'exclame
d'une voix forte et enjouée.
« Alors mesdames, quelle soirée ! Et
ce n'est pas terminé ! Stephen n'a pas arrêté de se plaindre et de
pleurnicher dans la voiture. Vous ne pouvez pas savoir comme Il est pénible !
Toujours en train de râler. Ça va être encore la fessée, aussitôt à la maison.
– Pareil pour le mien ! Répond
Gladys en cherchant ses clés dans son sac. A peu près pour les mêmes motifs. Il
faut sévir sans arrêt. Mais bon, on ne s'en plaindra pas.
Patricia vient juste de sortir de sa
voiture et d'en extirper son frère par l'oreille.
« C'est sûr, ils ne comprennent
pas autrement ! »
Elle le propulse jusqu'à la porte
d'entrée à grandes claques aux fesses à travers son pantalon.
« Comme celui-là... N'est-ce pas
Robin ! Dit -t- elle, plutôt
amusée. Monsieur estime qu'il n'a pas besoin de mettre sa ceinture de
sécurité pour un si petit trajet ! Et bien je vais t'en donner moi de la ceinture et celle là tu
vas la sentir passer, je te le garantis ! »
Juste
à ce moment, Thérez Bellebourge, qui habite deux rues plus loin, passe au
ralenti, dans son increvable R21 Nevada. Elle klaxonne joyeusement pour saluer
ses nouvelles amies, partenaires de la soirée. Elle a déjà remarqué, dans son
rétroviseur, que son incorrigible Gérôme, à moitié assis à l'arrière à cause de
ses fesses en souffrance, lui grimace dans le dos en guise de petite vengeance
personnelle. Elle compte bien le lui faire payer un fois arrivés à la maison.
Toujours négligemment accoudée à la
portière, Edwige lui répond d’un geste amical de la main et, de l'autre,
allonge une deuxième claque à son mari qui n'a pas eu le réflexe, ou le temps,
de rendre son salut à madame Bellebourge.
« C'est juste un échantillon de ce
qui t'attend, on va régler ça sur tes fesses tout à l'heure ! Tu as besoin de réapprendre quelques règles
élémentaires de politesse mon ami ! »
Puis, se tournant à nouveau vers Gladys et
Patricia elle s'exclame avec enthousiasme en lançant des petits coups
d'accélérateur.
« Mesdames, cette fin de soirée
s'annonce pétaradante ! – Et d'ajouter en reprenant l'expression
d'un certain Peter pan fidèle correspondant du fameux Blog ''Une
bonne fessée '' qu'elle consulte régulièrement. « 'Ça va encore
chauffeeeeeer ! »
Elle repart dans un grand éclat de
rire, en démarrant brusquement comme si elle avait encore plusieurs kilomètres
à faire jusque chez elle, alors qu'elle habite juste en face. Freinage brutal
vingt mètres plus loin et coup volant à droite pour s'engager dans l'allée qui
mène à son garage, manquant au passage d'emporter la moitié de son portail,
heureusement plus large que la voiture. Edwige au tempérament de feu, conduit
comme elle fesse... A l'énergie.
Ni Edouard, pour les raisons que
l'on sait, ni Robin, qui, lui aussi, a mal répondu à sa sœur pendant le trajet
à cause d'une ridicule histoire de ceinture de sécurité, n'ont envie de rigoler
en entrant dans la maison. Leur sort est fixé. Ils savent que ça va encore
chauffer pour leurs fesses, malgré leur extrême sensibilité à tout
contact, après le cuisant passage chez Béatrice. Quel que soit le nombre de
fessées reçues auparavant, tout autre manquement à la discipline ou
comportement inadapté, est immédiatement sanctionné par une nouvelle
correction. Plus longue et plus sévère que les précédentes pour bien
sanctionner la récidive.
Ça n'a pas traîné. Après un passage
rapide dans le vestibule pour se débarrasser de leurs affaires, Edouard et Robin
sont priés d'aller préparer leurs fesses au salon en attendant l’énoncé des
motifs justifiant leur punition. Ils s'exécutent sans un murmure, avec
empressement même, espérant naïvement atténuer la sévérité de la punition par
ces marques de soudaine de soumission. Depuis le temps qu'ils se font claquer
le derrière, ils n'ont toujours pas assimilé que cette attitude servile ne fait
qu'agacer profondément les deux femmes, déjà naturellement peu enclines à la
clémence. Chaque correction, quelles que soient les circonstances, doit se
dérouler, sans concession, jusqu'à son terme avec toute la sévérité requise par
l'importance de la faute.
Le pantalon baissé, en accordéon sur
les chevilles, ils attendent, plantés au garde vous au milieu de la pièce, près
des tabourets à fessées. Obéissants aux nouvelles consignes plus astreignantes,
ils se présentent de dos, les reins cambrés au maximum pour mettre en valeur
leur volumineux fessier solidement culotté, prêts à l'emploi. A travers le
nylon transparent des slips, ils apparaissent encore nettement rouges des
tournées de fessées précédentes, distribuées lors de la fameuse réunion
'' Tupperware '' chez Béatrice Klakerspank.
Gladys et Patricia, détendues,
sourire aux lèvres, pénètrent au salon dans un joyeux claquement de talons
aiguilles. Puis, comme à chaque fois, c'est la description détaillée du
déroulement des sanctions. Elles ne commencent qu'après avoir obtenu des punis
leur aveu de culpabilité et l'acceptation des mesures disciplinaires qui
doivent être prises à leur encontre.
Gladys prend tout de suite la
direction des opérations. Elle a choisi
de prendre place sur l'accoudoir du fauteuil, plus confortable que le tabouret
à fessées et retrousse sa jupe en haut de ses cuisses. Ses boucles de
jarretelles métalliques brillent sous la lumière du lustre. Elle saisit son mari par le bras et l'attire
de force en travers de ses cuisses gainées de bas nylon noir impeccablement
tendus. Il s'y écroule en suppliant.
«
Ooooh … S'il... S'il te plaît... Gla... ladys...pas encore la... la
fess... la fess... la fessée !
– Comment ça pas encore la
fessée ? Depuis quand c'est toi qui décide maintenant ? Mais enfin
mon chéri, bien sûr que si la fessée ! Pour te punir de ton impolitesse.
Tu vas même en avoir encore une autre pour m'avoir mal répondu !
– Aaaah non, Pitié !
– Mais si, mais si ! Au point
où tu en es, tes fesses n'en sont plus à une près. Tu t'es fait astiquer le
derrière toute la journée, et bien maintenant je vais te les faire
reluire ! »
Patricia, restée debout à côté de sa
mère, a retroussé sa jupe de tailleur jusque sur ses hanches et saisit son
frère par les cheveux. Il essaye bien de résister un peu mais elle est plus
forte que lui et réussit, sans effort, à le courber en deux en lui appuyant sur
la nuque. La lutte est inégale. Elle n'a aucune difficulté à lui coincer la
tête entre ses cuisses qu'elle resserre avec force pour l'immobiliser. Le
revers rêche de ses bas nylon crisse sur ses joues. Les bras passés sous son
ventre elle le soulève plusieurs fois en écrasant son cou sous son propre
fessier, l'obligeant ainsi à fléchir sur les jambes et projeter son derrière en
l'air. Il s'épanouit de lui-même développant une vaste surface pleinement
exposée. C'est la position que Patricia adore utiliser pour administrer les
fessées au martinet ou à la ceinture dans les meilleures conditions
d'efficacité.
Gladys de son côté prépare
tranquillement la nouvelle fessée de son mari qu'elle à pris le temps de bien positionner
sur ses cuisses, la tête au ras du sol, les fesses tendues, relevées à la bonne
hauteur. Elle les tapote, les fait rebondir dans sa paume et d'un geste naturel
plonge une main dans son slip pour prendre possession de ses fesses en les
palpant sous le nylon.
« Hummmm ! Voilà une paire de fesses bien ferme et en
pleine forme qui a bien profité des fessées de la journée. Elles sont même
encore chaudes de la petite dernière. Je les sens tout à fait apte à reprendre
du service pour en recevoir une nouvelle ! Le ton se fait soudain
plus dur. L'ordre fuse.
« Tends les bien pour que je
les déculotte !»
D'un geste sûr, elle fait coulisser
son doigt en va et vient sous l'élastique de son slip qu'elle descend avec
dextérité jusqu'au milieu des cuisses. L'humiliant cérémonial du
déculottage avant une fessée est un excitant moment à savourer. Elle prend
tout son temps en continuant à faire la leçon. Le ton est professoral.
« La séance chez Béatrice n'ayant
pas donné les résultats escomptés sur le comportement de ces messieurs, une
sérieuse fessée de rappel s'avère indispensable. Vu l'état de leurs fesses, elle s'annonce
particulièrement cuisante... Et c'est ce qu'il faut !
– Surtout avec une fessée à- la- ceinture ! »
Surenchérit Patricia d'un air guilleret comme si elle annonçait une bonne
nouvelle. Robin, courbé en deux, la tête coincée entre ses cuisses, couine sa
misère en pleurnichant.
« Ah non Patricia ! Pi...
Pitié ! Pas... pas la fessée
déculottée ! J'ai encore trop mal aux fesses !! »
Insensible à ses supplications, elle
le déculotte bien lentement et se redresse au-dessus de lui. Cambrée sur ses
quinze centimètres de talons aiguille, elle le maintient fermement en position,
la tête broyée dans l'étau de ses cuisses, dont elle frotte le nylon sur ses
joues. Un avant-goût de ce qui attend ses fesses pourtant encore enluminées de
la belle rougeur enveloppante des fessées précédentes.
Elle déboucle sa large ceinture brillante et
la fait glisser autour de sa taille. L'ami Robin ayant refusé de mettre la
sienne dans la voiture, elle va lui faire une petite démonstration de l'effet
que ça fait sur une paire de fesses déculottées. Elle la plie en deux dans la
longueur et la fait plusieurs fois claquer cuir contre cuir. Elle choisit ce genre
de ceinture pour son efficacité à fesser. Un côté en cuir mat pour bien
chauffer le derrière et l'autre vernis pour son superbe claquant. Ce qu'elle
appelle avec vice : '' La fessée double face''. Après une raclée avec
ça... Supporter un slip de nylon devient un calvaire. Surtout les fameux slips
à fessée si étroitement ajustés ! Quant à imaginer s'asseoir, la simple
vision d'une chaise fait frémir d'horreur les derrières les plus endurants.
« Prête ma
chérie ? »
Déclare Gadys d'un ton solennel, comme pour
donner le départ d'une compétition sportive. Elle tient sa main en l'air, très
haut au-dessus de sa tête pour une prise d’élan maximum avant de partir à
l'assaut du gros fessier rebondi de son mari qui pleurniche déjà au-dessus du
carrelage, avant même que la danse ait commencé.
« On y va quand tu veux maman !
Amplifiées par la résonance du
carrelage, les deux fessées claquent en même temps, et, accompagnées des pleurs
et lamentations des victimes, envahissent aussitôt tout l'espace sonore du
salon
Patricia a raffermi la pression sur
les joues de son frère, pour lui fait cambrer les reins davantage et l'obliger
à mieux présenter son postérieur. Elle démarre la fessée en trombe, sans tour
de chauffe ni préparation, et fait immédiatement claquer la ceinture à toute
volée d'une fesse à l'autre.
Gladys, quant à elle, préfère les
belles sensations fortes que procurent les fessées déculottées à la main.
Pesant sur les reins de son puni pour lui maintenir le postérieur, bien en
place elle lui allonge une magistrale fessée qu'elle lui claque à la volée d’une
fesse à l'autre. Il trépigne en larmes en tapant des mains par terre et hurlant
instantanément de douleur.
Non contente de le fesser, elle ironise en appuyant
les claquées à pleine main pour bien sentir ses fesses chauffer sous sa paume.
« Alors mon petit chéri... Heureux
d'être rentré à la maison ? Pile à l'heure pour la fessée avant d'aller au
lit ! »
Ceinture côté vernis, Patricia,
s'applique à tirer le meilleur rendement sonore du derrière déculotté de son
frère qu'elle maintient fermement dans l'étau de ses cuisses serrées. Ça claque
merveilleusement bien. Le souffle court, elle accompagne le mouvement de va et
vient du cuir, de petit ''han !'' d'incitation à taper fort. Robin y
répond en cadence par des plaintes larmoyantes.
– « Cesse de pleurnicher comme une
mauviette ! Ironise-t-elle à son tour.
Et pour le faire taire, elle claque
encore plus fort le fessier qui, aussitôt, se met à lancer des ruades comme un
cheval cravaché à la croupe. Telle une dompteuse, elle resserre les cuisses
autour de son cou pour le maintenir en position et continuer à le corriger à
son aise.
« Oh tu peux gigoter autant que tu
veux mon cher, je vais te claquer ta fessée pleine et entière jusqu'au bout. Tu
vas voir comme on s'endort vite les fesses rouges et bien cuisantes après une
bonne déculottée ! »
Sûre de sa force et de son autorité,
Gladys fesse avec naturel tout en faisant la conversation.
– « Alors... On la sent sa fessée
comme elle cuit bien le derrière ? Mon pauvre chéri, ça fait mal n'est-ce
pas !
– Oh oui Gladys, ça fait mal !
S'égosille Edouard entre deux hoquets. Tu fesses fort ! Ça cuit ! ça
cuit !! Arrête s'il te plaît, ça fait trop mal !
– Tu plaisante mon ami ! Une
bonne fessée ça doit claquer très fort pour faire très mal et servir de
leçon ! »
Et elle continue sans ralentir la
cadence ni diminuer la puissance des claques.
Robin, agrippé aux cuisses de sa
sœur pour ne pas tomber à genoux, commence à suffoquer dans ses larmes sans
pouvoir s'empêcher de tortiller frénétiquement du derrière sous la terrible
correction à la ceinture. Le regard fixe, concentrée sur ses fesses rouge vif, Patricia
accompagne sa fessée du frottement de ses bas nylon sur ses joues brûlantes. La
fessée devient tellement cuisante que le malheureux en sueur, pleurant, bavant,
saute sur place de douleur. Ce qui à pour effet de projeter en l'air son gros
postérieur que la jeune femme cueille tranquillement au vol à chaque
rebondissement. Epuisé, à bout de résistance, il commence à lâcher prise. Il
pleure à chaudes larmes, ployant sous la pression du lourd fessier qui pèse sur
sa nuque pour le maintenir en place. Il déteste ces bas nylon et ces
jarretelles élastiques dont le crissement continu lui met les joues presque
autant en feu que les fesses. Il déteste aussi sa soeur qui prend un malin
plaisir à lui claquer les fesses dans cette position aussi humiliante.
Les deux femmes fessent en cadence
et le claquement continu des deux derrières est si retentissant qu'il résonne
jusque sur le trottoir, par la fenêtre volontairement ouverte. Quelques
passantes intéressées, s'arrêtent un instant pour écouter les sanglots longs
des fessiers en pénitence, et repartent en souriant. Le bruit est tonitruant,
et Gladys comme Patricia, n'entendent à aucun moment la cadence infernale d'une
autre fessée, pourtant tout aussi forte. Celle qu’Edwige administre au même
moment à son mari, fenêtre ouverte aussi, de l'autre côté de la rue. Il faut
croire que le carnet de punition de Stephen ne doit pas être encore à jour
malgré une journée entière de recadrage. Le son clair et crépitant, laisse
entendre à l'évidence qu'il s'agit aussi d'une furieuse fessée déculottée comme
la sévère épouse a l'habitude de lui administrer. Elle aussi, comme Gladys,
adore sentir la chaleur montante du postérieur qu'elle corrige imprégner
progressivement la paume de sa main. Encore un mari indiscipliné qui allait
mettre du temps à retrouver la position assise et remettre un slip.
Deux rues plus loin, Gérôme, lui
aussi, allongé, kilt retroussé, slip aux cuisses, sur les genoux de Maman
Thérez, pleure tout ce qu'il lui reste de larmes de son corps, sous l'effet
prolongé d'une nouvelle fessée déculottée. Ses pitreries dans le dos de sa mère
à l'arrière de la voiture ne sont pas passées inaperçu. Sa sœur debout bras
croisés, petit sourire aux lèvres à côté d'eux, attend patiemment son tour pour
un deuxième service, lorsque la main de maman aura atteint son seuil
d'inefficacité. A force de se faire claquer le derrière, Gérôme, comme tous les
autres garçons et surtout les maris de ces Dames, l'ont particulièrement
rebondi et endurant. Comme dit souvent Edwige avec sa verve habituelle, en
déculottant son mari pour une correction en règle.
« On ne va tout de même pas se
gêner. Ils ont de vrais cul à fessées, qui attirent les déculottées comme la
confiture les abeilles ! »
Ce soir-là, après une journée
continue de stricte discipline, ces messieurs et jeunes gens, eurent beaucoup
de mal à s'endormir. Impossible pour eux de supporter le moindre tissu sur les
fesses, pourtant généreusement pommadées et huilées après usage. Allongés sur le ventre, le pantalon de pyjama
baissé, ils cauchemardèrent toute la nuit. Se revoyant en larmes, chez Béatrice
Klakerspank, déculottés successivement par chacune de ces dames et passant sur
leurs cuisses, le derrière claquant et cuisant sous les fessées.
calvaire continuait même en dormant.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici le chapitre 22 de la saison 2
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerQuel retour de soirée !!!
A défaut d'une tisane pour s'endormir, ces Dames dégustent une dernière lippée de... fessées !! Point de "tournée des Grands Ducs !!"
Leurs hommes ne sont pas très malins, non plus. Mais c'est le clou du récit.
Astucieuse, l'allusion à un certain "Peter Pan". Au fait, vous le connaissez ? Rires.
Même Gérome vocalise sur les genoux maternels !!! Et si Grande Sœur va officier sous peu, le concert sera un triomphe !!!!
Eh encore, il n'y a pas son hypocrite de cousin Rodolphe, dit Roro, pour les intimes. Quel cafteur, celui-là !!!!
Mais Mam'e Térèze n'a pas dit son dernier mot. Et Gérome, non plus !
Ca promet...
Amicalement. Peter.
Bonsoir, Peter.
RépondreSupprimerOui je le connais un peu le Peter, nous correspondons régulièrement sur le site " Une bonne fessée" que ces Dames fréquentent régulièrement. Normal pour bien fesser, on se documente.
L'arrivée de tante Clarisse ne va faire qu'amplifier la donne au détriment de son fils Rodolphe, le cousin faux jeton, qui va finir par prendre cher! Il était grand temps de rétablir un semblant de justice! Parce que la tantine, attention, c'est du lourd ! Elle n'a rien à envier aux autres fesseuses.
Mais bon, patience, c'est pour la semaine prochaine...
j'ai oublié!!!
RépondreSupprimerAmicalement.
Ramina