lundi 7 octobre 2019

Les rebelles - chapitre 16

Pour cette rentrée de Septembre, trois nouveaux professeurs prennent leur poste à Ste CROIX :
  •          François F. est notre nouveau professeur de philosophie et prend en plus, le rôle de professeur principal en remplacement d’Aline F., partie en congés maternité, qui ne se consacrera qu’à son cours d’informatique, à son retour, en Janvier prochain,
  •         Alain L. est notre nouveau professeur de Français,
  •         Yulia N., à peine plus âgée que nous, est une intervenante russe en langue vivante deux, pour les élèves et étudiants ayant choisis cette option à leur examen,

·        Sandrine R., une autre professeure de l’établissement, prend la section d’informatique en attendant le retour d’Aline F.
Les trois nouveaux professeurs François F., Alain L. et Yulia N. nous sont présentés par la proviseure. Après le bref discours d’intronisation, les trois professeurs nous font, de prime abord, bonne impression, mais connaissant les conditions de recrutement de l’établissement, ils auront à cœur de tenir leurs étudiants dans la droite ligne de conduite de l’école et d’obtenir les bons résultats attendus.

Lors du premier cours avec chacun des trois nouveaux professeurs, le ton est donné d’emblée, ils exigent que le meilleur de nous-même soit donné, que l’autorité doit être respectée en toutes circonstances, que tout manquement donnera lieu à des punitions tel que décrit dans le règlement interne et qu’il n’y aura pas de justice à deux vitesses, tous les étudiants seront traités de la même façon. Nos craintes s’avèrent fondées et nous nous rendons compte que les nouveaux professeurs ont bien été briefés par la proviseure. L’assouplissement du régime n’est pas d’actualité !
Yulia N., bien plus jeune que ses autres collègues, est le stéréotype de la russe stricte, telle que j’en croise au poste de douane aux aéroports en Russie. Sportive, élancée, le visage fermé, les cheveux tirés en queue de cheval et le regard gris et perçant. Le style de jeune femme que l’on n’a pas envie d’aller embêter.
Les premières réunions entre professeurs et proviseure ont lieu assez tôt, car les nouveaux doivent être mis au courant des points forts et points faibles de chaque étudiant. Il n’y aura pas que les notes qui seront analysées, la discipline sera également évoquée, car pour repérer les comportements dissipés, rien de tel que l’examen des dossiers et du compte-rendu des conseils de discipline et d’en discuter avec ses collègues.
Les premiers cours avec les nouveaux professeurs sont toujours l’occasion de remettre les compteurs à zéro. De montrer au professeur son niveau et de faire bonne impression. Avec le discours d’intronisation tenu, il vaut mieux être dans les petits papiers des professeurs plutôt que sur leur liste noire.
Dans son cours, François F. souhaite aborder des sujets de controverses afin de favoriser la discussion entre nous et d’enrichir notre vision de notre environnement. Le premier sujet abordé sera « l’interdiction de la fessée dans la société », car il a lu dans nos dossiers que certains étudiants en avaient reçues plus d’une et en public. Il nous demande donc de donner notre avis sur le sujet avec tous les éléments permettant un débat sur ce fait de société. Avant de clôturer le cours, il nous dit que ce sujet n’a pas été donné au hasard, ce qui nous laisse tous un peu perplexe. Le texte sera ramassé la semaine suivante et commenté en plénière avec les différents arguments exposés par chaque élève. Après le débat, les copies seront notées avec leur contenu, bien évidemment, mais la pertinence des arguments et contre-arguments durant le débat sera une composante importante de la note finale.
La plupart des exposés de la section tournent autour du complet accord pour l’abolition de la fessée dans la société pour les adultes, car nous nous jugeons trop âgés pour la recevoir, lorsque celle-ci est appliquée en public, l’humiliation ressentie est trop grande et suite à celle-ci elle perdure de nombreuses années. Je termine mon exposé par le fait que la fessée peut être salvatrice, car l’ayant reçue, mon attitude s’est améliorée, mais que d’autres méthodes auraient pu être employées pour un résultat similaire.
D’autres étudiants, n’ayant jamais ou rarement reçu des fessées, sont tout à fait pour que les corrections corporelles perdurent, car elles sont données dans les cas les plus graves et viennent marquer le corps et l’esprit des contrevenants, ce qui les force à réfléchir et à respecter les règles. Le respect est l’une des bases pour la vie professionnelle et sociale. Ils ajoutent que le spectacle donné par ces jeunes adultes humiliés par la nudité, se contorsionnant et hurlant sous les claquements sonores des lanières sur leurs chairs est souvent un bon moyen pour les observateurs de constater ce à quoi ils s’exposent s’ils venaient à transgresser les lois imposées. Certains étudiants, voulant être politiquement correct dans leur devoir, terminent pas le fait qu’ils aiment assister à ces corrections, car ça leur permet de se rafraîchir la mémoire en ce qui concerne la désobéissance mais on peut comprendre de façon subliminale, que de voir des étudiants corrigés, surtout du sexe opposé, leur procure du plaisir, voire une jouissance.
Le matin du débat, les idées sont passablement affûtées dans chaque camp, car le sujet est brûlant, surtout à Ste CROIX. Chaque étudiant souhaite mettre en avant ses arguments dans telle ou telle direction, car certains pensent que peut-être, avec les retours, le règlement intérieur pourrait être assoupli, c’est une idée qui germe dans l’esprit de certains étudiants ayant déjà goûté aux morsures des lanières des fouets en public.
En ce qui me concerne, ma dernière flagellation publique est encore très fraîche dans ma mémoire et ma fierté a été mise à mal et malgré le fait que plusieurs semaines soient déjà passées, certains élèves ou étudiants, me reconnaissant, rigolent ou font des remarques très désobligeantes sur mes contorsions impudiques exhibant largement mes parties intimes et des jugements sur mon corps : mon pubis entièrement épilé, mes fesses rebondies qui étaient bien marquées, mes larges aréoles et mes tétons dressés sous l’effet de la honte. Certains élèves, plus jeunes que moi, se moquent et me jettent à la figure que je méritais en plus de la fessée, des fouettées sur le dos et sur les seins ! ce à quoi je préfère ne pas répondre pour ne pas risquer de déraper une autre fois, mais avec ces remarques odieuses, je sens mon visage s’empourprer, mon menton trembler et les larmes me monter aux yeux.
Les premiers échangent sont de suite assez vifs, car chacun défend sa vision. François F. tente de calmer tout le monde, car tout le groupe parle en même temps, la cacophonie règne dans la séance. Lorsque le calme est enfin revenu, les échanges reprennent et chacun doit se maîtriser pour exposer ses thèses les plus pertinents et tenter de donner des antithèses aux arguments énoncés par chacun des pro ou des anti corrections corporelles.
Lors de son exposé, Adilson prend en référence la fessée que j’ai reçue il y a quelques semaines et finit par dire que ça m’a fait le plus grand bien car cette punition en public m’a calmée et il juge que j’en avais grand besoin. Etant maintenant plus docile, il estime que le conseil de discipline a eu raison de me condamner à cette correction. Cet argument me transperce littéralement et me laisse sans voix, par sa méchanceté à mon égard. Il sait pertinemment qu’il est le principal responsable de ce qui est arrivé et avec cet argument, il rejette la faute sur moi pour me rabaisser, une nouvelle fois. Quelques filles lui disent qu’il a eu tort de m’attaquer sur ce sujet, car l’humiliation a été grande pour moi, ce qui fait sourire Adilson en me regardant.
François F. me demande si j’ai des contre arguments à répliquer. Etant dans un état de stress, je bafouille quelques remarques sur ce que j’ai vécu et qu’il sait fort bien qu’il m’a forcé à sortir de mes gonds pour me pousser à la faute et c’est justement ce type d’erreur des membres du conseil que je souhaite empêcher avec ma thèse sur l’abolition de la fessée, car même si la punition est reconnue injuste, après coup, il est trop tard pour se rattraper.
Sur mes propos, François F. fait taire tout le monde et vient vers moi, puis d’un air sévère, il me pose la question sur mes paroles envers l’erreur de jugement du conseil de discipline que je viens de dénoncer ! Le professeur trouve inacceptable mes accusations sur une décision du conseil de discipline. Il juge que tous les éléments étaient réunis pour prendre la meilleure décision que le conseil sait impactante pour l’étudiant, et non pris à la légère, comme j’ai l’air de l’insinuer. Il est tout à fait déplacé de ma part de remettre en question un verdict.
Comme le cours est presque fini, François F. demande à Fabienne D. de venir dans sa salle de cours, car une de ses étudiantes critique en public une décision prise en conseil de discipline. Je rougis, car mon professeur a très mal pris ma remarque, mais celle-ci me touchait tellement que je n’ai pas pu faire autrement que de l’exprimer. Je me rends compte qu’involontairement, j’ai remis en question l’autorité des membres du corps enseignant et d’une façon sous-jascente, je les ai traités d’incompétents ! Ce sous-entendu n’est pas passé inaperçu par François F.
Lorsque la proviseure arrive dans la salle, François F. me présente comme la responsable de la critique. Fabienne D. me toise et exige des excuses, car le conseil est une haute autorité qui est impartiale. D’une petite voix, je présente mes excuses à la proviseure, mais qu’il n’en reste pas moins que le conseil s’est trompé. Fabienne D. me traite de « jeune insolente » et qu’elle va m’apprendre à respecter le corps enseignant de cet établissement.
Elle m’ordonne de retirer immédiatement mon jean et ma culotte, car je vais recevoir une fessée devant toute la classe. Avec cet ordre, je me rends compte que je suis allée trop loin et que je vais devoir le payer, j’ai l’impression que le ciel me tombe sur la tête. Les garçons ont déjà le sourire aux lèvres, en écoutant ce qui va m’arriver. Adilson est aux anges, car après ça, je n’oserais plus jamais remettre en question ses accusations.
D’une voix que je souhaite la plus inaudible possible pour les autres élèves, surtout des garçons, j’explique à la proviseure que j’ai ma période et qu’il serait très inconvenant de retirer ma culotte. Fabienne D. dit à haute voix que ce n’est pas parce que j’ai mes règles que je vais échapper à la fessée. Ce n’est pas un critère de report d’une punition. Les élèves rigolent de la réplique de la proviseure, ce qui augmente mon humiliation et me fait rougir davantage. Quelques larmes coulent sur mes joues, car mon émotion est trop forte. Elle réitère l’ordre que je retire mon jean et ma culotte immédiatement. Doucement, je déboutonne mon jean que je retire puis je descends et je retire ma culotte en prenant soin de laisser la chemise pendre afin de masquer, comme je peux, mon pubis aux élèves. Je souhaite en montrer le minimum, car je suis déjà assez humiliée comme ça d’être le bas du corps nu devant la classe et surtout devant Adilson, qui va encore se régaler. J’enrage intérieurement de lui faire ce plaisir !
Fabienne D. me dit de me pencher sur le bureau de mon professeur et d’écarter les cuisses, le haut du corps allongé sur la table. Je pose mon torse sur le bureau, mais je reste les cuisses serrées et je me cramponne aux rebords du bureau, car je sais que je vais souffrir. Un premier coup de martinet me fait crier et me raidir puis Fabienne D. me dit que j’ai oublié d’écarter les cuisses. Je l’implore de me laisser dans cette position. Une seconde cinglée pour me contraindre d’obéir. Fabienne D. me dit que ces fouettées sont en plus de ma punition qui ne commencera vraiment que lorsque j’aurais les cuisses écartées. Ne pouvant faire autrement, j’écarte les cuisses et comme je m’y attendais, les élèves éclatent de rire, aussitôt, j’éclate en sanglots et j’imagine la parfaite vue de mes camarades sur ma fente entrouverte exhibant mes grandes lèvres, l’entrée de mon vagin par lequel pendouille le cordon de mon tampon et le tout surmonté de mon anus.
François F. tente de rétablir le calme dans sa classe, car d’autres pourraient me remplacer s’il y avait une situation de désordre.
Fabienne D. annonce à toute la classe et à moi en particulier qu’elle va m’apprendre le respect. A toute volée, elle me cingle les fesses. En me cramponnant fermement à la table, j’encaisse les cinglées en me raidissant, en contractant mes muscles au maximum et en gémissant. A la sixième cinglée, je hurle de douleur, les mains en protection, car le feu irradie mes fesses. J’implore le pardon, mais c’est une autre cinglée sur le haut des cuisses que je reçois en guise de réponse et la proviseure m’ordonne de retirer mes mains sous peine d’augmenter le nombre de cinglées. Je reprends place sur le bureau mais les fouettées suivantes me brûlent et je tombe à genoux en disant que je n’en peux plus. C’est François F. qui vient me relever et il me remet en position. Les morsures des lanières me font l’effet de barres brûlantes posées sur ma chair. Le regard brouillé par mes larmes, je ne sais plus comment me mettre pour résister à l’intense douleur. Plus les fouettées s’enchaînent, plus je sens que ma cyprine coule, car le feu, irradiant mon bassin, a déclenché en moi une réaction comparable à la jouissance. Vue de derrière, les spectateurs doivent forcément s’apercevoir que mon entrecuisse est humide ! Quelle humiliation ! Je vais passer pour une fille qui jouit lorsqu’elle se fait fesser !
En guise de fin de correction, Fabienne D. me cingle l’intérieur de chaque cuisse, là où la peau est la plus fine, ce qui me fait rugir de façon stridente et me retourner face à mes camarades, suppliant d’arrêter. Finalement François F. me prends les mains et me force à rester allongée sur son bureau. Les derniers claquements sur les cuisses m’arrachent des hurlements déchirants, à gorge déployée, mes pensées sont uniquement concentrées sur ma douleur.
Lorsque François F. me lâche, je ne cherche plus à lutter, je m’effondre à genoux en redemandant pardon à la proviseure, sans qu’elle ait besoin de me le demander, preuve de ma soumission à la responsable de l’établissement.
Durant la fessée, François F. observe le comportement des élèves et se rend compte que ce spectacle déclenche des réactions diverses dans la classe. Que les étudiants soient pour ou contre la fessée, l’intérêt qu’ils y portent est le même, c’est-à-dire le plaisir à regarder une camarade se faire corriger.
Certaines filles n’hésitent à se caresser, souillant ainsi leur culotte, pensant que personne ne les voit, d’autres, comme mes amies, bien que très excitées, n’en font rien paraître, en respect ma souffrance.
Pour les garçons, la bosse dans leur pantalon révèle une excitation profonde, même si aucun d’entre eux n’a eu le culot de se masturber, bien que certains, les mains sous la table se frottent discrètement.
Même François F. n’est pas vraiment à son aise, debout en regardant les lanières du fouet me marquer le bas du corps. De plus mes ruades impudiques ne faisaient qu’amplifier l’excitation des spectateurs, dont François F. fait partie. En fin de correction, face à moi, derrière le bureau, en me tenant les poignets, il était plus à l’aise pour dissimuler son excitation. A sa poigne ferme, il m’empêche de me débattre et de me relever.
La proviseure range son long martinet et me dit que je vais rester les fesses à l’air toute la journée. Je viendrai récupérer mon jean et ma culotte juste avant de partir. Nouveau coup dur pour moi. Non seulement, j’ai reçu une sévère fessée devant mes camarades, mais en plus je vais être la risée de toute l’école, une fois de plus, car les cours ont lieu dans différents bâtiments et je devrais traverser la cour à plusieurs reprises. Fabienne D. ajoute qu’en me confisquant mon jean et ma culotte, elle me fait une faveur, car elle aurait pu me faire passer la journée entièrement nue. Je la remercie de cette faveur, mais intérieurement, je lui en veux terriblement de m’infliger cette punition supplémentaire.
Après le départ de la proviseure, François F. me relève et me ramène à ma place. L’arrière train en feu, j’avance à petit pas, les cuisses écartées, pour ne pas trop souffrir par le frottement des cuisses. A peine assise, je pousse un hurlement, car le contact avec une partie solide me fait trop mal. François F. me permet de rester debout, sur un pupitre de bois, près de son bureau. Je fais mon possible pour me courber un peu en avant afin de faire pendre ma chemise et de masquer mon pubis le plus possible, mais mon entrecuisse est tout de même visible. Je m’en rends compte aux regards des garçons et je m’en veux d’avoir mis cette chemise si courte. Cinq minutes plus tard, la fin du cours est annoncée.
François F. demande à Léa, la déléguée de classe, de m’accompagner à l’infirmerie pour quelques soins. Léa et moi sortons après tous les autres étudiants. Je demande à Léa pour aller aux toilettes, car j’ai une envie pressante suite à l’émotion et à la douleur de la correction. En entrant, les trois cabines sont prises et en entendant de longs soupirs à l’intérieur, nous devinons ce qu’il s’y passe. Surement des filles de ma classe venues se soulager après l’excitation de ma fessée. C’est une humiliation supplémentaire que d’être l’objet du plaisir d’autres filles dans la mesure où le bas de mon corps est en feu. Léa me dit que nous trouverons des toilettes à l’infirmerie.
A peine sortie du bâtiment, j’ai juste de temps de me cacher derrière un arbre, et je me laisse aller à uriner sans pouvoir me retenir. A ce moment-là, des élèves sortent de leur classe pour aller au réfectoire. Reprenant des couleurs de honte sur les joues, je crie de surprise en les voyant arriver en se moquant de moi. Voyant ma réaction, Léa se place devant moi pour tenter de me cacher un peu, le temps que je finisse. Une longue flaque d’urine macule l’endroit où je suis. Le professeur de la classe qui sort me réprimande, me traite de fille dégoûtante ! Léa a tout juste le temps de lui dire que les toilettes étaient prises, évitant qu’il n’aille se plaindre auprès de la proviseure. Lorsque le professeur voit mes fesses, il comprend mieux mon état.
Sous les moqueries des élèves, nous atteignons l’infirmerie où je suis prise en charge par Laetitia F., notre infirmière, qui me dit que j’accumule les fessées ces derniers temps ! Il serait largement temps que je me calme, car sinon, l’année scolaire sera longue ! En regardant l’état de mes fesses et de mes cuisses, elle me dit que ce n’est pas grave. La douleur est toujours très intense, mais d’ici 2 à 3 jours il n’y paraîtra plus. Dans la mesure où les lanières sont venues cingler le haut de l’intérieur de mes cuisses, Laetitia F. m’ausculte la vulve et les grandes lèvres pour vérifier si elles ont été touchées. J’ai encore droit à une palpation très intime, ce qui me vexe terriblement, car je commence à croire qu’elle prend plaisir à humilier les étudiants ! Mais je n’ose rien dire, de peur d’être encore dans le collimateur de la proviseure. De la crème appliquée sur les fesses, sur les cuisses et sur mon entrecuisse, pour calmer le feu irradiant, recoiffée, de l’eau fraîche sur le visage pour me donner meilleure allure et je suis autorisée à aller manger. Léa m’accompagne à la cantine.
D’abord rétissante à m’exhiber dans cette tenue à la cantine, Léa me dit que je ne suis pas la première à aller manger les fesses nues. Avec ma chemise qui arrive à mi fesses, la vue est très légèrement atténuée, quoi que ! Je suis définitivement obligée de pénétrer dans le réfectoire lorsque François F. arrive derrière moi et me pousse pour entrer. Je lui lance un petit regard effarouché auquel il répond par un sourire... Je suis accueillie avec des rires et des moqueries. Mes mains en protection du pubis, je me dirige pour prendre un plateau. Léa et François F. sont juste derrière moi, je ne peux plus reculer. Les deux mains tenant mon plateau, je suis obligée de découvrir mon sexe et je sens converger sur lui tous les regards des garçons. Moment de grande solitude pour moi où j’aurai préféré être loin d’ici. Je pense que mon visage ne dérougit pas, tant je suis humiliée. N’ayant pas très faim, je prends un plat et une petite entrée et Léa et moi allons dans un coin où se trouvent déjà Iourievna et Olga, qui m’accueillent dans leurs bras, tristes pour moi de ce qui m’arrive. Ne pouvant m’asseoir, nous allons manger debout sur une table haute, seule position qui me convient. Je passe le repas tête baissée, ne voulant surtout pas voir tous les regards et les visages hilares des élèves alentour. Nous mangeons assez rapidement, car je n’ai pas trop faim. Mes fesses me brûlent toujours et je ne cesse de me tortiller.
En passant près de nous, François F. nous dit d’aller ranger notre plateau et de filer en cours, pour ne pas risquer d’être en retard pour le premier cours de l’après-midi. Au programme, Anglais avec Suzan W., Français avec Alain L. et Economie/Droit avec Martial P. Je sais que je vais devoir être au premier rang, sur le pupitre devant toute la classe et les professeurs ne vont surement pas être cléments avec moi.
Durant les cours de l’après-midi, le bas du corps nu et les fesses en feu, je fais sensation parmi mes camarades et autres élèves que je croise. Alain L. et Martial P. n’hésitant pas à soulever le bas de ma chemise pour admirer de près le résultat de ma fessée du matin, en commentant l’état de mes fessiers. Ma chemise soulevée fait apparaître davantage mon pubis à l’ensemble de la classe que je tentais de cacher à tout prix.
A l’heure de partir, je vais récupérer mes affaires chez la proviseure, qui me remet une couche de sermon. Tête basse, j’écoute sans rien dire. A la fin de son discourt, Fabienne D. me jette mon jean et ma culotte à la tête en me disant que la prochaine fois, ce sera le conseil de discipline et ce sera une correction corporelle, nue, devant toute l’école. Enfilant juste mon jean, je grimace lorsque je dois boutonner le haut. Chaque pas réveille les brûlures. Accompagnée d’Olga de de Iourievna, nous rentrons par les transports en commun. Mes deux amies me souhaitent bonne soirée tout de même.
En entrant à la maison, je suis accueillie par Papa qui me dit qu’ils ont reçu, via la messagerie PRONOTE de Ste CROIX, l’information stipulant que j’ai été fessée pour avoir discrédité les membres du conseil de discipline. Il me dit que ce n’était pas intelligent de ma part, car même si à l’origine, ce n’était pas de ma faute, il n’en reste pas moins que j’ai giflé Adilson et rien que pour ça, je méritais la fessée que j’ai reçue et il n’y avait pas à faire passer les membres du conseil pour des incapables, en cours, aujourd’hui. Je m’excuse de mon attitude, car à présent, je sais que ce n’était pas intelligent, j’étais fâchée et les paroles sont sorties toutes seules. A ce moment-là, Maman arrive et me regarde mais son regard veut tout dire. Papa m’envoie dans ma chambre et me dit de faire mes devoir et de prendre ma douche avant le repas. Sans me faire prier, je fais ce qu’ils me demandent. L’eau fraîche de la douche apaise un peu la cuisson de mon arrière train. C’est un peu remise que je descends pour le repas.
Durant tout le repas, où je ne cesse de me tortiller d’une fesse sur l’autre, mes parents me répètent qu’ils ne sont pas fiers de moi et mon avenir est peut-être compromis à Ste CROIX. Papa me dit que deux fessées publiques en si peu de temps. La proviseure est furieuse contre moi et il la comprend. Je suis une bonne élève et tout ce que je trouve à faire, c’est de gâcher tout ça ! Papa dit à Maman que demain soir lorsque je rentrerai, elle me donnera une seconde fessée à la ceinture, car si c’est ça qui me fasse obéir, et bien, je vais goutter aux caresses de la lanière. Aujourd’hui, mes fesses sont encore trop rouges pour la seconde, mais demain, ce sera parfait. A présent, toute punition à l’école sera suivie d’une seconde à la maison. Cette condamnation me remue, car je pensais en avoir fini avec la fessée et bien, non, je vais en reprendre une autre.
Dès le lendemain, j’ai une boule à l’estomac. Non seulement je suis moquée par les élèves de l’école et par mes camarades de classe, mais en plus, je sais, qu’en point de mire, il y aura cette seconde fessée qui m’attend à la maison, dès mon retour. Durant la journée, Fabienne D. vient me voir et me dit qu’elle a reçu un mail l’informant de la fessée à recevoir. Fabienne D. est heureuse de voir qu’il y a des parents qui se soucient de l’éducation de leur enfant. Cette seconde fessée va m’apprendre à réfléchir avant de faire n’importe quoi. En guise d’au revoir, Fabienne D. me dit qu’elle souhaite que je mûrisse un peu et que je ne m’en porterai que mieux.
Le soir, en rentrant à la maison, après avoir laissé mes deux amies à l’arrêt de bus, je me prépare à la tannée qui m’attend. Vers dix-huit heures, dès que j’entends la porte d’entrée s’ouvrir, je sais que Maman est arrivée et que je vais y passer. En effet, Maman entre dans ma chambre et me trouvant à mes devoirs, elle vient me trouver en me demandant de cesser et de me mettre nue, car il est temps que je paie mon attitude de la veille. Moi qui pensais qu’avec le temps, elle aurait renoncé, et bien non. C’est résignée que j’ôte tous mes vêtements et que je descends dans la salle de séjour. Maman a déjà sorti la longue ceinture de cuir. En bas de l’escalier, je me mets à fondre en larmes à la seule vue de la lanière. J’attrape la chair de poule et mes tétons se dressent sous l’émotion intense et de l’imminence de la fessée. Je lui demande pardon pour mon attitude envers le conseil et en retour, elle me répond qu’elle s’en doute.
Presque machinalement, je me penche en avant en appui sur le dos de la banquette, les fesses offertes. Je redoute déjà la première cinglée, car mes fesses et mes cuisses sont encore sensibles de la fessée reçue à l’école. Malgré son manque d’habitude à utiliser le fouet, les cinglées me font sursauter et crier. Je me cramponne au dossier pour résister à la douleur qui irradie rapidement dans mon bassin. Prenant de l’élan pour me cingler et en manque de précision, les fouettées claquent n’importe où, me faisant taper des pieds et tenter de me protéger avec mes mains, qui sont elles aussi visées par la lanière. J’ai beau dire que la douleur est trop forte, Maman va jusqu’au bout de ce qu’elle a planifié. Mes cris se transforment en hurlements lorsque la lanière claque sur mes hanches ou sur certaines zones de mes cuisses. Il me faut tout mon courage pour ne pas m’affaisser.
A la dernière fouettée reçue, je me mets à genoux, le visage baigné de larmes, les mains me massant les chairs en feu. Maman me relève et me serre fort dans ses bras pour me consoler et c’est comme une petite fille tremblante que je laisse couler mes larmes contre son épaule. Maman tente de m’apaiser en me disant que j’ai payé ma faute et que maintenant, on va pouvoir repartir comme avant. Après ce long câlin, je remonte dans ma chambre pour prendre ma douche et finir mes devoirs et c’est en simple tee-shirt court que je redescends lorsqu’on m’appelle pour dîner, que je passe debout. Entre temps, Papa est rentré et c’est comme si rien ne c’était passé, il m’embrasse comme d’habitude et nous n’évoquons plus ni mes fautes ni les fessées, les compteurs ayant été largement remis à zéro.


Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 15
Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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3 commentaires:

  1. Bonjour Elena. Et bonjour à tous.
    La pauvre! Cet Adilson sait décidément comment la faire sortir de ces gonds et il le fait avec une redoutable perversité: l'amener à contester rageusement les décisions du conseil de discipline, c'était l'envoyer à coup sûr à une nouvelle "exécution" à laquelle il va assister avec délectation. Cela étant, elle lui donne un peu plus barre sur lui encore. En sorte que, si elle ne parvient pas à se contrôler, il trouvera moyen de créer de nouvelles brèches dans lesquelles il ne manquera pas de s'engouffrer. Tout ce que notre héroïne va gagner à terme, c'est une réputation de mauvaise tête qu'il faut absolument mater, dans son propre intérêt. En outre, elle s'est fait remarquer par le tout nouveau professeur de philosophie qui vient d'arriver et il est très vraisemblable que ce François F. va très certainement l'avoir tout particulièrement à l'œil…
    Amitiés.
    François

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  2. Amis de la croix et la lanière, bonjour,

    Dans les sulfureux récits d'Héléna, les corrections c'est: "Choisissez bien, choisissez droit au But!" ! On ne s'embarrasse pas de fioritures, si tu vas à Ste Croix, tu porteras ta croix! On promet de la sueur, des larmes et un doigt... ( désolé j'ai pas pu résister!) de cyprine pour les filles. Pour les garçons c'est moins explicite.

    Ste Croix, doux Jésus... C'est l'enfer! On ne prêche pas la discipline dans le vide... Un calvaire pour les indisciplinés, insolents et paresseux de tout poil! Surtout que le "à poil" est la tenue de rigueur pour les punitions. Dommage, tout de même, que pour la méthode, on se prive du plaisir du déculottage. Mais on n'est pas là pour faire dans la dentelle des strings et autres petites culottes !
    Ici les fessées tombent "comme à Gravelotte"( Expression consacrée à une célèbre Bataille en 1870, entre Français et Prussiens ou il tomba des averses de pluie sans arrêt pendant les combats)

    A Ste Croix, on disserte sur la fessée, on commente les résultats des travaux pratiques, et la rebelle en prend pour son grade. Joli dégradé de rouge sur les fesses et les cuisses, colorisées dans une nudité tout à fait dégradante... Fabienne "D" se tamponne des tampons comme de son premier "Tampax", et flagelle les cuisses en grand écart!
    La solitude ça n'existe pas... et bien si! On se moque, on moque... Mais personne ne voudrait être sa place. Les petits camarades préfèrent se régaler en regardant, avec montée d'humidité au dessous de la ceinture.
    Et comme ça ne suffit pas, maman, à la maison, finit le travail à la ceinture! Logiquement, après ça, le niveau scolaire devrait monter en proportion de la température des fessiers! Non?
    Amicalement
    Ramina.

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  3. Bonjour Ramina,
    Un grand merci pour ce commentaire plein d'humour et d'à propos. Vous avez une fois de plus, saisi toute la portée de ma fiction.
    Amitiés.
    Elena.

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