« Juste à temps,
commente-t-elle ! J’ai cru un instant que nous n’y arriverions pas. »
Elles avaient été bloquées
plusieurs minutes dans une petite rue par un camion qui effectuait ses
livraisons. Maeva avait pesté contre le sans-gêne du camionneur, mais il avait
bien fallu prendre son mal en patience.
« Tu ne seras pas en retard.
Fais-moi un bisou… Sois sage et travaille bien ! »
Marguerite avait l’impression
d’être redevenu une petite fille que sa Maman laissait devant la porte de
l’école et qu’elle l’encourageait pour la journée de travail qui commençait.
Elle eut un petit temps de réflexion, puis elle se dit que cette image était
très proche de la réalité, si ce n’est qu’elle ne la reverrait que dans cinq
jours.
A cette pensée, son cœur se
serra. Cinq jours sans voir Maeva. Ni Moana. Cinq jours sans être prise dans
les bras ni de Teva ni sur les genoux de Fara. C’était aussi cinq jours sans le
risque de prendre une fessée. Même ça, finalement ce n’était pas un problème
qu’elle l’avait imaginé avant de passer le week-end dans sa famille d’adoption.
Bien sûr, quand il fallait faire
face à une fessée imminente ce n’était pas réjouissant. Evidemment, la fessée
elle-même n’était pas une partie de plaisir. Assurément, passer de longs
moments au coin n’était pas ce qu’il y avait de plus distrayant. Mais Marguerite
n’avait pas le sentiment d’avoir été traitée de façon inappropriée ou injuste.
Peut-être la méthode de ses parents adoptifs était-elle un peu archaïque et
décalée au regard de son âge ?
Elle se rappelait sa stupéfaction
quand elle avait compris que Maeva allait recevoir une fessée devant elle et sa
stupeur quand Teva lui avait annoncé qu’elle serait traitée de la même façon et
son ébahissement quand elle avait réalisé que Teva lui baissait la culotte. A
trente-et-un ans, c’était… c’était… Elle
ne trouvait pas de mot pour qualifier ce qu’elle avait ressenti à ce moment-là.
Depuis ce jour-là, beaucoup de
chemin avait été parcouru. Marguerite le regardait sans amertume, au contraire,
cela donnait une nouvelle perspective et un nouveau sens à sa vie qui en avait
sérieusement manqué ces dernières années. Retrouver, face à elle, une exigence
qui savait se faire respecter comblait un manque certain. Une autorité,
oui ! Elle s’était trouvée en présence d’une autorité qui imposait des
règles et des comportements. Ce n’était pas pour lui déplaire.
En moins d’une semaine, cela
avait changé beaucoup de choses dans sa vie. Elle aperçut son reflet dans la
vitrine du magasin devant lequel elle passait.
« A commencer par mon
apparence, se dit-elle. Quel changement ! Oui, pas sûr que ses collègues
me reconnaissent ! »
Elle s’arrêta pour se regarder
plus attentivement. Autant cela avait paru presque naturel d’être habillée
comme une petite fille quand elle était sous la coupe de Teva et de Fara,
autant cela paraissait incongru maintenant.
« Je ne peux pas me
présenter accoutrée comme cela ! »
Elle imaginait déjà les réactions
de ses collègues : ironie, moquerie, étonnement ? Comment leur
expliquer ce changement de façon crédible sans évoquer ce qui en était à
l’origine ? Personne ne croirait qu’un effet de mode pourrait l’amener à
porter des vêtements aussi classiques et aussi stricts, voire aussi ternes.
« Je vais me
changer ! »
La décision lui sembla une
solution raisonnable, même si un aller-retour jusqu’à sa chambre lui prendrait
une demi-heure.
« Je vais arriver en
retard ! Que dira la directrice ? Je m’en fous ! Qu’elle tempête
si elle veut, ce n’est pas un peu de retard qui coulera la boite ! »
Marguerite avait déjà fait une
quinzaine de pas vers le lieu où se trouvait sa chambre quand la question la
plus importante de toutes lui vint à l’esprit.
« Que dirait Teva ?
C’était une désobéissance flagrante ! »
Teva n’en saurait rien. Elle
avait cinq jours de liberté pendant lesquels elle pouvait faire ce qu’elle
voulait. Seul le prochain vendredi poserait problème. Elle devrait se présenter
à l’heure, dans sa demeure du week-end habillée comme elle l’était ce matin. Il
y aurait un changement de vêtements à organiser qui ne pourrait lui faire
perdre du temps. Elle avait cinq jours pour trouver la solution.
Marguerite prit résolument la
direction de sa chambre.
« On verra bien, se dit-elle ! »
Marguerite se ressentait encore
de la fessée à la brosse qu’elle avait reçue ce matin. Rien à voir, cependant,
avec la difficulté qu’elle avait eue à s’asseoir sur son fauteuil de bureau ce
matin quand elle était arrivée. Les contusions avaient mis du temps pour
s’atténuer, bien qu’elle se soit passé une pommade sur les fesses lors de son
court passage dans sa chambre. Cela n’avait pas suffi pour empêcher l’une de
ses collègues de bureau de la questionner quand elle avait dû prendre des
précautions pour s’asseoir.
« Oh ce n’est rien, je suis
tombée sur les fesses dans l’escalier. Je crois que je vais avoir un
bleu. »
Ses trois collègues avec qui elle
partageait le bureau, avaient plaisanté sur le sujet et chacun avait raconté
une anecdote analogue. Marguerite avait eu du mal à s’insérer dans leur bavardage.
« Si elles savaient,
pensait-elle ! »
Dans les toilettes, elle s’était
appliqué une nouvelle ration de la pommade à la pause méridienne. Cela avait
grandement amélioré la situation. Son postérieur avait récupéré la majeure
partie de son élasticité et autant qu’elle avait pu en juger dans l’image que
lui renvoyait son petit miroir de maquillage et en se tordant le cou, ses
fesses avaient retrouvé une couleur normale.
Ce n’était pas un jour où sa
productivité pourrait être donnée en exemple à d’autres. Ses préoccupations
n’englobaient pas le travail qu’elle avait à faire. Elle ne cessait de penser à
ce qui lui était arrivé ce week-end.
Maintenant qu’elle était sortie
du contexte, elle n’arrivait pas à croire qu’elle s’était soumise à ce point à
l’autorité de ces deux parents adoptifs. Elle n’arrivait pas à comprendre
pourquoi elle n’était tout simplement pas partie au lieu d’attendre passivement
qu’on lui donne la fessée. Aurait-elle des tendances sadomasochistes qu’elle
ignorait jusqu’alors ? Elle ne trouvait pourtant aucun plaisir à recevoir
une fessée et la simple idée de la recevoir d’une autre personne la révoltait.
Elle frissonna au souvenir des
mains de Teva, puis de Fara qui touchaient son corps, y compris dans ses
espaces les plus intimes. Ce n’était pas des frissons d’angoisse à la pensée
d’avoir été la victime plus ou moins consentante d’un attouchement contraint.
Ce n’était pas ce qu’elle ressentait. Elle ne percevait aucune intention
sexuelle dans les gestes de Teva ou de Fara, bien qu’ils aient touché au plus
près son sexe pour le laver ou le pommader. Bien sûr, il restait une touche de
pudeur outragée qui remontait du plus profond d’elle, mais elle avait
pleinement conscience que c’était un inconvénient mineur au regard de ce qui
était important.
Non, ce qui ressortait de façon
évidente, c’était l’attention dont elle avait été l’objet pendant ces deux
jours. Teva et Fara s’était occupés d’elle jusque dans les moindres détails,
répondant à tous ses besoins, a fortiori quand il s’était agi de sanctionner
une désobéissance ou un caprice par une fessée, mais également quand elle avait
eu besoin de bras et de genoux accueillants et consolateurs.
Les repas, la toilette, le sommeil,
l’habillement… tout ce qui la concernait était devenu important aux yeux de
chacun des membres du cercle familial et tout ce qui concernait les autres lui
importait également. Elle avait souffert quand Maeva avait reçu la fessée, mais
elle en percevait la nécessité. Elle était gênée quand Fara massait le sexe de
son amie pour y faire pénétrer la pommade, mais elle savait le bien que cela
engendrait. Toute médaille a son revers, cela dépendait, évidemment, du côté où
on la regardait.
Elle pensait à l’appartement dans
lequel elle avait passé ces deux jours comme un havre de paix et de sécurité,
pas tant sur le plan physique que du point de vue affectif. Elle y avait trouvé
non seulement des personnes pour qui elle était importante et qui étaient
vigilants à son égard, mais également des proches dont le devenir et le bonheur
la concernaient. Elle n’avait jamais connu cette interdépendance et de l’avoir
touché du doigt pendant deux jours la rendait certaine qu’elle voulait la
conserver aussi longtemps que possible.
D’être arrivée à cette conclusion
la rassurait. Elle savait où elle allait. Dans quatre jours elle se préparerait
à rejoindre sa famille. Elle s’en réjouissait à l’avance, tout en sachant
qu’elle devait s’armer de patience pour attendre tout ce temps.
« Marguerite, la directrice
veut te voir, dans son bureau. »
C’était Madame Evrint, la cheffe
du service comptable qui l’interpellait.
« Oui Madame, j’y
vais. »
Marguerite se leva lentement et
elle passa d’abord échanger quelques mots avec une collègue.
« Marguerite, on vous
attend, rappela Madame Evrint exaspérée par le temps que mettait Marguerite à
exécuter son ordre.
– Voilà, j’y vais, j’y vais. Y’a
pas l’feu ! »
Marguerite était satisfaite.
Madame Evrint fulminait mais elle ne pouvait rien faire. C’était devenu un
sport local auquel se livraient beaucoup des employés de l’entreprise :
obéir, certes, mais en prenant son temps. Le montrer, mais pas trop de façon à
ne pas encourir une sanction officielle. Madame Evrint avait abordé la question
lors du dernier entretien annuel, mais Marguerite avait nié adopter une telle
attitude. Elle avait suggéré que c’était l’impatience de sa cheffe qui la
conduisait à inventer ce complot. Avec quelques collègues proches, Marguerite
se racontait leurs exploits et comment elles arrivaient à porter l’agacement de
leurs cheffes au plus haut. Marguerite était très forte à ce jeu.
Elle revint vers son bureau pour
prendre un stylo et un bloc note. Cela lui prit une vingtaine de secondes.
Toujours ça de gagné ! Les yeux de Madame Evrint lançaient des éclairs, ce
qui réjouit Marguerite. Il était temps de se rendre à la convocation.
Marguerite emprunta l’escalier
qui montait à l’étage du dessus où Madame Carrouge, la directrice avait
installé son bureau.
« Elle veut sans doute me
parler de ma demi-heure de retard. Plutôt quarante-cinq minute, rectifia Marguerite.
Ce n’est pas si grave, je vais lui proposer de rattraper le retard ce soir. Ce
sera vite réglé. »
Marguerite frappa à la porte.
« Entrez ! »
Marguerite fit deux pas dans le
bureau. Il y avait une autre personne dans le bureau, installée face à la
directrice.
« Tiens, se dit Marguerite,
de derrière elle ressemble à Teva. »
La femme se retourna. C’était
Teva ! Les yeux de sa mère adoptive s’arrondirent quand elle regarda Marguerite.
« Mais… que… que…
– Je vois que vous êtes surprise,
intervint Madame Carrouge. Ce que votre… comment dire… tutrice ?
– C’est cela, confirma Teva.
– Ce que votre tutrice m’a
raconté de votre week-end l’est plus encore. Approchez ! »
Tutrice… raconté… Marguerite
obéit machinalement. Que se passait-il ? Qu’avait dévoilé Teva ?
« Madame m’apprend que suite
à une discussion que vous avez eue ensemble hier matin, elle considère que je
ne suis pas assez stricte avec vous. Qu’en pensez-vous ?
– Et bien je… je ne… sais pas.
– D’habitude vous êtes plus
bavarde. Voilà qui nous change. En mieux ! Nous avons donc eu un échange
fructueux avec votre tutrice au sujet de votre comportement au travail. Il
semble que vous n’ayez pas tout relaté. »
Le ventre de Marguerite se noua.
Quelle serait la réaction de Teva si elle était mise au courant de tous les
griefs que ses cheffes avaient accumulé contre elle ? Cela lui promettait
un prochain week-end difficile.
« J’ai donc dû, poursuivit
la directrice, informer moi-même votre tutrice de toutes vos turpitudes, de vos
insolences et de la médiocrité de votre travail. »
Marguerite était consternée.
« Si après cela je ne m’en
tire avec qu’une seule fessée au martinet, j’aurai de la chance, se
dit-elle. »
Les yeux noirs de Teva la
renforcèrent dans son opinion.
« Voyez-vous, c’est la
journée des surprises pour tout le monde. Votre tutrice l’a été tout autant que
vous quand je lui ai raconté ce que nous pensons de vous ici. Vous êtes loin
d’être une employée modèle ! Et je ne lui ai pas encore parlé du retard de
ce matin : presque une heure !
– Comment cela ? Un retard
ce matin ? Mais je t’ai déposée ici cinq bonne minutes avec l’heure à
laquelle tu commences ! C’est bien huit heures trente ?
– C’est exact !
– Qu’as-tu fait jusqu’à neuf
heures trente ?
– Je suis arrivée avant neuf
heures tente ! Il était neuf heures vingt !
– Tu te moques de
moi ? »
Le ton de Teva était monté.
« Tu ergotes pour cinq à dix
minutes alors que c’est d’une heure dont on parle ! Où étais-tu ?
– Je… je…
– Attends une seconde. Je sais ce
que tu as fait. Où sont les vêtements que je t’ai mis ce matin ?
– Euh… je… chez moi.
– Tu es retournée chez toi pour
enlever les vêtements corrects que je t’avais mis pour enfiler ces…
nippes !
– Oui, mais ils sont propres. »
Marguerite se rendait bien compte
de sa maladresse pour se défendre, mais elle ne voyait pas comment s’en sortir.
« Propres ? J’espère
bien qu’ils ne sont pas sales. Présente-toi un jour au travail avec des
vêtements sales. Je te promets alors une fessée mémorable ! »
Marguerite ferma les yeux. Le mot
était lâché. Madame Carrouge ne semblait pas l’avoir relevé.
« Quant à ceux-ci, ce n’est
l’adjectif « propre » qui me viendrait à l’esprit en premier.
Regarde-moi ça, tout rapiécés, avec des trous partout, le bas effiloché, rien
de tout cela n’est repassé. Et tu appelles ça propre ? Ce n’est pas
mettable !
– Mais c’est à la mode et je…
– Je t’en ficherai de la mode. Je
t’ai expliqué que je ne voulais pas que mes filles se promènent dans une tenue
aussi négligée.
– Vos filles, l’interrompit la
directrice ? Mais je croyais que ce n’était pas…
– Biologiquement parlant, non. Ce
n’est pas ma fille. Mais nous l’avons adoptée, pas officiellement, bien
sûr ! Elle est trop grande, du moins si on lit sa carte d’identité. Si on
examine sa maturité, il en est tout autrement : une gamine dans sa
tête ! Elle a besoin d’être cadrée. C’est ce que mon mari et moi avons
accepté de faire.
– Je comprends ! Elle en
aurait bien besoin ici aussi !
– Justement, je me propose de
vous montrer comment il faut s’y prendre avec Marguerite. »
Teva attrapa Marguerite par la
ceinture du pantalon. Elle la rapprocha d’elle à toucher ses cuisses. Marguerite
avait immédiatement compris les intentions de Teva.
« Non Teva, s'il te plait,
non, pardon ! »
Rien de tout cela n’était de
nature à fléchir la résolution de Teva. Elle déboucla la ceinture, déboutonna
le pantalon, fit glisser la fermeture de la braguette. Elle baissa le pantalon
sans que Marguerite ne fasse un geste pour l’en empêcher.
Intérieurement, Madame Carrouge
salua l’autorité dont disposait Teva. Baisser, devant un témoin, le pantalon de
cette jeune femme sans qu’elle ne dise un mot de protestation démontrait le
contrôle qu’elle avait sur sa pupille.
Elle avait failli protester, au
début, face à ce déculottage dans un lieu où s’appliquait le droit du travail,
puis elle s’était dit que c’était exactement ce dont son employée avait besoin.
Elle-même avait songé à lui administrer une fessée à plusieurs reprises tant le
caractère enfantin des actes de Marguerite sautait aux yeux à certains moments.
Les rapports direction employés
ne le permettaient pas. Dans le cas présent, c’était différent, ce n’était pas
elle qui officiait. Elle ne pouvait intervenir dans ces rapports privés entre
deux personnes. Il n’y avait pas de violence. S’il y avait contrainte, elle
n’était pas physique. Marguerite laissait sa tutrice faire. Madame Carrouge se
cala dans son fauteuil, attendant la suite. Une fessée ? La culotte
baissée d’abord ?
Teva répondit à sa question
muette. Elle glissa ses pouces sous l’élastique de la culotte de Marguerite.
« Non, cria celle-ci, en
empêchant Teva de descendre son sous-vêtement.
– Marguerite, gronda Teva. Tes
mains ! »
Comment résister à un ordre donné
avec une telle conviction d’être obéi ? Un réflexe et Marguerite ôta ses
mains, ce qui suffit à Teva pour la déculotter.
« Non, non, non…
– Nous reparlerons de ce que tu
viens de faire ! »
Teva prit le bras de Marguerite
et la guida vers sa prochaine destination : à plat-ventre en travers de
ses genoux. La fessée commença aussitôt. La main claquait sur les fesses sans
que Marguerite fasse quoi que ce soit pour s’y soustraire. Cette position lui
était maintenant trop familière et légitime pour qu’elle s’y oppose.
La cuisson sur les fesses faisait
partie de l’exercice. Elle avait compris que rien n’arrêtait Teva quand elle
avait décidé de donner une fessée. Toute résistance aggravait aussitôt la
correction. Marguerite avait appris à s’y soumettre, c’était la meilleure
solution, d’autant plus qu’elle avait oublié la présence de sa directrice. Elle
n’était plus en état de réfléchir aux conséquences qu’aurait cette fessée sur
sa future position dans l’entreprise. Elle était uniquement dans l’instant, à
la brûlure que la main de Teva apposait sur ses fesses.
Sans l’avoir choisi, elle laissa
ses cris et ses larmes accompagner la correction, montrant ainsi son
efficacité. Elle battait des pieds, mais personne ne pouvait croire qu’elle
cherchait à fuir le châtiment que lui imposait Teva, tant celle-ci avait une
grande facilité à administrer la fessée.
Madame Carrouge regardait la
scène en approuvant sans réserve ce qu’elle voyait. C’était le tableau d’une
Maman corrigeant légitimement sa grande fille, bien que la différence d’âges
entre les deux, soit incompatible avec une relation mère fille. Cela ne se
voyait pas dans les faits.
Quand la fessée cessa, les fesses
de Marguerite avaient pris une belle couleur rouge, uniforme sur toutes les
fesses. Lentement, Marguerite glissa aux pieds de Teva et elle resta à genoux,
posant son visage sur les genoux de sa mère adoptive, elle resta là, étouffant
ses sanglots dans la jupe maternelle. La main de Teva, celle qui avait sévit,
vint jouer avec les boucles de cheveux.
« Dis-moi Marguerite, où
va-t-on après une fessée ?
– Oh non, Teva, je veux rester
là !
– Une nouvelle
désobéissance ?
– Non, non, j’y
vais ! »
Marguerite se leva et chercha où
elle devait se mettre. Teva lui indiqua l’un des angles de la pièce. C’est avec
empressement qu’elle se dirigea vers le coin où elle resterait aussi longtemps que
Teva l’aurait décidé.
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 16
Mais, ce n'est pas fini
Y a-t-il une suite ? Bien sûr, le chapitre 18.
Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !
Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.
Bonjour ,
RépondreSupprimerUne nouvelle entreprise qui va fesser ces employées ??? de nouveaux témoins qui vont voir les fesses de Marguerite ? vivement la suite
Merci pour ces bon scénarios