mercredi 16 octobre 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 17

Maeva déposa Marguerite à cent mètres de l’immeuble dans lequel elle travaillait, cinq minutes avant l’heure à laquelle elle commençait.
« Juste à temps, commente-t-elle ! J’ai cru un instant que nous n’y arriverions pas. »
Elles avaient été bloquées plusieurs minutes dans une petite rue par un camion qui effectuait ses livraisons. Maeva avait pesté contre le sans-gêne du camionneur, mais il avait bien fallu prendre son mal en patience.
« Tu ne seras pas en retard. Fais-moi un bisou… Sois sage et travaille bien ! »
Marguerite avait l’impression d’être redevenu une petite fille que sa Maman laissait devant la porte de l’école et qu’elle l’encourageait pour la journée de travail qui commençait. Elle eut un petit temps de réflexion, puis elle se dit que cette image était très proche de la réalité, si ce n’est qu’elle ne la reverrait que dans cinq jours.
A cette pensée, son cœur se serra. Cinq jours sans voir Maeva. Ni Moana. Cinq jours sans être prise dans les bras ni de Teva ni sur les genoux de Fara. C’était aussi cinq jours sans le risque de prendre une fessée. Même ça, finalement ce n’était pas un problème qu’elle l’avait imaginé avant de passer le week-end dans sa famille d’adoption.
Bien sûr, quand il fallait faire face à une fessée imminente ce n’était pas réjouissant. Evidemment, la fessée elle-même n’était pas une partie de plaisir. Assurément, passer de longs moments au coin n’était pas ce qu’il y avait de plus distrayant. Mais Marguerite n’avait pas le sentiment d’avoir été traitée de façon inappropriée ou injuste. Peut-être la méthode de ses parents adoptifs était-elle un peu archaïque et décalée au regard de son âge ?
Elle se rappelait sa stupéfaction quand elle avait compris que Maeva allait recevoir une fessée devant elle et sa stupeur quand Teva lui avait annoncé qu’elle serait traitée de la même façon et son ébahissement quand elle avait réalisé que Teva lui baissait la culotte. A trente-et-un ans, c’était… c’était…  Elle ne trouvait pas de mot pour qualifier ce qu’elle avait ressenti à ce moment-là.
Depuis ce jour-là, beaucoup de chemin avait été parcouru. Marguerite le regardait sans amertume, au contraire, cela donnait une nouvelle perspective et un nouveau sens à sa vie qui en avait sérieusement manqué ces dernières années. Retrouver, face à elle, une exigence qui savait se faire respecter comblait un manque certain. Une autorité, oui ! Elle s’était trouvée en présence d’une autorité qui imposait des règles et des comportements. Ce n’était pas pour lui déplaire.
En moins d’une semaine, cela avait changé beaucoup de choses dans sa vie. Elle aperçut son reflet dans la vitrine du magasin devant lequel elle passait.
« A commencer par mon apparence, se dit-elle. Quel changement ! Oui, pas sûr que ses collègues me reconnaissent ! »
Elle s’arrêta pour se regarder plus attentivement. Autant cela avait paru presque naturel d’être habillée comme une petite fille quand elle était sous la coupe de Teva et de Fara, autant cela paraissait incongru maintenant.
« Je ne peux pas me présenter accoutrée comme cela ! »
Elle imaginait déjà les réactions de ses collègues : ironie, moquerie, étonnement ? Comment leur expliquer ce changement de façon crédible sans évoquer ce qui en était à l’origine ? Personne ne croirait qu’un effet de mode pourrait l’amener à porter des vêtements aussi classiques et aussi stricts, voire aussi ternes.
« Je vais me changer ! »
La décision lui sembla une solution raisonnable, même si un aller-retour jusqu’à sa chambre lui prendrait une demi-heure.
« Je vais arriver en retard ! Que dira la directrice ? Je m’en fous ! Qu’elle tempête si elle veut, ce n’est pas un peu de retard qui coulera la boite ! »
Marguerite avait déjà fait une quinzaine de pas vers le lieu où se trouvait sa chambre quand la question la plus importante de toutes lui vint à l’esprit.
« Que dirait Teva ? C’était une désobéissance flagrante ! »
Teva n’en saurait rien. Elle avait cinq jours de liberté pendant lesquels elle pouvait faire ce qu’elle voulait. Seul le prochain vendredi poserait problème. Elle devrait se présenter à l’heure, dans sa demeure du week-end habillée comme elle l’était ce matin. Il y aurait un changement de vêtements à organiser qui ne pourrait lui faire perdre du temps. Elle avait cinq jours pour trouver la solution.
Marguerite prit résolument la direction de sa chambre.
« On verra bien, se dit-elle ! »

Marguerite se ressentait encore de la fessée à la brosse qu’elle avait reçue ce matin. Rien à voir, cependant, avec la difficulté qu’elle avait eue à s’asseoir sur son fauteuil de bureau ce matin quand elle était arrivée. Les contusions avaient mis du temps pour s’atténuer, bien qu’elle se soit passé une pommade sur les fesses lors de son court passage dans sa chambre. Cela n’avait pas suffi pour empêcher l’une de ses collègues de bureau de la questionner quand elle avait dû prendre des précautions pour s’asseoir.
« Oh ce n’est rien, je suis tombée sur les fesses dans l’escalier. Je crois que je vais avoir un bleu. »
Ses trois collègues avec qui elle partageait le bureau, avaient plaisanté sur le sujet et chacun avait raconté une anecdote analogue. Marguerite avait eu du mal à s’insérer dans leur bavardage.
« Si elles savaient, pensait-elle ! »
Dans les toilettes, elle s’était appliqué une nouvelle ration de la pommade à la pause méridienne. Cela avait grandement amélioré la situation. Son postérieur avait récupéré la majeure partie de son élasticité et autant qu’elle avait pu en juger dans l’image que lui renvoyait son petit miroir de maquillage et en se tordant le cou, ses fesses avaient retrouvé une couleur normale.
Ce n’était pas un jour où sa productivité pourrait être donnée en exemple à d’autres. Ses préoccupations n’englobaient pas le travail qu’elle avait à faire. Elle ne cessait de penser à ce qui lui était arrivé ce week-end.
Maintenant qu’elle était sortie du contexte, elle n’arrivait pas à croire qu’elle s’était soumise à ce point à l’autorité de ces deux parents adoptifs. Elle n’arrivait pas à comprendre pourquoi elle n’était tout simplement pas partie au lieu d’attendre passivement qu’on lui donne la fessée. Aurait-elle des tendances sadomasochistes qu’elle ignorait jusqu’alors ? Elle ne trouvait pourtant aucun plaisir à recevoir une fessée et la simple idée de la recevoir d’une autre personne la révoltait.
Elle frissonna au souvenir des mains de Teva, puis de Fara qui touchaient son corps, y compris dans ses espaces les plus intimes. Ce n’était pas des frissons d’angoisse à la pensée d’avoir été la victime plus ou moins consentante d’un attouchement contraint. Ce n’était pas ce qu’elle ressentait. Elle ne percevait aucune intention sexuelle dans les gestes de Teva ou de Fara, bien qu’ils aient touché au plus près son sexe pour le laver ou le pommader. Bien sûr, il restait une touche de pudeur outragée qui remontait du plus profond d’elle, mais elle avait pleinement conscience que c’était un inconvénient mineur au regard de ce qui était important.
Non, ce qui ressortait de façon évidente, c’était l’attention dont elle avait été l’objet pendant ces deux jours. Teva et Fara s’était occupés d’elle jusque dans les moindres détails, répondant à tous ses besoins, a fortiori quand il s’était agi de sanctionner une désobéissance ou un caprice par une fessée, mais également quand elle avait eu besoin de bras et de genoux accueillants et consolateurs.
Les repas, la toilette, le sommeil, l’habillement… tout ce qui la concernait était devenu important aux yeux de chacun des membres du cercle familial et tout ce qui concernait les autres lui importait également. Elle avait souffert quand Maeva avait reçu la fessée, mais elle en percevait la nécessité. Elle était gênée quand Fara massait le sexe de son amie pour y faire pénétrer la pommade, mais elle savait le bien que cela engendrait. Toute médaille a son revers, cela dépendait, évidemment, du côté où on la regardait.
Elle pensait à l’appartement dans lequel elle avait passé ces deux jours comme un havre de paix et de sécurité, pas tant sur le plan physique que du point de vue affectif. Elle y avait trouvé non seulement des personnes pour qui elle était importante et qui étaient vigilants à son égard, mais également des proches dont le devenir et le bonheur la concernaient. Elle n’avait jamais connu cette interdépendance et de l’avoir touché du doigt pendant deux jours la rendait certaine qu’elle voulait la conserver aussi longtemps que possible.
D’être arrivée à cette conclusion la rassurait. Elle savait où elle allait. Dans quatre jours elle se préparerait à rejoindre sa famille. Elle s’en réjouissait à l’avance, tout en sachant qu’elle devait s’armer de patience pour attendre tout ce temps.

« Marguerite, la directrice veut te voir, dans son bureau. »
C’était Madame Evrint, la cheffe du service comptable qui l’interpellait.
« Oui Madame, j’y vais. »
Marguerite se leva lentement et elle passa d’abord échanger quelques mots avec une collègue.
« Marguerite, on vous attend, rappela Madame Evrint exaspérée par le temps que mettait Marguerite à exécuter son ordre.
– Voilà, j’y vais, j’y vais. Y’a pas l’feu ! »
Marguerite était satisfaite. Madame Evrint fulminait mais elle ne pouvait rien faire. C’était devenu un sport local auquel se livraient beaucoup des employés de l’entreprise : obéir, certes, mais en prenant son temps. Le montrer, mais pas trop de façon à ne pas encourir une sanction officielle. Madame Evrint avait abordé la question lors du dernier entretien annuel, mais Marguerite avait nié adopter une telle attitude. Elle avait suggéré que c’était l’impatience de sa cheffe qui la conduisait à inventer ce complot. Avec quelques collègues proches, Marguerite se racontait leurs exploits et comment elles arrivaient à porter l’agacement de leurs cheffes au plus haut. Marguerite était très forte à ce jeu.
Elle revint vers son bureau pour prendre un stylo et un bloc note. Cela lui prit une vingtaine de secondes. Toujours ça de gagné ! Les yeux de Madame Evrint lançaient des éclairs, ce qui réjouit Marguerite. Il était temps de se rendre à la convocation.
Marguerite emprunta l’escalier qui montait à l’étage du dessus où Madame Carrouge, la directrice avait installé son bureau.
« Elle veut sans doute me parler de ma demi-heure de retard. Plutôt quarante-cinq minute, rectifia Marguerite. Ce n’est pas si grave, je vais lui proposer de rattraper le retard ce soir. Ce sera vite réglé. »
Marguerite frappa à la porte.
« Entrez ! »
Marguerite fit deux pas dans le bureau. Il y avait une autre personne dans le bureau, installée face à la directrice.
« Tiens, se dit Marguerite, de derrière elle ressemble à Teva. »
La femme se retourna. C’était Teva ! Les yeux de sa mère adoptive s’arrondirent quand elle regarda Marguerite.
« Mais… que… que…
– Je vois que vous êtes surprise, intervint Madame Carrouge. Ce que votre… comment dire… tutrice ?
– C’est cela, confirma Teva.
– Ce que votre tutrice m’a raconté de votre week-end l’est plus encore. Approchez ! »
Tutrice… raconté… Marguerite obéit machinalement. Que se passait-il ? Qu’avait dévoilé Teva ?
« Madame m’apprend que suite à une discussion que vous avez eue ensemble hier matin, elle considère que je ne suis pas assez stricte avec vous. Qu’en pensez-vous ?
– Et bien je… je ne… sais pas.
– D’habitude vous êtes plus bavarde. Voilà qui nous change. En mieux ! Nous avons donc eu un échange fructueux avec votre tutrice au sujet de votre comportement au travail. Il semble que vous n’ayez pas tout relaté. »
Le ventre de Marguerite se noua. Quelle serait la réaction de Teva si elle était mise au courant de tous les griefs que ses cheffes avaient accumulé contre elle ? Cela lui promettait un prochain week-end difficile.
« J’ai donc dû, poursuivit la directrice, informer moi-même votre tutrice de toutes vos turpitudes, de vos insolences et de la médiocrité de votre travail. »
Marguerite était consternée.
« Si après cela je ne m’en tire avec qu’une seule fessée au martinet, j’aurai de la chance, se dit-elle. »
Les yeux noirs de Teva la renforcèrent dans son opinion.
« Voyez-vous, c’est la journée des surprises pour tout le monde. Votre tutrice l’a été tout autant que vous quand je lui ai raconté ce que nous pensons de vous ici. Vous êtes loin d’être une employée modèle ! Et je ne lui ai pas encore parlé du retard de ce matin : presque une heure !
– Comment cela ? Un retard ce matin ? Mais je t’ai déposée ici cinq bonne minutes avec l’heure à laquelle tu commences ! C’est bien huit heures trente ?
– C’est exact !
– Qu’as-tu fait jusqu’à neuf heures trente ?
– Je suis arrivée avant neuf heures tente ! Il était neuf heures vingt !
– Tu te moques de moi ? »
Le ton de Teva était monté.
« Tu ergotes pour cinq à dix minutes alors que c’est d’une heure dont on parle ! Où étais-tu ?
– Je… je…
– Attends une seconde. Je sais ce que tu as fait. Où sont les vêtements que je t’ai mis ce matin ?
– Euh… je… chez moi.
– Tu es retournée chez toi pour enlever les vêtements corrects que je t’avais mis pour enfiler ces… nippes !
– Oui, mais ils sont propres. »
Marguerite se rendait bien compte de sa maladresse pour se défendre, mais elle ne voyait pas comment s’en sortir.
« Propres ? J’espère bien qu’ils ne sont pas sales. Présente-toi un jour au travail avec des vêtements sales. Je te promets alors une fessée mémorable ! »
Marguerite ferma les yeux. Le mot était lâché. Madame Carrouge ne semblait pas l’avoir relevé.
« Quant à ceux-ci, ce n’est l’adjectif « propre » qui me viendrait à l’esprit en premier. Regarde-moi ça, tout rapiécés, avec des trous partout, le bas effiloché, rien de tout cela n’est repassé. Et tu appelles ça propre ? Ce n’est pas mettable !
– Mais c’est à la mode et je…
– Je t’en ficherai de la mode. Je t’ai expliqué que je ne voulais pas que mes filles se promènent dans une tenue aussi négligée.
– Vos filles, l’interrompit la directrice ? Mais je croyais que ce n’était pas…
– Biologiquement parlant, non. Ce n’est pas ma fille. Mais nous l’avons adoptée, pas officiellement, bien sûr ! Elle est trop grande, du moins si on lit sa carte d’identité. Si on examine sa maturité, il en est tout autrement : une gamine dans sa tête ! Elle a besoin d’être cadrée. C’est ce que mon mari et moi avons accepté de faire.
– Je comprends ! Elle en aurait bien besoin ici aussi !
– Justement, je me propose de vous montrer comment il faut s’y prendre avec Marguerite. »
Teva attrapa Marguerite par la ceinture du pantalon. Elle la rapprocha d’elle à toucher ses cuisses. Marguerite avait immédiatement compris les intentions de Teva.
« Non Teva, s'il te plait, non, pardon ! »
Rien de tout cela n’était de nature à fléchir la résolution de Teva. Elle déboucla la ceinture, déboutonna le pantalon, fit glisser la fermeture de la braguette. Elle baissa le pantalon sans que Marguerite ne fasse un geste pour l’en empêcher.
Intérieurement, Madame Carrouge salua l’autorité dont disposait Teva. Baisser, devant un témoin, le pantalon de cette jeune femme sans qu’elle ne dise un mot de protestation démontrait le contrôle qu’elle avait sur sa pupille.
Elle avait failli protester, au début, face à ce déculottage dans un lieu où s’appliquait le droit du travail, puis elle s’était dit que c’était exactement ce dont son employée avait besoin. Elle-même avait songé à lui administrer une fessée à plusieurs reprises tant le caractère enfantin des actes de Marguerite sautait aux yeux à certains moments.
Les rapports direction employés ne le permettaient pas. Dans le cas présent, c’était différent, ce n’était pas elle qui officiait. Elle ne pouvait intervenir dans ces rapports privés entre deux personnes. Il n’y avait pas de violence. S’il y avait contrainte, elle n’était pas physique. Marguerite laissait sa tutrice faire. Madame Carrouge se cala dans son fauteuil, attendant la suite. Une fessée ? La culotte baissée d’abord ?
Teva répondit à sa question muette. Elle glissa ses pouces sous l’élastique de la culotte de Marguerite.
« Non, cria celle-ci, en empêchant Teva de descendre son sous-vêtement.
– Marguerite, gronda Teva. Tes mains ! »
Comment résister à un ordre donné avec une telle conviction d’être obéi ? Un réflexe et Marguerite ôta ses mains, ce qui suffit à Teva pour la déculotter.
« Non, non, non…
– Nous reparlerons de ce que tu viens de faire ! »
Teva prit le bras de Marguerite et la guida vers sa prochaine destination : à plat-ventre en travers de ses genoux. La fessée commença aussitôt. La main claquait sur les fesses sans que Marguerite fasse quoi que ce soit pour s’y soustraire. Cette position lui était maintenant trop familière et légitime pour qu’elle s’y oppose.
La cuisson sur les fesses faisait partie de l’exercice. Elle avait compris que rien n’arrêtait Teva quand elle avait décidé de donner une fessée. Toute résistance aggravait aussitôt la correction. Marguerite avait appris à s’y soumettre, c’était la meilleure solution, d’autant plus qu’elle avait oublié la présence de sa directrice. Elle n’était plus en état de réfléchir aux conséquences qu’aurait cette fessée sur sa future position dans l’entreprise. Elle était uniquement dans l’instant, à la brûlure que la main de Teva apposait sur ses fesses.
Sans l’avoir choisi, elle laissa ses cris et ses larmes accompagner la correction, montrant ainsi son efficacité. Elle battait des pieds, mais personne ne pouvait croire qu’elle cherchait à fuir le châtiment que lui imposait Teva, tant celle-ci avait une grande facilité à administrer la fessée.
Madame Carrouge regardait la scène en approuvant sans réserve ce qu’elle voyait. C’était le tableau d’une Maman corrigeant légitimement sa grande fille, bien que la différence d’âges entre les deux, soit incompatible avec une relation mère fille. Cela ne se voyait pas dans les faits.
Quand la fessée cessa, les fesses de Marguerite avaient pris une belle couleur rouge, uniforme sur toutes les fesses. Lentement, Marguerite glissa aux pieds de Teva et elle resta à genoux, posant son visage sur les genoux de sa mère adoptive, elle resta là, étouffant ses sanglots dans la jupe maternelle. La main de Teva, celle qui avait sévit, vint jouer avec les boucles de cheveux.
« Dis-moi Marguerite, où va-t-on après une fessée ?
– Oh non, Teva, je veux rester là !
– Une nouvelle désobéissance ?
– Non, non, j’y vais ! »
Marguerite se leva et chercha où elle devait se mettre. Teva lui indiqua l’un des angles de la pièce. C’est avec empressement qu’elle se dirigea vers le coin où elle resterait aussi longtemps que Teva l’aurait décidé.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 16
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bien sûr, le chapitre 18.

Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

1 commentaire:

  1. Bonjour ,
    Une nouvelle entreprise qui va fesser ces employées ??? de nouveaux témoins qui vont voir les fesses de Marguerite ? vivement la suite
    Merci pour ces bon scénarios

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