vendredi 4 octobre 2019

Un difficile retour à la maison - chapitre 11

Les vacances se poursuivent calmement. Mis a part quelques coups de règles suite aux remises à niveau scolaire, Madame Lafitte peut se targuer d'avoir deux jeunes gens bien éduqué avec elle.
Cependant la veille du départ, un incident va venir bien gâcher la dernière journée de Léa.
L'après-midi c'est direction la plage. A l'arrivée, Madame Lafitte les tartines de crème solaire et ils sont priés d'attendre une heure avant la baignade.
Les jeunes gens sont agacés de ce comportement. Cela les gêne beaucoup d'avoir été crémés comme des petits et à cela s'ajoute la frustration de devoir attendre avant de pouvoir aller un peu s'amuser.

Après cette lassitude, les trois jeunes, puisque Igor les accompagne, sont enfin autorisé à aller se baigner. Igor et Julien s'amusent avec leur ballon tandis que Léa fait plus ample connaissance avec l'un leurs jeunes voisins.
Il se prénomme Dylan, il a 20 ans. Très vite les deux tourtereaux disparaissent.
Quand Julien et Igor reviennent déposer le ballon pour prendre les raquettes de plages. La mère de Julien s'inquiète de savoir où est passée Léa. Le jeune garçon ne cherche pas à mentir. Il sait très bien que si sa mère s'aperçoit d'un mensonge il sera sévèrement puni. Il avoue donc qu'elle a disparu avec l'un des voisins.
Valerie sent la colère montée en elle. Elle s'approche de la mer et tente de repérer ou est sa filleule. Constatant qu'elle ne la trouve pas, elle retourne à son transat et sort le martinet de son sac de plage.
- Elle ne perd rien pour attendre peste t'elle auprès d'Irina
- Je vous comprends répond la maman d'Igor
Tandis que sa marraine attend son retour de pied ferme, Léa a quitté la plage et est retournée au camping avec Dylan. Près des jeux, les deux gens flirtent discrètement. Cela fait un moment qu'elle a disparu. Elle se doute que son absence est maintenant constatée et sa marraine et dans une redoutable fureur. Elle envisage de fuir. Je veux être enfin libre se dit-elle. Terminé d'être traité comme une gamine, terminé les fessées. Elle est bien décidée à ne pas se faire dicter sa vie et à se prendre en main.
Le temps continue de s'écouler. C'est maintenant l'inquiétude qui a pris place dans la tête de Madame Lafitte. Alors que dans l'esprit de Léa tout s'embrume. Elle regrette maintenant son geste tout en continuant son flirt avec Dylan.
C'est là que sa tutrice apparait. Au moment où elle allait rentrer. En l'apercevant Léa à la peur au ventre. Elle sait pertinemment qu'elle va se prendre une grosse bastonnade. Directement, sa marraine lui tombe dessus et lui balance une énorme paire de gifle avant de l'attraper par l'oreille. Elle s'adresse d'abord au jeune homme qui accompagne sa filleule.
- Vous je ne veux plus jamais voir tourner autour de cette jeune fille. J'espère être claire. Quant à toi avance dit-elle à Léa en la tirant par l'oreille l'obligeant à la suivre en étant plié en deux avec une mine grimaçante ne laissant cacher la douleur et la difficulté qu'elle à la suivre.
Julien suit derrière et s'attend à voir celle que l'on peut appeler sa sœur recevoir une sacrée correction. Léa quand elle, elle regrette déjà sa bêtise.
« Je n'aurai jamais dû se dit-elle. »
Pour l'aider à avancer Madame Lafitte à sorti son martinet et lui cingles les fesses, les cuisses et les mollets.
- Tu vas regretter ton comportement mademoiselle, crois-moi. Je vais t'apprendre à disparaître comme ça moi. Je vais te montrer ce qu'il en coute de causer du souci et des inquiétudes. Je vais te montrer ce qu'est le respect. Tu vas voir. Quelle honte de flirter ainsi sans vergogne. Tu t'es comporté comme une petite trainée mais tu vas le regretter crois moi.
Arrivée à la caravane, Elle relâche enfin son étreinte et dépose le martine sur la table. Elle s'assoit sur une chaise et retire son maillot de bain à Léa
- Tu vas prendre déjà une bonne fessée ma cocotte puis s'adressant à Julien elle lui demande de préparer les affaires de toilette de tout le monde.
Après lui avoir retiré son maillot de bain comme la justice est toujours pressé, elle couche sans ménagement Léa qui pleure déjà abondamment sur ses genoux. Elle se saisit d'une de ces tongs et commence à lui rougir les fesses par une grosse pluie de claques rapides et fortes.
Julien qui étend les serviettes de plage et le maillot de bain de Léa après avoir préparé des serviettes de douche, le shampoing et le gel douche n'en perdent pas une miette. Tout comme les Protassov, les Perrons et Dylan qui semblent être le seul à plaindre la jeune fille
Les claques sonores résonnent dans le paysage et la déclenche une chaleur torride sur les fesses de la gamine. Elle gémit, elle a honte et elle est furieuse contre elle. Elle regrette son comportement. Valerie accentue encore la force des claques et elle sanglote encore plus fort en implorant le pardon. Après cinq bonnes minutes de fessée rugueuse, toujours de manière assez brutale, la tutrice relève sa pupille
- Allez à la douche maintenant mais ne te crois pas sortie d'affaire jeune fille. Elle agrippe Léa par l'oreille de nouveau et la conduit aux sanitaires suivis par Julien qui n'a pas de souvenir d'avoir vu sa mère autant en colère. Arrivée aux douches Léa doit se mettre à genoux les mains sur la tête le temps que Madame Lafitte s'occupe de laver son fils. Une fois mis en pyjama, Julien est invité à rentrer seul.
Valérie relève sa filleule et la pousse alors sous la douche. Ne pouvant régler l'eau, elle évite la douche glacée qui aurait été adapté à la situation. Cela n'empêche pas madame Lafitte de la frotter avec vigueur. Chaque fois que le gant de toilette passe sur l'arrière-train cela la fait grimacer
Pour le retour à la caravane, Valérie a eu la bonté de lui enfiler sa chemise de nuit et lui épargne le tirage d'oreille. Elle se contente de la tenir fermement par le bras. Arrivée au campement, elle lui ordonne d'aller demander poliment à madame Protassov de lui prêter sa cravache pour lui infliger la suite de sa punition.
Léa se dirige tête basse vers le camping-car d'Irina. Après la honte d'avoir été corrigé devant tout le camping, la honte d'avoir assisté au discours de sa marraine à Dylan elle devait maintenant demander à la voisine l'instrument qui allait la punir.
Elle frappe à la porte du camping-car. C'est Igor qui pour une fois a l'autorisation d'être dans le véhicule qui lui ouvre.
- Excuse-moi, est ce que ta mère est là.
Irina Protassov apparaît dans l'encadrement de la porte.
- Tu désires jeune fille. Il interroge madame Protassov
- Pardons de vous déranger Madame. Ma tante m'envoie vous demander de lui prêter votre cravache pour qu'elle puisse me punir.
- Ah tu n'en as pas encore fini donc... Tu as reçu une belle fessée tout à l'heure. Une belle fessée bien méritée n'est-ce pas.
- Euh oui bredouille la jeune fille
- Ta tante a bien raison de parachever la punition que tu mérites à la cravache. Tiens-la voici. J'espère que cela te sera salutaire jeune fille !
- Oui Madame. Je vous remercie madame.
Léa rapporte l'instrument à sa tante
- Tu as été polie au moins demande Madame Lafitte
- Oh oui ma tante
- Bien allez, approche ! Mets-toi ici. Les mains sur les accoudoirs. Tends bien tes fesses. Recule tes pieds. Écarte les un peu. Tu vas voir petite dévergondée. Je vais te remettre dans le droit chemin. Tu peux me croire
Irina est sortie pour assister à la punition tandis que son fils Igor à lui rejoint Julien et va pouvoir assister à la scène. Les perrons sont prêts eux aussi. D'ailleurs Valerie a placé le fauteuil de façon à ce que c'est voisin d'en face puisse admirer les fesses de sa filleule.
Valerie relève la chemise de nuit bien haut sur la tête de Léa de manière à bien dégager la surface qui va subir la punition.
Le cœur de Léa bat la chamade. Elle connaît trop bien ce genre de correction pour ne pas la redouter. Elle sait en plus qu'il y a bon nombre de spectateurs pour cette magistrale correction. Elle se sent à la fois la grande fille qui va être punie et la petite fille qui pleure toutes les larmes de son corps.
Madame Lafitte lui applique méthodiquement vingt coups de cravache sur ses fesses déjà et encore bien rouges.
-Elle ne l'a pas volé commenter madame Pierron
- Oui elle le mérite répond Irina Protassov
Après la sentence, Léa présente ses excuses et remercie sa tante puis elle reste en pénitence à genoux maintenant relevée sa chemise de nuit pour que tout le monde puisse admirer ses rougeurs et ses zébrures.
Le repas terminé, avant de la coucher, Valerie Lafitte la fait venir pour la coucher sur ses genoux et lui appliquer une lotion apaisante. Nul doute que le chemin du retour demain sera compliqué pour Léa qui devra rester assise toute la journée dans la voiture.


Eh là, ne perdons pas le fil de l'histoire !

Le début : le chapitre 1
et l'épisode précédent : le chapitre 10

Et bien, attendons la suite.

Ce sera pour la semaine prochaine ? Pas sûr !


Et s'il vous manque un épisode,

Vous le trouverez sur la page "les auteurs invités"

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Pierre se lance dans l'écriture, il a besoin de savoir ce que vous en pensez.
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3 commentaires:

  1. A 19 ans, le retour aux culottes courtes et aux couches n'a pas du être évident. Les scènes dans les salles d'attente sont très bien racontées. Par contre, s'il doit préparer un BTS, ira-t-)il en cours en culottes courtes ? D'autre part, l'inscrire en interne permet à maman de souffler un peu, mais la discipline sera plus souple qu'à la maison, l'heure du coucher plus tardive. Est ce bien cela que maman souhaite ?
    Bruno

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  2. La fessee de Léa été méritée. Je pense que Dylan aurait mérité également de recevoir une très bonne fessee aussi

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  3. Oui je suis d’accord, je pense que Lea et Dylan auraient bien mérité de recevoir la fessée déculottée tous les deux... comme ça, pas de jaloux...

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