« Rentrons à la maison, il y
a à faire. »
Cette simple phrase avait rappelé
à Marguerite ce qui l’attendait. Jusqu’alors elle avait surtout été préoccupée
par la fessée en public qu’elle venait de recevoir. C’était une confusion de
sentiments dont Marguerite n’arrivait pas à se dépêtrer. Entre la honte d’être
déculottée et fessée devant des personnes qui passaient par là et la sérénité
qu’amenait son statut de petite fille mais qui l’amenait à être punie quand
elle l’avait mérité ; entre la volonté de quitter au plus vite ce lieu de
son humiliation et son souhait de rester dans les bras de Teva ; entre le
sentiment d’avoir été légitimement punie et la certitude que recevoir la fessée
n’était plus de son âge, Marguerite ne savait plus quoi penser.
Elle était maintenant ramenée à
une crainte très concrète centrée autour de son avenir proche et matérialisée
par un mot : martinet. Maeva lui avait transmis la crainte que lui
inspirait cet instrument. Elle n’avait pas eu l’occasion d’assister à une
fessée administrée avec cet ustensile, ni en tant que spectatrice, ni en tant
que protagoniste. Elle n’avait pas pu constater de visu les effets persistants
des lanières sur les fesses d’une autre personne. Pourtant la description, par
Maeva, de l’unique fessée qu’elle avait reçue, lui avait suffi.
Bien qu’elle en sût l’inutilité
dès le début, Marguerite ne put s’empêcher de faire une tentative pour échapper
à la correction qui l’attendait.
« Teva je serai sage
maintenant et j’obéirai.
– Je n’en doute pas, ma chérie,
mais cela ne durera que jusqu’à la prochaine fessée. »
Marguerite fit une grimace.
Evidemment, Teva avait raison, même si Marguerite aurait préféré qu’on ne le
lui rappelle pas.
« Je, … je, … je ne
désobéirai plus quand tu voudras me baisser la culotte. »
Elle fit une petite pause avant
de continuer. Il fallait aller au bout de ce qu’elle avait à dire.
« Même si c’est devant, …
enfin devant … devant d’autres personnes.
– J’espère bien que tu as compris
que c’est effectivement une grave désobéissance. Quand j’ai décidé de te punir,
c’est que tu en as besoin. Résister, cela mérite le martinet. J’avais
d’ailleurs presque oublié que je devais te le donner dès que nous serons
rentrées. »
Intérieurement, Marguerite se
traita de demeurée. Teva avait-elle réellement oublié ? Avait-elle remis
cette promesse au premier plan ? C’était trop tard pour revenir en
arrière.
« Mais ce n’est pas obligé.
Je ne le ferai plus.
– Qu’est-ce qui n’est pas
obligé ?
– Que tu me donnes … le martinet.
– Et bien moi, je pense que si.
C’est beaucoup trop facile de faire une bêtise et, devant la punition qu’elle
entraîne, de faire des serments d’amendement futur. Je t’ai promis le martinet
et je tiens toujours mes promesses. Comme cela, tu seras certaine de ce qui
t’arrivera la prochaine fois qu’il te prendra l’envie de me gêner quand j’ai
décidé qu’il fallait te déculotter. Ne te fais pas d’illusion, tu vas avoir le
martinet ! »
Marguerite ne pouvait s’empêcher
de trouver pertinent le raisonnement de Teva, même si cela la conduisait à une
situation difficile. Elle ne trouvait rien pour contre-argumenter qui ne
pourrait passer pour de la mauvaise foi, excepté son âge, mais Teva ne trouvait
pas que c’était une raison valable pour lui épargner la fessée.
Marguerite resta silencieuse
durant les quelques minutes qu’il fallait pour achever le trajet. Elle avait à
penser sur la correction qui l’attendait, ce qui lui nouait les entrailles.
Rendue à la maison, Marguerite
n’eut pas le temps de ressasser ses craintes. Tout alla très vite. Teva lui ôta
son manteau et ses chaussures, puis elle la prit par la main et Marguerite dut
suivre sa mère adoptive. Un détour par la cuisine pour se munir du martinet et
elles entrèrent toutes deux dans le séjour.
Marguerite regardait l’instrument
de sa punition avec un tout autre regard que celui qu’elle y avait porté
jusqu’alors. Bien sûr elle l’avait remarqué puisqu’il était pendu dans la
cuisine, à la vue de tous. Après que Maeva lui en fut conté les effets, elle y
avait prêté une attention distante, comme si s’y intéresser pouvait provoquer
son utilisation. Elle avait préféré l’ignorer, tout en sachant qu’il n’y avait
pas de raison pour que Maeva soit la seule à en connaître la morsure.
Aujourd’hui, tenu dans la main de
Teva, il semblait d’autant plus menaçant. Ses souples lanières qui ondulaient
au rythme des pas de Teva, annonçaient des moments douloureux. Teva tenait l’un
dans une main et l’une de l’autre. Au gré des pas qu’elles faisaient toutes
deux, les fines courroies de cuir semblaient, parfois, se tourner de leur
propre chef vers Marguerite, comme si elles étaient impatientes de lui faire
éprouver leurs effets. Marguerite ne pouvait s’empêcher de s’en éloigner au
maximum sans, toutefois, tirer sur le bras de Teva, ce qui aurait pu être pris
pour une nouvelle rébellion.
« Tu vas voir comment le
martinet vient à bout des désobéissances. »
Sans autre commentaire, tout
avait été dit, Teva courba Marguerite sous son bras. Cette dernière avait
maintenant l’habitude des positions dans lesquelles Teva ou Fara la plaçaient
pour la punir. Elle se laissa faire. Pas un instant elle songea ni à protester,
ni à fuir cette situation. Rien ne pouvait plus entraver le processus qui était
en route, conséquence de l’autorité sourcilleuse mais légitime que ses parents
adoptifs exerçaient.
Teva releva la jupe, puis elle
baissa le collant. L’air frais qui parcourait les jambes nues de Marguerite
matérialisait le déculottage qui était en cours. Quand sa culotte fut descendue
sur ses genoux, la sensation de fraîcheur gagna ses fesses maintenant nues.
Marguerite s’attendait à une
brûlure, mais pas à ce point-là. Le premier coup de martinet traça des traits
de feu qui parcouraient les fesses de part en part. Elle ne poussa pas un cri,
mais plutôt un couinement étranglé. Le souffle lui manqua pour laisser sortir le
hurlement qui s’était formé au creux de sa poitrine.
Elle éclata en sanglots tout
juste après que le martinet eut marqué ses fesses pour la troisième fois. Elle
tressaillait à chaque fois que Teva rajoutait quelques lignes rouges sur ses
fesses. Teva la tenait étroitement. Ceinturée par un bras, serrée contre le
flanc de sa mère adoptive, le bas ventre appuyé sur le genou, Marguerite ne
pouvait pas bouger, mais, sans vraiment se débattre, elle sursautait au rythme
que lui imposait le martinet ce qui obligeait Teva à la maintenir fermement, ce
qu’elle faisait sans avoir besoin de trop forcer.
Parfois, l’extrémité des lanières
s’égarait sur la peau tendre de la face interne des cuisses. Marguerite
décollait alors les deux pieds en une ruade soudaine que Teva contrôlait,
obligeant Marguerite à revenir à sa place où le martinet l’attendait de
nouveau.
Pour Marguerite, la fessée durait
depuis si longtemps qu’elle avait l’impression, après chaque claquement du
martinet sur ses fesses, que Teva ne pourrait plus trouver un endroit qui avait
été épargné. Au début, la douleur se concentrait là où les lanières avaient
tracé des lignes brûlantes. Elle ne se diffusait que très lentement aux
alentours. Puis, le châtiment se poursuivant, cela finit par constituer une
fournaise qui recouvrait tout le postérieur de Marguerite. Pourtant, chaque
nouvelle application du martinet arrivait encore à enflammer les fesses encore
un peu plus.
Marguerite avait perdu tout
espoir de voir la fin de la correction quand Teva jugea que le derrière de la
grande fille qu’elle punissait était suffisamment zébré pour que les effets
persistent au moins jusqu’au soir. Dès qu’elle libéra Marguerite, celle-ci
entoura la taille de Teva de ses deux bras et elle cacha son visage sur la
poitrine de sa mère adoptive, laissant couler ses larmes sur le corsage.
« Ce n’est pas déjà le
moment de se faire consoler. Nous verrons cela plus tard. »
Teva dénoua les doigts de Marguerite
qui était enlacés dans son dos.
« Va donc te mettre au
coin ! Tu y resteras jusqu’au déjeuner. »
Teva accompagna son ordre d’une
claque sur la jupe qui en retombant avait caché les fesses de la jeune femme. Marguerite
se positionna le nez dans l’angle du mur et elle s’immobilisa.
« As-tu besoin d’une autre
ration du martinet pour te rappeler qu’on relève la jupe quand on est au
coin ?
– Mais, tout le monde va voir les
marques sur mes fesses !
– J’espère bien. Cela en
rajoutera à la honte que tu en ressentiras. Puisqu’il est nécessaire de te
déculotter et de te fesser pour que tu sois obéissante, autant que tout le
monde profite de ta punition. La vue des marques laissées par le martinet
permettra à Maeva de réfléchir à ce qui pourrait lui arriver si elle emprunte
les mêmes chemins que toi.
– Mais …
– Silence ! On se tait quand
on est au coin. Si je dois te le redire … »
Marguerite regarda furtivement la
pendule avant d’enfoncer son nez dans l’angle du mur. Il n’était qu’un peu plus
de onze heures. Jusqu’au déjeuner, avait dit Teva. Elle en avait donc pour une
bonne heure à patienter.
Le nez dans le coin, les bras
croisés dans le dos, les distractions étaient rares. Pour rien au monde, Marguerite
n’aurait bougé de sa propre initiative, mais l’immobilité était une épreuve
qu’il était difficile de tenir.
« Combien de temps
encore ? »
Elle n’avait plus aucune notion
du temps qui était passé, et donc pas plus de celui qui restait. Elle tendait
l’oreille pour entendre les bruits que faisaient les autres occupants. Etait-il
l’heure de mettre la table ? Cela annoncerait la fin de son temps de
pénitence. Mais rien n’indiquait que l’heure du déjeuner approchât, aucun
bruit, aucune odeur.
Il y eut bien quelques passages
dans le séjour. Moana en premier qui s’arrêta longuement derrière elle, sans
doute les yeux fixés sur les marques rouges qui striaient ses fesses. Teva fit
quelques visites, mais ce fut sans commentaire.
Au loin, sans doute dans la
chambre, elle entendit la voix de Fara qui grondait, sans qu’elle puisse en
distinguer le contenu. Quand la voix se tut, après une brève pause, ce fut la
résonance d’une main claquant des fesses qui prit le relais. Aux cris qui en
suivirent, Marguerite eut la conviction que c’était Maeva qui recevait la
punition. La suite fut plus explicite, puisqu’elle se déroula dans le séjour.
Maeva pleurait encore quand elle
fut amenée dans la pièce par un Fara qui était encore visiblement fâché.
« Va te mettre au
coin ! Il en reste un de libre ! Dire qu’à vos âges, toutes les deux,
nous sommes obligés d’aller jusqu’à la fessée pour vous faire
obéir ! »
Le silence reprit ses droits, à
peine troublé par quelques reniflements de Maeva. Marguerite avait l’impression
d’être oubliée là. Ne lui parvenaient plus que des sons étouffés, mais aucun ne
révélaient la présence d’une troisième personne dans le séjour. Le temps s’étirait.
Lentement.
« Dans la cuisine, toutes
les deux ! »
Le défilé était cocasse. Les deux
jeunes femmes marchaient en se dandinant pour éviter que leur culotte ne tombe
sur leurs chevilles. Fara fermait la marche, en contemplant les deux derrières
nus qui se trémoussaient sous ses yeux. Il profita de ce moment où aucune des
deux filles ne le voyait pour sourire.
Malgré leurs désobéissances
répétées, elles étaient toutes les deux adorables. C’était un vrai plaisir de
s’occuper d’elles. Elles réagissaient positivement à l’éducation qui leur était
donnée bien que cela dût leur coûter, en particulier quand une fessée
s’annonçait. Teva avait eu bien raison de prendre cette responsabilité. Certes
c’était une charge qui obligeait à une attention constante dès que l’une des
deux avait mis le pied dans l’appartement, mais les câlins qu’elles venaient
toutes deux chercher ensuite étaient une compensation pour tous. C’était ce qui
se préparait dans les minutes qui venaient.
Marguerite se rendit auprès de
Teva qui lui prit les deux mains.
« Alors, dit-elle ?
– Je te demande pardon,
Teva. »
Un signe de la tête et un sourcil
froncé l’encouragea à aller plus loin.
« … pour les caprices que
j’ai faits dans le magasin … et pour … n’avoir pas été sage quand tu as décidé
de me donner la fessée. »
Maeva avait attendu que Fara ait
pris place sur sa chaise pour s’approcher. Fara la plaça entre ses genoux et sa
main sous le menton releva la tête de sa belle-sœur pour qu’elle le regarde
dans les yeux.
« Pardon Fara. J’ai
désobéi. »
Fara l’attira sur ses genoux et
il la serra contre sa poitrine.
« Viens-ici, petite fille
désobéissante ! »
Le câlin ne laissait pas de doute
sur le pardon qui avait été accordé. Maeva sentit disparaître le poids qu’elle
avait sur sa poitrine.
De l’autre côté de la table, Teva
souleva la jupe de Marguerite et elle examina les marques sur les fesses.
« J’ai l’impression que tu
en as au moins pour jusqu’à ce soir. C’est parfait ! Tu te souviendras de
cette fessée. »
Marguerite baissa la tête. Teva
la coucha doucement à plat-ventre sur ses genoux.
« Voyons voir ces
fesses ! »
Teva glissa sa main sous la jupe
et elle caressa doucement les fesses de Marguerite. Chaque toucher de la main
avec les marques les plus rouges arrachait une grimace à la jeune femme. Ses
fesses en avaient pour un bon moment avant de reprendre leur sensibilité
normale. Marguerite se jura de ne plus s’opposer à une fessée dont Teva aurait
décidé, même si elle devait se dérouler devant témoins. Elle espérait cependant
que la caresse sur ses fesses durerait encore un peu. Mais, toutes les bonnes
choses ont une fin. Il fallut passer à table et Marguerite expérimenta le
contact de ses fesses meurtries avec l’assise de la chaise. Cela n’avait rien
d’agréable, mais c’était inévitable.
Les filles réussirent à éviter la
fessée pendant toute l’après-midi. Teva menaça une fois, mais elle ne passa pas
à l’acte. Marguerite réapprenait la nécessité de demander l’autorisation avant
de prendre la moindre initiative. Quand elles se réfugièrent toutes deux dans
leur chambre, la porte dut rester grande ouverte. Régulièrement, Teva ou Fara,
passant dans le couloir, regardaient ostensiblement ce qu’elles faisaient.
Elles étaient sous surveillance constante des deux grandes personnes. Cela
manquait d’intimité, mais c’était une notion qu’il fallait oublier chez Tara et
Fara.
« Les filles, c’est l’heure
du bain, annonça Fara. Vous rangez ce que vous faites, puis dans la salle de
bain. »
Marguerite eut un geste de recul
en entrant dans la pièce. Fara déshabillait Moana, puis il la déposa dans
l’eau. Il prit Maeva par la main et il la plaça devant lui et il déboutonna son
chemisier. Marguerite ne s’était pas préparée à ce que ça puisse être Fara qui
donnait le bain. Elle avait eu tant de mal la veille à ce que ce soit Teva qui
lui fasse sa toilette, qu’elle n’imaginait pas les mains de Fara passant sur
toutes les parties de son corps pour la laver.
Fara savait s’y prendre. Il avait
dénudé Maeva en un tour de main. Obligeamment, elle leva ses pieds l’un après l’autre
pour qu’il puisse finir de lui ôter sa culotte. Une rougeur à l’intérieur des
cuisses, près de l’aine attira son attention.
« Montre-moi
cela ! »
Sa main, glissée entre les jambes
de Maeva écarta les cuisses. Une main posée sur les fesses maintenait Maeva en
place. Les doigts de l’autre passaient sur la peau légèrement enflammée. Sa
main effleurait le pubis de Maeva, ce qui fit frissonner Marguerite à la pensée
de doigts masculins touchant, sans son approbation, ses parties intimes.
« Ce ne sera pas
grand-chose, mais nous verrons cela tout à l’heure. »
Il prit la jeune femme par la
taille et la mit dans la baignoire. Quand il se tourna vers elle, Marguerite
recula. Fara fronça les sourcils.
« Pas de caprice, Marguerite !
Tu prends ton bain comme les autres ! Allons viens ! »
Le pas en arrière fut celui de
trop. Fara lui avait saisi le bras et il la conduisit près de la baignoire. Il
déboutonna le corsage de Marguerite. C’est quand il voulut lui enlever le
tee-shirt que les choses se gâtèrent. Marguerite ne voulait pas paraître buste
nu devant lui. Ce n’était pas de son âge d’être déshabillée par un homme qui
s’apprêtait à lui faire sa toilette. Elle refusa de lever les bras, comme Fara
le lui demandait.
« Puisque tu y tiens,
commenta-t-il ! »
Marguerite fut plaquée contre la
cuisse de Fara par une main pesant dans son dos. Elle sentit qu’il lui relevait
la jupe, puis qu’il descendait la culotte. Marguerite dut faire un effort de
volonté pour ne pas s’y opposer. Le souvenir cuisant du martinet était trop
présent pour qu’elle recommence deux fois la même erreur dans la même journée.
La fessée de la main de Fara, ça elle connaissait déjà et il n’y avait pas de
doute que cela fasse partie des prérogatives de son père adoptif.
Fara administra une dizaine de claques
sur chacune des fesses qui étaient à sa disposition. Cela suffit pour arracher
des cris désespérés à la jeune femme qu’il punissait. Il ne lui laissa pas le
temps de réfléchir dès qu’il la replaça devant lui.
« Lève tes bras »
Marguerite obéit. Le tee-shirt
passa par-dessus sa tête. Ses seins pointaient maintenant à l’air libre, mais
elle n’eut pas le temps de s’en préoccuper. Fara dégrafait la jupe. La culotte
n’avait pas été remontée, ses fesses nues apparurent à la vue de tous. Fara
amena le sous vêtement sur les chevilles.
« Lève ton
pied ! »
Dès qu’elle fut nue, Fara passa
une main entre les jambes de Marguerite et plaqua l’autre contre ses seins. Il
la souleva ainsi et il la déposa dans l’eau à côté des deux autres filles. Puis
il se tourna vers Moana pour lui faire sa toilette. La fillette appréciait.
Elle devançait les demandes de son père qui faisait preuve d’une douceur
exemplaire, surtout quand il en vint au pubis de la petite fille.
Ce fut le tour de Maeva. Il était
clair que cette dernière était plus réticente, mais elle se laissait faire.
Elle se crispa quand Fara touchait des parties intimes : ses seins, ses
fesses et son pubis. Cela était avec une telle douceur que, peu à peu, Maeva se
détendit. Sa toilette s’acheva sans anicroche.
Bien que les deux situations
auxquelles elle venait d’assister, fussent plutôt rassurantes, Marguerite ne
pouvait, sans frémir, concevoir que les mains de Fara puissent la toucher là où
nul ne pouvait le faire sans son assentiment. Pourtant c’était maintenant son
tour.
Le début de la toilette se passa
sans encombre. Fara lava les cheveux et le corps de Marguerite était dissimulé
par l’eau savonneuse dans laquelle elle était assise. Cela ne dura pas.
« Mets-toi
debout ! »
Marguerite hésita. Elle regarda
Fara qui attendait qu’elle obéisse. Il n’y avait pas d’autre solution. Elle se
leva. Sans prêter attention à sa nudité, Fara lui savonna le dos. Quand il
descendit sur les fesses, Marguerite se tendit, mais elle se fit une raison. La
main de Fara sur ses fesses, ce n’était plus une nouveauté. Elle eut un bref
instant de résistance quand deux doigts s’enfoncèrent dans la raie de ses
fesses, mais Fara le remarqua à peine.
« Laisse-moi faire,
gronda-t-il gentiment ! »
Marguerite réussit à faire bonne
figure quand Fara la plaça face à lui. Elle ne put se retenir quand il arriva à
la toilette de sa vulve.
« Non, je vais le faire.
– Reste tranquille ! Teva et
moi sommes exigeants sur l’hygiène de nos filles. Nous préférons donc leur
faire la toilette complètement au moins une fois par jour. Ce sera donc
également le cas pour toi. »
Marguerite avait mis ses mains
devant son sexe.
« Marguerite, écarte tes
mains ! »
Cette injonction n’eut pas
d’effet.
« Marguerite, dernière
fois ! »
Bien que sachant qu’elle en
serait la conséquence, Marguerite ne bougea pas. Fara l’attrapa par le bras et,
en l’ayant placée de profil, il abattit sa main sur les fesses idéalement
positionnées.
« Marguerite, vas-tu
obéir ! »
Elle ne sembla pas entendre ou
elle fit celle qui n’entendait pas. Cette fois-ci, ce fut une réelle fessée que
Fara donna à Marguerite. Debout dans la baignoire, elle faisait un pas à chaque
claque pour en absorber la force. Fara la ramenait à sa place, puis il la
fessait de nouveau.
Les premiers cris ne l’arrêtèrent
pas. La rougeur naissante sur les fesses non plus. Il ne fallait pas faiblir,
malgré les marques du martinet que Marguerite portait encore sur les fesses. Ce
n’était que le deuxième jour où Marguerite séjournait dans sa nouvelle famille,
il fallait lui donner de bonnes habitudes dès le début et châtier sévèrement
ses désobéissances.
Il comprenait les réticences que
pouvait avoir Marguerite, mais ce n’était qu’une question d’habitude. Maeva s’y
était faite, même si elle n’était pas encore totalement à l’aise quand il lui
donnait son bain, mais elle avait compris que cela faisait partie des points de
passage obligé. Il en serait bientôt de même avec Marguerite, mais il fallait
être ferme les premiers jours. Une bonne fessée poserait les exigences sans
ambiguïté. Marguerite finirait bien par comprendre, Fara en était persuadé.
Marguerite trépignait sur place.
La main de Fara appliquée sur ses fesses suffisait pour échauffer la peau
au-delà du supportable. Elle savait qu’elle avait désobéi, que c’était un
caprice dont le motif n’était pas aussi crucial qu’elle l’avait cru. Elle était
prête, maintenant, à laisser Fara la laver, y compris dans ses parties les plus
intimes, cela n’avait, en fait, pas autant d’importance qu’elle l’avait cru.
Les claques sur les fesses ne
cessaient pas. Fara voulait mettre les choses au point une bonne fois pour
toutes. Cette fessée devait être exemplaire. Marguerite dansait sur place, mais
elle restait dans les limites qui lui étaient imposées par Fara qui la tenait
par le bras. Les cris et les pleurs montraient que la fessée avait produit les
effets qui en étaient attendus. Fara continua un petit moment afin d’être sûr
que le message était bien entré dans la tête de Marguerite. Il n’y avait
pourtant plus de souci de ce côté-là.
Marguerite continua à pleurer
alors que ses cris avaient disparu quand Fara reprit sa toilette. Il alla
directement au bas-ventre de Marguerite. Elle ne se déroba pas, quasiment
inconsciente du fait que la situation qu’elle redoutait était maintenant
réalité. Fara avait pris ses précautions en posant une main sur ses fesses, ce
qui contribuait à son immobilisation. Marguerite se sentait toute petite entre
les deux grands battoirs de son père adoptif.
Même quand les doigts de Fara se
concentrèrent sur sa vulve, elle ne réagit pas. Cet attouchement n’était pas
désagréable, et il n’y avait rien d’équivoque : un père qui lavait sa
petite fille et qui y accordait toute l’attention et toute la douceur
nécessaire.
Marguerite le laissa faire
jusqu’au bout. Elle devançait ses demandes en levant le pied ou en se tournant
au bon moment. La main de Fara, si efficace pour rougir les fesses, se fit
toute légère pour sécher les fesses encore très sensibles. Il en tapota
délicatement toute la surface plutôt que de l’essuyer fermement comme il le fit
pour tout le reste du corps de Marguerite. Ses deux compagnes avaient eu le
droit au même traitement.
Marguerite se sentit malgré tout
soulagée quand Fara lui passa sa chemise de nuit. Alors qu’elle l’avait trouvée
trop courte la veille, elle s’y sentait bien habillée aujourd’hui. D’avoir les
fesses nues sous le vêtement de nuit, ne lui paraissait presque plus impudique.
« Approche
Maeva ! »
Fara avait enduit ses doigts de
la crème utilisé pour pommader le sexe épilé. Maeva n’hésita qu’une petite
seconde. Elle vint se placer devant Fara et elle releva sa chemise de nuit. Les
doigts de Fara massèrent longuement le bas-ventre de Maeva. Celle-ci, crispée
au début, se détendit peu à peu. Marguerite sentait l’angoisse monter. Elle
n’avait aucun doute : elle serait la suivante.
« A ton tour, Marguerite. »
Ce fut un début de panique qui
saisit Marguerite. Toutes ses bonnes résolutions étaient envolées. Elle resta
sur place, tassée contre le mur de la salle de bain, aussi loin que possible de
Fara.
« Marguerite, faut-il que
j’aille te chercher ? »
Le ton employé était celui auquel
recourrait Fara en matière de dernier avertissement avant la fessée. Marguerite
réagit sans se poser de question. Elle vint se placer devant Fara, à la place
que Maeva venait de quitter.
« La chemise, Marguerite ! »
Il n’y eut pas plus d’hésitation
que Maeva en avait eu. Marguerite leva sa chemise de nuit au-dessus de sa
taille, laissa libre accès à son pubis. Fara y étala la crème, sans que Marguerite
ne fasse aucune difficulté. Le massage dura aussi longtemps qu’il était
nécessaire pour faire pénétrer l’onguent. De toute évidence nous étions dans un
contexte de la prise en charge de l’hygiène, et rien d’autre.
« Maeva, va dans ta chambre
en attendant le dîner. Toi aussi ma vilaine fille ! »
Fara donna une petite claque sur
les fesses de Marguerite que la chemise toujours relevée laissait à découvert. Marguerite
ne savait pas comment prendre cette dernière attention. Ce n’était pas vraiment
une vraie fessée, mais signifiait-elle que Fara était encore fâché ?
L’était-il encore pour longtemps, excédé par les désobéissances répétées de Marguerite ?
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 14
Mais, ce n'est pas fini
Y a-t-il une suite ? Bien sûr, le chapitre 16
Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !
Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.
Amis du savoir vivre et des bonnes lanières... Bonjour
RépondreSupprimerLe martinet s'impose, de plus en plus, comme l'avenir des paires de fesses en manque d'éducation. Le cuir a su vous séduire, sachez le faire reluire sur les derrières à chaque fois que cela s'avère nécessaire. Marguerite en sait quelque chose, qui se fait effeuiller les fesses sous la main de Fara. Le fesseur, fesse toujours deux fois!
Après l'effort de la fessée, le réconfort de la pommade après épilation, complément du câlin consolateur.
L'éducation en marche passe par toute sorte de gestes qui contribuent à entretenir la procédure de régression. Au bout... l'obéissance et le respect des règles de vie en société.
Mais y a t-il une marge entre le respect et la soumission? Ah! Zat iz ze Kouestion ?
Aller Marguerite encore une petite fessée, pour la route vers l'épanouissement!
Amicalement
Ramina.