Pour ma
part, je n’ai qu’une seule réponse positive, car les autres entreprises
affichent complet dans l’intégration de stagiaires, dans la mesure où plein d’étudiants ont eu la même démarche que la mienne.
Entre
étudiants, nous partageons nos trouvailles et ô surprise, mon amie Olga sera
dans la même entreprise que moi. Quant à Iourievna, elle a obtenu un stage dans
une autre entreprise. Dommage, nous ne serons pas réunies toutes les trois.
Rapidement,
la société WEBSOFT demande à nous rencontrer pour nous évaluer. En fonction de
ce rendez-vous, la directrice nous placera dans tel ou tel domaine. WEBSOFT est
une petite entreprise de quatre personnes et maintien des logiciels pour une
banque, c’est-à-dire que des conditions de travail sont strictes.
Olga et
moi allons à notre rendez-vous. C’est la directrice Fanny C., qui nous reçoit.
En effet, l’entreprise est petite mais toutes les conditions sont réunies pour
bien travailler. WEBSOFT est constitué de la directrice et commerciale, sa
secrétaire Daniela P. et de deux techniciens confirmés, Cyril D. et Sandra R.
qui œuvrent au développement et au maintien des logiciels bancaires.
L’entretien
se passe correctement et à la fin de l’entrevue, Fanny C. nous fait savoir
qu’elle est d’accord pour nous prendre durant notre mois de stage. Nous serons
affectées avec les autres employés sur des logiciels de second ordre, car les
applications critiques sont gérées par les gens confirmés, par mesures de
sécurité. Olga et moi allons avoir des logiciels des relations humaines de la
banque. Pour ce travail, une confidentialité est exigée, car il s’agit de
fichiers sensibles, car des données à caractères privées sont contenues dans
ces logiciels, tels que prénom, nom de famille, date de naissance, adresse,
état civil, etc.
En
revenant à l’école, nous annonçons avec fierté que nous avons trouvé notre
stage. C’est une contrariété de moins, car ce stage est impératif à effectuer.
Ne pas trouver d’entreprise est synonyme d’échec à l’examen.
Avant
notre stage, l’école envoie une convention de stage aux entreprises et celle-ci
revient pour que nous la signions. Lorsque celle-ci est entre nos mains, nous
sommes tous étonnés d’y trouver une mention spéciale. Il est écrit que
l’entreprise a carte blanche pour corriger corporellement les étudiants qui
viendraient à fauter dans le cadre de leur stage, que cette pratique est légale
dans l’enceinte de l’école et que les étudiants, garçons comme filles, ne
chercherons pas à se soustraire à une correction suite à une faute. Par
extension, cette pratique sera légale dans le cadre de leur stage.
Tous les
étudiants se regardent, éberlués de trouver cette mention sur une convention de
stage. Qu’elle soit légale au sein de l’école, passe encore, bien que ça ne
nous parait très discutable, mais de là à l’étendre aux entreprises, c’est un
comble !
Nous
allons trouver notre professeur principal, François F. qui nous dit que cette
mention a été rajoutée il y a peu de temps, car des remarques des entreprises
dans les années antérieures ont failli avoir de fâcheuses répercussions sur les
notes des élèves et qu’il vaut mieux que l’étudiant paie sa faute sur place et
qu’il reparte sur de meilleures bases mais qu’après tout, quelques bonnes
claques sur les fesses n’ont jamais fait de mal à personne tout en sachant
que s’il n’y a pas de problème, il n’y aura pas de correction corporelle ! La
plupart des directeurs des entreprises ont fait savoir qu’ils étaient
favorables à ce genre de pratiques. Les jeunes d’aujourd’hui sont les forces
vives de demain et qu’à ce titre, ils doivent être bien éduqués, être performants
pour faire avancer la société. Des étudiants tenus feront des adultes
responsables et fiables.
Nous
sommes obligés de signer les conventions de stages pour finaliser l’inscription
et l’engagement vis-à-vis de l’entreprise choisie. Les dés sont jetés et il
faudra s’efforcer de donner le meilleur de nous-même pour ne pas être la cible
des chefs d’entreprises.
Durant
les semaines qui précèdent le mois de stage, les conversations des étudiants
tournent autour des potentielles sanctions dans les entreprises. Certains n’y
croient pas, préférant croire que ces pratiques ne sont pas légales et que les
chefs d’entreprise n’oseront pas y avoir recours, d’autres, au contraire,
craignent qu’avec cette convention signée de notre main, des pervers en
profitent pour corriger des étudiants même s’ils ne le méritent pas. A force de
faire notre cinéma et de se monter la tête les uns les autres, une certaine
angoisse monte chez certains étudiants dont je fais partie, non pas que je sois
une mauvaise étudiante, mais j’ai une tendance à agir ou à parler trop vite,
sans réfléchir, ce qui m’a déjà valu des ennuis.
Lors de
la dernière journée de cours, François F. nous souhaite un bon mois de stage et
nous fait quelques recommandations pour que tout se passe bien. François F.
passera avec ses deux collègues de la partie informatique, Sandrine R. et Morgane
L. et le but de ces visites sera le suivi des travaux pratiques en entreprises
afin d’anticiper les éventuelles dérives pour le mémoire de fin d’année.
Pour
notre première journée en entreprise, Olga et moi partons ensemble et veillons
à ne pas être en retard, car ce serait dommageable pour cette journée
d’embauche. Notre maître de stage, Fanny C. nous reçoit et nous met directement
en relation avec nos collègues Cyril D. et Sandra R. pour une session de
formation sur les logiciels sur lesquels nous serons amenées à intervenir. Les
sessions sont denses car il y a pleins d’informations à emmagasiner afin d’être
performantes le plus rapidement possible, car en petite structure, les employés
ont beaucoup de travail et ne peuvent pas passer trop de temps à la formation.
Après
deux jours de formation, nous sommes mises en situation sur nos logiciels. Cyril
D. et Sandra R. nous aident bien pour nos débuts, car durant nos études, nous
n’avons pas tout vu et certains protocoles de communication de base de données
nous sont encore un peu flous, mais rapidement, nous devons intervenir en
urgence car les clients se plaignent des lenteurs de la base de données, ce qui
pénalise les transactions bancaires entre agences et siège social.
Dans la
précipitation pour remettre la base de données en état, Cyril D. provoque un
arrêt momentané de l’application pour corriger un problème d’accès par rapport
à des droits applicatifs. Aussitôt, le secrétariat de WEBSOFT est assailli de
demandes en provenance des agences bancaires. Nous voyons débarquer Fanny C.
qui demande des explications sur ce brutal arrêt des serveurs. Devant l’ampleur
des répercussions de l’arrêt, Cyril D. préfère nous accuser d’une fausse manip
plutôt que de s’accuser lui-même.
Fanny C. ne nous félicite pas pour cette
première manipulation. Nous avons beau lui dire que nos actions étaient
mineures, en tout cas, trop insignifiantes pour mettre en péril le serveur et
le réseau. Nous lui disons que nous ignorons pourquoi le système s’est
déconnecté mais nous lui affirmons que ce n’est pas nous. Cyril D. continue à
dire que seules nos manipulations étaient actives au moment où la base s’est
déconnectée du réseau. Quant à Sandra R., en toute bonne foi, elle suit les
conclusions de son collègue, car rien d’autre ne semble expliquer cette
déconnexion, mais il est clair que nos manipulations étaient belles et bien
mineures et qu’à priori, Sandra R. pense que nous avons dû toucher à autre
chose, peut-être sans nous en rendre compte.
Fanny C.
est prise entre deux feux, le fait de nous punir, car WEBSOFT va devoir payer
des pénalités d’indisponibilité par rapport au service rendu et le fait de nous
accorder le bénéfice du doute, car nos manipulations étaient effectivement
mineures et même elle n’explique pas la déconnexion.
Pour
marquer le coup tout de même, elle nous demande de nous mettre entièrement nues
et d’y rester le restant de la journée, pour nous apprendre à demander une
autorisation avant toute manipulation, car toute action doit être testée avec
une base de tests avant de les faire en base active, ce que nous n’avions pas
fait, notre seul tort.
Olga et
moi nous déshabillons en rougissant, car hormis le fait que nous ne nous
sentions pas coupable, nous allons être humiliées devant les employés. Lorsque
nous sommes nues, toute rouges de honte, nous nous couvrons les seins et le
pubis de nos mains, pour protéger notre pudeur, mais Fanny C. nous conseille de
retirer nos mains avant qu’elle se fâche et qu’elle utilise la ceinture.
Timidement, nous découvrons notre nudité. L’absence de pudeur nous fait
attraper la chair de poule, rougissant davantage et je sens que mes tétons se
dressent et durcissent sous la honte ressentie. Olga n’est pas en meilleur état
que moi. Nous sommes au bord des larmes. Devant notre nudité, Cyril D. est tout
émoustillé et une belle bosse se forme entre ses cuisses, ce qui le fait se
cacher légèrement pour ne pas être vu.
Fanny C.
nous renvoie à notre place en nous disant de faire attention, car à la
prochaine faute, même mineure, ce sera la fessée devant les autres employés,
nues, bien évidemment. Olga et moi retournons à notre place en prenant soin de
cacher au maximum notre corps, comme nous pouvons car Cyril D. se retourne
fréquemment pour se rincer l’œil ! Dans notre bureau exigu, nous sommes
presque collés les uns aux autres et il est difficile de masquer notre nudité,
d’autant plus que nous allons d’un poste de travail à l’autre, nous faisant
nous croiser.
En nous
rhabillant le soir, nous sommes soulagées que cette journée se finisse et Olga
et moi rentrons chez nous, sans nous vanter auprès de notre famille de cette
mise à nue en public comme première punition. Dans le bus, nous discutons de la
journée et en conclusion, nous ne voyons vraiment pas la cause de ce plantage,
c’est incompréhensible et nous trouvons rude notre nudité, car il n’est pas
prouvé que nos actions aient conduit à ce phénomène. Nous espérons que Fanny C.
ne fera pas mention de cet incident à nos professeurs. En fait, ce que nous
ignorons à ce moment-là, c’est que l’incident avait déjà été remonté à notre
école.
Dès le
lendemain, nous avons la visite de François F., Sandrine R. et Morgane L. car
le coup de fil de Fanny C. auprès de la proviseure a été suffisamment mal perçu
pour qu’une visite soit déclenchée. La réputation de l’école ne devant pas être
salie, au moindre incident, les choses doivent être éclaircies et s’il y a eu
faute, celle-ci doit être sanctionnée.
Olga et
moi somme convoquées dans le bureau de Fanny C. et nous devons nous expliquer
sur l’incident de la veille, car il est impensable que la société qui emploi un
stagiaire soit pénalisée par des mauvaises manipulations de celui-ci.
Fanny C.
explique à nos professeurs le contexte de l’incident. Nous tentons de nous
justifier, en disant qu’aucune de nos manipulations n’a pu mettre le système en
arrêt, car nous n’avions pas accès aux mots de passe pour changer la
configuration. François F. nous fait taire, car il
voit bien que nous sommes en train d’essayer de nous dédouaner de la faute. A
aucun moment, nos professeurs ne pensent que nous pouvions dire la vérité. Ils
se fient à l’avis des professionnels. François F. dit à Fanny C. de ne pas
hésiter à nous punir, car nous l’avons déjà été et le règlement de l’école le lui
autorise.
Fanny C.
demande à Cyril D., Daniela P. et Sandra R., car elle décide de nous châtier
pour la faute commise. Les remarques de François F. ont fait tomber ses derniers
scrupules.
Fanny C.
nous ordonne de nous mettre entièrement nue, pour alourdir la correction. Nous
protestons, car nous allons être fouettées en public et nous ne le méritons
pas. Sandrine R. et Morgane L. nous gifle pour nous faire taire et nous rendre
soumises. La joue rouge, nous retirons nos vêtements, bien consciente que plus
rien ne nous empêchera de recevoir la fessée et toute désapprobation ne fera
qu’amplifier la punition.
Lorsqu’Olga
et moi nous sommes nues, Sandrine R. et Morgane L. empoignent Olga, la courbent
et chacune leur tour, la cinglent de coups de lanière de cuir. Olga ne tarde
pas à hurler de douleur tout en sautillant sur place et en se contorsionnant
dans tous les sens. Les deux professeures ne le ménagent pas. Les lanières lui
rougissent les fesses de belle façon. Des boursouflures et des marques très
rouges se forment sur les zones où les ceintures ont cinglé. N’en pouvant plus,
Olga se retourne en suppliant d’arrêter, en sueur, le visage inondé de larmes
et les cheveux en bataille, tant elle s’est démenée. François F. lui conseille
de se remettre en position sinon, il donnera l’autorisation aux professeures de
lui cingler le bas ventre, l’abdomen et les seins. Ce rappel à l’ordre
contraint Olga à se remettre en position pour offrir ses fesses aux lanières
pour la fin de sa correction.
Pendant
la fessée d’Olga, je regarde autour de moi et je vois que Cyril D., Daniela P.
et Sandra R. sont assis, réjouis du spectacle auquel ils assistent. Ils ont
tous les trois une main sous la table et je me doute de ce qu’ils sont en train
de faire... Je leur en veux, car notre douleur intense leur donne du plaisir et
cela m’est insupportable. S’ils étaient à notre place, ils se comporteraient
différemment.
Deux
hurlements stridents me sortent de ma torpeur, car les deux dernières cinglées
ont zébré le dos d’Olga, lui faisant un X partant des omoplates en finissant
sur le milieu du dos. Olga sanglote même après la dernière cinglée reçue. Sandrine
R. et Morgane L. la prennent chacune par un bras et la mettent à genou pour
qu’elle assiste à ma fessée.
Voyant
comment a été punie Olga, une peur panique s’empare de moi. D’un réflexe
insensé, je tente de fuir pour échapper à la correction. Plus prompt que moi,
François F. me barre le passage vers la porte. Même en tentant de forcer le
passage, François F. me retient et me ramène vers le centre de la pièce. Je
pousse des cris de peur en me roulant par terre pour tenter de de soustraire à
la punition. Me tenant par les mains, François F. autorise les deux professeurs
de me fouetter le dos pour me calmer. Sans se faire prier, Sandrine R. et
Morgane L. me cinglent le dos à la volée. Les cinglées me font hurler comme une
démente en me secouant dans tous les sens. J’implore le pardon, mais je me
rends compte que c’est trop tard. Lorsqu’une vingtaine de cinglées m’ont
marquée le dos, François F. me lâche et je reprends mon souffle en sanglotant.
Les cinglées sur le dos n’ont pas été très précis et dans la mesure où je
gesticulais sous la douleur, le bout des lanières est venu me cinglé les flancs
et une partie des seins. Ceux-ci me brûlent affreusement.
Sandrine
R. et Morgane L. m’empoignent et me relèvent. François F. se rend vite compte
que j’ai les seins marqués. Après quelques palpations qui me font dresser davantage
les tétons, ravissant les spectateurs, François F. donne l’autorisation qu’on
me courbe sur le bureau et pour éviter que je bouge, mes poignets seront
attachés.
Sans
douceur, mes poignets sont liés et la corde attachée au pied du bureau, de
cette façon, je suis immobilisée. Sandrine R. et Morgane L. s’emploient à me
cingler les fesses comme celles d’Olga. Je ne retiens pas mes hurlements. Je
tape des pieds car les cinglées me font l’effet de barres brulantes posées à
même la peau. Je m’agite, mais les liens empêchent tout mouvement. Je ne peux
que subir ma correction. Entre deux hurlements j’implore, mais la cinglée
suivante m’arrache un autre hurlement, m’empêchant d’aller au bout de ma
supplique.
Lorsque
la fessée est finie, je sanglote comme une petite fille, toute tremblante. On
me détache et je termine à genoux, recroquevillée sur moi-même. Sandrine R. et Morgane L. me relèvent et me mettent à genoux
près d’Olga qui a eu le temps de se calmer, bien que le bas de son corps soit
encore en feu. Je regarde mes hanches et je vois de longues zébrures rouges.
J’ai l’impression que mon corps est embrasé. A chaque mouvement, je ne peux que
gémir en grimaçant. Ça risque de demander plusieurs jours avant de pouvoir de
nouveau être comme avant.
François
F. nous dit qu’il va faire un mail à nos parents, via l’application de gestion
de vie étudiante ( établissement / étudiants / Parents ), pour les prévenir de
notre faute et de notre correction au sein de l’entreprise.
Après le
départ de nos professeurs, Fanny C. nous laisse méditer une heure, à genoux,
les mains sur la tête. A part des reniflements et des plaintes, nous tentons
d’être les plus silencieuses possible, pour ne pas aggraver notre cas.
La plus
compatissante est la secrétaire, Daniela P. qui vient nous donner à boire et
nous essuie le corps avec une serviette, car nous sommes moites de sueur d’avoir
gesticulé comme des furies.
Lorsque
Fanny C. vient nous annoncer la fin de notre pénitence, elle nous renvoie à
notre poste de travail, dans la simple tenue, mais notre nudité passe au second
plan, car seule compte les douleurs de notre corps. Nous ne nous faisons pas
prier pour reprendre place à notre poste de travail et c’est en criant et en
gigotant que nous nous asseyons. Cyril D. semble ravi de nous voir nous
contorsionner, exhibant notre corps à son regard.
Nous
passons le reste de l’après midi comme ça et notre rendement n’est vraiment pas
au top, jusqu’au moment où la journée se termine. Fanny C. nous jette nos
vêtements à la figure et nous conseille de filer, car elle nous a assez vu pour
aujourd’hui. Nous nous rhabillons assez sommairement, car les tissus serrés
nous font mal. Nous avons à peine le temps de nous recoiffer que Fanny C. nous
fiche à la porte, en nous disant que demain sera un autre jour et qu’elle nous
conseille de méditer ce qui est arrivé pour ne pas recommencer, car elle sait
comment nous discipliner et n’hésitera pas un seul instant.
C’est
toutes penaudes que nous regagnons notre domicile où nous sommes accueillies avec
des reproches de la part de nos parents, qui une nouvelle fois sont déçus par
notre comportement. Maman me demande quand est-ce que je vais finalement
comprendre et mûrir enfin ? Je n’ose même pas lui confier mes doutes quant
à notre réelle responsabilité dans l’événement. Maman me fait me mettre nue
pour examiner mes marques rouges. Je passe la soirée, avec des linges humides
sur le dos, les fesses et les cuisses pour tenter de calmer le feu. Papa est
plus incisif et me reproche de m’être encore fait remarquer du mauvais côté et
lorsqu’il voit mes marques, il est satisfait de ce que mes professeurs m’ont
infligés. Il trouve juste dommage que mes seins n’aient pas été davantage
cinglés pour me faire réfléchir.
Après cet
événement, Olga et moi nous montrons bien plus sérieuses et nous demandons
toujours des garanties avant d’agir, ce qui nous vaut une appréciation très
correcte en fin de stage, après ce si mauvais départ !
Une série écrite par Elena
Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 17Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités
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Amis de la poésie et des bonnes lanières, bonjour...
RépondreSupprimerEt voilà, encore les joies d'internet! Quand la base se déconnecte du réseau, le logiciel fessée se met en activité avec l'application ceinture et mise à jour du fondement des techniciennes !
En fait l'informatique c'est simple comme un coup de ceinture sur les fesses!
Toujours un peu longues(à mon gôut )les introductions, mais qui permettent cependant de placer le déroulement des corrections dans un contexte réaliste, relié à une actualité crédible. Les sanctions quant à elles, confinent à l'hyper-réalisme tant les fessées sont sévères!
Sûr qu'une bonne fessée pour sanctionner une faute professionnelle vaudraient mieux qu'un licenciement sec, finalement plus radical qu'une paire de fesses provisoirement écarlate!
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerEn effet, mes scénarios sont un peu comme des films, il y a une présentation du contexte qui conduit à la fessée. Les plans sont de plus en plus précis, d'abord en plan large pour la présentation des protagonistes et plus le récit avance, plus le plan se resserre sur la fessée, les ressentis, les témoins, etc. pour finir sur un épilogue que j'aime bénéfique pour toutes les parties en présence.
Amitiés.
Elena.
Bonjour Élena et Ramina,
RépondreSupprimerPour ma part, j'apprécie énormément, au contraire, les introductions qui prennent leur temps. J'ai alors toute latitude de me pénétrer d'une situation dans laquelle va émerger la fessée. Dans ce texte précis, j'aime bien l'ambiguïté qui plane sur la culpabilité de ces stagiaires. On est tout de même en droit de supposer que les garçons se sont débrouillés pour piéger les filles et pouvoir se rincer l'œil en toute impunité. Sans doute n'auront-elles jamais vraiment avec certitude la réponse.
Amicalement.
François