lundi 28 octobre 2019

Les rebelles - chapitre 18

Durant nos études, nous avons obligation de faire quelques stages en entreprise. Sandrine R., notre professeur d’informatique, nous présente un listing avec les entreprises de la région qui prennent des stagiaires et nous lançons notre curriculum vitae et notre lettre de motivation. C’est une période de stress pour nous, car à notre examen nous aurons une soutenance et la note obtenue lors du stage comptera dans la moyenne. Nous devons bien évidemment obtenir un stage mais celui-ci devra être de qualité et les entreprises qui prennent des stagiaires pour les former sont peu nombreuses, les autres se contentent d’utiliser les étudiants comme personnel bon marché à faire le travail que les autres rechignent à faire.

Pour ma part, je n’ai qu’une seule réponse positive, car les autres entreprises affichent complet dans l’intégration de stagiaires, dans la mesure où plein d’étudiants ont eu la même démarche que la mienne.
Entre étudiants, nous partageons nos trouvailles et ô surprise, mon amie Olga sera dans la même entreprise que moi. Quant à Iourievna, elle a obtenu un stage dans une autre entreprise. Dommage, nous ne serons pas réunies toutes les trois.
Rapidement, la société WEBSOFT demande à nous rencontrer pour nous évaluer. En fonction de ce rendez-vous, la directrice nous placera dans tel ou tel domaine. WEBSOFT est une petite entreprise de quatre personnes et maintien des logiciels pour une banque, c’est-à-dire que des conditions de travail sont strictes.
Olga et moi allons à notre rendez-vous. C’est la directrice Fanny C., qui nous reçoit. En effet, l’entreprise est petite mais toutes les conditions sont réunies pour bien travailler. WEBSOFT est constitué de la directrice et commerciale, sa secrétaire Daniela P. et de deux techniciens confirmés, Cyril D. et Sandra R. qui œuvrent au développement et au maintien des logiciels bancaires.
L’entretien se passe correctement et à la fin de l’entrevue, Fanny C. nous fait savoir qu’elle est d’accord pour nous prendre durant notre mois de stage. Nous serons affectées avec les autres employés sur des logiciels de second ordre, car les applications critiques sont gérées par les gens confirmés, par mesures de sécurité. Olga et moi allons avoir des logiciels des relations humaines de la banque. Pour ce travail, une confidentialité est exigée, car il s’agit de fichiers sensibles, car des données à caractères privées sont contenues dans ces logiciels, tels que prénom, nom de famille, date de naissance, adresse, état civil, etc.

En revenant à l’école, nous annonçons avec fierté que nous avons trouvé notre stage. C’est une contrariété de moins, car ce stage est impératif à effectuer. Ne pas trouver d’entreprise est synonyme d’échec à l’examen.
Avant notre stage, l’école envoie une convention de stage aux entreprises et celle-ci revient pour que nous la signions. Lorsque celle-ci est entre nos mains, nous sommes tous étonnés d’y trouver une mention spéciale. Il est écrit que l’entreprise a carte blanche pour corriger corporellement les étudiants qui viendraient à fauter dans le cadre de leur stage, que cette pratique est légale dans l’enceinte de l’école et que les étudiants, garçons comme filles, ne chercherons pas à se soustraire à une correction suite à une faute. Par extension, cette pratique sera légale dans le cadre de leur stage.
Tous les étudiants se regardent, éberlués de trouver cette mention sur une convention de stage. Qu’elle soit légale au sein de l’école, passe encore, bien que ça ne nous parait très discutable, mais de là à l’étendre aux entreprises, c’est un comble !
Nous allons trouver notre professeur principal, François F. qui nous dit que cette mention a été rajoutée il y a peu de temps, car des remarques des entreprises dans les années antérieures ont failli avoir de fâcheuses répercussions sur les notes des élèves et qu’il vaut mieux que l’étudiant paie sa faute sur place et qu’il reparte sur de meilleures bases mais qu’après tout, quelques bonnes claques sur les fesses n’ont jamais fait de mal à personne tout en sachant que s’il n’y a pas de problème, il n’y aura pas de correction corporelle ! La plupart des directeurs des entreprises ont fait savoir qu’ils étaient favorables à ce genre de pratiques. Les jeunes d’aujourd’hui sont les forces vives de demain et qu’à ce titre, ils doivent être bien éduqués, être performants pour faire avancer la société. Des étudiants tenus feront des adultes responsables et fiables.
Nous sommes obligés de signer les conventions de stages pour finaliser l’inscription et l’engagement vis-à-vis de l’entreprise choisie. Les dés sont jetés et il faudra s’efforcer de donner le meilleur de nous-même pour ne pas être la cible des chefs d’entreprises.
Durant les semaines qui précèdent le mois de stage, les conversations des étudiants tournent autour des potentielles sanctions dans les entreprises. Certains n’y croient pas, préférant croire que ces pratiques ne sont pas légales et que les chefs d’entreprise n’oseront pas y avoir recours, d’autres, au contraire, craignent qu’avec cette convention signée de notre main, des pervers en profitent pour corriger des étudiants même s’ils ne le méritent pas. A force de faire notre cinéma et de se monter la tête les uns les autres, une certaine angoisse monte chez certains étudiants dont je fais partie, non pas que je sois une mauvaise étudiante, mais j’ai une tendance à agir ou à parler trop vite, sans réfléchir, ce qui m’a déjà valu des ennuis.
Lors de la dernière journée de cours, François F. nous souhaite un bon mois de stage et nous fait quelques recommandations pour que tout se passe bien. François F. passera avec ses deux collègues de la partie informatique, Sandrine R. et Morgane L. et le but de ces visites sera le suivi des travaux pratiques en entreprises afin d’anticiper les éventuelles dérives pour le mémoire de fin d’année.

Pour notre première journée en entreprise, Olga et moi partons ensemble et veillons à ne pas être en retard, car ce serait dommageable pour cette journée d’embauche. Notre maître de stage, Fanny C. nous reçoit et nous met directement en relation avec nos collègues Cyril D. et Sandra R. pour une session de formation sur les logiciels sur lesquels nous serons amenées à intervenir. Les sessions sont denses car il y a pleins d’informations à emmagasiner afin d’être performantes le plus rapidement possible, car en petite structure, les employés ont beaucoup de travail et ne peuvent pas passer trop de temps à la formation.
Après deux jours de formation, nous sommes mises en situation sur nos logiciels. Cyril D. et Sandra R. nous aident bien pour nos débuts, car durant nos études, nous n’avons pas tout vu et certains protocoles de communication de base de données nous sont encore un peu flous, mais rapidement, nous devons intervenir en urgence car les clients se plaignent des lenteurs de la base de données, ce qui pénalise les transactions bancaires entre agences et siège social.
Dans la précipitation pour remettre la base de données en état, Cyril D. provoque un arrêt momentané de l’application pour corriger un problème d’accès par rapport à des droits applicatifs. Aussitôt, le secrétariat de WEBSOFT est assailli de demandes en provenance des agences bancaires. Nous voyons débarquer Fanny C. qui demande des explications sur ce brutal arrêt des serveurs. Devant l’ampleur des répercussions de l’arrêt, Cyril D. préfère nous accuser d’une fausse manip plutôt que de s’accuser lui-même.
Fanny C. ne nous félicite pas pour cette première manipulation. Nous avons beau lui dire que nos actions étaient mineures, en tout cas, trop insignifiantes pour mettre en péril le serveur et le réseau. Nous lui disons que nous ignorons pourquoi le système s’est déconnecté mais nous lui affirmons que ce n’est pas nous. Cyril D. continue à dire que seules nos manipulations étaient actives au moment où la base s’est déconnectée du réseau. Quant à Sandra R., en toute bonne foi, elle suit les conclusions de son collègue, car rien d’autre ne semble expliquer cette déconnexion, mais il est clair que nos manipulations étaient belles et bien mineures et qu’à priori, Sandra R. pense que nous avons dû toucher à autre chose, peut-être sans nous en rendre compte.
Fanny C. est prise entre deux feux, le fait de nous punir, car WEBSOFT va devoir payer des pénalités d’indisponibilité par rapport au service rendu et le fait de nous accorder le bénéfice du doute, car nos manipulations étaient effectivement mineures et même elle n’explique pas la déconnexion.
Pour marquer le coup tout de même, elle nous demande de nous mettre entièrement nues et d’y rester le restant de la journée, pour nous apprendre à demander une autorisation avant toute manipulation, car toute action doit être testée avec une base de tests avant de les faire en base active, ce que nous n’avions pas fait, notre seul tort.
Olga et moi nous déshabillons en rougissant, car hormis le fait que nous ne nous sentions pas coupable, nous allons être humiliées devant les employés. Lorsque nous sommes nues, toute rouges de honte, nous nous couvrons les seins et le pubis de nos mains, pour protéger notre pudeur, mais Fanny C. nous conseille de retirer nos mains avant qu’elle se fâche et qu’elle utilise la ceinture. Timidement, nous découvrons notre nudité. L’absence de pudeur nous fait attraper la chair de poule, rougissant davantage et je sens que mes tétons se dressent et durcissent sous la honte ressentie. Olga n’est pas en meilleur état que moi. Nous sommes au bord des larmes. Devant notre nudité, Cyril D. est tout émoustillé et une belle bosse se forme entre ses cuisses, ce qui le fait se cacher légèrement pour ne pas être vu.
Fanny C. nous renvoie à notre place en nous disant de faire attention, car à la prochaine faute, même mineure, ce sera la fessée devant les autres employés, nues, bien évidemment. Olga et moi retournons à notre place en prenant soin de cacher au maximum notre corps, comme nous pouvons car Cyril D. se retourne fréquemment pour se rincer l’œil ! Dans notre bureau exigu, nous sommes presque collés les uns aux autres et il est difficile de masquer notre nudité, d’autant plus que nous allons d’un poste de travail à l’autre, nous faisant nous croiser.
En nous rhabillant le soir, nous sommes soulagées que cette journée se finisse et Olga et moi rentrons chez nous, sans nous vanter auprès de notre famille de cette mise à nue en public comme première punition. Dans le bus, nous discutons de la journée et en conclusion, nous ne voyons vraiment pas la cause de ce plantage, c’est incompréhensible et nous trouvons rude notre nudité, car il n’est pas prouvé que nos actions aient conduit à ce phénomène. Nous espérons que Fanny C. ne fera pas mention de cet incident à nos professeurs. En fait, ce que nous ignorons à ce moment-là, c’est que l’incident avait déjà été remonté à notre école.

Dès le lendemain, nous avons la visite de François F., Sandrine R. et Morgane L. car le coup de fil de Fanny C. auprès de la proviseure a été suffisamment mal perçu pour qu’une visite soit déclenchée. La réputation de l’école ne devant pas être salie, au moindre incident, les choses doivent être éclaircies et s’il y a eu faute, celle-ci doit être sanctionnée.
Olga et moi somme convoquées dans le bureau de Fanny C. et nous devons nous expliquer sur l’incident de la veille, car il est impensable que la société qui emploi un stagiaire soit pénalisée par des mauvaises manipulations de celui-ci.
Fanny C. explique à nos professeurs le contexte de l’incident. Nous tentons de nous justifier, en disant qu’aucune de nos manipulations n’a pu mettre le système en arrêt, car nous n’avions pas accès aux mots de passe pour changer la configuration. François F. nous fait taire, car il voit bien que nous sommes en train d’essayer de nous dédouaner de la faute. A aucun moment, nos professeurs ne pensent que nous pouvions dire la vérité. Ils se fient à l’avis des professionnels. François F. dit à Fanny C. de ne pas hésiter à nous punir, car nous l’avons déjà été et le règlement de l’école le lui autorise.
Fanny C. demande à Cyril D., Daniela P. et Sandra R., car elle décide de nous châtier pour la faute commise. Les remarques de François F. ont fait tomber ses derniers scrupules.
Fanny C. nous ordonne de nous mettre entièrement nue, pour alourdir la correction. Nous protestons, car nous allons être fouettées en public et nous ne le méritons pas. Sandrine R. et Morgane L. nous gifle pour nous faire taire et nous rendre soumises. La joue rouge, nous retirons nos vêtements, bien consciente que plus rien ne nous empêchera de recevoir la fessée et toute désapprobation ne fera qu’amplifier la punition.
Lorsqu’Olga et moi nous sommes nues, Sandrine R. et Morgane L. empoignent Olga, la courbent et chacune leur tour, la cinglent de coups de lanière de cuir. Olga ne tarde pas à hurler de douleur tout en sautillant sur place et en se contorsionnant dans tous les sens. Les deux professeures ne le ménagent pas. Les lanières lui rougissent les fesses de belle façon. Des boursouflures et des marques très rouges se forment sur les zones où les ceintures ont cinglé. N’en pouvant plus, Olga se retourne en suppliant d’arrêter, en sueur, le visage inondé de larmes et les cheveux en bataille, tant elle s’est démenée. François F. lui conseille de se remettre en position sinon, il donnera l’autorisation aux professeures de lui cingler le bas ventre, l’abdomen et les seins. Ce rappel à l’ordre contraint Olga à se remettre en position pour offrir ses fesses aux lanières pour la fin de sa correction.
Pendant la fessée d’Olga, je regarde autour de moi et je vois que Cyril D., Daniela P. et Sandra R. sont assis, réjouis du spectacle auquel ils assistent. Ils ont tous les trois une main sous la table et je me doute de ce qu’ils sont en train de faire... Je leur en veux, car notre douleur intense leur donne du plaisir et cela m’est insupportable. S’ils étaient à notre place, ils se comporteraient différemment.
Deux hurlements stridents me sortent de ma torpeur, car les deux dernières cinglées ont zébré le dos d’Olga, lui faisant un X partant des omoplates en finissant sur le milieu du dos. Olga sanglote même après la dernière cinglée reçue. Sandrine R. et Morgane L. la prennent chacune par un bras et la mettent à genou pour qu’elle assiste à ma fessée.

Voyant comment a été punie Olga, une peur panique s’empare de moi. D’un réflexe insensé, je tente de fuir pour échapper à la correction. Plus prompt que moi, François F. me barre le passage vers la porte. Même en tentant de forcer le passage, François F. me retient et me ramène vers le centre de la pièce. Je pousse des cris de peur en me roulant par terre pour tenter de de soustraire à la punition. Me tenant par les mains, François F. autorise les deux professeurs de me fouetter le dos pour me calmer. Sans se faire prier, Sandrine R. et Morgane L. me cinglent le dos à la volée. Les cinglées me font hurler comme une démente en me secouant dans tous les sens. J’implore le pardon, mais je me rends compte que c’est trop tard. Lorsqu’une vingtaine de cinglées m’ont marquée le dos, François F. me lâche et je reprends mon souffle en sanglotant. Les cinglées sur le dos n’ont pas été très précis et dans la mesure où je gesticulais sous la douleur, le bout des lanières est venu me cinglé les flancs et une partie des seins. Ceux-ci me brûlent affreusement.
Sandrine R. et Morgane L. m’empoignent et me relèvent. François F. se rend vite compte que j’ai les seins marqués. Après quelques palpations qui me font dresser davantage les tétons, ravissant les spectateurs, François F. donne l’autorisation qu’on me courbe sur le bureau et pour éviter que je bouge, mes poignets seront attachés.
Sans douceur, mes poignets sont liés et la corde attachée au pied du bureau, de cette façon, je suis immobilisée. Sandrine R. et Morgane L. s’emploient à me cingler les fesses comme celles d’Olga. Je ne retiens pas mes hurlements. Je tape des pieds car les cinglées me font l’effet de barres brulantes posées à même la peau. Je m’agite, mais les liens empêchent tout mouvement. Je ne peux que subir ma correction. Entre deux hurlements j’implore, mais la cinglée suivante m’arrache un autre hurlement, m’empêchant d’aller au bout de ma supplique.

Lorsque la fessée est finie, je sanglote comme une petite fille, toute tremblante. On me détache et je termine à genoux, recroquevillée sur moi-même. Sandrine R. et Morgane L. me relèvent et me mettent à genoux près d’Olga qui a eu le temps de se calmer, bien que le bas de son corps soit encore en feu. Je regarde mes hanches et je vois de longues zébrures rouges. J’ai l’impression que mon corps est embrasé. A chaque mouvement, je ne peux que gémir en grimaçant. Ça risque de demander plusieurs jours avant de pouvoir de nouveau être comme avant.
François F. nous dit qu’il va faire un mail à nos parents, via l’application de gestion de vie étudiante ( établissement / étudiants / Parents ), pour les prévenir de notre faute et de notre correction au sein de l’entreprise.
Après le départ de nos professeurs, Fanny C. nous laisse méditer une heure, à genoux, les mains sur la tête. A part des reniflements et des plaintes, nous tentons d’être les plus silencieuses possible, pour ne pas aggraver notre cas.
La plus compatissante est la secrétaire, Daniela P. qui vient nous donner à boire et nous essuie le corps avec une serviette, car nous sommes moites de sueur d’avoir gesticulé comme des furies.
Lorsque Fanny C. vient nous annoncer la fin de notre pénitence, elle nous renvoie à notre poste de travail, dans la simple tenue, mais notre nudité passe au second plan, car seule compte les douleurs de notre corps. Nous ne nous faisons pas prier pour reprendre place à notre poste de travail et c’est en criant et en gigotant que nous nous asseyons. Cyril D. semble ravi de nous voir nous contorsionner, exhibant notre corps à son regard.
Nous passons le reste de l’après midi comme ça et notre rendement n’est vraiment pas au top, jusqu’au moment où la journée se termine. Fanny C. nous jette nos vêtements à la figure et nous conseille de filer, car elle nous a assez vu pour aujourd’hui. Nous nous rhabillons assez sommairement, car les tissus serrés nous font mal. Nous avons à peine le temps de nous recoiffer que Fanny C. nous fiche à la porte, en nous disant que demain sera un autre jour et qu’elle nous conseille de méditer ce qui est arrivé pour ne pas recommencer, car elle sait comment nous discipliner et n’hésitera pas un seul instant.

C’est toutes penaudes que nous regagnons notre domicile où nous sommes accueillies avec des reproches de la part de nos parents, qui une nouvelle fois sont déçus par notre comportement. Maman me demande quand est-ce que je vais finalement comprendre et mûrir enfin ? Je n’ose même pas lui confier mes doutes quant à notre réelle responsabilité dans l’événement. Maman me fait me mettre nue pour examiner mes marques rouges. Je passe la soirée, avec des linges humides sur le dos, les fesses et les cuisses pour tenter de calmer le feu. Papa est plus incisif et me reproche de m’être encore fait remarquer du mauvais côté et lorsqu’il voit mes marques, il est satisfait de ce que mes professeurs m’ont infligés. Il trouve juste dommage que mes seins n’aient pas été davantage cinglés pour me faire réfléchir.
Après cet événement, Olga et moi nous montrons bien plus sérieuses et nous demandons toujours des garanties avant d’agir, ce qui nous vaut une appréciation très correcte en fin de stage, après ce si mauvais départ !


Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 17
Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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3 commentaires:

  1. Amis de la poésie et des bonnes lanières, bonjour...

    Et voilà, encore les joies d'internet! Quand la base se déconnecte du réseau, le logiciel fessée se met en activité avec l'application ceinture et mise à jour du fondement des techniciennes !
    En fait l'informatique c'est simple comme un coup de ceinture sur les fesses!
    Toujours un peu longues(à mon gôut )les introductions, mais qui permettent cependant de placer le déroulement des corrections dans un contexte réaliste, relié à une actualité crédible. Les sanctions quant à elles, confinent à l'hyper-réalisme tant les fessées sont sévères!
    Sûr qu'une bonne fessée pour sanctionner une faute professionnelle vaudraient mieux qu'un licenciement sec, finalement plus radical qu'une paire de fesses provisoirement écarlate!
    Amicalement
    Ramina

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  2. Bonjour Ramina,
    En effet, mes scénarios sont un peu comme des films, il y a une présentation du contexte qui conduit à la fessée. Les plans sont de plus en plus précis, d'abord en plan large pour la présentation des protagonistes et plus le récit avance, plus le plan se resserre sur la fessée, les ressentis, les témoins, etc. pour finir sur un épilogue que j'aime bénéfique pour toutes les parties en présence.
    Amitiés.
    Elena.

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  3. Bonjour Élena et Ramina,
    Pour ma part, j'apprécie énormément, au contraire, les introductions qui prennent leur temps. J'ai alors toute latitude de me pénétrer d'une situation dans laquelle va émerger la fessée. Dans ce texte précis, j'aime bien l'ambiguïté qui plane sur la culpabilité de ces stagiaires. On est tout de même en droit de supposer que les garçons se sont débrouillés pour piéger les filles et pouvoir se rincer l'œil en toute impunité. Sans doute n'auront-elles jamais vraiment avec certitude la réponse.
    Amicalement.
    François

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