lundi 21 octobre 2019

Les Rebelles - chapitre 17

Un week-end, des voisins, Agathe dix-neuf ans et Axel juste dix-huit ans, m’invitent à aller avec eux au château de LA NAPOULE dans la ville de MANDELIEU à une quarantaine de kilomètres de chez nous. Ils ont vu que ce château était une attraction dans la région et ça valait vraiment le coup d’y aller.
Agathe se renseigne auprès de la compagnie de bus de la ville et en trois quart d’heure, nous pouvons être à pied d’œuvre. Nous y passerons la journée : Visite du château le matin, repas dans une brasserie au bord de la plage et promenade et bronzette l’après-midi. Un super programme.

Le Samedi matin, Agathe et Axel passent me chercher à la maison et tous les trois, nous partons pour la gare routière où, par ce début de journée ensoleillé, il y a pas mal de monde. Nous repérons les arrêts et en effet, un bus va à MANDELIEU. Nous prenons un ticket et nous nous installons, tout excité par la perspective de cette bonne journée. Peu de temps après le bus démarre et nous prenons la route nationale pour MANDELIEU. Nous passons à travers des villages vraiment pittoresques et à cette heure matinale où la circulation n’est pas intense, nous arrivons à l’heure dite, à la gare routière de MANDELIEU.
Le château n’ouvre que dans une heure, pour nous, le temps de faire une promenade sur la plage. A notre grand étonnement, la plage n’est pas très large et il y a surtout le château qui est construit en hauteur par rapport au niveau de la mer. En fait, les anciens propriétaires aimaient regarder au loin la mer depuis la terrasse et de temps en temps, ils avaient l’habitude de descendre par un escalier jusque sur leur plage privée depuis leur domicile. C’est ce que l’on pourrait appeler une propriété, les pieds dans l’eau ! En longeant le rivage, nous arrivons près du promontoire et nous voyons une grille qui barre l’accès à ce fameux escalier privé.
Nous remontons de notre excursion sur la plage en contrebas et nous prenons la file d’attente pour la visite. Malheureusement pour nous, il y a beaucoup de monde et un groupe est déjà en train d’entrer avec un guide, de ce fait nous sommes obligés d’attendre que le second guide arrive, ce qui ne se fera pas dans les minutes qui suivent. L’accueil nous dit que le guide n’est pas là, et nous allons être obligés d’attendre la fin de la première visite pour rentrer.
Nous prenons notre mal en patience et nous nous asseyons sur un muret en attendant que le premier groupe quitte les lieux, ce qui devrait se faire au bout d’une heure et demie. Assez long tout de même.
Axel nous dit que lors de la visite, il est prévu que les gens empruntent l’escalier pour allier sur la plage, comme au temps des anciens propriétaires. Axel a une idée qui serait de se cacher sur la plage, attendre que les visiteurs sortent et avec le groupe, nous pourrions rentrer et en plus, ça nous éviterait de payer l’entrée. Tout d’abord interloquées par cette idée, Agathe et moi commençons par refuser la proposition en disant que c’est risqué, car le guide risque de voir que trois jeunes n’étaient pas au début de la visite. Nous n’allons pas passer inaperçus comme ça.
Mais l’idée faisant son chemin, Agathe se laisse tentée, elle aussi, faisant confiance à Axel, pour ce plan assez aventureux. Je reste sur ma décision, celle d’attendre le second groupe. Je ne tiens pas à avoir de problèmes, car le plan me parait téméraire. Axel et Agathe partent tous les deux en me disant qu’on se retrouvera à l’intérieur avec le second groupe, mais qu’eux auront déjà bien visité le domaine. Je suis à la limite de me laisser entraîner, en me disant que je vais attendre comme une cruche, pendant qu’eux, si ça marche, auront de l’avance sur moi, avec une entrée gratuite. Mais au dernier moment, je renonce, trop peureuse et puis avec mes frasques à l’école, si mes parents ont vent de ma fraude, je m’en prendrais une autre, c’est sûr, ce qui finit de me convaincre de prendre la solution la plus sûre.
En regardant par-dessus la rambarde, je guette l’arrivée de mes deux amis sur la plage, mais au bout de dix minutes, je ne vois personne et je me dis qu’ils auront renoncé et je m’attends à les voir arriver à tout instant et puis non, personne en vue, ni sur la plage, ni dans la file d’attente. De deux choses, l’une soit ils sont rentrés sans problèmes, car je vois le premier groupe sur la plage, soit ils ont eu des problèmes avant même de pouvoir entrer, ce qui m’inquiète. Je me penche encore et encore pour tenter de voir ce qu’il se passe en bas et de ce fait, je me fais invectiver par la guichetière qui, à la troisième remarque, me hurle dessus en disant que c’est super dangereux de se pencher comme je le fais. J’ai beau lui dire que je me tiens à la barrière, elle ne veut rien savoir, je ne dois pas me pencher, un point c’est tout. Je décide donc de reprendre ma place dans la file et d’attendre la suite des évènements.
Lorsque je rentre dans le château, le premier groupe est en train de sortir, mais je ne vois pas mes amis. Je pense qu’ils ont dû se cacher et qu’ils sortiront pour rejoindre mon groupe dès qu’ils en auront l’occasion.
La visite commence par les jardins en face du château. Les touristes font des photos pendant que je suis de façon très distraite les explications, surtout concentrée et inquiète pour mes deux amis que je ne vois toujours pas revenir. Puis nous rentrons dans l’enceinte du château pour visiter la cour principale et nous continuons par la visite de quelques pièces dans le château. La visite prend fin par la visite du salon et de la terrasse qui surplombe la mer et nous allons visiter le fameux escalier qui servait pour descendre à la plage privée. De là où nous sommes, la plage parait encore plus petite que d’en haut.
La guide nous laisse faire des photos pour immortaliser les instants, puis nous sommes priés de regagner l’entrée car d’autres groupes sont déjà présents pour prendre la suite. Je m’adresse à la guide et je lui demande si elle a vu deux jeunes dans le groupe précédent, car ce sont mes amis et nous avons été séparés et je ne les retrouve plus. Avec cette demande, la guide est un peu gênée. Elle me prend à part et me dit qu’en effet, un jeune homme et une jeune femme ont été arrêtés par le service de sécurité, car ils tentaient de s’introduire en fraude dans le château. Pour le moment, ils sont dans une pièce et les gardiens examinent leur carte d’identité. Mes craintes étaient fondées, ils se font fait avoir. Je fais l’étonnée en entendant la guide pour ne pas lui laisser comprendre que j’étais au courant, ce qui m’aurait valu des ennuis à moi aussi.
La guide m’emmène vers le poste de sécurité du château et me laisse avec le responsable du poste sécurité qui m’explique que mes deux amis ont fraudés et les avis sont partagés, car c’est la première fois qu’ils se font prendre au château, mais ils auront besoin d’une bonne punition pour ne plus recommencer. Le responsable de la sécurité me fait comprendre qu’au lieu d’appeler la gendarmerie et qu’ils s’expliquent au poste, il existe un autre recours, ce serait qu’ils reçoivent la fessée. A priori, les deux jeunes préfèreraient plutôt que de devoir aller au poste de gendarmerie de MANDELIEU.
Je suis d’accord avec mes amis, ce serait plus judicieux, car le feu de la fessée et l’humiliation subie resteraient plus longtemps dans leur esprit qu’une explication chez les gendarmes. Le responsable de la sécurité me dit que plutôt que de tergiverser, c’est ça qu’il va se passer. Il m’invite à rendre visite à mes deux amis. Je les trouve penaud tous les deux, honteux de s’être fait prendre. Dès qu’ils me voient, ils me sautent au cou en me demandant pardon pour leurs bêtises. Je tente de les rassurer un peu en leur disant que s’ils acceptent la fessée, les gens de la sécurité abandonneront les poursuites et nous pourrons rentrer à la maison, car le reste des réjouissances de la journée sera compromis.
Le responsable de la sécurité nous emmène tous les trois vers une tour du château, car c’est à l’écart que mes deux amis vont se faire corriger. Ils n’en mènent pas large, car se faire fesser comme des gamins ne leur plait pas, mais ils réalisent qu’ils ont fait une terrible erreur en tentant de frauder à l’entrée au château. Ce n’était pas très intelligent.
Arrivés dans une large salle humide, le responsable de la sécurité leur ordonne de retirer le bas de leur vêtement, car ils doivent être fesses nues pour leur punition. Agathe le supplie de lui laisser sa culotte, car elle est très pudique et elle ne s’est jamais mise nue en public. Le responsable de la sécurité ne lui laisse pas le choix, c’est ça ou les gendarmes pour tous les deux. Axel lui dit de tout retirer, car les ennuis pourraient être plus grands s’ils se trouvaient envoyés au poste. Agathe, timidement retire sa jupe et sa culotte tout en maintenant ses mains devant son pubis. Je remarque qu’une toison taillée court orne son entrejambes, ce qui laisse tout de même entrevoir ses grandes lèvres. Aussitôt, Agathe pique un fard de se retrouver dans cette tenue devant des inconnus. Son menton tremble et elle est toute proche de s’effondrer en larmes. Quant à Axel, lorsqu’il retire son slip, son pénis tend à se dresser, car il est en présence de femmes, ce qui est super gênant pour sa petite fierté de mâle.
A peine le bas du corps dénudé, les deux jeunes sont empoignés et mis en position pour une sévère fessée. Chacun leur tour et une fois de chaque côté, les deux jeunes gens encaissent une grosse trentaine de cinglées, qui les font hurler de douleur. Agathe est la première à pousser des hurlements déchirants et à se tortiller dans tous les sens. Elle est prête à faire ou à promettre n’importe quoi pour faire abréger la flagellation. Quant à Axel, il ne résiste guère plus longtemps que son amie et se lâche lui aussi lorsqu’il n’en peut plus. De belles marques bien rouges strient les fessiers et les cuisses. Les chairs sont marquées de boursoufflures qui devraient rester durant quelques jours, avant de disparaitre complètement. La largeur de la ceinture et le grand nombre de cinglées reçues font que les fesses et le haut des cuisses sont entièrement rougis. Les deux femmes de la sécurité n’y vont pas de mains mortes pour faire payer à ces deux jeunes resquilleurs leur entrée sans payer. Les deux punis vont s’en souvenir durant très longtemps. Agathe saute et hurle sur place à chaque cinglée et place ses mains en protection et se masse à chaque cinglée, ce qui énerve les flagellatrices qui la cingle sur une autre zone. Une des deux femmes lui cingle les mains à pleine puissance pour la contraindre à les retirer, puis lorsqu’Agathe retire ses mains, aussitôt, elle lâche une seconde fouettée sur les fesses offertes. Il est évident que la cinglée sur les mains ne compte pas dans le nombre de fouettées à recevoir. C’est un bonus pour la soumettre !
Lorsque les deux femmes de la sécurité cessent les fouettées, les deux jeunes, en pleurs, les fesses en feu, s’écroulent à genoux en se massant et en laissant leurs larmes couler, recroquevillés sur eux-mêmes.
Je viens les aider à se relever. Je les trouve tout tremblant, car ils viennent d’être éprouvés. A peine relevée, Agathe, pose sa tête sur mon épaule et pleure en bredouillant qu’elle est désolée et qu’ils ont gâché la journée et que j’avais raison de ne pas vouloir frauder. Je leur accorde mon pardon, car ils sont jeunes et à ce titre, ils peuvent déraper. Quant à Axel, dont la fierté a été sacrément atteinte, se contente de se masser les chairs meurtries, la tête basse, tout en tentant de masquer son pénis aux regards des femmes.
Le chef de la sécurité les autorise à se rhabiller en leur disant que la prochaine fois, ce sera la gendarmerie directement, sans punition de substitution, car c’est un moindre mal qui leur arrive.
Axel et Agathe enfilent leur short sans rien en dessous, car ils ne supportent pas le contact serré de leur culotte. Avec des gémissements et des grimaces, ils parviennent à se couvrir le bas du corps, mais quelques marques rouges dépassent sur les cuisses. Ils vont devoir déambuler avec ses marques dans toute la ville. Ça risque d’être très humiliant pour eux, car le doute n’est pas permis que ces marques soient autre chose que celles laissées par une fessée bien appuyée, à la ceinture.
Les yeux rougis par les larmes et d’une démarche hésitante due au fait du frottement de leur short sur leur chair encore hyper sensible, ils me suivent en demandant pardon aux gens de la sécurité. Nous sortons du bâtiment et nous nous retrouvons face au groupe de touristes venus visiter le château. Tête base, mes deux amis tentent de ne pas se faire trop remarquer en passant. Cependant, des rires et des remarques fusent dans un groupe de touristes chinois qui s’aperçoivent des marques très rouges sur le bas de l’arrière des cuisses des deux jeunes et en rigolent. Cette franche rigolade se propage à d’autres personnes qui s’apercevant de ce qui a provoqué les moqueries, ne se gênent pas pour en faire de même. Tout ça fait sangloter Agathe, qui n’a pas l’habitude d’être humiliée devant tant de monde. Nous pressons le pas pour sortir de l’enceinte du château le plus rapidement possible et tenter de nous faire oublier. Malgré tous les efforts, il n’est pas possible de cacher les stigmates des fessées. Il nous faudra emprunter de petites rues pour ne pas se faire voir.
C’est moi qui vais acheter les sandwiches et les boissons pour le repas du midi, afin de leur éviter de s’exposer en public. La pause repas n’est pas joyeuse et se passe en silence. Pour ma part, j’évite de leur reparler de leur comportement stupide, car le mal étant fait, les critiques ne serviraient qu’à les enfoncer un peu plus, mais ils nous ont fusillé notre journée de détente. La promenade digestive sur le fronton de mer, le bain et la bronzette sont impossible, à présent, car je nous vois mal avec mes deux amis le bas du corps marqués aller dans l’eau et se faire bronzer sur les serviettes comme ça devant tout le monde, sans compter que le port du maillot de bain leur serait trop douloureux.
J’aurais eu plus d’autorité sur eux, je leur aurais imposé la baignade et la bronzette, malgré leurs marques rouges boursoufflées, juste histoire de leur faire prendre conscience de leur faute.
Nous nous dirigeons vers la gare routière pour tenter de reprendre un bus vers notre domicile et rentrer chez nous. En arrivant, nous achetons nos billets et l’attente durera trente minutes durant lesquelles les deux jeunes sont moqués, car ne pouvant s’asseoir, ils sont obligés de rester debout, les cuisses exposées aux regards des passants.
L’arrivée de notre bus procurent un soulagement à mes deux amis, car ils vont pouvoir être un peu cachés. Avec mille précautions, les deux jeunes s’assoient et c’est avec grimaces et gémissements qu’ils prennent place. Malgré le fait que les sièges soient confortables, le contact avec leur chair tuméfiée est douloureux, ce qui les fait se tortiller assez souvent. C’est comme s’ils étaient assis sur une barre brulante. Il leur tarde d’arriver, car la position assise est une seconde punition pour eux. La souffrance et la chaleur les fait transpirer et des auréoles de sueur se dessinent sur leur tee-shirt.
L’arrivée dans notre ville est vécue comme un énorme soulagement, car mes deux amis peuvent se lever et sortir de ce bus, mais les vexations ne sont pas finies pour autant, car il va falloir traverser les faubourgs pour rentrer à la maison, sans compter le fait d’affronter le regard de leurs parents si par malheur ils venaient à remarquer les traces sur les cuisses de leur enfant.
Seule Florence D., la Maman d’Agathe, s’en aperçoit alors que se fille montait les escaliers pour aller se changer dans sa chambre. Rouge de honte, Agathe, en pleurs, est obligée d’avouer sa faute à ses parents. Ceux-ci sont super en colère, car leur fille salit le nom de la famille par ses agissements de sale gosse. Florence D. lui demande de retirer son short pour qu’elle regarde l’état de ses fesses et jugeant que sa fille a déjà bien été corrigée, elle considère qu’il est inutile de lui en remettre une seconde. Florence D. lui applique un baume et lui impose de rester les fesses à l’air toute le weekend., même si des visiteurs arrivent. De cette façon, elle sera exposée aux remarques et aux moqueries des visiteurs. Agathe s’exécute, n’osant pas fâcher davantage ses parents. Florence D. dit à sa fille qu’elle peut s’estimer heureuse qu’elle ne lui demande pas de se mettre entièrement nue.
Par chance pour Agathe, personne ne viendra leur rendre visite, mais l’angoisse de cette potentielle visite dure tout le weekend.

Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 16
Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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3 commentaires:

  1. Amis de la poésie et du ceinturon sur le derrière... bonjour!

    Retour touristique plutôt cuisant de notre amie Héléna qui nous gratifie d'une visite musclée du Château de la Napoule... Bonjour ma poule!
    Parce que là, si tu rentres sans payer, la fessée en prime, c'est gratis aussi, mais, par contre tu prends cher sur le derrière. Et les gardiennes de la Tour, "prend garde"... à tes fesses, ne font pas dans l'économie d'énergie! C'est la maréchaussée ou la déculottée, choisis ta punition camarade
    Agathe et Axel s'en rendent compte un peu tard une fois déculottés , les fesses en courant d'air dans la tour, humide et froide. Avec de larges ceintures bien maniées on a vite fait de se faire remonter la température postérieure...
    Les chinois sont très moqueurs et donnent le signal de l'humiliation publique. Nos amis rient jaune, les fesses et les cuisses rouges, il ne manque plus, pour noircir le tableau, que quelques touristes japonais pour prendre des photos!
    On te fiche ton billet que les resquilleurs ne sont pas près de l'oublier. La prochaine fois ils prendront la queue comme tout le monde au lieu de se prendre une correction.
    Amicalement
    Ramina

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  2. Bonjour Ramina,
    Une nouvelle fois, merci de ce commentaire plein d'humour et de synthèse.
    Amitiés.
    Elena.

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  3. Bonjour Ramina, bonjour Elena,

    Excellente, l'expression "la maréchaussée... ou la déculottée" !
    Comme dirait le maréchal des logis-chef Ludovic Cruchot ! Et paf !!
    Comme à votre habitude, fine analyse du récit.
    Amicalement. Peter.

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