LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
LA FESSEE AU DOLPIC
Sans savoir pourquoi, Rodolphe essaie de retenir les
gros sanglots qui l’étouffent, et puis, sous une brusque accélération, il cède
d'un coup et se met à sangloter en continu,
hoquetant, sans plus pouvoir prononcer un mot, ou presque. Clarisse à pris son rythme de croisière. Bien calée sur la
chaise, maintenant solidement en position son puni sur ses genoux, elle se
donne maintenant à fond et fesse avec autorité. Le bras fort, la main ferme
haute levée, elle claque de toutes
ses forces et aussi rapidement que possible, le fessier cramoisi qui saute en
cadence en travers de ses
cuisses.
Le visage congestionné, sillonné de larmes, Rodolphe
entend sa voix hurler une longue plainte, syncopée, par sa difficulté à
reprendre sa respiration.
Cela excite beaucoup Bettina, qui se régale du
croustillant spectacle complaisamment offert à ses yeux. Elle ne tient pas en
place et se tortille sur sa chaise, croisant et décroisant sans arrêt ses
jambes, ponctuant chaque claque de
petits '' han'' d'encouragement à taper fort.
Pour la voisine qui se
vante de bien ''s’y connaître'' en matière de correction, la
''vraie'' fessée vient seulement de commencer. Selon sa méthode, qu'elle
applique depuis longtemps auprès de
son mari : une véritable fesse ne débute efficacement que
lorsque trois conditions sont simultanément réunies. Un : Une bonne
position : postérieur déculotté, en l’air, bien exposé. Deux : Que les fesses du puni soient
entièrement écarlates. Et
trois ; quand ses sanglots sont devenus continus et incontrôlables. La
vraie bonne fessée commence seulement à partir du moment où ces trois
constatations peuvent être faites sans conteste.
Si la sévérité des fessées de Clarisse fait trembler
plus d'un derrière, Bettina n'a rien à lui envier dans l'exercice de la
discipline. Tout en observant attentivement la correction de Rodolphe elle
n'arrête pas de manifester son enthousiasme en parlant sans cesse. Elle
commente, propose des méthodes de punition plus radicales, estimant, qu’il faut systématiquement remettre une
fessée après chaque séjour au coin... Incitant Clarisse à taper plus fort,
alors qu'elle n'y va pourtant pas de main morte.
Clarisse
entend bien les exhortations de l'insatiable voisine à fesser plus fort mais
elle n'a pas vraiment besoin d'être stimulée pour ça et reste concentrée sur le
derrière de son fils. Et Bettina, sans complexe, revient à la charge.
« Encore ! encore ! Une pareille paire de
fesses le supportera très bien ! Croyez-moi, je sais ce que je dis ! Mon mari en a
une belle paire aussi et je peux vous dire que des fessées il en encaisse et
des solides ! Il n'y a que comme ça que ces messieurs comprennent ! »
La
dernière fois qu'elle était présente lorsque Rodolphe avait été mis au coin
après sa fessée, elle n'a pu s'empêcher d'en rajouter sur le ton du conseil.
« Vous savez, Clarisse, moi, à votre
place, je
lui en claquerais une deuxième, pareille que tout à l’heure ...ou même plus
forte encore. Il se fiche de vous, vous savez. Il ne pleure déjà presque plus...
allez,
encore une fessée, un bonne bien cuisante, c’est tout ce qu’il
mérité ! »
La fessée continue, devant Bettina déchaînée, qui
commence à transpirer du derrière sur sa chaise à force de se trémousser d'aise
dessus. Son slip de nylon n'arrange pas les choses et entretient l'humidité
plutôt qu'il ne l'atténue. A force de regarder claquer les grosses fesses
déculottées de son voisin sur les genoux de sa mère, c'est elle qui prend chaud
au derrière.
Au bout d'un long moment de claquage intense, petit
répit pour le malheureux Rodolphe qui vit un véritable calvaire... La main de
Clarisse ne lui claque plus les fesses. C'est pour empoigner le martinet qu'il
a lui-même accroché au
dossier de la chaise. Il ne fait pas le poids sous le bras fort de sa mère qui
lui entoure la taille et le manipule comme un petit gamin. Avec effroi, il se
sent de nouveau soulevé de terre, bien tenu, bien positionné fesses en l’air et
immédiatement il sent les lanières du martinet lui envelopper le postérieur.
Elles lui cinglent d’un seul coup la totalité des fesses, n’épargnant pas un
seul centimètre de sa peau déjà en feu. Il rue dans tous
les sens, mais maman a de la poigne et lui tient le derrière fermement en place
pour le corriger comme elle veut. Il
voit dans la glace, à travers ses larmes et la morve qui lui coulent jusque
dans la bouche, ses fesses toutes gonflées, plus rondes encore, énormes lui
semble t il, écarlates et cuisantes. Il ne sait plus que pleurer, crier,
sangloter bruyamment...
Enfin ! sa mère
le lâche, le laisse tomber par terre et le relève aussitôt tenu par une
oreille pour le conduire au coin sans ménagement. Malgré lui, sur ce court
trajet, il a l’imprudence de se frotter les fesses de la main.
« Depuis quand
monsieur s'autorise-t-il à se frotter
le derrière après une fessée ! » S'écrie Clarisse d'un ton
menaçant. Alors c'est ça, on veut jouer
à la fessée avec maman on dirait ! Mais avec plaisir mon chéri, maman ne
demande que ça ! »
Elle pose son talon aiguille sur un barreau de la
chaise, le courbe sur sa cuisse relevée à l'horizontale, les fesses à nouveau
bien en l'air et lui administre à la volée une nouvelle fessée à la main qui
font redoubler ses pleurs.
« A ton
service mon chéri ! Tu as besoin de fessées, en voilà ! Une bonne fessée de rappel pour te faire
passer l'envie de te soulager le derrière sans autorisation !
Commente-t-elle en
reprenant chaque fesse l'une après l'autre en allers et retours. Et d'ajouter
en multipliant les allers et retours en plein milieu.
« Voulez-vous vérifier la cuisson Bettina, je crois que vous en
mourez d'envie... »
Rodolphe
trépigne de honte sur sa cuisse. Bettina ne se fait pas prier. Sans hésitation
et pas davantage de scrupule, elle caresse et soupèse les belles fesses
flamboyantes pour en savourer l'intense chaleur.
– « Ah, c’est bien ! Décrète-t-elle, mais il lui en faut encore
plus. Voulez-vous que je prenne le relais,
Clarisse ? »
Heureusement pour lui, sa mère ne répond pas et continue la
nouvelle fessée avec autant d'ardeur que la précédente. Il recommence aussitôt
à hurler jusqu'à ce qu'elle s'arrête et contemple le résultat, enfin satisfaite
de la couleur obtenue. Ce n'est pas par
hasard qu'elle a la réputation de fesser dur. La rutilante paire de fesses se
présente maintenant enluminées d'un magnifique rouge écarlate sur toute la
surface. Elle le remet brutalement sur pieds.
Le ton est sec,
la voix ferme, sans discussion
possible.
« A genoux, au coin, nez au
mur, mains sur la tête, les fesses déculottées bien tendues ! Et tu ne bouges
pas d’un millimètre avant que je te rappelle, sinon je recommence la fessée
immédiatement. »
Tremblant de trouille, reniflant ses larmes, il s’exécute du mieux
qu'il peut, sans broncher. Complètement sonné par la double déculottée qu'il
vient de recevoir, empêtré dans son slip et son pantalon tendus entre ses
jambes, il a du mal à marcher droit. Il entend Bettina, un peu vicieuse,
suggérer à sa mère.
« Vous savez Clarisse, ce que
vous devriez faire maintenant...C’est lui coincer le manche de son martinet
dans la raie des fesses, avec fessée à la clé s'il le laisse tomber...Ça lui
apprendrait à mieux vous obéir.
– Figurez-vous que j'y ai
déjà pensé, répond Clarisse avec un petit sourire en coin. C'est assez amusant.
– Surtout, très humiliant. Je fais souvent ça avec mon mari. Arnold a beau serrer
les fesses sur le manche, elles sont tellement douloureuse après la fessée,
qu'il finit par lâcher prise assez vite. Et là, je ne le rate pas, c'est la punition immédiate. Retour
sur les genoux et nouvelle fessée ! Et je recommence autant de fois jusqu'à ce qu'il tienne un quart d'heure au coin son
martinet entre les fesses. Après ça j'en fait ce que je veux, il est doux comme un agneau,
– C'est un
excellent exercice pour raffermir les fessiers, commente Clarisse, mais je me
demande si ça ne serait pas mieux de leur mettre carrément le manche dans le
derrière...
Bettina pouffe de rire.
– J'ai essayé,
mais l'inconvénient c'est que le martinet tient mieux en place sans effort et du coup tombe rarement.
– Evidemment, ça fait moins
de fessées supplémentaires !
Les deux femmes partent d'un
immense éclat de rire. Clarisse en sourit encore lorsqu'elle se dirige vers la
cuisine, tortillant joyeusement du derrière sur ses hauts talons. Indifférente
aux sanglots de son garçon, à genoux au coin, déculotté, elle passe à côté de lui sans un regard de compassion, sinon pour
apprécier la qualité de la correction sur ses fesses écarlates et cuisantes.
« Digére bien
tes fessées mon chéri, parce que je n'en ai pas fini avec toi... Dit-elle avec ironie, le meilleur est à venir ! Vous me suivez à la cuisine Bettina, je vais nous faire un bon
café … Le temps de me refaire la main pour sa fessée suivante... je lui ai
annoncé une correction très sévère... Il va
l'avoir ! »
Rodolphe est au coin, vraiment “au
coin” puisque, agenouillé dans l’encoignure de la porte, le nez collé contre le
mur, il ne peut voir ce qui se passe, ni à droite, ni à gauche et encore moins
derrière lui. Clarisse est encore à la hauteur de sa réputation, elle a tapé
très fort. Son fessier lui cuit atrocement, comme s'il s'était assis sur un
fourneau. Il le tend au maximum en arrière en l’arrondissant au mieux,
obéissant aux consignes. Il
sait que sa mère est intransigeante et que le moindre relâchement lui vaudra,
immédiatement, une fessée supplémentaire, par rapport à ce qu’elle lui a déjà annoncé.
Il ne peut retenir ses larmes et un
gros sanglot revient de temps en temps sans qu'il puisse l’étouffer.
Il entend derrière lui la conversation de sa mère et de
Bettina qui discutent de l'importance de la discipline domestique, tout en
buvant tranquillement leur café. Le sujet de la fessée est naturellement abordé, comme n'importe
quel autre. Elles commentent celles qu'il vient de recevoir, s'amusant tour à
tour, du volume de ses fesses gonflées par les claques ou admiratives de leur
rougeur et de leur cuisson encore bien actives. Louant l'efficacité du travail
au martinet, elles soulignent les belles marques que les lanières font
apparaître de plus en plus nettement et conviennent qu'une bonne fessée à la
main devrait les faire disparaître sous un rouge plus foncé, uniformément
réparti sur toute la surface. Puis elles
élargissent sur sa scolarité, sa conduite, celle de son cousin Gérôme, de l'ami
Robin, de leur comportement de gamins et des fessées que cela nécessite pour
les en corriger. Sur leur lancée,
elles s'attardent aussi, sur les mesures disciplinaires qu'elles doivent toutes
les deux imposer à leur mari, et sur les bienfaits de la fessée en général...
Le ton est calme, enjoué par moment, comme s'il s'agissait d'une conversation
ordinaire.
Soudain, il entend sa
mère se lever et aller dans la salle de bains...Ses fesses se serrent car il
sait ce qu’elle va y faire... Il y a, dans l’armoire à pharmacie, une crème de
massage appelée Dolpic destinée à soulager les contractures musculaires. C'est,
sans nul doute, certainement efficace pour cet usage, mais il sait, d’expérience,
que cela chauffe terriblement une peau sensible. Clarisse s'en sert
régulièrement à son détriment pour le corriger en s'en enduisant la paume de la
main droite, celle qu’elle utilise pour fesser. Elle ne ressent à l’intérieur
de sa main qu’une chaleur un peu piquante mais somme toute plutôt agréable,
alors que sur ses fesses déjà à vif, elle amplifie considérablement la cuisson
au point de la rendre insupportable ! Deux ou trois claques sur des fesses
déculottées avec la main enduite de Dolpic en vaut facilement une dizaine, sans
Dolpic. Economie d'énergie pour maman mais véritable calvaire pour son puni.
En réalisant ce qu’elle est en train de préparer, lui
vient une envie redoublée de pleurer et il ne peut s’en empêcher quand, sortant
de la salle de bains, il entend le claquement menaçant de ses talons aiguille résonner
sur le carrelage dans sa direction. Elle vient le
rechercher, toujours tenu par une oreille, pour une cuisante reprise de
fessée... Au Dolpic !
« Pitié maman,
Pitié... je t'en supplie, pas encore la fessée !... La fessée au Dolpic... Je ne recommencerai
plus...J'obéirai, je te promets. S'il te
plaît... maman... Plus la fessée !
–« Tu peux
pleurer et supplier autant que tu veux mon chéri...Tu vas l'avoir
ta fessée déculottée, et au Dolpic ! La bonne fessée de maman qui te
chauffe si bien le derrière !
»
Voyant son derrière danser dans tous les sens, Bettina
fidèle à elle-même, exprime un
nouvel avis tout à fait inattendu.
« Mais Clarisse ! Tenez-le donc par son
zizi ! Cela va l’empêcher de bouger et
comme ça vous pourrez lui
flanquer sa fessée plus facilement. »
Tétanisé par cette suggestion, totalement nouvelle pour
lui, Rodolphe s’efforce de maîtriser les mouvements incontrôlés de son fessier
incandescent et d’encore mieux l’exhiber. Clarisse, d’ailleurs, n’a rien
répondu à la proposition saugrenue de la voisine. Elle s’est contentée de
resserrer son emprise en pesant sur ses reins, pour lui faire retendre le
derrière, bien déployé à sa main et lui claquer sa fessée pleine fesses. Sa
paume brûlante, s'emplit à satiété des belles rondeurs élastiques.
A ce moment de
la correction, le pauvre garçon a conscience de n’être plus qu'une grosse paire
de fesses uniformément rouge qu'il voit sa mère dans la glace, claquer sans
faiblir. Une dernière salve bien appuyée, claquante au maximum, et Clarisse le
libère enfin, les fesses rebondissantes, entièrement cuites, aussi rouges que
les braises d'un barbecue. Il saute littéralement sur place d’un pied sur
l’autre en se frictionnant vigoureusement le derrière.
Sa mère, cette fois, le laisse faire quelques secondes
et lui ordonne.
« Allez ! au coin !
comme tout à l’heure ! »
Sous les sarcasmes de Bettina, décidément à l'appétit
féroce. Elle en
rajoute un mille-feuille.
« Jusqu’à la
troisième fessée... au martinet cette fois ! »
Clarisse ne répond pas tout de suite. Quelques minutes
plus tard, les deux femmes parlent en baissant la voix et, malgré ses sanglots
il entend avec un timide soulagement,
Bettina dire à sa mère.
« Bon Clarisse, merci pour ce bon moment et cette
magnifique séance de fessée ! Ça m'a mise en appétit et ça tombe bien,
Arnold doit être rentré. Nous avons quelques comptes à
régler.
Elle rit en plissant ses yeux d'un air malicieux et
raconte sans complexe.
« Quand il a
mérité une correction, et c'est pratiquement tous les jours, je lui envoie un
SMS à son bureau. '' Prépare tes fesses pour ce soir, mon chéri... ça va
chauffer dur !'' Comme ça il sait ce qui l'attend. Un derrière averti vaut
bien deux fessées ! Il a reçu le message cinq sur cinq cet après-midi. »
Elle sort
toute guillerette en ondulant exagérément de la croupe qu'elle a fort charpentée.
Elle porte des
jupes si serrées qu'on distingue en dessous, les élastiques de son slip
et l'emplacement de ses jarretelles. Une nature généreuse, que la voisine.
Quelques minutes passent encore et Clarisse s’approche
de son presque adulte de fils.
« Bon toi ! Tu n’as
rien fait de l’après-midi que tu as passée
au bistrot à jouer aux fléchettes avec tes copains, que tu as d'ailleurs
dénoncé ensuite... C'est du propre ! Alors maintenant tu vas faire
tes exercices, là, assis sur le tabouret. Et je ne te quitte pas des yeux, si
tu lèves le nez... C'est la fessée ! Tu m’as bien
comprise ? Et je vais vérifier ce que tu fais ! allez ouste ! »
Elle le remet debout et le reculotte sans ménagement en
lui remontant son slip tendu au maximum pour le lui faire rentrer dans la raie
des fesses. Il pousse un ''Aîe !''
de douleur. Elle le gratifie d'un nouvel aller–retour sonore
sur la partie des fesses qui sortent des élastiques, et met le tabouret devant
la table où elle a décidé de l'installer. Elle le fait s'y asseoir,
sur les cuisses, les fesses à portée de main, entièrement
débordantes de l'assise, et lui allonge, au passage, une retentissante paire de
claques, pour tester la position.
Une
heure après environ, après qu'il ait fini les fameux exercices, elle lui dit.
La
cuisson lancinante de son fessier ne va pas faciliter les choses pour qu'il
s’endorme. Il a sommeil et se couche sur le ventre, postérieur à l’air. Peu à
peu, l’endormissement le gagne, il sommeille mais il est réveillé par la
rentrée de Douglas son beau-père à lui aussi. Tout comme Edouard pour Robin sauf que là
c'est la conséquence d'un divorce. Clarisse ne va pas manquer de lui raconter
dans les détails les fessées qu'elle lui a administrées aujourd'hui. C'est sa
façon de le conditionner à ce qui l'attend si elle apprend qu'il ne s'est pas
bien comporté dans la journée.
Rodolphe
aux aguets, les entend parler. Ses fesses sont toujours chaudes, douloureuses
et cuisantes. Mais il finit par réussir à se rendormir. Plus tard, dans un
demi-sommeil, il entend encore sa mère et Douglas qui parlent, plus fort cette
fois, surtout sa mère qui semble le sermonner d'une voix menaçante. Il connaît
bien ce ton, annonciateur de punition. Et Clarisse à la main nerveuse, prompte
à déculotter et allonger les fessées à la moindre occasion. Et elle en
trouve !
Le beau-père a une petite voix qu'il lui entend
quand il est pris en défaut, pour une faute commise ou un écart de
comportement. Clarisse, ne lui passe rien et, tout comme lui, à égalité devant
la fessée, le corrige sans hésitation lorsqu'elle l'estime nécessaire. Ce qui
arrive très souvent,
La
porte de sa chambre est restée entrebâillée. Rodolphe se lève sans faire de bruit
pour se poster en haut de l’escalier et essayer de voir ce qui se passe en bas.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 3
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, le chapitre 5, bien entendu !
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerWahou !! Quelle raclée !
Thunder-Mom ! Maman-Tonnerre ! Sa main frappe comme la foudre : puissante et implacable ! Hum... la fin du récit présage un beau match pour la soirée. Douglas (Doug)risque de passer un sale quart d'heure. Mais Rodolphe aura intérêt à se faire le plus discret possible. Maman a l'ouïe fine et la main leste. Bonne chance, les champions. Dessins au top !
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter.
RépondreSupprimerEffectivement, les frasques ruineuse de Douglas au PMU vont lui coûter la peau de fesses! (rires) au sens propre comme au figuré! Rodolphe y trouvera sa petite vengeance personnelle...
J'aime bien tes surnoms en abrégé comme pour exprimer une amicale proximité avec les personnages. L'amicale proximité pour "Doug" ça va être celle de la main de sa femme sur ses fesses!
Merci pour les dessins, c'est vrai, je m'applique, et, tu sais ce que c'est, ça demande du temps, mais ça vaut le coup. Ah les fantasmes... ça m'amuse de représenter ces grosses fesses, hors normes! Il faut bien de "big butt, pour justifier les hard spanking! (Rires)
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerOui, l'illustration demande du temps et de l'application.
J'ai commencé l'illustration des récits avec d'abord ceux de Isabelle183 (cf. Discipline domestique - la domination en couple) et ceux d'Amandine (cf. www.leserrancesdamandine- pour "le diner d'exception" en NetB). C'était de 2013 à 2015. Mais sans couleur et le style était différent. Un bon exercice. Rires.
L'écriture demande de structurer une idée avec un fil conducteur, développer des personnages et surtout tenir en haleine le lectorat sur une certaine durée. J'ai essayé il y a une bonne douzaine d'années mais j'ai abandonné pour mes "fessées dominicales".
Amicalement. Peter.
Bonsoir Pete
RépondreSupprimerEt bien continue ces fessées dominicales. Tes illustration portent le charme de cette époque révolue mais si simple et insouciante. Il faut dire que les fessées tombaient facilement! On ne s'en portait pas plus mal... Aujourd'hui c'est le temps des enfants tyrans qui peuvent porter plainte contre leurs parents, complètement stressés! Drôle de temps!
Amicalement
Ramina