mercredi 9 octobre 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 16

Quand elles furent appelées toutes les deux pour mettre la table, Fara n’était pas dans la cuisine. Teva ne semblait pas faire cas des difficultés que Marguerite avait provoqués pendant le bain. Il était presque l’heure de passer à table quand Fara fit son apparition. Après avoir déposé un bisou dans le cou de sa femme, et un autre sur le front de sa fille, il s’assit à sa place.
Dès que Fara était entré dans la pièce, Marguerite avait senti son angoisse monter. Elle se tenait à distance, les yeux baissés. Elle regardait furtivement son père adoptif qui s’était aperçu du manège de Marguerite. Intérieurement, il souriait, mais il ne voulait pas le montrer. Il était bon que cette demoiselle mijote un peu dans son jus, ressassant sa culpabilité sans savoir comment elle serait désormais considérée dans sa maison d’adoption. Il ne tint pas très longtemps.
« Viens-ici, petite fille capricieuse ! »
Marguerite sentit son cœur faire un bond dans sa poitrine. C’était le moment de vérité : une autre fessée ? Une exclusion de la maison ? Ou ? Fara la souleva et il l’assit sur ses genoux, poitrine contre poitrine. Marguerite fondit en larmes. Fara la serra d’un bras sur sa large poitrine et sa main libre caressait le dos de la petite fille de trente-et-un ans qu’il avait prise sur ses genoux. Il la laissa se calmer un peu.
« As-tu fini de pleurer, dit-il en essuyant les larmes qui coulaient sur les joues de Marguerite ? »
Elle hocha piteusement la tête. Fara présenta le mouchoir devant le nez de Marguerite. Il la moucha.
« Bien. Explique-moi pourquoi tu pleures ?
– Je … j’ai honte.
– Je crois que c’est bien ! J’espère que la honte t’évitera de recommencer. Cela t’évitera une prochaine fessée ! »
Marguerite fut paradoxalement rassurée par cette déclaration : s’il y avait une prochaine fessée, c’est qu’elle serait encore là. Sa principale crainte perdait de la consistance. Elle soupira. C’était de soulagement.
« Je peux rester ici, demanda-t-elle timidement ? 
Fara la serra encore plus étroitement.
« Bien sûr ma chérie. Quand tu fais une colère, nous ne te mettrons pas à la porte. Par contre, tu seras punie : une mémorable fessée. C’est bien compris ?
– Oui, Fara !
– Alors je pense que tu es à la bonne place ! »
Fara caressait les fesses de Marguerite sous sa chemise de nuit. Elle se détendit et se laissa aller contre la musculeuse poitrine de son père adoptif. Toutes ses angoisses avaient disparu. Elle ne risquait plus que de recevoir une fessée, il n’y avait rien d’irrémédiable là-dedans si cela se finissait par un câlin sur les genoux de Fara.
« Allons, à table, ordonna Teva ! »
Fara la remit sur ses pieds et il lui donna une petite claque sur les fesses. Ce n’était pas le moment de désobéir. Elle gagna sa chaise, le cœur léger. C’était vraiment ici qu’elle était chez elle.

Teva voulait en savoir plus sur qui était cette jeune femme qu’elle venait d’introduire dans sa maison. Elle profita du temps où elles étaient seules pour la questionner.
« Décris-moi le studio dans laquelle tu habites !
– Oh, il n’y a pas grand-chose à en dire.
– Mais encore ?
– Oh, rien, c’est une chambre, c’est tout !
– Non ce n’est pas tout. Je te demande de m’en dire plus. J’ai besoin de tout savoir à ton propos. Y mettrais-tu de la mauvaise volonté ? »
Les yeux de Teva étaient noirs et son front s’était plissé. Cela sentait la fessée toute proche. Marguerite se décida à raconter. Elle parla d’un lieu qu’elle n’aimait pas. Elle s’y sentait seule et elle n’y avait rien investi, ni du côté de l’agrémentation de ce tout petit espace, ni dans les relations avec son voisinage. Elle n’aspirait qu’à en partir, mais elle ne voyait pas comment ses moyens financiers limités lui permettraient de trouver un logement convenant mieux à ses désirs. Teva se dit qu’il y avait là un sujet dont elle devait s’occuper au plus vite.
« Et ton travail ? »
C’était un sujet dont Marguerite n’aimait pas beaucoup parler.
« Que fais-tu exactement ?
– Je fais les factures et je suis leur paiement.
– Ça te plait comme travail ?
– Bof ! »
Marguerite n’osait répondre que cela lui importait peu. Elle ne faisait cela que parce qu’il fallait bien travailler. Son truc à elle, c’était de sortir en boite et de faire la fête. Le travail passait après.
« Que dis ta directrice de ce que tu fais ? Est-elle contente de toi ?
– Je ne sais pas vraiment.
– Je suis surprise qu’elle ne t’ait jamais dit si ton travail lui convenait.
– Euh et bien si… je crois… une fois. »
Marguerite disait vrai. A la fin de sa période d’essai, il y a trois ans, elle avait été félicitée. Durant un mois, elle avait travaillé comme jamais elle ne l’avait fait auparavant. Depuis son enthousiasme s’était tempéré.
« Pourquoi ai-je l’impression que tu ne me dis pas toute la vérité ?
– Si je t’assure !
– Tu ne serais pas en train de me mentir, par hasard ?
– Oh non Teva !
– Sais-tu ce qui arrive aux petites filles qui mentent dans cette maison ? »
Marguerite ne le savait pas vraiment, mais elle s’en doutait.
« Oui Teva, mais je ne mens pas !
– J’espère pour toi. Tu ne m’as toujours pas dit si ta directrice est satisfaite de ton travail ?
- Si, si, j’en suis sûre ! »
C’était là un sujet épineux sur lequel Marguerite ne voulait pas tenir plus longtemps. Les fêtes qui duraient jusqu’au petit matin, ne facilitaient pas l’investissement dans le travail. Quand elle n’avait pas dormi de la nuit ou si peu qu’il n’était pas utile d’en parler, la journée était longue et les yeux de Marguerite se fermaient tout seuls. Elle devait lutter contre le manque de sommeil et la qualité de son travail s’en ressentait.
Depuis quelques mois, les allusions de la directrice s’étaient transformées en remarques explicites. Un premier entretien d’avertissement s’était déroulé il y avait moins d’une semaine, après qu’on l’avait retrouvée endormie à son poste de travail. Marguerite ne s’était pas laissé faire et elle avait parlé d’injustice face aux reproches qui lui étaient adressés, mais elle avait senti le vent du boulet. La prochaine fois, elle n’y couperait pas.
« Nous verrons cela, conclut Teva. »
La conversation se poursuivit sur sa famille, sujet bien moins glissant.

Le dimanche s’acheva tranquillement. Marguerite avait l’impression d’être entourée d’un cocon protecteur tout en douceur qui englobaient les trois filles et que Teva et Fara tissaient patiemment autour d’elles. Ce ne furent pas les deux fessées reçues pour deux caprices évidents qui changèrent l’opinion de Marguerite. Cette atmosphère de bienveillance avait des obligations et ne pas s'y tenir signifiait finir avec des fesses brûlantes. Il en allait ainsi. Maeva s’en était accommodée, Marguerite n’aurait pas voulu, pour rien au monde que les choses changent.
Marguerite se leva de mauvaise humeur le lundi matin. Elle se rendait compte qu’elle ne pouvait revenir dans sa nouvelle maison que cinq longs jours plus tard. Cela lui semblait une éternité : cinq jours sans voir ses deux sœurs et ses parents adoptifs, ce serait long. Ce serait également cinq jours sans fessée, mais même cela n’arrivait pas à égayer Marguerite.
Le rythme du lundi matin n’était celui du week-end. Préparer trois filles à temps pour que l’une soit à l’heure à l’école et les deux autres ponctuelles à leur travail, n’était pas une mince affaire. Maeva et Marguerite qui avaient décidé de paresser un peu dans leur lit alors qu’il leur avait été expressément demandé de venir déjeuner, comprirent leur erreur un peu tard.
C’est une Teva furieuse de cette désobéissance qui vint les tirer du lit.
« Quand je dis d’aller déjeuner c’est tout de suite ! »
Elle rabattit la couette sur le pied du lit, elle prit Maeva par le bras et la mit debout à côté d’elle. Il ne fallut qu’une seconde pour qu’elle se trouvât à plat-ventre en travers des genoux de sa sœur. La chemise de nuit ne constituait qu’une bien piètre protection, mais elle fut tout de même relevée. Les fesses nues rougirent sous l’effet de la main de Teva qui ne ménageait pas ses efforts. Ce ne fut pas une fessée bien longue, mais elle suffit à arracher des cris de douleur à Maeva.
Marguerite était sortie du lit le plus vite qu’elle pouvait. C’est presqu’en courant qu’elle contourna le lit et fila vers la cuisine. La fessée dans la chambre prit fin.
« Dans la cuisine ! »
A n’en pas douter, c’était une claque finale qui avait propulsé Maeva dans la bonne direction. Elle entra dans la cuisine, sa main frottait précautionneusement ses fesses à travers la chemise de nuit, l’autre essuyait les larmes qui s’étaient formées au coin de ses yeux. Teva la suivait.
« Crois-tu qu’en filant comme cela, tu as échappé à ta punition ? »
C’était effectivement une grande naïveté qui méconnaissait le sens de l’équité de Teva. A bêtise équivalente, il fallait une fessée analogue. Teva obligea Marguerite à se lever de sa chaise. Elle y prit place. Sans surprise, ni tenter de résister, Marguerite fut couchée sur les genoux de Teva. Elle sentit qu’on relevait l’arrière de sa courte chemise de nuit.
Bien que Marguerite s’y soit préparée, l’échauffement que la main de Teva provoqua sur ses fesses, la prit par surprise. Teva avait des ressources insoupçonnées pour rougir les fesses de ses filles en un rien de temps, méthode bien adaptée à un lundi matin où il n’était pas question de traîner. Il y avait le temps pour administrer les deux fessées méritées, mais il fallait faire vite, ce qui ne signifiait pas de bâcler l’ouvrage. Les cris de Marguerite en attestèrent.
« Et un supplément pour avoir tenté de te soustraire à la punition ! »
La fessée reprit un petit moment, suffisamment pour que Marguerite finisse en larmes. Avant de pouvoir s’en rendre compte, elle était de nouveau assise sur sa chaise, ce qui était maintenant une position inconfortable.
« Et pas de comédie. Le petit-déjeuner ! Tout ce qu’il y a devant vous ! »
A part leurs fesses brûlantes, tout se déroulait comme les autres matins. Maeva et Marguerite ravalèrent leurs larmes pour ingérer le copieux repas que Teva avait préparé. A la grande surprise de Marguerite qui avait habituellement un appétit d’oiseau, tout ce qui avait été prévu pour elle passa sans problème.
« Il faut croire que la fessée ouvre l’appétit, plaisanta Fara ! »

Les trois filles furent envoyées faire une rapide toilette sous la supervision de Fara. Il les déshabilla et, debout devant le lavabo, il les assista, vérifiant que tout se déroule conformément à ses désirs. Marguerite était contente qu’on la laissât faire toute seule, même si la présence de Fara se faisait sentir par ses conseils attentionnés. Il se réserva cependant le passage de la pommade sur le pubis de ses deux grandes filles. Marguerite en fut encore gênée, mais elle ne le montra pas.
Il les renvoya vers leur chambre nues comme des vers. Il accompagna Moana dans la sienne. Teva attendait ses deux grandes dans la leur. Elle avait préparé leurs affaires pour la journée. Avec désolation, Marguerite constata qu’il s’agissait de la même tenue que la veille. »
« Je ne peux pas aller travailler accoutrée comme cela ! Toutes les collègues vont se moquer de moi ! »
Maeva était quasiment habillée. Teva faisait à l’efficacité et la coopération de sa sœur facilitait grandement les choses. Elle fit pivoter Maeva devant elle, l’examina des pieds à la tête et eut une petite moue de satisfaction.
« Parfait ! Va chercher la brosse à cheveux que je mette un peu d’ordre dans cette tignasse ! »
La petite claque sur le fond de la jupe avait tout d’une caresse.
« A nous deux ! »
Marguerite était restée les bras ballants. Elle avait contemplé l’habillage de son amie par sa sœur sans faire un geste pour couvrir sa propre nudité. Cela ne lui était pas venu à l’idée. Teva ne s’en indigna pas. Elle n’attendait pas ce genre d’initiative de la part de l’une de ses filles, y compris de celles qui avaient aux alentours de trente ans.
« Lève les bras ! »
Teva lui enfila un tee-shirt blanc qui vint couvrir sa poitrine. Marguerite faillit protester : et le soutien-gorge ? Elle se rappela à temps que Teva avait décidé qu’elle ne porterait plus. Elle fit une grimace, mais elle garda son énergie pour une cause plus importante. Soutien-gorge ou pas, cela ne se remarquerait pas.
Accroupie devant elle, Teva tint les chaussettes l’une après l’autre pour que Marguerite y enfile ses pieds. Marguerite dut poser une main sur l’épaule de sa mère adoptive pour garder l’équilibre. Il n’y avait pas à dire, Teva savait s’y prendre pour les habiller. Il n’y avait pas de temps mort et tous se faisait sans aucune hésitation.
Teva lui présentait maintenant sa culotte, grande ouverte. Marguerite y passa une jambe, puis l’autre, puis elle remonta la culotte caressant furtivement les fesses au passage.
« Attends une seconde ! »
Teva posa sa main sur les lèvres de la vulve de Marguerite. Elle étala un peu de pommade qui avait échappé à Fara.
« Voilà qui est mieux ! »
Elle acheva de mettre la culotte à sa place. Marguerite n’avait pas eu un mouvement de recul malgré l’attouchement intime. Le geste semblait tellement naturel. Teva acheva de boutonner le corsage avant de s’emparer de la jupe.
« Non, attendez ! Je vais en mettre une autre. »
Elle n’eut pas le temps de faire demi-tour avant d’être ramenée à sa place.
« Pas de comédie, Marguerite !
– Mais je ne peux pas aller travailler avec cette… chose sur le dos. Tout le monde va se moquer de moi !
– S’il y a des collègues qui se moquent de toi, tu m’en feras part. J’irai leur parler. Et rappelle-leur que je sais très bien donner la fessée ! »
Il n’était pas question qu’elle provoque une intervention de Teva dans son environnement professionnel et encore moins qu’elle parle de fessées à ses collègues. Ce serait le pire de tout.
« Je veux bien porter cette jupe quand je suis ici, mais pas ailleurs !
– Crois-tu que je te demande ton avis ? Ce sera cette jupe !
– Non, je ne veux pas !
– Tu l’auras cherché ! »
Tout en s’asseyant sur le lit, Teva amena Marguerite entre ses jambes. Elle referma ses genoux sur les cuisses de la jeune femme qui s’en trouva immobilisée. Ceinturer Marguerite, la courber sous son bras, la plaquer contre son flanc, tout cela fut fait sans y réfléchir vraiment. C’était une situation courante autant pour Teva que pour Marguerite. Baisser la culotte ne posa pas plus de problème.
Allongée sur le ventre, le buste coincé sous le bras de Teva et les jambes immobilisées entre celles de sa mère adoptive, Marguerite ne se faisait pas d’illusion. Elle venait de perdre la négociation pour avoir le droit de choisir les vêtements qu’elle porterait. La fessée déculottée qui se préparait y mettait le point final. C’est à ce moment-là que Maeva fit son retour dans la chambre, tenant la brosse à cheveux qui lui avait été demandée.
« Maeva, tu tombes bien ! Je vais avoir usage de ta brosse. Donne-la-moi »
C’était la deuxième fois que Teva utilisait une brosse pour la punir. Le mauvais souvenir qu’elle en gardait fut confirmé par la cuisson que cet instrument domestique causa immédiatement sur ses fesses. Teva arrivait à l’appliquer fortement tout en maintenant un rythme élevé. Marguerite n’avait pas vraiment le temps d’intégrer la douleur que venait de lui infliger la brosse que déjà, à un autre endroit, elle provoquait une cuisson encore plus douloureuse.
Marguerite se débattait. Ce n’était pas qu’elle considérât que les raisons de Teva de la punir aussi sévèrement n’étaient pas légitimes, mais elle ne pouvait contrôler ses mouvements. Elle aurait fait n’importe quoi pour éviter le prochain contact de la brosse avec ses fesses. Malheureusement, il n’en était pas question et seule Teva avait le pouvoir de faire cesser la correction.
Finalement, Teva en usa.
Elle garda un peu Marguerite sur ses genoux, mais il n’y avait pas le temps de la consoler. Marguerite ne fit pas un geste, ne dit pas un mot quand Teva plaça la jupe autour de sa taille. Elle avait perdu toute envie de s’opposer aux décisions de sa mère adoptive.
« Va au coin pendant que je coiffe Maeva ! »
Bien qu’elle eût préféré se blottir dans les bras de Teva, Marguerite obéit. Cela faisait certainement assez de fessées pour un matin. Elle savait qu’elle bénéficierait d’un moment dans les bras de Teva avant de la quitter ce matin. Ce n’était pas tout de suite. Il fallait encore patienter.
« Marguerite, va chercher ta brosse ! »
Elle n’était pas restée très longtemps au coin. Il n’y avait pas le temps. Marguerite se doutait qu’en d’autres circonstances, elle aurait dû y passer un temps bien plus long. Quand elle revint, elle put admirer la petite fille que Teva finissait de coiffer. Avec sa tenue enfantine, l’absence de maquillage et une couette de chaque côté de sa tête, Maeva ne semblait pas avoir plus de douze ans. Marguerite savait que les personnes qu’elle croiserait dans la rue ne lui en donneraient guère plus après que Teva aurait fini son travail.
Marguerite s’en serait bien contentée s’il n’y avait eu ses collègues de travail qui ne pouvaient ignorer un changement aussi brusque d’apparence. Comment répondre à leur question sans leur laisser deviner qu’elle avait reçu la fessée si souvent dans ce week-end qu’elle en avait perdu le compte ?

Teva prit le temps de lui brosser les cheveux. Assise sur le lit entre les jambes de Teva, elle goûtait ce moment à sa juste valeur. S’il n’y avait pas eu une douleur lancinante qui parcourait ses fesses, cela aurait été un instant de félicité comme il y en a peu, ou dont on ne se souvient pas après qu’il sont passés.
Quand elle eut achevé les deux couettes, Teva amena Marguerite contre sa poitrine. Elle caressait le ventre de la jeune femme en un mouvement circulaire dont Marguerite n’aurait jamais voulu connaître la fin.
« Dommage qu’il te faille une bonne fessée pour que tu obéisses. N’aies crainte, tu t’en fatigueras avant moi ! »
Les paroles faisaient croire que Teva était encore fâchée. Les bras qui l’enlaçaient Marguerite disaient le contraire.
« J’espère que j’ai été claire : je te veux dans cette tenue toute la semaine. Pas question que tu remettes tes anciens vêtements. J’en serais extrêmement fâchée. »
La grande silhouette de Fara s’était encadrée dans la porte.
« Dites-moi, Mesdames, avez-vous l’intention de rester là toute la matinée ? Moi, je dois aller travailler !
– Allons, les chaussures et on y va ! »
Teva rompit ce moment de calme. La claque sur les fesses de Marguerite partait d’une bonne intention, mais sur des fesses aussi sensibles elle était malvenue. Teva prit Marguerite dans ses bras pour la consoler, suite au cri que la petite fessée déclencha.

Fara déposait Moana à l’école. Ils partaient tous les deux dans une direction opposée. Il embrassa chacune des femmes l’une après l’autre, Teva sur la bouche et les deux autres sur le front.
« A vendredi ma grande fille, glissa-t-il à Marguerite ! »
Celle-ci hocha la tête. Bien sûr qu’elle reviendrait à la fin de la semaine.

Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 15
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bientôt, sûr, c'est le chapitre 17.

Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

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