Tout se passe comme s’il avait suffi de leur donner l’exemple pour que
des parents, des sœurs, des responsables en tout genre ou même des voisins
adoptent cette méthode si efficace. La plupart des corrections sont, bien
entendu, administrée au domicile des punis. Mais, peu à peu, voir un ou une
adulte, culotte baissée, recevant une fessée dans des lieux les plus divers, devient
un spectacle commun.
Ce récit est l’histoire de quelques-unes des personnes qui se sont
retrouvées soumises à ce régime disciplinaire, pour leur plus grand bien et
celui de leur entourage.
Teva fit entrer, dans
l’appartement, Maeva qui montrait ouvertement sa mauvaise humeur. Teva avait
tenu à ouvrir elle-même la porte et Maeva avait dû lui en remettre la clé que
Teva avait ensuite empochée. Sa grande sœur prenait son rôle très au sérieux.
Elle tenait Maeva par le coude et celle-ci savait qu’elle ne pourrait lutter contre
Teva. Physiquement, elles n’avaient pas hérité du même parent.
Maeva était le portrait craché de
sa mère : petite, menue, les trais fins, une poitrine peu développée qu’on
ne remarquait pas au premier abord. Elle faisait des efforts pour se vieillir afin
d’éviter qu’on la prenne pour une petite fille. C’était l’une des raisons de
ses tenues provocantes et de son maquillage ostensible.
Teva tenait de son père qui était
une force de la nature. Elle mesurait un mètre quatre-vingts et une activité
sportive intense lui permettait de ne pas prendre de poids, au contraire, elle
s’était musclée peu à peu.
Le coude de Maeva était
emprisonné dans la poigne de sa sœur et rien de ce qu’elle pourrait faire ne
lui permettrait de se libérer. Elle n’avait jamais essayé de lutter avec Teva.
La différence de taille, elle ne lui arrivait qu’au milieu de la poitrine, de
poids, une bonne vingtaine de kilos et de force était en sa défaveur.
Teva n’avait jamais utilisé cet
avantage pour contraindre sa petite sœur. Jusqu’à aujourd’hui. Elle était
suffisamment exaspérée par la conduite de sa sœur pour passer outre à l’accord
tacite qu’il y avait entre elles. Elle n’avait pas besoin de faire un grand
effort pour faire avancer Maeva ou pour la contraindre à s’arrêter. Elle n’avait
pas l’impression d’utiliser sa musculature pour obliger Maeva à aller là où
elle le voulait.
« Bon, laisse-moi
maintenant ! »
Teva lâcha le bras de sa sœur.
Elle la poussa dans le dos jusque dans la chambre.
« Tu emportes ce dont tu as
besoin pour trois ou quatre jours. Je viendrai chercher le reste plus tard.
– Laisse-moi tranquille. Je ne
vais pas avec toi.
– Maeva, je ne crois pas t’avoir
demandé si tu étais d’accord. J’ai décidé que tu habiterais désormais chez moi.
Ce n’est pas négociable.
– Pour qui tu te prends ? Tu
crois que je vais t’obéir ? Tu n’as pas à décider de ce que je fais. Je
suis assez grande pour le savoir ! »
Le ton de Maeva était monté et
ses gestes étaient devenus vifs et accusateurs.
« Ce n’est pas parce que je
t’ai laissée me punir en présence de Madame André que je vais te laisser
recommencer. N’y compte pas !
– Ah oui ? Crois-tu que je
vais te demander la permission ? »
Teva agrippa le bras de Maeva et
elle l’entraîna vers le lit sur lequel elle s’assit. Elle ne s’aperçut pas vraiment
de la résistance de sa sœur bien que celle-ci y ait mis toute son énergie. Bien
sûr elle était un peu plus lourde que Moana, mais cela ne faisait pas une
différence notable. Elle souleva Maeva en la prenant par la taille entre ses
deux mains et elle la coucha sur ses genoux.
Maeva se débattait. Elle essaya
de se relever et de glisser des genoux de sa sœur en rampant. Un coude posé sur
sa colonne vertébrale la remit à sa place. Elle sentit que sa jupe était
relevée dans son dos, puis un pouce se glisser sous l’élastique de sa culotte.
« Non, cria-t-elle, pas la
culotte ! »
Sa main droite vint agripper à
son tour son sous-vêtement que Teva avait déjà commencé à baisser. Elle réussit
à l’arrêter alors que ses fesses n’étaient pas encore totalement découvertes.
Patiemment, Teva prit le poignet de sa sœur et le remonta dans son dos. Plus
rien ne l’empêchait d’achever le déculottage, ce qu’elle fit sans se presser.
« Non, Teva, non ! Pas
de fessée, s'il te plait, je vais obéir, je vais obéir !
– Bien sûr, ma chérie. J’y compte
bien. Ce sera d’autant plus facile quand je t’aurai rougi et chauffé les
fesses. Dorénavant, je n’hésiterai plus. A chaque désobéissance, à chaque
caprice, ce sera la fessée. »
Les mains de Teva étaient
proportionnées à sa taille. Elles réussissaient à couvrir complètement un globe
fessier de Maeva. Le haut de la paume arrivait en haut des fesses, tandis que
le bout des doigts finissait à la jonction avec les cuisses.
Teva ne se retenait pas du tout.
Elle savait qu’il était nécessaire que Maeva se souvienne de ces premières
fessées afin qu’elle fasse tout ce qui lui était possible pour éviter les
suivantes. C’est à cette condition que la cohabitation avec sa sœur serait
vivable. Il fallait faire diminuer le nombre de caprices que Maeva était
capable de faire en une journée. Il était nécessaire qu’elle craigne les
fessées de sa sœur. Pour cela il n’y avait qu’une solution et Teva s’y
employait.
Maeva cessa de se débattre. Elle
ne savait plus quoi faire pour arrêter cette main qui transformait ses fesses
en un brasier incandescent. Elle avait besoin de se concentrer pour absorber la
chaleur qui en émanait et qui envoyait des signaux d’alerte dans toutes ses
terminaisons nerveuses. Elle ne pouvait pas en supporter plus. Pourtant la
fessée continuait.
Quand la main de Teva arrêta de
claquer ses fesses, elle s’attendait à ce que la douleur diminue. Ce fut le
contraire qui se produisit. Il y eut un flash de douleur qui dura plusieurs
secondes et qui la laissa en larmes.
« Va te mettre au
coin ! »
Il y avait une urgence absolue à
obéir à l’ordre de Teva. Tout plutôt que d’être soumise à une nouvelle
fessée ! Elle se précipita vers le coin, aussi vite que le lui permettait
sa culotte baissée. Elle s’y plaça comme cela avait été exigé par Madame André lors
de sa première fessée. Elle espérait que ce soit ce que Teva attendait d’elle.
Elle fut soulagée quand sa grande sœur ne lui fit aucune remarque sur la façon
dont elle se tenait en pénitence. Cela ne diminua que modérément la tension qui
lui nouait les entrailles.
Teva, l’air pensif, regardait sa
sœur. Après avoir joué la rebelle, celle-ci s’était transformée, grâce au
miracle de la fessée, en une petite fille obéissante qui se tenait sagement au
coin, tout en ravalant ses sanglots.
« Exactement ce qu’il
fallait, se dit-elle. Je crains qu’il ne faille de nombreuses autres fessées
avant qu’elle ne soit spontanément obéissante. Mais puisqu’il le faut … »
Les fesses de sa sœur étaient
rouge vif et Teva croyait percevoir, à distance, la chaleur qui en émanait, ce
qui était, bien entendu impossible. Elle s’imagina un instant ce que devait
ressentir Maeva et elle fut sur le point de lever la punition sur le champ.
« N’exagérons rien, se
morigéna-t-elle, ce ne sont que des fesses brûlantes. Il n’y a pas d’atteinte
durable et la cuisson ne va pas persister plus de quelques minutes. Je parie
qu’à ce moment-là je vais retrouver ma petite sœur capricieuse. »
Cette pensée la fit sourire, puis
elle redevint sérieuse.
« Quelle responsabilité
ai-je encore prise ! J’ai bien peur de ne pas pouvoir en sortir de
sitôt. »
Une bouffée de tendresse pour sa
petite sœur la submergea.
« Pas de doute, cette petite
peste a besoin que je m’occupe d’elle. Je ne peux pas la laisser tomber. J’ai
déjà bien trop attendu ! »
Ce dialogue intérieur avait raffermi
sa résolution.
« Je tiendrai bon, jusqu’à
ce que Maeva change de comportement, aussi longtemps qu’il le faudra. »
Elle revint alors à des choses
plus pragmatiques. Il s’agissait de faire le tri dans les vêtements de sa sœur
pour sélectionner ce dont elle avait besoin pour ces trois ou quatre prochains
jours et qu’il faudrait emporter dès ce soir.
Elle fut consternée par ce
qu’elle trouvait. Tous les vêtements que possédait sa sœur étaient échancrés,
décolletés, prévus pour laisser apparentes au moins la moitié des cuisses et
parfois plus haut. La taille des pantalons était si basse qu’elle devait
laisser voir le haut des fesses. Les sous-vêtements n’étaient pas mieux. Teva
dut fouiller au fond de l’armoire pour trouver trois culottes qui n’étaient pas
des strings. Et encore, elles étaient ajourées et la peau devait se voir à
travers. Pas un soutien-gorge ne trouva grâce à ses yeux.
« Ce n’est pas un problème,
pensa-t-elle. Maeva n’a pas de poitrine, elle n’en aura pas besoin. »
Les collants ajourés furent
écartés au profit de chaussettes, mais Teva n’en trouva pas suffisamment pour
constituer un change suffisant.
« Dès demain soir, nous
renouvellerons ta garde-robe, annonça Teva. Je vais t’habiller avec des
vêtements bien plus sages. »
Elle était stupéfaite que sa sœur
ose sortir avec des vêtements aussi provoquants.
« De cela également je vais
devoir m’occuper. »
La tâche était immense, mais cela
n’effrayait pas Teva.
« Une fois les bonnes
habitudes prises, cela ira tout seul. Et puis il y aura toujours la fessée, à
chaque fois que ce sera nécessaire, pour résoudre les difficultés que ne manquera
pas de créer Maeva. »
Tout ce qu’elle avait sélectionné
tenait dans un petit sac de sport qu’elle avait trouvé dans le fond de
l’armoire. Elle regarda l’heure.
« Il est temps de passer
chercher Moana, pensa-t-elle. »
Puis à voix haute.
« Maeva, il est temps de
partir. Viens-ici ! »
Elle ne put s’empêcher de sourire
en voyant sa sœur venir vers elle, les yeux encore embuées de larmes, reniflant
de temps en temps, tenant sa jupe bien haute au-dessus de sa taille, marchant
difficilement à cause de sa culotte descendue qui entourait ses genoux.
« Une petite fille qu’on a
envie de consoler, se dit-elle. »
Elle serra brièvement Maeva sur
sa poitrine, puis sortant un mouchoir de sa poche, elle le déplia et le
présenta devant le nez de sa sœur. Elle boucha une narine.
« Souffle,
ordonna-t-elle ! »
Un côté, puis l’autre. Teva
essuya les quelques larmes qui perlaient au coin des yeux de sa sœur. Elle posa
la main sur les fesses nues. Elles avaient totalement refroidi.
« Promets-tu d’être sage,
maintenant ?
– Oh oui Teva !
– Plus de caprice pour ce
soir ?
– Non, Teva, non.
– Nous verrons cela. »
Teva tapota doucement les fesses
de sa sœur. C’était à la fois un geste de consolation et la promesse de futures
fessées. Maeva ne semblait pas avoir à redire à ce contact intime. Il est vrai
qu’il était plus agréable que la dernière fois que la main de Teva avait touché
ses fesses. Teva remonta sa culotte, puis écarta ses mains pour laisser tomber
la jupe.
« Prends le sac. Ce sont tes
affaires. Je crois que nous pourrons nous débarrasser du reste. Il n’y a rien
de mettable.
– Nous … débarrasser ? Que
veux-tu dire ?
– Oh, je ne sais pas encore bien
ce que j’en ferai, mais tu ne mettras aucun de ces accoutrements tant que tu
seras sous ma responsabilité. Et comme cela risque de durer un bon moment, nous
pouvons jeter tout cela ou le donner, mais je ne vois pas qui cela pourrait
intéresser.
– Teva, non, tu ne peux pas faire
ça !
– Crois-tu ? Je vais
pourtant le faire.
– Mais j’en aurai encore besoin,
après …
– Après quoi ? Il n’est plus
question que tu t’habilles de cette façon et ce, pour très longtemps. Quand je
t’autoriserai de nouveau à choisir les vêtements que tu porteras, ils seront
plus décents que ceux-là. Pour le moment, c’est moi qui déciderai ce que tu te
mettras sur le dos et rien de ce qui reste ici ne convient. Nous irons acheter
de quoi t’habiller demain soir.
– Tu n’as pas le droit de faire
ça ! »
Elle cria cette dernière phrase
et pour insister sur sa détermination, elle frappa du pied par terre.
« Je vois, fit Teva. Une
nouvelle colère. »
Elle n’eut qu’à peser sur le dos
de Maeva pour la coucher sur ses genoux.
« Non, Teva, non. Pas la
fessée. Je ne le ferai plus, je vais être sage. »
Teva ne prit pas les promesses de
sa sœur en compte. Elle releva la jupe et baissa la culotte sans que Maeva ne
cherchât à s’y opposer. Elle ne tenta pas plus de quitter la position punitive
dans laquelle sa sœur l’avait mise. Sa main vint se placer sur ses fesses, en
un geste dérisoire de protection. Teva remonta le bras de sa sœur sur ses
reins. La surface des fesses était maintenant bien dégagée.
« Pardon, Teva,
pardon. »
Sa litanie de supplications fut
interrompue par le début de la fessée. Très vite il n’y eut plus de place que
pour des cris et des gémissements inarticulés qui s’achevèrent en sanglots.
Teva poursuivit la punition jusqu’à ce que les fesses de Maeva aient retrouvé
la couleur rouge qu’elles avaient précédemment.
L’attitude de Maeva, pendant
qu’elle recevait une correction de sa sœur, avait changé du tout au tout. Elle
ne cherchait pas à s’y soustraire. Seuls ses pieds battaient l’air, mais ce
n’était qu’une vaine tentative pour dissiper la chaleur de la fournaise que
Teva entretenait sur ses fesses.
Teva n’avait pas conscience
qu’elle laissait Teva la fesser comme elle le souhaitait. Elle ne l’avait pas
décidé, mais il n’y avait rien d’autre à faire. La fessée faisait maintenant
partie de sa vie et il était entendu que Teva avait le droit d’y recourir quand
elle le jugeait bon. Il n’y avait rien à y redire, juste apprendre, avec des
fesses douloureuses, que ce qu’elle venait de faire lui était désormais
interdit.
C’est une Maeva pleurant à gros
sanglots que Teva remit sur ses pieds.
« Il est temps d’aller
chercher Moana. »
Mais Maeva ne réagit pas. Alors
Teva la reculotta et arrangea sa jupe. Maeva se laissait faire, encore toute à
la punition qu’elle venait de subir. Attrapant le sac de vêtements, Teva prit
Maeva par la main. Docilement, celle-ci suivit.
Dans l’entrée de l’appartement,
Teva récupéra le manteau de sa sœur et le lui passa. Maeva ne fit aucune
difficulté, mais elle ne prenait aucune initiative non plus. Teva remonta la
fermeture éclair du manteau et elle lui mit, sur la tête, le bonnet qu’elle
avait en arrivant. Maeva pleurait toujours. Teva passa la sangle du sac sur son
épaule, puis elle prit Maeva pas la main. Celle-ci ne fit aucune difficulté
pour la suivre.
« Deux fessées ! Il a
suffi de deux fessées pour que mon petit monstre de sœur laisse la place à une
gentille petite fille obéissante, ce qu’elle n’avait jamais été jusqu’à
maintenant. C’est vraiment ce qu’il lui fallait. Si j’avais su … »
La fessée s’était imposée comme
une évidence au cours de la conversation avec Madame André. Teva n’avait pas eu
beaucoup de doute sur son utilité. Mais après cette demi-heure passée avec
Maeva, c’était maintenant une certitude. La petite sœur avait besoin d’une
personne qui avait l’autorité suffisante pour la fesser quand elle le méritait.
Teva convenait que ce rôle lui revenait naturellement et qu’elle l’assumerait
jusqu’au bout.
« Maeva, que
t’arrive-t-il ? »
Une jeune fille approximativement
du même âge que Maeva venait de les interpeller dans le hall de l’immeuble.
« Mais, tu
pleures ! »
Elle regarda Teva avec suspicion.
« Qui c’est, elle ?
– Et vous, jeune fille impolie,
qui êtes-vous ?
– Je suis Marguerite, la
meilleure amie de Maeva et je veux savoir qui vous êtes. Maeva n’a pas l’air
ravie de partir avec vous ! Vous l’emmenez de force ? Qu’est-ce qui
se passe ?
– Est-ce vrai Maeva, questionna
Teva ? »
Maeva regarda sa sœur, puis Marguerite.
Elle hésita un bref instant.
« Marguerite, c’est Teva, ma
sœur. Je vais aller habiter chez elle.
– Chez elle ? Mais tu
n’habiteras plus ici alors ! Mais pourquoi ? »
Maeva baissa la tête. Elle ne
savait pas comment expliquer à sa plus proche amie les changements qui venaient
d’intervenir dans sa vie. Teva s’en chargea.
« Maeva n’est pas assez
responsable pour gérer sa vie toute seule. Elle est en train de la gâcher et je
ne suis pas sûre d’avoir tout découvert sur ce qu’elle fait, notamment quand
elle est avec toi. Elle va donc venir vivre chez moi où je pourrai la
surveiller et intervenir si nécessaire.
– Mais, … que … la surveiller,
mais pourquoi ? Mais elle est majeure
– C’est exact. Hélas, ça ne
change rien. Maeva est maintenant sous ma responsabilité et j’ai bien
l’intention de la faire obéir et l’obliger à se comporter correctement.
– Je ne comprends pas. Que …
– C’est assez simple, la coupa
Teva. Quand j’ai quelque chose à reprocher à Maeva, je lui donne une fessée.
Elle vient d’en prendre une, il y a quelques minutes, c’est pour cette raison
qu’elle a les yeux rougis.
– Une fessée mais …
– Dites-moi vous êtes bien la Marguerite
avec laquelle Maeva sort régulièrement en boite, au moins une fois par
semaine ?
– Oui, c’est moi mais que …
– C’est donc avec vous qu’elle
s’est enivrée la semaine dernière, à tel point que j’ai dû aller la chercher au
commissariat ?
– Oui, j’étais là mais nous
voulions juste nous …
– Voyez-vous, c’est de ce type de
comportement dont je parle, en plus des caprices, des tenues indécentes, des
colères … et j’en passe. Dorénavant, ce sera la fessée à chaque fois et je préfère
vous prévenir que quand vous serez dans les parages, vous aurez toutes les
chances de finir également à plat-ventre sur mes genoux, la culotte baissée,
pour y recevoir une bonne fessée.
– Moi ? Une fessée ? Ce
n’est pas …
– Comme je préfère prévenir que
guérir, Maeva logera désormais chez moi et elle respectera les règles
élémentaires d’une vie normale. Cela lui évitera quelques fessées.
– Mais, je ne la verrai
plus ?
– Vous pourrez venir la voir
autant que vous voudrez, mais comme vous ne semblez pas avoir la tête sur les
épaules plus qu’elle, vous serez soumise à la même discipline. Est-ce
compris ?
– Oui, Madame.
– Allons Maeva, on y va. On nous
attend. »
Elles laissèrent là une Marguerite
pensive, mais qui n’envisageait pas de rompre avec sa meilleure amie.
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.
Mais, ce n'est pas fini
Y a-t-il une suite ? Bientôt, bientôt peut-être.
Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !
Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.
Superbe début d'histoire, à continuer... je sens que ça va encore claquer fort !
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