mercredi 26 juin 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 1

A La Villeneuve sur Horto, petite ville moyenne française entourée d’une campagne agricole, depuis que Tatie Nathalie a montré comment il convenait de punir les adultes désobéissants et que Madame André, la cheffe de magasin du supermarché local, a emboité le pas, l’usage de la fessée se répand comme une traînée de poudre.
Tout se passe comme s’il avait suffi de leur donner l’exemple pour que des parents, des sœurs, des responsables en tout genre ou même des voisins adoptent cette méthode si efficace. La plupart des corrections sont, bien entendu, administrée au domicile des punis. Mais, peu à peu, voir un ou une adulte, culotte baissée, recevant une fessée dans des lieux les plus divers, devient un spectacle commun.
Ce récit est l’histoire de quelques-unes des personnes qui se sont retrouvées soumises à ce régime disciplinaire, pour leur plus grand bien et celui de leur entourage.


Teva fit entrer, dans l’appartement, Maeva qui montrait ouvertement sa mauvaise humeur. Teva avait tenu à ouvrir elle-même la porte et Maeva avait dû lui en remettre la clé que Teva avait ensuite empochée. Sa grande sœur prenait son rôle très au sérieux. Elle tenait Maeva par le coude et celle-ci savait qu’elle ne pourrait lutter contre Teva. Physiquement, elles n’avaient pas hérité du même parent.
Maeva était le portrait craché de sa mère : petite, menue, les trais fins, une poitrine peu développée qu’on ne remarquait pas au premier abord. Elle faisait des efforts pour se vieillir afin d’éviter qu’on la prenne pour une petite fille. C’était l’une des raisons de ses tenues provocantes et de son maquillage ostensible.
Teva tenait de son père qui était une force de la nature. Elle mesurait un mètre quatre-vingts et une activité sportive intense lui permettait de ne pas prendre de poids, au contraire, elle s’était musclée peu à peu.
Le coude de Maeva était emprisonné dans la poigne de sa sœur et rien de ce qu’elle pourrait faire ne lui permettrait de se libérer. Elle n’avait jamais essayé de lutter avec Teva. La différence de taille, elle ne lui arrivait qu’au milieu de la poitrine, de poids, une bonne vingtaine de kilos et de force était en sa défaveur.
Teva n’avait jamais utilisé cet avantage pour contraindre sa petite sœur. Jusqu’à aujourd’hui. Elle était suffisamment exaspérée par la conduite de sa sœur pour passer outre à l’accord tacite qu’il y avait entre elles. Elle n’avait pas besoin de faire un grand effort pour faire avancer Maeva ou pour la contraindre à s’arrêter. Elle n’avait pas l’impression d’utiliser sa musculature pour obliger Maeva à aller là où elle le voulait.

« Bon, laisse-moi maintenant ! »
Teva lâcha le bras de sa sœur. Elle la poussa dans le dos jusque dans la chambre.
« Tu emportes ce dont tu as besoin pour trois ou quatre jours. Je viendrai chercher le reste plus tard.
– Laisse-moi tranquille. Je ne vais pas avec toi.
– Maeva, je ne crois pas t’avoir demandé si tu étais d’accord. J’ai décidé que tu habiterais désormais chez moi. Ce n’est pas négociable.
– Pour qui tu te prends ? Tu crois que je vais t’obéir ? Tu n’as pas à décider de ce que je fais. Je suis assez grande pour le savoir ! »
Le ton de Maeva était monté et ses gestes étaient devenus vifs et accusateurs.
« Ce n’est pas parce que je t’ai laissée me punir en présence de Madame André que je vais te laisser recommencer. N’y compte pas !
– Ah oui ? Crois-tu que je vais te demander la permission ? »
Teva agrippa le bras de Maeva et elle l’entraîna vers le lit sur lequel elle s’assit. Elle ne s’aperçut pas vraiment de la résistance de sa sœur bien que celle-ci y ait mis toute son énergie. Bien sûr elle était un peu plus lourde que Moana, mais cela ne faisait pas une différence notable. Elle souleva Maeva en la prenant par la taille entre ses deux mains et elle la coucha sur ses genoux.
Maeva se débattait. Elle essaya de se relever et de glisser des genoux de sa sœur en rampant. Un coude posé sur sa colonne vertébrale la remit à sa place. Elle sentit que sa jupe était relevée dans son dos, puis un pouce se glisser sous l’élastique de sa culotte.
« Non, cria-t-elle, pas la culotte ! »
Sa main droite vint agripper à son tour son sous-vêtement que Teva avait déjà commencé à baisser. Elle réussit à l’arrêter alors que ses fesses n’étaient pas encore totalement découvertes. Patiemment, Teva prit le poignet de sa sœur et le remonta dans son dos. Plus rien ne l’empêchait d’achever le déculottage, ce qu’elle fit sans se presser.
« Non, Teva, non ! Pas de fessée, s'il te plait, je vais obéir, je vais obéir !
– Bien sûr, ma chérie. J’y compte bien. Ce sera d’autant plus facile quand je t’aurai rougi et chauffé les fesses. Dorénavant, je n’hésiterai plus. A chaque désobéissance, à chaque caprice, ce sera la fessée. »
Les mains de Teva étaient proportionnées à sa taille. Elles réussissaient à couvrir complètement un globe fessier de Maeva. Le haut de la paume arrivait en haut des fesses, tandis que le bout des doigts finissait à la jonction avec les cuisses.
Teva ne se retenait pas du tout. Elle savait qu’il était nécessaire que Maeva se souvienne de ces premières fessées afin qu’elle fasse tout ce qui lui était possible pour éviter les suivantes. C’est à cette condition que la cohabitation avec sa sœur serait vivable. Il fallait faire diminuer le nombre de caprices que Maeva était capable de faire en une journée. Il était nécessaire qu’elle craigne les fessées de sa sœur. Pour cela il n’y avait qu’une solution et Teva s’y employait.
Maeva cessa de se débattre. Elle ne savait plus quoi faire pour arrêter cette main qui transformait ses fesses en un brasier incandescent. Elle avait besoin de se concentrer pour absorber la chaleur qui en émanait et qui envoyait des signaux d’alerte dans toutes ses terminaisons nerveuses. Elle ne pouvait pas en supporter plus. Pourtant la fessée continuait.
Quand la main de Teva arrêta de claquer ses fesses, elle s’attendait à ce que la douleur diminue. Ce fut le contraire qui se produisit. Il y eut un flash de douleur qui dura plusieurs secondes et qui la laissa en larmes.
« Va te mettre au coin ! »
Il y avait une urgence absolue à obéir à l’ordre de Teva. Tout plutôt que d’être soumise à une nouvelle fessée ! Elle se précipita vers le coin, aussi vite que le lui permettait sa culotte baissée. Elle s’y plaça comme cela avait été exigé par Madame André lors de sa première fessée. Elle espérait que ce soit ce que Teva attendait d’elle. Elle fut soulagée quand sa grande sœur ne lui fit aucune remarque sur la façon dont elle se tenait en pénitence. Cela ne diminua que modérément la tension qui lui nouait les entrailles.

Teva, l’air pensif, regardait sa sœur. Après avoir joué la rebelle, celle-ci s’était transformée, grâce au miracle de la fessée, en une petite fille obéissante qui se tenait sagement au coin, tout en ravalant ses sanglots.
« Exactement ce qu’il fallait, se dit-elle. Je crains qu’il ne faille de nombreuses autres fessées avant qu’elle ne soit spontanément obéissante. Mais puisqu’il le faut … »
Les fesses de sa sœur étaient rouge vif et Teva croyait percevoir, à distance, la chaleur qui en émanait, ce qui était, bien entendu impossible. Elle s’imagina un instant ce que devait ressentir Maeva et elle fut sur le point de lever la punition sur le champ.
« N’exagérons rien, se morigéna-t-elle, ce ne sont que des fesses brûlantes. Il n’y a pas d’atteinte durable et la cuisson ne va pas persister plus de quelques minutes. Je parie qu’à ce moment-là je vais retrouver ma petite sœur capricieuse. »
Cette pensée la fit sourire, puis elle redevint sérieuse.
« Quelle responsabilité ai-je encore prise ! J’ai bien peur de ne pas pouvoir en sortir de sitôt. »
Une bouffée de tendresse pour sa petite sœur la submergea.
« Pas de doute, cette petite peste a besoin que je m’occupe d’elle. Je ne peux pas la laisser tomber. J’ai déjà bien trop attendu ! »
Ce dialogue intérieur avait raffermi sa résolution.
« Je tiendrai bon, jusqu’à ce que Maeva change de comportement, aussi longtemps qu’il le faudra. »
Elle revint alors à des choses plus pragmatiques. Il s’agissait de faire le tri dans les vêtements de sa sœur pour sélectionner ce dont elle avait besoin pour ces trois ou quatre prochains jours et qu’il faudrait emporter dès ce soir.
Elle fut consternée par ce qu’elle trouvait. Tous les vêtements que possédait sa sœur étaient échancrés, décolletés, prévus pour laisser apparentes au moins la moitié des cuisses et parfois plus haut. La taille des pantalons était si basse qu’elle devait laisser voir le haut des fesses. Les sous-vêtements n’étaient pas mieux. Teva dut fouiller au fond de l’armoire pour trouver trois culottes qui n’étaient pas des strings. Et encore, elles étaient ajourées et la peau devait se voir à travers. Pas un soutien-gorge ne trouva grâce à ses yeux.
« Ce n’est pas un problème, pensa-t-elle. Maeva n’a pas de poitrine, elle n’en aura pas besoin. »
Les collants ajourés furent écartés au profit de chaussettes, mais Teva n’en trouva pas suffisamment pour constituer un change suffisant.
« Dès demain soir, nous renouvellerons ta garde-robe, annonça Teva. Je vais t’habiller avec des vêtements bien plus sages. »
Elle était stupéfaite que sa sœur ose sortir avec des vêtements aussi provoquants.
« De cela également je vais devoir m’occuper. »
La tâche était immense, mais cela n’effrayait pas Teva.
« Une fois les bonnes habitudes prises, cela ira tout seul. Et puis il y aura toujours la fessée, à chaque fois que ce sera nécessaire, pour résoudre les difficultés que ne manquera pas de créer Maeva. »
Tout ce qu’elle avait sélectionné tenait dans un petit sac de sport qu’elle avait trouvé dans le fond de l’armoire. Elle regarda l’heure.
« Il est temps de passer chercher Moana, pensa-t-elle. »
Puis à voix haute.
« Maeva, il est temps de partir. Viens-ici ! »

Elle ne put s’empêcher de sourire en voyant sa sœur venir vers elle, les yeux encore embuées de larmes, reniflant de temps en temps, tenant sa jupe bien haute au-dessus de sa taille, marchant difficilement à cause de sa culotte descendue qui entourait ses genoux.
« Une petite fille qu’on a envie de consoler, se dit-elle. »
Elle serra brièvement Maeva sur sa poitrine, puis sortant un mouchoir de sa poche, elle le déplia et le présenta devant le nez de sa sœur. Elle boucha une narine.
« Souffle, ordonna-t-elle ! »
Un côté, puis l’autre. Teva essuya les quelques larmes qui perlaient au coin des yeux de sa sœur. Elle posa la main sur les fesses nues. Elles avaient totalement refroidi.
« Promets-tu d’être sage, maintenant ?
– Oh oui Teva !
– Plus de caprice pour ce soir ?
– Non, Teva, non.
– Nous verrons cela. »
Teva tapota doucement les fesses de sa sœur. C’était à la fois un geste de consolation et la promesse de futures fessées. Maeva ne semblait pas avoir à redire à ce contact intime. Il est vrai qu’il était plus agréable que la dernière fois que la main de Teva avait touché ses fesses. Teva remonta sa culotte, puis écarta ses mains pour laisser tomber la jupe.
« Prends le sac. Ce sont tes affaires. Je crois que nous pourrons nous débarrasser du reste. Il n’y a rien de mettable.
– Nous … débarrasser ? Que veux-tu dire ?
– Oh, je ne sais pas encore bien ce que j’en ferai, mais tu ne mettras aucun de ces accoutrements tant que tu seras sous ma responsabilité. Et comme cela risque de durer un bon moment, nous pouvons jeter tout cela ou le donner, mais je ne vois pas qui cela pourrait intéresser.
– Teva, non, tu ne peux pas faire ça !
– Crois-tu ? Je vais pourtant le faire.
– Mais j’en aurai encore besoin, après …
– Après quoi ? Il n’est plus question que tu t’habilles de cette façon et ce, pour très longtemps. Quand je t’autoriserai de nouveau à choisir les vêtements que tu porteras, ils seront plus décents que ceux-là. Pour le moment, c’est moi qui déciderai ce que tu te mettras sur le dos et rien de ce qui reste ici ne convient. Nous irons acheter de quoi t’habiller demain soir.
– Tu n’as pas le droit de faire ça ! »
Elle cria cette dernière phrase et pour insister sur sa détermination, elle frappa du pied par terre.
« Je vois, fit Teva. Une nouvelle colère. »
Elle n’eut qu’à peser sur le dos de Maeva pour la coucher sur ses genoux.
« Non, Teva, non. Pas la fessée. Je ne le ferai plus, je vais être sage. »
Teva ne prit pas les promesses de sa sœur en compte. Elle releva la jupe et baissa la culotte sans que Maeva ne cherchât à s’y opposer. Elle ne tenta pas plus de quitter la position punitive dans laquelle sa sœur l’avait mise. Sa main vint se placer sur ses fesses, en un geste dérisoire de protection. Teva remonta le bras de sa sœur sur ses reins. La surface des fesses était maintenant bien dégagée.
« Pardon, Teva, pardon. »
Sa litanie de supplications fut interrompue par le début de la fessée. Très vite il n’y eut plus de place que pour des cris et des gémissements inarticulés qui s’achevèrent en sanglots. Teva poursuivit la punition jusqu’à ce que les fesses de Maeva aient retrouvé la couleur rouge qu’elles avaient précédemment.
L’attitude de Maeva, pendant qu’elle recevait une correction de sa sœur, avait changé du tout au tout. Elle ne cherchait pas à s’y soustraire. Seuls ses pieds battaient l’air, mais ce n’était qu’une vaine tentative pour dissiper la chaleur de la fournaise que Teva entretenait sur ses fesses.
Teva n’avait pas conscience qu’elle laissait Teva la fesser comme elle le souhaitait. Elle ne l’avait pas décidé, mais il n’y avait rien d’autre à faire. La fessée faisait maintenant partie de sa vie et il était entendu que Teva avait le droit d’y recourir quand elle le jugeait bon. Il n’y avait rien à y redire, juste apprendre, avec des fesses douloureuses, que ce qu’elle venait de faire lui était désormais interdit.

C’est une Maeva pleurant à gros sanglots que Teva remit sur ses pieds.
« Il est temps d’aller chercher Moana. »
Mais Maeva ne réagit pas. Alors Teva la reculotta et arrangea sa jupe. Maeva se laissait faire, encore toute à la punition qu’elle venait de subir. Attrapant le sac de vêtements, Teva prit Maeva par la main. Docilement, celle-ci suivit.
Dans l’entrée de l’appartement, Teva récupéra le manteau de sa sœur et le lui passa. Maeva ne fit aucune difficulté, mais elle ne prenait aucune initiative non plus. Teva remonta la fermeture éclair du manteau et elle lui mit, sur la tête, le bonnet qu’elle avait en arrivant. Maeva pleurait toujours. Teva passa la sangle du sac sur son épaule, puis elle prit Maeva pas la main. Celle-ci ne fit aucune difficulté pour la suivre.
« Deux fessées ! Il a suffi de deux fessées pour que mon petit monstre de sœur laisse la place à une gentille petite fille obéissante, ce qu’elle n’avait jamais été jusqu’à maintenant. C’est vraiment ce qu’il lui fallait. Si j’avais su … »
La fessée s’était imposée comme une évidence au cours de la conversation avec Madame André. Teva n’avait pas eu beaucoup de doute sur son utilité. Mais après cette demi-heure passée avec Maeva, c’était maintenant une certitude. La petite sœur avait besoin d’une personne qui avait l’autorité suffisante pour la fesser quand elle le méritait. Teva convenait que ce rôle lui revenait naturellement et qu’elle l’assumerait jusqu’au bout.

« Maeva, que t’arrive-t-il ? »
Une jeune fille approximativement du même âge que Maeva venait de les interpeller dans le hall de l’immeuble.
« Mais, tu pleures ! »
Elle regarda Teva avec suspicion.
« Qui c’est, elle ?
– Et vous, jeune fille impolie, qui êtes-vous ?
– Je suis Marguerite, la meilleure amie de Maeva et je veux savoir qui vous êtes. Maeva n’a pas l’air ravie de partir avec vous ! Vous l’emmenez de force ? Qu’est-ce qui se passe ?
– Est-ce vrai Maeva, questionna Teva ? »
Maeva regarda sa sœur, puis Marguerite. Elle hésita un bref instant.
« Marguerite, c’est Teva, ma sœur. Je vais aller habiter chez elle.
– Chez elle ? Mais tu n’habiteras plus ici alors ! Mais pourquoi ? »
Maeva baissa la tête. Elle ne savait pas comment expliquer à sa plus proche amie les changements qui venaient d’intervenir dans sa vie. Teva s’en chargea.
« Maeva n’est pas assez responsable pour gérer sa vie toute seule. Elle est en train de la gâcher et je ne suis pas sûre d’avoir tout découvert sur ce qu’elle fait, notamment quand elle est avec toi. Elle va donc venir vivre chez moi où je pourrai la surveiller et intervenir si nécessaire.
– Mais, … que … la surveiller, mais pourquoi ? Mais elle est majeure
– C’est exact. Hélas, ça ne change rien. Maeva est maintenant sous ma responsabilité et j’ai bien l’intention de la faire obéir et l’obliger à se comporter correctement.
– Je ne comprends pas. Que …
– C’est assez simple, la coupa Teva. Quand j’ai quelque chose à reprocher à Maeva, je lui donne une fessée. Elle vient d’en prendre une, il y a quelques minutes, c’est pour cette raison qu’elle a les yeux rougis.
– Une fessée mais …
– Dites-moi vous êtes bien la Marguerite avec laquelle Maeva sort régulièrement en boite, au moins une fois par semaine ?
– Oui, c’est moi mais que …
– C’est donc avec vous qu’elle s’est enivrée la semaine dernière, à tel point que j’ai dû aller la chercher au commissariat ?
– Oui, j’étais là mais nous voulions juste nous …
– Voyez-vous, c’est de ce type de comportement dont je parle, en plus des caprices, des tenues indécentes, des colères … et j’en passe. Dorénavant, ce sera la fessée à chaque fois et je préfère vous prévenir que quand vous serez dans les parages, vous aurez toutes les chances de finir également à plat-ventre sur mes genoux, la culotte baissée, pour y recevoir une bonne fessée.
– Moi ? Une fessée ? Ce n’est pas …
– Comme je préfère prévenir que guérir, Maeva logera désormais chez moi et elle respectera les règles élémentaires d’une vie normale. Cela lui évitera quelques fessées.
– Mais, je ne la verrai plus ?
– Vous pourrez venir la voir autant que vous voudrez, mais comme vous ne semblez pas avoir la tête sur les épaules plus qu’elle, vous serez soumise à la même discipline. Est-ce compris ?
– Oui, Madame.
– Allons Maeva, on y va. On nous attend. »
Elles laissèrent là une Marguerite pensive, mais qui n’envisageait pas de rompre avec sa meilleure amie.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bientôt, bientôt peut-être.

Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

1 commentaire:

  1. Superbe début d'histoire, à continuer... je sens que ça va encore claquer fort !

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