mardi 25 juin 2019

Ces dames aux mains fermes, en image - saison 1 - scène 1



Plutôt que de laisser dormir dans des fichiers (maintenant on ne dit plus cartons) les  illustrations des saisons 1 et 2 , nous avons décidé avec JLG de les republier, chapitre par chapitre,  accompagnées, à chaque fois, d'une brève présentation afin de les resituer dans le récit. Pour une relecture complète, voir les saisons 1 et 2.
Souhaitons que cela  plaise aux fidèles lecteurs et aux nouveaux qui n'ont peut être pas eu l'occasion d'en profiter lors de la première parution,
Un clin d’œil au passage à notre ami Peter Pan. Ses petites chroniques illustrées hebdomadaires m'ont inspiré l'idée de cette forme de compilation. Je laisse ces dessins, libres d'utilisation à la communauté du Blog,
Cordialement,
Ramina,


Gladys était une belle femme plantureuse, de celle que l’on dit dans la fleur de l‘âge, proche d’une cinquantaine triomphante. Femme de caractère, au physique avantageux, elle portait haut, dominant, et dégageait une impression d’autorité naturelle qui inspirait d’emblée le respect. Elle avait transmis à sa fille, Patricia son sens naturel de l’autorité qu’elle exerçait notamment sur son fils Robin et Edouard, son second mari, soumis quotidiennement à une stricte et sévère discipline domestique. Une seule méthode, radicale mais efficace, l‘emploi systématique de la fessée, justifié par des raisons éducatives d’épanouissement du corps et de l’esprit.

Consciencieusement initiée, par l’expérience de sa mère, aux techniques bienfaisantes de la fessée, Patricia se révélait une correctrice acharnée naturellement dotée d’une belle et cuisante force de frappe. Elle fessait presque aussi bien et aussi fort, que sa mère. Il ne lui manquait encore que tenir la distance sur les fessées longue durée. Simple question de technique qu’elle s’appliquait à améliorer par une pratique régulière.

De trois ans plus jeune, Robin le fils, nettement moins concerné que sa sœur, par la réalité trop contraignante du travail scolaire, était pensionnaire à Sainte Marie. Il ne rentrait que le Vendredi pour les Week-end. Son niveau de résultats stabilisé en dessous de la ligne de flottaison avec pour conséquence fatale, une persistance à cumuler les redoublements, avait nécessité une inscription d’urgence dans cette institution, tenue par des religieuses. Sainte Marie était la seule école qui avait accepté de prendre en charge sa scolarité défaillante. Ce fut à la plus grandes satisfactions de sa mère qui y trouva enfin le mode d‘enseignement idéal pour son fils. Celle-ci, adepte inconditionnelle de la fessée comme méthode d’éducation active, apprécia d’emblée les pratiques disciplinaires particulièrement sévères de l’établissement. Elle les estimait, à juste titre, comme le complément d’autorité indispensable aux règles de conduite qu’elle imposait elle même à la maison pour venir à bout du  « cas Robin »

Mais Robin n’était pas le seul à bénéficier de ce cuisant traitement et à devoir soumettre régulièrement ses fesses aux exigences disciplinaires d’un entourage familial féminin qui lui laissait peu de moment de répit. Edouard, le deuxième mari de Gladys, donc le beau- père, cadre respecté en entreprise, perdait une partie de sa dignité et toute son autorité une fois franchi le seuil de la maison. Lui aussi, sous l’emprise de ces femmes autoritaires, était contraint d’accepter les règles de fonctionnement d’une vie de famille organisée, parfaitement hiérarchisée, pour le plus grand bien, disaient-elles, de l’éducation de chacun. Celle de Robin, encore à construire et mettre en place avant qu’il ne soit trop tard. Et celle du beaux père, adulte mal dégrossi bourré de mauvaises habitudes, entièrement à revoir à défaut d’en avoir reçu une convenable.

Entre un garçon de vingt et un ans qui se comportait comme un adolescent attardé irresponsable et un beau père égoïste, peu respectueux de son entourage familial, la mère et la fille n’étaient pas trop de deux pour faire respecter les règles de vie commune.  Une seule méthode, radicale, la fessée. La fessée déculottée, systématiquement administrée.


Une fessée déculottée pour Robin et son beau-père



Vous voulez relire l'épisode en entier ?

Pas de souci, le voilà : Saison 1 chapitre 1


Prochaine illustration...

...dans quelques jours

A vos commentaires !

Que pensez-vous de cette rediffusion ? 

6 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Excellente idée !!!! Je ne peux qu'applaudir à cette initiative.
    Ce récit résume la saga de ces Dames... En plantant le décor, ce synopsis incite le lecteur ou la lectrice à se replonger dans les épisodes correspondants pour mieux profiter de "l'ambiance".
    Alors bonne (re)lecture à tous !!!
    (Merci d'avoir pensé à moi. Encore un bienfait des histoires entrecroisées. Merci Oncle Peter ! Rires.)
    Amicalement. Peter.

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  2. Bonjour Peter.
    Merci de ton enthousiasme... le nombre de lecteurs du blog augmentant régulièrement , il est possible que certains n'aient pas l'idée de revenir en 2018 et début 2019...pour ces saisons 1 et 2.
    Alors... La saga (comme tu dis ) de "Ces dames aux mains fermes" reprend du service. en condensé et en images ...
    J'ai forcément pensé à toi puisque ce sont tes petites rubriques fessées dominicales qui m'ont inspiré cette initiative. Merci tonton Peter!

    "Cent fois sur les fessiers remettez votre ouvrage,
    Polissez les sans cesse et les repolissez..."
    Boileau (revu et détourné...)
    Amicalement
    Ramina

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  3. Rebonjour Ramina,

    Tant mieux si le nombre de lecteurs augmente régulièrement, on ne va pas s'en plaindre.
    Cela est certainement du à la variété des récits :
    notre cher "éditeur" JLG avec récits et dessins adéquats, Alain, Elena et alt., de ton côté : récits et dessins persos, de mon côté : rubriques "fessées dominicales" (bien vu l'expression ! J'y ajouterai même : après confesse, martinet sur les fesses !)avec dessins persos... Tout ce qu'il faut : "Garçon, s'il vous plait, le plat du jour ! - Tout est sur la carte, Monsieur et : à volonté !)
    Pour Boileau, je dirais même plus : "Cent fois sur les fessiers, remettez votre rage (de colère)".
    Amicalement. Peter.

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  4. Bonjour,
    La fessée règle beaucoup de problèmes dans la vie sociale est familiale. Elle n’est malheureusement pas assez pratiquée mais elle a beaucoup de bienfaits : elle éduque, discipline, mais aussi détend, relaxe , calme et donne une sensation de bien être.

    Moi aussi j’ai quelques histoires de fessées

    https://camp-bdsm.blogspot.com/2019/06/foyer-fessees-punitions-severes-et.html?m=1

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  5. Bonjour à tous,
    L'intérêt, entre autres, de ce blog, c'est, à mes yeux, d'abord qu'il privilégie les textes et qu'il propose des récits au long cours dans lesquels on s'immerge avec plaisir. C'est ensuite que n'y sont pas seulement fessés des postérieurs féminins, mais que les messieurs, eux aussi, y attrapent. Ce n'est pas si fréquent. En tout cas, pour ma part, c'est l'un des rares blogs que je visite tous les jours.
    Maintenant, en ce qui concerne ce projet à proprement parler de remettre à l'honneur "Ces dames aux mains fermes", il me semble que c'est une excellente idée, dans la mesure où ce blog est tellement foisonnant qu'il risquait d'échapper aux nouveaux arrivants.
    À bientôt.
    Amitiés à tous.
    FF

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  6. Bonjour,
    Merci FF pour votre encourageant commentaire . Cela nous conforte dans l'idée de poursuivre cette initiative.
    Il est vrai que dans la grande majorité des cas ce sont des fessiers féminins qui sont mis en scène et soumis aux corrections. Il n'y a pas de raison que ces messiers échappent aux bienfaits de cuisantes fessées déculottées, sous l'autorité de fortes femmes sévères !!
    Ce que s'appliquent à faire avec diligence, "Ces Dames aux mains fermes". Entre autres maîtresses femmes, dans d'autres récits, Cordialement
    Ramina

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