jeudi 13 juin 2019

Les rebelles - chapitre 5

Afin de se faire de l’argent de poche, tous les mois de Juillet, depuis trois ans, Iourievna, sa sœur Olga et ses deux amies Mylène et Margaux participent à la cueillette des nectarines, des pêches et des prunes dans l’exploitation de Pierre et Evelyne M. Les deux mois d’été sont propices pour trouver un emploi saisonnier.
La cueillette est un moment particulier de l’année, car c’est l’occasion de revoir les habitués des années précédentes, car ce sont souvent les mêmes qui réalisent les ramassages de fruits, des étudiants pour la plupart et des gens venus tout spécialement, dans cette région du sud de la France.
En ce début de saison, Pierre et Evelyne M. donnent les consignes au personnel pour le soin apporté à la cueillette et au stockage des fruits car toute manipulation trop brusque aura des répercussions sur les fruits et ceux-ci seront invendable.
Cette année, le temps n’a pas été en faveur de la bonne maturité des fruits et la cueillette promet d’être notablement moindre que les années précédentes, ce qui accentue les consignes envers le soin à apporter à la manutention.
Les gens sont répartis en équipes et chaque groupe se rend dans les vergers pour le début de la cueillette. Iourievna, Olga, Mylène et Margaux sont dans la même équipe. Des responsables encadrent les cueilleurs pour la gestion du ramassage. Le groupe auquel appartient Iourievna est dirigé par Mariette, la fille de Pierre et Evelyne, les propriétaires, tandis qu’Anthony, le frère jumeau de Mariette, gère un autre secteur.
Le début de saison commence bien, car l’ambiance est bonne, il fait chaud et le travail n’est pas compliqué, ce qui fera une somme d’argent pour les dépenses de l’année. De plus, il y a plein de garçons et c’est l’occasion de draguer un peu. Etant célibataires toutes les quatre, Iourievna, Olga, Mylène et Margaux regardent et papotent entre elles pour commenter le look des garçons avec qui elles se trouvent. Elles se verraient bien être invitées par certains d’entre eux pour passer du bon temps, après le travail !
Mariette participe à la cueillette tout en supervisant le tout. A plusieurs reprises, elle passe près des arbres et donne de la voix pour que les gens fassent attention à leur coupe, car des fruits tombent par terre et seront bons à être bradés ou jetés, car abîmés.
Au bout d’une semaine, des mises au point sont faites par les responsables de groupes, car un bon pourcentage de fruits sont abîmés, si bien que Pierre M. doit intervenir lui-même pour faire appliquer les consignes. N’ayant pas d’autres saisonniers sous la main, Pierre M. ne peut pas renvoyer les contrevenants, mais il leur dit qu’il y aura des sanctions si des actes de négligence sont constatés.
Après avoir cueilli les fruits, Iourievna, Olga, Mylène et Margaux les mettent dans des cagettes puis les emmènent dans la remorque et voulant faire le minimum d’allers-retours, elles les prennent par cinq cagettes, les empilant les unes sur les autres, pour les porter. Une fille à chaque coin, elles les transportent et les stockent dans la remorque. Les premières manipulations se passent correctement. Elles gagnent un peu de temps par rapport à leurs collègues. Leur méthode donnant de bons résultats, elles en prennent davantage, allant jusqu’à sept cagettes d’un seul coup, jusqu’à ce que l’une d’entre elles, ayant mal assuré sa prise, lâche et l’ensemble des sept cagettes se retrouve par terre.
A ce moment-là, Mariette, se trouvant à proximité, voit l’accident. Avant même de pouvoir les arrêter, elle assiste, impuissante à la chute des sept cagettes. Folle de rage, elle invective les quatre jeunes femmes en les traitant de tous les noms, car bon nombre des fruits ont eu des perforations dans la chute et sont à jeter. Mariette leur dit qu’elle n’en restera pas là, l’incident sera remonté à ses parents.
Iourievna, Olga, Mylène et Margaux s’excusent en disant qu’elles ne l’ont pas fait exprès et que ce malencontreux accident ne se reproduira plus.  Mariette leur ordonne de tout ramasser, de trier les fruits corrects et ceux impropres à la vente. Malheureusement, la quasi-totalité des fruits sont impactés et sont à jeter. N’en menant pas large, les quatre jeunes femmes ne peuvent que constater les dégâts. Elles terminent la matinée en prenant soin de ne plus se faire remarquer avec d’autres bêtises de ce genre. Sur les sept cagettes, seul l’équivalent d’un quart de cagette a pu être sauvé.
Les quatre jeunes femmes terminent leur matinée de travail et sont convoquées chez Evelyne M. pour rendre des comptes sur le gros incident qui a causé la perte de presque sept cagettes de fruits. Mariette les emmène au bureau pour rencontrer la patronne, qui les reçoit sans ménagement.
Mariette est avec sa mère et son frère, pour juger de la situation, car Pierre M. est en ville pour la négociation de ses fruits avec une coopérative de la région.
Evelyne M. invective les quatre jeunes femmes en leur stipulant que les consignent ont été données plusieurs fois et qu’elles savaient ce qui fallait faire et surtout ne pas faire. Dans la mesure où elles n’en ont fait qu’à leur tête, elles devront le payer.
Les quatre contrevenantes s’excusent en promettant tout ce que veut Evelyne M. qui leur ordonne de se taire, car leurs jérémiades sont de trop et il fallait qu’elles fassent attention avant.
Devant une telle réprimande, Iourievna, Olga, Mylène et Margaux s’attendent à se faire renvoyer de l’exploitation et elles ne pourront s’en prendre qu’à elles-mêmes.
Evelyne M. leur dit qu’elles peuvent s’estimer heureuses de ne pas être licenciées de suite, sans salaire, mais il faut qu’elles paient le préjudice et juge qu’une fessée devant les autres ouvriers serait un bon compromis.
Iourievna, Olga, Mylène et Margaux, scandalisées par cette sentence, disent à Evelyne M. qu’elles sont trop grandes pour recevoir une fessée et en public, de surcroit. Elles argumentent qu’une patronne ne peut pas fesser ses ouvrières, ce n’est pas possible.
Evelyne M. les menace de les congédier sans salaire. Les quatre jeunes femmes lui répondent qu’elles ont besoin de cet argent pour leur année, car leurs parents ne peuvent subvenir à toutes leurs dépenses. Evelyne M. souhaite que les quatre jeunes femmes cèdent, car dans la négative, elle perdrait quatre personnes et ce serait dommageable pour la récolte, qui doit être livrée dans les délais, par contre, elle veut se faire respecter et que la récolte, déjà en quantité restreinte, soit la plus optimale possible.
Acculées dans leurs retranchements et conscientes de leur faute, Iourievna, Olga, Mylène et Margaux cèdent et acceptent la fessée plutôt que de perdre leur salaire. Elles demandent que la fessée leur soit donnée en privé, car ça va être très humiliant pour elles d’être fessées devant les autres ouvriers. Evelyne M. refuse cette faveur et maintient le fait que ça se passe devant tout le monde, car de cette façon, tous pourront voir ce qu’il en coûte de négliger son travail.
Anthony rassemble les ouvriers dans la cour de l’exploitation. Il se doute que ce spectacle va les ravir, car ce n’est pas tous les soir qu’ils vont assister à une fessée.
Evelyne M. et Mariette emmènent Iourievna, Olga, Mylène et Margaux vers la cour. Les quatre jeunes femmes ont la tête basse, n’osant plus regarder personne, accompagnant, résignées leur employeur.
Lorsque tout le monde est rassemblé dans la cour, un silence de mort pèse sur l’assemblée, car chacun se demande comment ces quatre jeunes femmes vont être fessées, sur leurs vêtements ou en culotte ?
Evelyne M. dit à haute voix la raison de leur présence et la sentence prononcée à l’encontre de ces quatre ouvrières du domaine. Elles vont recevoir la fessée, sur les fesses nues. Voyant leur dernier espoir de pudeur s’envoler, Iourievna, Olga, Mylène et Margaux supplient leur employeur de ne pas faire ça. Evelyne M. demande à Anthony d’aller chercher une sangle de cuir. Là, les premiers sanglots éclatent, car la fessée va être donnée avec une sangle et non à la main nue, ce qui va faire beaucoup plus mal. Iourievna est bien placée pour le savoir, car elle y a déjà goutté avec ses parents.
Evelyne M. ordonnent aux quatre jeunes femmes de retirer complètement leur short et leur culotte. Après une dernière supplique qu’elles savent vaine, résignées, le visage rouge de honte, elles retirent leur short et se tournent, dos au public, pour enlever leur culotte, en se cachant le sexe de leurs mains, pour préserver le peu de pudeur qu’il leur reste.
Evelyne M. tend la sangle à sa fille Mariette, afin qu’elle applique elle-même la fessée aux quatre ouvrières de son équipe, car elle doit se faire respecter de son personnel. Quant à Anthony, il est déçu de ne pas pouvoir donner la fessée lui-même, il aurait beaucoup apprécié de soumettre ces quatre jeunes femmes.
Les fesses bien dégagées, les jeunes femmes s’apprêtent à recevoir leur correction, qu’elles espèrent la plus courte possible !
Chacune leur tour, Mariette s’applique à cingler chaque fesse et chaque cuisse de ses quatre ouvrières, qui bondissent en trépignant à chaque cinglée. Le claquement de la sangle sur la peau nue est très sonore, de suite suivi par un cri de douleur et d’une contorsion. Entre chaque fouettée, les punies se massent l’arrière-train qui leur brule.
Rapidement la peau des quatre jeunes femmes se couvre de zébrures rouges et boursoufflées. Les larmes accompagnant les cinglées prouvent que la punition est comprise des contrevenantes. Elles ne seront pas prêtes de prendre de nouveau leur travail à la légère.
Les spectateurs commencent à commenter la punition, surtout les hommes qui se délectent de voir ces quatre jeunes femmes fessées sous leurs yeux. Leur excitation commence à se voir, à la bosse qui se forme dans leur pantalon ou dans leur short. Les spectatrices ne sont pas en reste mais elles se contiennent et restent plus stoïques que leurs homologues masculins.
Les claquements et les cris n’en finissent pas, Mariette veut rougir l’intégralité des fesses et des cuisses de ses ouvrières afin qu’elles retiennent la leçon. De temps en temps, l’une des punies rugit, car la lanière vient de lui cingler les hanches, l’intérieur des cuisses ou le bas du dos. Dans ce cas, la punie saute d’une jambe sur l’autre.
Trois ouvrières, Alicia, Cindy et Deborah, trouvant la punition très sévère, protestent contre ce traitement. Evelyne M. leur ordonne de se taire ou de partager le sort des quatre punies. Cette menace met fin à la tentative de solidarité féminine de la part d’Alicia, Cindy et Deborah.
Le bas du corps en feu, les quatre jeunes femmes prétextent qu’elles n’en peuvent plus pour tenter de stopper la fessée. Ne voulant pas se laisser donner des ordres, au lieu d’arrêter, Mariette cingle davantage ses ouvrières, qui finissent par se retourner, car elles savent que Mariette n’osera pas leur cingler le devant du corps. Faisant fi de leur pudeur, les quatre jeunes femmes exhibent leur sexe au public, car leurs mains sont trop occupées à masser leurs fesses et leurs cuisses. Les spectateurs n’en perdent pas une miette pour admirer le pubis épilé des punies et dans cette posture, leur émotion est largement visible, car leur entrecuisse est trempé, ce qui fait rire certains hommes, très excités.
Mariette leur ordonne de se retourner immédiatement, car en cas de refus, c’est sur le bas ventre qu’elle les fouettera. Conscientes que leur chef de groupe ne plaisante pas, les quatre punies se retournent et offrent leurs fessiers brulants pour la fin de la punition. Mariette y met de la vigueur pour les cinq dernières cinglées à chacune, ce qui leur arrache, des hurlements et de longs sanglots.
Lorsque Mariette cesse la fessée, les quatre jeunes femmes ont les fesses et les cuisses rouges écarlates et bien marquées. Il est évident qu’elles ne pourront plus s’assoir durant un à deux jours et la sensibilité extrême restera pour quelques jours. Avec la chaleur et la douleur, elles sont toutes moites, le visage grimaçant et trempé de larmes.
Alicia, Cindy et Deborah viennent au-devant de Iourievna, Olga, Mylène et Margaux pour s’occuper d’elles. Elles les aident à marcher, car chaque pas les fait grimacer de douleur. Evelyne M. leur demande d’aller les rincer à l’eau froide, pour calmer provisoirement le feu de la fessée. Lorsque ce sera fait, les punies iront manger avec les autres ouvriers.
Evelyne M. prévient Iourievna, Olga, Mylène et Margaux qu’elle n’hésitera pas à les faire fesser de nouveau si elles le méritent, et entièrement nue cette fois-ci. Evelyne M. ajoute qu’elles resteront le bas du corps nu pour la fin de la journée de travail. Ce traitement devrait leur mettre du « plomb dans la cervelle ».
En ayant rendu cette fessée publique, Evelyne M. espère que les autres saisonniers ont compris le message sous peine d’être le clou d’un spectacle équivalent.
Après avoir eu les fesses et les cuisses rincées, Iourievna, Olga, Mylène et Margaux vont à la salle de restauration pour manger avec Alicia, Cindy et Deborah, les trois seules qui ont eu de la compassion pour elles. Leur entrée dans la salle est remarquée. Les quatre jeunes femmes tentent comme elles peuvent de cacher leur intimité, mais pas facile lorsqu’elles ont les deux mains prises pour maintenir leur plateau repas du coin cuisine à l’endroit où elles vont manger. Evidemment, elles restent debout durant leur pause déjeuner, ne supportant pas le contact d’un siège sur leurs fesses et leurs cuisses d’une sensibilité accrue.
Durant le repas, Deborah, une anglaise, leur dit que dans son pays, les fessées y sont fréquentes. Elle-même a déjà subi la canne en public lors de ses études. Mais elle trouve injuste de les faire rester les fesses à l’air jusqu’à la fin de la journée, surtout avec des hommes dans les parages, qui ne cesseront pas de les reluquer. Les quatre jeunes femmes sont d’accord, mais n’ont pas le choix. La fin de la journée promet d’être humiliante et bien compliquée.
Après le repas, où l’appétit n’était vraiment pas au rendez-vous, les quatre punies sont obligées de retourner dans le verger, où elles sont accueillies par des regards assez insistants et des sourire moqueurs, ce qui les humilient car elles savent que tous les spectateurs se souviendront toute leur vie du spectacle auquel ils viennent d’assister. Les jeunes punies sont obligées de retirer leurs mains en protection de leur intimité, car leur travail les oblige à avoir les mains occupées soit par la cueillette, soit par la mise des fruits en cagettes. La position courbée est la plus propice à exhiber leur intimité, faute de pouvoir s’accroupir pour disposer les fruits dans les cagettes et comme par hasard, les hommes ont fort à faire à proximité des quatre jeunes femmes...
L’après-midi passe beaucoup moins rapidement qu’elles ne l’auraient souhaité. Iourievna, Olga, Mylène et Margaux font très attention à chacun de leur geste envers les fruits, car elles ne veulent surtout pas aggraver leur cas.
Lorsque la cueillette de la journée est terminée, Evelyne M. demande à voir les quatre punies avant leur départ. Prises d’angoisse de leur première entrevue, les larmes leur montent déjà aux yeux, car elles se demandent si elles ne vont pas recevoir une autre fessée pour un autre motif.
Penaudes, les quatre jeunes femmes se rendent chez leur patronne. En les recevant, l’accueil est moins glacial qu’avant le déjeuner. Evelyne M. leur dit qu’elles ont payé leur faute et qu’à présent, elles redeviennent des ouvrières comme les autres, ce qui soulage les quatre ouvrières. Evelyne M. examine l’arrière-train de chacune d’entre elles et leur dit que sa fille a bien su les corriger, espère qu’elles ont retenu la leçon et leur souhaite tout de même une bonne soirée.
Les quatre jeunes femmes partent, enfilent avec mille précautions leur short, sans culotte, ne supportant pas un tissu serré sur leurs fesses en feu et rentrent chez elles, d’une démarche mal assurée, due au frottement de leur short sur leur peau très sensible.
Iourievna et Olga sont obligées de raconter la raison de leur punition à leurs parents et à Ekaterina, car les marques rouges sur leurs cuisses se voient bien et surtout le fait qu’elles ne puissent pas s’assoir. Alexei et Irina disent à leurs 2 cadettes qu’il est normal de payer une bêtise, que leur punition est amplement justifiée et qu’elles n’ont aucune raison de se plaindre. C’est par le rachat de ses fautes que l’on apprend à être une adulte responsable.
Après le repas et une douche fraiche bien méritée, Iourievna et Olga vont se coucher. Elles s’endorment, nues, couchées sur le ventre. Elles passent une mauvaise nuit, car chaque mouvement un peu brusque attise les brûlures et font qu’elles se réveillent et leur sommeil est en pointillé.
Les quatre jeunes femmes voient leurs traces et la douleur disparaitre en fin de semaine, par contre, elles doivent affronter, jusqu’à leur dernier jour de travail, le regard narquois de leurs collègues, ce qui est une punition supplémentaire.


Une série écrite par Elena

Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 4
Et il y un autre épisode, le chapitre 6

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8 commentaires:

  1. Bonjour,
    Ah si les cagettes en bois étaient plus solides! Dur dur la cueillette des nectarines. On ne rigole pas avec le gâchis et le matériel.

    Décidément les saisonniers s'en prennent plein les fesses sur le blog. Nous avions déjà eu ceux du ramassage de la lavande dans une autre histoire, maintenant la cueillette des fruits de saison. Les fesses des demoiselle qui pensaient se faire butiner la nectarine par les garçons, ont viré au rouge beaucoup plus vite que les fruits ne murissent. Et pas au soleil. La lanière de cuir est plus expéditive.

    Les corrections sont toujours impressionnantes et la nudité qui les accompagne pendant et après, plutôt avilissante... Les fessées ressemblent davantage à des séances de flagellation et provoquent toujours autant de rigidité et humidité chez les spectateurs et spectatrices. On transpire beaucoup en dessous de la ceinture par ces temps de grosse chaleur fessière.On a échappé à une déculottée avec un morceau de bois de cagette. C'est plat, mince et flexible et certainement bien cinglant.
    A vouloir trop en faire, trop vite, on finit tout nu, les fesses rouges... A quand la récolte des tomates en référence de couleur?
    Dans trois mois, les vendanges...et le vin rouge...le rouge est à l'honneur.
    Cordialement
    Ramina

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  2. Bonjour Ramina,
    Comme d'hab, analyse éclairée et plein de vivacité d'esprit sur les textes. Mais que faire ? mettre un texte sur ce Blog, sans qu'il y ait une fessée à la clé, ce serait d'un ennui... A b y s s a l ! Je tente d'agrémenter le tout avec une touche d'érotisme.
    Il n'aura échappé à personne que les consignes avaient été données en début de récolte, on ne s'étonnera donc pas des conséquences ! Si ces demoiselles avait été un peu plus soigneuses, elles n'en seraient pas arrivées là.
    Salutations.
    Elena

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  3. Bonjour Elena,
    Vous avez effectivement le mérite de décrire avec pertinence les effets érotiques de la fessée qui sont souvent plus ou moins chastement ignorés dans beaucoup de récits de qualité. Personnellement je ne les évoque pas dans les miens... Pudeur ? Fausse pudeur ? Ecriture de précaution pour ne pas risquer de tomber dans une vulgarité très répandue sur le net qui n'a rien à voir avec la ligne éditoriale de ce blog.
    Vous le faites avec un naturel et une sincérité qui agrémentent effectivement vos récits de descriptions en rapport direct avec la réalité. Réactions d'excitation sexuelle tout à fait humaines devant certains spectacles. Ce n'est pas un mystère, la fessée en fait partie. Vous l'exprimez honnêtement sans détour.
    Les femmes sont souvent plus hardies et téméraires que les hommes... Et aussi plus implacables et sévères sur la conduite d'une discipline. Les corrections décrites dans vos récits en témoignent. Ces Dames y consomment du martinet et de la lanière sans modération et cela nuit gravement à l'état des derrières de l'entourage! Damned!
    Cordialement
    Ramina

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  4. Bonjour Ramina,
    Merci pour votre analyse. Je tente de rester correcte tout en relatant de réactions qui seraient susceptibles d'arriver en pareilles situations. Je pense que si j'assistais à une fessée publique ( même celle d'une femme ), je serais tout à fait excitée par le spectacle et en redemanderais surement ! Ca peut surprendre, mais ce serait le cas. Si j'étais à la place de la fesseuse, je pense que le ou la punie s'en souviendrait.
    Nous les femmes, avons été presque toujours mises en état de subir. Lorsque c'est une femme qui tient le martinet, je pense que cette autorité peut sublimer tout le reste.
    Salutations.
    Elena

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  5. Rien de surprenant Elena ...
    Je suis persuadé, que la grande majorité des amateurs de fessée (dont je fais partie) serait dans le même état d'excitation.
    Votre liberté d'expression et votre franchise décapante sont une belle volée de lanières aux préjugés et aux faux semblants. Au moins vous appelez un chat, un chat... A neuf queues, et redoutable, si l'on vous imagine du côté du manche...
    Cordialement
    Ramina

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  6. Bonjour à Elena, à Ramina et à tout le monde.
    En tout cas, chez vous, c'est la parité: à chaque chapitre mettant en scène un ou des garçon (s) fessé (s) succède un chapitre où c'est le tour des filles. Et vous avez le don de créer, à chaque fois, une situation originale.
    Fessées ensemble et obligées de rester nues, ces jeunes filles ont passé un sale quart d'heure (très long quart d'heure). Je me demande d'ailleurs s'il est plus "difficile" de subir une fessée publique en solo ou collectivement. La réponse semble a priori évidente: seul on concentre sur soi l'attention des spectateurs alors qu'à plusieurs elle s'éparpille sur les uns et sur les autres. Elle se dilue. Mais est-ce pour autant plus facile? Parce qu'en voyant ce que subissent les petits camarades, leur nudité, leurs fesses qui rougissent, leurs mimiques, leurs cris, leurs contorsions, on a le spectacle de ce qu'on va être soi-même amené à montrer. Ou de ce qu'on vient de montrer. Ou de ce qu'on continue à montrer. Dure épreuve et, à mon sens, plus redoutable que l'autre.
    Quant à l'excitation sexuelle, corollaire de la fessée, dont il est question dans vos échanges avec Ramina, il me semble en effet qu'il est quelque peu hypocrite de vouloir la nier. Il y a même, à mon avis, trois sortes d'excitation sexuelle en la circonstance, bien différentes selon qu'on est donneur, receveur ou spectateur. De quoi nourrir un long débat et aussi de faire naître des textes qui décriraient une même fessée selon ces trois points de vue différents.
    À très bientôt.
    Amicalement.
    FF

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    Réponses
    1. Bonjour François,
      Analyse tout à fait pertinente ! A la lecture de votre commentaire, je constate que je suis un livre ouvert que vous déchiffrez à chaque page. Je ne saurais en dire plus, car tout y est !
      Pour ce qui est de l'excitation, je laisse le soin à chacun de se positionner selon ses fantasmes.
      Merci.
      Elena.

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  7. Bonjour Ramina,
    Super heureuse de trouver de l'écho pour mes textes ( un peu particuliers, il est vrai ). Je raconte en plongeant le lecteur physiquement dans la scène pour qu'il se rende compte de ce qui l'entoure et des réactions que lui et les autres peuvent avoir. Un peu comme un film où je braque l'objectif sur tel ou tel fait. Je prends le lecteur par la main et je lui montre les détails intéressants d'une scène ! Tantôt en plan large pour le contexte, tantôt en focus, pour un détail.
    Encore un grand Merci à JLG de ne pas censurer mes récits. C'est très sympa de sa part. Je peux donner libre cours à mes fantasmes tout en restant dans la ligne éditoriale du Blog.
    Salutations.
    Elena

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