La
cueillette est un moment particulier de l’année, car c’est l’occasion de revoir
les habitués des années précédentes, car ce sont souvent les mêmes qui
réalisent les ramassages de fruits, des étudiants pour la plupart et des gens venus
tout spécialement, dans cette région du sud de la France.
En ce
début de saison, Pierre et Evelyne M. donnent les consignes au personnel pour
le soin apporté à la cueillette et au stockage des fruits car toute
manipulation trop brusque aura des répercussions sur les fruits et ceux-ci
seront invendable.
Cette
année, le temps n’a pas été en faveur de la bonne maturité des fruits et la
cueillette promet d’être notablement moindre que les années précédentes, ce qui
accentue les consignes envers le soin à apporter à la manutention.
Les gens
sont répartis en équipes et chaque groupe se rend dans les vergers pour le
début de la cueillette. Iourievna, Olga, Mylène et Margaux sont dans la même
équipe. Des responsables encadrent les cueilleurs pour la gestion du ramassage.
Le groupe auquel appartient Iourievna est dirigé par Mariette, la fille de
Pierre et Evelyne, les propriétaires, tandis qu’Anthony, le frère jumeau de Mariette,
gère un autre secteur.
Le début
de saison commence bien, car l’ambiance est bonne, il fait chaud et le travail
n’est pas compliqué, ce qui fera une somme d’argent pour les dépenses de
l’année. De plus, il y a plein de garçons et c’est l’occasion de draguer un
peu. Etant célibataires toutes les quatre, Iourievna, Olga, Mylène et Margaux
regardent et papotent entre elles pour commenter le look des garçons avec qui
elles se trouvent. Elles se verraient bien être invitées par certains d’entre
eux pour passer du bon temps, après le travail !
Mariette
participe à la cueillette tout en supervisant le tout. A plusieurs reprises,
elle passe près des arbres et donne de la voix pour que les gens fassent
attention à leur coupe, car des fruits tombent par terre et seront bons à être
bradés ou jetés, car abîmés.
Au bout
d’une semaine, des mises au point sont faites par les responsables de groupes,
car un bon pourcentage de fruits sont abîmés, si bien que Pierre M. doit
intervenir lui-même pour faire appliquer les consignes. N’ayant pas d’autres
saisonniers sous la main, Pierre M. ne peut pas renvoyer les contrevenants,
mais il leur dit qu’il y aura des sanctions si des actes de négligence sont
constatés.
Après
avoir cueilli les fruits, Iourievna, Olga, Mylène et Margaux les mettent dans
des cagettes puis les emmènent dans la remorque et voulant faire le minimum
d’allers-retours, elles les prennent par cinq cagettes, les empilant les unes
sur les autres, pour les porter. Une fille à chaque coin, elles les
transportent et les stockent dans la remorque. Les premières manipulations se
passent correctement. Elles gagnent un peu de temps par rapport à leurs
collègues. Leur méthode donnant de bons résultats, elles en prennent davantage,
allant jusqu’à sept cagettes d’un seul coup, jusqu’à ce que l’une d’entre
elles, ayant mal assuré sa prise, lâche et l’ensemble des sept cagettes se
retrouve par terre.
A ce
moment-là, Mariette, se trouvant à proximité, voit l’accident. Avant même de
pouvoir les arrêter, elle assiste, impuissante à la chute des sept cagettes.
Folle de rage, elle invective les quatre jeunes femmes en les traitant de tous
les noms, car bon nombre des fruits ont eu des perforations dans la chute et
sont à jeter. Mariette leur dit qu’elle n’en restera pas là, l’incident sera
remonté à ses parents.
Iourievna,
Olga, Mylène et Margaux s’excusent en disant qu’elles ne l’ont pas fait exprès
et que ce malencontreux accident ne se reproduira plus. Mariette leur ordonne de
tout ramasser, de trier les fruits corrects et ceux impropres à la vente.
Malheureusement, la quasi-totalité des fruits sont impactés et sont à jeter.
N’en menant pas large, les quatre jeunes femmes ne peuvent que constater les
dégâts. Elles terminent la matinée en prenant soin de ne plus se faire
remarquer avec d’autres bêtises de ce genre. Sur les sept cagettes, seul
l’équivalent d’un quart de cagette a pu être sauvé.
Les
quatre jeunes femmes terminent leur matinée de travail et sont convoquées chez
Evelyne M. pour rendre des comptes sur le gros incident qui a causé la perte de
presque sept cagettes de fruits. Mariette les emmène au bureau pour rencontrer
la patronne, qui les reçoit sans ménagement.
Mariette
est avec sa mère et son frère, pour juger de la situation, car Pierre M. est en
ville pour la négociation de ses fruits avec une coopérative de la région.
Evelyne
M. invective les quatre jeunes femmes en leur stipulant que les consignent ont
été données plusieurs fois et qu’elles savaient ce qui fallait faire et surtout
ne pas faire. Dans la mesure où elles n’en ont fait qu’à leur tête, elles
devront le payer.
Les
quatre contrevenantes s’excusent en promettant tout ce que veut Evelyne M. qui
leur ordonne de se taire, car leurs jérémiades sont de trop et il fallait
qu’elles fassent attention avant.
Devant
une telle réprimande, Iourievna, Olga, Mylène et Margaux s’attendent à se faire
renvoyer de l’exploitation et elles ne pourront s’en prendre qu’à elles-mêmes.
Evelyne
M. leur dit qu’elles peuvent s’estimer heureuses de ne pas être licenciées de
suite, sans salaire, mais il faut qu’elles paient le préjudice et juge qu’une
fessée devant les autres ouvriers serait un bon compromis.
Iourievna,
Olga, Mylène et Margaux, scandalisées par cette sentence, disent à Evelyne M.
qu’elles sont trop grandes pour recevoir une fessée et en public, de surcroit.
Elles argumentent qu’une patronne ne peut pas fesser ses ouvrières, ce n’est
pas possible.
Evelyne
M. les menace de les congédier sans salaire. Les quatre jeunes femmes lui
répondent qu’elles ont besoin de cet argent pour leur année, car leurs parents
ne peuvent subvenir à toutes leurs dépenses. Evelyne M. souhaite que les quatre
jeunes femmes cèdent, car dans la négative, elle perdrait quatre personnes et
ce serait dommageable pour la récolte, qui doit être livrée dans les délais,
par contre, elle veut se faire respecter et que la récolte, déjà en quantité
restreinte, soit la plus optimale possible.
Acculées
dans leurs retranchements et conscientes de leur faute, Iourievna, Olga, Mylène
et Margaux cèdent et acceptent la fessée plutôt que de perdre leur salaire.
Elles demandent que la fessée leur soit donnée en privé, car ça va être très
humiliant pour elles d’être fessées devant les autres ouvriers. Evelyne M.
refuse cette faveur et maintient le fait que ça se passe devant tout le monde,
car de cette façon, tous pourront voir ce qu’il en coûte de négliger son
travail.
Anthony
rassemble les ouvriers dans la cour de l’exploitation. Il se doute que ce
spectacle va les ravir, car ce n’est pas tous les soir qu’ils vont assister à
une fessée.
Evelyne
M. et Mariette emmènent Iourievna, Olga, Mylène et Margaux vers la cour. Les
quatre jeunes femmes ont la tête basse, n’osant plus regarder personne,
accompagnant, résignées leur employeur.
Lorsque
tout le monde est rassemblé dans la cour, un silence de mort pèse sur
l’assemblée, car chacun se demande comment ces quatre jeunes femmes vont être
fessées, sur leurs vêtements ou en culotte ?
Evelyne
M. dit à haute voix la raison de leur présence et la sentence prononcée à
l’encontre de ces quatre ouvrières du domaine. Elles vont recevoir la fessée,
sur les fesses nues. Voyant leur dernier espoir de pudeur s’envoler, Iourievna,
Olga, Mylène et Margaux supplient leur employeur de ne pas faire ça. Evelyne M.
demande à Anthony d’aller chercher une sangle de cuir. Là, les premiers
sanglots éclatent, car la fessée va être donnée avec une sangle et non à la
main nue, ce qui va faire beaucoup plus mal. Iourievna
est bien placée pour le savoir, car elle y a déjà goutté avec ses parents.
Evelyne
M. ordonnent aux quatre jeunes femmes de retirer complètement leur short et
leur culotte. Après une dernière supplique qu’elles savent vaine, résignées, le
visage rouge de honte, elles retirent leur short et se tournent, dos au public,
pour enlever leur culotte, en se cachant le sexe de leurs mains, pour préserver
le peu de pudeur qu’il leur reste.
Evelyne
M. tend la sangle à sa fille Mariette, afin qu’elle applique elle-même la
fessée aux quatre ouvrières de son équipe, car elle doit se faire respecter de
son personnel. Quant à Anthony, il est déçu de ne pas pouvoir donner la fessée
lui-même, il aurait beaucoup apprécié de soumettre ces quatre jeunes femmes.
Les
fesses bien dégagées, les jeunes femmes s’apprêtent à recevoir leur correction,
qu’elles espèrent la plus courte possible !
Chacune
leur tour, Mariette s’applique à cingler chaque fesse et chaque cuisse de ses
quatre ouvrières, qui bondissent en trépignant à chaque cinglée. Le claquement
de la sangle sur la peau nue est très sonore, de suite suivi par un cri de
douleur et d’une contorsion. Entre chaque fouettée, les punies se massent
l’arrière-train qui leur brule.
Rapidement
la peau des quatre jeunes femmes se couvre de zébrures rouges et boursoufflées.
Les larmes accompagnant les cinglées prouvent que la punition est comprise des
contrevenantes. Elles ne seront pas prêtes de prendre de nouveau leur travail à
la légère.
Les
spectateurs commencent à commenter la punition, surtout les hommes qui se
délectent de voir ces quatre jeunes femmes fessées sous leurs yeux. Leur
excitation commence à se voir, à la bosse qui se forme dans leur pantalon ou
dans leur short. Les spectatrices ne sont pas en reste mais elles se
contiennent et restent plus stoïques que leurs homologues masculins.
Les
claquements et les cris n’en finissent pas, Mariette veut rougir l’intégralité
des fesses et des cuisses de ses ouvrières afin qu’elles retiennent la leçon.
De temps en temps, l’une des punies rugit, car la lanière vient de lui cingler
les hanches, l’intérieur des cuisses ou le bas du dos. Dans ce cas, la punie
saute d’une jambe sur l’autre.
Trois
ouvrières, Alicia, Cindy et Deborah, trouvant la punition très sévère,
protestent contre ce traitement. Evelyne M. leur ordonne de se taire ou de
partager le sort des quatre punies. Cette menace met fin à la tentative de
solidarité féminine de la part d’Alicia, Cindy et Deborah.
Le bas du
corps en feu, les quatre jeunes femmes prétextent qu’elles n’en peuvent plus
pour tenter de stopper la fessée. Ne voulant pas se laisser donner des ordres,
au lieu d’arrêter, Mariette cingle davantage ses ouvrières, qui finissent par
se retourner, car elles savent que Mariette n’osera pas leur cingler le devant
du corps. Faisant fi de leur pudeur, les quatre jeunes femmes exhibent leur
sexe au public, car leurs mains sont trop occupées à masser leurs fesses et
leurs cuisses. Les spectateurs n’en perdent pas une miette pour admirer le
pubis épilé des punies et dans cette posture, leur émotion est largement
visible, car leur entrecuisse est trempé, ce qui fait rire certains hommes,
très excités.
Mariette
leur ordonne de se retourner immédiatement, car en cas de refus, c’est sur le
bas ventre qu’elle les fouettera. Conscientes que leur chef de groupe ne
plaisante pas, les quatre punies se retournent et offrent leurs fessiers
brulants pour la fin de la punition. Mariette y met de la vigueur pour les cinq
dernières cinglées à chacune, ce qui leur arrache, des hurlements et de longs
sanglots.
Lorsque
Mariette cesse la fessée, les quatre jeunes femmes ont les fesses et les
cuisses rouges écarlates et bien marquées. Il est évident qu’elles ne pourront
plus s’assoir durant un à deux jours et la sensibilité extrême restera pour
quelques jours. Avec la chaleur et la douleur, elles sont toutes moites, le
visage grimaçant et trempé de larmes.
Alicia,
Cindy et Deborah viennent au-devant de Iourievna, Olga, Mylène et Margaux pour
s’occuper d’elles. Elles les aident à marcher, car chaque pas les fait grimacer
de douleur. Evelyne M. leur demande d’aller les rincer à l’eau froide, pour
calmer provisoirement le feu de la fessée. Lorsque ce sera fait, les punies
iront manger avec les autres ouvriers.
Evelyne
M. prévient Iourievna, Olga, Mylène et Margaux qu’elle n’hésitera pas à les
faire fesser de nouveau si elles le méritent, et entièrement nue cette fois-ci.
Evelyne M. ajoute qu’elles resteront le bas du corps nu pour la fin de la
journée de travail. Ce traitement devrait leur mettre du « plomb dans la
cervelle ».
En ayant
rendu cette fessée publique, Evelyne M. espère que les autres saisonniers ont
compris le message sous peine d’être le clou d’un spectacle équivalent.
Après
avoir eu les fesses et les cuisses rincées, Iourievna, Olga, Mylène et Margaux
vont à la salle de restauration pour manger avec Alicia, Cindy et Deborah, les
trois seules qui ont eu de la compassion pour elles. Leur entrée dans la salle
est remarquée. Les quatre jeunes femmes tentent comme elles peuvent de cacher
leur intimité, mais pas facile lorsqu’elles ont les deux mains prises pour
maintenir leur plateau repas du coin cuisine à l’endroit où elles vont manger.
Evidemment, elles restent debout durant leur pause déjeuner, ne supportant pas
le contact d’un siège sur leurs fesses et leurs cuisses d’une sensibilité
accrue.
Durant le
repas, Deborah, une anglaise, leur dit que dans son pays, les fessées y sont
fréquentes. Elle-même a déjà subi la canne en public lors de ses études. Mais
elle trouve injuste de les faire rester les fesses à l’air jusqu’à la fin de la
journée, surtout avec des hommes dans les parages, qui ne cesseront pas de les
reluquer. Les quatre jeunes femmes sont d’accord, mais n’ont pas le choix. La
fin de la journée promet d’être humiliante et bien compliquée.
Après le
repas, où l’appétit n’était vraiment pas au rendez-vous, les quatre punies sont
obligées de retourner dans le verger, où elles sont accueillies par des regards
assez insistants et des sourire moqueurs, ce qui les humilient car elles savent
que tous les spectateurs se souviendront toute leur vie du spectacle auquel ils
viennent d’assister. Les jeunes punies sont obligées de retirer leurs mains en
protection de leur intimité, car leur travail les oblige à avoir les mains
occupées soit par la cueillette, soit par la mise des fruits en cagettes. La
position courbée est la plus propice à exhiber leur intimité, faute de pouvoir
s’accroupir pour disposer les fruits dans les cagettes et comme par hasard, les
hommes ont fort à faire à proximité des quatre jeunes femmes...
L’après-midi
passe beaucoup moins rapidement qu’elles ne l’auraient souhaité. Iourievna,
Olga, Mylène et Margaux font très attention à chacun de leur geste envers les
fruits, car elles ne veulent surtout pas aggraver leur cas.
Lorsque
la cueillette de la journée est terminée, Evelyne M. demande à voir les quatre
punies avant leur départ. Prises d’angoisse de leur première entrevue, les
larmes leur montent déjà aux yeux, car elles se demandent si elles ne vont pas
recevoir une autre fessée pour un autre motif.
Penaudes,
les quatre jeunes femmes se rendent chez leur patronne. En les recevant,
l’accueil est moins glacial qu’avant le déjeuner. Evelyne M. leur dit qu’elles
ont payé leur faute et qu’à présent, elles redeviennent des ouvrières comme les
autres, ce qui soulage les quatre ouvrières. Evelyne M. examine l’arrière-train
de chacune d’entre elles et leur dit que sa fille a bien su les corriger,
espère qu’elles ont retenu la leçon et leur souhaite tout de même une bonne
soirée.
Les
quatre jeunes femmes partent, enfilent avec mille précautions leur short, sans
culotte, ne supportant pas un tissu serré sur leurs fesses en feu et rentrent
chez elles, d’une démarche mal assurée, due au frottement de leur short sur
leur peau très sensible.
Iourievna
et Olga sont obligées de raconter la raison de leur punition à leurs parents et
à Ekaterina, car les marques rouges sur leurs cuisses se voient bien et surtout
le fait qu’elles ne puissent pas s’assoir. Alexei et Irina disent à leurs 2
cadettes qu’il est normal de payer une bêtise, que leur punition est amplement
justifiée et qu’elles n’ont aucune raison de se plaindre. C’est par le rachat
de ses fautes que l’on apprend à être une adulte responsable.
Après le
repas et une douche fraiche bien méritée, Iourievna et Olga vont se coucher.
Elles s’endorment, nues, couchées sur le ventre. Elles passent une mauvaise
nuit, car chaque mouvement un peu brusque attise les brûlures et font qu’elles
se réveillent et leur sommeil est en pointillé.
Les
quatre jeunes femmes voient leurs traces et la douleur disparaitre en fin de
semaine, par contre, elles doivent affronter, jusqu’à leur dernier jour de
travail, le regard narquois de leurs collègues, ce qui est une punition
supplémentaire.
Une série écrite par Elena
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 4
Et il y un autre épisode, le chapitre 6
Vous souhaitez réagir ?
Laissez un commentaire en bas de l'article, Elena vous répondra. Quelque chose de plus privé ? Adressez-moi-le, je transmettrai.
Bonjour,
RépondreSupprimerAh si les cagettes en bois étaient plus solides! Dur dur la cueillette des nectarines. On ne rigole pas avec le gâchis et le matériel.
Décidément les saisonniers s'en prennent plein les fesses sur le blog. Nous avions déjà eu ceux du ramassage de la lavande dans une autre histoire, maintenant la cueillette des fruits de saison. Les fesses des demoiselle qui pensaient se faire butiner la nectarine par les garçons, ont viré au rouge beaucoup plus vite que les fruits ne murissent. Et pas au soleil. La lanière de cuir est plus expéditive.
Les corrections sont toujours impressionnantes et la nudité qui les accompagne pendant et après, plutôt avilissante... Les fessées ressemblent davantage à des séances de flagellation et provoquent toujours autant de rigidité et humidité chez les spectateurs et spectatrices. On transpire beaucoup en dessous de la ceinture par ces temps de grosse chaleur fessière.On a échappé à une déculottée avec un morceau de bois de cagette. C'est plat, mince et flexible et certainement bien cinglant.
A vouloir trop en faire, trop vite, on finit tout nu, les fesses rouges... A quand la récolte des tomates en référence de couleur?
Dans trois mois, les vendanges...et le vin rouge...le rouge est à l'honneur.
Cordialement
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerComme d'hab, analyse éclairée et plein de vivacité d'esprit sur les textes. Mais que faire ? mettre un texte sur ce Blog, sans qu'il y ait une fessée à la clé, ce serait d'un ennui... A b y s s a l ! Je tente d'agrémenter le tout avec une touche d'érotisme.
Il n'aura échappé à personne que les consignes avaient été données en début de récolte, on ne s'étonnera donc pas des conséquences ! Si ces demoiselles avait été un peu plus soigneuses, elles n'en seraient pas arrivées là.
Salutations.
Elena
Bonjour Elena,
RépondreSupprimerVous avez effectivement le mérite de décrire avec pertinence les effets érotiques de la fessée qui sont souvent plus ou moins chastement ignorés dans beaucoup de récits de qualité. Personnellement je ne les évoque pas dans les miens... Pudeur ? Fausse pudeur ? Ecriture de précaution pour ne pas risquer de tomber dans une vulgarité très répandue sur le net qui n'a rien à voir avec la ligne éditoriale de ce blog.
Vous le faites avec un naturel et une sincérité qui agrémentent effectivement vos récits de descriptions en rapport direct avec la réalité. Réactions d'excitation sexuelle tout à fait humaines devant certains spectacles. Ce n'est pas un mystère, la fessée en fait partie. Vous l'exprimez honnêtement sans détour.
Les femmes sont souvent plus hardies et téméraires que les hommes... Et aussi plus implacables et sévères sur la conduite d'une discipline. Les corrections décrites dans vos récits en témoignent. Ces Dames y consomment du martinet et de la lanière sans modération et cela nuit gravement à l'état des derrières de l'entourage! Damned!
Cordialement
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerMerci pour votre analyse. Je tente de rester correcte tout en relatant de réactions qui seraient susceptibles d'arriver en pareilles situations. Je pense que si j'assistais à une fessée publique ( même celle d'une femme ), je serais tout à fait excitée par le spectacle et en redemanderais surement ! Ca peut surprendre, mais ce serait le cas. Si j'étais à la place de la fesseuse, je pense que le ou la punie s'en souviendrait.
Nous les femmes, avons été presque toujours mises en état de subir. Lorsque c'est une femme qui tient le martinet, je pense que cette autorité peut sublimer tout le reste.
Salutations.
Elena
RépondreSupprimerRien de surprenant Elena ...
Je suis persuadé, que la grande majorité des amateurs de fessée (dont je fais partie) serait dans le même état d'excitation.
Votre liberté d'expression et votre franchise décapante sont une belle volée de lanières aux préjugés et aux faux semblants. Au moins vous appelez un chat, un chat... A neuf queues, et redoutable, si l'on vous imagine du côté du manche...
Cordialement
Ramina
Bonjour à Elena, à Ramina et à tout le monde.
RépondreSupprimerEn tout cas, chez vous, c'est la parité: à chaque chapitre mettant en scène un ou des garçon (s) fessé (s) succède un chapitre où c'est le tour des filles. Et vous avez le don de créer, à chaque fois, une situation originale.
Fessées ensemble et obligées de rester nues, ces jeunes filles ont passé un sale quart d'heure (très long quart d'heure). Je me demande d'ailleurs s'il est plus "difficile" de subir une fessée publique en solo ou collectivement. La réponse semble a priori évidente: seul on concentre sur soi l'attention des spectateurs alors qu'à plusieurs elle s'éparpille sur les uns et sur les autres. Elle se dilue. Mais est-ce pour autant plus facile? Parce qu'en voyant ce que subissent les petits camarades, leur nudité, leurs fesses qui rougissent, leurs mimiques, leurs cris, leurs contorsions, on a le spectacle de ce qu'on va être soi-même amené à montrer. Ou de ce qu'on vient de montrer. Ou de ce qu'on continue à montrer. Dure épreuve et, à mon sens, plus redoutable que l'autre.
Quant à l'excitation sexuelle, corollaire de la fessée, dont il est question dans vos échanges avec Ramina, il me semble en effet qu'il est quelque peu hypocrite de vouloir la nier. Il y a même, à mon avis, trois sortes d'excitation sexuelle en la circonstance, bien différentes selon qu'on est donneur, receveur ou spectateur. De quoi nourrir un long débat et aussi de faire naître des textes qui décriraient une même fessée selon ces trois points de vue différents.
À très bientôt.
Amicalement.
FF
Bonjour François,
SupprimerAnalyse tout à fait pertinente ! A la lecture de votre commentaire, je constate que je suis un livre ouvert que vous déchiffrez à chaque page. Je ne saurais en dire plus, car tout y est !
Pour ce qui est de l'excitation, je laisse le soin à chacun de se positionner selon ses fantasmes.
Merci.
Elena.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerSuper heureuse de trouver de l'écho pour mes textes ( un peu particuliers, il est vrai ). Je raconte en plongeant le lecteur physiquement dans la scène pour qu'il se rende compte de ce qui l'entoure et des réactions que lui et les autres peuvent avoir. Un peu comme un film où je braque l'objectif sur tel ou tel fait. Je prends le lecteur par la main et je lui montre les détails intéressants d'une scène ! Tantôt en plan large pour le contexte, tantôt en focus, pour un détail.
Encore un grand Merci à JLG de ne pas censurer mes récits. C'est très sympa de sa part. Je peux donner libre cours à mes fantasmes tout en restant dans la ligne éditoriale du Blog.
Salutations.
Elena