Heureusement, l’appartement de
Tatie Jacqueline était situé au quatrième et dernier étage de l’immeuble.
L’ascenseur ne montait que rarement tout en haut, seulement pour y déposer les
habitants des deux appartements qui y étaient situés. Personne n’étant attendu
chez Tatie Jacqueline, il n’y avait que l’arrivée des voisins de palier qui
pouvait amener des visiteurs à cet étage.
Dorothée guettait les bruits
d’ascenseur. A chaque fois qu’ils indiquaient qu’il était appelé, elle se
crispait. Il s’arrêtait toujours à l’un des étages en dessous de celui où elle
patientait au coin. Alors elle se détendait. Ce n’était pas encore pour cette
fois-ci.
« Tatie Jacqueline va bien
finir par venir me délivrer de ma pénitence. »
Ce moment tant attendu tardait.
Dorothée n’osait plus bouger de là où elle avait été mise. La première fessée
que Tatie Jacqueline lui avait administrée lui suffisait pour l’instant et elle
savait que déroger à la posture attendue au coin, lui vaudrait, à tous les
coups, une fessée. Certes, mais que le temps était long !
Dorothée en était là de ses
réflexions, quand le bruit de l’ascenseur retentit une nouvelle fois. Tout
d’abord, Dorothée n’y prêta pas grande attention. Cela faisait tellement de
fois où c’était de fausses alertes ! Puis, il fut évident que les
personnes qui l’empruntaient venaient dans les étages supérieurs. Dorothée
n’eut pas vraiment le temps de se préparer quand la porte de l’ascenseur
s’ouvrit.
Un sac rempli de provisions dans
chaque main, Flavine poussa la porte de l’ascenseur de son épaule. Elle tint
ouverte la porte une seconde pour que Pascal, son compagnon, puisse la suivre.
Il tenait dans ses mains un grand carton, plus encombrant que lourd. Il avait
fallu faire les courses, c’est pourquoi ils rentraient plus tard
qu’habituellement.
« Fais attention. J’espère
que tu ne vas pas être aussi maladroit que d’habitude ou plutôt aussi étourdi
que tu peux l’être régulièrement. »
Pascal ne répondit pas, mais il
leva les épaules, un petit geste signifiant qu’il prenait les remontrances de
sa compagne pour quantité négligeable. Flavine avait presque fait deux pas sur
le palier quand elle aperçut Dorothée.
« Ça alors ! »
Elle s’arrêta net et elle faillit
laisser tomber ses deux sacs.
« Mais que se
passe-t-il ? »
Si elle espérait une réponse de
Dorothée, c’était peine perdue. Celle-ci se serrait le plus profondément
possible dans le coin, comme si elle avait voulu passer à travers le mur.
Espérait-elle ainsi ne pas être identifiée par ses voisins ?
Flavine et Pascal n’avaient pas
besoin de voir son visage pour la reconnaître. Bien qu’ils n’aient encore
jamais contemplé ses fesses nues, ils n’eurent que peu de mal à faire le lien
entre la personne qu’ils voyaient au coin sans sa culotte et l’une de leurs
voisines. Il leur fallut cependant un peu de temps pour faire coïncider la
scène qu’ils avaient sous les yeux et la personne d’âge mûr qu’ils croisaient
souvent en sortant de chez eux. Flavine n’en croyait toujours pas ses yeux.
« Dorothée ? Mais … que
faites-vous là ? »
Dorothée s’agitait dans son coin,
enfin autant qu’on peut le faire quand on est le nez dans l’angle d’un mur, les
pieds joints et les bras croisés dans le dos. Cela donnait une espèce de
frémissement qui parcourut ses jambes et se perdit sous les vêtements qui
recouvraient le haut de son corps, mais guère plus.
« Bonjour Flavine, bonjour
Pascal ! »
C’était Jacqueline. Elle avait
entendu ses voisins arriver et s’interroger à la vue de cette situation
inhabituelle. Il était normal de leur donner quelques explications en réponse à
leur étonnement bien naturel.
« Je vois que vous avez
aperçu ma grande chipie coléreuse. »
Les deux voisins étaient encore
sidérés par ce qu’ils avaient sous les yeux. Ils ne purent répondre que par un
mouvement de la tête. Ils ne savaient pas encore comment interpréter ce qui se
déroulait sur leur palier commun.
« Maintenant, elle est bien
sage, mais c’est assez récent. Elle a été plutôt désobéissante toute cette
journée. »
Jacqueline conta à grands traits
ce qui c’était passé. Elle insista sur les punitions que Dorothée avait reçues.
« J’ai donc dû la fesser sur
le palier et comme elle y avait fait une colère, j’ai pensé que c’était le lieu
adéquat pour la mettre au coin. J’espère que vous n’en êtes pas offusqués.
– Non, je comprends mieux. Il
semble que c’était largement mérité, répondit Flavine. »
On sentait encore à son ton
qu’elle n’avait pas encore pris le parti de considérer la situation comme
normale.
« Mais, j’y pense, as-tu dit
bonjour à Flavine et Pascal, Dorothée. Je veux que tu sois bien élevée et
polie.
– Bonjour, murmura Dorothée.
– Non, non, bien mieux que
cela. »
Un peu plus fort, Dorothée
recommença.
« Bonjour Flavine, bonjour
Pascal.
– Veux-tu que je me fâche ?
Ce que tu fais-là n’est pas poli. Tu es une petite fille mal élevée !
Tourne-toi vers eux et dis-leur bonjour correctement. »
Dorothée hésita un bref instant,
puis elle fondit en larmes. Tant qu’elle ne voyait pas les personnes qui
étaient derrière elle, elle pouvait garder un reste d’illusion sur la réalité
de ce qu’elle vivait. Le nez dans l’angle de la pièce, les images de sa
déchéance ne lui étaient pas renvoyées dans le regard des spectateurs. Elle ne
pouvait pas regarder ses voisins dans les yeux alors qu’elle était dans cette
tenue. Leur faire face, c’était reconnaître, sans aucune réserve, son statut de
grande fille soumise à sa colocataire.
« Non, Jacqueline, s'il te
plait, ne m’oblige pas. »
Sa voix était suppliante, mais
Jacqueline n’en tint pas compte.
« Décidément, tu les
accumules ! »
Jacqueline réfléchit une seconde,
mais elle ne pouvait pas, dès ce soir, laisser passer une désobéissance pas
plus que l’oubli du mot « Tatie » quand Dorothée s’adressait à elle.
Elle comprenait que c’était difficile pour Dorothée, autant de changements en
aussi peu de temps, mais il fallait qu’elle prenne de bonnes habitudes dès
maintenant.
« Je dois être inflexible
les premiers jours, se dit Jacqueline. Quand Dorothée aura compris qu’elle doit
m’obéir en toutes circonstances, je pourrai laisser passer des petites choses,
mais pas aujourd’hui. »
Elle attrapa le bras de Dorothée
et elle la tira vers elle. En pivotant, Dorothée aperçut ses deux voisins qui
regardaient ce qui se passait sans réagir. Ce fut bref. Elle se retrouva dans
la position qui commençait à être familière : courbée en deux, le buste
ceinturé par le bras de Tatie Jacqueline, ses fesses disposées pour une fessée.
« Une bonne fessée, ce sera
salutaire pour ma petite Dorothée, pensa-t-elle en lui relevant la jupe. »
L’idée que punir Dorothée en
présence des voisins, puisse être inutilement humiliant ne l’effleura qu’un
instant.
« Il est plus important de
corriger Dorothée au plus près de sa désobéissance, plutôt que de ménager une
pudeur mal placée, se dit-elle. Elle devra s’y habituer. »
Jacqueline avait compris comment
il fallait s’y prendre pour donner une fessée qui produise des effets
immédiats. Elle faisait adopter à sa main la forme de la surface qu’elle visait.
Elle ne cherchait pas à mettre de la force dans son geste, mais de la vitesse.
Les effets en étaient visibles.
Le bruit de la main frappant les fesses était sec et il résonnait dans
l’escalier, au-delà du palier sur lequel se déroulait la fessée. Les réactions
de Dorothée ne trompaient pas. Crispation instinctive de tous ses muscles à
chaque claque, les pieds qui, alternativement, décollaient du sol, et des
gémissements de plus en plus prononcés qui accompagnaient le tout.
Dorothée avait oublié la présence
de Flavine et Pascal. Elle avait bien assez à faire pour absorber la fournaise
que Tatie Jacqueline avait fait naître sur ses fesses et dont elle augmentait
la chaleur patiemment. L’existence d’un public lui revint à l’esprit, comme un
boomerang qu’elle aurait réussi à envoyer si loin qu’il n’en revenait que plus
violemment quand il y eut une pause dans la fessée.
« Je suis désolée de vous
imposer cette scène de notre vie domestique, s’excusa Jacqueline, mais il est
important, surtout dans ces premières heures où j’habitue notre Dorothée à une
discipline rigoureuse, que je la corrige aussitôt qu’elle a fait une
bêtise. »
Quelques claques sur les fesses
vinrent confirmer la déclaration de Jacqueline.
« Rendez-vous compte, trois
comportements inadmissibles dans la même seconde. Tout d’abord le refus de
m’obéir … »
Une volée de claque également
répartie sur chaque fesse.
« … puis, elle m’appelle par
mon prénom alors que je le lui ai expressément défendu. Je veux qu’elle montre
le respect qu’elle me doit en me disant « Tatie Jacqueline ». Cela
l’aidera à comprendre qu’elle doit obéir. … »
Personne ne fut surpris que la
fessée reprenne pendant une bonne minute.
« … et enfin, pour couronner
le tout, une grave impolitesse. Un refus de dire bonjour correctement, comme
une vilaine petite fille. Quelle outrecuidance, surtout après que je l’aie
reprise deux fois ! Je tiens à ce que ma Dorothée soit bien polie avec
toutes les personnes qu’elle croise. Dire bonjour, ce n’est pas difficile.
C’est le moins qu’on puisse exiger. Je ne voudrais pas que les gens de notre
entourage pensent que Dorothée a été mal élevée. »
Cette déclaration se conclut par
la reprise de la fessée que Dorothée accompagnait de ses cris. Jacqueline la
fit durer suffisamment longtemps pur qu’il n’y ait pas de doute sur la sévérité
de la punition que recevait sa colocataire.
Flavine et Pascal avaient adopté
des attitudes très différentes. Pascal semblait gêné d’assister à la punition.
Il osait à peine regarder et on sentait une réelle empathie avec Dorothée,
comme s’il se voyait à sa place et qu’il en éprouvait les sensations par
avance. Il fronçait les sourcils, semblant désapprouver le traitement qui était
réservé à Dorothée. On aurait pu s’attendre à ce qu’il exprime son désaccord,
mais il n’ouvrit pas la bouche.
Flavie, elle, ne cachait pas son
approbation. Elle semblait cependant réfléchir aux conséquences de ce qu’elle
voyait se dérouler sous ses yeux. Plusieurs fois elle se tourna vers son
compagnon et son visage se durcissait. Finalement, elle n’y tint plus.
« Oui, Pascal, veux-tu dire
quelque chose ? Tu sembles te retenir de parler.
– Euh, non. Mais quand même.
– Que veux-tu dire ?
– Et bien je ne sais pas, mais on
ne devrait pas …
– Finis ta phrase ! »
Pascal regardait Flavine,
hésitant à poursuivre son propos.
« Allons ! »
Pascal se décida.
« Ce n’est pas normal de
battre quelqu’un d’autre.
– De battre ? Quelle
expression ! Jacqueline ne bat pas Dorothée. Elle la punit. Cela n’a rien
à voir.
– Je suis certaine que Dorothée
en avait besoin et que cela lui fera du bien.
– Oui, mais quand même …
– Sans doute, le coupa Flavine,
si tous ceux qui avaient besoin d’une fessée la recevaient, il y aurait
quelques erreurs qui seraient rectifiés au plus vite. Hélas …
– Que, … qu’est-ce que ça
signifie ?
– Et bien sans doute que je
connais, très près de moi, au moins une personne qui mériterait une bonne
fessée de temps en temps. »
Pascal jugea plus prudent de se
taire. S’il obligeait Flavine à monter encore une marche, elle serait capable
de donner un nom. Il n’y tenait pas.
Dorothée reste là, à pleurer,
sans oser toucher ses fesses brûlantes. Jacqueline ouvre ses bras.
« Viens-ici, ma vilaine
fille ! »
Dorothée se réfugie dans les bras
accueillants de Jacqueline qui lui entoure les épaules d’un bras, la serrant
contre elle. Sa main se glisse sous la jupe qu’elle soulève pour caresser les
fesses qu’elle vient de punir.
« Là, là, c’est fini. Chut,
… chut, … »
Dorothée entoura de ses bras le
buste de Jacqueline et elle posa son visage sur son épaule. Elle eut alors une
nouvelle crise de larmes. Pendant qu’elle se calmait peu à peu, la conversation
reprit avec les voisins.
« Je suis désolée que vous
ayez dû être témoins de cette fessée, mais je ne pouvais pas laisser passer un
telle provocation de la part de ma vilaine fille.
– Non, pas de souci. C’est
normal. J’ai bien vu que Dorothée avait besoin de cette punition.
– Dorothée, tu fais trop de
bruit ! »
Une claque sur les fesses
convainquit Dorothée qu’elle pouvait pleurer, mais sans gêner la conversation
entre les deux femmes. Dorothée se fit bien plus discrète.
« Il suffit de la voir dans
vos bras, continua Flavine. Il saute aux yeux que la fessée lui a fait du bien.
– Est-ce vrai, ma
chérie ? »
Jacqueline interrogeait Dorothée
tout en lui caressant la joue.
« Oh, non, … euh … je ne
sais pas Tatie. »
La réponse montrait la confusion
dans laquelle se tenait Dorothée. Non, cette fessée ne lui avait pas fait de
bien, les élancements qui provenaient encore de ses fesses, le prouvaient. Mais
elle se sentait bien dans les bras de Tatie Jacqueline et cela ne lui était
jamais arrivé avant ce soir, avant que la fessée ne soit au programme. Elle ne
savait donc pas répondre à cette question.
« Je vois que tu ne sais pas
vraiment, dit Tatie Jacqueline, souriant de l’indécision de sa grande fille.
J’ai pourtant l’impression que tu vas être bien plus sage et bien plus
obéissante qu’avant. »
Dorothée se contenta de hocher la
tête. De cela elle était certaine. Il n’y avait plus de doute, elle devait
obéir à Tatie Jacqueline.
« Je vous admire, reprit
Flavine, d’avoir accepté cette responsabilité. Cela me met face à mes propres
renoncements. Je devrais faire pareil. »
Elle se tourna vers son
compagnon.
« N’est-ce pas,
Pascal ? »
Le jeune homme, ainsi interpellé,
rougit et baissa les yeux. Il ne se rendait pas compte, qu’en se comportant
ainsi, il confirmait les dires de sa compagne.
« Si vous me le permettez,
Jacqueline, je vais emprunter votre méthode et l’appliquer : une bonne
fessée déculottée et une mise au coin. Je suis certaine que cela donnera
rapidement de très bons résultats.
– Mais, … mais, …
– Mais quoi ?
– Mais tu n’as pas le droit, je …
– Pas le droit ? Je crois,
au contraire, que j’en ai le devoir. Cela mettra un terme à toutes les disputes
qui nous opposent. Désormais, plutôt que de gémir sur tes affaires qui traînent
partout, plutôt que de tempêter contre ta part de ménage pas faite, ce sera une
bonne fessée déculottée et au coin. Des fesses cuisantes vont te faire changer
rapidement d’attitude.
– Mais, tu ne veux pas. Je suis
trop grand !
– Si Dorothée n’est pas trop
grande pour recevoir une fessée, tu ne l’es pas non plus. Je vois que cela lui
fait le plus grand bien, ce sera pareil pour toi !
– Non, non, tu ne peux pas.
– Veux-tu que nous essayons tout
de suite ? »
Elle avait saisi le bras de
Pascal et sa résolution se voyait dans son attitude.
« Après tout, ce ne serait
pas illogique que tu reçoive la fessée devant Dorothée puisqu’elle vient d’en
recevoir une en ta présence. Quant à Jacqueline, je pourrai profiter de sa
présence pour qu’elle me donne quelques conseils, voire qu’elle fasse une
démonstration. Qu’en dites-vous Jacqueline ?
– Ce sera avec plaisir !
– Et toi, Pascal, qu’en
penses-tu ? »
Pascal ne savait plus quoi
répondre. Il avait perdu la première bataille à propos de la fessée. Il était
maintenant entendu que Flavine le corrigerait à la prochaine incartade.
Oserait-il s’y opposer ? Rien n’était moins sûr.
Par contre, il était certain
qu’il ne fallait pas que Flavine fasse sa première tentative sur le palier. La
présence de Dorothée, démonstration vivante qu’un adulte pouvait être fessé
avec profit, et celle de Jacqueline qui n’hésiterait probablement pas à venir
en aide à Flavine, le mettait en situation d’infériorité. Il était préférable
de reprendre cette discussion avec Flavine, une fois rentrés dans leur
appartement.
Le mutisme de Pascal renforça la
détermination de Flavine.
« Je vous remercie,
Jacqueline, de m’avoir montré la voie. Je suis maintenant certaine que notre
couple va repartir sur de nouvelles bases, bien plus saines. J’avais
l’impression d’avoir un enfant à la maison, je vais pouvoir le traiter comme
l’âge qu’il a dans sa tête le nécessite. J’espère que ses cris et ses pleurs ne
vous importuneront pas trop.
– C’est bien normal. Ce sera pareil
de notre côté. Que cela ne vous arrête pas !
– Aucun risque ! Sachant que
nous utilisons la même méthode, je saurai ce qui se passe quand vous punirez
Dorothée et il en sera de même, pour vous, quand je corrigerai Pascal. »
Chacune des deux femmes reconnaissait
en l’autre une alter-égo. Une complicité certaine venait de naître sur le
palier.
« Je ne sais pas si vous
avez l’intention de remettre Dorothée au coin sur le palier, mais je trouve que
cela fera un lieu de punition excellent pour Pascal.
– Vous avez raison. Quand j’aurai
besoin de prolonger la fessée par une mise au coin plus humiliante que
d’habitude, Dorothée ira sur le palier.
– Heureusement qu’il y a deux
coins ! Ils risquent d’être souvent occupés. »
Dorothée avait écouté d’une
oreille distraite ce que Tatie Jacqueline lui promettait. Il n’y avait rien de
nouveau. Pascal, par contre, avait blêmi au fur et à mesure que l’échange
précisait le sort qui lui était réservé.
Flavine ouvrit la porte de leur
appartement.
« Pascal, tu rentres. Tu poses
la télévision sur la table et nous allons avoir une conversation. Ou plutôt ma
main va en avoir une avec tes fesses.
– Mais, Flavine, … »
Alors que Pascal passait devant
elle, elle lui donna une bonne claque sur le fond du pantalon.
– Il n’y a pas de mais qui
tienne, allons, dépêche-toi ! »
La suite de l’échange fut
étouffée quand la porte se referma derrière le couple.
Jacqueline reporta son attention
sur Dorothée qui était toujours blottie dans ses bras.
« Dis-moi, ma grande fille,
nous avons aussi plusieurs fessées au programme, n’est-ce pas ?
– Oui Tatie, répondit Dorothée
d’une toute petite voix.
– Vas-tu encore me faire une
colère quand je m’apprêterais à te corriger ?
– Non Tatie.
– Allez, va m’attendre dans le
séjour que je m’occupe de tes fesses. »
Dorothée n’hésita pas. La fessée
faisait maintenant partie de sa vie. Il fallait s’y résigner, même si cela ne
l’enchantait pas.
Jacqueline sourit en voyant
Dorothée obéir à son ordre. Leur cohabitation allait prendre une toute autre
tournure. Cela lui convenait.
Dorothée, ce n'est pas la première fois que nous la croisons
Elle a déjà eu quelques déboires au cours des aventures d'Axel, tout à commencé dans le chapitre 94
Mais elle a également, malheureusement pour elle, sa série dans laquelle elle est le personnage principal. en voici le chapitre 1
Mais elle a également, malheureusement pour elle, sa série dans laquelle elle est le personnage principal. en voici le chapitre 1
Il y a une suite...
... mais il faut attendre, nous allons faire une pause dans ce récit pour laisser la place à d'autres. Il reprendra plus tard, peut-être..
Commentez, commentez, il en restera toujours quelque chose
C'est le moment ! A vos claviers ! Qui aurait bien besoin d'une Tatie Jacqueline pour s'occuper de son cas ? A moins que nous ayons quelques Taties prêtes à donner la fessée à quelques neveu ou nièce récalcitrants ?
Bonjour,
RépondreSupprimerMême quand on est au coin sur le palier, déculottée après une bonne fessée, on dit bonjour correctement à la dame et au monsieur qui sortent de l'ascenseur... Tatie jacqueline est inflexible sur les bonnes manières et donne l'exemple. Dorothée aux fesses rouges n'est pas loin d'un deuxième service.
L'ami Pascal a bien tort de s'insurger. La main de Flavie, sa compagne, brûle d'envie d'avoir une cuisante conversation avec son postérieur. Dialogue percutant avec un fessier. Une main certainement très bavarde, qui devrait lui tenir longtemps le derrière en haleine pour une fessée qui s'annonce comme le premier épisode d'une longue romance disciplinaire. Le charmant couple est sur le point de tourner une nouvelle page de son histoire, et c'est madame qui va faire l'écrire sur les fesses de maonsieur...
Fessera bien, qui fessera la dernière... Qu'est ce qu'elle dit Flavie à Tatie Jacqueline qui donne de si bons conseils ?
Cordialement.
Ramina
Bonjour chers amis lecteurs,
SupprimerEt pourtant, nous nous en tiendrons là pour l'instant. La suite n'est pas écrite.
Qui se sent d'écrire la suite des aventure de Dorothée et de sa nouvelle Tatie ? Qui pour les aventures de Flavie et de Paul ?
Il y a de la place, lancez-vous !
Au plaisir de vous lire,
JLG.