A La Villeneuve sur Horto, petite ville moyenne française entourée
d’une campagne agricole, depuis que Tatie Nathalie a montré comment il
convenait de punir les adultes désobéissants et que Madame André, la cheffe de
magasin du supermarché local, a emboîte le pas, l’usage de la fessée se répand
comme une traînée de poudre.
Tout se passe comme si il avait suffi de leur donner l’exemple pour que
des parents, des sœurs, des responsables en tout genre ou même des voisins
adoptent cette méthode si efficace. La plupart des corrections sont, bien
entendu, administrée au domicile des punis. Mais, peu à peu, voir un ou une
adulte, culotte baissée, recevant une fessée dans des lieux les plus divers, devient
un spectacle commun.
Ce récit est l’histoire de quelques-unes des personnes qui se sont
retrouvées soumises à ce régime disciplinaire, pour leur plus grand bien et
celui de leur entourage.
Dorothée s’était tenue
silencieuse pendant tout le trajet qui la ramenait chez elle. Jacqueline à côté
d’elle en avait fait autant. Elle se concentrait sur la conduite de la voiture.
Dorothée avait eu du mal à rassembler ses idées en un tout cohérent. La journée
qui allait vers sa fin avait été riche en changements dont elle ne mesurait pas
encore l’ampleur.
Son petit boulot tranquille au
supermarché se révélait beaucoup plus impliquant que ce qu’elle avait escompté.
Elle avait eu vent des fessées que les deux voleurs avaient reçues. Cette
nouvelle s’était répandue comme une traînée de poudre le premier matin de leur
arrivée. Comme les autres, elle avait trouvé que ça leur faisait une leçon
salutaire. Elle avait trouvé amusant de les voir mis au piquet, les mains sur
la tête, culotte baissée. Elle s’était permis quelques remarques ironiques en
passant à proximité alors que l’autorité de Madame André leur imposait
d’exposer leurs fesses nues.
Dans un premier temps, elle avait
été interloquée quand de jeunes collègues avaient été soumis à la même punition
le lendemain. Puis elle s’était dit que cela leur mettrait du plomb dans la
tête. Leur relatif jeune âge justifiait le recours à un tel châtiment. Elle ne
s’était pas sentie concernée. Toutefois, elle avait bien remarqué que les
moqueries envers les punis avaient disparues. A partir de ce moment, il avait
régné une atmosphère d’inquiétude qui avait amené chacun à être plus concentré
sur son travail.
Quand elle avait compris que
Madame Bourgeois avait l’intention de la déculotter, qui plus est en public,
elle s’était insurgée. Son âge, croyait-elle, la mettait à l’abri d’une
punition aussi infantile. Sa résistance avait été vaine. Au contraire, elle
avait justifié une deuxième fessée, administrée avec une règle. Ce qui l’avait
amenée à choisir l’obéissance plutôt que de risquer un nouveau châtiment.
L’autorité de Madame André
l’avait obligée à accepter une fessée de sa logeuse, Jacqueline, mais il
n’était pas question que cela continue. Elle devait reconnaître que es griefs
de cette dernière à son encontre étaient justifiés. Il faudrait qu’elle
s’améliore sur les questions de rangement. Elle était prête à cette concession.
Mais elle devait mettre les choses au clair tout de suite : elle ne se
soumettrait pas à une autre fessée de Jacqueline. Quant à cette appellation de
Tatie Jacqueline, il était hors de question qu’elle l’utilise.
Dorothée décida de passer à
l’offensive quand elles furent toutes deux arrivées sur le pallier, devant la
porte de leur appartement. C’était un endroit adéquat, un espace public où peu
de monde passait. Il donc était possible d’avoir une discussion où l’emploi de
mots comme « fessée » ou « punition » ne seraient pas
entendus par des oreilles indiscrètes. Dorothée voulait que la mise au point
ait lieu avant qu’elles ne pénètrent dans leur espace privé commun.
Elle ne se sentait pourtant pas
tout à fait à l’aise pour aborder ces questions sur un plan d’égalité avec sa
logeuse. Elle ne se sentait plus totalement adulte depuis que sa tenue avait
été revue par Madame André. Elle avait pleinement conscience de l’absence de
culotte sous sa jupe. Que son sous-vêtement soit dans la poche de Jacqueline,
n’arrangeait pas les choses. Elle avait l’impression que cela créait un
déséquilibre entre elles et l’air froid qui, passant sous sa jupe, lui
caressait le postérieur la mettait dans un sentiment d’infériorité lui
rappelant sans cesse les fessées qu’elle avait reçues et celles qui lui étaient
promises.
Prenant une grande respiration
pour se donner du courage, elle lança le sujet alors que Jacqueline mettait la
clé dans la serrure de l’appartement.
« Jacqueline, bien entendu
tu n’as pas l’intention de … enfin de … je veux dire … donner suite à ce qui
s’est passé tout à l’heure ?
– Dorothée, je t’ai dit de
m’appeler Tatie Jacqueline. Compte tenu du changement dans nos relations, il ne
serait plus convenable que tu m’appelles par mon prénom. Il est préférable que
tu marques le respect que tu me dois, en tant que grande personne qui va
s’occuper de toi. »
La conversation ne partait pas
tout à fait dans le sens que Dorothée voulait.
« Par contre, poursuivit
Jacqueline en souriant, je préfère que tu me dises « tu ». Comme tu
seras un peu ma petite nièce, il est normal qu’il y ait de la familiarité entre
nous.
– Oui Tatie Jacqueline. »
Dorothée préféra, pour l’instant,
abandonner ses revendications sur ce terrain. Il serait bien plus facile d’y
revenir quand elle aurait obtenu d’être exemptée de fessée.
« Que voulais-tu dire, ma
grande ? »
Jacqueline passa sur
l’appellation infantilisante. Elle y reviendrait plus tard.
« Je voulais parler de ce
que Madame André t’a demandé, enfin tu sais bien … à cause de ce que j’ai fait
aujourd’hui, au magasin.
– Ah, tu veux parler de ta colère
et des fessées qu’on a dû te donner pour que tu obéisses ?
– Oui, justement. Tu n’as pas
l’intention de … enfin ce soir …
– Parle plus clairement. Si tu
veux savoir si j’envisage de te fesser, bien sûr que oui ! Tu l’as
grandement mérité et je suis certaine que cela te fera le plus grand bien.
– Jacqueline, euh … Tatie
Jacqueline, tu n’es a sérieuse ?
– Parce que tu t’étais imaginé
que j’aurais pu te dispenser de la fessée ? Il n’en est pas question. Tu
en as besoin pour comprendre que ta façon de faire, que ce soit au travail ou à
la maison, doit changer. Si je ne suis pas suffisamment sévère, tu ne vas pas
apprendre. Je vais donc te donner une bonne fessée ce soir, comme convenu.
– Non, je ne veux pas !
– Oh, je comprends que tu ne
veuille pas. Recevoir une fessée n’est pas plaisant du tout, c’est même prévu
pour, mais là n’est pas la question. C’est mon devoir de te la donner et je
tiens à respecter mes engagements envers Madame André et surtout envers toi.
Désormais, tu vas avoir face à toi une personne qui sera attentive à corriger
tous tes travers, qu’ils soient petits ou gros. Ce sera moi. Tu vois bien que
je dois te donner la fessée et cela commence ce soir.
– Il n’en est pas question. Je
refuse !
– Fais bien attention ! Si
tu me fais une colère, ce sera la fessée. Je veux dire une autre fessée que tu
prendras en plus de celle qui est déjà prévue. Tu arrêtes ce caprice tout de
suite. Nous allons rentrer à la maison et je te donnerai la première fessée
immédiatement. Ensuite, après un temps au coin, tu iras ranger tes affaires. Tu
en auras bien pour toute la soirée.
– Non je ne veux pas ! Je ne
me laisserai pas faire !
– Bon, une désobéissance !
Tu as gagné une deuxième fessée. Entre maintenant que je te punisse au plus
vite !
– Non, je n’entre pas ! Tu
n’as pas le droit ! Tu ne pourras pas m’obliger ! »
Dorothée sentait bien qu’elle se
comportait comme une petite fille essayant d’éviter une punition. Son ton était
plaintif et ses arguments uniquement défensifs, mais elle n’arrivait pas à en
trouver d’autres.
« Mais je n’ai pas
l’intention de te demander l’autorisation à chaque fois que j’aurai à te
fesser. Et tu me laisseras faire. D’abord parce que tu l’auras mérité et
ensuite parce que tu y perdrais et ton travail, et ton toit.
– Euh … mais … pourquoi ?
– Que crois-tu que va dire Madame
André quand elle constatera, demain, que le courrier n’est pas signé ?
Crois-tu qu’elle va t’accueillir à bras ouverts ? Et moi, maintenant que
j’entrevois la possibilité de corriger tous tes défauts, crois-tu que je vais y
renoncer ? Tant que je n’avais pas eu de solution, je faisais avec. Mais
aujourd’hui, je sais comment faire. Je préfère donc te mettre dehors que de
subir plus longtemps tes laisser-aller. A toi de choisir !
– Mais, mais, tu ne …
Jacqueline !
– Tatie Jacqueline ! »
La claque partit si vite que
Dorothée n’eut pas le temps de l’éviter. La jupe amortit une partie de sa
force, mais c’était vexant de se faire reprendre, qui plus est avec une claque
sur les fesses.
– Je ne vais pas supporter tes
caprices plus longtemps. Tu décides tout de suite si tu te soumets aux fessées
que j’ai décidé de t’administrer, quand je l’ai décidé et là où je l’ai décidé.
Autrement … tu en connais le prix ! Je reviens dans cinq minutes. Tu me
diras ce qu’elle est ta décision. »
Jacqueline rentra dans son
appartement et elle referma la porte derrière elle.
Dorothée resta toute bête, à la
porte. Elle avait une clé. Elle aurait pu entrer ou sonner pour que Jacqueline,
non, Tatie Jacqueline vienne lui ouvrir. Cela n’aurait fait qu’envenimer une
situation qu’elle avait l’impression de ne pas maîtriser.
Dans un premier temps, ce fut une
réaction de colère : pour qui se prenait-elle ? Elle n’avait pas le
droit de faire du chantage comme elle venait de le faire. Jacqueline était une
véritable amie et une amie ne se comportait pas comme cela. Et en plus, elle la
laissait sur le palier ! Que diraient les voisins s’ils la voyaient là à
attendre ? Décidément, Jacqueline ne réfléchissait pas avant de faire
quelque chose !
Quand elle eut épuisé cette veine
de ressentiment, elle dut regarder plus objectivement la situation. Cette époque-là
était révolue. La Jacqueline avec laquelle elle avait noué une amitié n’était
plus. Il y avait maintenant Tatie Jacqueline qui entendait bien instaurer un
rapport d’autorité et non d’amitié. C’était à elle de savoir si elle acceptait
ce changement avec tous ces aspects désagréables, mais également avec des
compensations.
Dorothée savait qu’il était
difficile de cohabiter avec elle. Elle avait sciemment poussé ses provocations
au plus loin qu’elle le pouvait pour pousser Jacqueline à réagir. Cette dernière
avait montré son mécontentement, mais elle n’avait jamais fixé de limites à ne
pas dépasser. Dorothée savait qu’elle les avait cherchées, chez Jacqueline
comme chez les autres personnes avec qui elle avait partagé un appartement et
que, jusqu’à maintenant, elle n’avait jamais trouvé celui ou celle qui les lui
imposerait. A chaque fois, son ou sa colocataire avait fini par craquer et la
cohabitation avait cessé.
Dorothée ne pouvait pas se
permettre de lâcher son travail, au risque de se retrouver à la rue comme cela
avait failli se produire la dernière fois où elle avait tout abandonné. A plus
de cinquante ans, elle ne se sentait plus l’énergie de tout recommencer. Ce
n’était pas un travail difficile et elle aimait bien ce qu’on lui demandait de
faire. Elle s’y sentait bien … jusqu’à cette première fessée. Pas volée, soit
dit en passant. Non, malgré le risque de punition, il fallait qu’elle reste.
Par-dessus tout, elle ne voulait
pas quitter Jacqueline. C’était la première fois qu’elle se sentait autant en
confiance avec une autre personne. Et si, de plus, il prenait l’envie à
Jacqueline, non, à Tatie Jacqueline d’assumer une stricte autorité …
C’est à ce moment-là que la porte
s’ouvrit.
« Es-tu décidée à recevoir
ta fessée ? »
Dorothée ne sut pas quoi
répondre. Jacqueline lui laissa quelques secondes, puis, en l’absence de
réaction, elle passa à l’action. Elle attrapa Dorothée par le bras et elle lui
fit faire le pas qui les séparait. Avant qu’elle ait vraiment compris ce qui
lui arrivait et sans qu’elle ait décidé de se soumettre à la fessée, elle se
retrouva courbée sous le bras de Jacqueline. C’est quand sa jupe fut relevée
que Dorothée se rendit compte de l’endroit où elle se trouvait.
« Non, s’il te plait,
Jacqueline, pas ici.
– Tatie Jacqueline ! »
La main de Jacqueline visait la
peau nue juste en-dessous de la culotte. Elle ne s’arrêta pas avant que les
plaintes de Dorothée deviennent désespérées.
Quand la fessée prit fin Dorothée
ne fit aucun effort pour se dégager de l’étreinte qui la maintenait en place.
« Que voulais-tu me
dire ?
– Pas ici la fessée, Tatie
Jacqueline, s'il te plait.
– Et pourquoi pas ici ?
– Les voisins, s’ils rentrent,
ils vont me voir.
– Oui c’est exact. Et
alors ?
– Mais, mais …
– Ils ne vont rien voir que de
normal : une grande fille qui reçoit une bonne fessée après avoir fait une
colère. Tu ne trouves pas que c’est dans l’ordre des choses ?
– Si Tati, si, mais pas ici.
– Mais, ma chérie, c’est toi qui
as choisi le lieu. Tu n’as pas voulu rentrer pour recevoir ta fessée, soit. Ce
sera donc sur le palier que tu vas recevoir ta fessée déculottée »
Joignant le geste à la parole,
Jacqueline glissa son pouce sous l’élastique de la culotte. Elle n’eut pas le
temps de la baisser complètement avant que Dorothée ne rattrape son
sous-vêtement, interrompant le déculottage.
« Non, ma culotte !
– Que crois-tu ? Que tu vas
pouvoir garder ta culotte quand je te fesserai ? Il n’en est pas question.
Je veux que tu saches, quand je te punirai, que tu t’es comportée comme une
petite fille désobéissante, à qui, pour lui faire comprendre qu’elle a été
vilaine, on baisse la culotte.
– Non, non, s'il te plait !
– Dorothée, lâche cette culotte.
Si tu n’ôtes pas immédiatement ta main de là, c’est moi qui le fais, mais
alors, j’irai chercher une ceinture pour te donner la fessée. »
Lentement, comme à regret,
Dorothée ramena sa main devant elle, laissant libre accès à ses fesses.
« S'il te plait, dit-elle
faiblement. »
La résignation s’entendait dans
la voix. Sans tenir compte de cette dernière supplique, Jacqueline baissa la
culotte de Dorothée, puis elle commença à la fesser. Elle n’hésitait pas. Les
claques résonnaient sur les fesses de Dorothée. Jacqueline avait compris
comment provoquer une intense cuisson en un temps très court. Dorothée
gémissait à chaque fois que la main atterrissait sur son postérieur. Elle avait
adopté un mouvement du bassin qui se tortillait sous le bras de Jacqueline,
mais il ne l’empêchait de trouver sa cible.
Jacqueline éprouvait un réel
soulagement. Elle était enfin certaine qu’elle disposait d’un moyen pour faire
changer du tout au tout le comportement et les habitudes de Dorothée. Jusqu’à
ce qu’elle déculotte sa colocataire, elle avait craint que celle-ci ne
l’accepte pas et qu’il faille aller jusqu’à la rupture, ce dont elle n’avait
aucune envie. Elle avait joué son va-tout en menaçant Dorothée de la mettre à
la porte. Serait-elle allée jusqu’au bout ? L’aurait-elle mise dehors ?
Pas sans regret.
« Inutile de se poser la
question, se dit-elle. Cette funeste possibilité est derrière nous. Je n’aurais
pas à répondre à cette question. »
Elle redoubla la vigueur de la
fessée, voyant, avec une satisfaction certaine, les fesses de Dorothée rougir à
vue d’œil au fur et à mesure que sa main marquait son territoire.
Elle nota que Dorothée ne faisait
plus rien, malgré la brûlure grandissante sur ses fesses, pour s’opposer à sa
punition. C’était la deuxième fois et elle aurait encore l’occasion, d’ici la
fin de la soirée, de confirmer sa légitimité à la punir en soumettant Dorothée
à deux nouvelles fessées. Ensuite, l’habitude serait prise, les nouvelles
relations établies. Plus rien ne viendrait mettre obstacle à l’administration
des punitions dont Dorothée avait besoin.
Quand elle releva sa nouvelle
nièce, Jacqueline crut se trouver en présence d’une petite fille fraîchement
punie. Dorothée s’était redressée. Elle pleurait en frottant ses yeux de ses
deux poings fermés. Puis elle porta une main à ses fesses, soulevant sa jupe
sans prendre garde à ce qu’elle exposait de nouveau dans ce lieu semi-public.
« Non, gronda Tatie
Jacqueline, on ne frotte pas ses fesses ! Je veux que tu en sentes la
cuisson le plus longtemps possible pour que tu te rappelles combien tu as été
méchante et comment je t’en ai punie. »
Une claque sur les fesses
souligna cet ordre. Dorothée poussa un cri, mais elle enleva sa main.
« Bien, pensa Jacqueline,
Dorothée prend d’excellentes habitudes. Il faut cependant qu’elle regrette d’avoir
fait cette colère. »
Jacqueline ne réfléchit pas bien
longtemps. Elle sut ce qu’elle devait faire.
« Viens-ici, dit-elle en
prenant Dorothée par l’oreille. »
Elle conduisit sa toute récente
pupille ans un coin du palier, tout près de la porte de son appartement. Elle
plaça le nez de Dorothée bien dans l’angle que formaient deux murs.
« Croise tes bras dans ton
dos et relève ta jupe, comme tu le faisais si bien dans le bureau de Madame
André.
– Mais, je ne peux pas rester
… »
Sa phrase fut interrompue par une
claque magistrale sur ses fesses qui déclencha un grand cri, puis des sanglots
qu’elle n’arrivait pas à contenir.
« Quand je te mettrai au
coin, je ne veux pas t’entendre ! Je te donne trente secondes pour faire
silence. »
Il était visible que Dorothée
faisait des efforts importants pour étouffer ses pleurs. En à peine plus de
trente secondes elle y était arrivés. Les sanglots résiduels qui soulevaient sa
poitrine sporadiquement, étaient silencieux.
« Si tu t’inquiètes que les
voisins puissent te voir dans cette tenue, tu as parfaitement raison. Je vais
te laisser là, dans cette position, pendant trente minutes. Il y a donc de
fortes chances qu’ils arrivent durant ce temps. Je leur expliquerais ce qui se
passe. Connaissant Flavine, je serai surprise qu’elle trouve à y redire. Nous
verrons bien. »
Dorothée émit un nouveau
gémissement que Jacqueline réprima d’une claque sur les fesses nues de
Dorothée.
« Tu restes là sans bouger
et en silence, même si les voisins arrivent. Je n’hésiterai pas à te fesser en
peur présence. »
Dorothée se raidit. Il s’agissait
de ne plus bouger. Jacqueline sourit amusée de l’obéissance à laquelle se
conformait Dorothée. Elle rentra dans son appartement, laissant la porte
entrouverte. Ainsi, elle pourrait vérifier si le silence qu’elle avait imposé à
Dorothée était bien respecté.
Dorothée était consternée. Une
demi-heure ! Il fallait rester au coin pendant une demi-heure ! Evidemment,
ce n’était pas certain, mais il y avait de grandes chances que les voisins
regagnent leur appartement pendant ce temps. A moins qu’ils n’aient un
rendez-vous prévu en début de soirée, c’était assez probable qu’ils surgissent
de l’ascenseur d’une minute à l’autre. C’était leur heure, à quelques choses
près.
Il était impossible qu’ils ne la
voient pas. Rien ne la dissimulerait à leur regard dès qu’ils poseraient un
pied sur le palier. Immanquablement ils seraient attirés par le tableau qu’elle
constituait dans le coin, immobile, sans culotte, exposant ses fesses nues.
Ils ne pourraient se tromper sur
le sens à donner à la posture que Tatie Jacqueline lui avait fait adopter. Il
s’agissait d’une punition, les conséquences d’une fessée déculottée, ce qui
serait confirmé, s’ils n’arrivaient pas trop tard, par les marques rougies sur
ses fesses. S’il lui serait impossible de s’expliquer par elle-même, compte
tenu du silence qui lui était imposé, Tatie Jacqueline ne ferait pas mystère de
sa nouvelle condition.
Dorothée soupira.
« Que puis-je y faire,
pensa-t-elle ? »
Sa résignation ne l’aidait pas à
diminuer la peur qu’elle sentait monter dans son ventre. Plus longtemps elle
restait là, plus grands étaient les risques d’être vue par les voisins.
« Mais il me reste de moins
en moins de temps à patienter. Peut-être que Tatie Jacqueline me sortira du
coin avant qu’ils n’arrivent ? »
C’était un espoir bien mince et
il ne diminua pas la tension qu’elle sentait monter en elle.
Dorothée, ce n'est pas la première fois que nous la croisons
Elle a déjà eu quelques déboires au cours des récits d'Axel, tout à commencé dans le chapitre 94
Il y a une suite...
... le chapitre 2
Commentez, commentez, il en restera toujours quelque chose
C'est le moment ! A vos claviers ! Qui aurait bien besoin d'une Tatie Jacqueline pour s'occuper de son cas ? A moins que nous ayons quelques Taties prêtes à donner la fessée à quelques neveu ou nièce récalcitrants ?
Bonjour JLG,
RépondreSupprimerJoli texte. J'espère que les voisins vont rentrer assez vite et vont pouvoir admirer Dorothée, les fesses à l'air. Ce genre de punition et de vexation la disciplinera, j'en suis sûre. Elle fera moins la fière, après ça. Rien de telle qu'une bonne fessée pour se tenir tranquille et respecter les consignes.
Salutations.
Elena.
Elena,
SupprimerLa reprise en mains ne fait que commencer. Elle ne peut être que très utile,malgré l'âge respectable de Dorothée.
L'arrivée des voisins... vous en saurez plus la semaine prochaine.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour JLG,
RépondreSupprimer"Tatie": mot magique de notre jeunesse. A son évocation, elle fait peur ou au contraire nous rassure.
" Si tu continues à désobéir, j'appelle Tatie !!!".
- Non, s'il te plait, Maman, pas Tatie ! Elle est trop méchante !!!"
Qui d'entre nous n'a jamais prononcé ces mots ?
Tatie reste un personnage clé dans la fantasmagorie de la fessée.
Souvent sœur de Maman, ce qui donne plus de poids à la sévérité maternelle, elle l'épaule quant ses neveux et nièces deviennent insupportables. Elle se fait une joie non dissimulée de les recadrer.
"Sales garnements ! je vais vous dresser comme il faut ! Je ne suis pas votre chère Maman ! Pas de caprices avec moi !"...
Et "mon garnement de jadis" en sait quelque chose...
Amicalement. Peter.
Peter Pan,
SupprimerQuand une amie de son âge, avec qui on partage un appartement devient sa sévère Tatie, assumant la discipline... Cela change tout ! Surtout quand cette Tatie prend son rôle très au sérieux.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour à toute (s) et tous,
RépondreSupprimerAh, l'autorité des taties tatillonnes sur la discipline! Les tantes et les cousines sont d'excellents supplétifs à l'autorité maternelle. Voire conjugale... Fessées des familles, en famille, avec toute la légitimité requise. Lorsque le polisson paraît, le cercle de famille applaudit à grandes claques sur les fesses. ( V.Hugo doit se retourner dans sa tombe!)
Dorothée, sans culotte, renonce à la révolution après quelques montées de chaleur au derrière. La punition franchit un palier quand la voici cul nu au paillasson. Après les tantes et les cousines, risquent de s'en mêler les voisins et les voisines.
JLG s'amuse à envoyer le lecteur dans toutes les directions et emboîte les situations comme des poupées gigognes. Les personnages aux fesses rouges se multiplient, sortant du chapeau comme une reproduction de lapins blancs... Les "anciens", Madame André, Bourgeois et bonne compagnie, introduisent les nouveaux, Tatie jacqueline, Dorothée, bientôt Flavine... Les fessées font le lien ou les lanières selon l'humeur et l'instrument!
Peter nostalgique, Elena énergique, tout le monde est d'accord sur les bienfaits éducatifs d'une bonne fessée déculottée!
Cordialement
Ramina
Encore un commentaire très à propos, Ramina... Tinté de fines remarques sur les pensées des uns et des autres.
SupprimerSalutations.
Elena.
Merci...
RépondreSupprimerRamina
Ramina,
SupprimerVous savez que j'ai de l'avance dans l'écriture des récits que je publie. J'ai donc un peu de recul sur le devenir des personnages et de leur imbrication. Effectivement, je trouve intéressant et riche de nouvelles situations, l'interventions d'anciens personnages dans de nouveaux récits, de déploiements pour quelques chapitres d'une tranche de vie de quelques personnages recevant ou donnant la fessée, de rencontres plus ou moins durables...
Je suis, par contre très prêteur. Si l'un des lecteurs veut devenir auteur en poursuivant les aventures de l'un ou l'autre des personnages que j'ai fait naître, ce sera avec plaisir que je verrai sa vie évoluer sans que cela soit dû à mon clavier. Avis aux amateurs.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
JLG.
RépondreSupprimerEffectivement,c'est ainsi que le personnage de Robin m'a permis d'amorcer le récit de "Ces Dames aux mains fermes"....dont les mésaventures se sont conjuguées avec celles de Gérôme, pour aboutir à une rencontre bien fessante avec Ma'am Thérez, tous deux héros de Peter Pan, qui fait apparaître Gladys dans ses illustrations.
Nous partageons avec plaisir et développons cette généreuse idée d'oeuvre collective que vous évoquez souvent dans vos commentaires.
Cordialement.
Ramina
Bonsoir Ramina,
SupprimerMerci pour votre compliment.
En effet, l'auteur apporte sa création et, comme dans un repas collectif, chacun se sert dans ce qui est proposé. On picore ça et là. Les récits empruntent des éléments pour son synopsis et les personnages s'interfèrent. De cette façon, pas vraiment de temps mort. Il y a une certaine continuité dans les récits.
Amicalement. Peter.
Je prends plaisir à lire ce long récit au point que mes fesses chauffe rien que d y penser à la fessée qui m attend samedi je me prépare cérébralement pour être puni dans 2 jours
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