mercredi 1 mai 2019

Axel au supermarché - chapitre 99


Maeva glissa lentement aux pieds de Teva. Elle tomba à genoux à son côté. Elle porta ses mains à ses fesses. C’était le seul moyen qui lui était accessible pour faire diminuer le feu qui occupait tout son fessier.
« Maeva ! Depuis quand a-t-on le droit de se masser les fesses après une fessée ? Faut-il que je vienne t’aider ? Je pense que ma main sur tes fesses serait bien plus efficace. »
Maeva cessa son geste. Une nouvelle fessée de Madame André ? Il n’est était pas question. Il fallait absolument éviter qu’elle décidât d’en venir à cette extrémité.

« Je ne suis pas certaine que cela apaisera le feu de tes fesses, mais je suis convaincue que cela t’aidera à te comporter correctement après une fessée. »
Cette réprimande relança les pleurs de Maeva. Elle posa son visage mouillé de larmes sur les genoux de sa sœur qui lui caressa doucement les cheveux. La fessée que Teva venait de lui donner était loin d’être anodine. C’était un facteur à prendre désormais en compte.
Elle savait maintenant que si Teva se décidait à utiliser régulièrement ce genre de punition, cela lui compliquerait notablement la vie. Elle ne se voyait pas souffrir un tel traitement à chaque fois que Teva l’estimerait nécessaire. L’exemple de Moana était édifiant.
Pourtant, Moana ne recevait pas souvent la fessée, mais c’était une petite fille sage et obéissante qui préférait obtenir ce qu’elle voulait par des cajoleries. Elle acceptait facilement un refus de sa mère quand elle se rendait compte qu’elle n’arriverait pas à la faire changer d’avis, d’autant plus qu’elle craignait les rares mais efficaces fessées maternelles. S’il fallait être raisonnable, comme l’était Moana pour éviter la fessée, cela ôtait beaucoup de sel à la vie.
Maeva n’avait aucune envie de laisser Teva régenter sa vie. Elle sentait bien que sa sœur bouillait intérieurement quand elle avait connaissance des frasques de Maeva et de bon nombre d’habitudes qu’elle jugeait irresponsables. Si, dorénavant, il lui prenait l’envie de punir Maeva à chaque fois, cela l’obligerait à changer bien des choses dans sa vie, ce qui représentait un effort qu’elle n’avait pas envie de faire.
Quoiqu’elle fasse, elle ne pourrait éviter toutes les punitions. Maintenant que la fessée était utilisée au travail et qu’elle devait être doublée par une autre à la maison, il est fort probable que cela lui arriverait, pas trop fréquemment, espérait-elle. La sévérité dont Madame André avait preuve lui faisait craindre que cela ne fût pas si rare que cela. Elle ferait déjà ainsi, pas mal de voyage sur les genoux de Teva qui se traduiraient par des fesses brûlantes.
Recevoir une fessée de temps en temps, plutôt rarement, si c’était le prix à payer pour que Teva lui caresse les cheveux comme maintenant, pourquoi pas, mais pas au prix d’un changement radical de ses habitudes.
Il fallait éviter que, en dehors des fessées prescrites par Madame André auxquelles Maeva ne voyait pas comment se soustraire, d’autres corrections soient imposées par Teva, de son propre chef. Il ne fallait plus qu’elle soit au courant des autres problèmes que Maeva pouvait avoir avec son environnement pas plus que toutes ses petites habitudes qu’elle n’approuverait certainement pas. Maeva résolut de se faire désormais très discrète sur tous ces points. Elle ne pourrait plus aller se plaindre auprès de Teva, mais me risque était bien trop grand que cela se retournât contre elle.

« Je vous félicite, commenta Madame André, Maeva sait maintenant ce que c’est qu’une fessée. Continuez comme cela et je vous en garantis l’effet dissuasif. Je vous parie qu’elle va faire tout ce qu’il faut pour éviter de se retrouver de nouveau à plat-ventre sur vos genoux. Lui aviez-vous déjà donné une fessée ?
– Non, c’est la première fois.
– Vous donniez pourtant l’impression d’en avoir une grande expérience, comme si vous faisiez cela régulièrement.
– Pas du tout. Et ce ne sont pas les rares fessées que je donne à Moana qui m’ont servi de modèle. Elles sont loin d’être aussi sévères. Il m’a semblé que c’était ce qu’il y avait de mieux à faire. J’étais exaspérée par son comportement. Je voulais qu’elle le comprenne.
– Vous verrez à l’usage, mais je pense qu’elle a reçu le message. Si vous la corrigez de cette façon quand elle rentrera à la maison après avoir reçu une fessée ici, je pense que nous allons avancer très vite. J’imagine déjà à quoi elle pensera quand nous la mettrons au piquet après une fessée. Elle ne pourra pas penser à autre chose, qu’aux quelques minutes qu’elle aura, le soir-même, à passer sur vos genoux.
– Oh, vous la mettez au piquet après une fessée ?
– Au piquet ou au coin, c’est selon. Y passer de longues minutes est salutaire. D’abord, cela prolonge la punition. Puis ça donne le temps de penser à la fessée qu’on vient de recevoir et à ce qu’il faudra faire pour éviter la suivante. Je trouve que les jeunes gens qui y sont mis, en profitent pleinement. Ils en ressortent prêts à s’amender.
– Vous croyez que je devrais prendre cette habitude à la maison également ?
– Bien entendu, c’est à vous de voir. Mais je suis sûre que cela ferait beaucoup de bien à Maeva.
– Tant qu’à essayer votre méthode, allons jusqu’au bout. Vous croyez que maintenant, je pourrais … N’est-ce pas trop abuser ?
– Pas du tout ! Voyez ce coin, là, il était occupé par une des collègues de Maeva, il y a quelques minutes encore. Pendant que nous réglons les derniers détails …
– Maeva, va te mettre au coin !
– Oh non, s’il te plait, Teva. Je voudrais rester là.
– Dois-je comprendre que tu désobéis encore une fois ?
– Non, non, j’y vais ! »
Maeva se leva précipitamment, elle releva sa culotte et marcha vers le coin. Elle n’eut pas le temps d’y arriver.
 « Maeva, qu’est-ce que c’est que ça ? »
Madame André avait pris sa grosse voix, celle qu’elle utilisait pour gronder.
« Je n’ai pas entendu qu’on t’ait donné l’autorisation de te reculotter. Remets-moi cette culotte où elle était ! »
Maeva regarda Madame André, puis Teva, mais leurs regards étaient sans équivoque. Maeva releva le bas de sa jupe. Elle glissa ses deux pouces sous l’élastique de sa culotte et elle la fit descendre jusqu’en bas de ses cuisses. Elle se redressa, hésitant sur ce qu’il fallait qu’elle fasse.
« C’est mieux comme cela. Va au coin, maintenant ! »
Maeva fit les trois pas qui lui restaient à parcourir. Sa démarche avait changé. Il était visible que sa culotte entravait son déplacement. Elle plaça son visage dans l’angle de la pièce, puis elle s’immobilisa.
« Dis-moi Maeva, gronda Madame André, as-tu l’impression d’avoir obéi ? N’as-tu rien oublié ? Que fait-on avec ses mains quand on est au coin ? »
Maeva s’empressa de croiser ses bras dans son dos. Elle s’immobilisa de nouveau.
« Maeva … »
La voix de Madame André était devenue clairement menaçante, mais la jeune femme ne bougea pas pour autant.
« Bon, tu l’auras voulu ! »
Madame André se leva et elle fondit sur la jeune femme. Elle releva l’arrière de la jupe et elle la coinça sous les bras de Maeva. Puis elle lui administra une bonne dizaine de claque sur chaque fessier.
« Je ne veux plus la voir bouger avant que ta sœur ou moi nous te donnions la permission de couvrir tes fesses ! »
Maeva s’était remise à pleurer.
« Et je ne veux plus t’entendre ! »
La dernière claque que Madame André lui assena alors sur les fesses était la promesse de quelque chose de plus sérieux au cas où elle n’aurait pas bien compris ce qui était attendu d’elle.
« Vous êtes également sévère, commenta Teva. Je vois que vos fessées ne doivent rien avoir à envier aux miennes. »
Elle fit une petite pause, puis ajouta :
« Je comprends à quoi ça sert de la mettre au coin. Rester les fesses à l’air sans pouvoir rien y faire, sans savoir exactement qui peut contempler son derrière dénudé !
– Voyez-vous, dit Madame André en regagnant sa place derrière le bureau, mettre Maeva au coin, ce sera lui indiquer sa vraie place quand elle est avec vous : la place que doit occuper une petite fille qui a désobéi. Elle doit montrer ses fesses afin qu’il soit clair pour tous, elle, vous et les autres personnes qui se trouveront dans la pièce, qu’elle a reçu une fessée. Cela apprend à rester humble. Vous devrez y recourir aussi souvent que possible.
– J’espère bien que je n’aurais pas à sévir trop souvent.
– Si j’ai bien compris ce que vous avez dit sur le comportement de cette chipie, j’ai bien peur qu’il faille un nombre considérable de fessées pour la remettre dans le droit chemin. »
La conversation tourna un petit moment sur la sévérité dont il fallait faire preuve à l’égard de Maeva. Madame André illustra ses propos par le récit de quelques-unes des fessées qui avaient été administrées dans la journée. La convergence de vue entre les deux femmes était de plus en plus évidente. Teva n’avait pas été très difficile à convaincre.
« Je vous promets que nous en prendrons notre part ici. Je vais passer des consignes auprès de l’encadrement. Nous surveillerons cette demoiselle très étroitement et nous ne lui laisserons pas passer le moindre écart. Cette sévérité sera nécessaire, au moins dans un premier temps. Nous verrons quand nous constaterons les premières améliorations.
– Je vous remercie. Vous faites des efforts très louables.
– Vous savez, nous aimons bien les jeunes gens qui travaillent chez nous. Nous nous sentons responsables de ce qu’ils deviennent. Leur bonne éducation nous importe. Et puis, soyons francs, nous avons avantage à disposer de personnes travailleuses et obéissantes. Je suis persuadée que le magasin n’en tournera que mieux.
– Effectivement, nous avons un intérêt commun.
– Pour être tout à fait efficace, il faut agir conjointement sur ce qui se passe dans la vie professionnelle, mais également sur tous les instants de la vie familiale. Et ça, ce sera votre partie.
– Je dois avouer que l’ampleur de la tâche m’effraie un peu. Nous avons lâché la bride de Maeva bien trop tôt. Elle a eu une vie autonome dès qu’elle eut commencé son apprentissage, à seize ans. Elle habitait dans sa propre chambre et elle y a pris de mauvaises habitudes. Beaucoup de ses penchants sont à revoir : cette manie de faire des caprices incessamment dès que quelqu’un ou quelque chose lui résiste, cette incapacité à se contraindre au minimum vital des tâches quotidiennes, cette croyance que les autres peuvent bien assurer ce qu’elle n’a pas envie de faire, ses dépenses sans compter et quand elle est à sec, c’est moi qui doit payer son loyer et j’en passe. Tenez, même les questions d’hygiène ! Elle est loin de répondre à ce qu’on pourrait attendre d’une jeune fille de vingt-huit ans. Je vais vous montrer. »
Elle se tourna vers Maeva.
« Ma chérie, viens-ici ! »
Maeva fut très attentive, tout en se déplaçant, à conserver sa jupe au-dessus de ses reins. Teva la plaça sur son côté et lui fit tourner le dos à Madame André. Elle montra le fond de la culotte de sa sœur.
« Regardez ! C’est loin d’être impeccable ! Et les fesses, c’est pareil ! »
Teva écartait les deux globes fessiers de sa sœur pour que Madame André ait une vue dégagée sur l’intérieur de la raie des fesses. A ce contact intime, Maeva crispa ses muscles fessiers, rendant l’inspection impossible. Teva réprima cette résistance par une claque sur le haut des cuisses de Maeva.
« Vas-tu me laisser faire ! »
La deuxième tentative fut la bonne.
« J’ai des doutes. S’est-elle vraiment lavée aujourd’hui ? Comme elle se couche tard et qu’elle passe une bonne partie de ses nuits sur son téléphone, elle a du mal à se lever. Quand elle trop en retard, je suis persuadée qu’elle fait sauter non seulement le petit-déjeuner, mais également la douche. »
Maeva baissait la tête. Elle avait tout d’une petite fille prise sur le fait à faire une bêtise. Sans le vouloir, elle confirmait les dires de sa sœur.
« J’ai bien peur que mon emprise sur elle soit insuffisante corriger tous ses défauts, même en lui donnant une fessée à chaque fois que je m’aperçois de l’un de ses manquements. Il faudrait être là du matin au soir.
– Et pourquoi pas, intervint Madame André ?
– C’est que je n’ai pas que cela à faire. Je ne peux pas être en permanence chez elle.
– Non, je comprends bien. Faites le contraire !
– Comment cela ?
– Avez-vous un lit de libre chez vous ?
– Oui, une chambre d’amis ou dans la chambre de Moana. Il y a de la place.
– Alors, prenez Maeva chez vous ! Vous l’aurez sous la main en permanence.
– Vous savez, c’est assez difficile de régler tous les problèmes qu’elle suscite, alors supporter ses caprices tous les soirs, je ne suis pas certaine d’en être capable.
– C’est que vous ne prenez pas en compte les changements que vous obtiendrez. Un caprice ? Une fessée et une demi-heure au coin ! Croyez-vous qu’elle va multiplier les occasions de recevoir une correction ? S’il faut la fesser deux ou trois fois par soir, les premiers jours, et bien soit ! Je parie qu’elle se fatiguera avant vous.
– Evidemment, ça change tout, déclara Teva songeuse. »
Je voyais les yeux de Maeva s’écarquiller de stupeur et d’effroi mêlés. Sa bouche était entrouverte et elle semblait au bord de l’indignation.
« Ne m’avez-vous pas dit, poursuivit Madame André, que notre Maeva avait des soucis financiers ? Un train de vie qui dépasse ses moyens ? Je vous offre une solution pour résoudre cela également. Si elle vit chez vous, plus de loyer à payer. Vous lui supprimez sa carte de crédit et son chéquier et elle ne fait des achats qu’avec votre assentiment préalable. Vous aurez juste à lui donner un peu d’argent de poche !
– Je ne regrette pas d’être passée vous voir. Je n’y aurais pas pensé. Vous avez raison ! Je ne me sentais pas à mon aise de laisser ma petite sœur s’enfoncer dans des comportements problématiques. Je le savais et je ne faisais rien. Je crois que vous m’avez apporté une solution qui ne présente que des avantages pour tout le monde ! »
Elle fit faire un quart de tour à Maeva pour la tourner vers elle.
« Maeva, c’est décidé ! Dès ce soir tu vas venir habiter chez moi. Ce sera plus pratique pour te surveiller.
– Non, Teva, c’est inutile. Je ferai attention. Je vais faire des efforts, Je serai sage !
– C’est exactement cela, mais cela se passera chez moi. Je serai plus certaine de tes progrès quand je t’aurai sous la main vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
– Mais ce n’est pas possible, mon logement …
– Dès demain je lui envoie un courrier pour l’informer que nous lui rendons l’appartement. Nous aurons le temps de déménager tes affaires avant la fin du préavis.
– Mais Teva, je vais vous gêner, toi et Moana et puis …
– Je ne veux plus rien entendre. C’est inutile de gaspiller ta salive. C’est décidé !
– Mais je ne veux pas ! Je ne suis pas d’accord !
– D’accord ou pas, peu m’importe ! Tu vas venir habiter à la maison.
– Non, Teva, je n’irai pas !
– Attention Maeva, pas de colère !
– Non, j’ai dit non, c’est non ! »
Maeva tapa du pied par terre.
« Je t’avais prévenue ! »
Teva attrapa Maeva par le bras. Elle l’amena à ses pieds et tirant sa main vers le bas, elle l’obligea à se courber au-dessus de ses genoux. Alors elle pesa sur son dos et Maeva tomba en travers de ses genoux. Cette dernière s’était aperçue de son erreur.
« Non, non, faisait-elle. »
Mais elle ne faisait rien pour empêcher sa sœur de la mettre en bonne position pour recevoir sa fessée. Les avertissements de Madame André avaient fait leur chemin dans sa tête. Nul besoin de lui baisser la culotte, elle était déjà au niveau de ses genoux. Teva eut juste le mal de retrousser la jupe qui, dans le mouvement, était retombée.
J’avais cru que Teva avait donné toute sa force dans la précédente fessée. Il n’en était rien. Les deux ou trois premières applications de la main de Teva sur les fesses de sa sœur y laissèrent une trace dans laquelle on pouvait distinguer la forme de la main. Puis, la fessée continuant, toute la peau prit rapidement une couleur rouge qui ne cessa de se renforcer.
Teva ne se fatiguait pas. Ces quelques premières fessées devaient donner le ton de toutes les suivantes. Il était nécessaire que Maeva comprenne que passer un moment sur les genoux de sa sœur, cela n’aurait rien d’agréable et qu’elle en sortirait avec les fesses douloureuses pour un bon moment. Il fallait également que soit acquis que toute désobéissance et tout caprice conduiraient tout droit à la fessée. Maeva devait craindre les punitions de sa sœur, elle devait, à l’avenir, tout faire pour les éviter, c'est-à-dire proscrire toutes les situations qui mériteraient une correction.
Teva regardait sa sœur se livrer à une gesticulation désordonnée sur ses genoux. Si ce n’avait été le sérieux de la situation, elle en aurait souri. Ses jambes partaient dans tous les sens, mais elles ne venaient jamais croiser le trajet de la main de Teva. Ses deux mains étaient agrippées, l’une à un des pieds de la chaise, l’autre tenait le mollet de sa sœur. En moins d’une journée et un nombre de fessées se comptant sur les doigts d’une main, elle avait intégré les limites à ne pas dépasser lors d’une correction.
Quand Teva fut certaine que les sanglots de Maeva signifiaient un sincère repentir, elle jugea la punition suffisante. Elle posa sa main sur les fesses enflammées de sa sœur. Graduellement, les mouvements de Maeva cessèrent. En quelques dizaines de secondes, elle avait grandement diminué le niveau sonore de ses manifestations de douleur. Teva décida d’accélérer les choses.
« Maintenant Maeva, tu ne fais plus de bruit. Tu peux continuer à pleurer, mais en silence. Je vais te garder un peu sur mes genoux. »
Madame André et Teva reprirent leur conversation. Elles échangèrent encore pendant quelques minutes sur les vêtements que porterait désormais Maeva, sur ses horaires de coucher et sur une limitation drastique de ses sorties sans le chaperonnage d’une personne qui exercerait une pleine autorité sur elle. Il fut convenu qu’elle n’aurait plus l’usage de son téléphone pendant un mois, puis qu’il lui serait rendu, mais avec un contrôle strict de son utilisation.
Maeva, allongée sur les genoux de sa sœur s’était peu à peu calmée. Ses pleurs s’étaient taris. Teva avait écarté les jambes ce qui avait donné une base plus confortable à Maeva. Elle n’avait plus aucune envie de contredire Teva. Elle écoutait d’une oreille distraite les dernières décisions qui la concernaient pourtant au premier chef.
Teva avait pris en charge l’autorité. Les deux tentatives pour y résister s’étaient soldées par deux échecs cuisants. Elle serait donc fessée au travail et à la maison dans laquelle elle allait désormais habituer avec sa sœur et sa nièce. C’était sans doute mieux comme cela. Bien sûr, il y aurait d’autres fessées. C’était inévitable. Maeva savait qu’elle n’était pas au bout de la découverte des exigences de sa grande sœur.
Elle découvrait également le bien-être que procurait les cajoleries de Teva : sa main qui caressait lentement ses fesses et le haut de ses cuisses, le léger bercement qu’avait adopté Teva, la main qui en lui repositionnant les cheveux derrière l’oreille, avait effleuré sa joue. Elle découvrait qu’être sur les genoux de Teva ne signifiait pas seulement la fermeté de sa main claquant douloureusement les fesses, c’était aussi la douceur d’un câlin.
Bien que sa jupe relevée et sa culotte baissée laissaient apparentes ses fesses, Maeva se sentait en sécurité. Elle mit son pouce dans sa bouche et commença à le sucer.



Pour suivre le fil de cette histoire :

Comprendre le contexte : l'introduction

Le premier épisode : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 98

Le prochain épisode ... c'est le chapitre 100

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4 commentaires:

  1. Bonjour,
    Teva fesse Maeva. Fessées polynésiennes ? En tout cas, ça claque autant et aussi souvent. Les leçons de fessées continuent sur un ton exotique mais pas moins rigoureux. Madame André et Teva discutent tranquillement. On papote, culture et tradition de la fessée pendant que Maéva cuve la sienne sur les genoux de sa soeur. Après l'effet cuisson le contre effet câlin, pa-patte en rond.
    Le monde serait il plus serein les fesses rouges ?
    Cordialement
    Ramina.

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  2. Ramina,
    J'espère que vous n'avez rien contre les fessées polynésiennes... compte tenu de la suite qui est déjà écrite. Une grande sœur qui prend en charge l'éducation de sa petite sœur, rien d'étonnant, non ?
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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  3. JlG
    Bien sûr que non... Fratrie solidaire. Dans notre univers, la fessée est universelle, à géométrie variable et aussi variable d'ajustement du comportement...
    Alors... sévérité et persévérance.
    Cordialement
    Ramina

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    Réponses
    1. Ramina,
      Vous devriez avoir bientôt quelques exemples de sororité solidaire. Maeva semble en avoir le plus grand besoin.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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