samedi 4 mai 2019

Axel au super marché - chapitre 100

Tatie Nathalie fit son apparition à ce moment-là.
« Bonsoir ! J’ai profité que deux personnes soient sorties quand j’arrivais, pour entrer sans sonner. Quand je leur ai dit que j’étais la tante de Florence et d’Axel, cela a fonctionné comme un sauf-conduit. Elles m’ont dirigé vers votre bureau. »
Maeva, pourtant toujours aussi exposée ne sursauta même pas au son de cette voix nouvelle. Elle respirait régulièrement, indifférente à ce qui l’entourait et régulièrement, son pouce toujours dans la bouche, elle se nichait plus étroitement sur les genoux de sa sœur.

« Ah, je vois qu’il y a eu une séance de fessée dont a bénéficié la demoiselle. »
Madame André fit les présentations.
« Je vous prie de m’excuser, reprit Tatie Nathalie, j’interromps sans doute une conversation.
– Pas du tout, répondit Teva. Il est temps que nous rentrions, n’est-ce pas ma chérie ? Passer chez toi chercher ton nécessaire pour quelques jours, prendre le temps de te donner la fessée que tu as en compte, t’installer dans ton nouveau lit, nous avons une soirée chargée. »
Teva remonta la culotte de Maeva et d’une petite claque sur les fesses, elle lui indiqua de se lever. Maeva, dérangée dans son confort, grogna. La main de Teva partit aussitôt et elle claque à la jonction de la culotte et du haut de la cuisse.
« Aïe, clama Maeva !
– Encore un caprice ?
– Non, non fit Maeva en se levant aussi vite qu’elle le put. »
Sa jupe était retombée dès qu’elle fût debout, mais sa main, frottant ses fesses là où sa sœur venait de la fesser, soulevait l’arrière de sa jupe, dévoilant le haut de sa cuisse et la moitié de sa culotte. Elle semblait avoir perdu toute notion de pudeur.
« Va faire un bisou à tout le monde pour dire au revoir ! »
Maeva fit le tour de l’assemblée. Elle frottait encore ses fesses quand elle arriva à Madame André qui lui donna une tape sur la main qui soulevait sa jupe.
« Je t’ai dit qu’il était interdit de se frotter les fesses après une fessée ! »
Puis, Madame André souleva elle-même l’arrière de la jupe et rajouta une bonne claque sur le fond de la culotte.
« Aïe, cria Maeva ! »
Puis Madame André prit la jeune femme dans ses bras. Elle la serra contre sa poitrine.
« Seras-tu sage demain, ma grande fille ?
– Oh oui Madame !
– Et si tu ne travailles pas bien, que se passera-t-il ?
– J’aurai une fessée, Madame !
– Exactement, une bonne fessée déculottée. J’espère que tu vas être obéissante avec Teva. Si tu fais des caprices, elle te donnera la fessée. Il y a une chose qui est interdite, c’est d’essayer d’empêcher Teva de te punir. Si tu fais cela, Teva me le dira et c’est moi qui me chargerai de t’en faire passer l’envie. Désormais, Teva a le droit de te déculotter et de te fesser quand elle juge que ce sera nécessaire. Tu la laisseras faire ! Est-ce compris ?
– Oui, Madame. »
Madame André glissa sa main sous la jupe de Maeva et elle lui tapota les fesses.
« C’est l’heure de partir ! Teva t’attends ! »
J’eus la nette impression qu’elle quittait avec regret les bras de Madame André.

« Comment se sont comportés mes deux galopins ? »
Les nouvelles dont lui fit part Madame André ne réjouirent pas particulièrement Tatie Nathalie.
« Combien de fessée as-tu reçues, Axel ?
– Quatre, dis-je en baissant la tête.
– Et toi, Florence ?
– Cinq, Tatie.
– Bon, ce seront autant de fessées que vous recevrez avant de vous coucher. Je suis désolée, dit-elle en se tournant vers Madame André, qu’ils vous aient donné tant de mal.
– Ne croyez pas cela. Bien sûr, ils ont été fessés mais c’est assez normal que nous ayons été sévères. Je regrette, au contraire qu’ils ne soient plus parmi nous demain. Nous nous étions tous habitués à leur présence. »
Cette déclaration rendit un petit sourire à Tatie Nathalie.
– Si vous avez l’occasion de leur refaire faire un séjour ici, n’hésitez pas. Nous les accueillerons bien volontiers. C’est Geneviève et Madame Bourgeois qui en seront ravies. Ils vont leur manquer ! »
J’avais un sentiment mitigé. Passer une journée sous la tutelle de Madame André et de son encadrement, c’était la certitude de recevoir quelques sérieuses fessées. D’un autre côté, j’avais été intégré à cette communauté de travail et c’était comme si je quittais des amis, sans espoir de les revoir.
J’avais les larmes aux yeux quand je fus invité à aller remercier Madame André. Florence et moi, nous eûmes également le droit à un câlin dans ses bras. Puis il fallut partir.
Madame André nous suivait de près. Elle embarquait avec elle les deux derniers punis de la journée qui furent invités à monter dans sa voiture. Je les perdis de vue à la sortie du parking.


Madame André gara sa voiture le long du trottoir en face de la maison où vivaient Jérôme et sa famille.
« Dehors les garçons !
– Moi aussi, questionna Joël ?
– Toi aussi, je ne te laisse pas dehors sans surveillance. »
C’est la Maman de Jérôme qui vint ouvrir.
« Je vous remercie d’être passée me déposer Jérôme. Je tenais absolument à avoir un sérieux temps d’échange avec vous. Mais entrez donc ! »
Elle invitait Madame André à s’installer dans le coin salon de la pièce de séjour. Celle-ci poussa Joël dans le dos pour qu’il la précède. Elle lui indiqua le bout du canapé.
« Tu t’assois là ! »
Joël ne discuta pas. Jérôme avait filé dans une autre direction.
« Jérôme, lui dit sa mère, tu reviens ici. Ce dont j’ai à discuter avec Madame André te concerne ! »
Cette demande resta sans effet.
« Jérôme, cria de nouveau sa mère !
– Oui, j’arrive tout de suite ! Attends un peu, je regarde mes messages !
– Vous voyez, dit-elle en se tournant vers Madame André, c’est tous les jours comme cela !
– Voulez-vous que je m’en occupe ?
– Si vous y pouvez quelque chose … »
Madame André la regarda un instant fixement.
« Voyons voir cela ! »
Elle se plaça dans le couloir.
« Jérôme, tu descends tout de suite, à moins que tu ne préfères que je monte te chercher ?
– Non, non, je viens, je viens. »
Son ton de voix avait changé. Il n’y avait plus de trace de la nonchalance avec laquelle il avait répondu à sa mère. Cependant, il n’obtempérait toujours pas à l’ordre de Madame André.
« Jérôme, je monte !
– Non, non, me voilà ! »
Il apparut quelques secondes plus tard.
« Tu t’assois là, à côté de Joël ! »
Il montrait un empressement certain à obéir.
« Comment faites-vous cela, s’extasia la mère de Jérôme ?
– En fait , c’est assez simple. Je vais vous montrer. »
Madame André retourna une des chaises qui étaient autour de la table. Elle s’y assit.
« Jérôme, je t’attends ! »
A la vue de ces préparatifs, le jeune homme pâlit. Il avait compris ce qui se préparait.
« Non Madame, je ne le ferai plus. Attendez, je …
– Une nouvelle désobéissance, Jérôme ?
– Non, pardon, non ! »
C’est presque en courant que Jérôme vint se placer debout devant Madame André.
« Dis-moi, mon garçon, peux-tu m’expliquer pourquoi a-t-il fallu que je t’appelle deux fois avant que tu ne descendes comme je te le demandais ?
– Je descendais tout de suite, mais …
– Si je comprends bien, c’est de ma faute, parce que j’ai été impatiente ?
– Non, je ne voulais pas dire cela. Je, … je …
– Si ce n’est pas moi qui ai été responsable de ton retard, c’est donc toi. Sommes-nous d’accord ?
– Oui Madame.
– Que faisais-tu ?
– Je regardais mes messages sur mon ordinateur, Madame.
– Donc tu faisais autre chose que ce que je t’avais ordonné de faire ? C’est bien cela ?
– Euh, … je … Oui Madame.
– Disons-le autrement : tu as désobéi.
– Non, ce n’est pas …
– Attention au mensonge, mon garçon ! Alors, as-tu désobéi ? »
Jérôme cherchait une porte de sortie, mais il n’y en avait pas. Les quatre ou cinq petites secondes qu’il prit avant de répondre, n’y changèrent rien.
– Oui Madame.
– Il me semblait bien à moi aussi. Il faut donc en tirer toutes les conclusions. Que méritent les garçons qui désobéissent ? »
La réponde de Jérôme était inaudible.
« Plus fort, s’il te plait !
– …une punition.
– Ne tourne pas autour du pot, comme cela. De quelle punition s’agit-il ?
– Une fessée Madame.
– Exactement ! Une bonne fessée déculottée pour leur apprendre à ne pas recommencer ! »
La stupéfaction se peignit sur le visage de la Maman de Jérôme. Elle n’était pas encore au bout de ses surprises. Madame André attrapa le garçon qu’elle avait devant elle par la ceinture et elle le rapprocha à toucher ses propres genoux. Puis, sans plus d’explication et sans que Jérôme fît quoique ce soit pour s’y opposer, elle lui déboucla la ceinture.
Jérôme haletait. Il regarda sa mère, mais ne put soutenir son regard. Elle était partagée entre l’incrédulité et le triomphe. Elle avait compris où Madame André emmenait son fils. Jamais elle n’aurait cru possible de le soumettre à une punition aussi éclatante. Elle entrevoyait une solution, jusqu’alors inenvisageable, aux difficultés de cohabitation avec son grand garçon.
Madame André avait défait le pantalon. Elle l’accompagna jusqu’à ce qu’il soit tombé sur les mollets de Jérôme. Le jeune homme avait fermé les yeux. Cela ne l’empêcha pas de sentir les doigts de Madame André qui se glissaient sous l’élastique de sa culotte et qui firent descendre le sous-vêtement en bas de ses cuisses.
« Mets-toi ici ! »
Madame André le prit par le bras. Elle lui fit contourner ses pieds, à petits pas, et elle le plaça sur son côté droit.
« Voyez-vous, Madame, je crois qu’il faut toujours aller au bout de ce que l’on promet. J’ai dit à Jérôme que toute désobéissance aurait de douloureuses conséquences pour ses fesses. Il m’a désobéi, il va donc avoir une fessée. »
Madame André coucha Jérôme en travers de ses genoux. Elle lui administra une première longue série de claques dont Jérôme confessa la sévérité par des cris désespérés.
« Ainsi, continua Madame André, il sait que quand je lui demande de faire quelque chose, c’est toujours très sérieux. C’est que je juge que c’est important. Il connait, à l’avance, ce que coûte de négliger mes demandes. »
La fessée reprit aussi forte qu’avant. Les jambes de Jérôme étaient entrées dans la danse.
« Soyez certaine que quand il a dû danser et chanter sur les genoux d’une personne comme il le fait en ce moment, il prend ensuite toutes ses demandes pour des priorités. »
La main de Madame André recommença à rougir les fesses de Jérôme. Les cris du jeune homme se terminèrent en sanglots. Madame André insista encore un peu, puis elle fit une pause.
« Comment avez-vous réagi la dernière fois qu’il ne vos a pas écoutée ?
– Et bien, … J’ai haussé le ton et je l’ai menacé.
– Et de quoi ?
– De le mettre à la porte.
– L’auriez-vous fait ?
– Non, bien sûr ! Je n’en avais pas l’intention.
– A-t-il obéi ?
– Non, il a fait comme s’il ne m’entendait pas.
– Est-ce la seule fois où cela s’est produit ?
– Non, c’est très courant. Presque tous les jours !
Madame André prit un petit moment de réflexion. Puis, caressant les fesses de Jérôme, elle lui dit :
« Nous allons changer tout cela, mon grand, n’est-ce pas ? »
Et reportant son attention vers la Maman de Jérôme, elle lui exposa le fruit de ses réflexions.
« Jérôme sait que vous ne le mettrez jamais à la porte. Vos avertissements sont donc inutiles. Vous allez passer à un autre genre de menace. Vous lui promettrez une fessée à chaque fois que vous serez mécontente de son comportement et … vous la lui donnerez réellement.
– Que je lui donne une fessée ? Je ne saurai pas faire, je n’ai jamais fait ! Mais il est trop grand ! C’est pour les enfants !
– Exactement ! Une fessée comme à un enfant désobéissant. C’est de cette façon que Jérôme se comporte. Il lui est donc très profitable d’être puni comme un enfant. C’est ce dont il a besoin et vous le lui refusez. Regardez-le ! Avez-vous vraiment l’impression que ce jeune homme allongé sur mes genoux est trop grand pour avoir reçu la fessée que je viens de lui donner ?
– Non, c’est vrai. Vous avez raison !
– Regardez comme il est obéissant !
– Oui, je ne l’ai plus vu comme cela depuis longtemps.
– N’auriez-vous pas envie qu’il en soit ainsi tous les jours ?
– Ce serait parfait.
– Alors vous allez vous y mettre ! Dorénavant, à chaque désobéissance de Jérôme, vous lui donnerez une fessée.
– Et … et s’il ne veut et qu’il ne se laisse pas faire ?
– Evidemment qu’il ne voudra pas ! Etre déculotté et fessé par sa Maman à plus de vingt ans, ce n’est ni très agréable, ni très valorisant. A cet âge-là, on croit que plus personne ne peut nous imposer des règles, que les punitions sont derrière nous. Hélas, ou plutôt heureusement, il s’est rendu compte aujourd’hui que la vie ne fonctionne pas comme cela. »
Il y avait encore plein de doute dans les mimiques de la Maman de Jérôme.
« N’ayez-crainte. Il vous laissera faire !
– Vous croyez ?
– Oui, pour deux raisons. Tout d’abord parce que vous comme moi n’allons pas lui donner le choix. J’ai les moyens de pression, au travail, pour qu’il ne prenne pas le risque d’un refus. Les conséquences sur sa vie future seraient trop graves. Jérôme sait que s’il refuse une fessée de votre part, vous m’en informerez et je lui en donnerai une bien plus sévère et nous continuerons ainsi jusqu’à ce qu’il cède. »
La Maman de Jérôme hocha la tête. Elle commençait à voir comment s’instaurerait une nouvelle discipline pour son fils.
« Mais je crois surtout qu’il acceptera les fessées que vous déciderez de lui donner parce qu’il en a besoin. Cela fait plusieurs années qu’en refusant de vous obéir, il espère que vous prendrez les choses en main. Il compte sur vous depuis si longtemps pour lui imposer ce à quoi il ne sait pas s’obliger lui-même. Il n’avait probablement pas envisagé que cela se traduirait par des fessées, mais cela c’est à vous d’en décider, pas à lui. »
La Maman de Jérôme approuvait.
« Toutes les conditions sont réunies. Il n’a pas la possibilité de se dérober aux châtiments qui l’attendent, il va trouver en face de lui une Maman bien décidée à ne rien lui passer et enfin, la fessée vient d’entrer dans son univers comme une punition légitime, même si on pense qu’on est trop grand pour la recevoir.
– Ah oui, et bien …
– Il reste encore un obstacle à passer. Le plus difficile, c’est la première fessée. Quand il aura pris l’habitude que vous le déculottiez, que vous le positionniez pour recevoir la fessée et que la vigueur de la correction lui fasse regretter sa bêtise, cela ira tout seul. Cela fera partie des normes familiales. Il faut donc que vous lui donniez une fessée maintenant.
– Maintenant ?
– Oui, maintenant ! »
Madame André ne laissa pas le temps aux objections de naître dans la tête de son interlocutrice.
« Debout Jérôme ! Va voir ta Maman, elle a quelque chose à te dire. »
La Maman de Jérôme avala difficilement sa salive le temps que son fils arrive à ses côtés. L’émotion était aussi forte pour l’un que pour l’autre.
« Jérôme, tu as été désobéissant. Cela mérite une fessée. ! »
La voix n’était pas assurée.
« Non Maman, non ! Je vais t’obéir maintenant ! Pas de fessée, s’il te plait !
– Trop tard, mon garçon ! Il fallait obéir tout à l’heure !
– Pas la fessée !
– Allons, par ici ! »
Comme sa Maman le prenait par la main, Jérôme eut un geste de recul. Madame André se racla la gorge. Jérôme la regarda, puis il laissa sa Maman le coucher sur les genoux maternels.
« Non, pardon, je vais être sage, … je ne le ferai plus … je vais t’obéir si tu ne me donnes pas la fessée !
– Qu’est-ce que c’est que ce chantage ? Bien évidemment que tu vas m’obéir ! Et ce sera après avoir pris ta fessée. »
L’indignation était revenue dans le ton de voix de la Maman de Jérôme. Elle avait retrouvé toute son assurance.
« Encore un mot et tu auras une deuxième fessée dès ce soir ! »
Cette dernière menace arrêta la protestation naissant dans la bouche de Jérôme. Son hésitation régla la question. La fessée commença, il eut alors bien d’autres préoccupations. Ses cris ne lui laissèrent plus la possibilité de formuler des exigences.


Maman donne la fessée déculottée



C’était la première fois que la Maman de Jérôme donnait la fessée, prétendait-elle. Il faut croire que c’était une question d’instinct, d’instinct parental à moins que ce ne soit maternel. Elle faisait cela naturellement, avec une certaine maestria.
Elle avait enfin l’occasion d’exprimer sa frustration due à la difficulté de cohabitation avec son fils. Plus important encore, il n’y aurait plus jamais de frustration. Cette période de sa vie était derrière elle, elle s’en faisait le serment.
Son adorable petit garçon qu’elle avait choyé mais dont les caprices agaçaient tout leur entourage, s’était peu à peu transformé en un grand garçon qui faisait des colères auxquelles elle cédait systématiquement, puis en un adolescent contestant son autorité, pour finir en un adulte indifférent à tout ce qu’elle disait et encore plus à ses requêtes.
Elle avait le sentiment d’enfin accomplir son devoir de mère, même si c’était tardif. Elle pourrait poser des exigences de bon sens auxquelles son garçon devrait se conformer, sous peine de fessée. Elle pourrait enfin lui inculquer les notions de base de rangement, de politesse, d’obéissance qu’elle avait failli à lui apprendre.
Elle se doutait que même les questions d’hygiène et de propreté étaient à reprendre. Jérôme, dès l’âge de dix ans, bien qu’il ne soit pas très attentif à sa toilette, avait refusé toute supervision de sa mère. Elle savait que le rythme de lavage des vêtements de son fils était incompatible avec un change régulier des sous-vêtements qui lui revenaient souvent dans un état de propreté limite, en particulier la culotte.
Elle sentait confusément que donner la fessée à son fils les rapprocheraient. Elle entrerait de nouveau dans son intimité. Cela faisait une éternité qu’elle n’avait pas senti le contact du corps de son garçon contre le sien. Elle ne se rappelait plus de la dernière fois où sa main avait touché une autre partie du corps de son fils que sa main, et encore, souvent pas accident. Si elle en croyait Madame André, et elle était encline à le faire, Jérôme avait besoin autant qu’elle de ces attentions. Elle éprouvait fortement le besoin de prendre son petit garçon sur ses genoux et de le serrer dans ses bras pour le consoler.
« Soyons sérieuse, finissons la fessé d’abord, se dit-elle. »

Jérôme profitait pleinement de la fessée que lui donnait sa Maman. Dès que la main de sa mère eût laissé les premières marques brûlantes sur ses fesses, il sut que son univers venait de basculer. Puis, la seule pensée cohérente qu’il put formuler, consistait à supplier que la claque qui venait de renforcer le feu sur ses fesses, serait la dernière. Mais il y en avait toujours une autre.
Il avait une envie, presque irrépressible, de porter la main à ses fesses pour les protéger. Mais il savait qu’il n’en avait pas le droit et l’interdiction, renforcée par la présence de Madame André, était la plus forte. Il n’éprouvait pas le besoin de se révolter contre ce châtiment, bien qu’il fût douloureux et humiliant. Tout cela était flou, mais il percevait que la fessée était méritée et qu’il en avait besoin pour repartir sur de nouvelles bases dans la relation avec sa mère Il voulait bénéficier d’une supervision maternelle, à la fois bienveillante et intransigeante, Tout ce à quoi il n’avait jamais réellement eu accès.
Quand la fessée prit fin, il ne s’en rendit pas vraiment compte. La cuisson sur ses fesses continuait à augmenter. Puis, peu à peu, il prit conscience que la main de sa mère était posée sur son fessier et quelle ne venait plus ajouter à la fournaise qu’étaient devenues ses fesses. Il en éprouva un soulagement et une gratitude envers sa mère, sentiment qui l’étonna tant il était nouveau envers l’auteure de ses jours.
Ce fut un moment étrange. Il ressentait de la honte non seulement à se trouver dans une tenue aussi impudique, mais surtout à avoir eu un comportement qui lui avait valu une fessée. Mais il percevait également la douceur dont sa mère l’entourait qui se matérialisait par la main qui reposait sur ses fesses. Sur les genoux maternels, il se sentait protégé, comme il ne se rappelait plus l’avoir été. Ces deux sentiments contradictoires créaient un mélange nouveau qui n’était pas désagréable.
Hélas, il ne dura pas.
« Vous devriez le mettre au coin après une fessée. Il faut qu’il ait le temps de réfléchir à sa bêtise et à la punition. Vous aurez alors tout le temps de le câliner, quand il sera entendu que l’obéissance sera désormais la règle.
– Je vais suivre vos avis. Ils ont été jusqu’à maintenant, fort judicieux. Debout mon garçon ! »
Le début de grognement fut sanctionné par une claque sur les fesses.
« Qu’est-ce que c’est ? »
Jérôme ne répondit pas, mais il se hâta de retrouver la position debout.
« Va te mettre au coin, là-bas ! »
Docilement, Jérôme alla s’y placer, obéissant aux ordres de sa Maman.



Avec un dessin de Peter Pan en illustration !


Pour suivre le fil de cette histoire :

Comprendre le contexte : l'introduction

Le premier épisode : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 99

Le prochain épisode ... c'est me chapitre 101

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C'est par ici

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4 commentaires:

  1. Bonjour,
    Ressources inépuisables... JLG centième!!!
    Centième fessée peut être bien aussi. La distribution est tellement généreuse à chaque chapitre qu'on a du mal à savoir. On ne sait plus où donner de la fessée !
    Teva s'occupe des fesses de sa petite soeur avec une bienveillante attention toute maternelle. Presque touchant!
    Madame Andrée elle, sait très bien repérer les failles d'éducation, les mauvais comportements et montre comment y remédier. Une fessée vaut mieux que deux fessées tu l'auras... La maîtresse femme est dans la transmission de savoir fesser. Les leçons sont gratuites et la maman qui n'osait pas, finit par s'y mettre et corriger le fiston avec efficacité.
    Et toujours cette douce et affectueuse rédemption maternelle après la fessée. Finalement charmant.
    C'est le printemps les formes des fesseuse et des fessés de Peter s'arrondissent... Silence, ça pousse ... et ça fesse!
    Cordialement.
    Ramina

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    1. Ramina,
      Je ne sais pas si c'est épuisable, mais pour l'instant il y a un peu de stock.
      En ce qui concerne Axel, nous touchons au bout, mais pour rebondir sur d'autres histoires avec d'autres personnages brièvement apparus dans celle d'Axel.
      Vous me direz ce que vous en pensez.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. JLG
    Mais bien sûr avec le même plaisir que celui de la lecture!
    Ramina

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  3. Je les adore moi ces récits.
    Ah que n'ai je eu une madame Andrée puis une Caroline pour me fesser aussi souvent que e le méritais.

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