Un jeune homme au pair ?

Oh, non, non, non ! Ce n'est pas comme cela que notre cohabitation va se passer. J'ai vraiment l'impression que tu as mal compris les termes de notre accord. Je pense avoir été pourtant tout à fait claire : tu es un jeune homme au pair.

C'est pourtant simple. Je te fournis une chambre et tu es nourri gratuitement, mais en contrepartie, tu as certaines tâches à faire. En tout premier lieu, tu as la responsabilité d'entretenir ta chambre. Je ne crois donc pas qu'il entre dans ma responsabilité de ranger tes affaires et de faire ton lit tous les matins. Une semaine que tu es là et j'ai pourtant dû m'en charger tous les jours.

En deuxième, tu dois sortir les poubelles tous les soirs. L'as tu fais hier ? Tu n'as pas pu, tu n'es rentré qu'au petit matin. Je ne sais pas ce que tu avais consommé, mais tu n'avais pas les idées très claires, pas assez pour être capable de porter un sac poubelle sur le trottoir.

Et enfin, tu dois m'assister dans mes courses. Le week-end dernier, tu n'avais, soi disant, pas le temps. J'ai dû me débrouiller toute seule et j'ai cru comprendre que tu n'avais pas plus l'intention d'honorer tes obligations la semaine prochaine.

Je ne compte pas le désordre que tu laisses partout dans la maison, tes levers au dernier moment et ta mauvaise humeur chronique, ni les gros-mots dont tu ponctues quasiment toutes tes phrases et je ne vois pas quand tu aurais le temps de travailler tes cours de BTS, compte tenu de la vie que tu mènes.

J'en suis arrivée à une conclusion très simple : tu n'es pas assez mature pour assumer les responsabilités qui sont, normalement, les tiennes. Je n'ai pas l'intention de devenir la vieille dame acariâtre qui rouspète tout le temps après le jeune homme qui loge chez elle, parce qu'il ne respecte pas sa part de contrat.

Je suis persuadée que je pourrais m'y escrimer pendant plusieurs années, que ça ne changerait rien. Non, nous allons faire bien plus simple. Puisque tu tiens à rester mais que tu ne sais pas en respecter les contraintes, nous allons changer tout cela. A compter de ce soir, tu n'es plus un jeune homme au pair. Je te retire toutes les obligations que tu devais assumer.

En revanche, je te considère, à partir de maintenant, comme un garçon dont j'ai l'entière responsabilité, un peu comme si tu étais mon fils ou mon neveu, un grand garçon qui vit chez moi, qui n'est pas capable de se prendre en charge tout seul et qui a besoin d'une Maman de substitution pour lui dire ce qu'il doit faire.

Bien évidemment, je prends aussi en charge la discipline et les punitions qui vont avec. A chaque fois que je serai mécontente de ton comportement, de ce que tu as fait ou n'as pas fait, à chaque désobéissance, à chaque négligence, tu auras une fessée.

Comme tu peux le voir, quand je donne la fessée à un grand garçon comme toi, je baisse la culotte. Cela va t'apprendre l'humilité. Après tout, tu te comportes comme un petit garçon, il n'y a donc aucun souci à te déculotter. Au contraire, je pense que cela te fais du bien et si je veux te donner des fessées qui fassent impression, ce n'est pas en te fessant sur le fond du pantalon que j'y arriverai.

Puisque tu n'en es pas capable, c'est moi qui déciderai, désormais, de tout ce qui te concerne. Je vais m'y prendre comme ta Maman aurait dû le faire quand tu étais plus petit. Nous allons mettre en place des règles que tu devras suivre à la lettre.

Tu vas voir comment tu vas vite apprendre à ranger tes affaires. Chaque fois que tu laisseras traîner quelque chose, une fessée. Nous allons changer tes horaires de coucher et de lever. Vingt-et-une heures trente, ce sera l'horaire le plus tardif où tu iras au lit, seulement quand tu n'as pas école le lendemain. Les autres jours, ce sera plus tôt. Tu pourras te lever plus tôt et prendre le temps, chaque matin d'avaler un petit-déjeuner qui se respecte et de faire correctement ta toilette.

A ce propos, fini les passages éclair dans la salle de bains. Tu prendras une douche tous les matins, j'y veillerai. Je n'ai pas l'impression que ta Maman t'ait appris à te laver correctement. Ou alors, tu as oublié. Avec moi, tu seras propre tous les matins. S'il le faut, je te donnerai la douche moi-même.

Puisque que, maintenant, tu vas rentrer à la maison tout de suite après la fin de tes cours, tu auras tout le temps de faire tes devoirs et d'apprendre tes leçons. Tu ne crois tout de même pas que tu vas avoir ton BTS, ni même passer en deuxième année, en faisant aussi peu d'effort ? Je contrôlerai ton travail et tu me réciteras tes leçons chaque soir. A chaque note en dessous de douze, ce sera une fessée. Tu vas vite retrouver de l'intérêt à ton travail scolaire, je te le promets.

Dès que j'en aurai terminé avec cette fessée, tu vas aller au coin. Je crois utile, après une correction, que tu aies le temps de réfléchir à ce qui l'a provoquée et aux changements que tu dois apporter  tes façons de faire. Quoi de mieux qu'un bon moment en pénitence, le nez dans l'angle du mur ?

Bien évidemment, ta culotte restera là où elle est actuellement. Cela te fera comprendre que ta punition n'est pas achevée et qu'elle peut reprendre à n'importe quel moment, par exemple si tu ne te fais pas oublier dans ton coin : pas un mouvement, pas un bruit.

Avec le nombre de personnes qui passent chaque jour dans cette maison, ne te fais pas d'illusion. Comme je ne te mettrai pas au coin que dans ta chambre, il y a de fortes chances que plusieurs personnes aient l'occasion de contempler tes fesses rougies par mes soins.

De toute façon, je n'ai pas l'intention de cacher la façon dont je te punis, ni même d'observer la moindre discrétion. tu auras la fessée déculottée là où tu en as besoin et quand tu l'as méritée. Je n'attendrai pas d'être de retour à la maison, ni que nous soyons en privé.

C'est à toi d'être suffisamment sage et obéissant et de maîtriser ton comportement si tu ne veux pas être puni devant témoins. Cela te fera le plus grand bien !

Grand merci à Franco !

Chez Franco, les jeunes gens ont intérêt à bien se tenir. Ces dames d'âge mûr ont la main leste.

Quand les logeuses prennent les choses en mains

             

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