Ils avaient à peine franchi le
seuil de la maison que l’ordre redouté, mais attendu, fusa.
« Mettez-vous tous les deux
chacun dans votre coin. »
Il n’y avait pas à se méprendre.
C’est d’un moment de pénitence dont il était question, dans l’attente de la
première fessée de la soirée. Ni Florence, ni Axel n’hésitèrent. Ils s’y placèrent
sans attendre. S’accorder un délai serait pris pour une désobéissance supplémentaire
et ils en connaissaient le prix.
Ni Mamie ni Julie n’étaient
présentes. Tatie Nathalie se chargea donc seule de cette séquence
disciplinaire. Cela ne présentait aucune difficulté pour elle. C’était plus
gênant pour celui qui devait attendre tout en entendant les effets de la
correction reçue par l’autre. Bien évidemment, ce fut moi qui eus ce triste
privilège.
Tatie Nathalie nous laissa au
coin un bon moment, s’affairant dans différentes pièces de la maison. A chaque
fois que je l’entendais se rapprocher de moi, je sentais mon angoisse monter.
Elle s’éloignait de nouveau pour se livrer une activité que je ne décryptais
pas. Je savais, à chaque fois, que le moment de ma fessée était de plus en plus
proche. Il finit par arriver.
« Venez-ici tous les
deux ! C’est l’heure de votre fessée ! »
Tatie Nathalie nous indiqua, d’un
geste, de nous tenir debout devant elle.
« Redis-moi Axel, combien de
fessées au travail aujourd’hui ?
– Quatre, Tatie.
– Et toi, Florence ?
– Cinq, Tatie.
– Cela mérite des fesses
brûlantes au moins jusqu’à demain matin, n’est-ce pas ? »
Florence et moi nous nous
regardâmes furtivement. Nous baissâmes la tête, mais sans répondre à
l’interrogation de Tatie Nathalie.
« Je vais prendre ce silence
pour un accord. De toute façon, vous n’avez pas le choix. »
Tatie Nathalie posa ses mains de
chaque côté de ses hanches. Elle me fit approcher entre ses jambes. C’était un
rituel que nous connaissions par cœur, elle comme moi. Elle déboucla la
ceinture de mon pantalon, le déboutonna, défit ma braguette. Le pantalon fut
amené à hauteur de mes chevilles. Elle glissa ses pouces de chaque côté sous
l’élastique de ma culotte et elle la baissa jusqu’en bas de mes cuisses.
Elle me fit pivoter d’un quart de
tour et je reçus quatre claques sur chaque fesse.
« Juste pour te faire
patienter ! »
Elle me repoussa afin de laisser
la place à Florence dont le port de la jupe permettait un déculottage plus
rapide que le mien. Tatie Nathalie glissa ses mains sous le bas de la jupe et
elle descendit la culotte.
« Relève ta
jupe ! »
Elle plaça Florence dans la
position que je venais de quitter. Cinq fois, sa main s’abattit sur chaque côté
des fesses nues qu’elle avait à sa portée.
« Il est temps de passer à
quelque chose de plus substantiel. Axel, rapporte-moi la palette à
fesser. »
Je me hâtais aussi vite que
possible avec un pantalon baissé entourant mes chevilles. J’avais une bonne
partie du séjour à traverser ce qui me prit un peu de temps. J’avais conscience
de mon sexe qui se balançait entre mes cuisses à chaque pas, mais il était bien
plus urgent de montrer à Tatie Nathalie que je répondais à sa demande avec
diligence.
Quand je tendis la palette à
Tatie Nathalie, Florence était déjà en place, à genoux entre les pieds de
Tatie, le buste courbé sur sa cuisse gauche. Sa jupe relevée laissait une large
surface pour y appliquer l’instrument en bois que je venais d’apporter, alors
que sa culotte était descendue à hauteur de ses genoux. Florence attendait sa
fessée.
Tatie Nathalie ne la fit pas
patienter plus longtemps. La palette à fesser entra en action et cela
s’entendit. Ce n’était pas tant le claquement sec qu’elle provoquait sur les
fesses qui s’entendait, mais plutôt les cris de désespoir de Florence.
Tatie Nathalie faisait porter
l’instrument qu’elle avait en main, au même endroit pendant un long moment.
Puis, elle changeait de côté pour y administrer la même chose. Alors elle
déplaçait un peu la zone sur laquelle elle se concentrait et elle recommençait
une nouvelle série. L’effet en était dévastateur.
Florence se débattait tant sur
les genoux de sa correctrice, que celle-ci dut mettre un peu plus d’énergie
pour l’immobiliser. Florence ne cherchait pas à fuir le lieu de sa correction,
mais la rigueur du châtiment provoquait ces mouvements incontrôlés et
involontaires. C’était bien au-delà de ce que provoquait habituellement une
fessée, même appliquée avec la palette à fesser. Tatie Nathalie y mettait toute
son énergie et Florence avait du mal à absorber la cuisson que cela engendrait.
Ma gorge s’assécha immédiatement.
J’étais le prochain et il n’y avait pas de raison pour que Tatie Nathalie soit
plus clémente avec moi qu’elle l’était avec Florence. Avoir reçu, au travail,
une fessée de moins que Florence, ne faisait certainement pas une grande
différence.
Tatie Nathalie repéra un petit
coin de peau qui n’était pas encore suffisamment rougi. Elle insista longuement
sur cet endroit avant de poser la palette à côté d’elle.
« Je pense que Madame André
serait satisfaite de cette fessée. Je crois que tu n’es pas prête à l’oublier. »
Florence n’était pas en état de
répondre. Elle peinait à reprendre son souffle entre deux sanglots. Ses jambes
s’agitaient encore en de soudains soubresauts bien que la fessée soit terminée.
Enfin, elle se calma et elle relâcha la tension de ses muscles en se laissant
reposer inerte sur les genoux de Tatie Nathalie. Elle pleurait doucement,
presque en silence.
Quand Tatie Nathalie posa une
main sur ses fesses, elle émit une longue plainte désespérée qui se prolongea
par des grognements qui accompagnèrent les déplacements de la main de Tatie
Nathalie. J’avais l’impression, en observant les réactions de Florence, qu’elle
hésitait entre marquer la souffrance que rajoutait la main sur son postérieur
et le soulagement qu’elle prodiguait. Assez vite les grognements se
transformèrent en une sorte de ronronnement qui sortait du fond de la gorge de
Florence.
C’était probablement le signal
que Tatie Nathalie attendait.
« Debout, jeune fille que je
m’occupe des fesses de ton collègue ! »
L’angoisse me tordit les
intestins et je dus faire un effort pour retenir un début de pipi sur place.
Florence se releva et elle vint se placer à côté de moi, tenant sa jupe à
moitié levée.
« Plus haut la jupe, gronda
Tatie Nathalie, il faut que les fesses soient bien dégagées ! Tu sais cela
par cœur, Florence ! Fais un peu attention ! »
Florence rectifia sa position.
« Je t’attends,
Axel ! »
Mécaniquement, je fis les deux
pas qui me séparaient de Tatie Nathalie. A partir de ce moment-là, je n’avais
plus qu’à la laisser faire. Elle me saisit par les bras et m’amena debout entre
ses deux pieds. J’avais mon sexe à l’air libre à une dizaine de centimètre de
son visage. Si cela me mettait mal à l’aise, il n’en semblait rien pour Tatie
Nathalie. Il est vrai que mes organes sexuels n’avaient rien de glorieux. La
peur de la fessée à venir avait laissé mon pénis pendre flasque entre mes
jambes. L’absence de poils qui en rajoutait, en faisait plus un attribut d’un
enfant que d’un adulte.
Sans un mot, Tatie Nathalie m’indiqua
de me mettre à genoux. Je connaissais la position. Il était inutile de me
donner de longues explications. Je savais qu’elle attendait de moi que je me
positionne comme elle avait installé Florence quelques minutes auparavant.
Courbé sur sa cuisse, je la laissais ajuster ma position afin qu’elle puisse
m’administrer la fessée le plus efficacement possible.
Je tendis tous mes muscles quand
je compris qu’elle était satisfaite de mon installation. Cela annonçait
l’imminence de la fessée. Celle qui m’attendait serait probablement à l’égal de
celle que Florence avait reçue. A cette pensée, je sentis mes entrailles
gargouiller.
La première application de la
palette à fesser sur mon postérieur balaya toutes ces considérations. Je n’eus
pas le temps de me rendre compte de ce qui provoquait une telle brûlure, que le
deuxième coup me ramena à ce qui se passait sur mes fesses. Je tentais un cri,
mais il fut étranglé par la marque incandescente que laissa le troisième coup
sur mes fesses. A compter de ce moment, je laissais exploser ma douleur, la
palette à fesser continuant son œuvre sur mes fesses.
Je ne ré émergeais qu’après la
fin de la fessée. Je ne sentais plus mes fesses, mais j’avais l’impression
d’avoir une partie distante de mon corps, quelque part en bas de mon dos, qui
était incandescente et d’où partaient des éclairs de douleur qui parcouraient
mes cuisses et mon dos.
La main de Tatie Nathalie, quand
elle la posa sur mes fesses, me donna l’impression d’un contact avec un fer
rougi au feu. Puis, le lent massage qu’elle entama, apaisa la douleur sous la
main, mais pour se raviver immédiatement après son passage.
Tatie Nathalie nous contemplait
en prenant son temps. Nous étions tous les deux debout face à elle et nous
attendions ses consignes. Notre punition, bien qu’elle ait été exemplaire, ne
pouvait s’arrêter là. Florence et moi le savions.
Je me dandinais sur place mais
cela n’aidait en rien à absorber la chaleur qui irradiait de mes fesses. J’étais
assez satisfait que mon pantalon et ma culotte baissés ainsi que ma chemise que
je tenais au-dessus de mes reins, me laissaient nu de la taille aux
chaussettes. Cela évitait le contact du tissu sur la peau de mes fesses.
J’avais l’impression que je ne l’aurais pas supporté.
« Vous aurez deux autres fessée
ce soir. Cela soldera les comptes de la journée. Je trouve que vous vous en
tirez à bon compte, mais je peux vous promettre que cette punition restera dans
votre souvenir. Pour l’instant : au coin ! »
Florence et moi savions ce que
Tatie Nathalie attendait de nous. Nous nous plaçâmes là où elle nous attendait.
Il s’agissait de s’y faire oublier, ce que cadrait totalement avec mes plans
immédiats. J’y serais même bien volontiers resté toute la soirée si cela avait
pu m’épargner la deuxième fessée qui m’attendait.
« Florence, tu as un pan de
ta jupe qui cache un bout de tes fesses. Remonte-le mieux que cela ! Et
fais un peu attention. C’est la deuxième fois que je te le dis. Gare à la
troisième ! »
Tatie Nathalie nous laissa chacun
dans notre coin. Je l’entendis s’affairer dans la cuisine voisine. Notre
attente pouvait être longue. C’était une chance. Cela permettait à mes fesses
de refroidir et de récupérer un peu en perspective de la prochaine fessée. Je
savais cependant que ne tarderaient pas à se manifester l’ennui et les crampes
rendant difficile la conservation de la position exigée au coin. Rien
d’anormal. J’aurais eu mauvaise grâce à revendiquer un peu plus de confort. Ce
n’était pas vraiment le but recherché durant une punition.
Il n’était pas non plus question
de prendre des libertés avec l’immobilisme requis, bien que l’envie de masser
mes fesses me taraudât. Les conséquences, au cas où j’aurais été pris, en
étaient incalculables. Je n’avais pas d’autre choix que de prendre mon mal en
patience.
L’attente se prolongeait. La
douleur sur mes fesses s’était atténuée, ce qui me donnait un dérivatif de
moins à mon ennui. Il y avait surtout beaucoup moins d’élancements qui
m’occupaient l’esprit. Je m’étais habitué à la cuisson régulière qui constituait
une toile de fond monotone.
Le vide autour de moi me donnait
l’impression d’être seul alors que je savais que Florence n’était qu’à quelques
pas de moi. Elle observait le même silence que moi et, comme elle et moi étions
chacun tournés vers le mur, la présence de l’autre ne se matérialisait pas. Il
fallait faire un effort d’imagination pour se convaincre de sa présence.
Les bruits provoqués par Tatie
Nathalie dans la pièce voisine étaient peu nombreux et m’arrivaient étouffés,
guère plus perceptibles que le bruit de fond de la circulation de la ville. Je
n’avais plus rien pour occuper mon esprit et mes muscles commençaient à
protester contre l’immobilité que je leur imposais. Il me fallait maintenant rectifier
régulièrement ma position pour éviter que mes mains, croisées dans mon dos, ne
glissent imperceptiblement, coupable relâchement que Tatie Nathalie n’aurait
pas manqué de sanctionner.
Je n’avais plus aucune idée de
l’heure et pas plus ni depuis combien de temps j’étais là, ni pour combien de
temps encore. En somme, un temps passé au coin qui atteignit parfaitement ce
pour quoi il était prévu.
« Florence ! Ta
jupe ! »
Je sursautais. Je n’avais pas
entendu Tatie Nathalie arriver.
« Tu l’as encore laissée
tomber. Elle cache tes fesses ! Où te crois-tu ? Depuis quand se
tient-on aussi mal quand on est au coin ? »
Heureusement que dans mon
mouvement soudain, je n’avais pas laissé échapper les pans de ma chemise !
La suite était prévisible et ce n’était pas les supplications de Florence qui
pouvaient changer le cours des choses.
« Non, pardon … Je vais
faire attention ! »
Tatie Nathalie ne la gratifia
même pas d’une réponse, si ce n’était le bruit de sa main sur les fesses de
Florence. Cette fessée constituait une sorte de pause dans ma pénitence. Elle
m’apportait une distraction ce que je reconnus à ma grande honte pour le manque
d’empathie que j’éprouvais pour Florence qui souffrait sous la main de Tatie
Nathalie. Je savais pourtant ce que pouvait représenter de recevoir une fessée
alors que les effets de la première s’étaient à peine dissipés.
Je déduisis des bruits que
j’entendais que Florence avait été remise au piquet. Elle s’efforçait de
maîtriser sa respiration et des ravaler ses sanglots afin d’observer le silence
qui était la règle dans de pareilles circonstances.
« Puisque tu ne sais pas
laisser ta jupe à sa place, je vais te l’ôter. Elle ne risquera plus de
retomber. Cela t’épargnera une autre fessée. »
Les reniflements de Florence ne
durèrent pas bien longtemps. Nous retombâmes dans la solitude du puni au coin.
Ce n’est que de longues minutes
plus tard que Mamie et Julie rentrèrent.
« Je vais voir si les deux
punis sont bien sages ! »
Julie entra dans la pièce où nous
nous tenions. Je l’entendis s’approcher de Florence, puis de moi. Elle posa une
main sur mes fesses.
« Eh bien, Maman ne vous a
pas ratés. Quelle fessée cela a dû être ! Je n’aurais pas aimé être à
votre place. »
Puis, après son départ, le
silence se fit de nouveau. Le léger brouhaha du côté de la cuisine était
maintenant augmenté de conversations entre trois personnes.
Il s’écoula encore un long
moment, puis Tatie Nathalie annonça la fin de notre pénitence.
« Julie, s’il te plait,
peux-tu surveiller que la casserole qui est sur le feu ne déborde pas. Je dois m’occuper
de mes deux garnements ! »
Le temps qu’elle vienne jusque
dans le séjour où elle nous avait laissés et nous étions fixés sur notre sort.
« Venez-ici tous les
deux ! »
Notre déplacement pour rejoindre
Tatie Nathalie se fit au plus vite, bien qu’il soit malaisé de se déplacer la
culotte baissée. J’y arrivais toutefois un peu plus rapidement que Florence.
Mon pantalon empêchait ma culotte de tomber sur mes chevilles.
Florence n’avait plus de jupe qui
était posée sur l’accoudoir du canapé. Dans précipitation à obéir à l’ordre de
Tatie Nathalie, elle avait oublié les précautions qu’il fallait prendre pour
marcher avec une culotte à hauteur des genoux. Son sous-vêtement était tombé
sur ses chaussures et elle marchait dessus à chaque fois qu’elle faisait un
pas.
« Florence, tu vas abîmer ta
culotte ! »
Tatie Nathalie fut sur elle en un
clin d’œil et la réprimande fut accompagnée d’une solide claque sur les fesses.
« Puisque tu ne fais pas
attention, autant l’enlever. »
Une claque sur la cuisse.
« Lève la jambe …
l’autre ! »
Tatie Nathalie se releva avec la
culotte en main.
« Regarde-moi ça, dit-elle
en tendant la culotte sous le nez de Florence. Tu as marché dessus ! Elle
est bonne à laver maintenant. »
Il fallait une fessée pour
sanctionner cette négligence, Florence la reçut debout, sur place, sur le haut
des cuisses, sans même que Tatie Nathalie la maintienne à sa place. Il n’aurait
certainement pas été judicieux de bouger. Florence le savait. Tatie Nathalie
avait décidé qu’elle avait besoin d’une fessée, il était préférable de la
prendre sans tergiverser.
Tatie Nathalie courba alors
Florence sous son coude et elle examina la texture de la peau des fesses. Puis
elle me soumit au même examen.
« C’est bien ce que je pensais.
Vos fesses ont suffisamment récupéré pour recevoir une b=nouvelle correction. Je
tiens à ce la cuisson de vos fesses soit entretenue toute la soirée. Vous avez
au moins mérité cela pour votre piètre prestation d’aujourd’hui. »
Je n’étais pas certain d’arriver
à la même conclusion, mais je n’avais pas voix au chapitre.
« Je vais te raccompagner,
Florence. Je vais demander à ta Maman de te fesser une fois avant le repas et
une autre fois après, puis de te faire passer la soirée au coin.»
Soirée difficile en perspective.
Je devais m’attendre à un traitement équivalent.
« Axel, tu vas m’attendre au
coin. Je m’occupe de toi dès que je reviens. »
Tatie Nathalie, la culotte dans
la main, posa la jupe de Florence sur son avant-bras.
« Allons Florence, en route ! »
Florence tendit la main vers sa
jupe.
« Que veux-tu ?
– Ma jupe, s’il vous plait Tatie.
Pour traverser la route.
– Tu n’en as pas besoin. Tu as
joué avec pendant que tu étais au coin, je te l’ai donc confisquée pour toute
la soirée. Comme ta culotte est sale, je ne peux pas te la mettre non plus. Ce
n’est pas si grave si tu traverses la rue les fesses nues.
– Mais …
– Il suffit ! Tu avances à
moins que tu ne préfères d’abord une fessée ? »
– Non mais, … »
Une formidable claque coupa l’envie
à Florence de continuer sur cette voie.
« Est-ce que ça suffit ou tu
préfères quelque chose de plus substantiel ? »
Florence avança jusqu’à la porte.
Elle se retourna, mais le regard que lui jeta Tatie Nathalie ne lui laissa pas
le choix. Elle ouvrit la porte, fit un pas dehors. Elle se retourna encore une
fois vers Tatie Nathalie mais il n’y avait pas d’ouverture de ce côté.
Florence avala une grande bouffée
d’air, puis elle prit le chemin de sa maison presque en courant.
« Florence ! Tu reviens
ici ! »
Florence s’arrêta, elle hésita.
« Si je dois aller te
chercher, tes fesses vont s’en souvenir ! »
Florence fit demi-tour et elle
revint vers Tatie Nathalie.
« Allons-y, fit cette
dernière, tu restes à côté de moi. »
Florence jeta un œil de chaque
côté. Il n’y avait personne. Elle avançait à côté de Tatie Nathalie qui ne
pressait pas le pas. Elles étaient au milieu de la rue quand une dame et ses
deux grands enfants, un garçon et une fille, débouchèrent de la rue
perpendiculaire sans prêter attention aux deux femmes qui traversaient la rue.
Pour suivre le fil de cette histoire :
Comprendre le contexte : l'introduction
Le premier épisode : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 102
Le prochain épisode ... c'est le chapitre 104
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De l'usage des commentaires
N'hésitez pas à donner votre avis. Les retours des lecteurs sont un encouragement précieux pour les auteurs, si vous voulez que ça dure. Faites-en un usage immodéré.
Bonjour ,
RépondreSupprimerIl semble que Florence est dans une situation délicate les fesses a l'air devant cette mère et ses enfants une voisine , une discussion sur le trottoir va - elle avoir lieu , la suite pourrait être très intéressante .... vivement la suite
Cher lecteur anonyme,
SupprimerIl faudra attendre samedi pour avoir la réponse.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour,
RépondreSupprimerEssaimons, essaimons, il en restera toujours quelques choses. Le geste auguste des fesseuses trace les sillons d'une bonne éducation! Amis de la poésie champêtre et de la fessée... bonjour!
Quelle belle énergie! Tatie Nathalie est en surrégime disciplinaire. Elle ne marche pas sur l'eau, mais multiplie les fessées comme d'autre les petits pain à une certaine époque. Si elle te frappe sur la fesse droite... tends la fesse gauche.
Tatie est au four des fesses d'Axel avec un cuisant tour de chauffe à la palette à fessée, et au moulin de celle de Florence qui en perd sa jupe, sa culotte et le peu de dignité qui lui restait. Du coup il faut traverser la rue les fesses à l'air. Pas le moment de traverser en dehors des clous pour devenir celui du spectacle.
La brave dame et ses deux grands enfants n'arrivent pas là par hasard. Ne voit on rien venir? A n'en pas douter, notre ami JLG nous concocte un nouveau rebondissement... de derrière... les fagots!
Oula la... je me demande si je n'ai pas de la fièvre moi !
Cordialement
Ramina
Bonjour Ramina,
SupprimerJ'adore vos commentaires sur les textes, toujours avec un petit jeu de mots sympa.
Salutations.
Elena.
Ramina,
SupprimerNe comptez pas sur moi pour dévoiler ce qui se déroulera dans le dernier épisode de la série. Un peu de patience... jusqu'à samedi.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Le fait que Florence doit regagner son domicile les fesses à l'air, en public, à petits pas, ne fait qu'amplifier la honte de la punition reçue juste avant, un deux en un, en somme. J'espère que pour Axel, il en sera de même. Quant à lui, ses réactions, sous le coup d'une grande émotion, devraient être plus visibles que pour Florence...
RépondreSupprimerSalutations.
Elena.
Bonjour Elena,
SupprimerIl n'y a, hélas, plus beaucoup de temps avant de clore le récit des aventures d'Axel. Dernier épisode samedi.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour Elena
RépondreSupprimer"...ses réactions, sous le coup d'une grande émotion, devraient être plus visibles que pour Florence..."
Un peu raide comme formule!..non ?
Ramina
Ramina
Euuuh...J'allais oublier, merci Elena pour le commentaire sur mes commentaires...
RépondreSupprimerRamina