mercredi 15 mai 2019

Axel au supermarché - chapitre 103

Ce fut le premier jour d’essaimage de la fessée dans la région. A partir de ce soir-là, la pratique de la fessée pour punir des adultes d’âges très divers, ne cessa de se répandre. Partant des quelques adultes punis par Madame André, le système fit tâche d’huile. Certaines des premières fessées se déroulèrent en privé. Ce ne fut pas le cas de toutes, ce qui eut pour conséquence d’augmenter le nombre de fesseuses, mais également celui des fessés.

La soirée de Florence et d’Axel fut difficile. Tatie Nathalie tenait à appliquer à la lettre le principe édicté par Madame André : une fessée au travail, une fessée à la maison. Elle mettait un point d’honneur à être infaillible sur ce sujet.
Ils avaient à peine franchi le seuil de la maison que l’ordre redouté, mais attendu, fusa.
« Mettez-vous tous les deux chacun dans votre coin. »
Il n’y avait pas à se méprendre. C’est d’un moment de pénitence dont il était question, dans l’attente de la première fessée de la soirée. Ni Florence, ni Axel n’hésitèrent. Ils s’y placèrent sans attendre. S’accorder un délai serait pris pour une désobéissance supplémentaire et ils en connaissaient le prix.
Ni Mamie ni Julie n’étaient présentes. Tatie Nathalie se chargea donc seule de cette séquence disciplinaire. Cela ne présentait aucune difficulté pour elle. C’était plus gênant pour celui qui devait attendre tout en entendant les effets de la correction reçue par l’autre. Bien évidemment, ce fut moi qui eus ce triste privilège.
Tatie Nathalie nous laissa au coin un bon moment, s’affairant dans différentes pièces de la maison. A chaque fois que je l’entendais se rapprocher de moi, je sentais mon angoisse monter. Elle s’éloignait de nouveau pour se livrer une activité que je ne décryptais pas. Je savais, à chaque fois, que le moment de ma fessée était de plus en plus proche. Il finit par arriver.
« Venez-ici tous les deux ! C’est l’heure de votre fessée ! »
Tatie Nathalie nous indiqua, d’un geste, de nous tenir debout devant elle.
« Redis-moi Axel, combien de fessées au travail aujourd’hui ?
– Quatre, Tatie.
– Et toi, Florence ?
– Cinq, Tatie.
– Cela mérite des fesses brûlantes au moins jusqu’à demain matin, n’est-ce pas ? »
Florence et moi nous nous regardâmes furtivement. Nous baissâmes la tête, mais sans répondre à l’interrogation de Tatie Nathalie.
« Je vais prendre ce silence pour un accord. De toute façon, vous n’avez pas le choix. »
Tatie Nathalie posa ses mains de chaque côté de ses hanches. Elle me fit approcher entre ses jambes. C’était un rituel que nous connaissions par cœur, elle comme moi. Elle déboucla la ceinture de mon pantalon, le déboutonna, défit ma braguette. Le pantalon fut amené à hauteur de mes chevilles. Elle glissa ses pouces de chaque côté sous l’élastique de ma culotte et elle la baissa jusqu’en bas de mes cuisses.
Elle me fit pivoter d’un quart de tour et je reçus quatre claques sur chaque fesse.
« Juste pour te faire patienter ! »
Elle me repoussa afin de laisser la place à Florence dont le port de la jupe permettait un déculottage plus rapide que le mien. Tatie Nathalie glissa ses mains sous le bas de la jupe et elle descendit la culotte.
« Relève ta jupe ! »
Elle plaça Florence dans la position que je venais de quitter. Cinq fois, sa main s’abattit sur chaque côté des fesses nues qu’elle avait à sa portée.
« Il est temps de passer à quelque chose de plus substantiel. Axel, rapporte-moi la palette à fesser. »
Je me hâtais aussi vite que possible avec un pantalon baissé entourant mes chevilles. J’avais une bonne partie du séjour à traverser ce qui me prit un peu de temps. J’avais conscience de mon sexe qui se balançait entre mes cuisses à chaque pas, mais il était bien plus urgent de montrer à Tatie Nathalie que je répondais à sa demande avec diligence.
Quand je tendis la palette à Tatie Nathalie, Florence était déjà en place, à genoux entre les pieds de Tatie, le buste courbé sur sa cuisse gauche. Sa jupe relevée laissait une large surface pour y appliquer l’instrument en bois que je venais d’apporter, alors que sa culotte était descendue à hauteur de ses genoux. Florence attendait sa fessée.
Tatie Nathalie ne la fit pas patienter plus longtemps. La palette à fesser entra en action et cela s’entendit. Ce n’était pas tant le claquement sec qu’elle provoquait sur les fesses qui s’entendait, mais plutôt les cris de désespoir de Florence.
Tatie Nathalie faisait porter l’instrument qu’elle avait en main, au même endroit pendant un long moment. Puis, elle changeait de côté pour y administrer la même chose. Alors elle déplaçait un peu la zone sur laquelle elle se concentrait et elle recommençait une nouvelle série. L’effet en était dévastateur.
Florence se débattait tant sur les genoux de sa correctrice, que celle-ci dut mettre un peu plus d’énergie pour l’immobiliser. Florence ne cherchait pas à fuir le lieu de sa correction, mais la rigueur du châtiment provoquait ces mouvements incontrôlés et involontaires. C’était bien au-delà de ce que provoquait habituellement une fessée, même appliquée avec la palette à fesser. Tatie Nathalie y mettait toute son énergie et Florence avait du mal à absorber la cuisson que cela engendrait.
Ma gorge s’assécha immédiatement. J’étais le prochain et il n’y avait pas de raison pour que Tatie Nathalie soit plus clémente avec moi qu’elle l’était avec Florence. Avoir reçu, au travail, une fessée de moins que Florence, ne faisait certainement pas une grande différence.
Tatie Nathalie repéra un petit coin de peau qui n’était pas encore suffisamment rougi. Elle insista longuement sur cet endroit avant de poser la palette à côté d’elle.
« Je pense que Madame André serait satisfaite de cette fessée. Je crois que tu n’es pas prête à l’oublier. »
Florence n’était pas en état de répondre. Elle peinait à reprendre son souffle entre deux sanglots. Ses jambes s’agitaient encore en de soudains soubresauts bien que la fessée soit terminée. Enfin, elle se calma et elle relâcha la tension de ses muscles en se laissant reposer inerte sur les genoux de Tatie Nathalie. Elle pleurait doucement, presque en silence.
Quand Tatie Nathalie posa une main sur ses fesses, elle émit une longue plainte désespérée qui se prolongea par des grognements qui accompagnèrent les déplacements de la main de Tatie Nathalie. J’avais l’impression, en observant les réactions de Florence, qu’elle hésitait entre marquer la souffrance que rajoutait la main sur son postérieur et le soulagement qu’elle prodiguait. Assez vite les grognements se transformèrent en une sorte de ronronnement qui sortait du fond de la gorge de Florence.
C’était probablement le signal que Tatie Nathalie attendait.
« Debout, jeune fille que je m’occupe des fesses de ton collègue ! »
L’angoisse me tordit les intestins et je dus faire un effort pour retenir un début de pipi sur place. Florence se releva et elle vint se placer à côté de moi, tenant sa jupe à moitié levée.
« Plus haut la jupe, gronda Tatie Nathalie, il faut que les fesses soient bien dégagées ! Tu sais cela par cœur, Florence ! Fais un peu attention ! »
Florence rectifia sa position.
« Je t’attends, Axel ! »
Mécaniquement, je fis les deux pas qui me séparaient de Tatie Nathalie. A partir de ce moment-là, je n’avais plus qu’à la laisser faire. Elle me saisit par les bras et m’amena debout entre ses deux pieds. J’avais mon sexe à l’air libre à une dizaine de centimètre de son visage. Si cela me mettait mal à l’aise, il n’en semblait rien pour Tatie Nathalie. Il est vrai que mes organes sexuels n’avaient rien de glorieux. La peur de la fessée à venir avait laissé mon pénis pendre flasque entre mes jambes. L’absence de poils qui en rajoutait, en faisait plus un attribut d’un enfant que d’un adulte.
Sans un mot, Tatie Nathalie m’indiqua de me mettre à genoux. Je connaissais la position. Il était inutile de me donner de longues explications. Je savais qu’elle attendait de moi que je me positionne comme elle avait installé Florence quelques minutes auparavant. Courbé sur sa cuisse, je la laissais ajuster ma position afin qu’elle puisse m’administrer la fessée le plus efficacement possible.
Je tendis tous mes muscles quand je compris qu’elle était satisfaite de mon installation. Cela annonçait l’imminence de la fessée. Celle qui m’attendait serait probablement à l’égal de celle que Florence avait reçue. A cette pensée, je sentis mes entrailles gargouiller.
La première application de la palette à fesser sur mon postérieur balaya toutes ces considérations. Je n’eus pas le temps de me rendre compte de ce qui provoquait une telle brûlure, que le deuxième coup me ramena à ce qui se passait sur mes fesses. Je tentais un cri, mais il fut étranglé par la marque incandescente que laissa le troisième coup sur mes fesses. A compter de ce moment, je laissais exploser ma douleur, la palette à fesser continuant son œuvre sur mes fesses.
Je ne ré émergeais qu’après la fin de la fessée. Je ne sentais plus mes fesses, mais j’avais l’impression d’avoir une partie distante de mon corps, quelque part en bas de mon dos, qui était incandescente et d’où partaient des éclairs de douleur qui parcouraient mes cuisses et mon dos.
La main de Tatie Nathalie, quand elle la posa sur mes fesses, me donna l’impression d’un contact avec un fer rougi au feu. Puis, le lent massage qu’elle entama, apaisa la douleur sous la main, mais pour se raviver immédiatement après son passage.

Tatie Nathalie nous contemplait en prenant son temps. Nous étions tous les deux debout face à elle et nous attendions ses consignes. Notre punition, bien qu’elle ait été exemplaire, ne pouvait s’arrêter là. Florence et moi le savions.
Je me dandinais sur place mais cela n’aidait en rien à absorber la chaleur qui irradiait de mes fesses. J’étais assez satisfait que mon pantalon et ma culotte baissés ainsi que ma chemise que je tenais au-dessus de mes reins, me laissaient nu de la taille aux chaussettes. Cela évitait le contact du tissu sur la peau de mes fesses. J’avais l’impression que je ne l’aurais pas supporté.
« Vous aurez deux autres fessée ce soir. Cela soldera les comptes de la journée. Je trouve que vous vous en tirez à bon compte, mais je peux vous promettre que cette punition restera dans votre souvenir. Pour l’instant : au coin ! »
Florence et moi savions ce que Tatie Nathalie attendait de nous. Nous nous plaçâmes là où elle nous attendait. Il s’agissait de s’y faire oublier, ce que cadrait totalement avec mes plans immédiats. J’y serais même bien volontiers resté toute la soirée si cela avait pu m’épargner la deuxième fessée qui m’attendait.
« Florence, tu as un pan de ta jupe qui cache un bout de tes fesses. Remonte-le mieux que cela ! Et fais un peu attention. C’est la deuxième fois que je te le dis. Gare à la troisième ! »
Tatie Nathalie nous laissa chacun dans notre coin. Je l’entendis s’affairer dans la cuisine voisine. Notre attente pouvait être longue. C’était une chance. Cela permettait à mes fesses de refroidir et de récupérer un peu en perspective de la prochaine fessée. Je savais cependant que ne tarderaient pas à se manifester l’ennui et les crampes rendant difficile la conservation de la position exigée au coin. Rien d’anormal. J’aurais eu mauvaise grâce à revendiquer un peu plus de confort. Ce n’était pas vraiment le but recherché durant une punition.
Il n’était pas non plus question de prendre des libertés avec l’immobilisme requis, bien que l’envie de masser mes fesses me taraudât. Les conséquences, au cas où j’aurais été pris, en étaient incalculables. Je n’avais pas d’autre choix que de prendre mon mal en patience.
L’attente se prolongeait. La douleur sur mes fesses s’était atténuée, ce qui me donnait un dérivatif de moins à mon ennui. Il y avait surtout beaucoup moins d’élancements qui m’occupaient l’esprit. Je m’étais habitué à la cuisson régulière qui constituait une toile de fond monotone.
Le vide autour de moi me donnait l’impression d’être seul alors que je savais que Florence n’était qu’à quelques pas de moi. Elle observait le même silence que moi et, comme elle et moi étions chacun tournés vers le mur, la présence de l’autre ne se matérialisait pas. Il fallait faire un effort d’imagination pour se convaincre de sa présence.
Les bruits provoqués par Tatie Nathalie dans la pièce voisine étaient peu nombreux et m’arrivaient étouffés, guère plus perceptibles que le bruit de fond de la circulation de la ville. Je n’avais plus rien pour occuper mon esprit et mes muscles commençaient à protester contre l’immobilité que je leur imposais. Il me fallait maintenant rectifier régulièrement ma position pour éviter que mes mains, croisées dans mon dos, ne glissent imperceptiblement, coupable relâchement que Tatie Nathalie n’aurait pas manqué de sanctionner.
Je n’avais plus aucune idée de l’heure et pas plus ni depuis combien de temps j’étais là, ni pour combien de temps encore. En somme, un temps passé au coin qui atteignit parfaitement ce pour quoi il était prévu.

« Florence ! Ta jupe ! »
Je sursautais. Je n’avais pas entendu Tatie Nathalie arriver.
« Tu l’as encore laissée tomber. Elle cache tes fesses ! Où te crois-tu ? Depuis quand se tient-on aussi mal quand on est au coin ? »
Heureusement que dans mon mouvement soudain, je n’avais pas laissé échapper les pans de ma chemise ! La suite était prévisible et ce n’était pas les supplications de Florence qui pouvaient changer le cours des choses.
« Non, pardon … Je vais faire attention ! »
Tatie Nathalie ne la gratifia même pas d’une réponse, si ce n’était le bruit de sa main sur les fesses de Florence. Cette fessée constituait une sorte de pause dans ma pénitence. Elle m’apportait une distraction ce que je reconnus à ma grande honte pour le manque d’empathie que j’éprouvais pour Florence qui souffrait sous la main de Tatie Nathalie. Je savais pourtant ce que pouvait représenter de recevoir une fessée alors que les effets de la première s’étaient à peine dissipés.
Je déduisis des bruits que j’entendais que Florence avait été remise au piquet. Elle s’efforçait de maîtriser sa respiration et des ravaler ses sanglots afin d’observer le silence qui était la règle dans de pareilles circonstances.
« Puisque tu ne sais pas laisser ta jupe à sa place, je vais te l’ôter. Elle ne risquera plus de retomber. Cela t’épargnera une autre fessée. »
Les reniflements de Florence ne durèrent pas bien longtemps. Nous retombâmes dans la solitude du puni au coin.

Ce n’est que de longues minutes plus tard que Mamie et Julie rentrèrent.
« Je vais voir si les deux punis sont bien sages ! »
Julie entra dans la pièce où nous nous tenions. Je l’entendis s’approcher de Florence, puis de moi. Elle posa une main sur mes fesses.
« Eh bien, Maman ne vous a pas ratés. Quelle fessée cela a dû être ! Je n’aurais pas aimé être à votre place. »
Puis, après son départ, le silence se fit de nouveau. Le léger brouhaha du côté de la cuisine était maintenant augmenté de conversations entre trois personnes.

Il s’écoula encore un long moment, puis Tatie Nathalie annonça la fin de notre pénitence.
« Julie, s’il te plait, peux-tu surveiller que la casserole qui est sur le feu ne déborde pas. Je dois m’occuper de mes deux garnements ! »
Le temps qu’elle vienne jusque dans le séjour où elle nous avait laissés et nous étions fixés sur notre sort.
« Venez-ici tous les deux ! »
Notre déplacement pour rejoindre Tatie Nathalie se fit au plus vite, bien qu’il soit malaisé de se déplacer la culotte baissée. J’y arrivais toutefois un peu plus rapidement que Florence. Mon pantalon empêchait ma culotte de tomber sur mes chevilles.
Florence n’avait plus de jupe qui était posée sur l’accoudoir du canapé. Dans précipitation à obéir à l’ordre de Tatie Nathalie, elle avait oublié les précautions qu’il fallait prendre pour marcher avec une culotte à hauteur des genoux. Son sous-vêtement était tombé sur ses chaussures et elle marchait dessus à chaque fois qu’elle faisait un pas.
« Florence, tu vas abîmer ta culotte ! »
Tatie Nathalie fut sur elle en un clin d’œil et la réprimande fut accompagnée d’une solide claque sur les fesses.
« Puisque tu ne fais pas attention, autant l’enlever. »
Une claque sur la cuisse.
« Lève la jambe … l’autre ! »
Tatie Nathalie se releva avec la culotte en main.
« Regarde-moi ça, dit-elle en tendant la culotte sous le nez de Florence. Tu as marché dessus ! Elle est bonne à laver maintenant. »
Il fallait une fessée pour sanctionner cette négligence, Florence la reçut debout, sur place, sur le haut des cuisses, sans même que Tatie Nathalie la maintienne à sa place. Il n’aurait certainement pas été judicieux de bouger. Florence le savait. Tatie Nathalie avait décidé qu’elle avait besoin d’une fessée, il était préférable de la prendre sans tergiverser.
Tatie Nathalie courba alors Florence sous son coude et elle examina la texture de la peau des fesses. Puis elle me soumit au même examen.
«  C’est bien ce que je pensais. Vos fesses ont suffisamment récupéré pour recevoir une b=nouvelle correction. Je tiens à ce la cuisson de vos fesses soit entretenue toute la soirée. Vous avez au moins mérité cela pour votre piètre prestation d’aujourd’hui. »
Je n’étais pas certain d’arriver à la même conclusion, mais je n’avais pas voix au chapitre.
« Je vais te raccompagner, Florence. Je vais demander à ta Maman de te fesser une fois avant le repas et une autre fois après, puis de te faire passer la soirée au coin.»
Soirée difficile en perspective. Je devais m’attendre à un traitement équivalent.
« Axel, tu vas m’attendre au coin. Je m’occupe de toi dès que je reviens. »

Tatie Nathalie, la culotte dans la main, posa la jupe de Florence sur son avant-bras.
 « Allons Florence, en route ! »
Florence tendit la main vers sa jupe.
« Que veux-tu ?
– Ma jupe, s’il vous plait Tatie. Pour traverser la route.
– Tu n’en as pas besoin. Tu as joué avec pendant que tu étais au coin, je te l’ai donc confisquée pour toute la soirée. Comme ta culotte est sale, je ne peux pas te la mettre non plus. Ce n’est pas si grave si tu traverses la rue les fesses nues.
– Mais …
– Il suffit ! Tu avances à moins que tu ne préfères d’abord une fessée ? »
– Non mais, … »
Une formidable claque coupa l’envie à Florence de continuer sur cette voie.
« Est-ce que ça suffit ou tu préfères quelque chose de plus substantiel ? »
Florence avança jusqu’à la porte. Elle se retourna, mais le regard que lui jeta Tatie Nathalie ne lui laissa pas le choix. Elle ouvrit la porte, fit un pas dehors. Elle se retourna encore une fois vers Tatie Nathalie mais il n’y avait pas d’ouverture de ce côté.
Florence avala une grande bouffée d’air, puis elle prit le chemin de sa maison presque en courant.
« Florence ! Tu reviens ici ! »
Florence s’arrêta, elle hésita.
« Si je dois aller te chercher, tes fesses vont s’en souvenir ! »
Florence fit demi-tour et elle revint vers Tatie Nathalie.
« Allons-y, fit cette dernière, tu restes à côté de moi. »
Florence jeta un œil de chaque côté. Il n’y avait personne. Elle avançait à côté de Tatie Nathalie qui ne pressait pas le pas. Elles étaient au milieu de la rue quand une dame et ses deux grands enfants, un garçon et une fille, débouchèrent de la rue perpendiculaire sans prêter attention aux deux femmes qui traversaient la rue.



Pour suivre le fil de cette histoire :

Comprendre le contexte : l'introduction

Le premier épisode : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 102

Le prochain épisode ... c'est le chapitre 104

Vous cherchez un chapitre en particulier ?

C'est par ici

De l'usage des commentaires

N'hésitez pas à donner votre avis. Les retours des lecteurs sont un encouragement précieux pour les auteurs, si vous voulez que ça dure. Faites-en un usage immodéré.

9 commentaires:

  1. Bonjour ,
    Il semble que Florence est dans une situation délicate les fesses a l'air devant cette mère et ses enfants une voisine , une discussion sur le trottoir va - elle avoir lieu , la suite pourrait être très intéressante .... vivement la suite

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Cher lecteur anonyme,
      Il faudra attendre samedi pour avoir la réponse.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

      Supprimer
  2. Bonjour,
    Essaimons, essaimons, il en restera toujours quelques choses. Le geste auguste des fesseuses trace les sillons d'une bonne éducation! Amis de la poésie champêtre et de la fessée... bonjour!
    Quelle belle énergie! Tatie Nathalie est en surrégime disciplinaire. Elle ne marche pas sur l'eau, mais multiplie les fessées comme d'autre les petits pain à une certaine époque. Si elle te frappe sur la fesse droite... tends la fesse gauche.
    Tatie est au four des fesses d'Axel avec un cuisant tour de chauffe à la palette à fessée, et au moulin de celle de Florence qui en perd sa jupe, sa culotte et le peu de dignité qui lui restait. Du coup il faut traverser la rue les fesses à l'air. Pas le moment de traverser en dehors des clous pour devenir celui du spectacle.
    La brave dame et ses deux grands enfants n'arrivent pas là par hasard. Ne voit on rien venir? A n'en pas douter, notre ami JLG nous concocte un nouveau rebondissement... de derrière... les fagots!
    Oula la... je me demande si je n'ai pas de la fièvre moi !
    Cordialement
    Ramina

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour Ramina,
      J'adore vos commentaires sur les textes, toujours avec un petit jeu de mots sympa.
      Salutations.
      Elena.

      Supprimer
    2. Ramina,
      Ne comptez pas sur moi pour dévoiler ce qui se déroulera dans le dernier épisode de la série. Un peu de patience... jusqu'à samedi.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

      Supprimer
  3. Le fait que Florence doit regagner son domicile les fesses à l'air, en public, à petits pas, ne fait qu'amplifier la honte de la punition reçue juste avant, un deux en un, en somme. J'espère que pour Axel, il en sera de même. Quant à lui, ses réactions, sous le coup d'une grande émotion, devraient être plus visibles que pour Florence...
    Salutations.
    Elena.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour Elena,
      Il n'y a, hélas, plus beaucoup de temps avant de clore le récit des aventures d'Axel. Dernier épisode samedi.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

      Supprimer
  4. Bonjour Elena
    "...ses réactions, sous le coup d'une grande émotion, devraient être plus visibles que pour Florence..."
    Un peu raide comme formule!..non ?
    Ramina
    Ramina

    RépondreSupprimer
  5. Euuuh...J'allais oublier, merci Elena pour le commentaire sur mes commentaires...
    Ramina

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.