Paul et
Arnaud sont deux élèves de l’école Ste CROIX, là où sont scolarisées Olga et
Iourievna.
Paul à
dix-neuf ans, car il a redoublé sa seconde, à cause de son manque de
discipline. Paul a été plusieurs fois récupéré par ses parents à la
gendarmerie, pour des faits de dégradation et feux de poubelles. Ses parents
étant des notables connus, le commandant de gendarmerie a passé l’éponge
plusieurs fois, mais a prévenu ses parents que son esprit d’insoumis lui ferait
faire des bêtises plus importantes et qu’ils devraient le reprendre en main,
afin qu’il ne dérive pas dans la délinquance.
Quant à
Arnaud, presque dix-neuf ans, est un élève plus que moyen, plus intéressé par
les filles que par son travail scolaire, ce qui lui a fait redoubler sa
terminale. Il a eu son Baccalauréat au rattrapage. La discipline n’est pas son
fort, car il s’est déjà vu exclure deux ou trois fois dans son ancien collège
pour des mains aux fesses sur des filles et le fait d’avoir détaché le lacet du
haut du maillot de bain deux pièces d’une élève en cours de natation, ce qui
lui a valu le conseil de discipline et le renvoi. Pour Arnaud, ces faits ne
sont pas graves, « il n’y a pas mort
d’homme », comme il dit. Pour l’épisode du maillot de bain, il s’est
défendu en disant que si sa camarade avait mis un maillot de bain une pièce, ça
ne serait pas arrivé.
Pour ces
deux élèves, la scolarisation à l’école Ste croix est jugée bénéfique, car le
fait que cette école soit stricte leur mettra du « plomb dans la
tête ». Leurs parents espèrent qu’ils s’amenderont et réussiront leurs
études.
Paul et
Arnaud sont amis, car tout le monde sait que « qui se ressemble, s’assemble ». Mal leur en prendra !
Ayant
« oublié » de réviser ! Paul et Arnaud échouent à l’un de leur
contrôle de mathématique et ils ont du ressentiment pour leur professeur, Isabelle
S, qui selon eux les a « saqués » lors du contrôle.
Pour se
venger, Paul et Arnaud décident d’utiliser un extincteur et de le vider dans la
classe de leur professeure de mathématique. Le tout serait de ne pas se faire
prendre. Le meilleur moment serait durant la pause déjeuner lorsque les élèves
sont à la cantine. Les bâtiments sont généralement vides et ils pourront mettre
leur plan à exécution, en toute tranquillité.
Pour que
leur plan se déroule sans fausses notes, les deux amis préparent leur coup et
repèrent les lieux en regardant tous les endroits où se trouvent les
extincteurs. Par chance pour eux, l’un d’eux est placé près de la salle des
professeurs, mais il faudra faire au moins trente mètres pour aller jusqu’à la
salle de leur professeure de mathématique.
Durant
plusieurs jours, les deux compères simulent leur action. Ils quittent le
réfectoire un peu plus tôt que les autres, entrent dans le bâtiment et font
comme si de rien n’était. Les trois tentatives à blanc se passent bien.
Personne ne vient troubler leur tranquillité.
En fin de
semaine suivante, Paul et Arnaud décident de passer à l’action. De plus, ils
auront mathématique l’après-midi même, et de ce fait, ça leur permettra de
faire d’une pierre deux coups, se venger de la dernière sale note et rater le
cours, car la salle sera maculée de mousse et donc inutilisable. Leur « coup
d’éclat » devrait faire le tour de l’établissement, assez rapidement.
Conformément
à leur plan, Paul et Arnaud quittent le réfectoire discrètement et se rendent
dans le bâtiment, par une porte arrière, de sorte de ne pas se faire repérer.
Montant les étages rapidement, ils se saisissent de l’extincteur et se dirigent
vers la salle de mathématique. Tout est calme et ils entrent dans la salle qui
n’est pas fermée à clef. Retirant les sécurités de l’extincteur, ils actionnent
la poignée et libère la neige carbonique. Rapidement les tables, chaises et les
murs sont recouverts par la mousse rendant la salle inutilisable.
Leur
vengeance terminée, les deux amis sortent de la salle et se dirigent vers la
sortie. Les cours de l’après-midi vont reprendre dans quelques instants et
quelques élèves font déjà leur apparition dans le bâtiment. En croisant un
professeur, celui-ci fait remarquer à Arnaud que son bas de pantalon porte des
traces blanches et conformément au règlement intérieur, la tenue doit être
impeccable, même si les élèves portent un jean.
Rapidement,
le saccage de la salle de mathématique est constaté. Affolée, la professeure Isabelle
S va se plaindre auprès de la proviseure, Fabienne D Les élèves sont stupéfaits
de voir leur salle de cours toute blanche. La proviseure arrive, constate les
dégâts et promet que cet acte sera puni très sévèrement, car des frais importants
devront être engagés pour remettre la salle en état et pour faire recharger
l’extincteur.
Lorsque
les élèves sont partis, un conseil des professeurs a lieu en fin de soirée pour
l’incident de la salle de mathématique. Au cours de la réunion, un professeur
dit avoir vu un élève avec des taches blanches sur le bas de son jean. Traces
qui pourraient correspondre à des résidus de mousse de l’extincteur.
Après
quelques recherches, le professeur reconnait Arnaud et celui-ci était
accompagné de Paul. Curieusement, ceux-ci sortaient du bâtiment, alors qu’à
l’heure où ils se sont croisés, les deux garçons auraient dû rentrer dans le
flot des élèves allant en cours. Ces deux éléments font que la proviseure
décide de les convoquer dans son bureau, dès le lendemain pour leur poser des
questions sur l’incident.
Le
lendemain, Paul et Arnaud sont appelés au bureau de la proviseure. Tout d’abord
interloqués, puis passablement inquiets, les deux garçons se rendent chez la proviseure.
En chemin, ils se posent des questions, car comme personne ne les a vu saccager
la salle, ils espèrent que leur convocation concerne une toute autre raison.
La
proviseure, le professeur qui les a croisés et leur professeur principal Aline
F sont présents. Les deux garçons reconnaissent le professeur et Arnaud se
souvient de sa remarque. A cet instant, il devient tout rouge, se sentant pris
au piège, car il en est sûr à présent, c’est pour le saccage de la classe que
lui et Paul sont devant leur proviseure.
Avec les
questions de Fabienne D les derniers doutes s’envolent et ils sont bien
suspectés d’avoir volontairement saccagé la salle. Pour leur défense, ils
disent que la tâche du pantalon a été faite en dehors de l’établissement, mais
Arnaud ne se rappelle plus où. Fabienne D lui dit que, comme par hasard, le
jour où une classe est remplie de mousse, on retrouve sur le bas de son
pantalon une tache similaire, la mémoire fait défaut sur son origine et s’il
n’avait rien à se reprocher, pourquoi rougir à ce point ? Fabienne D
trouve que cela fait beaucoup d’éléments à charge. Elle décide de monter un
conseil de discipline, qui réunira les professeurs et Léa, la déléguée de
classe. Les deux garçons repartent en cours.
Au cours
des jours qui suivent, l’attitude des deux garçons change, ils sont moins
hautains, car savoir qu’ils vont être passés en conseil de discipline ne les
réjouit pas. Leurs parents vont encore leur passer un sacré savon !
La
semaine suivante, le conseil de discipline se réunit et délibère durant plus
d’une heure, car les uns prennent en compte la tâche et l’attitude coupable
d’Arnaud, pour les autres, ces éléments sont troublants, certes, mais ne
constituent pas une preuve irréfutable.
Lors du
vote, une courte majorité de voix s’élève pour dire que les deux garçons sont
coupables. Léa, qui n’aime pas ce dragueur d’Arnaud, vote pour leur
culpabilité. Se faire punir le fera surement changer d’attitude concernant ses
manières envers les filles. De toute façon, c’est sa façon de se venger, du
fait, qu’un jour, Arnaud l’avait sifflé et lui disant qu’elle avait de jolis
gros seins et ça, en public. Léa en avait été humiliée et elle ne lui
pardonnera pas cet affront de sitôt.
Vient le
moment de déterminer la punition : Le règlement intérieur stipule que pour
les fautes graves, des punitions corporelles peut être envisagées, tel que la
fessée publique ou non.
Là
encore, il y a débat en disant que la fessée publique aura des répercussions
sur le moral des deux garçons. Ils risquent d’en garder un traumatisme, même
mineur. D’autres, au contraire, disent qu’en raison de la gravité de ce qu’on
leur reproche, une sévère fessée publique leur fera du bien et fera un exemple
pour les autres élèves, car l’école a une excellente réputation, et il est hors
de question de laisser deux élèves venir salir cette notoriété acquise après
bien des années.
Après
avoir écouté les remarques de chacun, Fabienne D questionne Léa pour recueillir
son avis. Léa se montre ferme quant à la sévérité à appliquer. Elle sait que sa
voix va compter dans la prise de décision et savoure déjà !
Fabienne
D prononce le verdict : cinquante coups de martinet sur les fesses nues
des deux garçons et une semaine d’exclusion. Les fessées auront lieu en public,
au centre de la cour, devant tous les professeurs et tous les élèves. Les
martinets utilisés seront ceux à sept longues lanières de cuir.
En
écoutant la proviseure prononcer le verdict, Léa est aux anges, car sa
vengeance va pouvoir avoir lieu. Elle sent que son fond de culotte se mouille,
tant elle est excitée à l’idée de voir ces deux garçons se faire fesser devant
elle. Elle s’en réjouit d’avance.
En
sortant du conseil de discipline, Léa se précipite vers les toilettes,
s’enferme dans une cabine, retire sa culotte déjà bien trempée, et se masturbe
énergiquement tout en se caressant la poitrine, au point de pousser un cri
étouffé lorsqu’elle jouit, imaginant déjà les deux garçons gigotant en recevant
la fessée devant tout le monde.
Fabienne
D envoie un email aux parents des deux punis, en stipulant la faute commise et
le verdict du conseil de discipline. Elle mentionne qu’en cas de refus
d’application de la fessée publique, il y aurait une plainte déposée à la
gendarmerie et bien évidemment, il y aura une exclusion définitive et avec
cela, leurs enfants ne pourraient plus être scolarisés dans une autre école de
bonne renommée.
La
réponse des parents de Paul et d’Arnaud est bien évidemment qu’ils donnent leur
accord pour que leurs fils soient corrigés comme il se doit. Ils donnent
également leur accord pour l’exclusion temporaire de l’école d’une semaine. Les
parents des deux élèves assurent à la proviseure qu’ils seront repris en main,
également à la maison.
Le vendredi,
jour de la punition des deux garçons, ceux-ci sont convoqués à l’infirmerie. Fabienne
D leur ordonne de retirer leur pantalon et leur slip afin que l’infirmière Laetitia
F les examine. Résignés, les deux garçons ôtent leurs vêtements, ne gardant que
leur tee-shirt. Etant à moitié nus devant des femmes, la réaction est
immédiate, leur pénis se dresse, faisant rire la proviseure qui leur dit qu’ils
font moins les malins, à présent. Tête basse, ils se laissent examiner par
l’infirmière qui prend tout son temps pour la palpation des fesses et des
cuisses, n’hésitant pas à examiner minutieusement leur pénis, leurs testicules,
allant même jusqu’à retrousser leur prépuce pour examiner leur gland. Les deux
garçons sont rouges pivoine de honte de se faire palper de la sorte. Après
l’examen, Laetitia F les déclare apte à être fessés. Elle signe le formulaire
médical, attestant de leur bonne forme physique. Devant leur mine déconfite,
l’infirmière dit aux deux garçons d’arrêter de faire cette tête car après tout,
ce n’est qu’une fessée qu’ils vont recevoir !
Fabienne
D et Laetitia F emmènent les deux garçons vers la cour, où les attendent déjà
tous les professeurs et tous les élèves, tous ravis d’assister à deux fessées
publiques. Les filles gloussent déjà en les voyant arriver, le bas du corps nu.
Les deux garçons tentent de cacher leur pénis en érection maximale.
Au centre
de la cour, la proviseure informe les spectateurs de la raison de leur présence
et la faute grave commis par Paul et Arnaud, ainsi que la sentence qui va être
appliquée par deux femmes, la professeure principale Aline F et la professeure
de mathématique Isabelle S. Toutes deux sont munis d’un martinet à sept longues
lanières.
Le
premier à se faire fesser sera Arnaud. La proviseure lui impose de se courber
en écartant bien les cuisses et de se tenir à une barre. Cette position est
très humiliante, car il est obligé de découvrir complètement son pénis dressé
et ses cuisses écartées laissent voir ses testicules. Des commentaires et des
rires montent du public, ce qui fait sangloter Arnaud. Après s’être fait fesser
et s’être rendu ridicule en public, il fera moins le fanfaron devant les filles
qu’il égratignait de ses commentaires peu élogieux !
Aline F
et Isabelle S se mettent de part et d’autre d’Arnaud. De cette façon, chaque
fesse et chaque cuisse seront cinglées. Il y aura quinze cinglées sur chaque
fesse et dix cinglées sur chaque cuisse.
Fabienne
D autorise le début de la première fessée. Les fesseuses prennent un peu d’élan
et font claquer les lanières de leur martinet sur les fesses d’Arnaud, qui se
contracte, grimaçant en serrant la barre pour résister à la vague de chaleur
qui lui traverse le bas du corps. Bientôt les deux globes fessiers d’Arnaud
sont rouge vif. Ses premiers gémissements ne tardent pas, puis sont vite
remplacés par des cris de douleur. Pour tenter de résister à la douleur qui le
submerge, Arnaud contracte les fesses et les cuisses frénétiquement. Il tente
de mettre ses mains en protection de ses fesses, mais la proviseure lui ordonne
de les retirer sous peine d’augmenter le nombre de fouettées, ce qui convainc
Arnaud de retirer prestement ses mains. Arnaud
demande pardon, en pleurant. Il implore qu’il a compris et qu’il sera sage, à
présent. Ces piètres excuses n’interrompent pas les cinglées.
A force
de contracter les fesses et les cuisses, une réaction inopinée et incontrôlée a
lieu, il éjacule. Toutes les filles pouffent de rire en voyant deux jets de
sperme. En y regardant bien, on peut voir quelques filles se toucher
discrètement, en regardant ce spectacle super excitant.
A la fin
de la punition, Arnaud tombe à genoux, les fesses et les cuisses en feu,
rouges, marquées et boursoufflées, Arnaud est trempé de sueur, tant il s’est
contorsionné. Aline F et Isabelle S le relèvent pour que l’infirmière puisse
l’examiner. Arnaud ne pense même plus à cacher son pénis dont le gland rouge
est parfaitement visible, il se laisse faire. Laetitia F lui applique un peu de
crème sur les traces rouges, faisant gémir Arnaud, dont le tee-shirt trempé de
sueur lui colle à la peau.
Paul, qui
vient de voir son copain se faire fesser tente de résister en suppliant mais
lorsque Fabienne D le menace de dix cinglées supplémentaires, Paul cesse toute
résistance. Sans pouvoir se retenir, Paul urine de peur, ce qui fait redoubler
les rires dans l’assistance.
Lorsqu’il
en position, Aline F et Isabelle S se mettent de part et d’autre de Paul et le
cinglent de la même manière qu’Arnaud. Paul, plus courageux que son copain,
résiste mieux, ce qui ne l’empêche pas de crier et de supplier d’arrêter
lorsque la douleur devient intense, avec la répétition des cinglées. Lui aussi
a les fesses et les cuisses bien marquées. Aline F et Isabelle S sont elles
aussi excitées en fessant les deux garçons.
Lorsque
les deux femmes terminent la punition, Paul s’écroule, lui aussi, en pleurs,
trempé de sueur. Il faut dire qu’en ce début d’après-midi, le temps est
particulièrement chaud et les multiples contorsions dues à leur fessée les ont
fait beaucoup transpirer.
Fabienne
D rappelle à l’ensemble des élèves ce qu’il en coute de transgresser les règles
de l’établissement. A bon entendeur,
salut !
Durant
l’après-midi, les toilettes des filles furent très occupées et des gémissements
sont entendus par les filles qui attendaient leur tour.
Aline F,
Isabelle S et Laetitia F emmènent les deux punis à l’infirmerie, afin d’enduire
leurs fesses et leurs cuisses de crème et surtout pour leur faire prendre une
douche.
A
l’infirmerie, les deux garçons retirent leur tee-shirt trempé de sueur. Laetitia
F leur interdit de les remettre après, de peur qu’ils prennent froid. De ce
fait, ils assisteront aux cours de l’après-midi, entièrement nus. Ils seront
autorisés à se rhabiller qu’à la sortie des cours, pour rentrer chez eux et
viendront se rhabiller à l’infirmerie, où leur tee-shirt est en train de sécher.
L’infirmière leur donne à boire, pour les réhydrater, du fait de leurs efforts.
Léa est
appelée à l’infirmerie afin de raccompagner ses camarades dans leur classe. Léa
est fière de se présenter à l’infirmerie et de prendre en charge ces deux
garçons nus, qui n’auront pas le droit de se cacher les parties intimes, sous
peine d’une sanction supplémentaire. Durant tout le trajet les menant à leur classe,
Léa regarde attentivement les deux pénis des deux garçons, souriant de plaisir.
Au lieu de prendre le chemin le plus court, Léa fait traverser la cour aux deux
garçons, les mettant à la vue des élèves qui ne sont pas encore rentrés. Des
moqueries sont encore entendues.
En
pénétrant dans la classe, les deux garçons sont accueillis par la professeure
d’anglais, Suzan W, qui les fait se mettre au premier rang à genoux devant leur
table, car la position assise est très douloureuse. Elle s’arrange pour les
envoyer tous les deux au tableau, sous prétexte de leur faire faire un
exercice, se moquant éperdument du fait qu’ils soient nus devant toute la
classe.
Suzan W
invective quatre filles, Manon, Chloé, Iourievna et Olga, qui sont toutes
excitées de voir les pénis des garçons en érection, et si elles continuent de
perturber le cours avec leurs gloussements ridicules, elle se fera un plaisir
de les fesser cul nu, elles-aussi, devant leurs camarades, avertissement qui
met, de suite, un frein à leurs piaillements.
Pendant
que Paul est au tableau et tente de réciter un texte en bafouillant de honte, Suzan
W surprend Olga, un sourire bête sur son visage. La professeure lui ordonne de
venir la rejoindre sur l’estrade et la sermonne. Elle lui dit qu’elle l’avait
déjà avertie. Elle lui ordonne de se pencher, en appui sur le bureau, puis Suzan
W prend son paddle en bois. Olga prend peur et s’excuse en disant qu’elle n’a
pas pu s’empêcher. La professeure lui donne cinq grands coups de paddle sur les
fesses à travers son jean. Olga crie de douleur à chaque claque. En repartant à
sa place, les deux mains se massant les fesses meurtries, Suzan W lui demande
si elle a encore envie de sourire ? Olga dit que non. Suzan W lui dit
qu’elle a de la chance d’être bonne élève, mais assure que si elle devait la
reprendre une autre fois, la fessée serait entièrement déculottée devant les
autres élèves.
Durant
l’intercours, les deux garçons sont obligés de croiser les autres élèves des
autres classes dans le couloir, ce qui leur fait baisser la tête, conscient du
fait que les filles se moquent d’eux en les regardant. Leur érection n’en est
que renforcée.
Lorsque
le dernier cours est fini, Léa emmène Paul et Arnaud à l’infirmerie pour
récupérer leurs vêtements. Laetitia F qui a fait sécher les deux tee-shirt au
soleil, leur donne. Laetitia F inspecte une dernière fois les fesses et les
cuisses des deux punis et les rassure en leur disant que les marques sont plus
spectaculaires que graves. D’ici deux ou trois jours, il n’y paraitra plus
rien, par contre, la position assise sera très compliquée durant cette période.
Avec précaution, les deux garçons enfilent leur jeans, sans pouvoir mettre leur
slip, tant le feu est toujours présent. Pendant ce temps, Laetitia F rempli le
formulaire médical de sortie de l’infirmerie.
Paul et
Arnaud sortent de l’école pour rentrer chez eux. Cette correction publique les
aura vaccinés contre toute autre dégradation.
Paul et
Arnaud sont absents durant la semaine suivante, mais le plus dur est lors de
leur retour en cours, car tous les autres élèves les regardent en biais,
souriant en se moquant, surtout les filles qui ne se privent pas de faire des
commentaires sur leur punition et leurs attributs masculins, ce qui les fait
rougir de honte.
Une série écrite par Elena
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1
Et voici la suite la suite : le chapitre 3
Et voici la suite la suite : le chapitre 3
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Bonjour Elena,
RépondreSupprimerWahou ! L'école Sainte-Croix est aussi redoutable que l'Institut Sainte-Marie...
Paul et Arnaud paient cher leur mauvaise blague. Dans cette école où tout semble être dirigé par ces dames , de la direction aux cuisines, ils ne peuvent guère trouver de soutien masculin. la fessée publique cul nu au martinet ??? Quelle honte. Serrez les dents, champions. On vous soutient par la pensée.
Excellent récit. Réaliste. Un bon scénario pour une mini-BD.
Amicalement. Peter.
Bonjour,
RépondreSupprimerAh l'arrogance machiste de l'ami Arnaud! "Si les filles portaient des maillots une pièce..." Etc. C'est vrai quoi, si elles sortaient en armure on ne serait pas tenté de leur mettre la main aux fesses! C'est de leur faute.
Pour le coup ce n'est pas une main qu'ils prennent sur les fesses! Oula la! Croix de bois, croix de cuir, à St Croix ça ne rigole pas. Chemin de croix aux lanières pour deux lascars, les corrections sont à la hauteur de leur bêtise. Plus proches de l'administration du fouet pour marins rebelles à l'époque des bateaux à voiles que de la fessée domestique à la main un peu glamour.
Description précise et sans tabou, des punitions et des réactions physiologique sexuelles des personnages garçons et filles. Réflexes érectiles et masturbatoires rarement exprimés de manière aussi explicite qu'objective. Nous somme vraiment dans une atmosphère de punition dure, sans concession... Les Demoiselles prennent leur revanche avec jubilation et les garçons la raclée méritée.
Plutôt drôle les visites médicales pour constater les dispositions physiques avant fessée et l"ampleur des "dégâts après fouettée. Et pour couronner le tout, en classe , tout nu au tableau ! On l'imagine le tableau!...
Fessée d'amplitude pour rebelle attitude!
Cordialement
Ramina
Bonjour à Peter et Ramina.
RépondreSupprimerComme d'habitude, de bons commentaires, pleins d'à propos et de jeux de mots sympas. Merci à tous les 2.
Mes textes sont un peu en décalage avec ce que vous avez pu lire. J'ai en tête des chronologies précises pour ces jeunes gens qui n'en font qu'à leur tête. Par contre, n'ayant crainte, le cuir de ces jeunes ne sera que rougi, juste assez pour leur faire comprendre que la vie en société est régie par des comportements irréprochables, donc rien à voir avec les fouettée des marins sur les bateaux à voiles, loin s'en faut.
Après ce genre de punitions, je pense que ces 2 jeunes adultes en recherche d'affirmation de soi en resteront coi et ne s'y aviseront plus.
Salutations.
Elena
Un vrai régal. Ces deux fessées sont lentement amenées. On nous fournit de nombreux détails sur la situation et la psychologie de Paul et d'Arnaud, ce qui contribue à nous les faire parfaitement visualiser. Peut-être plus encore que les cinglées au martinet, dont la cuisson s'estompera au bout de quelques jours, ce sont sans doute les rires et moqueries des filles dont ces deux garçons garderont le souvenir le plus cuisant. D'autant qu'ils seront amenés à les croiser et recroiser encore et encore. Et même peut-être, à une occasion ou à une autre, bien des années plus tard. De quoi regretter amèrement d'avoir voulu jouer de l'extincteur.
RépondreSupprimerQuant à Léa, aux autres professeurs et à leurs camarades de classe filles, elles repenseront sans doute longtemps avec un infini plaisir au spectacle que ces deux garçons leur ont généreusement offert bien malgré eux. Pour leur plus grande mortification.
Bonjour Francois-Fabien,
RépondreSupprimerMerci pour votre compliment. Ca me touche beaucoup. Vous avez parfaitement cerné le contexte et l'idée que je voulais donner aux lecteurs. Les deux garçons ne joueront plus aux malins, avant longtemps. De plus, croiser des spectatrices qui ont assistées à la fessée va être surement très humiliant pour ces deux garnements, même des années plus tard. On oublie pas ces moments là... Ca rajoute une punition à la punition déjà reçue, quelque chose de plus psychologique.
Salutations.
Elena.