Florence se mit à courir.
« Florence, cria Tatie
Nathalie, ça suffit ! Reviens-ici ! »
La force de la voix ? Le
poids de l’habitude ? L’autorité naturelle ? La certitude d’une
future punition magistrale ? Florence s’arrêta, puis elle revint là où
Tatie Nathalie l’attendait.
Les trois personnes qui passaient
se figèrent sur place au son des éclats de voix de Tatie Nathalie. Elles
restèrent pétrifiées quand elles prirent conscience de la tenue dans laquelle
une jeune femme traversait la rue juste devant eux.
Tatie Nathalie ramena Florence
sur le trottoir en la tenant par le bras. Juste sous le lampadaire de
l’éclairage public, elle s’arrêta. Florence ne fit rien pour éviter de se
trouver courbée sous le coude de Tatie Nathalie. Elle était résignée à son sort
et commença à pleurer.
« C’est une désobéissance de trop, jeune
fille. Tu as vraiment besoin d’une bonne fessée. »
Dès les premières claques, les
pleurs de Florence se transformèrent en cris désespérés. Ils redoublaient à
chaque fois que la main de Tatie Nathalie provoquait un claquement sec sur ses
fesses. Ce fut d’abord un rythme lent, mais Tatie Nathalie cherchait à donner une
grande vitesse à son bras afin que l’énergie qui se dissipait sur les fesses de
Florence, soit à son plus haut niveau. Puis, quand le rythme s’accéléra,
Florence ne produisit plus qu’une longue plainte modulée par la douleur sur ses
fesses.
Les trois spectateurs étaient
placés à moins de deux mètres. Leur ressemblance permettait de supposer qu’ils
appartenaient à la même famille. La femme devait être la mère des deux jeunes
adultes qui semblaient avoir aux environs de vingt ans. Ils contemplaient la
scène mais ils avaient adopté des attitudes bien différentes. La jeune femme paraissait
révoltée par le traitement réservé à Florence. Sans doute son appartenance au
même sexe et son âge proche l’amenaient à une empathie qui pouvait se
comprendre. Elle devait confusément s’imaginer à la place de Florence. Le jeune
homme était suffoqué. Il ne bougeait pas d’un poil, à peine s’il respirait. La
femme d’âge mûr semblait en pleine réflexion, comme si la scène qui se
déroulait devant elle lui ouvrait de nouveaux horizons.
Quand Tatie Nathalie mit fin à la
fessée, elle libéra Florence qui sembla un peu égarée dans un premier temps.
Puis, elle aperçut les trois personnes qui avaient assisté à sa fessée. Elle
cacha sa tête dans ses mains. Puis, elle regarda vers la porte de sa maison
comme un horizon inaccessible. Enfin elle se tourna vers Tatie Nathalie, elle
hésita et sur un signe de tête de Tatie Nathalie, elle se réfugia dans ses
bras. Tatie Nathalie ouvrit les bras elle y accueilli Florence. Elle l’y
enserra étroitement en lui chuchotant doucement à l’oreille des petits mots de
consolation. Florence s’apaisa rapidement.
La jeune spectatrice en sembla
outrée. Elle ne put s’empêcher de l’exprimer ouvertement.
« C’est scandaleux de
traiter une adulte de cette façon ! Vous devriez avoir honte ! »
Tatie Nathalie la regarda. Elle
fronça les sourcils.
« Regardez bien ce que
Florence fait dans mes bras. Croyez-vous qu’elle ne soit pas consciente d’avoir
mérité cette fessée ? »
La jeune femme n’avait pas vu
sous cet angle ce à quoi elle avait assisté. Elle hésita dans sa réponse.
« Euh … dit-elle, je ne sais
pas mais … devant tout le monde … dans le rue.
– Oui, exactement là où elle a
été méritée, n’est-ce pas Florence ? »
Tatie Nathalie écarta Florence de
sa poitrine où elle avait enfoui son visage.
« Oui Tatie, répondit
Florence.
– Est-ce que tu vas recommencer à
désobéir ?
– Oh non Tatie.
– Voyez-vous, Mademoiselle, Tatie
Nathalie s’adressait de nouveau à la jeune spectatrice, j’ai bien l’impression
que vous êtes intervenue intempestivement, sans comprendre ce qui se jouait et
de façon tout à fait impertinente, voire insolente.
– Oh, mais vous n’avez …
– Peut-être serait-il temps que
vous écoutiez ce que disent vos aînés, Mademoiselle et que vous réfléchissiez
aux moments où il est inopportun d’intervenir.
– Ce n’est pas vous qui allez me
dire quand j’ai le droit d’intervenir !
– Voulez-vous prendre la place
qui était celle de Florence il y a quelques minutes, pour vous apprendre la
politesse ?
– Croyez-vous que si je décide de
vous fesser, je vais vous demander votre avis. Voulez-vous que nous essayions,
pour voir ce que cela donne ?
– Euh non, je …
– Je vous ai dit que je ne
voulais plus vous entendre ! »
La jeune femme regarda autour
d’elle pour chercher du soutien. Son frère regardait ses chaussures et le
regard de sa mère lui semblait plutôt réprobateur à son égard. La détermination
qu’elle lut dans le regard de Tatie Nathalie la dissuada de répondre.
« Je suis désolé d’avoir à
vous dire cela, Madame, mais votre fille est très mal élevée. Il lui a
probablement manqué quelques fessées quand elle était plus petite. Rattraper
tout cela va être bien compliqué, mais vous devriez vous y mettre sans tarder.
– Oui, je ne suis pas loin de
penser la même chose que vous. Je pensais que cela s’améliorerait avec l’âge,
mais ce n’est pas vraiment le cas. Elle est toujours aussi insupportable et à
se mêler sans cesse de tout ce qui ne la regarde pas. C’est une habitude
qu’elle a prise à l’adolescence et je ne suis pas arrivée à la lui faire
passer.
– C’est bien ce qu’il m’a semblé.
Il est temps de changer de méthode. Vous devriez prendre des mesures
drastiques.
– Vous voulez dire … utiliser la
fessée ?
– Maman, protesta la jeune
femme. »
Tatie Nathalie écarta Florence
qui était toujours accrochée à elle.
« Florence, tu vas rentrer à
la maison et tu iras m’attendre au coin. »
Florence hocha la tête et prit la
direction indiquée. Tatie Nathalie la suivit un court instant des yeux, puis,
sans crier gare, elle saisit la jeune femme et elle la courba sous son coude.
« Ah ! Que
faites-vous ! »
Elle portait un pantalon qui
amortit certainement les claques que lui donna aussitôt Tatie Nathalie, mais
cela suffit pour qu’elle exprime la douleur qu’avait provoquée la main claquant
ses fesses. Elle avait déjà reçue quatre ou cinq claques qu’elle avait ponctué
d’autant de cris, quand elle pensa à protéger ses fesses. Tatie Nathalie prit
cette main qui n’était pas à sa place et elle l’emprisonna dans la sienne qu’elle
avait placé sous le ventre de la jeune femme pour la maintenir en place. La
fessée reprit, énergique. Une tentative pour se relever échoua lamentablement.
« Ne vous avais-je pas dit
que je ne voulais plus vous entendre ? »
Quatre, cinq claques sur chaque
fesse.
« Interrompre des grandes
personnes quand elles parlent, c’est très impoli. »
Une dizaine de claques encore
plus vigoureuses que les premières.
« As-tu compris ou faut-il que je continue ? »
La main imprima encore une
dizaine de points douloureux sur les fesses.
« Aïe, … non Madame, aïe, …
pardon, aïe, … je vais me taire, aïe, … »
Tatie Nathalie relâcha sa
victime.
« La prochaine fois, ce sera
une fessée déculottée ! Ai-je été claire ?
– Oui Madame. »
Durant toute la fessée, le visage
de la mère s’était éclairé.
« C’est fantastique comme
elle vous obéit. Cela fait plus de dix ans que je ne l’avais pas vu aussi
prompte à accéder à une demande qu’on lui fait.
– Vous n’utilisiez pas la bonne
méthode.
– Votre démonstration est
éloquente. Dorénavant je vais la fesser à chaque fois qu’elle désobéira et
aussi quand elle sera impolie.
– Je vous promets un changement
radical de comportement. »
Le garçon fit l’erreur de réagir
au mauvais moment.
« Ce sera pareil pour toi
Florian. Charlotte et toi vous recevrez la fessée quand vous l’aurez méritée.
– Mais, Maman, nous sommes trop
grands ! C’est pour les enfants !
– J’ai l’impression que nous
avons eu, ce soir, la démonstration que cela marchait parfaitement avec les
plus grands.
– Mais tu ne peux pas …
– Ah oui ? »
Elle donna une claque d’une force
certaine sur les fesses de son garçon. Bien qu’il ait un pantalon, un cri lui
échappa et il frotta ses fesses à l’endroit où il sentait encore les effets que
la main de sa mère avait provoqués.
« Redis-moi encore une fois
que je ne peux pas et je te montre ici et maintenant, sur ce trottoir ce que ça
fait de recevoir une fessée déculottée en public ! »
Florian regarda sa mère et il ne
vit aucune hésitation dans ses yeux.
« Au besoin, proposa Tatie
Nathalie, appelez-moi. S’il prend l’envie à l’un de vos deux enfants de refuser
une fessée, je suis prête à venir vous aider à le déculotter, de force s’il le
faut, et à lui donner une correction qu’il n’oubliera pas de sitôt.
– Je vous en remercie, mais
j’espère ne pas avoir besoin de faire appel à vos service, n’est-ce pas
Florian ? »
Le garçon ne répondit pas. Une
nouvelle claque sur les fesses le fit changer d’avis.
« C’est tout autant impoli
de parler à tort et à travers comme ta sœur que de ne pas répondre quand tu es
questionné. Je te repose la question : feras-tu des difficultés quand il
s’agira de te baisser la culotte pour te donner une fessée ? »
Le moment d’hésitation fut court.
Sa Maman fit un pas vers lui, confirmant sa résolution d’aller au bout de la
situation.
« Non Maman,
j’obéirai ! »
Il y avait de l’urgence dans sa
voix afin d’interrompre l’action que sa mère avait commencée. Il espérait que
sa soumission suffirait pour que sa mère ne tente pas de le déculotter et de le
fesser séance tenante. Avec l’appui de l’autre personne qui venait de proposer
ses services, il se doutait qu’elle arriverait à ses fins. Il était préférable
de retarder le moment où il prendrait une première vraie fessée afin de ne pas
donner l’habitude trop tôt à se mère de recourir à ce mode de punition. Une
fois le pli pris …
« Et toi, Charlotte ?
– Non Maman, moi non plus. Je
serai sage. »
La satisfaction se lisait sur le
visage de leur Maman.
« Je suis très contente de
vous avoir rencontrée. En quelques minutes, vous avez changé l’attitude de ces
deux garnements. Je vous en remercie. J’espère que cela durera.
– Il ne tient qu’à vous. Ne
laissez rien passer ! Faites en sorte que les premières fessées soient
assez démonstratives afin qu’ils apprennent à les craindre. Ensuite, tout sera
plus simple. Si besoin, n’hésitez pas à m’appeler ! »
Les deux jeunes adultes
n’arrivaient pas à cacher leur inquiétude face à la tournure que prenait cette
rencontre fortuite.
« Excusez-moi de vous laisser,
mais j’ai mes deux punis qui m’attendent. Je ne voudrais pas les décevoir.
– Nous devons également rentrer.
J’ai quelques détails à mettre au point avec ces jeunes gens, dit-elle en
désignant ses enfants. Encore merci pour votre intervention. Allons, on y
va ! »
Tatie Nathalie regarda le trio
s’éloigner. La mère semblait ravie, les deux jeunes adultes beaucoup moins. Ils
ne mesuraient pas encore les changements que ces quelques minutes passées sur
un trottoir, allaient provoquer dans leur vie.
Tatie Nathalie hocha la tête.
« Cela nécessitera quelques
temps, mais voilà une famille qui va remettre ses jeunes gens dans le droit
chemin. »
Elle se dirigea, en soupirant,
vers la maison où Florence l’attendait.
Je commençais à ne plus pouvoir tenir
ma posture au coin. Le temps était très long. J’espérais le retour de Tatie
Nathalie, tout en sachant ce qui m’arriverait dès qu’elle aurait franchi la
porte.
« A nous deux, mon
garçon ! Il est temps que j’entretienne la rougeur de tes fesses. Je les ai
laissées un peu trop refroidir. »
Cette deuxième fessée n’avait
rien à voir avec la première. Tatie Nathalie n’utilisa que sa main et de façon
assez modérée. Il s’agissait juste de me maintenir dans mon statut de puni. Une
piqure de rappel en quelque sorte. Cela suffit pour redonner corps à la cuisson
de mes fesses, ce qui m’empêcha de passer mon dîner calmement assis sur mes
deux fesses.
Plus que la troisième fessée qui
m’était promise après de repas, je craignais de devoir passer toute la soirée
au coin. Je savais qu’il ne serait pas nécessaire de me fesser trop sévèrement
pour atteindre des niveaux importants de douleur. L’accumulation des
corrections se faisait sentir et elle produisait son effet. Tatie Nathalie le
savait et elle saurait se contenter d’une bonne fessée qui n’irait pas au-delà
du supportable comme l’avait été celle qu’elle m’avait donnée en début de
soirée.
Je n’étais pas certain, en cas de
longue mise au coin, de réussir à tenir l’immobilité requise. J’avais vécu,
avant le repas, l’un des plus longs temps au coin que j’avais connu. Il se
rajoutait à ceux que j’avais subis dans la journée. Reprendre la même position
contraignant mes muscles, après l’avoir quittée peu de temps auparavant,
accélérait l’apparition de l’engourdissement et des crampes. Combien de temps
pourrais-je tenir au cas où Tatie Nathalie me remettrait au coin ?
La soirée ne se passa pas tout à
fait comme je l’anticipais.
Tatie Nathalie se contenta d’une
fessée à main nue, mais j’en avais sous-estimé les effets.
La fessée à main nue, si elle est
correctement donnée, provoque une douleur instantanée quasiment aussi forte
qu’avec un instrument punitif. Par contre, la cuisson, restant en surface, s’en
dissipe bien plus vite alors que celle résultant de l’utilisation d’un ustensile
qui provoque des effets en profondeur, est bien plus persistante.
Ce soir-là, la fessée à main nue
réveilla la douleur profonde. Alors que je m’attendais à une atténuation
rapide, j’en ressentis les conséquences longtemps après que j’eus été mis au
coin. Tatie Nathalie sut introduire de la variété dans mon temps de pénitence.
Je n’y restais pas bien longtemps, mais je le passais à genoux. La difficulté
n’était plus tant de tenir l’immobilité sous peine d’une autre correction, mais
de rester sans bouger afin de ne pas torturer mes genoux sur lesquels tout mon
poids reposait.
Tatie Nathalie me délivra au
moment où je ne pouvais plus tenir.
« Lève-toi, Axel. Je vais te
mettre au lit. »
Il n’était que vingt et une
heure, mais je n’allais pas m’en plaindre. Mieux valait être dans mon lit qu’à
genoux au coin.
Le rituel de coucher commença,
comme habituellement, par ma toilette. Tatie Nathalie me déshabilla et elle entama
une toilette qui était plus approfondie que d’habitude. Elle insista
particulièrement sur mes fesses, mon entrejambe, mes organes sexuels et le haut
de mes cuisses.
Je n’en compris pas tout de suite
la raison, même quand, de retour dans ma chambre, elle ne me passa que le haut
de mon pyjama, puis elle me fit m’allonger sur une grande serviette, à plat dos
les jambes pendant dans le vide au bord de mon lit. C’était pourtant très
inhabituel. Elle releva mes deux jambes au-dessus de mon visage et elle les
maintint d’une main.
C’est alors que je compris.
J’avais vu un garçon mis dans cette position à l’internat. C’était pour lui
mettre une couche parce qu’il avait fait pipi dans sa culotte en classe. Moi,
ce n’était pas pendant la journée, mais deux nuits de suite que j’avais mouillé
mon lit. Cela demandait des mesures énergiques.
Je n’osais pas protester, de peur
de prendre une fessée. Tatie Nathalie me saupoudra les fesses de talc qu’elle
étala de sa main libre, veillant à bien couvrir toute la surface, depuis ma
taille jusqu’en haut de mes cuisses. Elle passa sa main sous mon pénis pour
talquer le dessous de mes testicules, ses doigts s’insérèrent enfin dans le pli
de l’aine, d’un côté, puis de l’autre.
Puis, elle souleva mes jambes,
haut au-dessus de ma tête jusqu’à décoller mon bassin de la serviette afin de
glisser un change sous mes fesses. Elle rabattit un pan sur mon ventre et elle
me l’ajusta grâce aux languettes autocollantes.
« Bon, te voilà paré pour la
nuit ! Plus aucun risque de mouiller tes draps ! »
Alors elle m’enfila une culotte
en plastique blanc qu’elle remonta le plus haut possible sur mes hanches. Quand
elle me remit debout, je ne pouvais plus complètement resserrer mes jambes. Mon
entrejambe était recouvert par la couche qui me tenait les jambes écartées.
Tatie Nathalie rangea tous les produits et accessoires dont elle s’était servi.
« Je n’ai pas l’intention de
changer tes draps tous les jours. Dorénavant, tu porteras des couches pour
dormir. Je préfère prendre des précautions. Ne crois pas que cela te dispense
d’être propre. Si tu fais pipi dans ta couche, tu auras la fessée, demain
matin.
– Mais … mais … je ne peux pas …
– Ne t’avise pas de faire un
caprice, me coupa-t-elle. Porter des couches ne t’épargnera pas la fessée. Le
haut de tes cuisses est bien dégagé et si nécessaire je peux enlever la couche
pour te punir, puis la remettre à sa place. »
D’un regard, elle me défia
d’aller plus loin. J’y renonçais aussitôt.
« Si tu ne fais plus pipi au
lit pendant plusieurs jours, je reconsidèrerais ma décision. Mais pour
l’instant, c’est comme cela ! »
Tatie Nathalie ouvrit mes draps
et je montais dans mon lit. Un bisou plus tard, j’attendais le sommeil dans le
noir. Il fut long à venir. J’avais le sentiment d’avoir encore franchi une nouvelle
marche dans la soumission. Je n’étais plus traité seulement comme un petit
garçon, mais plutôt comme un bébé.
C’était une sensation étrange que
de porter des couches. Mes jambes devaient rester écartées et je sentais le
contact de la couche sur mes fesses et contre mon pénis. Ce n’était pas
irritant, mais tellement inhabituel qu’il fallait que je fasse un effort
intellectuel pour me convaincre de la situation.
J’envisageais un court instant
d‘enlever tout ça, mais la certitude de la fessée magistrale que cela me
vaudrait m’en empêcha. Tatie Nathalie tiendrait aussi longtemps qu’il le
faudrait, jusqu’à ce que je cède. Cela représenterait un nombre considérable de
fessées. J’abandonnais cette idée folle.
Je ruminais pendant longtemps ma
nouvelle situation et je finis par m’endormir.
Je me réveillais au sec le
lendemain. Mamie qui était venue me lever exigea que je descende déjeuner dans
cette tenue. Je fus chaudement félicité de ne pas avoir mouillé ma couche.
Pourtant, le soir Julie qui me couchait n’accepta pas que je dorme vêtu
seulement de mon pyjama. Elle recommença l’opération, non sans une bonne claque
sur les fesses pour faire cesser mon caprice.
Cela devint une habitude et je ne
protestais plus. C’était inutile. J’attendais avec impatience le jour où,
constatant que je ne faisais plus pipi au, lit, on me dispenserait de couche
pour dormir.
Le cinquième matin, dès que
j’ouvris un œil, je sus que le moment que je redoutais tant était arrivé. Ma
couche était humide. Ce n’était pas de l’urine, mais le résultat d’une
éjaculation nocturne. A la question rituelle « As-tu fais
pipi ? », mon hésitation à répondre ne passa pas inaperçue. Julie qui
me levait, contrôla ma couche, m’emmena dans la salle de bain, me lava les
fesses et me donna une fessée que la brosse à bien rendit très rigoureuse.
Je dus descendre déjeuner les
fesses nues et mon « pipi au lit » fut annoncé à la cantonade. Tatie
Nathalie rajouta quelques claques sur mes fesses et décréta que tant que je
dormirais sous son toit, ce serait avec des couches. Evidemment, elle tint sa
promesse.
Pour suivre le fil de cette histoire :
Comprendre le contexte : l'introduction
Le premier épisode : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 103
Le prochain épisode ... il faut attendre... et non, c'est la fin. il n'y a pas d'autre épisode des aventures d'Axel, mais il y a d'autres personnages dont les tribulations sont intéressantes à suivre.
Vous cherchez un chapitre en particulier ?
C'est par ici
De l'usage des commentaires
N'hésitez pas à donner votre avis. Les retours des lecteurs sont un encouragement précieux pour les auteurs, si vous voulez que ça dure. Faites-en un usage immodéré.
J'adore la façon dont les jeunes adultes sont repris en main par Tatie Nathalie. Il faut cadrer pour éviter toutes dérives plus importantes, car ne dit-on pas, les petits ruisseaux font les grandes rivières. La vigilance des parents fera de leurs enfants, des adultes responsables et bien insérés dans la société.
RépondreSupprimerSalutations.
Elena
Elena,
SupprimerY compris quand Tatie Nathalie s'occupe d'adultes et non d'enfants, la fessée se révèle tout aussi efficace.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Oui recadrer un adulte irresponsable c’est souvent nécessaire et la fessée déculottée c’est bien sûr la solution la plus efficace. Allez, sans prévenir des d’un écart est constaté, baisser la culotte ou le short et basculer le puni en travers sur les genoux ou le ployer fermement sous le bras gauche et claquer les fesses et les cuisses nues…clac clac clac. Ouille ouille ouille. Quelle correction on s’en souvient et en plus la honte d’être déculotté. Moi ça m’arrive souvent parce que mon comportement de gamin le justifie. Je fais attention toutefois sachant que la fessée va tomber. Et que je risque de me retrouver cul nu et sévèrement claqué comme je le mérite. C’est le seul moyen de me faire filer droit.
SupprimerBonjour,
RépondreSupprimerQuand Tatie Nathalie décide de faire une démonstration de fessée sur le trottoir, fine mouche, elle utilise l'éclairage public. Une bonne déculottée sous les lampadaires ça à de l'allure et de la mise en scène. C'est comme ça que les services publiques rendent, réellement service au public. Notamment à la brave Dame qui se rend compte que la méthode a du bon ! Mieux vaut tard que jamais, une bonne fessée et hop, dix ans de désobéissance dans la culotte ... fifile obéit...
L'affaire réglée, Axel, en pleine dérive des incontinents, revient en couche culotte sur le devant de la scène, mais le derrière humide. Ultime régression pour le jeune homme qui décidément, n'arrive plus à retrouver son statut d'adulte. Prendra t il son petit déjeuner au biberon après une cuisante fessée..?
Nous ne le saurons jamais. Mais ce bougre de JLG, illustré par le fidèle Peter Pan, nous aura tout de même tenu en (bonne) haleine durant 104 épisodes!!! Seul Honoré de Balzac a fait mieux avec ses 90 ouvrages de "la Comédie Humaine"!! Sauf que sur ce blog, faire "une comédie" c'est s'exposer à une fessée déculottée immédiatement.
Et maintenant... qu'est qui attend le lecteur... On entend poindre un vague bruit de claquement... et, semble t il , ce ne sont ni des dents, ni des castagnettes... !?
Cordialement
Ramina
Ramina,
SupprimerIl était temps que nous laissions Axel à ses errements régressifs. Il a ouvert la porte à l'arrivée d'une diversité de personnages qui vont devenir les acteurs principaux de nouveaux récits. La difficulté consiste à arriver à tous les suivre et à donner corps à leurs futures aventures. Il y en a pour plusieurs années d'écritures. Seul, je n'y suffirai jamais.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour JLG
RépondreSupprimerEffectivement vous avez créé des récits peuplés de personnages dont la multiplication rend probablement la gestion un peu compliquée! Envahi par ses propres créatures!
Je suis resté un moment focalisé sur la pétulante personnalité d'une "madame Tolbois" progressivement supplantée par une pléiade d'autres fortes femmes tout aussi autoritaires et fascinantes...
Cela me fait penser à Eric Stanton qui avait produit quelques illustrations où il se représentait complètement submergé par ses propres créatures féminines, toutes ferventes adeptes de la fessée et autres formes de discipline...celle là, moins intéressantes.
Au plaisir de vous suivre dans le sillage de vos personnages.
Cordialement
ramina
Ramina,
SupprimerAvec les récits qui vont suivre ceux comptant les aventures d'Axel, les personnages vont se multiplier, se diversifier, se croiser. Il faudra suivre.
Pour ma part, je tiens des fiches, ou presque.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonsoir Messieurs,
SupprimerC'est très juste. Il faudra bientôt tenir des fiches. Surtout pour les illustrations. Ne pas se tromper de personnages. Sinon, ça va chauffeeeeer !
Amicalement. Peter.
Peter Pan,
SupprimerJ'espère que vous avez déjà commencé. Plusieurs des personnages qui apparaîtront dans les récits qui suivront ce dernier épisode ont déjà été rencontrés soit dans "Axel au supermarché" soit dans "Chambre chez l'habitante".
En avez-vous déjà dessiné quelques-uns ? Certains lecteurs sont capables d'aller vérifier si la continuité est assuré, dans le texte et dans les dessins.
Au plaisir de vous lire,
JLG.