Les deux
filles décident d’y aller en vélo, meilleur moyen pour longer la côte et aller
sur des endroits étroits, qui mènent à la crique. Ekaterina est ravie que son
amie lui fasse cette proposition et elle accepte de suite. Les filles décident d’un
jour où il n’y aura pas de cours à l’amphi pour programmer cette virée. La date
d’un Vendredi après-midi est retenue.
Après une
semaine d’attente, à la date décidée, Ekaterina accueille son amie Lyana chez
elle et les deux amies se mettent en maillot de bain, s’enroulent dans un
paréo, prennent leur vélo et partent. Elles devront faire quelques kilomètres
pour rejoindre la crique. Les filles traversent la ville et bifurquent vers les
plages.
Le temps
est chaud et l’après-midi promet d’être agréable pour se baigner. Les deux
filles roulent jusqu’au chemin qui mène sur le bord de mer. Elles longent une
grande bande de plage, avant de prendre le chemin pour aller à la crique.
Arrivées,
elles attachent leur vélo en surplomb et descendent à la crique qui est en
effet, déserte. Elles retirent leur paréo, l’étendent sur le sable, s’allongent
dessus et elles commencent leur bronzage. Le soleil les réchauffe agréablement.
Comme elles en ont l’habitude, elles papotent de tout et de rien, rigolent
ensemble et se racontent leurs petites histoires de filles : les garçons,
les potins, la mode, les vacances et les cours...
Lyana,
naturiste depuis de nombreuses années, propose à Ekaterina d’aller se baigner
nues, pour éviter le phénomène des marques sur le corps ! Lyana trouve que
de sentir l’eau sur son corps nu provoque des sensations délicieuses. Ekaterina
commence par refuser car on pourrait les voir, mais devant l’insistance de son
amie, elle cède et après tout, elles n’ont vu personne et en venant, tous les
chemins étaient déserts.
Les deux
filles ôtent leur maillot de bain deux pièces, puis elles se précipitent dans
l’eau. Elles jouent à s’éclabousser et progressivement, elles entrent
complètement dans l’eau pour aller nager du côté des rochers qui bordent la
crique, où elles s’amusent à monter dessus et plonger. Les filles font une
course de natation et reviennent vers la crique, car la fatigue se fait sentir.
Sans même
s’en rendre compte, elles viennent de passer une bonne heure à s’amuser dans
l’eau. Elles nagent vers la plage pour revenir vers leur lieu de bronzage.
En
regagnant le sable, elles ne voient plus ni leurs maillots de bain ni leurs
paréos. Elles cherchent partout, croyant qu’un coup de vent ait pu les faire
rouler plus loin, mais ne les trouvent nulle part. Une sérieuse inquiétude
commence à s’emparer d’elles, car elles sont nues, à plusieurs kilomètres de
leur domicile, au milieu de nulle part. Elles se rendent à l’évidence, leurs
affaires ont été volées.
Ekaterina
se fâche un peu, car elle trouve que c’est Lyana qui est responsable de cet
état de fait, car c’est elle qui a voulu qu’elles aillent se baigner nues.
Lyana dit à Ekaterina que d’habitude, elle n’a jamais eu de problèmes
lorsqu’elle vient avec Moana, de trois ans, sa sœur cadette.
Elles
n’avaient pas pris de téléphone, juste le minimum pour passer l’après-midi,
donc impossible de prévenir leurs parents.
En
remontant de la crique, les vélos sont toujours là, les antivols ont dû rendre
le vol impossible. C’est au moins leur chance, par contre, rentrer nues leur
parait impossible.
Lyana à
une idée, prendre de petites routes et contourner les grands axes routiers. Ekaterina
trouve l’idée dangereuse, car c’est le milieu de l’après-midi et il y a du
monde partout. Lyana lui demande si elle a une meilleure idée, Ekaterina répond
que non et elle sent que les larmes lui montent aux yeux autant par sa
situation ridicule que par le plan de retour risqué de son amie.
Les deux
filles montent sur leur vélo et font le chemin inverse, en vérifiant à tout
moment que personne ne les voit. C’est très humiliant d’être nues, au risque
d’être vues à tout moment.
Lyana,
plus délurée qu’Ekaterina, roule en tête, pour indiquer le chemin à son amie,
qui n’en mène pas large, car c’est la première fois qu’elle roulera nue, en
pleine ville ! Lorsqu’elle arrivera chez elle, elle risque de se faire
sévèrement réprimander par ses parents !
La
première partie du chemin se passe bien, car le long des plages, il n’y a
presque personne, mais le plus compliqué va être de rentrer en ville.
Les deux
filles nues regardent partout avant de s’engager dans une rue, parfois avec
chance, parfois sans, car des gens sortent de chez eux au moment où elles
passent ou sont déjà dehors alors que les deux filles ne les ont pas vus. La
réaction des spectateurs est souvent la surprise ou les moqueries de voir ces
adolescentes, rouler nues, en pleine ville. Il faut dire que ce n’est pas
commun. Et que dire de la réaction le Lyana et d’Ekaterina lorsqu’elles constatent
qu’elles sont repérées et qu’on se moque d’elles ! L’humiliation, bien
évidemment. Ekaterina, les larmes aux yeux, a la chair de poule de s’exhiber et
ses tétons sont dressées par l’excitation qui en résulte, réaction
incontrôlable mais très courante chez les femmes dès lors qu’une émotion forte
les submerge.
Certains
riverains appelle la gendarmerie pour signaler que deux filles nues roulent à
vélo en direction des faubourgs de la ville. La gendarme Emmanuelle G prévient
sa responsable, l’adjudant Helga K, que deux jeunes femmes sont en infraction
d’exhibitionnisme dans les faubourgs de la ville.
L’adjudant
Helga K et la gendarme Emmanuelle G, ne voulant pas fermer les yeux sur cette
infraction prennent leur estafette et partent à la recherche des deux
exhibitionnistes. Avec les renseignements donnés par les plaignants, les deux
femmes des forces de l’ordre devraient les retrouver assez rapidement.
En effet,
au détour d’une petite rue, la gendarme Emmanuelle G dit à l’adjudant que les
deux jeunes femmes sont là.
Lyana et Ekaterina
voient également l’estafette de la gendarmerie, freinent et font demi-tour pour
se sauver, en pédalant le plus vite possible afin de ne pas se faire prendre,
se moquant du fait qu’elles viennent de s’engager dans une rue fréquentée, mais
plus question de faire demi-tour, l’estafette les a pris en chasse, gyrophare
et sirène hurlante. De ce fait, tous les gens se retournent, constatant la
course poursuite entre deux jeunes femmes nues et la gendarmerie.
Des
passants tentent de stopper les deux jeunes femmes, qui estivent comme elles
peuvent les obstacles et les promeneurs qui leur barre la route. Le cœur de Lyana
et d’Ekaterina bat à tout rompre, car elles ont peur de se faire arrêter, de
plus les crampes aux jambes se font sentir, car entre leur heure passée à faire
de la natation et le violent sprint en vélo ont fait que leurs muscles ont été
très sollicités.
Lyana et
Ekaterina bifurquent dans une rue pour tenter de semer les gendarmes, mais
peine perdue, l’estafette roule plus vite qu’elles et à bout de souffle, les
deux jeunes femmes s’arrêtent, épuisées. Elles s’écroulent sur la chaussée pour
récupérer, trempées de sueur par leurs efforts et en pleurs car le piège s’est
refermé, elles sont aux mains des forces de l’ordre. Les deux femmes gendarme
n’ont plus qu’à les cueillir !
Les deux
gendarmes les mettent à genoux et leur passent les menottes, mains dans le dos.
Dans la rue, des badauds se sont rassemblés, trop heureux de regarder les deux
jeunes femmes nues et menottées. Des photos sont prises par les passants, pour
immortaliser ces instants peu courants. Dans la mesure où elles ont les mains
attachées dans le dos, leur nudité est d’autant plus visible. Certains hommes
n’hésitent pas à déverser leurs commentaires salaces, ce qui humilient au plus
haut point les deux filles.
Les deux
filles sont emmenées dans l’estafette ainsi que les deux vélos et direction la
gendarmerie pour leur interrogatoire. Durant tout le voyage, les deux prévenues
pleurent, se rendant compte que leur situation est très compliquée, car elles
ont fui devant les forces de l’ordre, nues en pleine ville.
Arrivées
à la gendarmerie, les deux filles sont mises en chambre de sureté, les mains
toujours attachées dans le dos. La mise en cellule attire deux jeunes
auxiliaires masculins qui se rincent l’œil, heureux de regarder ces deux jolies
jeunes femmes dénudées devant eux.
Dans
l’après-midi, les deux jeunes femmes sont interrogées sur leur absence de
vêtements et leur virée en pleine rue. Les jeunes femmes expliquent comme elles
peuvent, leur mésaventure à la crique. Les gendarmes leur stipulent les chefs
d’inculpation :
- · La pratique du naturisme est interdite en dehors des zones réservées,
- · L’exhibitionnisme dans un lieu public est répréhensible,
- · La tentative de fuite devant les forces de l’ordre constitue de troisième délit.
En
entendant ces trois inculpations, les deux jeunes femmes explosent en sanglots,
démoralisées. Elles demandent pardon et promettent tout ce que voudront les
femmes gendarmes, mais celles-ci leur disent qu’il est trop tard, car il
fallait y penser avant. Elles ajoutent qu’elles devront passer en comparution
immédiate auprès d’un juge pour les trois délits précités. Après l’entretien, Lyana
et Ekaterina sont raccompagnées en cellule. Les parents des deux jeunes femmes
ont été prévenus de leur situation et lorsque le juge aura statué sur leur
sort, leurs parents pourront venir les voir.
Dans la
soirée, les deux jeunes femmes sont libérées de leurs menottes. Elles prennent
une douche et ont un repas froid, toujours au sein de la gendarmerie. N’ayant
pas de vêtements à leur donner, elles restent nues. Les gendarmes leur disent
que dans la mesure où elles aiment être nues, elles peuvent le rester.
Une
difficulté supplémentaire est pour leurs besoins, car elles sont obligées de
les faire devant leur amie et le gendarme présent, n’ayant pas de pièce séparée
dans leur cellule. Elles regrettent amèrement leur après-midi de détente qui a
viré au cauchemar.
Le
lendemain matin, après un petit déjeuner frugale, Lyana et Ekaterina sont
reçues par le juge, dans les locaux de la gendarmerie. Celui-ci prend
connaissance des faits qui leur sont reprochés et procède à un complément
d’interrogatoire, où il reconnait des circonstances atténuantes, du fait de
l’engrenage dans lequel les deux filles ont été prises. Seules, la pratique du
naturisme dans une zone interdite et la fuite devant les forces de l’ordre
seront retenues contre elles.
Avec ce
verdict de culpabilité incontestable mais atténuée, les deux jeunes femmes ont
un choix à faire : Recevoir quarante claquées de palette à fessée en bois
sur les fesses et les cuisses nues ou cinq mille euros d’amende (assez faible
puisque leur casier judiciaire est vierge).
N’ayant
pas la somme d’argent pour payer l’amende, les deux jeunes femmes, résignées,
sont obligées de choisir les quarante claquées de palette à fessée.
Le juge
entérine donc leur décision et leur annonce qu’elles recevront la punition dans
la cour de la gendarmerie. Un espace relativement clos, où seules quelques
personnes seront présentes : Le commandant de la gendarmerie, le juge,
l’adjudant Helga K, la gendarme Emmanuelle G et la lieutenant médecin Bénédicte
B. La gendarme Emmanuelle G sera chargée appliquée les 2 fessées.
La
doctoresse Bénédicte B demande de faire un examen médical d’avant punition des
deux jeunes punies. Celles-ci lui sont amenées, menottées et nues. Bénédicte B
procède aux examens de routine dans pareil verdict : pouls, tension et
palpation intégrales des zones qui seront claquées.
Les
trouvant en bonne forme, Bénédicte B leur dit qu’elles devraient s’en remettre
en deux, voire trois jours au maximum et qu’elles peuvent s’estimer heureuses
de ce verdict très clément, car elle a déjà assisté à des flagellations où les
femmes recevaient le martinet sur tout le corps (fesses, cuisses, dos, ventre
et poitrine y compris). Lyana et Ekaterina s’effraient de ce traitement
inhumain, mais la lieutenant Bénédicte B leur dit que certes la douleur est
très intense sur le moment, mais que la peau de ces femmes n’a en aucune
manière était abîmée. Elles s’en sont sorties avec des traces rouges qui se sont
estompées au bout de quelques jours seulement, car le but était de les punir,
pas de les blesser. La seule chose blessée a été leur amour propre !
D’ailleurs, elle est devenue amie avec deux de ces jeunes femmes ayant reçu le
fouet sur tout le corps. Bénédicte B ajoute que ces
femmes sont toujours naturistes, mais sur une plage autorisée en saison et que
dans ces conditions, elles ne risquent plus rien. Bénédicte B donnera à Lyana et Ekaterina, le lieu de la plage
réservée au naturisme.
La gendarme
Emmanuelle G vient chercher Lyana et Ekaterina, pour les emmener sur le lieu de
leur punition. La lieutenant Bénédicte B termine la préparation des deux jeunes
femmes en leur enduisant les fesses et les cuisses d’huile, afin que les
claquent soient plus sonores et elle signe le PV d’autorisation des fessées.
La
gendarme Emmanuelle G les menotte, mains dans le dos et les emmènent. Lyana et
Ekaterina pleurent et ont la chair de poule en sentant l’imminence de leur
fessée. La lieutenant Bénédicte B leur souhaite bon courage.
Dans la
cour de la caserne de gendarmerie, les deux jeunes femmes sont obligées d’être
trainées pour arriver au centre. Devant leur résistance et leurs protestations,
elles seront attachées, penchées en avant, cuisses écartées, les mains liées
sur une barre devant elles. Le commandant de la gendarmerie et le juge
profitent bien de la vue de l’intimité des deux jeunes femmes qui leur est
largement offerte. Les deux punies sanglotent en demandant pardon.
Lorsque
les deux jeunes femmes sont attachées, la gendarme Emmanuelle G prend sa
palette à fessée et va les claquer l’une après l’autre, en alternance sur
chaque fesse et sur chaque cuisse.
Le juge
rappelle à haute voix, le motif de la punition et le verdict. Sur ordre du
commandant, la gendarme Emmanuelle G commence les fessées. De grands
claquements sonores s’élèvent suivis de cris et de sanglots.
Quelques
gendarmes profitent de la scène depuis la fenêtre de leur bureau. L’excitation
parmi les forces de l’ordre se fait sentir. Quelques bosses apparaissent sur le
devant des pantalons des hommes et les femmes sentent le fond de leur culotte
se tremper.
Les
claquements sur les peaux nues s’enchainent ainsi que les hurlements stridents
qui ont, maintenant, remplacés les cris. Les deux punies se débattent car leurs
fesses et leurs cuisses n’est que brasier. Leurs pleurs et leurs supplications
n’attendrissent pas les spectateurs.
Lorsque
les vingt premières claquées ont été données, la lieutenant Bénédicte B
interrompt pour un examen médical à mi punition. Elle leur prend le pouls et la
tension, puis examine l’état des fesses et des cuisses des 2 punies qui ne
peuvent plus s’arrêter de pleurer et de se plaindre, en tremblant. Leur peau
est bien rouge et brulante, mais pas abimée.
Lors de
l’examen, la lieutenant Bénédicte B dit que l’état des deux filles est correct
et ajoute que leurs grandes lèvres et l’intérieur de leurs cuisses sont
trempées de mouillure vaginale, la stimulation intense des zones fessières en
est la cause. Le commandant dit à la fesseuse de ne pas atténuer ses claquées.
La
lieutenant Bénédicte B leur donne un peu d’eau et éponge la sueur qui perle de
leur corps. Elle les laisse reprendre leur respiration puis lorsque les punies
ont un souffle régulier, la doctoresse Bénédicte B leur prend une dernière fois
de pouls et autorise le solde de la punition.
Presque
en même temps, les deux jeunes femmes se laissent aller à uriner, ne pouvant
pas se retenir. La lieutenant Bénédicte B dit aux spectateurs que cette
réaction est naturelle lors d’une peur ou d’une douleur intense. Cette réaction
inopinée fait rire les spectateurs présents ainsi que les gendarmes qui
regardent à leur fenêtre.
Les
claquements reprennent ainsi que les hurlements des deux amies. La dernière
moitié est particulièrement intense, car les claquées sont reçues sur des zones
déjà bien rouges et de ce fait, très sensibles. Les filles se contorsionnent de
nouveau dans tous les sens en criant.
Lorsque
la dernière claquée s’abat sur les fesses des punies, celles-ci ne réalisent
pas de suite que leur punition est terminée, tant le brasier est intense.
Le juge
déclare que la punition des deux jeunes femmes est terminée. Elles vont être
libérées et vont pouvoir reprendre leur vie. La gendarme les détache et la
doctoresse les aide à marcher pour regagner l’infirmerie, où elles seront
examinées.
Lyana et
Ekaterina, en sueur, marchent lentement, car chaque pas leur fait mal. Elles
marchent les cuisses ridiculement écartées, ce qui fait rire les spectateurs
qui les regardent.
A l’infirmerie,
les deux punies vont prendre une douche fraiche pour les requinquer, puis elles
s’allongent sur leur lit. La lieutenant Bénédicte B s’occupe d’enduire les
zones rouges de lotion pour calmer un peu le brasier. Pour leur remonter le
moral, elle leur dit qu’elles ont été courageuses durant la punition et que
maintenant, elles vont pouvoir reprendre leur vie d’avant, à part ces prochains
jours où la position assise sera impossible. Elle leur conseille de discuter
avec leurs proches de ce qu’elles ont vécus et pourquoi, pour éviter de ruminer
des idées sombres, car parler leur fera du bien.
Dans la
soirée, Lyana et Ekaterina reçoivent la visite de leurs parents et de leurs
sœurs. Heureuses de voir leur famille, les deux filles pleurent de joie. Elles
leur demandent pardon pour toutes ces contrariétés. Elles ont compris la leçon
et ne recommenceront plus.
Alexei, Irina,
Olga et Iourievna prennent Ekaterina dans leurs bras pour la réconforter. Ils
lui ont apporter une robe ample qu’Ekaterina enfile sans aucun sous vêtement.
Le port d’une culotte sera impossible durant plusieurs jours et le frottement
de la robe sur les parties claquées risquent d’être assez désagréables durant
plusieurs jours.
Au
environ de dix-neuf heures, le juge et la doctoresse signent l’autorisation de
sortie de la gendarmerie. Les deux punies sont à présent libres.
La
position assise dans la voiture durant le retour fait crier Ekaterina durant
tout le trajet et que dire lorsque la voiture passe sur un dos d’âne ou un nid
de poule sur la route ?
En
arrivant à la maison qu’elle retrouve avec bonheur, Ekaterina se met nue pour
se reposer dans sa chambre, tandis qu’Irina, Olga et Iourievna lui posent des
tissus humides remplis de glace sur les parties très rouges, pour calmer la
douleur. Avec de l’aspirine, Ekaterina s’endort enfin.
Le
lendemain matin, marchant encore difficilement, simplement vêtue de sa sortie
de bain, Ekaterina vient prendre le petit déjeuner avec la famille et leur
confit sa version des faits, afin qu’ils comprennent comment elle en est
arrivée là. Sa famille la comprend mais la trouve bien imprudente d’avoir tenté
de rentrer nue à vélo. Elle aurait dû demander de l’aide en sonnant chez
quelqu’un, elle aurait peut-être eu plus de chance. A présent, son casier
judiciaire comporte une mention qui pourra peut-être lui nuire, plus tard…
En lisant
le journal régional, Irina pousse un cri, car elle voit un article et des
photos sur les deux filles lors de leur interpellation. Heureusement, les
photos ne permettent pas vraiment de voir les visages des deux jeunes femmes,
cachés par leurs longs cheveux, mais ça fait la une du journal. En lisant
l’article, les noms ne figurent pas, mais les gens risquent d’en parler un bon
moment. Ils vont vivre avec cette épée de Damoclès, car si quelque chose
fuitait, le rapprochement sera facile à faire avec l’article du journal et Lyana
et Ekaterina serait la risée de leur entourage.
L’amitié
entre Lyana et Ekaterina se trouve renforcée par cette expérience intense en
émotions !
Une série écrite par Elena
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 2
Il y a un nouveau chapitre des aventure de Iourevna, le chapitre 4
Il y a un nouveau chapitre des aventure de Iourevna, le chapitre 4
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Bonjour,
RépondreSupprimerET voilà, nous y sommes! La fessée régulatrice en lieu et place de la contravention. Cinq mille euros d'amende ou une fessée! le choix, si tenté qu'il y en aie, est vite fait. Pas de quoi payer, c'est l'amende aux fesses! C'est le cas de le dire ! Une bonne fessée coûte moins cher, sauf sur le derrière. Pas de chance pour les pauvres filles, après tout, plutôt victimes que coupables. Elles échappent aux coups de soleil pour se faire rougir le derrière sous la palette à fessée !
Le récit serait presque amusant si la punition n'était pas aussi rigoureuse. Traverser la ville toutes nues à vélo et sans casque, avec la police aux fesses, c'est assez cocasse tout de même!
Mais Dura lex, sed lex...
Description clinique et méthodique des corrections exécutées dans les règles, ou plutôt à la palette... Contrôle médicale principe de précaution. On vérifie la tension mais pas la température qui n'arrête pas de grimper aux environs des postérieurs. La justice suit son cours et balance d'une fesse à l'autre.
Le spectacle de la vérité toute nue sous la fessée est rare dans une cour de gendarmerie. Sévérité, efficacité, réactions en chaîne : rigidité chez les messieurs, humidité chez les dames.
On est pas très glamour à la gendarmerie où seuls les "gendarmes rient"... en se rinçant l'oeil.
On attend la correction infligée aux voleurs, ou voleuses!
Cordialement
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerEncore une analyse très pertinente de mon texte. Merci beaucoup pour votre commentaire.
Pour la traversée de la ville, les 2 filles ont été victimes des circonstances en voulant rentrer chez elles, sans se faire voir, dans leur tenue très indécente. Mal leur en a pris. Elles ont été vues et ont été prises dans l'engrenage infernal de la justice.
Je voulais donner une orientation différente au sujet de ce texte. Un sujet innovent et intéressant.
Salutations.
Elena.
Et dire qu'elles voulaient se baigner en toute discrétion, à l'abri des regards. Elles sont servies! Votre récit est très visuel. Très cinématographique. À la différence du récit précédent où les fessées reçues par Paul et Arnaud résultaient d'un forfait délibéré, ici ce sont plutôt des circonstances malheureuses qui ont amené ces deux jeunes filles à être punies. Les vrais coupables (ceux qui se sont emparés des vêtements) n'ont pas été inquiétés. Et ils ont dû se régaler au vu de ce qu'ils avaient déclenché.
RépondreSupprimerQuant à l'article de journal, sans doute vont-elles longtemps redouter que des rapprochements soient faits. Ce qui, vu le contexte, risque d'être vraisemblablement le cas.
Bonjour François-Fabien,
RépondreSupprimerEn effet, je tente, dans mes textes, de varier les situations, pour que ce soit plaisant à lire, tout en tentant de ne pas faire quelque chose de trop loufoque. Je suis heureuse que ça vous plaise.
En effet, pour l'article du journal, ça représente un peu une épée de Damoclès, qui peut s'abattre à tout moment, augmentant la punition corporelle déjà reçue. Je laisse volontairement le lecteur sur cette fin. Il pourra imaginer la suite qu'il jugera la plus probable à son goût.
Salutations.
Elena.
Bonjour Elena,
RépondreSupprimerVous variez assurément les situations et c'est en effet l'un des facteurs qui rendent la lecture fort agréable.
Il y a toutefois une constante dans vos textes, c'est que les châtiments sont administrés en public. Un public toujours très attentif et, le plus souvent, moqueur. Le point de vue que vous adoptez, consistant à nous raconter des fessées punitives destinées à amener celles et ceux qui les reçoivent à changer de comportement et à s'amender, rend la présence de ce public quasiment indispensable. En effet ce type de fessée fonctionne, à mon sens, sur un double registre: d'un côté la douleur de la correction subie et, de l'autre, la honte de la recevoir. Une honte à multiples facettes. C'est sans doute cette honte, beaucoup plus que la douleur, qui assure l'efficacité de la punition. Et elle sera plus intense et donc plus "persuasive" s'il y a un public qui assiste à la punition et qui y réagit. D'une façon ou d'une autre.
J'ai hâte de vous lire à nouveau.
À bientôt.
FF
Bonjour François,
RépondreSupprimerVous avez, encore une fois, parfaitement raison et parfaitement compris le sens de mes textes. C'est à coup sûr le fait d'avoir été vu puni, dans une position de faiblesse que la punition est la plus efficace. L'amour propre en prend en sacré coup ! On fait moins le malin après.
Mettez vous à la place du puni, à moitié nu ou totalement nu devant un public. Seriez-vous assez téméraire pour recommencer la même faute ? Moi, non. Je me mettrais plutôt dans un trou que d'affronter les moqueries et les rires des gens qui ont assisté à la punition.
Heureuse que ça vous plaise et merci à JLP de publier mes textes sans censure.
Salutations.
Elena.