jeudi 6 juin 2019

Les rebelles - chapitre 4

Clément, vingt ans, est étudiant à l’école St CROIX. Avec deux ans de retard dus à des redoublements, il peine à suivre les cours. Des conseillers d’orientation lui ont suggérés les études courtes, mais ses parents l’ont maintenu dans une filière longue.
Clément est dans la même section qu’Olga et Iourievna. D’ailleurs cette dernière n’est pas indifférente à son charme, ils passent du temps à discuter dans les intercours, parfois même en dehors de l’école, au sein d’un groupe d’étudiants, mais leur relation n’est jamais allée plus loin.
Comme tout jeune adulte, Clément a un petit penchant pour regarder les filles et est souvent déçu lorsque celles-ci sont emmitouflées dans des pulls et des pantalons. Il préfère les regarder en robe, en chemisier ou encore mieux, en jupe et décolleté, lorsque les beaux jours arrivent. D’ailleurs il en parle souvent avec ses copains.
Il est aux anges, lorsqu’en cours d’éducation sportive, il regarde les filles de sa section en tenue de sport, ce qui lui laisse deviner les formes très féminines de ses camarades. Le summum du ravissement pour Clément est lorsqu’elles courent, car le mouvement ample de leurs seins se voit très bien.
Lors de travaux dans les vestiaires du gymnase de l’établissement, une partie de la tuyauterie est rénovée, car l’eau chaude n’arrivait pas jusqu’au bout du bâtiment. Les équipements au plus près de la chaudière avaient de l’eau chaude, tandis que les autres devaient se contenter d’eau à peine tiède.
Après la douche clôturant une séance de sport, pour regagner le bâtiment principal, Clément et d’autres garçons passent devant la chaufferie, là où travaillent des ouvriers. Curieux, certains regardent le chantier.
Clément remarque des trappes d’aération. Une idée lui vient d’aller y jeter un œil. Assez vite, il se rend compte que ces trappes servent pour l’apport d’air neuf dans les vestiaires et plus particulièrement dans les douches de l’autre côté du mur.
Mais rapidement, les élèves sont chassés par les ouvriers, car il est interdit de pénétrer dans un espace en travaux. Les élèves sortent du local et regagnent leur salle de cours. Clément remarque que la clé est restée sur la porte, il s’en empare discrètement, avant de rejoindre ses camarades.
Pensant à une perte, la clé de secours est utilisée par les ouvriers pour pénétrer dans ce fameux local technique. Quelques jours plus tard, les travaux se terminent et le local ne sera utilisé que par l’équipe de nettoyage, qui passe tôt le matin, car ce local sert de réserve pour les produits de nettoyage.
Quelques temps après, Après la séance de sport, Clément décide de faire un tour dans le local technique. Il se rhabille rapidement et court dans le local technique. Là, il monte sur une chaise et par la trappe de ventilation, il peut admirer ses camarades féminines, nues sous leur douche. Il se paie même le luxe de faire quelques photos avec son portable.
Comme il l’avait remarqué, certaines filles ont une poitrine généreuse, d’autres, par contre ont une petite poitrine, largement compensée par un soutien-gorge compensant le manque de volume.
Clément raffole de ces vues. Les filles en train de se savonner les seins et l’entre jambe l’excitent beaucoup. Il peut même voir qui est épilée entièrement et qui porte une toison taillée ou non. A présent, l’intimité de ses camarades n’a plus de secret pour lui. En regardant les filles se laver, il se masturbe vigoureusement et il est obligé de dégrafer rapidement son jean et de baisser son slip pour éviter un « accident » ! Il se laisse totalement aller à son plaisir qui submerge tout son être.
Lorsque son plaisir est satisfait, il jette un dernier coup d’œil et constant que toutes les filles sont en train de se rhabiller, il quitte le local, heureux de cet agréable moment, qui l’aura comblé pour le restant de son après-midi. Il lui restera les photos prises sur son portable pour les regarder à d’autres moments.
Durant plusieurs séances de sport, Clément a ce rituel de filer à l’anglaise pour se rendre au local technique, afin de se rincer l’œil. A chaque fois, il y trouve son plaisir qui le comble.
Un mois plus tard, alors qu’il est en train de se masturber devant la trappe en regardant les filles se laver, la porte s’ouvre et son professeur de sport, Philippe M, le surprend. Celui-ci venait chercher une pince pour resserrer les brides qui tiennent les filets des buts de handball. Tous les deux sont surpris par leur présence mutuelle. Interloqué, Clément cherche à cacher son pénis largement en érection. Philippe M ne tarde pas à comprendre la raison de la présence de Clément en ces lieux, en entendant les filles parler de l’autre côté du mur, à travers la trappe d’aération.
Philippe M empoigne Clément qui lui demande pardon et l’emmène manu militari chez la proviseure, Fabienne D, et ça, dans la cour, devant les étudiants médusés par la scène à laquelle ils assistent.
Expliquant à la proviseure Fabienne D les raisons de son intrusion soudaine, Philippe M demande que le conseil de discipline soit réuni dans les plus brefs délais pour punir ce voyeur, coupable de surcroît du vol de la clé du local technique.
Fabienne D est outrée par l’attitude de Clément. Elle lui promet un conseil de discipline en bonne et due forme et une sanction exemplaire. Il va voir et surement sentir ce qu’il en coûte aux élèves pervers de son espèce.
Bientôt, la nouvelle se répand à travers l’école qu’un élève de première année passait son temps à reluquer les filles dans les douches. Léa, la déléguée de classe a été informée par la proviseure. En sachant ça, toutes les filles de la section de Clément sont humiliées par le fait qu’il les a vu, nues. Iourievna qui avait un béguin pour Clément, est horrifiée par son attitude et furieuse contre lui et ne se gêne pas pour lui dire. Clément, tout penaud s’excuse, la tête basse, conscient qu’il a fait une énorme bêtise et qu’il va en payer le prix.
Le conseil de discipline se réunit et assez vite, l’unanimité est acquise pour une punition exemplaire, car l’honneur des filles ne peut être souillé.
Fabienne D, la professeure principale et la déléguée de classe annoncent le verdict à Clément.
Pour le vol des clés du local technique et le voyeurisme envers ses camarades féminines, Clément est condamné à cinquante coups de martinet. Trente sur les fesses et sur les cuisses plus vingt sur le dos devant tous ses camarades et tous les professeurs de l’établissement, de façon à ce qu’il réfléchisse à son acte très grave. Il se verra exclu de l’école durant un mois.
Les parents de Clément sont convoqués à l’école et durant plus d’une heure, ils s’entretiennent avec la proviseure, encore furieuse de l’acte de Clément. Fabienne D dit aux parents de Clément qu’elle pourrait très bien porter plainte et Clément risquerait jusqu’à un an de prison et une forte amende, mais la réputation de l’école serait entachée et elle préfère régler ça en interne. Les parents de Clément sont obligés d’accepter les conditions de sanction énoncées par la proviseure.
La punition aura lieu le vendredi midi, dans la cour de l’école, en face de la cantine, de cette façon, tout le monde pourra assister à la sanction.
En attendant le vendredi, les filles, revanchardes, ne lui adressent plus la parole. Elles mettront du temps à lui reparler, certaines ne le feront plus jamais, l’excluant de tout.
Le vendredi midi au moment de la pause déjeuner, Clément est appelé chez la proviseure. Fabienne D lui ordonne de se dévêtir entièrement, car il passera le restant de la journée, nu, devant ses camarades. Il verra ce que ça fait que d’être vu dans le plus simple appareil par des personnes du sexe opposé.
En se dévêtissant, Clément sent que les larmes lui montent aux yeux. Deux femmes sont en sa présence et il commence à fondre, alors qu’est-ce que ça sera tout à l’heure devant toutes les filles de l’école ? Il n’osera plus les regarder après ça !
Au moment de retirer son slip, il ne peut plus aller plus loin, si bien que Fabienne D vient elle-même lui retirer, libérant son pénis qui se dresse instantanément, faisant rire les deux femmes. Leurs moqueries sont de trop, et ses larmes coulent. Il se cache le sexe, mais est obligé de retirer ses mains sous la menace d’un ajout de 5 coups de martinet supplémentaires.
Fabienne D demande à Léa d’emmener Clément à l’infirmerie pour son examen. Léa emmène son camarade à travers les couloirs vers l’infirmerie. En traversant les couloirs, ils rencontrent des jeunes femmes qui déversent sur lui des injures et rigolent de sa nudité. Elles lui disent que c’est bien fait et qu’elles vont se régaler en le voyant se faire fouetter.
L’infirmière Laetitia F accueille le puni. Sans ménagement, elle l’examine entièrement, non avare de palpations au niveau du pénis et des testicules, ce qui lui provoque une érection maximale, ce qui l’humilie. Léa se régale de le voir vexé. L’infirmière Laetitia F est heureuse de le déclarer apte à la punition. L’infirmière lui demande quand a eu lieu sa dernière masturbation. Péniblement et en bafouillant, Clément lui dit qu’il y a plus d’une semaine. Laetitia F lui annonce qu’avec la fessée qu’il va recevoir, il devrait donner un beau spectacle aux filles présentes ! Léa se doute de suite de quoi l’infirmière veut parler et savoure déjà.
Laetitia F et Léa emmènent Clément vers la cours. Clément supplie Laetitia F de lui pardonner à quoi elle répond qu’il est trop tard pour les remords. A vingt ans, on doit être apte à réfléchir par lui-même et prendre les bonnes décisions, ce qu’il ne fait pas.
Au moment de sortir, Clément s’arrête, tétanisé, incapable de faire un pas dans la cours. Fabienne D arrive à ce moment-là, armée des deux martinets à sept longues lanières de cuir, qui seront employées. Fabienne D lui décoche une cinglée au niveau des cuisses qui lui arrache un cri, l’obligeant à avancer, les mains se massant les cuisses.
Passant à travers les étudiants, il est la cible des moqueries et de rires de la part des étudiantes, ravies. Certaines lui mettent une main aux fesses, pour l’humilier. Il ne reçoit de compassion de personne.
Arrivé au centre, Fabienne D demande à tous de bien regarder Clément pour qu’il voit ce qu’il se passe lorsqu’on lorgne les filles. Pour plus d’humiliation, Fabienne D lui ordonne de retrousser son prépuce afin que toutes voient toute son intimité, puisque c’est ça qu’il cherchait à regarder lorsqu’il reluquait dans les douches. Aucune partie de son corps ne doit être cachée. Chaque étudiante peut contempler son gland dressé. Elles gloussent d’excitation, ce qui renforce le sentiment d’être rabaissé.
Philippe M se saisit de Clément et lui attache les poignets à un poteau, le mettant en position pour la fessée publique. La professeur principale Aline F et la professeure d’anglais Suzan W se saisissent des martinets et se mettent en position de part et d’autre de Clément qui supplie qu’on lui pardonne. Fabienne D demande aux fesseuses de lui faire regretter sa perversité.
Les premières cinglées sonores laissent des trainées rouges sur les fesses de Clément qui tente de contracter les fesses en les bombant en avant, afin de résister à la douleur. Ses mouvements de contraction des fesses et du bassin auront un effet inattendu. Clément se contorsionne dans tous les sens, trépignent des pieds en criant de douleur.
Lorsqu’une vingtaine de cinglées ont été reçues, Clément a les fesses en feu et réclame un peu de répit pour ses fessiers et ses cuisses malmenés.
Fabienne D trouve qu’il a un certain culot de demander une faveur. Fabienne D lui ordonne de se taire et d’accepter sa punition, car il fait preuve de bien peu de courage.
En voyant la fessée, les étudiants sont excités, surtout les filles qui se touchent. Certaines sont au bord de la jouissance.
Une main dans sa culotte, Iourievna s’est abandonnée complètement à sa jouissance, ce qui lui a mouillé le devant de son jeans, du fait d’un relâchement sphinctérien. C’est en voyant l’auréole qu’elle réalise ce qu’elle vient de faire. Olga, en jupe, n’en mouille pas moins, mais elle n’a trempé que le fond de sa culotte, ce qui est déjà bien dérangeant en soi. Comme d’autres étudiantes surexcitées, Iourievna et Olga devront passer la fin de l’après-midi sans culotte, car celle-ci est trempée, tant elles ont joui. Olga qui est en jupe passe son temps à serrer les cuisses et faire attention que celle-ci ne se relève pas, tandis que Iourievna est honteuse d’avoir une large auréole qui se voit bien sur son jean.
Il n’y a pas que les spectateurs qui sont en train de jouir, à force de contracter ses muscles fessiers et ses cuisses, ça a provoqué une réaction proche de la masturbation et indépendamment de sa volonté, il éjacule deux fois. Les jeunes femmes s’en trouvent excitées à nouveau et même Fabienne D a du mal à résister à se toucher.
La fessée est terminée, le résultat est conforme aux attentes, les fesses, les cuisses et les hanches du jeune homme sont marquées de belles trainées bien rouges, faisant pleurnicher Clément comme un gamin. Fabienne D le laisse se reposer avant la seconde partie de la punition. Elle annonce aux autres élèves que Clément va recevoir vingt cinglées de martinet sur le dos, ce qui clôturera sa punition.
Aline F et Suzan W achève la punition par dix cinglées de chaque côté, ce qui fait crier et se contorsionner Clément. Vingt belles traces viennent parachever le travail.
L’infirmière vient détacher clément qui tombe à genou. Laetitia F le relève et lui dit que son corps lui fera mal durant deux ou trois jours, mais que les traces disparaitront sous peu et qu’il n’y a pas de quoi s’écrouler comme il l’a fait.
Fabienne D exige que Clément demande pardon aux étudiantes qu’il a humiliées en les regardant sous les douches. En bafouillant, Clément leur demande humblement pardon. Fabienne D annonce aux étudiants de la section de Clément que celui-ci passera l’après-midi, entièrement nu.
Reprenant progressivement son souffle, Clément est raccompagné à l’infirmerie pour un examen de pure routine, car son état est correct. Laetitia F envoie le puni prendre sa douche, car il est en sueur. Elle y assistera afin qu’il voit ce que ça fait. Honteux, il se résigne à se laver devant l’infirmière.
Lorsqu’il est propre et que Laetitia F lui a signé son bon de sortie de l’infirmerie, Clément va rejoindre la cantine où un bon nombre d’étudiants terminent leur repas. Léa est chargée d’accompagner Clément et de l’amener en cours, à la fin du repas. Inutile de dire que Clément n’a pas trop d’appétit avec ce qu’il vient de prendre, par contre, assoiffé, il boit une moitié de carafe d’eau.
Léa les a fait assoir près de la sortie, de ce fait, tous les élèves sont obligés de passer près d’eux pour se rendre en cours. Inutile de dire que tout le monde a les yeux braqués sur la nudité de Clément, ce qui le fait rougir.
L’entrée de Clément en cours fait sensation. Isabelle C, professeure de physique accueille Léa et Clément et demande à Clément de rester à genoux, sur l’estrade, face à ses camarades. De là, il pourra écouter le cours tout en étant exposé.
La fin des cours sonnée, Clément doit se rendre chez la proviseure pour récupérer ses vêtements et avoir son bulletin d’exclusion pour les quatre semaines qui viennent.
Fabienne D lui dit que les cours et les exercices lui seront envoyés par Internet et qu’il aura des devoirs à renvoyer et gare à lui s’ils ne sont pas faits ou mal faits, car il y aura dix claques sur les fesses par point en dessous douze sur vingt. Pour lui, la barre est haute, mais la réputation du lycée doit être conservée et tous les élèves doivent avoir leur examen à la fin de l’année, quels que soit les moyens mis en œuvre pour atteindre cet objectif d’excellence.
Clément regagne son domicile où il est reçu par ses parents qui le sermonnent et lui intiment l’ordre de se comporter autrement à l’avenir.
Il faut croire que la fessée publique a eu de l’effet, car Clément rend tous ses devoirs avec au moins douze à chaque copie et lorsqu’il réintègre le lycée, son attitude change radicalement et il atteint même la tête de classe, avec de bons résultats.



Une série écrite par Elena

Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 5

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13 commentaires:

  1. Bonjour, Elena,

    Après une telle « leçon » Clément ne sera assurément plus tenté d’aller surprendre, à l’intérieur de cette école, ses petites camarades sous la douche. Mais ailleurs ? C’est sans doute une aspiration qui lui colle viscéralement à la peau (comme elle colle à la peau de quantité d’autres jeunes gens). Est-ce que, dans d’autres circonstances, il ne s’y laissera pas aller ? Est-ce que, malgré le souvenir cuisant de ce qui lui est arrivé, il ne prendra pas le risque d’être à nouveau surpris ? Quitte à en payer, une nouvelle fois, le prix. Peut-être, mais ce n’est qu’une hypothèse, lui faudra-t-il encore deux ou trois corrections bien appliquées pour renoncer, une bonne fois pour toutes, à ces comportements inappropriés.
    Les garçons que vous mettez en scène ont une érection, voire même une éjaculation, dans le contexte de la nudité-punition. C’est effectivement quelque chose qui se produit, et souvent, dans ce genre de situation. J’ai pu le constater de visu. Mais on peut assister (je l’ai également constaté) à une réaction rigoureusement inverse. Sous l’effet de l’appréhension et/ou de la honte, le sexe du puni se rétracte complètement au point de devenir d’une taille très inférieure à celle qu’il a d’ordinaire au repos, voire même de disparaître presque complètement donnant l’illusion de s’être réfugié à l’intérieur. Ce qui ne manque pas, là aussi, de susciter d’interminables moqueries chez les filles.
    J’aime vraiment beaucoup ce que vous écrivez, Elena.
    À bientôt.
    FF

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    1. Bonjour François,
      Merci une fois encore pour votre commentaire, toujours très étudié / la situation que je décris.
      Pour la première idée, je ne sais pas s'il serait tenté de recommencer volontairement ce qu'il a fait, peut-être plus en discrétion et en prenant plus de précautions, surement. Cela dit, à l'adolescence, les hormones galopent et ce type de comportement est naturel. Nous avons été ado aussi ! Pour ma part, il m'est arrivé d'en prendre de sévères de la part de mes parents et je puis vous assurer que je n'ai jamais réédité deux fois les mêmes bêtises, des différentes, certes, mais pas les mêmes.
      Pour les 2 émotions durant une punition, je me doutais de la première ( chez les filles, c'est pareil ), mais pas du tout de la seconde. Vous me donnez des idées. C'est une piste à creuser effectivement.
      Salutations.
      Elena.

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  2. Retour à l'école Sainte CROIX, avec un voyeur, cette fois-ci !
    Salutations
    Elena

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    1. Bonjour,
      Et nous avons toutes les thématiques chères à Elena : la nudité intégral et l'exhibition de celle-ci en public, le châtiment corporel plus que la fessée, les personnes détentrices de l'autorité punissant des adultes plus jeunes. Des points communs autour desquels Elena déploie ses histoires.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Bonjour JLP,
      Effectivement, vous m'avez bien cerné. C'est une thématique que j'affectionne. Pour moi, les ado ou les jeunes adultes se doivent de se conformer aux règles en vigueur dans la société.
      Ces règles m'ont été inculquées par mes parents, afin que je sois une adulte responsable avec des repères et des principes, socle indispensable pour toute vie en société. C'est grâce à eux que je suis ce que je suis.
      Salutations.
      Elena.

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    3. Bonjour Elena,

      Notre personnalité se nourrit de l'inné, notre caractère propre avec nos doutes et nos angoisses et tout le côté moral qui s'y rattache, et de l'acquis au cours de notre jeunesse , que nous apporte notre éducation parentale. Ce "mille-feuilles affectif" forme un ensemble qui est censé nous armer pour notre vie d'adulte.
      C'est un peu aussi ce que j'essaie de transcrire au travers de mes saynètes même si le thème favori est récurrent.
      Mais on ne change pas une équipe qui gagne. C'est bien connu.
      Merci pour cette version de l'éducation juvénile vu côté féminin. Cela nous apporte une version complémentaire de notre sujet favori.
      Bon WE de Pentecôte. Peter.

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    4. Une nouvelle histoire svp ? Hummm je vous prêterais bien mes fesses pour recevoir un châtiment qui serait bien mérité.... Je crois que je serais du genre à avoir l'erection.... Quant à la ''fuite'', une operation m'en a privée. Si ma femme avait sévi je me serais sans doute beaucoup mieux comporté. Au fait que croyez-vous qu'elle ferait si elle decouvrait que je viens en cachette devorer vos récits ?

      Quand aurons nous le chapitre 23_2 svp ? Svp !

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    5. Une nouvelle histoire svp ? Hummm je vous prêterais bien mes fesses pour recevoir un châtiment qui serait bien mérité.... Je crois que je serais du genre à avoir l'erection.... Quant à la ''fuite'', une operation m'en a privée. Si ma femme avait sévi je me serais sans doute beaucoup mieux comporté. Au fait que croyez-vous qu'elle ferait si elle decouvrait que je viens en cachette devorer vos récits ?

      Quand aurons nous le chapitre 23_2 svp ? Svp !

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  3. Bonjour à tous,
    Oula, ça rigole de moins en moins et on n'en est qu'au 4è chapitre!
    Les "Rebelles"passent de très mauvais moments,le derrière assaisonné à la sauce cuisante des femmes de l'institution Ste Croix. C'est véritablement la croix et la lanière pour les indisciplinés !
    Ce n'est pas par hasard si ces Dames impitoyables font carton plein sur un blog consacré aux fortes femmes, sévères... quand il le faut.
    On frise la performance punitive.
    Faute avouée est à moitié pardonnée... Mon oeil! A Ste Croix, faute constatée est implacablement sanctionnée. Ces corrections publiques sont davantage des châtiments que de simples fessées, pan pan cu-cul sur les genoux.Les économies d'énergie ne sont pas d'actualité pendant les séances de martinet et les danses des fesses aux lanières sont plus proches du charleston que du tango.
    Notre amie auteure, ne prend pas plus de gant que les fesseuses de l'institut. Au diable les fausses pudeurs! La vérité aussi nue que le petit voyeur... Elle balance sans fard, tout ce que nous savions sur les réactions physiologiques devant la fessée et que nous n'osions pas décrire aussi franchement.
    Les humiliations érectiles du puni devant les demoiselles en pâmoison humide sous l'élastique de la culotte, comme les rigidités volcaniques des jeunes témoins post pubères en rut. Tout un petit monde excité par le spectacle d'une bonne séance de correction.
    Au moins ça a le mérite d'être clair. La fessée ça ne fait pas que mal! "Crime et Châtiments" revu par "Doc Freud!"
    Cordialement.
    Ramina

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  4. Bonjour Ramina,
    Un grand merci pour ce commentaire, toujours peins d'à propos et de petits jeux de mots très sympas. Vous êtes d'une grande finesse d'esprit, une marque de fabrique, sûrement !
    Pour les "châtiments" dont vous parlez, non, je ne pense pas, à ce point. C'est un peu plus d'une punition d'enfants, certes, mais que ces jeunes adultes paient le prix de leur faute, ça me semble normal. Ils devront se souvenir de toujours être dans la limite autorisée. Et, après tout, c'est en se rachetant de ses fautes que l'on devient adulte responsable.
    Salutations.
    Elena.

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  5. Les filles devraient aussi etre punie et exibee nue pour s etre masturbee et mouillee leur culotte

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  6. Bonjour Anonyme,
    Je ne suis pas sûre que cela constitue un réel délit, mais plutôt une réaction d'excitation en regardant le "spectacle" !
    Salutations.

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    1. bonjour Elena bien sur se maturbee n est pas un delit en revanche mouillee ou souillee sa culotte peut etre un bon motif de sanction par manque de respect des regles d hygiene

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