Le voyage
jusqu’en Russie dure deux jours pleins, car il faut aller jusqu’à PARIS en TGV,
prendre l’avion de ROISSY Charles de GAULLE jusqu’à l’un des trois aéroports
internationaux de MOSCOU puis reprendre un train pour arriver à ROSVA, banlieue
d’une ville de trois cent mille habitants, située à deux cent kilomètres au
Sud-Ouest de MOSCOU.
Les
retrouvailles avec la famille russe sont chaleureuses, car ils ne se voient qu’une
à deux fois par an, car les formalités sont longues et le voyage couteux.
Ekaterina, Olga et Iourievna sont heureuses de
retrouver leurs racines.
Après
quelques heures de repos, la première journée est consacrée à rendre visites
aux amis russes et au traditionnel « Banya russe » non mixte, où, de
leur côté, les jeunes femmes, nues, commencent par une sudation dans une cabine
surchauffée d’air sec à quatre-vingt degrés puis enchainent par un bain froid,
le tout entrecoupé de flagellations énergiques sur tout le corps avec des
branchages de bouleaux et en fin de séance, elles prennent le thé et des
gâteaux tout en papotant, emmitouflée dans un drap de bain, dans une pièce
attenante au Banya. Un moment très agréable.
Le séjour
commence sous les meilleurs auspices, hormis le temps qui se rafraichi de plus
en plus, atteignant moins quinze / moins vingt degrés. Le sol est recouvert de
neige qui est tombée en abondance en Décembre. Malgré le froid sec, les russes
se promènent dans les rues, emmitouflés dans de gros vêtements. La période est
propice pour acheter et préparer le repas de Noël, car celui-ci est dans
quelques jours.
Les
jeunes, de leur côté, sortent beaucoup, fréquentent des maisons de la jeunesse
où, autour d’une boisson chaude, ils jouent à des jeux de société ou discutent
tout simplement dans des salons réservés à cet effet. D’autres, font du sport
dans des structures majoritairement couvertes, car le climat défavorable ne
permet les activités de plein air que quelques mois par an.
Dmitriy,
Mariya et Liliya ont trois voisins, Maxim vingt ans, Lev vingt et un ans et
Artem dix-neuf ans, avec lesquels ils s’entendent bien et sont bien souvent ensemble
pour profiter de leurs loisirs.
Mariya
souhaite que ses cousines françaises les connaissent. Décidant de passer la
soirée dans un restaurent, les neuf jeunes se donnent rendez-vous au
centre-ville, là où se concentrent les commerces.
La soirée
commence bien, car l’ambiance est agréable. Les trois jeunes hommes ont mis une
belle tenue pour faire honneur aux demoiselles qui les accompagneront. De leur
côté, les jeunes femmes ont mis une belle robe, assez courte, des bottes, le
tout recouvert d’un long manteau qui les protège du froid.
Au
restaurent, les jeunes mangent et boivent tout en parlant. Les discussions
tournant autour des traditions françaises en comparaison avec la Russie, car Maxim,
Lev et Artem veulent en savoir plus sur les habitudes françaises. Bien
évidemment, les garçons font les fiers devant la gente féminine ce qui les
poussent à boire un peu plus que de raison. Les filles, étant entraînées, se
laissent aller pour les accompagner. Après tout, s’ils ne sont plus en état, le
bus les ramènera ou au pire, si la soirée se prolonge, un taxi fera l’affaire,
car en Russie le taux d’alcoolémie doit être zéro absolu pour pouvoir conduire.
Après le
repas, la bande de jeunes va se balader en ville et l’alcool aidant, ils rigolent
beaucoup. Ils admirent les devantures des magasins et les décorations de Noël.
Les cafés étant ouverts assez tard, ils décident de prendre une consommation
car dehors il fait trop froid. La nuit étant tombée, et la température est
également descendue.
En
entrant dans le café, ils constatent que l’atmosphère est très festive, car d’autres
jeunes se sont rassemblés et ça discutent beaucoup et assez fort. Maxim, Lev et Artem, voulant impressionner les filles commandent
des alcools forts. La soirée se passe entre rigolades et boissons.
Au moment
de partir, le doute n’est plus permis, les jeunes sont incapables de reprendre
la voiture et comme il n’y a plus de bus, le seul moyen de rentrer est le taxi.
Trois taxis sont nécessaires pour emmener tout le monde à la maison.
En attendant
les taxis, les jeunes tombent nez à nez avec des policiers, qui, vu leur état,
les contrôlent. Ce n’est pas qu’ils faisaient quelque chose de mal, mais le
seul fait d’être saoul constitue une occasion d’un contrôle.
Ekaterina,
Olga et Iourievna, l’esprit embrumé car moins habituées aux alcools forts que
leurs cousines russes se mettent à protester contre ce contrôle qu’elles jugent
abusif. La situation empire lorsqu’elles ne peuvent présenter leur passeport,
qu’elles ont laissé à la maison.
Menottés,
les neuf jeunes sont embarqués au poste pour passer la nuit en cellule de
dégrisement. Un fourgon vient les chercher pour les amener au bureau de police
fédérale.
Au poste,
les jeunes sont interrogés sur leur comportement, leur taux d’alcoolémie est
relevé et ils sont mis en cellule pour la nuit. Les parents sont prévenus et ils
pourront venir les chercher dès le lendemain.
Galina
est assez en colère contre ses enfants et ses nièces, car ils ont fait preuve
de beaucoup de désinvolture dans leur attitude. Elle ne pourra pas laisser
passer cet écart de conduite. Sergey est en accord avec sa
femme, mais soupçonne les voisins d’être les instigateurs de cet incident, car
il connait leur penchant pour les fêtes alcoolisées.
A
présent, les jeunes se sont calmés et tous se demandent ce qui va se passer,
surtout pour Ekaterina, Olga et Iourievna, qui sont dans un pays étranger.
Le
lendemain matin, après une nuit agitée, les jeunes sont réveillés assez tôt par
les policiers qui les font sortir de cellule car leurs parents sont arrivés.
Le
responsable fait aligner les jeunes en rang et leur passe une grosse réprimande,
car ils n’avaient pas à contester le contrôle, qui est tout à fait normal dès
lors que l’ordre public est atteint et s’adressant à Ekaterina, Olga et
Iourievna, il leur signale qu’elles ne sont pas en France donc elles doivent se
conformer aux règles du pays hôte si elles ne veulent pas être interdites de
séjour. Les trois sœurs s’excusent platement pour leurs protestations de la
veille et jurent que ça ne se renouvellera plus. Le contrôle des passeports
étant terminé, les jeunes peuvent partir.
Galina et
les parents de Maxim, Lev et Artem partent. Tout le monde prend le bus pour
rentrer à la maison. En chemin, les reproches accablent les jeunes pour leur
irresponsabilité. Galina dit à ses nièces que leurs parents sont au courant de
l’épisode de la nuit passée et qu’ils lui ont donnés carte blanche pour la
punition. Galina compte bien reprendre en main la petite bande pour ne plus à
avoir à les récupérer au poste de police. La mine des jeunes gens se décompose
en entendant le mot « punition ».
En
arrivant à la maison, Galina ordonne à Dmitriy, Mariya, Liliya, Ekaterina,
Olga et Iourievna de se dévêtir entièrement et de revenir pour la punition. Les
filles protestent, car elles ne veulent pas se mettre nues devant Dmitriy qui
conteste tout autant. Galina hausse le ton ce qui fait taire tout le monde. Galina
leur dit qu’une nuit au poste de police est une punition très légère, mais que
ça n’en restera pas là.
Le
premier à être de retour dans le salon est Dmitriy, les deux mains devant le
sexe. Mariya, Liliya, Ekaterina, Olga et Iourievna, les mains devant leur
intimité, arrivent peu après, toutes rouges d’être nues devant Dmitriy.
Galina
annonce qu’ils seront privés de sorties durant deux jours entiers et qu’en
premier, ils vont recevoir chacun une fessée à la cravache. Leur nudité sera
requise durant toute la journée et ils passeront leur temps à aider et à
nettoyer la maison. Dans cette tenue, ils pourront méditer leur faute. Galina leur dit de retirer leurs mains de devant leur intimité.
Il y aura des claquées supplémentaires si elle les prend à se cacher. Après la
fessée, elle leur dit qu’ils iront au sauna au fond du jardin car ça évacuera
le reliquat d’alcool de leur organisme.
Le
premier à passer à la fessée est Dmitriy. Les mains en appui sur le dossier de
la banquette, il se penche pour présenter ses fesses. Galina cingle son fils de
façon à lui faire regretter ses actes. Les marques rouges sont visibles assez
vite sur ses fesses blanches. Dmitriy parvient à ne pas crier, il serre les
dents et reste stable sur ses jambes, mais sa mère est bien décidée à le faire
céder et lui fouette les cuisses en supplément. Chaque cinglée marque davantage
la peau. La cuisson étant telle qu’il cède et il crie de douleur. Il n’est pas
parvenu à rester courageux devant ses sœurs et ses cousines. Il se met à
sautiller, ce qui découvre largement son intimité. La douleur a eu un effet
particulier sur son pénis, celui-ci s’est complètement recroquevillé sur
lui-même, si bien que même dans l’état d’anxiété et de position de
vulnérabilité de ses sœurs et de ses cousines, celles-ci ne peuvent réprimer un
rire, ce qui humilie Dmitriy, conscient de ce qui les fait pouffer. A la
dernière cinglée, le visage en larmes et les fesses en feu, Dmitriy s’éloigne
en présentant, entre deux sanglots, ses excuses à sa mère qui lui dit de se
mettre à genoux les mains sur la tête pour assister à la fessée des filles, qui
en regardant l’état de ses fesses sentent leur rythme cardiaque augmenter, car
dans quelques minutes elles seront dans le même état.
Olga passe
à la fessée. Elle s’avance en tremblant, le regard implorant. Elle demande
pardon, espérant de la compassion de la part de sa tante, mais en vain. Son
menton tremble, les larmes lui montent aux yeux et fébrilement, elle se met en
position pour recevoir sa fessée. Dès la première cinglée qui lui fait une
ligne rouge en travers des fesses, Olga gémit de douleur. Les autres cinglées
lui marquent tout autant les fesses. Ne parvenant pas à résister, elle met ses
mains en protection, implorant l’arrêt de sa punition. Galina, ne se laissant
pas bluffer, lui cingle les cuisses pour l’obliger à reprendre la position.
Complètement en larmes et gémissant, Olga tente d’obéir à sa tante. Les
dernières cinglées sont les plus douloureuses, car Galina cingle des zones déjà
sensibilisées par les cinglées précédentes, ce qui fait plier les genoux d’Olga
qui se relève péniblement. Galina termine par des cinglées appuyées qui fait
hurler Olga. L’annonce de la fin de sa punition lui fait se précipiter près de
son cousin et elle s’agenouille, les mains sur la tête, en reprenant sa
respiration saccadée, le visage en larmes et les fesses en feu.
Iourievna
s’avance lentement pour recevoir sa fessée. Galina lui ordonne de se pencher en
avant, les cuisses écartées, comme sa sœur. Iourievna refuse, tant elle a peur
de ce qu’elle va prendre. Sa tante lui ordonne une seconde fois, en lui disant
qu’elle recevra cinq cinglées supplémentaires. Si elle devait lui redire une
troisième fois, ce sera dix de plus. L’avertissement suffit pour contraindre Iourievna
à prendre la position et d’offrir son arrière-train à la cravache. Dmitriy, à
genou en face de sa cousine, a une vue directe sur l’intimité de Iourievna, ce
qui provoque une érection, contrastant largement avec son état durant la fessée.
Pour avoir essuyé un refus, Galina applique les cinglées aux zones les plus
sensibles, ce qui fait se cabrer Iourievna et la faire crier dès les premières
cinglées. Iourievna tressaute à chaque coup de cravache et sautille d’un pied
sur l’autre en se massant les fesses. Les marques se dessinent sur les fesses
de la punie. La douleur est telle que Iourievna a l’entrecuisse mouillé, bien
malgré elle. Sa tante l’envoie rejoindre les autres. Iourievna, les mains sur
les fesses et moite de sueur, s’agenouille avec mille précautions, car chaque
mouvement la fait souffrir. Elle met ses mains sur sa tête.
Pour les
plus âgées, Ekaterina, Liliya et Mariya, Galina ne fait pas de cadeaux, elle
les cingle sans ménagement, si bien que les jeunes femmes poussent des
hurlements suivis de plaintes rauques, preuves que la punition est intense et bien
ressentie. Les trois punies ont les fesses, les hanches et les cuisses très
rouges. Elles auront des difficultés pour s’assoir durant plusieurs jours. Les
trois jeunes femmes urinent sans pouvoir se retenir sous l’effet de la douleur
et de la peur. Elles se retournent plusieurs fois en disant qu’elles n’en
peuvent plus, mais des cinglées sur le devant des cuisses les obligent à se
retourner et à accepter la fin de la punition.
Lorsque
les six jeunes adultes ont été fessées, Galina les laisse à genoux, les mains
sur la tête, pour qu’ils se remettent de leur épreuve. Au bout de trente
minutes, Galina vient les voir et constate que la leçon a été retenue, car les
jeunes punis ont le visage encore rougi par les pleurs et le corps en sueur,
étant donné ce qu’ils ont pris et en raison de la chaleur de l’intérieur de la
maison, car une des caractéristiques des maisons est la surchauffe des pièces
de la maison en hivers. Galina constate que l’entrecuisse des filles est
luisant.
Galina
fait nettoyer l’urine sur le sol par Ekaterina, Liliya et Mariya, en leur
disant qu’elles ne sont même pas capables de se retenir. Elles n’ont décidément
aucun courage.
Après le
nettoyage du sol, Galina a préparé le sauna dans la cabane en bois au fond du
jardin. Elle leur dit que ça leur fera le plus grand bien. Les six jeunes
adultes, nus, traversent, les mains sur la tête, le jardin enneigé pour
rejoindre le sauna. Galina les fait tout d’abord
s’assoir dans la neige. Leur première réaction est un cri, car le contact de la
neige sur leur peau nue les réfrigère. A demi recouvert de poudreuse, les
jeunes gens ne restent pas longtemps assis, mais ils sentent la douleur
s’atténuer grandement. Le froid saisissant leur donne la chair de poule et les
tétons des jeunes femmes se dressent en devenant dur, ce qui fait sourire
Dmitriy de voir ses deux sœurs et ses trois cousines être très gênées devant
lui. Quant à lui, le froid lui fait rétracter le pénis au point de le faire
disparaître, ce qui est assez humiliant pour lui, surtout devant les filles.
Galina ramasse de la poudreuse dans un seau et
asperge les six punis avec, ce qui les fait gémir.
Galina
envoie ses enfants et ses nièces au sauna avant qu’ils ne prennent froid, car
ils sont couverts de neige. Dmitriy, Mariya, Liliya, Ekaterina, Olga et
Iourievna entrent dans la sauna. L’atmosphère y est déjà très chaude,
transformant la neige restée sur les corps en eau. En principe, lors d’une
séance de sauna ou de Banya, les séances ne sont pas mixtes, mais dans le cas
présent, la mixité est punitive. Etant entouré de filles nues, Dmitriy est
assez rapidement en érection et celui-ci ne sait pas comment retrouver son état
normal. Le fait de ne pas pouvoir s’assoir rajoute à la gêne des uns et des
autres. La pièce étant faite pour quatre personnes, le fait qu’ils soient six crée
une promiscuité et les jeunes ne peuvent pas faire autrement que de se toucher,
rajoutant à la gêne déjà très importante.
Tous les
quarts d’heures, Galina fait sortir les jeunes inondés de sueur et les asperge
d’eau froide leur arrachant un cri puis les fait rentrer au sauna.
Lorsqu’une
heure est passée, les six jeunes traversent le jardin dans l’autre sens et
rentrent à la maison, pour s’emmitoufler dans un large drap de bain et se
sécher.
Galina,
satisfaite des punitions qu’elle a infligées aux six jeunes, leur dit qu’ils
sont pardonnés et elle les enlace les uns après les autres en les embrassant
pour les réconforter. Elle a conscience qu’ils ont passé un mauvais moment,
mais celui-ci était nécessaire pour qu’ils ne récidivent pas.
Lorsque
les jeunes sont réchauffés, Galina embauche les filles pour le ménage et la
cuisine. Dmitriy, quant à lui, est chargé d’éplucher les légumes pour les
repas.
Les
jeunes, la tête basse et le visage rouge de honte d’être nus en public, ne
disent pas un mot, se contentant d’obéir à Galina et de travailler. De temps en
temps, ils se massent l’arrière train, qui cuit.
Même pour
faire leurs besoins, les jeunes sont obligés de les faire à moitié debout, car
la position assise sur les toilettes est insupportable.
Lorsque l’oncle
Sergey rentre à la maison, il voit ses enfants et ses nièces, nus. Il leur dit
qu’ils ont eu de la chance qu’il n’est pas été présent, car si ça avait été lui
qui leur avait appliqué la fessée, elle aurait été plus sévère. Sergey leur dit
qu’ils devront rester entièrement nus, non pas un mais deux jours, car la
famille est connue honorablement et il est hors de question que leur mauvais
comportement vienne tout gâcher. Les six jeunes ne peuvent que subir le second
jour de nudité intégrale, en guise d’augmentation de la punition initiale de
Galina.
Lors des
repas, l’ambiance est loin d’être festive. Les six jeunes, nus et debout, ont
le nez dans leur assiette et font tout pour tenir à carreau. Leur punition a
été un sacré rappel à l’ordre qu’ils n’oublieront pas de sitôt. Ils ne
demandent pas leur reste pour aller se laver et se coucher.
Dès le
lendemain matin, avant même de prendre leur petit-déjeuner, les six jeunes sont
envoyés au sauna pour une heure. C’est Sergey qui supervise les opérations,
tous les quarts d’heure, il verse sur chacun d’entre eux un seau d’eau froide.
Dès leur
retour à la maison, après un thé et une douche chaude, les jeunes sont de
nouveau mis à contribution à la maison.
La
punition prend fin dans la soirée. Les jeunes sont autorisés à se rhabiller
après le souper. Sergey les prévient qu’à la moindre remontrance, ils auront
droit à une nouvelle fessée.
Le
lendemain, ils revoient leurs amis Maxim, Lev et Artem, qui leur disent qu’ils
ont été corrigés au fouet, eux aussi, mais sans humiliation de la nudité.
La fin de
la semaine se passe beaucoup plus calmement. Les jeunes ne boivent plus
d’alcool et respectent scrupuleusement les consignes de Sergey et Galina.
Une série écrite par Elena
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 5
Et le suivant : le chapitre 7
Et le suivant : le chapitre 7
Vous souhaitez réagir ?
Laissez un commentaire en bas de l'article, Elena vous répondra. Quelque chose de plus privé ? Adressez-moi-le, je transmettrai.
Bonjour, Elena. Et bonjour tout le monde.
RépondreSupprimerQue tout cela est bien amené. J'adore la façon dont vous plantez le contexte. Dont vous amenez méthodiquement la fessée. On est progressivement immergé dans votre récit. On côtoie vos personnages. On fait avec eux le tour des bars. On passe la nuit au poste avec eux. Et on se prépare à les voir recevoir cette correction amplement méritée. Punition éprouvante, ô combien, pour nos six "héros", mais peut-être plus particulièrement pour Dmitriy, le seul garçon de la bande, fessé devant les cinq filles qu'amuse, de surcroît, malgré la situation d'attente inconfortable dans laquelle elles se trouvent, la mutation physique mortifiante dont il est la victime. Quoique… elles aussi, elles sont gâtées.
Vous rendez parfaitement compte, je trouve, de cette relation si particulière entre fesseur (ici fesseuse) et puni(e), l'un voulant garder un minimum de dignité (ne pas crier, ne pas trop en montrer, ne pas sautiller, se protéger les fesses, refuser telle positionn, etc.) et l'autre voulant le faire plier et finissant par y parvenir au grand désarroi du "vaincu".
À bientôt.
Cordialement.
FF
Bonjour François,
SupprimerMon texte est encore passé sous votre microscope et vous en avez extrait toute la substance.
Vos compliments me touchent beaucoup. Pour ce texte, il y a une partie qui est autobiographique, la première partie en fait. Je fais le voyage chaque année et avec mes cousines russes, je partage les Banya et autres saveurs russes. Le reste est fiction, mais la discipline est restée très ancrée dans l'éducation russe, ce qui donne des gens très droits.
Je tente d'écrire mes textes comme un film, présentation du contexte, l'action et ce qu'il en ressort pour les personnages, car il doit y avoir une morale voire une prise de conscience. Après tout, les corrections servent à ça, rectifier une situation qui a déviée ou redonner un cadre aux jeunes qui l'ont perdu.
Salutations.
Elena.
Bonjour,
RépondreSupprimerAh, la Russie éternelle... Un verre ça va, deux verres bonjour les fessées! Et pas des petites! Les corrections ici, c'est pas de la nougatine.
On pratique le chaud et froid, quitte à s'enrhumer du derrière. Cuisson à point, à la cravache, période glaciaire, les fesses rouges dans la neige ou à coup de seau d'eau froide entre deux passages au sauna. Erection, rétractation selon le niveau de température ambiante. Deux jours de nudité complète au ménage et à la cuisine. Pas très glamour les fessées au pays des soviets, mais plus efficaces que la cellule de dégrisement.
Variation sur le thème, bien documenté avec une description du contexte intéressante et pittoresque. Mais pas de quartier,chaque épisode est une montée en puissance des séances de punition.
Celui ci commence par une charmante coutume locale le "Banya russe". (Rien à voir avec le pain Bagnat!) Sauna, flagellation, thé et petit gâteaux... comme ça pour s'amuser, et se poursuit par de spectaculaires danses des fesses à la cravache pour mauvaise conduite en état d'ivresse. Crime et châtiment collectif pour consommation de Vodka sans modération. Après ça, plus dur, c'est le goulag!
Style enlevé, dynamisé par des phrases courtes à l'inverse de la durée des punitions. Redoutable et impressionnant.
Blindage fessier recommandé pour les chapitres à venir... On frémit rien qu'à l'idée.
Cordialement
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerLes récits de notre amie Elena montent en puissance... A corps et à cris ! La discipline est une affaire familiale.
Les mésaventures de Gérome, à côté, c'est une promenade de santé ! Mazette !
Il y a une bonne dizaine d'années, le gouvernement russe, pour endiguer la forte addiction à l'alcool d'une certaine frange de la population du pays, envisagea une méthode analogue pour l'en dissuader. La méthode a t-elle porté ses fruits ? Ca je ne pourrait le dire. "L'oisiveté est mère de tous les vices" martèle le proverbe.
Comme vous dites si bien : "la Russie éternelle". A son évocation, j'imagine d'immenses étendues enneigées, les troïkas, les musiciens jouant de la balalaïka, les fêtes villageoises... Sans oublier évidemment le roman éponyme le plus connu de Jules Verne : "Michel Strogoff", dont l'action se passe là-bas dans la lointaine Sibérie, non loin du lac Baïkal.
Ah, l'âme russe, à la fois si mélancolique et si porteuse d'espoir...
"La Place Rouge était blanche/ la neige faisait un tapis
Je suivais par ce froid Dimanche /Nathalie..."
(G. Bécaud- Nathalie/ 1965).
Amicalement. Peter.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerAu moins, vous aurez reconnu mon style ! Je fais rarement dans la dentelle, pour mes textes...
Pour les aspects pittoresques, c'est du vécu. баня ( Bain en russe ) est une activité prisée des russes, voire des nordiques plus généralement.
Enfreindre les règles d'un pays qui vous reçoit n'est pas convenable et nos jeunes gens ont eu de la chance de ne pas être punis au poste de police fédéral.
L'éducation en Russie est assez rigoureuse. Des valeurs de bonnes conduites et civiques y sont encore enseignées ( respect, courage, efforts, ... ).
Merci pour votre commentaire.
Salutations.
Elena
Bonjour à vous tous.
SupprimerCe débat au sujet de la Russie, ô combien fascinante, est tout à fait intéressant. C'est un pays dont la culture, les coutumes, la littérature, la musique m'ont toujours passionné. En ce qui concerne le sujet qui nous réunit ici, Catherine II estimait, semble-t-il, nécessaire de faire preuve de sévérité à la Cour et n'hésitait pas, le cas échéant, à manier elle-même le fouet. Dans l'ouvrage de Jean de Villiot "Curiosités et anecdotes sur la flagellation" (téléchargeable gratuitement sur Gallica) il y a tout un chapitre tout entier consacré à ce phénomène: Les punitions corporelles dans les cours royales…) Certains d'entre vous le connaissent très probablement déjà. On y trouve quantité de notations fort intéressantes.
Amicalement à tous.
FF
Bonjour François,
SupprimerMerci pour ces compléments d'informations. Je suis très heureuse que mes textes ayant pour fil conducteur le peuple russe vous intéressent, car c'est également une partie de moi-même. Cela donne des récits assez particuliers et en décalage des autres fictions du Blog.
Merci à tous pour ces retours. C'est très agréable.
Salutations.
Elena.
Re-bonjour.
RépondreSupprimerJ'aime bien... Elena ne fait pas dans la dentelle... Effectivement pas la moindre trace d'une quelconque dentelle d'une lingerie suggestive...
Les corrections ce n'est pas "nu sur les galets" à la francis Cabrel, mais cul nu dans la neige à la cravache! Choisis ton camp camarade.
Cette culture est décidément assez fascinante, merci de nous en faire partager le vécu. Nous autres romantiques de l'âme russe, comme l'exprime Peter, en sommes toujours à la balalaïka, les plaines enneigées, les coeurs de l'armée rouge et le faste des tzars.
Vos récits nous rappelle fort justement qu'on ne badine pas avec le le Knout!
Cordialement
Ramina
Cher Ramina,
RépondreSupprimerPour le vécu, c'est le Banya et la tradition russe de s'asperger à moitié nue, voire nue, dans la neige, après avoir passé un quart d'heure à quatre vingt degré au sauna, soumise à la flagellation aux Veniki.
Pour reste, ça remonte à l'ancien temps et adapté pour ma fiction. Bien évidemment, la balalaïka et les danses slaves sont fortement présentes dans notre culture. Pour le faste, il existe toujours à St PETERSBOURG ( un équivalent de VERSAILLES ).
J'ai tenté de faire découvrir aux lecteurs un peu de ma culture, mêlée à un récit de fiction.
Salutations.
Elena.
Bonsoir Elena,
RépondreSupprimerLe palais de Pierre le Grand aurait pris naissance, dit-on, après sa visite à Versailles, en 1705, soit 10 ans avant le décès du Roi-Soleil. Il rêvait d'un palais équivalent à celui du plus grand monarque d'Europe d'alors. Le choix de son emplacement fut surtout stratégique. Cependant cela nécessita de gigantesques travaux pour assainir les sols marécageux autour de la Neva et bâtir l'édifice. Une légende locale affirmerait que les lieux seraient encore hantés par les fantômes des ouvriers morts d'épuisement pendant la construction. Mais c'est une légende et comme pour toute légende, la vérité se mêle parfois au fabuleux...
Merci pour ces récits très atypiques.
Bon WE. Peter.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerMerci à vous de cet éclairage sur St PETERSBOURG et de sa naissance. A l'époque, la France et la Russie était très proche. C'est Napoléon qui a changé le cours de l'histoire en attaquant la Russie.
Salutations.
Elena
Bonjour Elena,
SupprimerLa Comtesse de Ségur, née comtesse Sophie Rostopchine, a un lien avec notre Histoire.
En effet, son père était le gouverneur de la ville de Moscou pendant la campagne de Russie engagée par Napoléon 1er en 1812.
A l'approche de nos troupes, il reçut l'ordre du Tsar de faire incendier la ville et ainsi modifier leur stratégie. Technique dite de "la terre brûlée", vieille comme le monde...
(Le fait est, me semble t-il, relaté dans le livre "Guerre et Paix" du comte Tolstoï. A vérifier).
La Comtesse partit pour la France et y épousa après la Restauration (1830) un aristocrate, Mr de Ségur, et entama vers la fin de sa vie la rédaction de romans pour enfants que nous avons lu parfois dans notre jeunesse, comme "un bon petit diable"(1865), "les malheurs de Sophie", "les mémoires d'un âne", "le général Dourakine" entre autres. Dans certains de ces romans, la Comtesse évoque souvent l'enfance maltraitée par les adultes.
D'après ces mémoires personnels, elle vécut une jeunesse très rude, de part la sévérité de son père. A l'époque, les droits de la personne n'étaient pas encore à l'ordre du jour...
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter,
SupprimerVous me laissez sans voix, avec votre érudition. Je suis vraiment en admiration devant vos connaissances. C'est un bonheur d'apprendre certaines choses que j'ignorais.
En effet, les droits étaient plus que sommaires à cette époque.
Merci pour tout.
Elena.
Bonsoir Elena,
SupprimerMerci à vous pour ces compliments qui me touchent beaucoup.
Mais comme je le disais, je suis passionné par l'Histoire et par ce qui s'y réfère, et nous en sommes tous et toutes un modeste rouage.
Mais "les petits ruisseaux font les grandes rivières" me répétait ma grand-mère. Sagesse immuable des Anciens...
Amicalement. Peter.
Bonjour Elena,
RépondreSupprimerEn effet, les écrivains du "Siècle des Lumières" français rayonnèrent jusqu'à St-Pétersbourg au point que la "Grande Catherine" II les invita à sa cour, en particulier Voltaire, quelques temps avant la grande secousse révolutionnaire. D'ailleurs, sa bibliothèque personnelle s'enrichit des oeuvres philosophiques et historiques de ces grands penseurs dont les écrits préfigurèrent la fin de l'Ancien Régime.
(Désolé, cher JLG, mais, étant passionné d'Histoire, je ne manque jamais une occasion de discuter. C'est un Hors-sujet... de notre sujet favori !)
Bonne journée. Peter.
Peter Pan,
SupprimerJe n'ai aucune remarque à faire. Le jeu d'un blog, c'est que le commentaire y est libre tant qu'il ne dérape pas vers de l'invective ou des propos déplacés.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour,
SupprimerJe suis en accord avec Peter, sur certains Blogs, si le commentaire n'est pas stricto sensu en relation avec le thème, le web master efface celui-ci. Ce n'est pas le cas ici et c'est tant mieux.
Merci Peter pour ce nouvel éclairage historique.
Elena.
Bonjour,
RépondreSupprimerCe qui montre bien, Peter, que le "hors sujet" de notre sujet favori n'est pas sujet à caution...
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina,
SupprimerTant que l'on reste courtois et convivial, il n'y a pas de raison d'être sanctionné. Les commentaires élargissent le champ des discussions et permettent de rebondir d'un sujet à l'autre.
L'Histoire me passionne en raison de l'origine de mon patronyme issu d'une région de l'Est très ballottée par les remous de l'Histoire.
Après le Lycée, j'envisageais de faire des études d'Archéologie mais ma très très mauvaise santé m'a obligé à renoncer à ce projet. Alors je reste un modeste amateur... éclairé.
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter,
SupprimerNous avons failli avoir un Indiana JONES sur le Blog ! Je plaisante bien évidemment.
Connaitre l'histoire est important, car ce n'est qu'un éternel recommencement. Bien des gens auraient pu s'épargner des erreurs s'ils avaient su en tirer des enseignements...
Elena.
Bonsoir Elena,
RépondreSupprimerEh oui, j'aurais peut-être connu la célébrité ou bien serais-je resté jusqu'à la retraite un quelconque conservateur d'un petit musée de province...
On dit toujours que l'on tire des leçons de l'Histoire, mais bien souvent on retombe dans les ornières du passé !
Mais l'homme est parfois aveuglé par ses propres ambitions.
"Il est plus facile de pousser une montagne que changer l'esprit des gens" répète un proverbe asiatique. La sagesse orientale est parfois très juste.
Amicalement. Peter.