jeudi 27 juin 2019

Les rebelles - chapitre 7

Une fois par quinzaine, les élèves de Ste CROIX vont à la piscine municipale pour une séance de natation avec leur professeur d’EPS, Philippe M. Comme dans tous les établissements, la pratique de plusieurs activités sportives est une composante importante de l’enseignement. Comme on dit, un esprit sain dans un corps sain. L’école Ste CROIX est équipée d’un stade et d’un gymnase, par contre, il faut avoir recours à d’autres structures lorsque celles-ci sont très spécifiques comme par exemple la natation, l’équitation, les sports nautiques, le tennis…
Etant en fin de trimestre, les conseils de classe entérinés, les élèves « lèvent le pied » et se relâchent et le chahut gagne progressivement les rangs des élèves, qui n’ont soit plus à perdre soit plus rien à gagner.
Laura dix-huit ans et Lucas vingt ans, à peine sorti de l’adolescence, font partie de ces élèves dont la discipline n’est pas la première des qualités et avec le relâchement ambiant, leur turbulence intrinsèque est amplifiée.
Le professeur d’EPS, Philippe M. prend contact avec la maitre-nageuse de la piscine, Paula S. (à peine plus âgées que les élèves), pour qu’elle supervise la séance avec lui. Au programme : entraînement avec quelques longueurs de bassin sous différentes nages et une course en relai mixte en fin de séance.
L’esprit de compétition aiguise les performances et la solidarité intra équipes, qualité reconnue pour l’intégration de ces jeunes dans leur vie sociale.
Dans la mesure où tous les élèves ne peuvent être dans le bassin en même temps, certains attendant sont sur le bord et chahutent. Par respect des règles de sécurité, Paula S. leur fait des remontrances, à trois reprises et leur dit de ne pas courir sur le carrelage, car celui-ci est glissant et il pourrait y avoir un accident. Consignes complétées par Philippe M. qui a aussi du mal à tenir ses élèves, en cette fin d’année scolaire.
L’incident semble être terminé lorsque Lucas pousse Olga dans la piscine. Avec un cri, elle tombe à l’eau. Iourievna, voyant sa sœur à l’eau vient vers Lucas et proteste pour son geste qui aurait pu avoir des conséquences. Laura, pourtant réservée, intervient à son tour et dit à Iourievna que c’était pour rire et qu’il n’y a pas de raison de pourrir la vie de Lucas. Sur ces entrefaites, Philippe M. et Paula S. arrivent pour séparer un début de conflit.
Philippe M. et Iourievna aident Olga à remonter sur le bord tandis que Paula S. prend à parti Lucas pour lui dire ce qu’elle pense de son attitude irresponsable et que ce qu’il a fait était dangereux. Elle ne laissera pas passer ça.
Philippe M. prend Lucas par le bras et lui dit qu’il va recevoir une fessée ici même, pour comportement agressif envers une camarade de classe. Laura dit au professeur que Lucas ne mérite pas la fessée et que ce n’était qu’un jeu, rien de plus. Paula S. se retourne vers Laura et lui dit qu’elle ne vaut pas mieux que l’auteur des faits et elle mérite d’être punie de la même manière. Paula S. dit à Philippe M. qu’en tant que responsable de la sécurité du bassin, c’est à elle d’appliquer la punition. Philippe M. ne trouve rien à redire et laisse la maitre-nageuse décider de celle-ci. Paula S. dit à Lucas et à Laura qu’ils recevront la fessée cul nu devant leurs camarades. Lucas et Laura protestent énergiquement en disant que c’est abuser pour si peu et qu’ils ne méritent pas ça. Laura s’arc-boute en disant qu’elle refuse catégoriquement et que de toute façon il impossible qu’elle lui mette les fesses à l’air car elle n’a un maillot de bain une pièce. Paula S. lui répond que ce n’est pas grave, elle retirera le tout, ça fera l’affaire. Laura insulte presque la maître-nageuse, qui lui répond qu’elle aggrave son cas.
Pour couper court à toutes protestations, Philippe M. leur dit que c’est soit la fessée devant tout le monde, soit le conseil de discipline. Cette menace laisse les deux jeunes sans voix, car ils savent que le manque de discipline leur vaudrait une exclusion temporaire avec à la clé une fessée au martinet dans la cour de l’établissement. Ils ont encore en tête les sévères fessées publiques de Paul, Arnaud et Clément.
Paula S. ordonne à Laura de retirer son maillot entièrement. Au bord des larmes, Laura a du mal à se déshabiller devant ses camarades, surtout devant les garçons. Elle sait qu’elle va être humiliée et commence à paniquer car Laura a des formes généreuses et elle sait que sa nudité va ravir la gente masculine et qu’elle sera humiliée pour le restant de sa scolarité. Paula S. la rejoint, prends les bretelles et les lui retire puis baisse entièrement le maillot de bain, mettant Laura entièrement nue. D’un réflexe de pudeur, Laura se cache le pubis et les seins en criant. Paula S. est satisfaite, car d’une élève arrogante et défiante, elle en a fait une élève docile. Les larmes de honte coulent sur le visage de Laura qui se laisse emmener vers les bancs.
Paula S. courbe Laura, l’obligeant de ce fait de retirer ses mains, exhibant sa nudité intégrale aux autres élèves. Les garçons ne boudent pas leur plaisir. Paula S. commence à la fesser à main nue. D’une fesse à l’autre et d’une cuisse à l’autre, Paula S. s’applique à rougir avec soin la peau de cette élève indisciplinée et insolente. Laura ne tarde de pas à crier, car sa peau attendrie par l’eau est beaucoup plus sensible aux claques reçues. Elle trépigne en tapant des pieds, en se contorsionnant et en suppliant d’arrêter. Lorsque la peau d’un rouge vif et les cris stridents de Laura satisfont Paula S., celle-ci cesse. Laura, se relève péniblement, les mains sur les fesses, ne pensant même plus à couvrir sa nudité. Elle s’abandonne à la douleur et à ses sanglots. Lorsqu’elle voit que tous les yeux sont braqués sur son corps nu et sur les tétons dressés à cause de la fessée et par sa nudité en public, Laura se met à genoux, recroquevillée sur elle-même, pleurant toutes les larmes de son corps ! Cette fessée n’est pas prête d’être oubliée par ses camarades, surtout par les garçons, et à l’avenir, Laura préférera se faire oublier. Elle pense qu’heureusement l’année se termine et qu’elle n’ait plus à affronter leurs regards avant septembre prochain. A présent, son intimité n’a plus de secret pour personne et elle en a honte, elle qui est pudique.
Dans leur maillot de bain moulant, les garçons ont beaucoup de mal à cacher leur excitation. A peu près tous sont en érection, même Lucas, qui va devoir retirer son maillot dans quelques instants. En voyant les bosses dans les maillots, Paula S. leur dit qu’il n’y a pas de quoi être dans cet état, car la prochaine fois, ça pourrait être eux qui se retrouvent à la place de leurs camarades et elle leur conseille de se tenir « à carreau » !
La maître-nageuse ordonne à Lucas de retirer son maillot et de se mettre en position pour la fessée. Rouge de honte et fébrile, Lucas ôte son maillot, libérant son pénis droit comme un « i », qu’il cache par pudeur.
Il s’avance vers les bancs pour se mettre en position. Olga, encore sous le choc de l’agression, lui coupe la route et le gifle pour se venger. Une belle marque rouge orne sa joue gauche. Stupéfié par la gifle reçue, Lucas est sur le point de protester lorsque Paula S. s’interpose et lui dit que c’est tout ce qu’il mérite. En présentant sa main, elle lui conseille de ne plus dire un mot car il en recevrait une autre de sa part.
Résigné, Lucas se courbe et présente ses fesses nues à la maître-nageuse, qui ne prend aucune précaution, elle y met toute son ardeur. Lucas crie de douleur en sentant ses fesses s’échauffer. Se contorsionnant comme un damné en tapant des pieds, il promet qu’il a compris et demande la fin de la fessée. Paula S. lui dit qu’il lui en reste une bonne moitié à recevoir, que Laura n’a pas fait tant de simagrées lorsqu’elle a reçu sa fessée et qu’il pourrait être plus courageux car il donne un piètre spectacle à ses camarades.
Les fesses et les cuisses cuisantes et rouges vifs, Lucas implore qu’il n’en peut plus et qu’il a besoin d’aller aux toilettes, car il sent qu’il va éjaculer. Contrainte de stopper la fessée peu avant la fin, Paula S. lui ordonne d’aller immédiatement aux toilettes, car il est hors de question qu’il souille le bord de la piscine. Lucas, les deux mains sur le pénis, court aux toilettes pour se soulager. C’est une grande humiliation pour lui que d’avouer à tout le monde l’état dans lequel il se trouve. Il était temps qu’il arrive aux toilettes car il était à bout. Il se laisse aller en privé, tout de même soulagé de ne pas avoir éjaculé devant ses camarades et ses professeurs, car ça aurait été la plus grande humiliation de sa vie.
En attendant son retour, la maître-nageuse constate que le plus grand calme est revenu et que la vue des deux fessées a calmé les ardeurs des uns et des autres. Philippe M. remercie Paula S. pour avoir rétabli l’ordre et il fera part de l’incident à la directrice de Ste CROIX, afin que celui-ci soit notifié sur le carnet de discipline des deux élèves. S’il devait y avoir récidive, Laura et Lucas recevrait le martinet à sept longues lanières de cuir, nus, devant tous les élèves de l’établissement, c’est le tarif pour les indisciplinés récidivistes.
Voyant Lucas revenir, Paula S. relève Laura, toujours en sanglots à genoux par terre et lui dit que la séance va reprendre. Avec l’intermède des deux fessées, il est grand temps de terminer par le relais mixte. Paula S. ordonne aux deux élèves de retirer leurs mains cachant leur intimité. La honte de s’exhiber devant les autres élèves les calmera davantage.
Philippe M. réparti les élèves en deux groupes et le relais commence. Tous les élèves font leur maximum pour aider leur équipe à remporter cette course. Chacun dans une équipe, Laura et Lucas seront les derniers relais de la course. L’arrière train en feu, le relais promet d’être assez pénible pour les deux punis.
A l’entrée du dernier relais, les équipes sont pratiquement au coude à coude. Certains bons nageurs ont rattrapé les mauvaises performances de leurs équipiers et cela dans les deux équipes. Ce sera la course de Laura et Lucas qui déterminera l’équipe vainqueur. Les deux élèves nus, entrent dans l’eau presque en même temps. Le feu de la fessée s’estompe un peu avec l’eau froide du bassin, mais le frottement des cuisses leur fait mal. Leur nage fait plus penser à celle de deux gamins que de vrais nageurs. Malgré les encouragements de leurs équipiers, Lucas et Laura nagent, puis s’arrêtent, puis reprennent et ça jusqu’à la fin. Les cinquante mètres à parcourir leur semblent interminables.
Finalement, c’est Laura qui touchera le bord la première, supportant mieux la douleur que Lucas, qui fait pâle figure. Fatigués, ayant tout donné, les deux punis sortent de l’eau, Laura est félicitée par ses coéquipiers.
Avant de rentrer aux vestiaires, Paula S. réitère ses avertissements. Il est hors de question de laisser le chahut dans ces lieux. Comme tout le monde est prévenu, ils savent à quoi ils s’exposent si ça devait recommencer dans deux semaines lors de leur dernier cours de natation de l’année scolaire.
Les élèves regagnent dans le calme leur vestiaire respectif, en passant par la douche collective obligatoire, où seuls les deux punis sont nus. Les fesses rouges de ceux-ci sont la cible de tous les regards, ainsi que de commentaires peu flatteurs.
Ne pouvant enfiler leur culotte, Laura et Lucas enfilent jupe pour l’une et pantalon pour l’autre, car le contact avec le tissu est fort désagréable. La plus honteuse est Laura, car sans culotte, elle se retrouve les fesses à l’air sous la jupe qui peut se relever à tout instant avec le vent et que dire des marques visibles très rouges sur ses cuisses. En la voyant, le doute n’est pas possible quant au fait qu’elle vient de recevoir une fessée carabinée.
L’air s’engouffrant sous sa jupe, lui caressant l’entrecuisses et le pubis lui provoque des sensations particulières qui la fait mouiller et lui fait dresser les tétons, ce qui ne passe pas inaperçu par les autres élèves. Certains en rigolent, d’autres ne voudraient pas être à sa place.
Le retour à l’établissement se fait en car. Laura et Lucas demandent l’autorisation de voyager debout, ce qui est refusé par le chauffeur. Ils devront s’asseoir comme les autres, pour leur sécurité. Prenant mille précautions pour s’asseoir, ils grimacent de douleur en gémissant et les quinze minutes du parcours sont passées à se dandiner d’une fesse sur l’autre. L’arrivée à l’établissement et la descente du bus est vécue comme un grand soulagement.
Le dernier cours de l’après-midi est vécu comme un calvaire par les deux punis, obligés de rester constamment assis. Ils se trémoussent sur leur chaise pour soulager le feu du contact d’une partie solide sur leur chair enflammée. Inutile de dire que leur attention est largement supplantée par leur positionnement sur la chaise. Laura est obligée de rester les cuisses écartées pour éviter leur frottement, ce qui la met à tout moment en position de difficulté, vis-à-vis de la nudité sous sa jupe, qui n’est pas le cas de Lucas, moins exposé dans son pantalon.
Ayant été prévenue Fabienne D., la proviseure, convoque Laura et Lucas dans son bureau pour l’explication de l’incident à la piscine.
A la fin de leur cours, les deux punis attendent dans le couloir en face du bureau de Fabienne D. Celle-ci les fait entrer au bout d’un quart d’heure.
En présence du professeur d’EPS et de Léa, la déléguée de classe, Laura et Lucas se confondent en excuses en prétextant un jeu, rien de plus. Fabienne D. leur ordonne de lui présenter leurs fesses, pour qu’elle voit le résultat de la punition. Jupe relevée et pantalon descendu, docilement, Laura et Lucas font voir leurs rougeurs encore bien visibles. Fabienne D. est satisfaite du résultat et clos l’incident. Celui-ci sera porté sur leur carnet de discipline et un message électronique sera envoyé à leurs parents, mais il n’y aura pas d’autres punitions, car celle qu’ils ont reçue est jugée suffisante. Lorsqu’ils sortent du bureau de la proviseure, n’en menant pas large, Laura et Lucas rentrent chez eux.
Pour Lucas, le mot reçu de la part de la proviseure lui vaut deux semaines de privations de sorties et d’argent de poche.
Quant à Laura, ayant des parents plus sévères, dès son arrivée, elle est prise à partie par sa mère qui lui fait retirer sa jupe sur le champ et lui flanque une seconde fessée à la ceinture. Laura tente de dire à sa mère que la fessée qu’elle a reçue est suffisante, mais ce n’est pas l’avis de sa mère qui lui court après tout en la fouettant à la volée.
Pour échapper aux cinglées, Laura se protège derrière une table, une chaise et tente de fuir à travers les pièces de la maison, monte les escaliers, les redescend, se roule en boule par terre, pour finir prise au piège dans la cuisine, où sa mère lui cingle les fesses, le devant et le derrière des cuisses, ce qui fait hurler sa fille. Laura finit en sanglots, le bas du corps de nouveau en feu et marqué. Laura demande pardon à sa mère pour la mauvaise appréciation sur son carnet de discipline.
Jugeant la seconde correction suffisante, la mère de Laura lui demande de filer dans sa chambre et d’y rester jusqu’au souper. En pleurs, les mains se massant le bas du corps, Laura passe aux toilettes où elle fait ses besoins à moitié debout, ne supportant pas le contact de la lunette sur ses cuisses. Le passage à la douche froide la soulage un peu. Le souper sera pris debout et Laura devra dormir quelques jours sur le ventre. Laura ne décroche pas un mot de la soirée, elle, qui d’habitude est si bavarde.
Les jours suivants sont assez pénibles pour elle, car elle doit être assise en cours, ce qui attise d’autant plus le feu des deux corrections reçues, qui mettra quelques jours à se dissiper. Les remarques des garçons sur ses gros seins, son postérieur épanoui et son pubis épilé, la gênent beaucoup, mais elle devra faire avec. Pour dissimuler les marques, Laura porte un pantacourt, qui protégera ses cuisses des regards indiscrets. Elle ne veut surtout pas révéler qu’elle s’est pris une seconde fessée en rentrant chez elle le soir de la première correction. Une chance pour elle que la prochaine séance de natation n’est que dans deux semaines, ça laissera le temps à ses marques de disparaître complètement.


Une série écrite par Elena

Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 6
Et un nouvel épisode ; le chapitre 8

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5 commentaires:

  1. Bonjour Elena,
    Les fessées mouillées c'est comme les fers à repasser à la vapeur. Elles chauffent davantage et sans faux plis!
    La piscine est l'endroit idéal pour en prouver l'efficacité. On nage plus vite le feu aux fesses. Maitre nageuse athlétique égale fessée musclée. Pour une fois la fessée à la main s'impose et se révèle à la hauteur... des derrières en pénitence. L'exposition obligatoire en en classe, culotte baissée en confirme les bienfaits par la couleur.

    Si la correction n'était pas si sévère la couse poursuite entre Laure et sa mère pour une deuxième fessée serait presque drôle. La description est vivante et on imagine facilement la scène de cache cache autour des meubles. Et tournez manège, à trop tirer sur le
    pompon on gagne une fessée supplémentaire gratuite à la ceinture avec tour d'honneur sous les cinglées.
    Sportive la raclée!
    Cordialement
    Ramina

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  2. Bonjour Ramina et merci pour votre commentaire toujours emprunt d'analyse de situation. Pour la fessée à main nue, la maître nageuse n'est pas sensée avoir autre chose sous la main, sur le bord du bassin... Mais recevoir une fessée, étant humide, est particulièrement redoutable. Mouillée, la peau est attendrie et donc plus sensible.
    Pour la fessée à la maison, la seconde fournée peut faire peur, en ayant encore les fesses chauffées de la première, ce qui explique que Laure ait voulu se mettre à l'abri. Pour un temps seulement, car sa mère a réussi à la bloquer dans un coin.
    Salutations.
    Elena.

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  3. Bonjour Elena et bonjour tout le monde,
    Vous avez vraiment votre ton à vous qui fait qu'on reconnaîtrait vos textes entre mille. C'est tout un univers qui se met en place grouillant, animé, avec des fessées-châtiments en veux-tu en voilà données presque systématiquement en public (la dernière, maternelle et extrêmement sévère, faisant exception à la règle.) Le public, chez vous, a une importance considérable parce qu'il est générateur de honte et d'une honte particulièrement intense. Une honte qui ne prend pas fin avec la fin de la fessée proprement dite. Il faut affronter, le lendemain et les jours suivants, les regards des camarades. Leurs réflexions. Leurs sous-entendus. Leurs sourires goguenards. Et le lecteur sait bien, lui, que cette honte va connaître une croissance exponentielle. Elle ne sera pas cantonnée à l'endroit où la fessée a eu lieu, mais il va s'en parler. Le bouche à oreille va faire son œuvre et c'est toute la ville qui sera bientôt au courant. Nos deux coupables vont être pour ainsi dire ligotés dans la fessée qu'ils ont reçue. Pour leur plus grande confusion.
    À bientôt.
    Cordialement.
    FF

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  4. Bonjour François,
    Vous avez parfaitement compris l'atmosphère récurrente de mes textes. La fessée est, certes, un motif de punition, mais la honte qui en résulte restera gravée dans l'esprit du ou de la punie des spectateurs, de sorte qu'il ou elle se fasse oublier pour un grand moment. C'est peut-être la honte ressentie qui restera le plus longtemps dans l'esprit de chacun. S'être fait rabaisser devant tout le monde est humiliant et la leçon s'en trouve renforcée, de façon à ce que le fautif ne recommence plus ses frasques. De plus, ça envoi un message aux autres, qui serait tentés de fauter. Ce genre de punition a le don de rétablir l'ordre, selon moi.
    Encore un grand merci pour vos bons commentaires.
    Salutations
    Elena.

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  5. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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